Accueil Blog Page 240

Top 10 techniques de négociation pour des accords gagnant-gagnant

La négociation est un art complexe dans le monde des affaires, et la quête d’accords gagnant-gagnant est la base de cette discipline. Découvrez les dix techniques de négociation qui vous permettront de parvenir à des accords mutuellement bénéfiques, où toutes les parties sortent victorieuses.

1/ Comprendre les intérêts de toutes les parties

La première étape vers un accord gagnant-gagnant est la compréhension des intérêts de chaque partie impliquée. Explorez les besoins, les motivations et les préoccupations de toutes les parties pour identifier des solutions qui répondent aux attentes de chacun. Une compréhension approfondie des intérêts mutuels crée une base solide pour une négociation réussie. Cela favorise des accords durables et bénéfiques à toutes les parties concernées.

2/ Écouter activement et faire preuve d’empathie

L’écoute active est une compétence clé en négociation. Écoutez attentivement les perspectives des autres parties, et démontrez de l’empathie en comprenant leurs points de vue. Cela crée un climat de confiance propice à la recherche de solutions mutuellement avantageuses. En faisant preuve d’empathie, vous établissez des relations positives et renforcez la collaboration. Vous créez ainsi un environnement propice à des négociations fructueuses.

3/ Fixer des objectifs communs

Identifiez des objectifs communs qui peuvent être la base de l’accord. En définissant des objectifs partagés, les parties créent un terrain d’entente et sont plus enclines à collaborer pour atteindre des résultats mutuellement bénéfiques. La fixation d’objectifs communs établit une vision partagée. Elle facilite la coopération et l’alignement des intérêts pour un accord global réussi.

4/ Éviter les positions rigides

Au lieu de se concentrer sur des positions rigides, concentrez-vous sur les intérêts sous-jacents. Les positions peuvent souvent être négociées, tandis que les intérêts fondamentaux sont plus flexibles. Cela ouvre la voie à des compromis créatifs. En adoptant une approche centrée sur les intérêts, vous favorisez la flexibilité et la créativité. Ainsi les négociations peuvent devenir plus dynamiques et adaptatives.

5/ Rechercher des options gagnant-gagnant

Explorez des solutions qui répondent aux intérêts de toutes les parties. Cherchez des compromis créatifs et des options qui maximisent les gains pour chaque partie, plutôt que de simplement diviser les concessions. La recherche d’options gagnant-gagnant stimule l’innovation et conduit à des accords plus satisfaisants pour toutes les parties impliquées.

6/ Savoir quand céder pour mieux gagner

La flexibilité est essentielle. Soyez prêt à céder sur des éléments moins importants pour vous afin de favoriser des accords gagnant-gagnant sur certains points. Cela démontre une volonté de coopération et facilite la construction de relations à long terme. Savoir quand céder stratégiquement renforce la confiance et contribue à une résolution efficace des différends.

7/ Établir une atmosphère collaborative

Favorisez une atmosphère de collaboration plutôt que de confrontation. Créez un environnement où toutes les parties se sentent en sécurité pour exprimer leurs besoins et idées, encourageant ainsi une négociation ouverte et constructive. L’établissement d’une atmosphère collaborative encourage la libre expression des idées, facilitant ainsi la coopération et la recherche de solutions mutuellement bénéfiques.

8/ Utiliser la communication non-verbale à bon escient

La communication non-verbale joue un rôle crucial dans la négociation. Soyez conscient de votre langage corporel et de celui des autres. Une communication non-verbale positive renforce la confiance et favorise une atmosphère propice à des accords gagnant-gagnant. L’utilisation judicieuse de la communication non-verbale renforce la compréhension mutuelle et contribue à une communication efficace.

9/ Savoir gérer les conflits constructivement

Les conflits sont inévitables en négociation, mais leur gestion peut faire la différence. Abordez les conflits de manière constructive, en recherchant des solutions plutôt qu’en alimentant la confrontation. Les conflits bien gérés peuvent conduire à des accords plus solides. La gestion constructive des conflits renforce la résilience des relations et conduit à des résultats positifs lors des négociations.

10/ Faire preuve de patience et de persévérance

La négociation peut être un processus complexe et parfois long. Faites preuve de patience et de persévérance pour surmonter les obstacles. Cela montre votre engagement envers un résultat mutuellement bénéfique. La patience et la persévérance sont des atouts essentiels pour naviguer à travers les défis de la négociation. Vous démontrez ainsi une détermination à atteindre des accords durables et équitables.

Moi, manipulateur ?

Et si vous étiez un manipulateur, vous le sauriez ? Pas si sûr. Et si vous aviez le pouvoir de manipuler, comment vous vous en serviriez ? Comment rendre conscient ce pouvoir ? Approfondissons ! 

Manipuler qu’est-ce que c’est ? 

Manipuler, c’est s’arranger pour que quelqu’un fasse ou dise quelque chose, sans qu’elle ne soit au courant de notre intention, et en ne prenant en compte que notre intérêt et non le sien. Étymologiquement, cela vient des mots « manipulus » (poignée) et « manus » (main). D’où le fait que pour certains, manipuler n’est pas une action relevant d’une intention cachée, qui se fait au détriment de qui que ce soit.

Du coup la question pour vous, c’est : « Est-ce qu’il m’arrive d’influencer les autres, en dissimulant mon intention (activement ou par omission) et en ignorant, sciemment ou non, l’intérêt de l’autre ? ». La réponse n’est pas forcément celle qu’on aimerait entendre !

