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Eviter l’intoxication des informations

A la veille de la sortie de confinement, les informations sont nombreuses et pas toutes forcément très qualitatives. Vous avez sûrement l’impression de voir sans arrêt les mêmes informations en boucle et de perdre votre temps. Vous recevez moult notifications de votre boite email n’ayant pas plus d’intérêt les unes que les autres. Zoom sur ces réflexes pour éviter de vous retrouver intoxiqué par l’information.

Vous désabonnez de tout ce qui est inutile

Il est clair que vous recevez chaque jour des dizaines voire des centaines d’email pour la plupart sans intérêt et que vous n’avez, très souvent, pas sollicité. Vous vous demandez peut-être pourquoi vous en être le destinataire alors qu’il ne vous semble pas vous être abonné à certains flux ou newsletters. Tout d’abord, une énorme partie d’entre eux sont certainement de votre fait : vous avez cliqué sur la possibilité de recevoir des informations de partenaires sur certains sites (parallèlement à celui que vous vouliez) ou encore vous avez tout simplement complètement oublié de l’avoir fait.

Parfois, il s’agit juste du fait que vous avez accepté sans y avoir trop prêté attention en allant sur un site. Pour éviter de recevoir trop d’informations, vous pouvez donc commencer par une première action : vous désabonnez de tout ce qui n’a aucun intérêt pour vous. Généralement, vous pouvez le faire en un ou deux clics pour les newsletters et vous pouvez demander à être extrait de la base de données si vous ne souhaitez plus recevoir de communication.

Avertir vos interlocuteurs du type d’information souhaitée

Autre méthode pour éviter de vous faire spammer : demander aux spécialistes des « je vous mets en copie » d’arrêter. La plupart le font en général à bon escient pour que vous restiez informé d’une information qui leur semble pertinente alors que d’autres sont des spécialistes de « je me couvre » notamment dans les entreprises qui atteignent une certaine taille. Une clarification sur les emails que vous souhaitez recevoir et ceux à l’inverse qui n’ont aucun intérêt pour vous devrait permettre de drastiquement réduire l’information reçue. Surtout qu’un envoi groupé entraîne parfois une suite de messages que vous ne souhaitez pas forcément recevoir avec des réponses sur des sujets qui parfois ne vous concernent absolument pas. Prendre quelques minutes pour dire à un collaborateur que vous ne souhaitez pas recevoir certains types d’information n’est guère inutile, bien au contraire ! 

Stopper les notifications un peu partout

Que ce soit votre téléphone portable au travers de ses applications ou encore de votre ordinateur, vous avez parfois des paramètres qui vous envoient des notifications sans arrêt ! Ne vous inquiétez pas : une solution simple existe : celle d’aller dans vos paramètres de notification de téléphone et de les arrêter. Vous pouvez choisir si vous souhaitez arrêter celles sonores, pastilles… Bref tout un éventail de choix pour éviter de vous faire spammer par une conversation What’s App par exemple. Rien ne vous empêche d’activer et de désactiver celles-ci. Surtout prenez les quelques secondes pour celles que vous ne désirez pas recevoir plutôt que de cliquer sur la croix, chaque jour vous gagnerez des minutes voire des heures ! Ceci, surtout si vous ne perdez plus votre énergie à être déconcentré et que vous avez du mal à ne pas regarder. 

Arrêtez d’aller sur les sites d’information

On ne vous dit pas de vous couper totalement de l’information mais de ne pas y aller 50 fois par jour. Certes, il peut être agréable d’être tenu informé en temps réel de certaines évolutions mais la conséquence en est que vous allez y passer des heures car vous allez naviguer d’information en information sans pour autant en apprendre plus. Des résumés sont faits chaque jour et rien ne vous empêche de ne vous rendre qu’à certains moments sur les sites pour éviter d’être surinformé. De plus, il faut avouer qu’il n’y a pas de meilleure manière de vous plomber le moral car les « sites d’informations » sont souvent des sites de mauvaises nouvelles. Ne restez pas connecté toute la journée ou vous risquez fort de vite devenir inquiet et votre bonne humeur s’effacer. 

Attention aux réseaux sociaux

Les réseaux sociaux accaparent l’attention des internautes : les cadres y passent plusieurs heures … par jour. Pour éviter de perdre des moments précieux : déconnectez-vous et ne retenez pas votre mot de passe sur l’ordinateur. A chaque fois que vous vous connecterez vous réfléchirez à deux fois avant de gaspiller votre temps. Ils sont particulièrement bien huilés pour maintenir votre temps de connexion au maximum et vous envoyer des notifications si vous avez le bonheur de les quitter. Si vous ne souhaitez pas être surinformé, vous devez donc apprendre à vous y rendre le moins possible. Définissez comme pour les sites d’information, boite email voire téléphone des heures de connexion afin de ne pas trop déborder ou y consacrer de temps. 

Le digital a ouvert les possibilités du business

Dans le contexte du coronavirus, on voit le digital s’imposer en maître. S’il faut un contrôle éthique et un respect de la vie privée sous peine de se retrouver dans un état totalitaire, il est bien évident que le digital apparaît comme une valeur ajoutée dans notre lutte contre cet ennemi invisible. Ce digital utilisé à bon escient va faciliter la vie professionnelle mais surtout permettre de nouvelles synergies.

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication sont à l’origine de nouvelles sources de business. Qu’est-ce qui a changé depuis l’arrivée d’Internet ? Quels outils digitaux les entrepreneurs peuvent-ils utiliser, à la fois pour optimiser leur vie professionnelle et pour trouver de nouvelles idées ? Éléments de réponse. 

L’explosion d’une nouvelle économie du partage. 

Avec le développement du numérique, une nouvelle économie s’est constituée : l’économie collaborative ou sharing economy, qui vise à produire des biens et des services en commun, s’est développée dans plusieurs secteurs qu’il s’agisse du transport, de l’hébergement, de la restauration ou encore des loisirs. Elle constitue un marché à la croissance exponentielle tant le nombre d’entreprises qui se sont développées dans ce secteur est grand. On estime à 9 000 le nombre de start-up qui composent le marché mondial de la consommation collaborative.

Il existe également quelques entreprises multinationales comme les américaines AirBnB et Uber. En France, l’entreprise la plus connue reste Blablacar qui propose depuis 2006 une plateforme web de covoiturage. Alors qu’au niveau mondial, ce marché représente 15 milliards de dollars en 2015, le cabinet d’audit et de conseil PwC estime qu’il atteindra 335 milliards de dollars en 2025, ce qui représente un taux de croissance annuel moyen de +36,4 %. 

Le digital a permis de révolutionner des secteurs existants.

En plus de l’économie collaborative, de nouveaux secteurs économiques ont fait leur apparition grâce au digital. L’émergence du secteur des objets connectés a été rendue possible grâce à l’apparition du smartphone. On estime, selon le site  Statista, qu’il y aurait aujourd’hui 593 millions d’objets connectés portables en circulation dans le monde et que ce chiffre devrait doubler à l’horizon 2020. En France, la valeur de ce marché s’élevait à environ 1,4 milliard d’euros, soit dix fois plus que quatre ans auparavant.

