Accueil Blog Page 253

Top 10 des méthodes pour l’évaluation de la concurrence sur le marché

Dans le monde dynamique des affaires, la compréhension de la concurrence est cruciale pour le succès d’une entreprise. Que vous soyez sur le point de lancer une nouvelle entreprise ou que vous cherchiez à renforcer votre positionnement sur le marché, voici le top 10 des méthodes incontournables pour évaluer la concurrence.

1. Analyse swot :

La méthode classique d’analyse swot (forces, faiblesses, opportunités, menaces) offre une vue d’ensemble complète de la concurrence. En identifiant les forces et les faiblesses de votre entreprise ainsi que les opportunités et les menaces du marché, vous pouvez élaborer des stratégies plus informées.

2. Veille concurrentielle :

La veille concurrentielle implique la surveillance constante des activités, des produits et des performances des concurrents. Des outils en ligne et des alertes personnalisées peuvent être utilisés pour rester informé des développements dans votre secteur.

3. Analyse des prix :

Examinez attentivement la structure des prix des concurrents. Cela peut vous donner un aperçu des différentes stratégies de tarification et vous aider à positionner vos produits ou services de manière compétitive.

4. Etudes de marché :

Les études de marché approfondies peuvent fournir des données quantitatives sur la taille du marché, la demande des consommateurs et les tendances émergentes. Ces informations sont essentielles pour comprendre la position relative de votre entreprise sur le marché.

5. Entretiens avec les clients :

Parlez directement à vos clients pour comprendre pourquoi ils choisissent vos concurrents. Les commentaires des clients peuvent révéler des points forts et des faiblesses perçus chez vos concurrents.

6. Benchmarking :

Le benchmarking consiste à comparer les performances de votre entreprise avec celles des meilleurs de votre secteur. Identifier les leaders du marché et comprendre leurs pratiques peut offrir des insights précieux.

7. Analyse des médias sociaux :

Les médias sociaux sont une mine d’informations sur la perception des clients envers les concurrents. Analysez les commentaires, les évaluations et les discussions pour obtenir des indications sur la réputation et la satisfaction de la clientèle.

8. Participation à des événements sectoriels :

Les salons professionnels et les conférences sectorielles offrent une excellente occasion d’observer la concurrence en action. Rencontrez des représentants d’autres entreprises, participez à des discussions et analysez les présentations pour rester à jour.

9. Analyse des stratégies marketing :

Etudiez les campagnes publicitaires, les promotions et les messages marketing de vos concurrents. Comprendre comment ils positionnent leurs produits peut vous aider à affiner votre propre stratégie.

10. Analyse des performances en ligne :

Examinez la présence en ligne de vos concurrents. Analysez leur site web, leurs tactiques de référencement et leur activité sur les médias sociaux pour comprendre leur impact numérique.

En conclusion, évaluer la concurrence est un processus continu qui nécessite une combinaison de méthodes. En utilisant ces dix approches, les entrepreneurs peuvent acquérir des informations précieuses pour affiner leur stratégie commerciale et rester compétitifs sur un marché en constante évolution.

Les freelances : des professionnels d’excellence

Les freelances ne sont pas, ou plus, une niche dans le monde du travail. De plus en plus d’entreprises ont fait le choix de la flexibilité. Mais de plus en plus de travailleurs, en particulier de la fameuse génération Y, font aussi le choix du travail en indépendant. Aux États-Unis, une bonne partie % des travailleurs est déjà freelances. En France, en particulier dans les métiers de l’Internet où une grande partie de notre croissance économique et d’emplois se joue, de plus en plus de métiers se font en indépendant.

Derrière le titre de cet article, il y a une réalité : les freelances ou indépendants sont souvent parmi les meilleurs de leur profession. Je l’ai appris ces derniers mois à leur contact, qu’ils soient développeurs, graphistes, webdesigners, photographes, rédacteurs, etc… Et cela s’explique très simplement.

