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La signature de la vente

Phase ultime du rendez-vous commercial, la signature de la vente est également la phase la plus délicate à mener à bien. Quelques conseils qui vous permettront de l’emporter haut la main !

Des moments décisifs

Certains comportements ne trompent pas. Si le prospect regarde le vendeur en souriant, en hochant la tête et en posant soudain des questions, il est intéressé et souhaite que les choses s’accélèrent. De la même façon, lorsqu’il pose une question précise, du type : « Vos fournitures peuvent-elles être livrées la semaine prochaine et par colis de 50 ? », il est prêt à conclure. Vérifiez-le en disant à votre tour : « Si nous vous livrons la semaine prochaine, êtes-vous prêt à signer aujourd’hui ? ». Si au contraire, il croise les bras, fronce les sourcils et demande des explications, il reste des objections. Vous devez découvrir lesquelles et lever les objections.

Enfin, lorsque vous n’êtes pas certain de l’état d’esprit dans lequel il se trouve, faites un essai. Reformulez exprès une fausse information pour voir s’il la corrige (« Vous voudriez être livré dans deux semaines mais à quelle adresse ? »). S’il la laisse passer, c’est qu’il n’est pas encore convaincu. Une fois que votre client a fait comprendre qu’il est prêt à signer (il dit par exemple : « J’ai apprécié de traiter avec vous »), concluez. Laissez d’abord passer quelques secondes de silence (comptez jusqu’à sept dans votre tête) pour vous assurer qu’il n’a plus rien à ajouter. Puis tendez votre stylo et les bons de commande.

Sachez conclure votre vente !

Quand un commercial rate une vente, neuf fois sur dix c’est parce qu’il a peur de conclure. Cette peur provoque chez lui un flux ininterrompu de paroles, qui finit par semer le trouble dans l’esprit du client. Devenu indécis, celui-ci quitte la boutique ou le bureau sans même voir la couleur du bon de commande ou du contrat qui aurait dû lui être tendu. Par crainte d’essuyer un refus, le vendeur « oublie » de lui demander s’il veut acheter. C’est pourtant la meilleure des choses à faire pour conclure une vente. Vous repérez des signaux d’achat ? Le moment de conclure est arrivé ! Commencez alors par reformuler les arguments acceptés et les faire acquiescer par le prospect. Suivez ensuite les 4 étapes suivantes :

Annoncez votre prix puis taisez-vous.

Le prospect sera ainsi poussé à se positionner. Questionnez : « Est-ce dans vos cordes ? ». Même si votre interlocuteur laisse passer 15 sec. sans parler, restez de marbre. Au bout d’un moment, il devrait objecter : « C’est très cher. » Abondez dans son sens : « Bien sûr, c’est cher, mais je vous rappelle le package et le service. » Et rendez-lui la main : « N’est-ce pas exactement ce dont vous avez besoin ? »

La contre-offre.

S’il vous fait une offre bien inférieure à vos tarifs, répondez : « Ce que vous me demandez est impossible », puis laissez un blanc (20 sec) pour souligner vos propos. Mal à l’aise, votre client va s’impatienter. Reprenez lentement : « En revanche, si vous vous engagez sur des volumes plus importants ou sur la durée, je peux consentir un effort. » En faisant monter la tension, vous valoriserez ce que vous concédez et obtiendrez plus facilement une contrepartie.

La signature de la vente.

Votre interlocuteur vous fait comprendre qu’il est prêt à signer par une phrase du type : « Ce contrat va me permettre d’avancer sur tel projet ». Laissez passer quelques secondes pour vous assurer qu’il n’a plus rien à ajouter. Tendez-lui votre stylo et les bordereaux de commande.

Les dernières sueurs froides.

Si votre client rechigne à prendre le stylo, c’est qu’il reste une chose qu’il n’a pas dite ou que vous n’avez pas entendue. Il vous faut donc reprendre à partir de là. S’il prend le stylo, c’est gagné. Évitez de relancer la conversation ou d’ajouter des arguments de ventes supplémentaires. Cela risquerait de semer le trouble dans son esprit.

Le suivi : fidélisez votre client !

Après les jours qui suivent la signature de la vente. N’oubliez pas d’assurer un suivi rigoureux :

  • Respectez vos engagements
  • Organisez le service après-vente.
  • Analysez le déroulement de l’entretien
  • Mettez le fichier client à jour.
  • Mettez en œuvre la politique de fidélisation.

Choisir le bon affichage publicitaire pour sa société

Que vous choisissiez de vendre des produits ou des services, il vous faut en faire la publicité. Dans une campagne de communication, l’affichage publicitaire est un support fréquemment utilisé par les professionnels en raison de ses nombreux avantages dont celui de sa visibilité.  Elle permet d’attirer l’attention du grand public aussi bien en intérieur qu’en extérieur. Mais quelle technique choisir ? Y en a-t-il des plus accrocheuses ? Voici quatorze idées de techniques et six techniques de vente publicitaire pour vous faire de la bonne publicité.

Avant tout, vous pouvez utiliser la méthodologie, les 5W qui permet de regrouper r les données qui vous seront utiles :

  • Who (qui) : Il faut se demander de qui on parle, qui communique.
  • What (quoi) : Déterminer ce que vous allez communiquer à ceux qui vont regarder votre affiche.
  • Why (pourquoi) : Pourquoi allez vous communiquer.
  • When (quand) : Quand est prévu l’évènement que vous allez communiquer.
  • Where (où) : Quel sera son lieu. (Source: https://www.sortlist.fr/blog/comment-faire-une-affiche/

Quatorze idées de techniques d’affichage publicitaire

1. La bisection symbolisante

Cette technique a pour but d’associer deux univers qui n’ont rien à voir. On l’appelle également combinaison.
Exemple : Nescafé a créé une publicité qui vantait la richesse de son nouvel arôme. Pour cela, le café a été combiné avec du parfum à distiller.

2. L’hyperbolisation sympathique

Aussi connue sous le nom d’exagération. Elle consiste à insister énormément sur la caractéristique d’un produit.
Exemple : Volkswagen qui a mis en avant la taille de son bus.

3. La personnalisation signifiante

Il s’agit d’introduire un personnage sur affichage publicitaire incarnant les valeurs du produit.
Exemple : Nestlé a créé La Laitière.

