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Le Top 10 des entreprises qui recrutent dans le numérique

La digitalisation des entreprises et le développement des nouvelles technologies ont dynamisé l’emploi du secteur du numérique. En partenariat avec Altaïde, cabinet de recrutement digital, FRENCHWEB.FR dévoile le Top 10 des entreprises qui recrutent dans le numérique en 2023.

1 – DASSAULT SYSTEMES

Créée en 1981, l’entreprise s’est imposée sur le marché des logiciels de conception 3D, dans les domaines de la Business Intelligence et des plateformes collaboratives.
Siège social : Vélizy-Villacoublay, France.
Secteur d’activité : Editeur de logiciel

2 – FREE

Free est l’un des principaux opérateurs internet et mobile en France, créé en 1999 par Xavier Niel, En 2021, Free vient en 2eme position derrière Orange
Siège social : Paris, France.
Secteur d’activité : Télécommunications

3 – ORANGE

Société française de télécommunications. Orange est leader européen et le N°1 pour la qualité du réseau mobile en France pour la 12ème année consécutive.
Siège social : Paris, France.
Secteur d’activité : Télécommunications

4 – Veepee

Entreprise française de commerce électronique, créée en 2001 par Jacques-Antoine Granjon, Mickaël Benabou et Julien Sorbac. Veepee, anciennement Vente-privée, est un leader de la vente en ligne.
Siège social : Saint-Denis, France.
Secteur d’activité : E-commerce

5 – DOCAPOST

Solution numérique pour la gestion de documents, du Groupe La Poste, créée en 2007. Docaposte propose une gamme d’offres pour gérer les échanges professionnels de documents.
Siège social : Ivry-sur-Seine, France
Secteur d’activité : Services & Solutions numériques

6 – EXOTEC

Start-up française créée par Romain Moulin et Renaud Heitz en 2015. Exotec conçoit des systèmes de préparation de commande basés sur des flottes de robots en trois dimensions.
Siège social : Croix, France
Secteur d’activité : Robotique & Logistique

7 – Doctolib

Plateforme d’e-santé, fondée en 2013 par Franck Tetzlaff et Stanislas Niox-Chateau, qui permet aux patients de réserver et de gérer des rendez-vous et des consultations médicaux en ligne.
Siège social : Levallois-Perret, Hauts-de-Seine, France
Secteur d’activité : Healthcare

8 – BELIEVE

Scale-up française spécialisée dans l’accompagnement des artistes et labels. Fondée en 2005 par Denis Ladegaillerie, Nicolas Laclias et Arnaud Chiaramonti. Believe figure parmi les leaders mondiaux de la musicale numérique
Siège social : Paris, France
Secteur d’activité : Music

9 – SPARTOO

Spécialisée dans la vente de chaussures, d’articles de mode, de maroquinerie et de décoration en ligne et en boutique, Spartoo est créée en 2006 par Boris Saragaglia,
Siège social : Grenoble, France
Secteur d’activité : E-Commerce & Retail

10 – OVH CLOUD

L’un des plus grands fournisseurs de services d’hébergement web et solutions cloud en Europe. Fondé en 1999 par Octave Klaba est, Il propose de nombreuses formules d’hébergement que ce soit pour des particuliers ou des professionnels.
Siège social : Roubaix, France
Secteur d’activité : IT

Entrepreneurs : faut-il laisser ses employés travailler de chez eux ?

Quels sont donc les avantages majeurs à laisser vos employés travailler de chez eux, pour leur permettre d’effectuer leur travail quotidien à partir de leur domicile, avec des conditions de travail plus souples ? Réponses à ces questions avec les 4 avantages majeurs que vous avez, vous entrepreneur, à laisser vos salariés dans de telles conditions de travail.

En tant qu’entrepreneur, des réflexions permanentes doivent être menées dans le but d’améliorer les conditions de travail de vos salariés. Il n’y a rien de pire pour eux qu’une situation qui n’évolue pas et des conditions de travail qui stagnent et qui se dirigent irrémédiablement vers la routine. Ainsi, et comme la tendance le montre actuellement, il est de plus en plus intéressant pour les chefs d’entreprise, tous secteurs confondus, de permettre aux salariés de travailler directement de chez eux, à leur domicile. Les études tendant à prouver que l’efficacité reste la même et que la productivité augmenterait même sensiblement.

1/ Une hausse de la productivité

Le premier avantage, et sans doute pas des moindres, est bel et bien le fait que la productivité de vos salariés va augmenter si vous leur laissez la possibilité de travailler à partir de leur domicile. Une étude menée par l’Université de Stanford a même démontré que cette productivité augmentait de 13% pour les salariés dont le chef d’entreprise avait pris le parti de les laisser travailler de chez eux directement. Une hausse de productivité qui n’est pas négligeable et qui permettrait presque de réaliser d’importants gains financiers sur le long terme.