Lorsque vous ressentez une pulsion à répondre, que vous ressentez une émotion négative face à la question qu’on vous pose, comme celle de parler ou de répondre trop vite, que vous camouflez quelque chose, que vous avez envie de raconter une petite histoire parce qu’elle est, en apparence, plus confortable, à vous ou à la personne que vous avez en face, alors vous êtes vraisemblablement en train de manipuler. Et pourtant, peut-être, dans le fond, saviez-vous déjà, que vous pourriez faire plus efficace.

Explications sur la manipulation

Dans le cas de la manipulation, 80 % du choix d’une personne va reposer sur la manière dont on va lui présenter les choses et 20% sur la réalité. On remarquera que ce procédé est valable aussi bien pour la boulangerie en bas de chez vous qu’un appel d’offre de plusieurs dizaines de millions d’euros. Autrement dit, même si dans la réalité, d’autres options pourraient être plus intéressantes comme acheter le produit d’un de vos concurrents ou ne rien acheter, vous pouvez quand même provoquer l’envie d’acquérir votre produit ou service. Par exemple, les écrans publicitaires sont remplis de produits qui ne sont pas forcément les meilleurs mais qui se vendent très bien.

Aimez votre produit et assumez

Si vous pensez que vous avez besoin de « mentir » pour vendre, vous allez d’une part, vous trahir inconsciemment et rater une bonne partie des ventes possibles. D’autres part, vous allez mettre en doute des dynamiques qui vont vous affecter psychologiquement durablement (confiance en vous, bien-être, capacité à connecter avec les autres…)
Contrairement à la légende urbaine, vous vendrez plus en assumant sincèrement votre faillibilité et vos éventuelles lacunes et en apprenant à les surmonter.

En dix-sept ans dans la vente, nous avons croisés bien plus de manipulateurs que nous n’aimerions nous en rappeler. Mais nous avons aussi constaté systématiquement que le champion de vente arrive à vendre bien plus et bien plus souvent, en assumant les défauts du produit ou du service, là où le manipulateur ne compte en fait que sur un léger surplus de vente, auprès de gens qui ont inconsciemment envie de se faire avoir ou qui sont inattentifs.

Les chiffres sont édifiants : Le « Jean-Claude Convenant » a vécu !

Si vous croyez que vous avez besoin de cacher un défaut, la personne en face va vous faire confiance et ne pas signer. Du coup, si vous savez comment relativiser ce défaut pour que la personne ait quand même envie de l’acheter, vous allez pouvoir le vendre en laissant la personne décider de son propre intérêt. Et vous serez tous les deux à l’aise avec le fait de signer.

C’est un travail qui ne demande pas forcément plus que quelques minutes, mais dont les résultats vont se faire ressentir dès demain. Pour vous, ce sera peut-être en faisant un trait d’humour en parlant du défaut du produit, en rappelant les bénéfices qu’il va tirer de votre solution ou encore en passant un véritable appel en interne pour répondre à une question.

Du moment que vous, vous êtes ok avec le fait de vendre, la personne en face, va avoir tendance à être ok avec le fait d’acheter.

Dans le cas des entrepreneurs

Et si vous êtes entrepreneur, vous-même, allez peut-être avoir un véritable travail à faire pour internaliser le fait que ce que vous proposez a un véritable intérêt pour la personne en face et que lui vendre, ce n’est pas forcement lui nuire. C’est comme pour la séduction : Séduire, c’est donner envie à l’autre avec une finalité qui est quand même agréable pour tout le monde et au sujet de laquelle on n’a pas besoin, à la base, de cacher son intention.

Il est triste de constater aujourd’hui qu’autant de gens croient qu’ils sont obligés de manipuler pour vendre plus.  Il est également triste que des secteurs entiers souffrent d’une image négative à cause de généralisation de pratiques qui sont manipulatoires et qui sont loin d’être les plus efficaces dans l’absolu. Et Il est triste que votre société soufre maintenant, à votre insu, pour quelques clients signés par manipulation, de dizaines d’opportunités ratées à cause de l’invisible impact dissuasif de ces mêmes pratiques manipulatoires.

En vous posant régulièrement la question, vous allez identifier de plus en plus rapidement vos propres tendances manipulatoires et vous allez pouvoir les corriger de vous-mêmes instantanément.

Au début de l’article nous vous avons demandé ce que vous feriez si vous aviez le pouvoir de manipuler. Nous vous avons donné mieux : le pouvoir de ne pas manipuler. Vous vous sentirez mieux et vous vendrez mieux.

Comme disait Benjamin Franklin, cité par l’oncle de Spiderman, « à un grand pouvoir échoit une grande responsabilité ». En l’occurrence, quel que soit le degré auquel vous vous sentez responsable de l’intérêt des personnes auxquelles vous parlez : rappelez-vous que ce pouvoir de ne pas manipuler est celui qui sert le mieux vos intérêts.

Les dilemmes liés à l’amitié sur les réseaux sociaux avec des collègues

Ah, les réseaux sociaux, ces endroits magiques où l’on peut partager nos vies, nos passions, et accessoirement nos photos de chat. Mais que se passe-t-il lorsque la frontière entre la sphère professionnelle et personnelle se transforme en une zone de conflit ? Voici quelques dilemmes liés à l’amitié sur les réseaux sociaux avec nos chers collègues.