4. Le concept à contre-pied

Il s’agit de montrer à la cible le contraire du message que l’on désire faire passer.
Exemple : Adia montrant un homme drogué… du travail

5. La réserve spectaculaire

Cette technique se distingue des autres. En effet, les mots sont absents. La seule force de la publicité reste l’image.
Exemple : Audi

6. L’expression à contre-courant

Comme il est précisé dans le titre, il s’agit de créer une expression basée sur un mode plutôt inhabituel.
Exemple : Afin de promouvoir son service Triple Conso, La Poste a choisi d’en parler sous la forme d’une bande dessinée.

7. Le suspense différé

Il s’agit de communiquer à travers une énigme puis d’en donner la solution quelques jours après.
Exemple : Myriam et ses fameux hauts et bas enlevés.

8. La « mascottisation »

Rien de plus simple. Un personnage représente le produit que vous vendez.
Exemple : Malabar.

9. La transfiguration qualitative

Il s’agit d’attirer l’attention à travers l’esthétisme du message.
Exemple : Le champagne Gil Mumm.

10. L’inversion

Tout est expliqué dans le titre. Il s’agit de prendre un objet dit beau et de le rendre laid, par exemple.
Exemple : Le parfum pour femmes Obsession qui a pris un homme à l’aspect peu attrayant.

11. Le jeu

Prendre une publicité et la détourner de manière ludique.
Exemple : Les salons de l’orientation et leurs questions de type « Qu’est-ce qu’un greffier ? ».

12. Le temps

Jouer sur les effets temporels pour mieux communiquer ce que vous vendez.
Exemple : Le Mouv et sa campagne « Non, tout n’était pas mieux avant ».

13. La référence inattendue

Il s’agit de faire une référence imprévue à un film, ou à toute autre œuvre artistique en particulier.
Exemple : Kookaïfaisant référence à la Pieta.

14. La métaphore

Il s’agit ici d’utiliser une comparaison, sans forcément y inclure le mot « comme ».
Exemple : La carte jeunes vantant les mérites d’un pigeon pour ne pas être pris pour l’un d’eux justement.

Six techniques de vente publicitaire qui fonctionnent

1. La marque monolithique

Il s’agit de tout déployer sous une seule marque. Elle est économique et forte mais les marchés sont limités.
Exemple : Chanel

2. Le double nom

Très pratique lorsque vous refusez d’avoir une marque principale et une sous-marque.
Exemple : Fiat500

3. L’endossement ou marque parapluie

On prête sa notoriété et son nom à une sous-marque.
Exemple : McDonald

4. La marque pluraliste

Il s’agit d’une marque qui possède plusieurs autres sous-marques sans qu’un lien ne soit établi entre elles.
Exemple : Procter & Gamble possède Head& Shoulders.

5. L’extension de marque

Il s’agit d’introduire une marque d’un produit qui a déjà bien marché, sur un autre secteur. Cette technique est dangereuse car elle peut mener à la cannibalisation.
Exemple : Caterpillar

6. Le licensing

Une marque perçoit des revenus en échange du prêt de son nom et de son logo à une autre marque.
Exemple : Valentino fabriquant des vêtements grâce à l’image et au nom de Marlboro.

Un conseil ! Jamais plus de 6 mots car les panneaux publicitaires sont exposés au regard d’un public qui se déplacent et qui n’a donc pas le temps de s’attarder à la lecture.

Une communication transparente et authentique, le nec plus ultra

Dans ce monde où chaque jour les trahisons et les procès se multiplient, l’authenticité et la transparence sont devenues incontournables. Devant la multiplication des tromperies en tous genres, les marques doivent opter pour une communication transparente et authentique sans faille. Aujourd’hui, il existe d’infinies sources d’informations disponibles à portée de clics sur les marques.

Toujours tenir compte de l’évolution des mentalités

Pour toute entreprise comme pour tout dirigeant, il est nécessaire d’avoir une vision objective de ses forces et de ses faiblesses sans vouloir en dissimiler aucune. Il faut aussi savoir que ce qui était permis hier est devenu interdit aujourd’hui ou le deviendra peut-être. Ainsi la protection de la planète est désormais une valeur à inclure dans toute stratégie de communication.

Pour la troisième année consécutive, Kantar* dévoile son étude internationale DIMENSION sur les problématiques clés du secteur de la communication. Ainsi, ill apparaît que la confiance se gagne et se perd. Il est nécessaire pour les entreprises d’être attentives et de ne jamais se reposer sur leurs lauriers. Stéphane Nappo Global Chief Information Security Officer, Société Générale résume parfaitement la problématique : « Il faut vingt ans pour se construire une réputation et seulement quelques minutes sur le web pour la ruiner. »

Les consommateurs sont connectés. Inutile de fermer les yeux. Ils suivent les actualités dans la presse et sur les réseaux sociaux. Rien ne leur échappe. De plus, les différents scandales qu’ils soient politiques, économiques, sociaux ont développé chez eux une capacité à détecter les informations spécieuses. Il s’avère difficile d’omettre des parties cachées ou de falsifier la réalité. La réputation des marques est observée sur tous les plans :

  • la réputation des dirigeants,
  • les moyens de fabrication,
  • la délocalisation,
  • l’environnement…

Si par désinvolture et sans analyse approfondie de la personnalité, on choisit une star du football ou de cinéma pour un parfum, on peut détruire en quelques heures toute une campagne de publicité élaborée pendant plusieurs mois si celle-ci ne se comporte pas correctement. Il faut donc anticiper et bien regarder tous les angles de communication.

Consommateur, hélas pas seulement

L’accès à l’information et la possibilité de partager et d’échanger en ligne, transforment chaque consommateur en un média à lui seul. Par exemple, si une marque commet la moindre erreur, elle a toutes les chances de se retrouver au pilori. L’erreur est connue de la planète des gens connectés et de leur entourage. Les Bad buzz que l’on pourrait citer en exemple ne manquent guère. Au lieu de se réjouir des difficultés des concurrents., la marque devrait considérer qu’un homme averti en vaut deux…et se pencher avec sérieux sur leurs propres faiblesses.

Authenticité et transparence : deux valeurs incontournables

Les consommateurs veulent de l’authenticité et de la transparence. Notamment, 50% des consommateurs déclarent faire confiance aux informations sur les marques qu’ils trouvent sur Internet. En effet, les consommateurs vont sur le web pour chercher des informations sur les marques et font confiance à ce qu’ils y trouvent. 

Où les consommateurs vont-ils chercher des informations sur les marques ?