2/ Des conditions de travail plus en lien avec les attentes de vos salariés

Deuxième avantage, tout aussi important : vos salariés seront davantage heureux et fiers des conditions de travail que vous leur offrez. Cette souplesse et cette flexibilité peuvent donner envie de s’investir davantage dans la réussite de l’entreprise et dans son développement sur le long terme. C’est là une réalité purement humaine : un employé fier des conditions de travail qui lui sont offertes sera davantage prompt à répondre aux attentes de ses supérieurs. Des salariés heureux et comblés par leurs conditions de travail seront moins prompts à quitter l’entreprise en cas de pépin. CQFD.

3/ Des réductions de coûts pour vos bureaux

Un avantage qui ne vient pas immédiatement à l’esprit mais qui revêt tout de même une importance : donner la possibilité à vos salariés de travailler chez eux sera également le meilleur parti pour réduire vos coûts quant à l’entretien des bureaux et du mobilier. En effet, vos salariés n’étant que très peu voire plus du tout présents dans les bureaux de votre entreprise, vous pouvez tout à faire rogner sur les coûts de fourniture, d’achat de mobilier et bien d’autres coûts encore. Un avantage à ne pas négliger dans votre décision finale.

4/ Un moyen de prendre l’avantage sur la concurrence

Dernier avantage majeur : la concurrence aura un temps de retard si vous adoptez de telles méthodes de travail novatrices et intelligentes. De quoi remporter aisément des contrats juteux auprès de clients désireux de travailler avec des entreprises dans l’ère du temps et proches de leurs salariés.

Zoom sur le remue-méninges en groupe

En entrepreneuriat, la créativité et l’innovation sont des catalyseurs essentiels de la réussite. Parmi les méthodes les plus prisées émerge le « remue-méninges en groupe », une approche collaborative visant à exploiter la diversité des idées pour stimuler l’innovation au sein des entreprises.

La puissance du collectif

Le remue-méninges en groupe, également connu sous le nom de brainstorming, transcende les barrières individuelles pour exploiter la richesse des idées collectives. Cette méthode encourage les participants à partager librement leurs pensées, à repousser les limites de la créativité, et à découvrir des solutions novatrices à des défis entrepreneuriaux

Les étapes du remue-méninges en groupe

  1. Définir le but : avant de commencer, il est essentiel de clarifier l’objectif du remue-méninges. Que ce soit pour résoudre un problème spécifique, générer de nouvelles idées ou explorer des opportunités, un objectif clair donne une direction au processus.
  2. Créer un environnement ouvert : faites en sorte que les participants se sentent à l’aise pour partager leurs idées sans crainte de jugement. Un environnement ouvert encourage la spontanéité et libère la créativité.
  3. Encourager la diversité : rassemblez des participants aux compétences et expériences variées. La diversité favorise la génération d’idées provenant de perspectives différentes, enrichissant ainsi le processus créatif.
  4. Générer un flux continu : favorisez la libre expression des idées sans interruption initiale de la part des critiques. Cela encourage un flux continu d’idées, même les plus audacieuses.
  5. Associer et étendre : encouragez les participants à construire sur les idées des autres. Parfois, une simple association ou extension d’une idée existante peut conduire à des concepts innovants.

Prenons l’exemple d’une jeune startup qui, lors d’une séance de remue-méninges en groupe, a résolu un problème de logistique en associant des idées provenant de départements différents. La solution, issue de la collaboration, a non seulement amélioré l’efficacité opérationnelle mais a également renforcé l’esprit d’équipe.

Vers une culture d’innovation

Le remue-méninges en groupe ne se limite pas à une simple séance, mais peut contribuer à créer une culture d’innovation au sein d’une entreprise. Les avantages vont au-delà de la génération d’idées, incluant le renforcement des liens d’équipe, l’augmentation de la motivation des employés, et le développement d’une agilité entrepreneuriale.

Quelques outils et astuces pour sa mise en place 

  • Outils de brainstorming en ligne : Utilisez des plateformes en ligne dédiées au brainstorming telles que Miro, Stormboard, ou Trello. Ces outils permettent une collaboration en temps réel, facilitant la contribution d’idées même pour des équipes distantes.
  • Capturer visuellement : Ayez un scribe visuel pour capturer les idées sur un tableau, une feuille de papier géante, ou à l’aide d’outils de mind mapping. La visualisation aide à maintenir l’engagement et offre une référence visuelle pour les discussions ultérieures. Techniques de « warm-up » : Commencez la séance par des techniques de « warm-up » pour stimuler la créativité. Cela peut inclure des jeux rapides, des questions intrigantes, ou des exercices visuels pour libérer l’esprit créatif des participants.
  • Chronométrez les phases : Divisez la session en phases chronométrées pour maintenir le dynamisme. Par exemple, allouez un temps défini pour la génération brute d’idées, suivi d’une période de regroupement et d’analyse.
  • Anonymat temporaire : Encouragez l’anonymat temporaire des idées, surtout au début du processus. Cela peut libérer les participants de l’auto-censure et stimuler la contribution d’idées plus audacieuses.
  • Mode « Oui et … » : Cette philosophie est utilisée dans l’improvisation théâtrale. Encouragez les participants à construire sur les idées des autres plutôt que de les critiquer. Cela favorise un environnement positif et constructif.