L’invitation à être ami(e) : un choix cornélien

Vous venez de recevoir une demande d’ami de la part de votre collègue de la compta. Panique à bord ! Accepter, c’est risquer de partager votre amour pour les gifs à gogo. Refuser, c’est peut-être créer un climat de tension dans la salle de pause. « Dois-je devenir amis avec le gardien de mes secrets professionnels ? » se demande-t-on en scrutant le bouton « Accepter » avec suspicion.

Le conseil de la rédaction : Acceptez avec précaution. Vous ne voulez pas que votre collègue découvre que vous avez liké son statut sur la « Fête du Slip » pendant la réunion du conseil.

La gestion des étiquettes : ami, connaissance, ou collègue ?

Les réseaux sociaux, ces royaumes du classement social virtuel ! La grande question se pose : « Est-ce que je marque mon collègue comme ami, connaissance, ou collègue ? » C’est un peu comme choisir entre le plat du jour, le menu à la carte, ou le buffet à volonté. Et que dire de la pression quand vous êtes la première personne à choisir ?

Le conseil de la rédaction : Soyez stratégique. Un collègue en « connaissance » peut être passé sous silence lors des discussions sur les photos de la dernière soirée arrosée.

Le partage des publications : entre l’overdose et la discrétion

Votre collègue vient de partager son vingtième article sur « Comment être plus productif au travail » ? À ce stade, vous vous demandez si vous ne devriez pas désactiver les notifications. Mais attention, ne pas aimer du tout peut être interprété comme un manque de soutien. C’est un dilemme digne des plus grandes tragédies shakespeariennes.

Le conseil de la rédaction : Alternez entre des likes discrets et des commentaires génériques du style « Super intéressant ! », pour donner l’impression que vous avez réellement lu l’article.

Les anecdotes des réunions virtuelles : quand les animaux domestiques s’invitent

Les réunions virtuelles, ces moments où la frontière entre vie professionnelle et vie personnelle s’amincit. Les animaux domestiques, ignorants des protocoles de réunion, font parfois des apparitions surprise à l’écran. Que faire lorsque votre chat décide de faire une sieste sur votre clavier pendant une présentation cruciale ?

Le conseil de la rédaction : Souriez et embrassez l’imprévu. Les animaux domestiques peuvent être les vedettes inattendues de vos réunions virtuelles, apportant une touche de légèreté et de spontanéité.

Naviguer dans les eaux troubles de l’amitié virtuelle avec les collègues peut être un parcours semé d’embûches, mais n’oublions pas de prendre du recul et de rire de ces dilemmes. Après tout, si vous pouvez survivre à une demande d’ami de votre chef, vous pouvez survivre à n’importe quoi ! Alors, amis, connaissance, ou collègues virtuels, que la comédie sociale continue sur la scène des réseaux sociaux !

Comment élaborer une stratégie de migration vers le cloud en toute sécurité ?

La migration vers le cloud est devenue une étape incontournable pour les entreprises cherchant à optimiser leur agilité, leur flexibilité et leur efficacité opérationnelle. Cependant, cette transition doit être menée avec une planification minutieuse, en particulier en matière de sécurité. Voyons ensemble les étapes essentielles pour élaborer une stratégie de migration vers le cloud en toute sécurité.

1/ Évaluation de l’infrastructure et des applications 

Avant de plonger dans le processus de migration, il est impératif d’effectuer une évaluation complète de votre infrastructure existante et de toutes les applications vont se transférer vers le cloud. Cela inclut l’identification des composants critiques, des dépendances et des exigences en matière de performance. Une analyse en profondeur garantit que rien ne sera laissé au hasard. Vous vous assurez ainsi d’avoir une transition fluide.

2/ Choix du modèle de cloud approprié 

Il existe différents modèles de cloud, du cloud public au cloud privé en passant par le cloud hybride. Chaque modèle a ses avantages et ses inconvénients en termes de sécurité. Le choix dépendra de la nature de vos données et des exigences de conformité de votre secteur d’activité. Une évaluation minutieuse des avantages et des compromis de chaque modèle est essentielle pour une adéquation parfaite.

3/ Sécurisation des données sensibles 

La sécurité des données est une préoccupation majeure lors de la migration vers le cloud. Assurez-vous d’utiliser des méthodes de cryptage robustes pour protéger les données sensibles pendant le transfert et lorsqu’elles se stockent dans le cloud. Utiliser des solutions de gestion des clés appropriées est également essentiel. Garantir la confidentialité des données devient non seulement une priorité, mais aussi un gage de confiance pour vos clients et partenaires.

4/ Sélection d’un fournisseur de services cloud fiable

Le choix du fournisseur de services cloud est une décision cruciale. Optez pour un fournisseur renommé, offrant des garanties de sécurité et de disponibilité. Assurez-vous de comprendre les responsabilités partagées en matière de sécurité entre vous et le fournisseur de services cloud. La confiance dans votre fournisseur de cloud constitue la fondation sur laquelle repose votre infrastructure digitale.

5/ Mise en place d’une gestion des accès rigoureuse 

La gestion des accès est essentielle pour garantir que seules les personnes autorisées ont accès aux données et aux ressources dans le cloud. Utilisez des mécanismes d’authentification forte et mettez en place des politiques de gestion des identités et des accès (IAM) robustes. Une gestion des accès étroite assure une protection contre les menaces internes et externes.

6/ Surveillance et détection des menaces : la vigilance permanente

La surveillance en temps réel et la détection des menaces sont des composants clés de la sécurité dans le cloud. Utilisez des outils de surveillance avancés pour identifier et répondre rapidement à toute activité suspecte ou anormale. Une veille constante devient impérative pour anticiper les menaces et réagir de manière proactive.