Les principales sources d’informations des consommateurs connectés sont : 

  • Internet et les sites web 72% 
  • Les amis et la famille 53%
  • Les sites d’avis consommateurs
  • Les réseaux sociaux
  • La publicité

Les échanges à la « pause-café »

  • 44 des échanges « à la pause-café », dont les sources sont issues des médias d’actualité, online ou offline, des amis, des membres de la famille ou des sites d’avis consommateurs, ont une influence redoutable.
  • 42 % les réseaux sociaux,
  • 31 % suivis par la publicité, pour clore le top 5.
  • 27 % des consommateurs ont cité les sites web des entreprises comme source d’information. Il n’existe pas de grandes différences entre les cinq marchés étudiés.

De plus, les consommateurs ont confiance dans ce qu’ils lisent sur les sites d’avis de consommateurs ou dans ce qu’ils entendent de leurs amis et de leur famille. Or, ils ont confiance dans les propos de leur communauté ! D’ailleurs, les consommateurs ont la capacité d’amplifier ou de minimiser l’histoire d’une marque à travers ce qu’ils ont lu, vu ou entendu, offline et online. Les marques ont donc la responsabilité de s’assurer que leurs messages sont cohérents et véhiculés sur les canaux. Ils peuvent avoir un impact maximal. 

*Source Kantar Nous avons interrogé 5 000 consommateurs connectés sur cinq des plus grands marchés de la communication au monde (Brésil, Chine, France, Royaume-Uni et États-Unis ; avec 1 000 consommateurs issus de chaque marché). 58 professionnels du secteur ont été interrogés afin de connaître leurs points de vue et perspectives sur ces cinq mêmes marchés. Parmi eux, des personnalités éminentes et représentants de marques, agences, médias et plateformes, ainsi que des organismes professionnels, des consultants et des entreprises du secteur des TIC. Les échanges furent conduits lors d’une série de tables rondes ou d’entretiens approfondis en tête-à-tête menés par des experts de Kantar. 

Le rendez-vous, un moment-clef

Si vous attendiez la recette miracle pour réaliser la signature d’un contrat à l’issue d’un rendez-vous, elle n’existe pas… Mais ces quelques conseils vous permettront tout de même d’augmenter vos chances de réussite.

Amplifiez votre nombre de propositions commerciales 

Obtenir un rendez-vous est une chose, le faire déboucher sur une proposition commerciale en est une autre. Le succès de cette phase repose sur votre capacité à découvrir les enjeux de votre client. Après avoir instauré un climat de confiance avec quelques mots permettant de briser la glace, il est temps d’écouter avec attention ce qu’il a à vous dire et de le lui montrer. Posez au minimum une dizaine de questions préparées en amont, n’ayez pas peur des silences afin d’obtenir la « dernière goutte de ses propos » et surtout ne les interprétez pas dans un sens qui vous arrange. Dans le doute, reformulez de manière à vous assurer que vous avez bien compris. Ce n’est qu’après cette étape clé que vous pourrez passer à l’argumentation de votre offre.

Réussir son rendez-vous commercial ! 

En négociation, le silence est d’or ! 

Ne vous laissez pas embarquer dans un flot de paroles : à toutes les étapes d’une négociation commerciale, le silence est d’or. Mais gérer les blancs lors d’une discussion, cela s’apprend… Dans un entretien de vente, le commercial accapare souvent la parole tandis que le client se trouve réduit au silence. Or, cette façon de procéder constitue une grossière erreur stratégique. En effet, le vendeur qui laisse son interlocuteur exprimer ses desiderata a bien plus de chances d’emporter le morceau que celui qui s’écoute parler.

Intéressez-vous à votre client 

La relation commerciale est avant tout une relation interpersonnelle. Il est toujours plus facile de travailler avec une personne agréable qui inspire confiance. Il est ainsi parfois préférable de prendre le temps de faire connaissance avec l’interlocuteur, de comprendre sa situation professionnelle et personnelle. Créer un lien avec l’interlocuteur, c’est envisager une relation à long terme. Avant de s’intéresser au professionnel, il est de bon ton de mieux connaître la personne.

Les fameuses 20 premières secondes… 

Le démarrage doit être impeccable car c’est là que votre interlocuteur va vous juger. N’oubliez pas que la première impression est toujours la plus importante ! Soignez votre prise de parole : choisissez vos mots, et parlez avec douceur et assurance. Concentrez-vous sur le regard de votre interlocuteur pour instaurer d’entrée une relation. Il fera probablement de même, alors, soyez souriant ! Privilégiez les gestes ouverts, serrez la main de votre interlocuteur avec fermeté, mais sans exagération.

… et les premières minutes

 Il s’agit de créer un climat de confiance. Vous devez adopter une attitude commerciale, avec un état d’esprit ouvert et positif, un comportement courtois et une attitude professionnelle. Restez attentif aux gestes et expressions du prospect : le langage non verbal en dit souvent beaucoup plus que les mots.

L’écoute ? Toujours avant l’argumentation ! 

Principe de base de la vente : découvrir les besoins du prospect et faire preuve d’empathie en vous mettant à sa place. Moins vous parlez, mieux vous comprendrez votre client. Vérifiez tout d’abord l’exactitude des informations que vous avez récoltées. En partant de ces informations, approfondissez les motivations rationnelles du prospect, mais aussi ses préférences personnelles et subjectives. En pratique, acquiescez les informations que vous venez de recueillir, puis cherchez à approfondir en vous limitant à des questions courtes et ouvertes du type : « Comment définiriez-vous le service idéal ? ». Laissez le client s’exprimer sans l’interrompre, même s’il hésite. Attention à ne pas le guider dans ses réponses.

L’argumentation ? Répondre aux attentes et maîtriser le silence 

Pas question de déballer d’un seul coup tout votre argumentaire : vous ne devez mettre en avant que les points qui répondent le mieux aux attentes exprimées. Assurez-vous au fur et à mesure que les avantages proposés sont bien compris par le prospect. Tout aussi importante que la maîtrise de vos arguments, la gestion des blancs dans votre discours sera déterminante dans la réussite de votre vente. S’imposer davantage de respirations que dans une conversation classique permet de souligner les éléments importants d’un discours. Marquez ainsi une pause avant le mot que vous voulez mettre en avant : « Nos produits sont garantis (comptez mentalement jusqu’à 2)… 3 ans. ». Placez aussi des silences en fin de phrase si un argument vous semble particulièrement fort. Le prospect mesurera ainsi l’importance de ce que vous venez de dire : « Il nous est possible de coupler notre base de données à votre progiciel de gestion. » Laissez 5 sec. s’écouler pour que votre prospect intègre bien les avantages de ce service et avancez un nouvel avantage.