Astuces complémentaires 

  • Contrôle de la hiérarchie : Encouragez la participation de tous les niveaux hiérarchiques. Un mélange de perspectives, y compris celles des employés de base et des cadres supérieurs, peut enrichir le pool d’idées.
  • Feedback Constructif : Encouragez un feedback constructif à la fin de la session. Les retours des participants sur le processus de remue-méninges peuvent aider à améliorer les futures sessions.
  • Rotation des groupes : Si la session est longue, envisagez de faire tourner les membres du groupe. Cela apporte des perspectives nouvelles et élargit la base d’idées.

Top 10 pratiques pour gérer les retours clients de manière efficace

La gestion des retours clients est un aspect essentiel du service client et peut avoir un impact significatif sur la réputation d’une entreprise. Adopter des pratiques efficaces dans ce domaine est non seulement essentiel pour résoudre les problèmes des clients, mais également pour renforcer la confiance et la fidélité. Voici le top 10 des pratiques pour gérer les retours clients de manière efficace.

1/ Mise en place d’une politique de retours claire

Une politique de retours claire et facilement accessible aide les clients à comprendre les procédures à suivre. Elle contribue à réduire les frustrations et à établir des attentes transparentes. Une politique bien définie offre un guide clair aux clients. Elle améliore ainsi leur compréhension des processus de retour et favorisant des attentes plus précises.

2/ Facilitation du processus de retour

Simplifier le processus de retour est essentiel. Les entreprises devraient fournir des étiquettes de retour prépayées, des instructions claires et des options flexibles pour rendre l’expérience de retour aussi fluide que possible. Simplifier davantage le processus renforce la satisfaction client en offrant des solutions pratiques, telles que des étiquettes prépayées et des instructions détaillées. Vous facilitez ainsi le retour des produits.

3/ Communication proactive

Communiquer de manière proactive sur le statut des retours est cruciale. Informer les clients lors de la réception des produits retournés et du traitement de leurs remboursements renforce la transparence. Une communication proactive, notamment en informant les clients des étapes du processus de retour, contribue à renforcer la confiance en démontrant une transparence totale.

4/ Formation du personnel

Le personnel doit être formé pour gérer les retours avec empathie et professionnalisme. Une communication efficace et une résolution rapide des problèmes contribuent à maintenir la satisfaction du client. Une formation approfondie du personnel garantit une gestion empathique et professionnelle des retours Vous favorisez ainsi une communication efficace et des résolutions rapides des problèmes.

5/ Analyse des motifs de retour

Comprendre les motifs de retour est nécessaire pour identifier les problèmes récurrents. L’analyse des motifs permet d’apporter des améliorations aux produits ou services et de prévenir les retours futurs. Une analyse approfondie des motifs de retour offre des informations utiles. Elles permettent aux entreprises d’apporter des améliorations continues pour éviter la récurrence des problèmes identifiés.

6/ Utilisation de la technologie

L’intégration de systèmes de suivi des retours permet une gestion plus efficace. Les entreprises peuvent suivre les retours en temps réel, ce qui facilite la prise de décision rapide et l’adaptation aux besoins des clients. L’utilisation de technologies de suivi en temps réel améliore considérablement la gestion des retours, permettant aux entreprises de prendre des décisions rapides et de s’adapter aux besoins changeants des clients.

7/ Collecte de feedback post-retour

Demander aux clients leur avis après un retour peut fournir des informations précieuses. Cela montre également que l’entreprise valorise l’opinion de ses clients et cherche à améliorer constamment ses services. La collecte systématique de retours clients après le processus de retour fournit des informations précieuses, démontrant ainsi l’engagement continu de l’entreprise envers l’amélioration de ses services.

8/ Offre de solutions flexibles

Proposer des solutions flexibles, telles que des échanges, des remboursements ou des crédits, montre une volonté d’accommoder les clients. Cela contribue à maintenir une relation positive, même après un problème. L’offre de solutions variées témoigne de la flexibilité de l’entreprise pour accommoder les clients. Cela renforce des relations positives même dans des situations délicates.

9/ Prévention des erreurs futures

Utiliser les retours comme une opportunité d’apprentissage pour prévenir les erreurs futures. Les entreprises devraient ajuster leurs processus internes pour éviter la récurrence des problèmes identifiés. Les retours devraient être considérés comme des occasions d’apprentissage. Cela incite  les entreprises à ajuster leurs processus internes pour éliminer les causes sous-jacentes des retours récurrents.

10/ Récompenses pour la loyauté

Offrir des incitations à la fidélité, telles que des réductions ou des offres spéciales, après un retour peut transformer une expérience négative en une opportunité de fidélisation. La proposition d’incitations à la fidélité après un retour transforme une expérience négative en une opportunité positive, encourageant ainsi la loyauté des clients par le biais d’avantages spéciaux tels que des réductions ou des offres exclusives.