7/ Mise en place de plans de continuité d’activité et de reprise après sinistre : prévoir pour mieux réagir

Les plans de continuité d’activité et de reprise après sinistre sont essentiels pour assurer la disponibilité continue des services en cas d’incident. Assurez-vous que vos données sont régulièrement sauvegardées et testez régulièrement vos plans de reprise pour garantir leur efficacité. Une préparation rigoureuse garantit une réaction rapide et efficace en cas d’événement inattendu.

La migration vers le cloud offre une multitude d’avantages, mais il est impératif de ne pas négliger la sécurité. Une approche proactive en matière de sécurité garantira que votre transition vers le cloud se déroule sans heurts et que vos données restent protégées. L’effort investi dans la planification et l’exécution sera récompensé par une présence réussie et durable sur la scène mondiale. 

Facteurs externes impactant la valorisation

Lors de la valorisation d’une entreprise, il est essentiel de reconnaître que de nombreux facteurs externes peuvent influencer sa valeur. Ces facteurs, qu’ils relèvent de l’économie, de la politique, de l’industrie, du marché ou de la réglementation, jouent un rôle clé dans la détermination de la valeur financière d’une entreprise. Quels sont les facteurs externes impactant la valorisation ?

Contexte économique et politique

Le contexte économique et politique constitue l’un des facteurs externes les plus influents sur la valorisation d’une entreprise. Les fluctuations économiques et les décisions politiques peuvent avoir un impact réel sur la santé financière de l’entreprise. Voici quelques éléments caractéristiques à considérer :

Cycle économique :

Les phases du cycle économique, telles que la croissance, la récession ou la stabilité, ont une répercussion directe sur les revenus et la rentabilité de l’entreprise. Une économie en croissance favorise généralement des valorisations plus élevées car elle stimule la demande des consommateurs et des investisseurs.

Politiques fiscales et réglementaires :

Les décisions politiques en matière de fiscalité et de réglementation peuvent influencer les coûts et les marges de l’entreprise. Des politiques fiscales favorables, telles que des réductions d’impôts, peuvent augmenter la rentabilité, tandis que des réglementations strictes peuvent avoir l’effet contraire en augmentant les charges et en limitant les marges bénéficiaires.

Taux de change et commerce international :

si l’entreprise est impliquée dans le commerce international, les variations des taux de change et les politiques commerciales internationales peuvent avoir une incidence réelle sur ses résultats financiers. Les fluctuations des devises étrangères peuvent influencer les coûts, les prix de vente et les marges bénéficiaires.

Tendances de l’industrie

Les tendances de l’industrie sont un autre facteur externe clé à prendre en compte lors de la valorisation d’une entreprise. L’évolution de l’industrie peut agir sur la croissance, la rentabilité et la compétitivité de l’entreprise.

Innovation technologique :

Les avancées technologiques peuvent perturber les industries existantes en introduisant de nouvelles solutions, de nouveaux modèles commerciaux ou de nouveaux concurrents. Les entreprises qui adoptent des innovations technologiques peuvent gagner en compétitivité, tandis que celles qui résistent aux changements technologiques peuvent perdre leur avantage concurrentiel.

Tendances de la demande des consommateurs :

Les changements dans les préférences des consommateurs, tels que l’essor des produits durables, des produits biologiques ou des services en ligne, peuvent orienter la demande pour les produits ou services de l’entreprise. Les entreprises qui anticipent ces tendances et s’y adaptent peuvent connaître une croissance plus rapide.

Concurrence :

Les mouvements de la concurrence, tels que l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché, la consolidation d’entreprises ou l’intensification de la concurrence, peuvent avoir une conséquence sur la part de marché et la rentabilité de l’entreprise. La dynamique concurrentielle peut influencer les marges bénéficiaires et la croissance des revenus.

Facteurs de marché

Les facteurs de marché, tels que l’offre et la demande des investisseurs, les tendances boursières et les cycles de marché, ont un impact direct sur la valorisation des entreprises.

Sentiment des investisseurs :

Les réactions émotionnelles des investisseurs aux événements du marché peuvent entraîner des fluctuations de prix tangibles. Le comportement irrationnel des investisseurs peut donner lieu à des bulles spéculatives ou à des crises boursières, ce qui peut peser négativement sur la valorisation. Aussi, il faut prendre en compte que le marché peut être affecté du jour au lendemain. On pensera notamment à la pandémie qui a fortement affecté les marchés.

Tendances du marché boursier :

Les tendances du marché, telles que les marchés haussiers ou baissiers, peuvent avoir un impact sur la perception de la valeur des entreprises. Les marchés haussiers ont tendance à favoriser des valorisations plus élevées, tandis que les marchés baissiers peuvent entraîner des valorisations plus faibles.

Disponibilité de financement :

Les conditions de financement, telles que les taux d’intérêt, l’accès au crédit et les investissements en capital-risque, influencent la capacité des entreprises à financer leur croissance. Des taux d’intérêt bas et une abondance de financement peuvent stimuler les investissements et la croissance des entreprises.