Un chiffre significatif

Un chiffre significatif quand on sait que nous sommes seulement aux prémices de ce secteur. Les smartphones ont également permis le développement et l’explosion du secteur des applications mobiles. Selon un rapport de l’Union Européenne, le marché européen représenterait 63 milliards d’euros d’ici à 2018, soit l’équivalent de près de 5 millions d’emplois. D’autres secteurs comme celui de l’e-commerce sont apparus grâce à l’arrivée d’Internet et permettent à de nombreux entrepreneurs de réaliser leur business à distance, peu importe le domaine de vente. Selon la Fevad, le secteur de l’e-commerce en France connaissait une croissance de + 11,6 % en 2019 soit un chiffre d’affaires de 100 milliards d’euros. Des secteurs plus traditionnels comme l’artisanat, l’alimentaire ou bien l’éducation ont pour leur part une marge d’évolution considérable avec l’arrivée du digital.

Des entreprises comme OpenClassrooms et Des bras en plus ont pris en compte cette problématique numérique et révolutionnent aujourd’hui leur secteur d’activité. La première propose des cours en ligne sur une plateforme web dédiée, l’objectif de l’entreprise étant de démocratiser l’apprentissage en rendant l’éducation accessible à tous et dans le contexte actuel, elle profite de l’opportunité du confinement pour montrer sa valeur ajoutée. La seconde propose des offres personnalisables de déménagement via leur site internet. Le secteur de la mode est également touché par le numérique. La start-up Flip My Look a développé une application mobile permettant aux amateurs de mode de visualiser sur un mannequin le vêtement qu’ils souhaitent acheter avant de passer à l’acte d’achat.  

Le mail et les réseaux sociaux ont démocratisé la communication 2.0. 

C’est une révolution dans le monde des affaires. Avant l’arrivée d’Internet, la communication à distance ne pouvait se faire que par téléphone, ce qui n’était pas très pratique si l’on souhaitait montrer des projets visuels à ses collaborateurs. Petit à petit, l’apparition d’outils de communication numériques a facilité les échanges professionnels. L’e-mail a constitué une grande avancée pour les entreprises. Il permet aux professionnels de communiquer vers le plus de personnes possible tout en faisant économiser du temps aux expéditeurs.

En quelques secondes seulement, un entrepreneur peut transférer un dossier à l’un de ses collaborateurs quel que soit l’endroit où il se situe et ainsi faire avancer son business. Il permet de réduire les coûts de l’entreprise en effectuant des économies d’échelle puisque le même e-mail peut être envoyé à des millions d’expéditeurs en même temps. à partir du milieu des années 2000, un nouvel outil de communication a pris une ampleur grandissante dans les sociétés occidentales : les réseaux sociaux. Les entreprises ont saisi l’opportunité de communiquer par l’intermédiaire de ces outils. Ils permettent aux entrepreneurs de fidéliser autour de leur business une communauté de prospects et de pouvoir communiquer avec eux de façon plus directe. De par les outils numériques, il demeure plus facile pour les entrepreneurs de conquérir de nouveaux marchés géographiques. La communication les aide encore une fois dans cette tâche. 

La possibilité donnée à tous de faire du business. 

Le digital a popularisé l’esprit entrepreneurial. Alors qu’avant l’arrivée d’internet, créer une entreprise signifiait posséder du matériel et surtout des locaux, chacun peut aujourd’hui créer sa boite depuis son domicile pourvu qu’il possède un ordinateur pour travailler, une bonne connexion internet et un téléphone pour appeler ses clients, partenaires et collaborateurs. Lancer un site web et commercialiser ses produits devient de plus en plus facile pourvu que l’on ait un peu d’imagination et de sens pratique. 

Ces astuces pour déclencher une vente

Parfois il suffit d’un rien pour que votre prospect devienne un client notamment lorsque celui-ci désire votre produit mais hésites à passer à l’achat. Certaines techniques vous permettent de favoriser ce passage et sont utilisées par de nombreuses marques et entreprises. Zoom sur quelques-unes d’entre elles.

La proposition limitée dans le temps

Elle est particulièrement efficace et de plus en plus utilisée par les applications. La promotion dans le temps donne un sentiment d’urgence surtout quand elle s’accompagne d’un compte à rebours. Le but est de faire en sorte que celui qui désire l’objet se précipite sur sa carte bleue afin de finaliser son achat sans parfois avoir bien regardé ou qu’il se rende en magasin avant que l’offre ne disparaisse. Cette manière de fonctionner peut également prendre la forme d’un « stock limité » afin de vous faire prendre en compte que d’autres acheteurs peuvent se présenter avant vous et acquérir l’objet tant convoité. 

Les grosses promotions 

Particulièrement utilisée par la grande distribution pour attirer les clients en magasin, elles ne sont souvent pas rentables en elles-mêmes. Vous pouvez voir cette technique lorsque vous recevez certains catalogues ou sur certaines applications. Si elles demeurent réelles dans la grande distribution qui n’hésite souvent pas à sacrifier sa marge et que parfois on peut se dire qu’ils le font à perte (même si la vente à perte est interdite rappelons-le), elles sont parfois contestables notamment car le prix de base de l’objet a été augmenté. C’est notamment le cas dans les soldes où certaines enseignes font régulièrement l’objet de bad buzz des réseaux sociaux. Si vous les pratiquez, elles sont particulièrement efficaces sur des produits que vous souhaitez déstocker ou sur des invendus. 

Les packs qui réduisent les prix

Les packs ont l’avantage de vous permettre de vendre plus sans pour autant vous faire perdre forcément de l’argent. Si la marge peut-être plus faible sur l’objet en question, ils peuvent vous faire gagner du temps en termes de gestion (notamment de facturation qui peut être unique) ou tout simplement pour ne pas avoir à réaliser de la prospection. Ils sont bénéfiques car ils vous permettent souvent de vous projeter dans le temps et d’avoir une vision sur vos ventes à venir notamment si vous réalisez des prestations. Ils permettent parfois à certains clients de le devenir si eux-mêmes les revendent ensuite par exemple et qu’ils ont une marge sur chaque produit.

C’est le principe de l’achat en gros qui leur permet de rester compétitifs avec le client final, voire de proposer des prix que ne pourraient pas faire la concurrence. Une bonne stratégie pour chacun quand vous êtes dans une vente incluant trois personnes : le client, l’intermédiaire et vous. 

Mettre en avant les avantages

Particulièrement utilisé dans la vente immobilière, il s’agit de montrer tous les avantages et de mettre en face l’inconvénient. Si par exemple, votre client souhaite acheter un appartement mais que l’absence d’une fenêtre dans la salle de bain le gêne, une des techniques consiste à mettre en avant tous les avantages et d’évoquer le seul inconvénient. Le dilemme pour le client est alors de se demander si cet inconvénient vaut la peine de délaisser tous les avantages.

Le pas dans la porte

La plupart du temps un premier « oui » entraîne un second « oui ». Il s’agit en l’occurrence de faire dire « oui » à une personne sur une chose anodine pour ensuite aller vers là où vous souhaitez le conduire. Une fois engagée dans la démarche, il aura ainsi davantage tendance à aller plus loin. Même si l’aspect moral de cette technique est contestable , elle prend en compte la dynamique dans laquelle le client s’inscrit. Attention tout de même car votre client peut vite regretter sa décision et s’avérer contraire à leur fidélisation. 