Salariat vs. Entrepreneuriat : les avantages des uns et des autres

Choix souvent cornélien entre d’une part la liberté d’entreprendre et d’autre part en encadrement sécurisant, le salariat et l’entrepreneuriat s’opposent diamétralement. Disposant chacune de leurs avantages et leurs inconvénients en termes de revenus, de perspectives d’avenir et de débouchés, ces catégories professionnelles sont à envisager au plus haut point. Quels sont alors les principales différences et avantages entre le salariat et l’entrepreneuriat ?

Avec plusieurs centaines de milliers d’entreprises et micro-entreprises créées annuellement ces dernières années, le monde entrepreneurial semble avoir le vent en poupe. Il faut dire qu’être son propre patron et bénéficier d’une autonomie totale quant aux prises de décision et au management n’a pour beaucoup pas de prix et peut séduire. Au final, le salariat et l’entrepreneuriat reposent sur un choix éminemment personnel.

Le salariat : un cadre sécurisant

Si vous voulez profiter d’un cadre sécurisant, la contrepartie reste souvent d’être assujettie à un lien de subordination. Avantageux pour sa sécurité juridique et sa durée, le salariat offre aux individus une sécurité de l’emploi même si le taux de chômage est actuellement au plus bas, légèrement au-dessus des 7%. Les CDD et CDI représentent une sécurité. En effet, le Code du travail et les pouvoirs publics les encadrent rigoureusement. Et il faut le constater : les licenciements autres qu’économiques ne sont pas légion. À l’inverse, il faut constater, au regard du contexte économique et de la conjoncture, qu’une grande partie des entreprises ne survivent pas au-delà de 2 années d’activité. Aussi, rien ne garantit que leurs fondateurs puissent se dégager un revenu suffisant. 

Une disparité importante de revenus

Plutôt jeune, masculin et auparavant demandeur d’emploi, le profil type du créateur d’entreprise repose sur une idée bien établie. Vouloir quitter le salariat pour être autonome et démontrer sa créativité et son esprit d’entreprise. 

Avec une population active française d’environ 28 millions d’individus dont 22 millions de salariés, la politique de l’emploi avantage historiquement depuis toujours le salariat. La majorité des salariés occupent toujours un CDI, qui offre le cadre réglementaire le plus sécurisant. Cependant le monde de l’entrepreneuriat rencontre l’adhésion pour ses perspectives et débouchés car plus de 3 millions des actifs restent des salariés précaires. 

Du côté des indépendants, ils sont toutefois le groupe dont les disparités de revenus sont les plus élevées. Payé de 4 à 15% moins en moyenne par an qu’un salarié, un indépendant est aussi assujetti à une taxation fiscale plus élevée. Le montant de l’impôt sur le revenu qui ne concerne pas les entrepreneurs, sauf exception, bénéficie en effet d’un taux d’imposition entre 14 et 45%. A contrario, un travailleur indépendant est imposé à 34% quoi qu’il arrive et doit respecter un plafond de revenus maximum.

Une forme juridique déterminante

Le statut juridique est alors déterminant dans le choix de la création d’entreprise (EI, EURL, SARL, SASU, EIRL, …). En effet, de nombreux entrepreneurs ne cotisent pas à l’assurance-chômage et ne peuvent alors bénéficier d’une allocation en cas d’échec. Artisans, commerçants, auto-entrepreneurs, professions libérales non salariées, le choix de devenir indépendant suppose des compétences et un savoir-faire bien spécifiques. 

Cependant, là où un salarié n’a que peu de chances d’obtenir une promotion et de profiter d’une augmentation significative de salaire, l’entrepreneur peut selon son savoir-faire et ses compétences dégager un revenu en corrélation avec ses efforts et le temps passé à son activité. Une infime minorité d’entrepreneurs à succès est en effet celle qui dégage le plus de profits à l’instar des chefs d’entreprise du numérique les plus riches de France.

Les comités de potins : les ragots amusants au bureau

Dans le monde de l’entreprise, il y a des comités pour tout : le comité de bien-être, le comité de gestion du café, et bien sûr, le comité de potins. En effet, où il y a des bureaux, des ordinateurs et du café gratuit, il y a inévitablement des rumeurs qui circulent plus vite qu’un e-mail de réunion surprise un vendredi après-midi.

Les potins : la monnaie d’échange au bureau

Ah, les potins, ces petites pépites de savoir-faire professionnel. On pourrait les comparer aux épices de la vie de bureau. Sans eux, l’atmosphère serait aussi fade qu’une réunion sans café. Les comités de potins sont les véritables héros méconnus des entreprises modernes. Imaginez-les comme des petites salles de réunion non officielles, où les employés troquent des informations plus rapidement qu’un stagiaire fuit le service de photocopie après avoir accidentellement imprimé 50 copies de son cv.

Les rumeurs, ces perles inestimables

Certains pensent que les rumeurs sont comme des pissenlits : une fois qu’elles sont semées, elles se propagent partout. Mais au bureau, elles sont plus précieuses que l’or. Qui a besoin d’un plan stratégique quand on peut connaître tous les détails croustillants de la vie de bureau de Nicolas du marketing ? On raconte que les comités de potins ont le pouvoir magique de transformer un simple fait divers en une histoire épiquement exagérée. Les ragots se transforment en légendes urbaines de la vie de bureau. Alors, chaque employé devient le protagoniste involontaire d’un drame de bureau à suspense.