Par la nature même de leur statut d’indépendant

Si un freelance est freelance, c’est dans la majorité des cas parce qu’il sait qu’il est performant et que son travail va se vendre. En effet, il faudrait être inconscient, si on n’est un graphiste ou développeur au niveau moyen, de se mettre à son compte. C’est parce qu’il sait qu’il justifie de réelles compétences que le freelance choisit cette voie. Certains pourraient croire qu’on choisit le fait d’être freelance par défaut, cela peut arriver certes, mais c’est loin d’être la majorité des cas. Tous les freelances ne souhaitent pour rien au monde retourner en CDI. De base, donc, on devient freelance parce qu’on sait qu’on est l’un des meilleurs dans son domaine.

Par le développement de ses connaissances grâce à des formations

Ensuite, un freelance progresse plus vite. On pourrait croire que les périodes de calme entre deux contrats sont l’occasion de prendre des vacances aux Seychelles, mais lorsque votre statut ne vous donne pas de congés payés ou RTT, vous faites au contraire attention à chaque jour non travaillé pour qu’il soit profitable. En relançant des clients ou prospects bien sûr, mais aussi et très souvent en se formant. 

En effet, un freelance se forme entre 2 contrats, et plus souvent que ne le fait un employé dans la plupart des entreprises. Tout simplement car il doit rester à la pointe de sa profession s’ il veut pouvoir se vendre. Il prend des cours, présentiels ou en ligne, pour se perfectionner sur telle ou telle compétence, et il arrive aussi qu’il en donne. 

D’ailleurs, les formateurs eux-mêmes sont souvent des freelances ! Qui, pour préparer une formation, travaillent intensément et deviennent des experts. Je rencontrais par exemple il y a peu un freelance développeur java qui avant que sa nouvelle mission commence se formait via un cours sur la plateforme coursera.org sur un sujet pointu : les algorithmes de recommandations/suggestions. Difficile d’être en entreprise et dire à son patron que l’on prend 3 heures/jour pour assister à un cours…

Par sa capacité d’adaptation

Être performant dans son travail, c’est avoir des connaissances, certes, mais ce n’est que la moitié du problème. L’autre moitié, ce sont les compétences humaines que vous allez développer. Et l’une des grandes forces des freelances, c’est l’adaptabilité. Lorsque vous passez d’un client à un autre, d’un sujet à un autre, d’une mission de 10 jours à une mission de 6 mois, d’une mission en télétravail à une mission chez le client… vous devez faire preuve d’une forte capacité d’adaptation. Et cela permet de rentrer très rapidement sur un nouveau sujet, un nouveau projet, ce qui est exactement ce que recherchent les entreprises aujourd’hui.

En plus, lorsque vous avez sur les 6 derniers mois travaillé pour 2 start-ups, 3 grands sites e-commerce, et une entreprise du CAC 40, vous avez appris de chacune de ces missions, de chacune de ces entreprises et des équipes côtoyées, ce qui permet de devenir encore meilleur.

Par sa relation client-fournisseur

Lorsqu’un freelance travaille avec un client, il n’est pas dans une relation hiérarchique, avec toutes les complexités que cela peut parfois provoquer, mais dans une relation client-fournisseur, au final très saine. Un freelance souhaite, et souhaitera toujours à chaque mission réalisée, la satisfaction de son client. D’abord parce que c’est le client qui le paie, mais c’est aussi ce même client qui va le reconduire ou pas pour une autre mission, et le recommander en interne ou ailleurs pour d’autres missions. Tout cela pousse à l’excellence.

Et surtout parce qu’il est avant tout un chef d’entreprise

Un freelance n’est pas un artiste totalement déconnecté du monde de l’entreprise. Bien au contraire. Il est même un chef d’entreprise, qui gère des clients, une comptabilité, une communication, les achats, etc… Lorsqu’il intervient en entreprise il est donc plus que d’autres conscients des problématiques de coûts, de timing, et en général des réalités économiques.