Certains avantages offerts

Il n’est pas rare de voir que la livraison est gratuite sur les différents sites internet. Les avantages offerts lors d’un achat peut se révéler déterminant. Agissant souvent comme une réduction ou le gain d’un produit, ils vous permettent parfois de déclencher l’acte d’achat et parfois l’acte de « surachat ». Il s’agit par exemple du cas lorsque la livraison est offerte à partir d’un certain montant et que pour atteindre celui-ci le client doive ajouter un autre objet à son panier. Il se caractérise parfois par le fait d’avoir 2 produits pour le prix d’un. 

Les signes qui montrent que vous pourriez être un serial entrepreneur

Dans la crise que nous traversons certains se découragent et se lamentent pendant que d’autres se demandent comment ils pourraient profiter de cette opportunité. Oui, opportunité ! C’est le moment d’inventer un nouveau business model qui fera un carton. Pour cela il faut c’est évident posséder l’âme d’un serial entrepreneur.

Pensez-vous pouvoir monter plusieurs business les uns à la suite des autres ? Si ces traits de caractère vous collent parfaitement à la peau, alors peut-être serez-vous le prochain serial entrepreneur du siècle, à l’image de Richard Branson, aujourd’hui confronté à ses difficultés avec ses navires de croisières ne va pas se laisser engluer par le coronavirus.

Vous êtes curieux et vous vous intéressez au monde qui vous entoure. 

La curiosité est un trait de caractère important lorsque vous souhaitez monter des entreprises. Il faut s’intéresser à ce qui existe déjà dans le secteur que vous visez afin de ne pas reproduire la même chose et éviter de faire les mêmes erreurs. N’hésitez pas à lire la presse spécialisée dans la branche où vous souhaitez vous lancer et discutez avec d’autres entrepreneurs pour connaître les rouages du métier. Si la curiosité mal placée est un vilain défaut, s’intéresser à ce qui se passe autour de vous peut vous permettre de gravir les échelons !

Vous n’avez pas peur de l’échec. 

Si lorsqu’un entrepreneur monte un projet entrepreneurial, il souhaite avant tout qu’il réussisse, il ne faut pas pour autant qu’il se braque à la vue d’un échec. Au contraire, il faut s’y préparer ! Tous les serials entrepreneurs ont connu des échecs dans leur vie et cela ne les a pas empêchés de continuer à monter des boîtes plus puissantes les unes que les autres. Dans son livre « grandeurs et misères des stars du Net », Marc Simoncini, le fondateur de Meetic, démontre d’ailleurs qu’il faut avoir échoué pour être capable de réussir. Une leçon entrepreneuriale à apprendre par cœur.

Vous rêvez toujours plus grand. 

Qui aurait cru dans les années 1990 qu’on puisse un jour communiquer avec un téléphone sans fil, qui plus est avec une fonction GPS pour se déplacer n’importe où ? Personne ! Et pourtant Steve Jobs l’a fait en inventant l’iPhone. C’est pourquoi il ne faut mettre aucune idée de côté, même les plus folles. Croire en son idée constitue déjà un pas vers le succès de celle-ci. Reste à trouver les personnes pour vous accompagner et les techniques à développer pour que cela fonctionne.

Vous savez profiter des opportunités qui se présentent à vous. 

Un peu de chance ne peut pas faire de mal mais encore faut-il savoir la saisir au bon moment. Si une opportunité business s’offre à vous, réfléchissez-y bien avant de vous y lancer mais n’attendez pas trop au risque que quelqu’un d’autre vous passe devant. De nombreux entrepreneurs ont su profiter de la crise financière de 2008 pour développer leur business et profiteront peut-être de la crise du coronavirus pour rebondir et créer l’entreprise dont tout le monde parlera. 

Vous êtes optimiste. 

C’est une bonne qualité de rester optimiste quoiqu’il arrive. Cela vous permettra d’avancer et de trouver des solutions à vos problèmes. Ne vous enfermez pas dans des frustrations qui ne feront qu’empirer les choses pour votre business. Gardez le sourire et construisez votre avenir avec ce que vous possédez devant vous ! Attention toutefois à ne pas vous faire marcher dessus par vos concurrents ou vos collaborateurs, être optimiste ne veut dire être trop gentil. Sachez rester ferme dans les décisions que vous prenez ! 

Ces étapes souvent jugées difficiles

L’entrepreneuriat et la direction des entreprises restent loin d’être un long fleuve tranquille. Certaines étapes sont souvent citées comme particulièrement difficiles à dépasser. Si trois grandes étapes peuvent sembler critiques au début, d’autres représentent de véritables challenges avec le développement de l’entreprise. Zoom sur ces moments où vous devrez parfois vous dépasser.

Vous décidez à vous lancer

Cela peut sembler une époque révolue et bien lointaine   pour nombre d’entrepreneurs. Pourtant, se lancer dans l’entrepreneuriat peut parfois se révéler particulièrement ardu. Il faut dire que si monter son projet est passionnant, c’est bien la décision de vraiment s’y consacrer qui peut se révéler complexe. Déjà en termes de motivation puisque la prise de risques, inhérente à la fonction d’entrepreneurs peut faire peur. Pertes de salaires, impossibilité de toucher le chômage dans l’avenir, reconsidération sociale, crédits personnels à honorer, peur de l’échec, risque de perdre son capital… autant de facteurs qui peuvent inciter plus d’une personne de jeter l’éponge même avec la meilleure idée du monde. Si toutes les conditions ne s’appliquent pas à tout le monde suivant votre manière de démarrer votre activité, il s’agit de la première étape risquée de l’entrepreneuriat. 

Aller voir le premier client / confronter son projet

Qu’on est bien dans sa zone de confort à élaborer son projet ! Oui mais voilà la plus belle des idées ne peut en rester qu’une si vous ne faites pas l’effort d’aller voir vos clients ou encore de parler de votre projet. Ils sont très nombreux à rester bloqués à ce stade. Si certains vous parleront de la réalisation du business plan, ce n’est en fait qu’un détail. Même la partie financière qui rebute ou parfois effraie, n’est en général pas aussi délicate que celle de se lancer véritablement. En cause ? Une peur fondamentale de l’échec et que tout le travail accompli finalement n’ait servi à rien. Résultat une bonne partie des entrepreneurs s’arrête à ce stade.

Si certains le font par lucidité car ils voient que leur projet n’est pas réalisable, une bonne partie d’entre eux s’arrêtent à ce stade tout simplement par manque de confiance en eux ou en leur projet. Une étape donc décisive et qui pourtant représente l’un des premiers accélérateurs dans la réelle réalisation de l’entreprise. 

L’atteinte du point mort

Tout le monde ne vit pas cette période. Toutefois, parfois il est nécessaire que le chiffre d’affaires décolle petit à petit jusqu’à atteindre le point mort. Cette période est particulièrement anxiogène pour ceux qui ont des fonds limités. Il s’agit alors d’une course contre la montre où vous devez vendre rapidement pour ne pas vous retrouver sur la paille. En dehors du fait qu’elle prouve que votre business model ou votre concept est un minimum viable, c’est une période de tous les efforts qui semblent parfois ne pas être récompensés à leur juste valeur. Le chiffre d’affaires parfois tardent et longtemps ou encore l’atteinte du niveau critique d’utilisateurs qui entrainera que vous pourrez enfin avoir quelque chose à montrer. Une période particulièrement déconcertante et qui peut durer 2 à 3 ans. 