Bien comprendre son interlocuteur… pour mieux l’intéresser

Définissez à quel type de personne s’apparente votre prospect et essayez de comprendre ses motivations face à un acte d’achat. Ceci vous aidera à adapter l’argumentaire de vente par rapport à sa personnalité et définir les arguments à mettre en avant. L’art de la vente tient beaucoup dans la capacité à s’adapter à son interlocuteur. Le prospect est de nature curieuse et aime être le premier à essayer quelque chose ? Proposez-lui de l’innovation, il en sera enchanté. Il cherche avant tout le côté pratique dans un produit ? La facilité et le gain de temps sont alors de bons arguments.

Quelles obligations pour les chefs d’entreprise quand le nombre de salariés augmente ?

La loi Pacte a ouvert de nouvelles possibilités aux entreprises et leur a permis de simplifier un certain nombre de démarches. L’augmentation du nombre de salariés est cruciale pour le bon fonctionnement d’une entreprise en croissance. Cependant, elle va indéniablement conduire à de nouvelles obligations du dirigeant vis-à-vis de ses employés mais également envers l’Etat. Quelles sont les obligations pour les chefs d’entreprise quand le nombre de salariés augmente ? Que propose la loi Pacte ? Focus.

Quelles étaient les obligations envers l’Etat jusqu’à fin 2019 ?

Entre autres obligations, au-delà de 20 salariés, l’entreprise voit un certain nombre de ses cotisations augmenter. Une cotisation supplémentaire est demandée pour le fonds national d’aide au logement (FNAL). La cotisation passe de 0,1% de l’ensemble de la masse salariale à 0,5%. Notez également que la réduction Fillon qui permet aux entreprises un allègement des charges patronales sur les bas salaires voit son coefficient de réduction passer de 0,281 à 0,260 au-delà de 20 salariés.

Quelles sont les conditions de recrutement et de licenciement jusqu’à fin 2019 ?

Un chef d’entreprise doit recruter au moins 6% de travailleurs handicapés à partir du moment où la société emploie au moins 20 salariés depuis plus de 3 ans. En cas de manquement à cette obligation, l’entreprise doit s’acquitter d’une contribution annuelle à l’Agefiph (Association pour la gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées). De plus, cette somme varie en fonction du nombre de salariés, elle est de 400 fois le taux du SMIC horaire pour les entreprises employant au moins 20 travailleurs. En outre, ce taux monte jusqu’à 600 fois pour les sociétés ayant plus de 750 employés. Cette contribution est à multiplier par le nombre de personnes handicapées non recrutées. Par ailleurs, notez qu’en cas de licenciement pour motif économique, le chef d’entreprise doit proposer un congé de reclassement à partir de 1000 employés.

Quelles sont les obligations pour l’hygiène, la sécurité et la santé…jusqu’à fin 2019 ?

A partir de 50 salariés, l’entreprise a l’obligation de créer un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). Les membres du CHSCT suivent une formation de 3 jours payée par l’employeur. Au-delà de 300 salariés, le nombre de jours de formation est porté à 5. Si vous possédez plus de 2200 salariés, l’entreprise doit impérativement créer un service de santé afin de pratiquer des examens réguliers sur le personnel.

Bien-être et droit des salariés

Suivant le nombre d’employés, le chef d’entreprise devra améliorer les conditions de travail de son personnel. Ainsi à partir de 25 salariés et à la suite de leur demande, l’entreprise a par exemple l’obligation de créer un lieu de restauration approprié. L’attribution de tickets restaurant peut se substituer à la création d’un local dédié au repas mais seulement avec l’accord des employés. Une salle de repos est obligatoire à partir de 1000 employés. Par ailleurs, le chef d’entreprise employant plus de 50 salariés est dans l’obligation de créer un comité d’entreprise. De plus, il doit négocier une fois par an avec son personnel les conditions de travail et le salaire. Enfin, sachez également que la mise en place de délégués du personnel est obligatoire à partir de 11 salariés !

En 2020, la loi Pacte harmonise les seuils sociaux des entreprises. 

A partir du 1er janvier 2020, les règles concernant les seuils sociaux seront simplifiées par la loi Pacte. L’article 11 de la loi harmonise le calcul des effectifs des salariés au sein des entreprises. En conséquence, les entreprises devront appliquer uniquement trois seuils :

  • 11 salariés,
  • 50 salariés,
  • 250 salariés.

A savoir ! Il y aura quelques exceptions, comme l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés pour les entreprises qui franchissent les 20 salariés.

En 2020, la loi Pacte simplifie les seuils sociaux 

Ainsi, les nouveaux seuils 

  • diminuent certaines charges sociales pour les entreprises. Dans un premier temps, les entreprises de moins de 50 salariés n’auront plus à payer la contribution FNAL à 0,50 %. C’est aussi le cas pour la participation à l’effort de construction qui concernait les entreprises de plus de 20 salariés. En 2020, l’effectif passera à 50 salariés.
  • allègent les obligations pour les entreprises de moins de 250 salariés. Il ne sera plus obligatoire de communiquer aux actionnaires les rémunérations versées aux 10 personnes les mieux rémunérées dans les sociétés anonymes (SA) qui comptent moins de 250 salariés. 
  • suppriment des conditions d’effectif pour l’application du titre emploi-service qui pourra être mis en place dans toutes les entreprises.

Casser la routine pour retrouver son dynamisme et sa créativité

Sans que l’on s’en rende compte les habitudes et la routine finissent par nous rendre prisonniers et mettent notre créativité en berne. Or, il est impératif avant de se scléroser de lâcher prise avec des habitudes et de sortir de son quotidien. Alors comment faire pour exploiter le potentiel humain d’innovation et de créativité. Comment casser la routine ?

Revenons à notre expérience des confinements. Tout le monde a dû changer ses habitudes et le click and collect nous a permis par exemple de faire nos courses d’une autre manière. Les webinaires se sont substitués aux conférences en présentiel et nous ont permis de gagner un temps considérable en déplacement et une économie de coût pour un résultat le plus souvent fort satisfaisant… Bref nous avons dû réinventer notre manière de vivre et nous avons mis en place des idées qui nous ont ouvert de nouvelles opportunités.

Souvent pour casser la routine, on pense que le voyage, les vacances, le week-end vont permettre de faire autre chose et de s’aérer l’esprit. Oui tout cela apporte sa panoplie de découvertes mais une fois de retour au bureau le lundi matin, elles sont là les habitudes qui vous attendent et vous avez l’impression et même le sentiment justifié qu’elles vont vous tirer vers le bas et que vous allez y perdre votre créativité.