Facteurs réglementaires

Les facteurs réglementaires jouent un rôle crucial dans la valorisation, en particulier dans les secteurs fortement réglementés. Les changements dans les réglementations peuvent avoir un impact majeur sur les coûts, la conformité et la rentabilité de l’entreprise. Voici des aspects à prendre en compte :

Normes environnementales et de sécurité :

Les réglementations environnementales et de sécurité peuvent influencer les coûts de conformité, les investissements nécessaires pour se conformer aux normes, et les amendes potentielles en cas de non-conformité. Les entreprises qui négligent ces aspects peuvent faire face à des coûts inattendus et à des problèmes de réputation.

Réglementations sectorielles :

certains secteurs, tels que la santé, la finance et l’énergie, sont soumis à des réglementations spécifiques qui peuvent avoir une conséquence non négligeable sur les opérations et la rentabilité. Les entreprises de ces secteurs doivent surveiller de près les évolutions réglementaires et s’adapter en conséquence.

Risques légaux et contentieux :

Les litiges en cours ou potentiels peuvent avoir une répercussion considérable sur la valorisation de l’entreprise en raison des coûts juridiques, des amendes possibles et des risques pour la réputation. Les entreprises qui sont impliquées dans des litiges doivent évaluer l’incidence financière et stratégique de ces litiges sur leur valeur.

Le réseau relationnel : comment s’en créer un et l’entretenir dans le monde réel ?

Comme j’ai pu l’évoquer dans une précédente tribune « Le réseau relationnel : pourquoi s’en créer un dans le monde « réel » ? » : ce réseau relationnel ne se construit pas quand vous en avez besoin, mais bien en amont ! Une grande partie des succès professionnels s’explique par la capacité des dirigeants ou managers à créer une impression positive chez les autres. C’est pourquoi en complément d’une présence sur les réseaux sociaux, entretenir un réseau relationnel est fondamental.

Dans la construction d’un réseau relationnel et son développement, la majeure partie de votre réussite dépendra de votre capacité à rester en contact avec les personnes de celui-ci. Et cela nécessite du temps, de l’énergie et surtout une réelle ouverture aux autres.

1 – Sachez décomposer votre réseau relationnel en plusieurs « familles »

Après avoir inventorié tous les contacts de votre réseau, la seconde étape est de les répartir dans les « familles » qui vous conviennent. Par exemple, une « famille » pour vos proches, une pour vos contacts professionnels, une pour vos clients et vos prospects, et une dernière pour vos amis d’amis, à ne surtout pas négliger. À vous de définir vos familles comme bon vous semble !

2 – Pensez à bien définir le « statut » de chacune de vos relations

Dans l’entretien de votre réseau et sa consolidation, pour optimiser votre temps tout en conservant un grand nombre de relations, il est important de définir le « statut » de chacune de vos relations et d’intensifier ses actions en fonction :

  • Les relations que vous devez développer : vos clients et prospects ou tout autre contact purement professionnel avec qui il faut favoriser les occasions de rencontre, de contact, de suivi…
  • Les relations qui sont proches de vous ne nécessitant pas un intense entretien car déjà très présentes dans votre vie au quotidien : votre famille et vos amis
  • Les relations que vous ne connaissez pas encore bien : des personnes rencontrées lors d’un événement ou des amis d’amis, voire même des connaissances de la famille ou de votre réseau professionnel qui vous sont présentées. Dans ce cas précis il est toujours bon d’éveiller la curiosité en leur envoyant un message personnel pour prendre des nouvelles ou un message plus professionnel via l’envoi d’une newsletter ou d’une présentation de sa société.

3 – Développez votre « capital relationnel » avant de vouloir élargir votre réseau

Mettez le plus souvent possible en relation les personnes que vous connaissez afin de les aider à développer leur propre activité. En effet, la recommandation fait partie des fondamentaux qui interviennent efficacement dans le développement de son réseau.

Adoptez une attitude professionnelle en toutes circonstances : respect des engagements, recherche de solutions adaptées, courtoisie, ponctualité… Cette posture permet de construire votre réputation et incite vos interlocuteurs à rejoindre votre réseau, et donc d’enrichir votre capital relationnel.

L’enrichissement de ce capital relationnel est une compétence qui s’apprend et doit être entretenu au quotidien.

4 – Songez à proposer votre aide

Vous avez certainement des connaissances, voire une expertise dans un domaine pouvant être utile aux autres. N’hésitez pas, conseillez les autres, donnez-leur des recommandations.

Cherchez à vous entourer et à ajouter dans votre réseau des personnes pouvant vous tirer vers le haut, des personnes vous aidant à atteindre vos objectifs. Plus vous connaîtrez de personnes, plus vous aurez d’opportunités. Les autres seront souvent plus enclins à vous aider s’ils vous connaissent déjà et s’ils vous apprécient.

Il est dit qu’une relation est clairement établie quand il y a eu contact via au moins 3 moyens de communication différents. Cela peut être, par exemple, un échange par mail, une rencontre en face à face et un message sur un des réseaux sociaux. Votre réseau relationnel est une ressource mobilisable et comme dit Woody Allen : « 80 percent of success is just showing up » (80% du succès ne vient que du fait d’être présent).

La formation sur les biais inconscients : sensibiliser les employés 

La diversité et l’inclusion sont devenues des impératifs pour les entreprises aspirant à l’excellence. Cependant, un aspect souvent négligé de cette équation est la prise de conscience des biais inconscients. C’est dans cette optique que la formation sur les biais inconscients prend une importance croissante.