La stagnation ou la remise en cause du business model

Cette période est particulièrement stressante quand vous dépassez tout juste votre point mort. Il arrive parfois que vous aperceviez que vous atteignez un plafond. Ce plafond peut être dû tout simplement à un effet de palier temporaire le temps d’améliorer vos process ou pire au fait que vous deviez remettre en cause votre business model. Le pire reste qu’il peut s’agir d’une évolution du marché. Celle-ci peut vous obliger à évoluer, une crise qui stoppe nette votre avancée ou un confinement inopiné au moment où vous alliez enfin décoller ! Il faut alors parfois tout remettre en cause mais ne vous inquiétez pas : vous n’êtes pas les seuls. Criteo a fait pas moins de 7 changements de business model avant de trouver le bon pour ne citer qu’eux ! Ces adaptations sont courantes étant donné qu’il existe une grande différence entre la théorie et la pratique. 

La mise en place de processus et indicateurs

Il s’agit d’une étape-clé car c’est celle qui va vous permettre de prendre de l’ampleur. Elle est difficile parce qu’elle bouleverse vos habitudes ainsi que celles des collaborateurs. Qui plus est, elle est chronophage et il vous faut penser aux bons indicateurs et aux processus à organiser. Vous cherchez dans ce cadre à ce que l’entreprise prenne en quelque sorte de l’autonomie. Si cette organisation est parfois réalisée dès l’origine (ce qui est très pratique) avec un business model pensé pour évoluer, ce n’est souvent pas le cas. Il vous faudra donc tous les mettre en place ce qui vous sortira de l’opérationnel et peut vous sembler très chronophage. Cette étape est compliquée car vous avez souvent l’impression de perdre du temps en étant pas dans le développement immédiat. 

La digitalisation comme long process

La digitalisation ou l’automatisation représentent un défi tout particulier pour ceux qui ne sont pas à l’origine dans les technologies, ce qui affecte donc énormément de business. Celle-ci est souvent beaucoup plus longue qu’on ne croit et chronophage. Si à terme, elle emportera des effets en majeure partie positifs et qu’elle n’est pas forcément nécessaire pour tous les pans de l’entreprise, il s’agit d’une étape particulièrement redoutée par les chefs d’entreprises qui ne sont pas nés dans le digital et où l’acquisition de savoir peut représenter une véritable épreuve.

Surtout, celle-ci a fortement évolué ces dernières années pour tendre vers du temps réel. Même les cafés (quand ils étaient ouverts) ont connu celle-ci au travers de leur caisse enregistreuse. Une étape où il vous faudra prendre votre mal en patience et parfois vous arracher les cheveux en voyant que vous n’avez pas organisé tout ce qu’il fallait puisqu’elle demande souvent une anticipation. 

L’internationalisation comme étape lourde

Celle-ci représente un défi tout particulier. En effet, elle vous demande souvent la compréhension des différentes cultures et de remettre en cause votre management. Chaque pays possède ses spécificités et autant de culture. Toutes les manières de fonctionner sont différentes et la capacité à comprendre les autres n’est pas aussi aisé qu’on le pense. Certes l’internationalisation (notamment des équipes) apporte une richesse sans précédent et des perspectives de développement. Cette étape représente cependant un aléa tant par rapport à la pénétration du marché qu’à votre capacité à bien savoir intégrer chacun. La richesse apportée n’a cependant souvent pas de valeurs communes et reste souvent très appréciée des dirigeants et un grand motif de satisfaction. 

La perte de contrôle de l’entreprise

Il ne s’agit pas ici de parler des parts et des actionnaires mais bien de parler du fait qu’à un moment donné si votre entreprise prend une certaine taille, vous ne pouvez physiquement plus dialoguer avec tout le monde. Il s’agit d’une étape que certains ne veulent d’ailleurs jamais franchir. La plupart des dirigeants s’accorde à dire qu’à partir de 200 personnes vous ne connaissez plus tout le monde. Ce chiffre est moindre dans le cadre où vos équipes sont internationales dû au fait que vous ne pouvez pas vous déplacer tout le temps dans chaque entité. Stagiaires qui viennent et qui partent, CDD, présence dans plusieurs pays, nombre très important de salariés… Autant de facteurs qui font qu’il est impossible de rencontrer tout le monde. Une étape particulièrement complexe pour certains et une transformation du rôle de chef d’entreprise qu’il est parfois douloureux d’appréhender.

Pourquoi est-il nécessaire de se projeter ?

Quand on parle entrepreneuriat, on parle souvent de vision du chef d’entreprise. Au vu du peu de visibilité parfois sur le long terme, on peut légitimement se demander à quoi pourrait bien servir de faire des projections qui ne se réaliseront peut-être jamais. Que ce soit à court, moyen ou long terme, cette capacité à vous projeter demeure pourtant essentielle pour bien des raisons.

La vision à très long terme

Celle-ci est essentielle à votre entreprise pour une raison bien simple : c’est elle qui va montrer la direction vers laquelle vous voulez tendre. Il s’agit en général de définir la mission de l’entreprise car c’est elle qui motivera vos équipes. Elle doit être dynamique et enthousiasmante surtout dans ce monde nouveau dont on commence à percevoir les traits en espérant qu’ils ne soient pas qu’éphémères. Les nouvelles générations comme les anciennes sont en quête de sens et c’est bien cette vision long terme qui doit les y mener. Toutes les autres projections ne servent finalement qu’à sa réalisation.

Il est fondamental pour vous car vous devez savoir pourquoi vous œuvrez. Certes dans un premier temps, vous pouvez ne vouloir que réaliser du chiffre d’affaires ou que votre entreprise fonctionne. Vous ne demeurerez pas éternellement motivé par le simple fait de faire plus de chiffres car cela n’a pas de sens en soi. Pour emmener vos équipes sur le long terme vous devez donc fixer une vision à long terme et qu’elle soit en accord avec vos valeurs.

La vision à moyen terme (3-5 ans)

Il s’agit en réalité d’un objectif qui représente une grande étape de votre parcours pour atteindre votre vision à long terme. La vision à long terme peut souvent paraître utopique ou inatteignable et il vous faut bien montrer que le chemin est long mais qu’il est réalisable. Cette étape intermédiaire permettra à chacun de se repérer et de vous encourager d’avoir atteint cette première étape. C’est sur elle que vous concentrerez généralement votre management et grâce à elle que vous arriverez à motiver vos équipes. Si l’objectif est trop loin dans le temps vous aurez du mal à impliquer vos équipes car elles auront toujours l’impression d’être très loin de l’objectif et de ne pas avancer.

Cet objectif demeure rarement réaliste dans les prévisions et rarement atteint de la manière à laquelle vous l’avez envisagé. Votre vision sera probablement amenée à changer et à évoluer en fonction des épreuves que vous rencontrez, des changements éventuels de business model ou des réalités du terrain. Vous évoluerez parfois plus vite parfois moins vite. Cette vision est également utile pour votre business plan ou encore les éventuelles levées de fonds.