L’art du chuchotement stratégique

Les membres des comités de potins sont de véritables artistes du chuchotement stratégique. Ils maîtrisent l’art de la discrétion tout en partageant des nouvelles plus rapidement qu’une mise à jour logicielle. Ces maîtres du mystère sont les gardiens des secrets de bureau. Cependant, ils ont aussi la responsabilité de les partager avec le monde.

Conseils pour rejoindre le comité

Si vous vous sentez exclu du comité de potins, ne désespérez pas. Il y a de l’espoir pour vous aussi. Suivez ces conseils pour devenir un membre honoré du club :

Affûtez vos compétences d’espionnage :

Soyez discret. écoutez attentivement aux portes des bureaux ou prétendez être absorbé par la machine à café tout en écoutant les conversations.

Développez une expressivité faciale neutre :

Vous ne voulez pas éveiller les soupçons lorsque vous entendez une nouvelle choquante. gardez votre poker face prêt.

Partagez des anecdotes insignifiantes :

Commencez par partager des faits anodins sur votre propre vie pour établir la confiance. ensuite, glissez subtilement des détails croustillants sur vos collègues.

Alors, la prochaine fois que vous serez tenté de contourner le service informatique pour des ragots de couloir, rappelez-vous que vous êtes peut-être en train de rejoindre les rangs prestigieux des comités de potins au bureau. Parce que, après tout, le rire au travail est encore meilleur quand il est partagé autour d’une bonne vieille rumeur de bureau.

Comment gérer la trésorerie de manière proactive pour maximiser les rendements ?

La trésorerie, souvent décrite comme le nerf de la guerre d’une entreprise, est l’élément vital qui permet à une entreprise de fonctionner en toute fluidité. Cependant, gérer la trésorerie de manière proactive va au-delà de la simple survie financière. Il s’agit, en effet, d’un levier puissant pour maximiser les rendements et catalyser la croissance. Découvrons comment les entrepreneurs peuvent exploiter cette ressource cachée avec stratégie.

Prévision précise des flux de trésorerie

La première étape pour une gestion proactive de la trésorerie est une prévision précise des flux de trésorerie. Anticipez les entrées et sorties d’argent avec précision sur une période donnée. Utilisez des outils de gestion financière et ajustez régulièrement vos prévisions en fonction des changements dans l’environnement économique et commercial. Insérez absolument toutes vos entrées et sorties en n’oubliant pas les charges par exemple. Votre tableau doit être le plus exhaustif possible. Vous pouvez également penser à décaler d’un mois vos prévisions afin de gérer les retards de paiements.

Optimisation des délais de paiement et d’encaissement

Gérer les délais de paiement et d’encaissement peut avoir un impact significatif sur la trésorerie. Négociez des termes de paiement avantageux avec vos fournisseurs tout en encourageant des conditions de paiement plus rapides de la part de vos clients. Cela peut libérer des liquidités et optimiser votre cycle de trésorerie.

Investissement stratégique des excédents de trésorerie

Lorsque des excédents de trésorerie se produisent, ne les laissez pas dormir inutilisés. Recherchez des opportunités d’investissement stratégique. Cela peut inclure des investissements à court terme, des comptes à intérêt élevé ou d’autres instruments financiers qui génèrent un rendement tout en restant suffisamment liquides pour répondre aux besoins opérationnels. Pensez à varier le type d’investissement suivant sa liquidité.

Renégociation des conditions bancaires

Les conditions bancaires peuvent être une source significative d’économies et de rendements supplémentaires. Engagez des discussions avec vos banquiers pour négocier des frais réduits, des taux d’intérêt plus avantageux sur les prêts et des conditions de découvert plus flexibles. Une relation bancaire solide peut apporter des avantages financiers substantiels.

Diversification des sources de financement

La dépendance à une seule source de financement peut limiter les options et augmenter les coûts. Diversifiez vos sources de financement en explorant des alternatives telles que le financement participatif, les prêts à faible coût, ou les partenariats stratégiques. Cela peut accroître la flexibilité financière et minimiser les risques.

Utilisation d’outils technologiques de gestion de trésorerie

Les outils technologiques peuvent être des alliés puissants dans la gestion proactive de la trésorerie. Les logiciels de gestion de trésorerie automatisent les processus, fournissent des analyses en temps réel et aident à identifier les zones d’optimisation. L’automatisation libère du temps et réduit les erreurs humaines.

La trésorerie, reste considérée comme une ressource sous-estimée par bon nombre de porteurs de projet. Elle peut se révéler une source de puissance financière lorsque gérée de manière proactive. Une gestion avisée de la trésorerie transcende la simple survie financière pour permettre à une entreprise de prospérer et de saisir les opportunités qui se présentent.

Les facteurs influençant la valorisation de l’entreprise

La valeur d’une entreprise n’est pas fixe et de nombreux facteurs l’influencent. Focus sur les principaux facteurs influençant la valorisation de l’entreprise.