Le défi des biais inconscients

Les biais inconscients sont des préjugés automatiques qui influencent nos jugements et nos décisions de manière involontaire. Bien que souvent non intentionnels, ces biais peuvent avoir des conséquences significatives sur la manière dont les individus interagissent au sein d’une organisation. De la prise de décision à la gestion d’équipe, les biais inconscients peuvent influencer de nombreux aspects de la vie professionnelle. Pour aborder efficacement les biais inconscients, de plus en plus d’entreprises optent pour des programmes de formation visant à sensibiliser les employés à ces préjugés et à promouvoir une culture organisationnelle plus inclusive.

Les objectifs de la formation sur les biais inconscients

1. Sensibilisation :

Les programmes de formation visent d’abord à sensibiliser les employés à l’existence des biais inconscients. Comprendre que tout individu est susceptible d’avoir des préjugés inconscients est la première étape pour les atténuer.

2. Identification :

Les participants apprennent à identifier leurs propres biais inconscients. Cela nécessite une introspection honnête et un engagement envers le changement personnel.

3. Impact sur les décisions :

La formation explore comment les biais inconscients peuvent influencer les décisions professionnelles, de la sélection des candidats à la promotion des employés. En comprenant cet impact, les individus sont mieux équipés pour prendre des décisions équitables.

4. Création d’un environnement inclusif :

Les formations encouragent la création d’un environnement de travail inclusif, où chacun se sent valorisé et respecté indépendamment de ses caractéristiques personnelles.

5. Outils pour mitiger les biais :

les employés apprennent des techniques pour atténuer les effets des biais inconscients dans leurs décisions quotidiennes. Cela peut inclure des méthodes de recrutement plus objectives, des évaluations de performance équitables et une communication consciente.

Avantages tangibles de la formation

Investir dans la sensibilisation aux biais inconscients offre des avantages tangibles. Les entreprises qui adoptent ces programmes témoignent :

  • d’une amélioration de la diversité
  • d’une réduction des discriminations
  • d’une augmentation de la productivité grâce à une collaboration plus harmonieuse.

Quelques outils et astuces 

  • Outils d’évaluation personnelle : Intégrez des outils d’auto-évaluation permettant aux individus de découvrir leurs propres biais inconscients. Des questionnaires ou des exercices interactifs peuvent aider les participants à identifier leurs préjugés et à prendre conscience de leurs perspectives implicites.
  • Études de cas réalistes : Utilisez des études de cas réalistes dans lesquelles les participants peuvent examiner comment les biais inconscients ont pu influencer des décisions concrètes dans le monde professionnel. Cela renforce la compréhension pratique des implications des biais. 
  • Simulations de scénarios : Organisez des simulations de scénarios où les participants peuvent expérimenter directement l’impact des biais inconscients. Cela peut se faire par le biais de jeux de rôle ou d’exercices interactifs qui reproduisent des situations de travail typiques. 
  • Formation en ligne interactive : Utilisez des plateformes d’apprentissage en ligne interactives pour dispenser des cours sur la sensibilisation aux biais inconscients. Ces plateformes peuvent offrir des modules engageants, des vidéos, des quiz et des forums de discussion pour favoriser une participation active.
  • Programmes de Mentorat Inclusifs : Intégrez des programmes de mentorat qui favorisent la diversité et l’inclusion. Les relations mentorales peuvent aider à surmonter les préjugés en créant des opportunités pour un partage d’expérience authentique.
  • Tableaux de bord de suivi : Mettez en place des tableaux de bord de suivi pour mesurer l’impact de la formation sur les biais inconscients. Cela peut inclure des indicateurs tels que la diversité des recrutements, la satisfaction des employés et les progrès vers des objectifs d’inclusion.

Pour conclure

Sachez que rien ne vous empêche de mettre en place des forums de discussion réguliers.

Organisez des forums de discussion réguliers où les employés peuvent partager leurs expériences liées aux biais inconscients. Cela favorise une culture de transparence et encourage la réflexion continue sur ces questions.

Vous pouvez aller plus loin en l’intégrant dans les processus RH :

Intégrez les principes de sensibilisation aux biais inconscients dans les processus de ressources humaines tels que le recrutement, la promotion et l’évaluation des performances. Cela garantit une application constante des apprentissages dans les décisions organisationnelles.

Top 10 principes de gestion des ressources humaines

La gestion des ressources humaines est l’un des éléments les plus importants dans toute entreprise prospère. C’est la clé pour développer une équipe talentueuse, motivée et engagée. Voici le top 10 des principes de gestion des ressources humaines.

1/ Recrutement stratégique

Le recrutement est la première étape vers le succès. Adoptez une approche stratégique en identifiant les compétences et les traits de personnalité nécessaires pour chaque poste. Un processus de recrutement efficace garantit l’ajout de talents qui correspondent à la culture de l’entreprise. Adoptez une approche stratégique pour garantir que chaque recrutement contribue à la croissance et à la réussite de l’entreprise.

2/ Développement des compétences

Investissez dans le développement des compétences de vos employés. Des programmes de formation continue, des ateliers et des opportunités d’apprentissage permettent aux employés de croître professionnellement, tout en renforçant leurs compétences et leur engagement envers l’entreprise. Investissez de manière proactive dans le développement des compétences pour cultiver un personnel compétent et motivé.

3/ Communication ouverte

Une communication ouverte est essentielle. Établissez des canaux de communication clairs et encouragez la transparence. Une communication ouverte crée un environnement où les employés se sentent entendus et impliqués. Favorisez une communication ouverte pour renforcer la confiance, améliorer la collaboration et promouvoir un environnement de travail ouvert et inclusif.