La vision à court terme (1 an) 

Il s’agit de celle qui est en général maintenu à jour, tout simplement pour des raisons de trésorerie. Elle vous permet de vous projeter et d’éviter de vous planter sans même savoir pourquoi. Elle vous offre l’opportunité de décliner votre atteinte du moyen terme et de mobiliser les ressources qui sont nécessaires car devant votre objectif, vous allez mettre des chiffres à atteindre certes mais également des moyens. Dans l’idéal, cette manière de procéder doit s’étendre jusqu’à la vision à moyen terme car certains résultats ne peuvent être atteints que par l’immobilisation de certaines ressources et que son déploiement peut prendre du temps ainsi que les effets. Certaines machines prendront du temps à être amorties, certaines ressources humaines à être formées. Bref tout n’est pas immédiat mais avoir au moins une vision à court terme demeure nécessaire pour éviter de vous retrouver dans le mur. 

La vision à très court terme (3 à 6 mois)

C’est celle de l’opérationnel et celle que vous mettrez à jour tous les jours comme votre to do list en prenant en compte les fluctuations du terrain. Vous ne pouvez bien entendu pas vous en contentez même si la majeure partie des dirigeants a du mal à s’en extraire. Et pour cause, l’opérationnel va vous prendre du temps et énormément d’énergie et il est parfois hautement difficile de prendre ce premier pour prendre de la hauteur.

Mais comme nous l’avons vu, si ce n’est pas le cas, vous ne pourrez mettre en place des actions qui prennent parfois du temps et qui sont pourtant nécessaires. La grande difficulté est de tenir le cap surtout quand de nombreux éléments viennent sans arrêt perturber vos plans et que vous passez votre temps à « courir » de problème en problème, d’imprévu en imprévu. Car il faut le dire, la première fonction du chef d’entreprise reste de les résoudre. L’opérationnel peut être considéré comme l’action basique, celui que vous avez quand vous n’avez vraiment pas pu établir les autres mais il reste recommandé de ne pas s’en contenter.

On ne parlera pas de la nécessité de fixer votre vision car, sans elle, vous ne serez qu’une machine qui agit au jour le jour et ballotée par l’opérationnel. Vous serez vite lassé si vous ne voyez pas le bout du tunnel. On ne parle même pas de vos équipes qui risquent bien de jeter rapidement l’éponge sans elle. 

De manière globale : une nécessité

Que ce soit pour motiver les troupes, donner du sens, mobiliser les ressources ou avoir une perspective d’un avenir meilleur, lever de l’argent, convaincre les institutions financières, … il est nécessaire de vous projeter. Nombreux sont les entrepreneurs qui ne prennent pas le temps de faire cet exercice et pourtant plusieurs grands bienfaits en découlent. Surtout n’oubliez pas que si elle est nécessaire c’est d’abord parce qu’elle vous permet de prendre du recul. A force d’être dans l’opérationnel, vous ne prenez pas en compte suffisamment l’environnement extérieur et son évolution mais ce n’est pas tout !

Le recul vous permet avant tout de trouver des solutions qui pourront vous éviter de vous retrouver devant un mur. Parfois, leurs mises en place vous demanderont des efforts supplémentaires et vous pourrez vous légitimement vous poser la question de « comment il est possible que je fasse plus ? ». Déjà au bord de l’épuisement il est souvent difficile de mobiliser cette énergie supplémentaire mais c’est bien parce que vous anticipez des problèmes et mettez en place des mesures que vous allégerez la charge future et que vous pourrez profiter du temps que vous avez investi. Alors si vous n’avez rien établi, c’est peut-être le moment ! 

Passer à la TV, un sésame pour les entrepreneurs ?

Le passage à la TV est très plébiscité par les entrepreneur. Il permet d’acquérir une visibilité, une crédibilité et une notoriété. Bien sûr, si l’émission met en valeur les entreprises et leur business. Pour nous permettre de nous en rendre compte, 6 entrepreneurs partagent leurs expériences de leur passage à la télévision. Focus. 

Audrey Bertry, Fondatrice de Syllepse CosmEtics – L’émission : Télématin (France 2) 

J’ai créé en 2014, Syllepse Cosmetics, une marque de bio-cosmétiques certifiés par l’organisme européen Ecocert. Il s’agit de produits personnalisés pour tous les types de peaux. La première année, j’ai fait beaucoup de parutions dans la presse avant que mon attaché de presse ne me fasse rencontrer Laurence Dorlhac, la journaliste beauté et bien-être de l’émission Télématin. Celle-ci m’a sélectionnée pour passer à l’antenne.

Même si ce n’était pas un choix, j’ai sauté sur l’occasion. Tout s’est très bien passé et par la suite, nous avons eu un « buzz médiatique ». Une fois l’émission passée, nous avons fait énormément de ventes, même si celles-ci furent assez éphémères. Cet effet « boost » où des ventes se font toutes les 5 minutes a duré deux semaines. Le phénomène s’est par la suite estompé. Cela m’a quand même permis de développer mon réseau clientèle et de garder mes clients par la suite. Je pense repasser à la télé, dans des émissions assez spécialisées sur le secteur de la beauté pour cibler une autre clientèle et ainsi développer toujours plus mon réseau.

Stéphane Savouré, fondateur de Koolicar – L’émission : Hello Startup (BFM Business)

L’équipe de Koolicar a suggéré que nous fassions une candidature à Hello Startup sur BFM business. Pour ce faire, il fallait envoyer une petite vidéo. J’en ai donc réalisé une de façon très amateur avec mon smartphone dans nos bureaux. Je me suis positionné dans une voiture afin d’expliquer notre activité, à savoir de l’autopartage ou de la location de voitures entre particuliers. Nous avons présenté la KoolBox, notre boitier qui élimine le besoin d’échanger des clés. Il rend les locations tellement simples et faciles. Je pense que la vidéo a bien plu, car j’ai été rappelé très rapidement quelques jours après pour nous dire que nous étions sélectionnés pour l’émission.

Par la suite, le journaliste Stéphane Soumier m’a appelé sur mon portable pour m’expliquer comment l’émission allait se dérouler et pour parler de mon projet qu’il a adoré. Nous avons un peu discuté et le lendemain, nous avons fait le tournage. L’avant tournage était très détendu et l’émission très rapide, cela a duré environ 1 minute 30 sous la forme d’un échange questions-réponses très dynamique. En ce qui concerne les retombées, nous n’avons pas eu forcément une hausse des inscriptions à Koolicar mais nous avons eu beaucoup de retours de personnes qui tenaient à nous féliciter. L’émission sur BFM business nous a donné de la visibilité et de la notoriété dans le monde des start-up car elle s’adresse en priorité aux entrepreneurs et au monde des affaires. C’était une très bonne expérience.

Clément et Bastien, Cofondateurs de Jimini’s – L’émission : Tout compte fait (France 2)

Le but de notre entreprise est d’intégrer les insectes dans notre alimentation par l’intermédiaire d’insectes apéritifs. À l’époque, c’est la boite de production de l’émission « Tout compte fait » sur France 2 qui nous a contactés car elle souhaitait réaliser un sujet sur le déclin de la consommation de viande. Nous leur avons proposé de tester nos apéros Jimini’s. Ces apéros, nous les organisons tous les derniers mardis du mois. Nous y réunissons notre communauté de fans, d’amis et des gens qui veulent découvrir la marque.