Performances financières

Les performances financières d’une entreprise sont l’un des facteurs les plus importants influençant sa valorisation. Les investisseurs et les évaluateurs examinent de près des indicateurs clés tels que les revenus, les bénéfices, la croissance des bénéfices, la marge bénéficiaire, le flux de trésorerie et la dette. Une entreprise en croissance rapide avec des bénéfices solides aura généralement une valorisation plus élevée qu’une entreprise en difficulté financière. La stabilité des performances au fil du temps est à prendre en compte.

Évaluation des flux de trésorerie

L’évaluation des flux de trésorerie est une méthode courante de valorisation des entreprises. Elle se fonde sur l’idée que la valeur d’une entreprise réside dans sa capacité à générer des flux de trésorerie futurs. Pour estimer cette valeur, les analystes projettent les flux de trésorerie futurs attendus. Puis, ils les actualisent pour tenir compte de la valeur temporelle de l’argent. Il existe plusieurs techniques d’évaluation des flux de trésorerie. On pensera notamment la méthode de la valeur actuelle nette (VAN) et la méthode du taux de rendement interne (TRI). Ces méthodes permettent de déterminer la valeur actuelle de l’ensemble des flux de trésorerie futurs attendus.

Actifs et passifs

La composition des actifs et des passifs, comme nous l’avons vu dans les méthodes, peut s’utiliser pour la valorisation. Les actifs incluent non seulement les biens tangibles tels que les équipements, les propriétés et les stocks, mais aussi les actifs intangibles tels que les brevets, les marques et les logiciels. Les passifs, y compris les dettes et les obligations financières, sont également pris en compte. Une entreprise avec des actifs importants et des passifs réduits a tendance à avoir une valorisation plus élevée. Cependant, la qualité des actifs et leur liquidité sont en outre des considérations importantes.

Actifs tangibles et intangibles

Les actifs tangibles comprennent des éléments physiques tels que les biens immobiliers, les équipements, les stocks et les véhicules. Ces actifs sont relativement faciles à évaluer. En effet, leur valeur peut être déterminée sur la base de leur état, de leur âge et de leur utilité.
D’un autre côté, les actifs intangibles sont plus difficiles à évaluer car ils ne sont pas physiques. Ils comprennent des éléments tels que les brevets, les marques de commerce, les droits d’auteur, la clientèle, la réputation de l’entreprise et les logiciels. Les actifs intangibles peuvent représenter une part non négligeable de la valeur d’une entreprise. Ceci, en particulier dans les industries axées sur la technologie et la propriété intellectuelle. Évaluer ces actifs nécessite souvent des méthodes plus complexes, telles que l’actualisation des flux de trésorerie futurs générés par ces actifs.

Secteur d’activité

Le secteur d’activité dans lequel une entreprise opère peut fortement influencer sa valorisation. Certains secteurs, tels que la technologie, la santé ou l’énergie, sont généralement considérés comme plus attractifs pour les investisseurs. Cela peut générer des valorisations plus élevées. La croissance potentielle du marché, la concurrence et les tendances sectorielles ont un impact sur la perception de la valeur d’une entreprise. Les entreprises opérant dans des secteurs en expansion ou à la pointe de l’innovation ont tendance à être valorisées plus favorablement.

Position concurrentielle

La position concurrentielle d’une entreprise sur le marché est un facteur clé de valorisation. Les entreprises qui ont une part de marché significative, une clientèle fidèle et des avantages concurrentiels, comme des brevets ou une expertise unique, sont souvent valorisées plus favorablement. La capacité d’une entreprise à maintenir ou à renforcer sa position concurrentielle est aussi prise en compte. Les barrières à l’entrée pour de nouveaux concurrents et le degré de concurrence dans le secteur sont des éléments clés.

Équipe de direction

L’équipe de direction d’une entreprise joue un rôle important dans la valorisation. Les investisseurs évaluent la qualité du leadership, l’expérience et la capacité de gestion de l’équipe dirigeante. Une équipe solide inspire confiance et contribue à une valorisation plus élevée. Les antécédents et les compétences clés des membres de l’équipe, de même que leur capacité à exécuter la stratégie de l’entreprise, sont pris en compte.

Croissance future

Les perspectives de croissance future d’une entreprise sont un facteur clé de valorisation. Les investisseurs cherchent à évaluer le potentiel de croissance de l’entreprise, y compris sa capacité à développer de nouveaux marchés, à innover et à augmenter ses revenus et ses bénéfices. Les entreprises avec des plans de croissance solides sont davantage valorisées. Les prévisions de croissance, les investissements dans la recherche et le développement, et les opportunités d’expansion sont des éléments importants pour cette évaluation.

Environnement économique et réglementaire

L’environnement économique et réglementaire dans lequel une entreprise évolue peut influencer sa valorisation. Les changements dans les réglementations, les taux d’intérêt, les conditions économiques globales et les tendances du marché peuvent avoir un impact sur la valorisation de l’entreprise. Les entreprises qui opèrent dans des environnements stables et favorables sur le plan réglementaire ont tendance à être mieux valorisées.