Cernez l’ennemi, les habitudes

Ce n’est pas le moment de leur faire des concessions puisque vous avez décidé de leur tordre le cou aux habitudes. Il va donc falloir les traquer. Pour les traquer, vous allez prendre votre semaine, pas moins pour les lister tranquillement sans porter aucun jugement mais aussi traquer vos comportements, vos réactions, vos attitudes que vous aimez ou que vous n’aimez pas.

Au fur et à mesure de la semaine cette liste va toucher tous les domaines de votre vie au bureau et vous conduire à vous remettre en question avant de remettre en question les autres et créer la panique dans votre sanctuaire d’habitudes (votre décoration de bureau, les pauses, le déjeuner, la machine à café, les salutations avec les collègues, les salutations avec les équipes, les salutations avec la hiérarchie, les réunions auxquelles vous participez, les réunions que vous animez et bien sûr votre alter ego l’ordinateur…. Nous vous laissons le bonheur de compléter la liste.  Vous risquez d’avoir le tournis au nombre d’habitudes mais bon…

Sélectionnez les habitudes

Le deuxième travail commence par une sélection drastique : les habitudes qui vous plaisent, les habitudes qui vous donnent la nausée, le stress et les habitudes qui ont de la valeur ajoutée … (donnez-leur des qualificatifs afin de pouvoir mieux les supprimer) qui sera suivi du troisième travail qui est la recherche de remèdes, de solutions pour leur tordre le cou et booster votre créativité.

Prenons quelques exemples pour casser la routine

  • Vous avez été formé pour faire des réunions autour d’une table, vous pourriez décider à la grande joie de participants de les transformer en standing meeting de 5 minutes. Finies les réunions où l’on perd un temps considérable.
  • Vous avez le même décor depuis des années, changez votre décoration chaque semaine. Ce changement va susciter les échanges avec vos collègues et surtout si vous ne remettez jamais le même type de décor (une fois un paysage, une autre fois un dessin humoristique, une autre fois une devise…). Vous allez retrouver votre créativité et votre dynamisme.
  • Ah la pause déjeuner, votre supplice avec toujours les mêmes conversations qui vous font mourir d’ennui et si vous proposiez d’échanger sur un thème nouveau à chaque repas.
  • Quant aux salutations. Rien de pire que les salutations dont on n’attend pas la réponse ou qui vont susciter toujours les mêmes réponses qui n’ont aucun intérêt ; vous devez chaque fois essayer de la transformer en un échange fructueux et empli d’empathie.
  • Au lieu de vous critiquer, faites-vous des éloges sur votre travail même s’il est routinier. Certaines tâches sont répétitives et d’ailleurs la plupart des tâches le sont. Alors il faut y donner du sens afin que le travail prenne toute sa valeur. Si vous avez rempli des factures ou des feuilles de paie, imaginer la satisfaction de vos clients ou de vos collègues transformera la corvée en satisfaction car donner du bonheur aux autres est une clef pour casser toute routine.  

Vous allez constater que certes vous rencontrerez des difficultés pour mettre en place des nouvelles habitudes mais vous allez booster votre créativité !

Préparer son rendez-vous commercial

Un rendez-vous commercial ne s’improvise pas ! Inutile de le répéter, la préparation est le b.a.-ba du commercial. Pour mettre toutes les chances de votre côté, il faut préparer son rendez-vous consciencieusement.

La prise et la préparation du rdv 

Il est vrai que lorsque l’on est en campagne de prise de rendez-vous, on reste souvent fixé sur « Le rendez-vous » et l’on a peur de prendre des RDV qui s’annoncent inutiles. Mais en réalité, dans le monde d’aujourd’hui, personne ne vous recevrait s’il n’avait pas une once d’intérêt pour votre offre. Le RDV doit être une suite logique de votre entretien téléphonique. Lors de la prise de RDV, vous devez quand même garder à l’esprit qu’il est essentiel de penser bénéfice pour votre futur client, et ce, sans trop rentrer dans le détail de votre offre.

La proposition de RDV doit intervenir assez tôt dans votre entretien, et être amenée comme une évidence. Il n’y a pas « d’instant T » pour prendre le RDV. Mais, pour tirer son épingle du jeu, l’important au téléphone est de mener la danse : gardez un ton directif et, surtout, n’oubliez pas que le silence est votre pire ennemi au téléphone. Ayez votre agenda toujours ouvert afin de n’avoir aucun blanc, aucune hésitation, ce qui facilitera également la mise en place d’une organisation intelligente de vos RDV.

La technique infaillible pour fixer et préparer un rendez-vous 

Préparez-vous à travailler stylo en main devant votre agenda et à garder le sourire, car cela « s’entend » au téléphone. Si vous cherchez à joindre des chefs d’entreprise ou des top managers, mieux vaut les appeler tôt le matin à partir de 7h30 ou le soir après 19h30. Ne jamais dire : Quand peut-on se voir ? Quand serez-vous disponible ? Seriez-vous prêt à nous rencontrer ?

Instaurez une relation de confiance avec votre interlocuteur et éveillez sa curiosité : deux points essentiels lors d’une proposition de RDV. Si votre prospect n’est pas convaincu et qu’il dit par exemple : « envoyez moi d’abord une documentation », restez à l’écoute, c’est le moment d’aborder la prise de RDV ! Profitez des questions du prospect pour justement proposer d’y répondre au cours d’un prochain entretien. Proposez sans silence une date de RDV. Sachez qu’il est de bon ton d’essayer par deux fois de caler un RDV avant de passer à la proposition de rappeler la personne.

Avant de conclure l’appel, reprenez toutes les coordonnées de votre « futur client » : ligne directe, numéro de téléphone portable, adresse de sa société et adresse e-mail. Profitez-en aussi pour lui redonner votre nom et un numéro de téléphone où il pourra vous joindre. Afin de bien ancrer le RDV auprès de votre prospect, faites-vous expliquer le trajet le plus adapté pour venir chez lui, ou expliquez lui précisément comment venir chez vous.

Le jour j, le secret d’un rdv réussi, c’est la préparation 

Il faut arriver avec une vision claire et factuelle de son prospect ou client : Quel est son CA ? Est-il en progression ? Quels devis ai-je déjà signés avec lui ? Et pourquoi ils n’ont pas abouti ? Quels sont ses besoins ? Quelle peut être sa problématique ? De quels services peut-il avoir besoin ? Quels peuvent être ses principales objections et comment y répondre ? À savoir : lorsque vous vous déplacez, 20 % des RDV sont reportés en moyenne. Lorsque le client vient chez vous, 25 % en moyenne ne viennent pas sans se désister et 35 % reportent le RDV.