La production a donc accepté de nous rejoindre à ce moment-là car ils y ont vu la possibilité de récolter également des avis de consommateurs. Ils sont restés toute la soirée et ont pu échanger avec les personnes qui étaient présentes. Ils nous expliquaient leurs besoins de façon très pédagogique. Le tournage s’est bien passé. Lors de nos apéros, nous avons l’habitude de passer de bonnes soirées où tout le monde est détendu.

Après la diffusion de l’information, nous avons eu un pic de commandes qui a duré une semaine jusqu’à ce que le replay ne soit plus disponible et remplacé par un autre reportage. Par contre, ce qu’il en reste aujourd’hui, c’est la notoriété, c’est-à-dire que lorsque les gens vont vouloir un apéritif original, ils pensent à nous. Nous comprenons l’intérêt de passer à la télévision. En effet, chaque fois, nous avons noté des retombées positives qui variaient plus ou moins en fonction de l’heure de diffusion. Cette visibilité qui nous est offerte est très intéressante. 

Stephane Wahlen, fondateur de Too-short – L’émission : Journal Télévisé (TF1)

Notre parution sur TF1, c’est un jeu de circonstances. Les journalistes faisaient un reportage sur le fait que les start-up étaient créatrices d’emplois. Un journaliste de la chaîne était en contact avec une personne que je connaissais. Ce dernier lui a parlé de mon entreprise qui permet l’achat, la vente et l’échange d’articles d’occasion pour enfants et le fait que nous avions réussi à créer 10 emplois à L’aigle, ville qui avait des problèmes de chômage. Voyant que nous correspondions au profil recherché, le journaliste est entré en contact avec moi et m’a fait part de son intérêt. Il m’a demandé s’il pouvait venir le lendemain et j’ai bien sûr accepté. Il est donc venu avec le cameraman, ils ont interrogé toute mon équipe et ils ont filmé des plans pendant 2h30 au moins. Le journaliste m’a fait comprendre qu’il était difficile de montrer ma marque.

Au final, la seule apparition de Too-short a été dans le bandeau me présentant comme président de la société. Je pensais alors qu’à cause de l’absence de présentation ma marque, le reportage aurait eu peu d’impact. J’ai pourtant été surpris lorsque j’ai vu que notre audience a été multipliée par 10, même si ça n’a été que pour un temps. La télévision donne une visibilité incroyable ! Une personne a même contribué à notre dernière levée de fonds, car il nous avait vu dans l’émission. C’est une expérience à réitérer absolument. 

Renaud Guillerm, Cofondateur de Videdressing.com – L’émission : Capital (M6)

Un jour, nous avons reçu un e-mail d’une journaliste de Capital qui nous disait qu’elle s’intéressait à l’univers du dressing et qu’elle souhaitait nous rencontrer dans le cadre de la création de notre site de vente entre particuliers dédié à la mode. Nous l’avons donc rencontrée quelques jours après et elle nous a précisé qu’elle ferait effectivement un sujet. Avant le tournage, nous avons été contactés plusieurs fois pour savoir quels étaient les éléments dont ils pourraient se servir pour leur émission. Les journalistes cherchaient des séquences précises à filmer. Ils sont venus 1 jour et demi dans nos bureaux, et même si cela s’est bien passé, ce fut un épisode relativement stressant. Comme les journalistes essayaient d’être objectifs, ils cherchaient de petites choses qui ne fonctionnaient pas très bien.

C’était donc un tournage qui n’était pas évident, Au final, tout s’est bien passé, nous avons eu ce que j’appelle l’effet « Capital » après la diffusion de l’émission, c’est-à-dire que notre site a littéralement planté à cause du trop grand nombre de connexions ! En termes de business, nous avons multiplié notre volume d’affaires par quatre du jour au lendemain. Cela a clairement boosté notre trafic et notre notoriété. L’avantage de Capital, c’est de véhiculer une image crédible avec une immense adhésion de la part des téléspectateurs. L’émission a duré 10 minutes ce qui est long dans le domaine audiovisuel. Nous ne regrettons pas du tout d’être passés et nous réitérerions volontiers l’expérience.

Rebecca Mativet, Cofondatrice de La Boîte Du Fromager – L’émission : Le Grand 8 (D8)

Avec Mathieu George, nous avons eu l’idée de vendre du fromage par abonnement avec des box qui vous font découvrir chaque mois 4 fromages et des conseils sur la manière de les déguster. En septembre 2014, nous créons donc La Boîte Du Fromager. Pour se lancer, nous avons rédigé un communiqué de presse que nous avons envoyé à beaucoup de médias. Comme il s’agit d’un concept assez innovant, nous avons eu pas mal de retour dont un pour l’émission Le Grand 8 avec Laurence Ferrari sur D8 pour qu’ils puissent y passer nos produits.

Nous avons donc envoyé une box dans les conditions normales d’expédition. Notre produit a donc été présenté, notre nom a été mentionné et notre logo clairement montré, ils n’ont rien occulté. Par la suite, nous avons eu énormément de connexions sur notre site, notre trafic a été multiplié par 50 en un seul jour et cela a continué sur deux jours. Cela a fait exploser les ventes même si c’était sur une brève période. Cette expérience a été enrichissante et nous comptons rédiger d’autres communiqués de presse pour passer à la télévision. 

Comment éviter la rétention d’information ?

Dans une entreprise la grande difficulté ne réside pas dans la circulation des bonnes nouvelles mais plutôt des mauvaises. Il est bien plus facile d’évoquer ce qui est une réussite que ce qui est un échec. La rétention d’information peut provenir de plusieurs facteurs dont le fait de ne pas avoir mis en place les process nécessaires à la circulation de l’information mais aussi lié à votre comportement qui dissuade les gens de vous en parler.

Les process nécessaires à la circulation de l’information

Pour éviter toute rétention d’information, il vous faut commencer par un réflexe simple : mettre des process de récolte de l’information. Vous ne pouvez pas vous plaindre de ne pas être au courant d’informations qui vous paraissent clefs si vos collaborateurs ne savent pas lesquels ils doivent vous transmettre. Si certains auront les bons réflexes, tous n’auront pas conscience qu’il faut en fournir si vous ne formalisez pas un minimum celles que vous souhaitez obtenir. Il faut le dire le type d’informations que l’on peut vous fournir sont kyrielles et concernent tous les postes que cela soit de la vente ou encore de l’exploitation par exemple. Vos salariés n’auront donc pas forcément conscience qu’ils doivent vous les transmettre et il s’agit, en plus, souvent d’actions qui sont considérées comme évidentes pour la personne concernée dans la réalisation de sa mission. 

Oui mais lesquelles ?

Elles dépendent très fortement de vos besoins même si les basiques sont souvent celles commerciales avec au minimum : le nombre de prospects (ou visiteurs sur votre site), le nombre de devis (souvent nommé encours), le nombre de clients transformés (taux de transformation). Mais chaque donnée peut être affinée ainsi les devis pourront posséder de multiples informations comme le montant, la date d’émission … Vous l’aurez compris, vous aurez de nombreuses informations à vous faire remonter ne serait-ce que pour le commercial. Mais celui-ci ne représente pas tout !