Conjoncture du marché

La conjoncture du marché a un impact significatif sur la valorisation des entreprises. Les cycles économiques, les fluctuations boursières et l’appétit des investisseurs pour différents secteurs ou types d’actifs peuvent entraîner des variations importantes de valorisation. Les périodes de boom économique peuvent générer des valorisations plus élevées, tandis que les périodes de récession ou d’incertitude peuvent avoir un impact négatif sur la valorisation.

Risques et volatilité

Les risques associés à une entreprise influent sur sa valorisation. Les investisseurs et les évaluateurs évaluent les risques liés à l’industrie, à l’entreprise elle-même et à l’environnement économique global. Plus l’entreprise est exposée à des risques, plus sa valorisation est susceptible d’être réduite.
La volatilité des revenus et des bénéfices, la dépendance à l’égard de quelques clients clés, les contraintes réglementaires, les risques opérationnels et les incertitudes du marché sont autant de facteurs qui peuvent accroître les risques d’une entreprise. Une évaluation rigoureuse des risques est essentielle pour obtenir une estimation précise de la valorisation.
Vous connaissez désormais les facteurs qui peuvent faire évoluer votre valorisation. Il n’y a plus qu’à essayer de les travailler.

Entreprises : 5 étapes pour vous réinventer au quotidien

L’accélération technologique fulgurante se synchronise avec une profonde crise de civilisation. Ainsi, l’entreprise est face à un choix : résister ou se réinventer ? Personne ne peut désormais ignorer que nous sommes entrés, comme la société de manière générale, dans une ère disruptive. Voici 5 étapes pour vous réinventer au quotidien.

Créer une marque puissante et la faire partager

À l’ère du Digitale et de l’IA, vous devez développer une communication virale. Celle-ci implique tous les acteurs (clients, fournisseurs, collaborateurs, leaders d’opinion). À ce titre, les premiers peuvent être vos collaborateurs qui utilisent les réseaux sociaux comme Linkedin et X (Ex-Twitter.) De manière idéale, il vous faudra valider avec eux et avec leur accord la manière dont ils présentent votre entreprise et leur poste pour affirmer votre image de manière cohérente.

Se différencier et préciser son périmètre de valeurs

Ceci impose à l’entreprise une transparence et une authenticité nouvelle, mais aussi un alignement parfait de son projet d’entreprise (gouvernance, communication corporate, stratégie marketing, politique RH…). Aujourd’hui une entreprise ne s’enferme plus dans un modèle (industrie, distribution, services…). Elle doit dépasser le cadre de ses savoir-faire historiques et se centrer sur les usages de ses clients/consommateurs. Elle doit également affirmer sa politique RH. Aussi, il faut rédiger de manière claire et différente ses besoins en personnel salariés et stagiaires.

S’inscrire dans un projet collectif et être à l’écoute de ses salariés

Les aspirations des collaborateurs évoluent : les salariés, comme les citoyens ou les consommateurs poursuivent une quête de sens qui questionne en profondeur l’Entreprise, son projet, son mode d’organisation, ses rituels de management.

4 thèmes sur lesquels les collaborateurs expriment des attentes fortes

1/ S’investir pour une finalité 

Refusant le syndrome de « l’avoir » compulsif et de l’accumulation des résultats, les salariés veulent s’inscrire dans un projet collectif qui les dépasse. Il faut une cause à défendre ou partager une vision du monde.

2/ Construire des relations plus humaines 

Cherchant à s’extraire de la logique du « paraître », de la virtualisation relationnelle, les collaborateurs cherchent à adhérer à une communauté. Celle-ci favorise des relations et comportements humains de qualité, un climat de confiance et où l’on sait accueillir et promouvoir la diversité des parcours, différentes personnalités et la richesse des idées.

3/ Être reconnus en tant que personnes 

Être attentif au respect que l’on manifeste pour la contribution individuelle et créative, l’équilibre de la vie personnelle et leur employabilité à long terme.

4/ Pouvoir ancrer dans le travail chaque personne et l’aider à se structurer par l’acte de travail.

Face à la virtualisation de nombreuses tâches et des organisations il est de plus en plus difficile de comprendre concrètement la contribution de chacun à l’œuvre collective. Toute initiative visant à favoriser l’apprentissage d’un métier, à valoriser l’acquisition de compétences et à informer chaque collaborateur de sa contribution réelle favorise alors l’implication et l’engagement.

Répondre à sa responsabilité sociétale

Dans ce monde en perte de repères, l’entreprise est devenue un des principaux lieux de sociabilisation. Elle est perçue comme le recours privilégié pour tisser des liens. Mais aussi, pour recréer du sens, favoriser certaines formes de réalisation personnelle, voire organiser la société.