Si vous avez un objectif de nombre de RDV à effectuer par semaine, il vaut mieux surbooker votre agenda. Annoncez ensuite que vous lui envoyez un e-mail de confirmation dans la journée. L’idée est qu’il ait une trace écrite de votre engagement. Si le RDV est prévu à plus longue échéance, faites « une piqûre de rappel », également par e-mail, 2/3 jours avant la date. Ne le faites jamais par téléphone, le risque serait de voir le RDV s’annuler !

Préparez un argumentaire avec vos principaux points forts et les réponses aux objections les plus courantes

 Chacun peut être séduit pour des raisons différentes : certains ont besoin de preuves, d’autres d’émotions, les derniers d’efficacité. Certains veulent sauver la terre, d’autres sont obnubilés par le ROI. Certains souhaitent savoir comment ça marche, et d’autres à quoi ça sert ! Alors, à chaque besoin, son argumentaire. Face à de multiples interlocuteurs, vous devrez varier votre champ lexical.

De l’entraînement, toujours de l’entraînement 

Mettez-vous en situation avec « le pitch elevator ». Cet exercice d’habileté consiste, à l’origine, à se présenter et à se mettre en valeur face à un client en un temps record. Vos domaines d’expertise, projets d’avenir et avantages concurrentiels majeurs doivent alors être présentés en moins d’une minute. Testez votre présentation. Vérifiez que vous connaissez bien vos points de différenciation par rapport à vos concurrents et que vous avez des preuves à apporter aux prospects pour étayer votre argumentation. Préparez-vous également aux questions fermées ou à celles qui peuvent être contredites, anticipez une alternative aux propositions qu’essaieront de vous présenter le client (ex : il va demander une réduction de prix que vous ne pouvez pas accorder : proposez-lui alors des outils supplémentaires en compensation).

Le book virtuel de présentation 

Veillez à vous équiper d’un book de présentation de l’entreprise, à sortir si le besoin s’en ressent. Il doit réunir des preuves à présenter pour mettre en valeur votre société : articles de presse, testimoniaux…

Concentration extrême de votre présentation 

Attention à la présentation de type power point : souvent trop longue, trop centrée sur soi et pas assez interactive. Forcez-vous à bannir l’ordinateur et à présenter votre concept et vos atouts sur la base d’un seul et unique slide. Vous y gagnerez en énergie, serez plus concentré sur les bénéfices clients et sur les réactions de votre interlocuteur. Et n’oubliez pas ! Le jour du RDV, a fortiori le premier, vous êtes là pour en savoir le plus possible sur la personne qui est en face de vous : sur ses attentes, ses peurs, ses enjeux, ses objectifs de l’année, l’ambiance dans son équipe, les ventes… Si vous passez directement à l’argumentation, vous risquez de passer à côté du besoin réel du prospect. Bon rendez-vous !

Concilier vie professionnelle et personnelle : un challenge

La Dares a interrogé environ 20.000 salariés sur leurs difficultés à concilier leur vie professionnelle et personnelle au travers des reproches qu’ils peuvent subir de la part de leur entourage. Quand le travail déborde trop sur la vie personnelle, l’entourage en subit les conséquences et abonde en reproches. Cette étude d’envergure qu’a publié la direction de la recherche du ministère du travail (Dares) nous permet de mieux comprendre les conséquences d’une non-maîtrise de la vie professionnelle.

Concilier la vie professionnelle et la vie personnelle, une difficulté majeure

Concilier la vie professionnelle et personnelle quand on a des enfants et particulièrement jeunes relèvent d’un challenge entre l’heure à laquelle on doit déposer les enfants à la crèche ou à l’école et le moment de les reprendre. L’amplitude horaire est courte puisqu’entre le temps de transport et le travail, cela ne laisse guère de temps de pause aux salariés qui sont de prendre du temps en raison des difficultés de transport. 

Des reproches qui compliquent

Selon l’enquête Conditions de travail et risques psychosociaux de 2016, 13 % des femmes et 14 % des hommes salariés avouent recevoir des reproches de leur entourage, en raison de leur manque de disponibilité liée aux horaires de travail. Ces reproches sont plus fréquemment adressés aux salariés qui travaillent la nuit ou qui subissent des horaires alternants. À l’inverse, travailler à temps partiel réduit ces reproches. Parmi les salariés à temps plein, ces reproches concernent plus souvent les femmes que les hommes.

À caractéristiques identiques (personnelles, professionnelles, conditions de travail, etc.), les femmes reçoivent nettement plus souvent de tels reproches, notamment quand elles ont des enfants de moins de 18 ans. Vie familiale et vie professionnelle sont donc parfois difficiles à concilier, en raison de l’organisation du temps privé et du temps de travail. Ces difficultés ont une résonance sur la vie familiale, sur la santé et bien évidemment le stress.

Le temps partiel, la solution

Le travail à temps partiel, plus fréquent pour les femmes, réduit le risque de ces reproches ce qui explique aussi pourquoi l’écart s’inverse parmi les salariés à temps plein (15 % pour les femmes, 14 % pour les hommes). Si l’on prend en compte les caractéristiques individuelles et de l’ensemble des conditions de travail, la probabilité de rapporter des reproches de l’entourage est environ 20 % plus élevée pour les femmes que pour les hommes. 

Mais les traditions persistent et signent

Il semble que la persistance de stéréotypes de genre induit continue à imposer son diktat : les femmes ont la charge du travail domestique et des enfants tandis que les hommes sont légitimes à s’investir principalement dans la sphère professionnelle ce qui engendrerait le fait qu’ils subissent moins de reproches lorsque leur travail empiète sur leur vie familiale. 

Les horaires atypiques, un obstacle à l’harmonie

Selon l’enquête Dares, travailler la nuit, le week-end ou avoir des horaires alternants augmente les difficultés des salariés à concilier vie professionnelle et vie privée, et s’accompagne plus souvent de reproches de la part de l’entourage. Parmi les salariés à temps plein, ceux ayant des horaires alternants déclarent davantage de difficultés avec leurs proches : c’est le cas de 29 % des femmes et de 18 % des hommes qui travaillent en 3*8.  Pour les femmes, les horaires en 2*8 multiplient par 2,2 la probabilité de rapporter des plaintes de son entourage. De la même façon, les hommes et les femmes qui travaillent de nuit affirment recevoir beaucoup plus souvent que les autres des reproches de leur entourage (25 % contre 11 % pour les salariés qui ne travaillent pas de nuit).