Au-delà du commercial, toutes les informations qui touchent à l’exploitation sont fondamentales et notamment la perte ou non d’un client qui demeure souvent objet de rétention de l’information. Mais ce n’est pas tout. Vous devez cerner l’état de vos équipes et les données RH mais aussi entre autres les difficultés relationnelles, les problèmes personnels qui si ces informations ne sont pas nécessaires dans une toute petite structure peuvent vite le devenir dès que vous dépassez une dizaine de collaborateurs par exemple. Elles peuvent également toucher à vos stocks pour ne citer qu’eux. 

Une vision en temps réel

La vision de tout en un seul clic

On peut percevoir la digitalisation comme le fait de simplement mettre des données sur des supports numériques afin de pouvoir facilement les transmettre ou encore les exploiter. En réalité, l’apanage de celle-ci reste que vous pouvez avoir toutes les informations en temps réel. Un collaborateur est parti ? Votre logiciel le sait en temps réel et ne cherchera pas à lui proposer une formation par exemple. Il faut comprendre que dans l’ « ancien temps », on se transférait des fichiers, on les compilait et on essayait d’en exploiter la donnée. Sauf qu’aujourd’hui, le monde a évolué et que le traitement de la donnée est devenu en temps réel.

Il vous faut donc tant que possible faire en sorte que votre mise à jour se fasse en temps de réel, ce qui vous évitera que 20% de vos données soient déjà obsolètes quand vous les traitez. Pour cela, pas de secrets, elles doivent être mises à jour le plus régulièrement possible et centralisées en temps réel, ce qui est devenue aujourd’hui monnaie courante dans les entreprises.

Aujourd’hui, la data ou les données circulent mais très mal. D’ailleurs la plupart des français pensent que leurs données sont mal ou peu utilisées par les entreprises qui les récoltent et c’est avant tout à cause du fait qu’elles ne prennent pas en compte les évolutions ou encore que les conséquences tirées de chaque donnée. Des métiers comme data scientist apparaissent et devraient bientôt être présents dans toutes les entreprises d’une certaine taille.

Possible pour une petite entreprise

Même si vous êtes une petite entreprise, rien ne vous empêche de mettre en place ces systèmes. Pourquoi ? Tout simplement car ils vous permettront d’éviter de faire le même travail fastidieux chaque mois en permettant des mises à jour sans générer d’actions de votre part ou des prévisions pour une future croissance. Ce n’est pas quand vous aurez 10 000 clients qu’il sera le temps de vous poser la question. Vous risquez de vous retrouver noyé sous le nombre d’informations que vous devez insérer. 

Une question également de demandes de votre part

Toujours une personne pour insérer la donnée

Même si vous mettez en place tous les beaux process du monde, vous devez d’abord prendre en compte que cela ne sert à rien de mettre tout un système en place, si personne n’insère la donnée. Pour que vous l’obteniez encore faut-il que quelqu’un l’insère. Il faut considérer que lors de sa mise en place, les réflexes ne seront pas à l’ordre du jour et qu’il sera souvent difficile voire pénible pour vos collaborateurs de prendre du temps pour le faire et qu’ils devront y penser.

Former des salariés

Il faut donc commencer par en montrer l’importance et former tout nouvel arrivant à imputer les données. Par ailleurs, vous en souhaiterez toujours plus donc vous en demanderez plus. Vous devrez donc prendre en compte que vous allez demander du temps à des collaborateurs qui ne vont pas forcément voir l’intérêt de le faire. Il faudra donc les sensibiliser à cet intérêt et vous risquez fort de passer pour Big Brother donc n’oubliez pas qu’ils doivent également comprendre leur intérêt à faire ce travail qui leur semble souvent fastidieux. 

Bien transmettre l’information

En dehors même de l’imputation, il faut que vous gardiez à l’esprit que la circulation de l’information et surtout de la mauvaise fait peur à vos collaborateurs. Il est plus facile de parler du fameux contrat gagné que de celui que l’on est en train de perdre. Bizarrement, les nouvelles circulent plus vite dans un sens que dans l’autre. Vous devez donc prendre en compte ce phénomène car parfois quand une mauvaise nouvelle arrive, vous pouvez au moins agir et essayer de trouver des solutions. Si on prend l’exemple d’une perte d’un client, votre intervention ou celle d’un de vos managers pourrait ainsi vous permettre de sauver l’affaire. Il ne faut donc pas que vos salariés aient peur de vous transmettre l’information, ce qui vous demandera de promouvoir cette circulation d’information et donc de créer un climat de confiance.

Bref vous l’aurez compris pour que l’information circule et ne fasse pas l’objet d’une rétention vous devez tant que possible faire en sorte de mettre en place les processus, déterminer les informations qui vous sont utiles présentement ou à l’avenir, former vos collaborateurs, leur donner de l’intérêt à le faire ou encore avoir une attitude positive lors de la réception. Un travail souvent long mais qui vous aidera sur le temps ! Sans confiance, la rétention d’information s’impose !

Surfez sur la vague du community management !

La communication avec les évènements actuels fait prendre conscience que les internautes ont soif de transparence et d’exemplarité. Eviter la langue de bois car l’internaute n’est plus aujourd’hui enfermé dans une bulle dont il ne peut sortir. Il peut naviguer à loisir d’une information à une autre et ne s’en laisse pas compter. Après, il peut être influencé par l’impact d’une personnalité et de ses choix. C’est pourquoi le marketing fait souvent appel à des sportifs ou des stars dont ils ne remettent pas les paroles en doute pour influencer leur choix. Le community management a pour objectif de promouvoir, de rendre visible, de développer la notoriété mais aussi d’animer la communauté web.

Il existe une pléthore de communautés qui n’ont pas de liens entre elles. En effet, les internautes sont des « ovnis » indépendants qui intègrent parfois plusieurs communautés à la fois (âge, métier, hobby, actualité…) ou choisissent une seule communauté (souvent parce qu’ils ont un intérêt prédominant à communiquer avec cette communauté et un temps limité). Les entreprises utilisent les médias sociaux comme un canal de communication marketing. Mais elles développent parallèlement un point de contact pour le service clients. Comment faire cohabiter intelligemment ces deux composantes de la relation clients ?

Au même titre que les utilisateurs des réseaux sociaux sont dans l’échange et les relations humaines, l’entreprise doit professionnaliser sa présence et mettre en œuvre une relation clients autant que possible humaine et transparente.

Faire cohabiter 2 axes de la relation clients

Aujourd’hui l’entreprise a besoin de compétences « bicéphales », capables d’entretenir une action marketing et un service aux clients sur un support communautaire. La démarche qui répond à ce double besoin n’est autre que ce que l’on nomme le « Community Management ». Le rôle du community manager est de recruter et de fédérer les clients. Son activité a une composante « marketing et business développement », en étant à l’écoute des besoins des prospects et clients, et une composante « service clients » en prenant en compte leurs problèmes et leurs critiques. Il doit également garantir une relation client cohérente en fonction de la « social media policy » de l’entreprise. Sur quel ton interagir avec les fans ?