Comme aimait à le préciser Cyril Claviez Homberg Fondateur de l’Atelier en Bonne Compagnie et spécialisé dans la Stratégie de Marques « L’entreprise se conçoit trop souvent comme un espace prédateur où il faut accumuler le maximum de richesses dans un délai limité ; or, il faut penser l’entreprise comme un processus humain, un processus historique. Le dirigeant doit accompagner ce processus avec humilité et ne pas se prendre pour un demi-dieu »

Faire évoluer en permanence sa finalité

La « maison entreprise » suppose la recherche d’une finalité qui permet à chacune et chacun de se sentir l’élément constitutif de quelque chose qui le dépasse.

Pour cela il devient capital d’associer tous les collaborateurs à la recherche de nouvelles solutions (produits et/ou services), à de nouvelles organisations, à de nouveaux moyens de communication.

Il faudra savoir valoriser toute initiative. Et, surtout, ne pas remettre en cause celles et ceux dont les idées ne sont pas cette fois ci retenues.

La technique de « la garantie de satisfaction » 

Une stratégie émerge comme une arme secrète pour conquérir le cœur des consommateurs : la « garantie de satisfaction totale ». Cette approche révolutionnaire va au-delà de la simple garantie de remboursement en offrant une expérience client sans risque. Elle incite ainsi les consommateurs à plonger dans l’inconnu en toute confiance.

L’engagement inébranlable envers la satisfaction client

La « garantie de satisfaction totale » va bien au-delà des promesses habituelles. Elle affirme l’engagement inébranlable d’une entreprise envers la satisfaction de ses clients. Il s’agit de déclarer haut et fort que si le client n’est pas entièrement satisfait, l’entreprise est prête à tout pour remédier à la situation. Imaginez pouvoir essayer un produit ou un service sans la moindre hésitation, sachant que si cela ne répond pas à vos attentes, une solution rapide et satisfaisante sera proposée. C’est précisément l’invitation que la « garantie de satisfaction totale » offre aux consommateurs — une opportunité d’essayer sans risque.

Cette stratégie n’est pas réservée à un secteur particulier. Des entreprises de technologie aux services en ligne, en passant par les produits de bien-être, elles reconnaissent toutes l’impact positif de la garantie totale sur la perception de leur marque.

Le pouvoir de la tranquillité d’esprit

Or, l’incertitude est l’un des plus grands freins à l’achat. La « garantie de satisfaction totale » abaisse cette barrière en offrant aux consommateurs la tranquillité d’esprit. Cela transforme l’acte d’achat en une expérience sans stress, créant ainsi une relation de confiance dès le départ. Des entreprises innovantes dans divers secteurs ont déjà adopté cette stratégie, et les résultats parlent d’eux-mêmes. Non seulement elle stimule les ventes en attirant de nouveaux clients, mais elle renforce également la fidélité en créant des clients satisfaits et confiants.

La garantie totale : un engagement envers l’excellence

Il ne s’agit pas d’une simple garantie et c’est plus qu’une simple politique commerciale. C’est un engagement envers l’excellence. Les entreprises qui adoptent la « garantie de satisfaction totale » se positionnent comme des leaders soucieux de la qualité et prêts à tout pour maintenir des normes élevées.

Le processus de satisfaction : un avantage compétitif indéniable

Au-delà de la simple acquisition de clients, la « garantie de satisfaction totale » offre un avantage compétitif indéniable. Les entreprises qui mettent l’accent sur la satisfaction client dépassent les attentes, créant une base de clients engagés et prêts à devenir des ambassadeurs de la marque.

Quelques conseils pour la mettre en pratique 

1/ Plateformes d’évaluation et de témoignages 

Utilisez des plateformes d’évaluation et de témoignages pour recueillir les retours d’expérience des clients satisfaits. Les avis positifs renforcent la crédibilité de votre garantie et rassurent les nouveaux clients.

2/ Programmes de récompenses pour la satisfaction 

Mettez en place des programmes de récompenses pour les clients qui expriment leur satisfaction. Cela encourage la fidélisation et crée une dynamique positive autour de votre garantie.

3/ Formation du personnel à la résolution de problèmes 

Formez votre personnel à la résolution rapide des problèmes. Une équipe bien préparée peut transformer une situation insatisfaisante en une expérience positive, renforçant ainsi la confiance des clients.

4/ Suivi proactif de la satisfaction client et personnalisation

Mettez en place des enquêtes de satisfaction régulières pour anticiper les problèmes potentiels. Un suivi proactif permet d’identifier et de résoudre les problèmes avant qu’ils ne deviennent des sources de mécontentement. Aussi, personnalisez l’expérience client en fonction des retours d’expérience. Utilisez les données de satisfaction pour adapter vos produits, services ou processus en fonction des besoins spécifiques de vos clients.

5/ Outils d’analyse de la satisfaction client 

Intégrez des outils d’analyse de la satisfaction client pour évaluer les tendances, identifier les points forts et les points faibles de votre garantie, et apporter des améliorations continues.

6/ Réactivité sur les réseaux sociaux 

Soyez réactif sur les réseaux sociaux pour répondre rapidement aux commentaires, qu’ils soient positifs ou négatifs. Cela montre votre engagement envers la satisfaction client et peut influencer positivement l’image de votre entreprise.