Les horaires de travail variables ou imprévisibles rendent également plus difficile l’équilibre entre vie familiale et vie professionnelle. Ainsi, les difficultés sont plus fréquentes pour les hommes comme pour les femmes, lorsque les horaires varient d’un jour à l’autre. 

Les trajets, la plaie 

Il existe davantage de reproches envers les femmes ayant plus d’une demi-heure de trajet quotidien. Le temps de trajet domicile-travail augmente le temps passé hors du domicile, ce qui peut accentuer les difficultés d‘organisation entre la vie familiale et la vie professionnelle. Ainsi, parmi les salariés dont les trajets quotidiens dépassent une heure, 20 % rapportent des reproches de leur entourage, contre 12 % pour ceux qui ont moins de 15 minutes de trajet par jour. Là encore, des différences apparaissent entre les hommes et les femmes : avoir un temps de trajet quotidien de 31 à 60 minutes accroît les reproches de l’entourage pour les femmes, mais pas pour les hommes. Au-delà d’une heure de temps de trajet, les hommes comme les femmes mentionnent plus souvent des difficultés.

Concilier la vie familiale et la vie professionnelle est source de difficultés car entre les maladies des enfants, les horaires qui ne correspondent pas au rythme du salarié, les sources de stress sont multiples car il oblige le salarié à se retrouver dans une situation inconfortable envers ses employés et ses collègues.

Réassurer ses clients : à quel point est-ce important ?

Découvrez l’importance capitale des éléments de réassurance pour un site web afin d’instaurer un climat de confiance inébranlable auprès de ses clients.

Lorsque les consommateurs effectuent des transactions sur Internet, un sentiment de confiance doit les envahir et les pousser à faire aboutir leurs démarches. Pour cela, les propriétaires de sites webs peuvent utiliser divers éléments de réassurance qui visent à rassurer les clients, assurer leur sécurité et renforcer leur confiance. De l’affichage de témoignages clients authentiques à la mise en avant de certifications et de garanties, en passant par la protection des données personnelles, comment ces éléments peuvent-ils instaurer une confiance solide et favoriser la fidélisation des clients ?

L’importance de la réassurance en ligne

Les éléments de réassurance présents sur les sites web, et notamment sur les plateformes de jeux qui invitent à de réelles interactions via l’obtention d’un bonus de casino sans dépôt par exemple, sont des éléments conçus pour renforcer la confiance des clients. Il peut s’agir de témoignages clients, de logos de certifications, de garanties de satisfaction, ou encore de mesures de sécurité des données personnelles. Leur objectif est d’apaiser les inquiétudes et les doutes des clients potentiels, et de les convaincre de la fiabilité du site.

Maximiser la confiance du client

La confiance revêt une importance cruciale dans les activités en ligne. Les clients sont confrontés à des risques perçus lorsqu’ils interagissent avec des sites web. Ils peuvent craindre des fraudes, des informations personnelles compromises ou une expérience d’achat insatisfaisante. Comprendre ces risques et les besoins des clients permet de mettre en place des éléments de réassurance adéquats pour maximiser leur confiance.

Réassurance en ligne : quels avantages ?

Les éléments de réassurance sont une véritable clé pour réduire les craintes et les incertitudes des clients en ligne. Lorsqu’ils se sentent en confiance, les clients sont plus enclins à effectuer des achats et à devenir fidèles à une marque. Les entreprises peuvent également en bénéficier, avec une augmentation des ventes, une meilleure réputation et une fidélité accrue de la clientèle. Les avantages tangibles de la réassurance en ligne sont nombreux et jouent un rôle essentiel dans la réussite des activités commerciales en ligne.

Les éléments de réassurance efficaces pour rassurer les clients en ligne

Lorsqu’il s’agit de rassurer les clients en ligne, certains éléments de réassurance se révèlent particulièrement efficaces pour instaurer un climat de confiance solide.

Afficher des témoignages et des avis clients

Les témoignages et les avis clients authentiques sont des éléments puissants pour renforcer la crédibilité et la confiance du client. En mettant en avant les expériences positives de vos clients, vous démontrez la valeur et la fiabilité de vos produits ou services.

Mettre en avant les certifications et les garanties

Les certifications de qualité et les garanties sont des atouts majeurs pour influencer la perception du client. En affichant des logos de certifications reconnues ou en offrant des garanties solides, vous inspirez confiance en prouvant que votre entreprise respecte des normes élevées et s’engage envers la satisfaction du client.

Assurer la sécurité des données personnelles

La protection des données personnelles est une préoccupation croissante pour les clients en ligne. Expliquez l’importance que vous accordez à la confidentialité et à la sécurité des informations personnelles de vos clients. Mettez en avant les mesures de sécurité que vous avez mises en place, comme le cryptage SSL et des politiques de confidentialité claires et compréhensibles.

Offrir un service client réactif

Un service client efficace et réactif joue un rôle crucial dans la réassurance des clients. En soulignant l’importance que vous accordez à la satisfaction du client et en mettant en place des canaux de communication facilement accessibles, vous rassurez vos clients en leur garantissant une assistance rapide et personnalisée en cas de problème.

Proposer une politique de retour facile

Une politique de retour souple et transparente offre une garantie de satisfaction supplémentaire pour les clients. Mettez en évidence les avantages d’une politique de retour sans tracas, en expliquant comment cela rassure les clients en leur offrant la possibilité de retourner facilement un produit et d’obtenir un remboursement ou un échange.

En ligne, les éléments de réassurance sont devenus indispensables pour instaurer un climat de confiance propice à la fidélisation des clients. Ils permettent de bâtir les fondations d’une relation solide et durable et garantissent la croissance et la pérennité de toute activité. 

Les 5 secrets d’un elevator pitch parfait

Aujourd’hui, les présentations orales se  présentent de deux manières : en présentiel ou en distanciel. Que cela soit pour un concours, l’entrée dans un incubateur, la rencontre avec les business angels, les clients… Elles peuvent se dérouler par le biais des nouveaux moyens technologiques : Zoom, Skype.. ou bien comme selon les présentations orales traditionnelles en face à face. Quelques conseils pour réussir avec brio l’épineux exercice de l’elevator pitch de présentation de son entreprise en un temps limité.

Elevator pitch , kesako ?