4/ Culture d’entreprise positive

Cultivez une culture d’entreprise positive. Une culture qui valorise la diversité, la collaboration, et la reconnaissance renforce le moral des employés, stimule la productivité et favorise la rétention des talents. Cultivez activement une culture positive pour créer un environnement où les employés se sentent appréciés et encouragés à contribuer pleinement.

5/ Équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle

Promouvez un équilibre sain entre vie professionnelle et vie personnelle. Des politiques de travail flexibles, la possibilité de travailler à distance et des congés raisonnables contribuent à un environnement de travail durable. Favorisez un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle pour soutenir le bien-être des employés et favoriser une meilleure qualité de vie.

6/ Leadership inspirant

Un leadership inspirant est crucial pour motiver les équipes. Les leaders doivent montrer l’exemple, fournir des directives claires et encourager la collaboration. Un leadership fort crée une culture où les employés se sentent guidés et inspirés. Cultivez un leadership inspirant pour créer un environnement où l’innovation, la créativité et la collaboration prospèrent.

7/ Performance basée sur les objectifs

Adoptez une approche de gestion de la performance basée sur les objectifs. Définissez des attentes claires, fournissez un cet alignez les objectifs individuels sur les objectifs de l’entreprise pour maximiser la productivité. Adoptez une approche axée sur les objectifs pour optimiser la performance individuelle et collective.

8/ Récompenses et reconnaissance

La reconnaissance est une puissante incitation. Mettez en place des programmes de récompenses, que ce soit des primes, des avantages ou des récompenses symboliques, pour reconnaître les contributions exceptionnelles et encourager la motivation. Établissez des mécanismes formels de récompenses et de reconnaissance pour valoriser les performances exceptionnelles et renforcer la motivation des employés.

9/ Gestion proactive des conflits

Les conflits peuvent survenir, mais une gestion proactive est essentielle. Etablissez des processus pour résoudre rapidement les conflits, encouragez la communication ouverte et assurez-vous que chaque situation est traitée équitablement. Développez des stratégies proactives de gestion des conflits pour favoriser un environnement de travail harmonieux et résoudre les problèmes rapidement.

10/ Évaluation régulière de la satisfaction des employés

Évaluez régulièrement la satisfaction des employés. Des enquêtes, des entretiens individuels et des mécanismes de feedback permettent de détecter les problèmes potentiels et de mettre en place des initiatives d’amélioration continue. Effectuez régulièrement des évaluations de la satisfaction des employés pour identifier les domaines d’amélioration et maintenir un environnement de travail positif.

3 clefs pour réussir un brief créatif

Logotype, site internet, plaquette commerciale… vous vous apprêtez à confier votre nouveau projet à une équipe créative. Mais avez-vous suffisamment préparé votre brief créatif ? Comme dans toute collaboration, mettez toutes les chances de votre côté afin de permettre à votre agence de canaliser son énergie dans la bonne direction.

Donner un cadre 

La créativité se nourrit de contraintes. Cadrez et argumentez votre brief afin que les créatifs se fassent une idée claire de l’univers de votre marque, son histoire, son environnement, et de vos objectifs de communication. Il ne s’agit pas de restreindre mais au contraire de leur donner tous les éléments pour qu’ils orientent efficacement leurs recherches avec le meilleur de leur talent. Leurs propositions n’en seront que plus riches et vous éviterez de découvrir de superbes créations… Hors de propos dans votre univers.

Précisez le territoire dans lequel s’inscrit votre marque et la cible à laquelle vous vous adressez. On ne parle pas de la même manière à un acheteur de la distribution, un fan de marques de cosmétiques bio ou à un particulier en quête de réassurance.

Soyez précis, évitez les généralités

Le travail créatif réussi est avant tout le fruit d’un partenariat efficace entre le client et son agence. Styles, formes, codes couleurs, si vous avez des idées et une vision, évoquez- les. Partagez les créations d’autres secteurs qui vous paraissent intéressants. Vous ne voulez pas de bleu et vous auriez bien vu de l’orange ? Autant le préciser dès le départ, les créatifs l’intégrerons dans leur exploration.

Trop d’information tue l’information

Trop d’information peut étouffer la véritable essence de celle-ci. Il est essentiel de ne pas submerger votre agence sous une montagne de documents superflus et déconnectés. Ce qui compte vraiment, c’est la transmission d’objectifs clairs, bien structurés et étayés par des arguments solides.

Sachez décider et imposer vos choix

Il est impératif de savoir prendre des décisions et d’imposer vos choix. Souvent, les responsables de projets sollicitent l’avis de l’ensemble de leurs collègues, pensant que cela enrichira le processus. Cependant, dans la plupart des cas, les multiples et contradictoires modifications résultent en un compromis fade, dépourvu de toute originalité, laissant derrière lui une équipe créative désillusionnée.

Si votre brief initial est suffisamment précis et est respecté par votre équipe créative, il est essentiel d’être à l’écoute des avis, tout en ayant la capacité de prendre position et de défendre vos choix. C’est dans cette dynamique que réside la clé d’une collaboration fructueuse, où la créativité s’épanouit et les résultats dépassent les attentes. »

Si votre brief est suffisamment précis et respecté par votre équipe créative : sachez écouter les avis, mais aussi prendre parti puis défendre vos choix !

Quelques conseils pour bien réussir votre brief

1/ Commencez par une compréhension approfondie du projet.

Quels sont les objectifs à long terme et à court terme? Quelle est la vision globale? Plus vous comprenez le contexte, meilleures seront les directives que vous donnerez.