Faut-il modérer certains propos ?… Cependant, tous les community managers ne possèdent pas les mêmes compétences car l’étendue des domaines de communication est vaste : la gestion de crise, la gestion d’un SAV en ligne, la création d’un site web / blog, la production de contenu, la rédaction de contenu, la mise en place des indicateurs de performance…

Une approche humanisée de la relation clients

Sur les médias sociaux, l’entreprise se doit d’être précise, cohérente et productive, tout en jouant le jeu de la relation clients humaine et sociale. Pour cela, le community management dispose d’outils nouveaux, qui s’inscrivent comme les « descendants » des outils téléphoniques et email utilisés auparavant, tout en offrant une efficacité nettement meilleure. Alors que précédemment le service clients visait la productivité dans une relation automatisée et bien souvent froide, le service clients communautaire instaure une relation « one-to-one » humaine, transparente et participative. La vision du marketing à l’ère du community management est du côté de la personnalisation et dans l’échange ouvert aux commentaires des clients. Humilité, transparence et partage sont les maîtres mots de cette nouvelle démarche hybride.

Des solutions professionnelles sur les médias sociaux

Des outils dédiés aux entreprises ont été créés sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, YouTube ou Flickr. Ces outils permettent de gérer et fédérer une communauté de clients. Ils sont d’une grande efficacité… à condition de les animer régulièrement et avec du contenu capable de susciter l’intérêt de la communauté et de se placer dans une relation interactive avec les clients. À partir de là, place à la créativité du dirigeant ou du community manager pour faire vivre sa communauté de clients : organisation de jeux, organisation de jeux, invitation à des soirées privées, débats, tests de produits, offres dédiées aux clients internautes, conseils et astuces… à vous de jouer pour fidéliser vos clients !

Ces petits détails du parfait businessman

Si vous souhaitez être le parfait businessman de votre entreprise, certains réflexes sont à prendre et les petits détails ne sont pas à négliger. Votre professionnalisme s’évaluent notamment au travers de détails qui peuvent être insignifiants mais qui peuvent se révéler des facteurs déterminants notamment si votre client doit choisir de vous faire confiance. Zoom sur certains détails auxquels vous devez prêter attention. 

Une tenue adaptée 

Si vous souhaitez être un bon commercial, il va falloir apprendre à adapter votre tenue à celui auquel vous souhaitez ressembler ou à celui que les personnes attendent de rencontrer. Inutile de dire que l’habit fait parfois le moine et qu’il vaut mieux être en concordance avec celui que vous affichez. Que vous soyez en réunion business, lors d’une levée de fonds ou en rendez-vous commercial, vous devez adapter votre tenue qui réfléchisse votre personnalité et vos goûts.

Ensuite vous devez opter soit pour une tenue qui met à l’aise votre interlocuteur par mimétisme en utilisant le même dress code que lui (on pensera à la tenue décontractée ou à l’inverse au costume cravate), soit en utilisant celui attendue par la fonction que vous occupez. Rien ne vous empêche de faire dans l’excentrisme même si cela vous prenez le risque de déplaire. Dans tous les cas votre tenue doit être particulièrement soignée et ce n’est pas la peine de mettre une chemise si vous ne la repassez pas pour aller voir votre banquier. 

Une hygiène impeccable

Cela peut vous sembler anodin mais nombre de personnes sont attentives à divers détails selon leurs critères : les ongles, la coupe de cheveux, la barge ou le rasage, les chaussures cirées ou non … Si on peut comprendre que vous ne soyez pas soigné en période de confinement vu l’inaccessibilité de certaines prestations, il vous faut tout de même prendre soin de vous. Ce n’est pas parce que Mark Zuckerberg s’est acheté plusieurs fois le même tee-shirt pour gagner du temps et le consacrer à ses clients qu’il ne prend pas du tout soin de lui. Et il ne porte d’ailleurs finalement pas le même teeshirt. Il est des détails qui à l’international sont rédhibitoires comme celui au Japon d’enlever ses chaussures pour dîner dans un restaurant luxueux et de montrer vos chaussettes trouées à votre client !

Les détails de votre carte de visite

Quand on reçoit une carte de visite, ceux qui la reçoivent regardent les nombreux détails. Bien sûr, si vous êtes en position de force et que c’est vous le client, peu importe finalement (même si parfois cela peut jouer sur la considération de la personne en face même de manière inconsciente) mais dans le cas où vous êtes le commercial de votre entreprise, mieux vaut des cartes qui ne soient pas gratuites, par exemple, avec une publicité même petite de l’autre côté notamment si vous êtes en train de négocier de gros contrats.

Votre adresse email doit inspirer confiance et de préférence se référer au nom de votre société notamment dans la deuxième partie après le @. Votre nom, prénom, fonction, adresse de l’entreprise doivent en général également être présentes au rendez-vous. Nul ne doute aussi qu’il ne vous pas lésiner sur la qualité de la carte car une carte rangée dans le portefeuille qui s’abîme et perd par exemple son pelliculage ne donne pas envie de la garder ou de faire appel à vous. 

Les documents commerciaux bien évidement

Que l’on parle de plaquette, de présentation, … vous devez imprimer tous vos documents d’une belle manière et de préférence sur des supports valorisants. Si bien entendu, la mise en page doit s’adapter à votre business, du professionnalisme est nécessaire. Ce n’est pas parce que vous n’êtes pas graphiste que vous devez présenter des documents médiocres. Avoir du bon goût en matière visuelle n’est pas l’apanage de ces derniers et soigner votre présentation reste un minimum. Ayez conscience qu’il ne s’agit pas de charger au maximum vos plaquettes et que l’épuration donne davantage de lisibilité. Seuls les métiers très techniques utilisent de nombreux détails car ils sont nécessaires à la bonne compréhension de l’offre.

Dans tous les cas, vous ne devez pas perdre la face en transmettant un document à un client et surtout éviter les erreurs comme des fautes d’orthographe voire pire des inexactitudes. N’hésitez pas à en faire plusieurs versions et à les montrer à vos collaborateurs ou vos amis afin qu’ils vous apportent les corrections nécessaires au besoin. 

Tout ce que vous sortez

Que l’on parle de votre calepin de notes ou même de votre stylo, il faut savoir que rien n’échappe en général à l’œil de celui qui vous rencontre pour la première fois. Si quelques détails peuvent échapper à l’œil aguerri de votre interlocuteur, avoir un stylo bille mâchouillé ou un calepin qui part en lambeaux n’est guère la meilleure preuve de votre professionnalisme. Il faut donc faire attention à tous les détails y compris parfois ceux qui peuvent ne sont pas à la vue en général de votre interlocuteur. Il se peut qu’ils regardent l’intérieur de votre mallette alors que vous l’ouvrez pour lui transmettre un document par exemple et que vous vous sentiez gêné par le désordre ou l’usure qui lui saute aux yeux. 

Vous l’aurez compris, si vous souhaitez laisser une bonne impression vous devez prendre en compte un certain nombre de détails. S’ils sont loin de représenter les grands facteurs déterminants, ils vous permettent d’éviter de vous retrouver embarrassé. L’essentiel reste cependant ce que vous avez à dire, votre manière de l’amener et surtout votre capacité à écouter votre client afin de restructurer votre argumentaire pour qu’il soit efficace et percutant. Votre attitude est également à scruter en détails et si vous souhaitez être au top lors d’un rendez-vous, un peu d’entrainement reste toujours le bienvenu.