Elevator pitch, ce n’est plus un mot venu d’ailleurs à découvrir, c’est l’exercice auquel doit s’entraîner tout entrepreneur sur le chemin de la réussite et auquel il sera confronté de manière récurrente.

Pas besoin d’être le roi de la tchatche pour réussir l’elevator pitch ! N’oubliez pas : l’important est d’arriver à être bref et impactant. L’origine de l’expression elevator pitch (petite présentation d’ascenseur) résume bien l’idée : si vous rencontrez une personne importante dans l’ascenseur, vous devez, en quelques mots de présentation de votre entreprise, réussir à obtenir un rendez-vous avec elle. La présentation d’un elevator pitch est, notamment, ce qui vous sera demandé par des investisseurs potentiels.

Préparez-vous  pour mieux convaincre

Avant même de commencer à rédiger le texte qui vous servira de base pour votre pitch, clarifiez ce que vous souhaitez que votre auditoire fasse. Une fois cela bien posé, vous pourrez trouver les formules qui conviennent le mieux à la réalisation de cet objectif. Votre pitch doit être comme la bande annonce d’un film : en dire suffisamment pour éveiller la curiosité, sans donner l’impression à l’interlocuteur qu’il sait déjà tout et qu’il est « rassasié » !

L’entraînement , la condition sine qua none pour le réussir

Il vous faudra vous entraîner, encore et encore, pour acquérir l’aisance nécessaire pour retrouver votre confiance même dans des situations stressantes de présentations de pitch. Avant de devoir pitcher, préparez-vous mentalement, comme un athlète. Vous devez arriver le jour J avec la conviction que vous serez sélectionné. Avoir cela fermement en tête vous mettra dans la condition de la réussite. Ça a l’air d’être un détail, mais c’est souvent ce qui fait la différence. Lorsque votre tour de pitcher est arrivé, adressez-vous à votre auditoire comme s’ils étaient vos futurs associés, avec humilité, mais assurance.

La première impression est-elle toujours la bonne ?

Rien n’est moins sûr. Mais c’est tout de même cette première impression que retiendra avant tout votre auditoire. Si vous réussissez à capter l’attention et l’intérêt de vos interlocuteurs lors des 10 premières secondes, c’est gagné. Osez opter pour une entrée en matière originale, qui étonnera ou amusera votre auditoire. Beaucoup de présentations se ressemblent affreusement. Pour sortir du lot, soyez inventif et audacieux ! Vous pouvez jouer la carte de l’humour, de la provoc’ (mais toujours avec subtilité), du jeu ou de la créativité.

L’objectif : marquer les esprits.

Dès les premières secondes, soyez énergique et montrez votre enthousiasme. Les investisseurs recherchent avant tout une équipe motivée et débordante d’énergie. Enfin, dès le début de votre pitch, faites en sorte que l’auditoire comprenne bien l’activité de votre entreprise. Énoncez clairement votre mission : à quel besoin rencontré par les consommateurs votre entreprise va-t-elle répondre ? Comment ? L’enjeu doit être perçu tout de suite.

Préparez votre entrée en scène

Vos gestes, la façon dont vous entrez dans la pièce, vos vêtements, votre expression faciale, comment vous vous positionnez… tout votre comportement non verbal transmettra lui aussi un message à votre auditoire. Entraînez-vous devant une glace ou filmez-vous : vous pourrez corriger quelques défauts (attitude corporelle fermée, regard fuyant, manque de gestes accompagnant le discours…). Essayez au maximum de paraître serein, prenez le temps de respirer, ne parlez pas trop vite. Pour vous entraîner à gérer votre stress, certains spécialistes conseillent de faire chez vous votre pitch avec une allumette en feu à la main. Cet exercice vous apprendra à réaliser votre pitch en situation de stress.

Faites en sorte d’avoir confiance en vous et en votre produit. Essayez au maximum de traduire vos idées fortes en images, cela restera fortement gravé dans le cerveau de vos interlocuteur. Et donnez des exemples, soyez concret : montrez que vous êtes un rêveur, mais qui sait traduire ses rêves en éléments concrets sur le terrain.

Chaque mot compte, alors soyez précis

Ne vous lancez surtout pas dans l’exercice périlleux du pitch en temps limité avec l’envie de tout dire. Vous n’y arriverez pas et vous risquez de perdre votre auditoire en allant dans tous les sens. Appuyez sur une idée forte qui deviendra votre message principal, celui que vous souhaitez que les investisseurs retiennent. Répétez même, si vous le pouvez, une phrase « choc » qui restera gravée dans leurs esprits. Allez droit au but, sans fioritures inutiles : expliquez en quoi vous êtes différent ou pourquoi vous faites les choses mieux. Attention de ne pas juste avancer une affirmation du type « nous sommes meilleurs sur… » sans étayer par des données précises et mesurables. Bannissez toute expression trop grandiloquente telle que « nous allons vite devenir leaders » qui pourrait vous faire passer pour un naïf, un inconscient, ou un simple beau-parleur. De toute façon, restez concret, factuel et basé sur des chiffres.

N’oubliez pas tout de même de faire rêver votre auditoire.

Un bon pitch est un mélange subtil entre du rêve et des chiffres, tout ce qui va réussir à convaincre les investisseurs ou jurys que votre entreprise va aller loin, très loin ! Il est donc important que vous parliez d’éléments concrets comme de votre business model ou de votre stratégie d’acquisition clients.

N’oubliez pas de parler de vous et de votre équipe

C’est le plus souvent l’information la plus importante aux yeux des investisseurs, qui misent sur une équipe plus que sur une idée. Montrez en quoi vous êtes un vrai entrepreneur, doté d’une vision, d’une capacité de travail, et d’une envie de construire. Prouvez la complémentarité des profils dans l’équipe. Et laissez briller votre passion : c’est communicatif ! Il faut montrer votre brûlant désir de voir les problèmes des consommateurs se résoudre grâce à votre solution.

N’oubliez pas de conclure avec brio

N’hésitez pas à parler du plus gros challenge auquel doit faire face votre entreprise, à ce qui va être difficile à réaliser. Ne parlez que des choses faciles à faire peut vite donner une image irréaliste. N’oubliez pas de clairement énoncer votre objectif à travers ce pitch, ce que vous attendez de l’auditoire. Vous pouvez très bien, dès l’étape du pitch, annoncer combien vous voulez lever ou la valorisation estimée de votre entreprise. Enfin, même si vous êtes satisfait de votre pitch, ne bâclez pas la conclusion. La phrase finale doit appeler à une suite, annoncer le futur des projets.