2/ Définir le public cible :

Identifiez clairement le public cible. La compréhension de l’audience permet de créer du contenu spécifiquement adapté à ses besoins, attentes et préférences.

3/ Clarifier les messages clés :

Définissez les messages que vous souhaitez transmettre. Quelles sont les idées principales ou les valeurs que le projet doit communiquer? Assurez-vous que ces messages soient cohérents avec la marque ou l’objectif global.

4/ Analyser la concurrence :

Jetez un coup d’œil à ce que font les concurrents. Cela peut aider à identifier les tendances du marché, à éviter la redondance et à trouver des moyens uniques de se démarquer.

5/ Fixer des contraintes et des échéances :

Enoncez clairement les contraintes telles que le budget, les délais, et d’autres limitations logistiques. Cela aide à définir les paramètres dans lesquels l’équipe créative doit travailler.

6/ Fournir des inspirations visuelles (le cas échéant) :

Des exemples visuels peuvent souvent être plus explicites que des descriptions verbales. Si possible, fournissez des exemples d’images, de vidéos, ou de designs qui illustrent la direction souhaitée.

7/ Encourager la créativité :

Laissez de la place à la créativité. Le brief ne doit pas être une prescription rigide mais plutôt une source d’inspiration. Encouragez les membres de l’équipe à apporter leurs idées et leur flair créatif.

8/ Établir des critères de succès mesurables :

Définissez des critères clairs pour évaluer le succès du projet. Cela peut inclure des objectifs quantitatifs ou qualitatifs, facilitant l’évaluation des résultats.

9/ Favoriser une communication ouverte :

Encouragez les questions et la clarification. Une communication ouverte dès le début du projet permet d’éviter les malentendus et de garantir que l’équipe a une vision claire.

Les conférences téléphoniques : Les situations comiques

Les conférences téléphoniques, ces joyaux de la communication moderne où le sérieux des affaires cohabite avec l’imprévu comique. Entre les bruits de fond rivalisant avec un orchestre symphonique et les micros muets transformant des discours en mimes involontaires, ces réunions virtuelles sont de véritables parcs d’attractions du rire professionnel. Installez-vous confortablement pour un tour de montagnes russes sonores et de micros farceurs !

Le concert spontané des bruits de fond

Vous êtes en plein exposé crucial, le ton assuré et les idées fusent. Quand, soudain, votre collègue se transforme en DJ clandestin avec une ambiance sonore digne d’un festival. Entre aboiements de chiens, sonneries de livraison et le bruit régulier d’un comparse en train de dévorer des chips, votre discours devient une véritable composition musicale. Les bruits de fond inattendus sont les nouveaux solos de guitare électrique des réunions virtuelles.

Les micros muets, maîtres de la disparition sonore

Ah, les micros muets, ces sorciers silencieux qui ont le don de transformer les leaders charismatiques en mimes du XXIe siècle. Vous parlez, vous vous exprimez, mais le monde ne vous entend pas. C’est comme un numéro de mime involontaire, où vous maîtrisez l’art de la communication sans dire un mot. Qui aurait pensé que la salle de réunion virtuelle serait le nouveau théâtre de l’absurde ?

Les connexions qui jouent à cache-cache

Les connexions instables, ces farceuses numériques qui transforment une conférence téléphonique en une partie de cache-cache virtuelle. Tout le monde figé en position de statue humaine, attendant que la connexion se décide à faire son grand retour. C’est comme une danse impromptue où chacun tente de rester gracieux en dépit des déconnexions. La prochaine fois que cela arrive, pourquoi ne pas lancer un défi : « Le dernier qui se connecte a perdu ! »

Les apparitions surprise des membres de la famille

Qui a dit que les conférences téléphoniques étaient réservées aux adultes ? Les enfants, les conjoints, et même les animaux de compagnie ont la fâcheuse tendance de s’inviter à tout moment. Imaginez-vous en train de discuter sérieusement d’une stratégie marketing. Quand, soudain, votre enfant débarque en criant : « Où sont les cookies ? ». Vous voilà propulsé dans un épisode de négociations parentales en direct, le tout devant un public de collègues ébahis.

Les faux départs inattendus

Les conférences téléphoniques sont parfois le théâtre de départs inattendus, comme si les participants jouaient à cache-cache avec le bouton « Quitter la réunion« . Soudain, un collègue disparaît, laissant tout le monde se demander s’il a été aspiré par un vortex virtuel ou s’il a simplement appuyé sur le mauvais bouton. Ces faux départs ajoutent une touche d’anticipation comique à chaque réunion, transformant le simple acte de partir en un suspense digne d’un thriller.

Les langues qui se délient après la fin officielle

Après l’annonce officielle de la fin de la conférence téléphonique, c’est souvent là que les langues se délient. Les participants qui pensaient être hors micro se lancent dans des commentaires hilarants, des anecdotes inattendues ou des réflexions spontanées. Ces moments post-réunion révèlent parfois un tout autre aspect de vos collègues, transformant la clôture formelle en un épilogue comique imprévu.

Les conférences téléphoniques sont le terrain de jeu idéal pour les amateurs de comédie du quotidien. Chaque réunion virtuelle est une aventure imprévisible. Alors la prochaine fois que vous vous retrouverez en pleine comédie sonore, n’oubliez pas de lever le rideau et d’apprécier le spectacle. Car dans le monde des conférences téléphoniques, l’humour est souvent la meilleure arme pour affronter les imprévus sonores !