Loin de moi cependant l’idée d’opposer employés et freelances. Les employés de demain, dans les entreprises, auront un rôle clé : ils seront les dépositaires d’une marque, d’une culture d’entreprise, et devront savoir s’entourer et animer une myriade de prestataires externes, freelances donc, et experts sur des sujets très variés pour mener à bien leurs projets. C’est déjà en grande partie une réalité. L’entreprise sera une sorte de Hub, ou écosystème, dans lequel évolueront des employés en CDI et des prestataires sur des missions précises. Ce qui est certain, c’est que ceux qui sortiront leur épingle de ce nouveau jeu, sont probablement ceux qui aujourd’hui travaillent déjà de cette façon, qu’ils soient du côté entreprise cliente, ou du côté freelance.

Top 10 des réponses infaillibles aux questions de vos enfants sur votre travail

En tant que parent jonglant avec les équations de travail, les jeux de société impromptus et les « Pourquoi ? » incessants de vos petits explorateurs de la vie, chaque journée ressemble à une mission secrète. Mais quand vient le moment où ils décident d’investiguer votre vie professionnelle, une série de questions redoutables se profile à l’horizon. Ne vous inquiétez pas, voici le Top 10 des réponses infaillibles aux questions de vos enfants sur votre travail qui les laisseront bousculés, tout en maintenant intacte votre réputation de super-héros familial.

1/ « Que fais-tu vraiment au travail ? »

Réponse déroutante : « Oh, tu sais, je suis le maestro derrière la magie du bonheur numérique. Je m’assure que chaque émoticône trouve sa place sur les écrans du monde, un peu comme diriger un orchestre de pixels. »

2/ « Pourquoi travailles-tu autant ? »

Réponse déroutante : « C’est une mission top-secrète cette année ! Le Père Noël m’a choisi pour l’aider à gérer sa liste de cadeaux. Si je réussis, il m’a promis une place sur son traîneau. Pas mal, non ? »

3/ « Gagnes-tu beaucoup d’argent ? »

Réponse déroutante : « En fait, je suis payé en câlins et en bonbons. Plus je travaille, plus j’ai de bonbons à partager avec toi. C’est un peu comme une mission secrète sucrée, tu vois ? »

4/ « Pourquoi vas-tu travailler tous les jours ? »

Réponse déroutante : « C’est parce que mon bureau est un repaire secret où je collabore avec des super-héros du monde entier pour sauver la planète. Si je n’y vais pas, Batman risque de m’envoyer un signal de détresse. »

5/ « À quoi sert ton ordinateur toute la journée ? »

Réponse déroutante : « Je programme des licornes virtuelles pour résoudre des problèmes mondiaux. Les licornes, tu sais, sont des experts en résolution de problèmes. Et devine quoi ? Elles aiment aussi les cookies ! »

6/ « Pourquoi parles-tu toujours de réunions ? »

Réponse déroutante : « Les réunions sont comme des batailles stratégiques. On se rassemble pour élaborer des plans pour défendre le monde contre les monstres ennuyeux. Mais malheureusement, il n’y a pas toujours de cookies à la fin de ces batailles. »

7/ « À quoi sert ce que tu fais au travail ? »

Réponse déroutante : « Je suis le chef des rires. Mon travail consiste à inventer des blagues pour rendre la journée des gens plus joyeuse. D’ailleurs, tu veux entendre une blague ? »

8/ « Travailles-tu avec des robots ? »

Réponse déroutante : « Absolument ! Je suis le grand patron des robots sympas. Ensemble, nous travaillons pour rendre le monde plus cool. Les robots ont juste besoin de directives humaines, sinon ils deviennent trop intelligents ! »

9/ « Pourquoi es-tu souvent fatigué en rentrant du travail ? »

Réponse déroutante : « C’est parce que je combats des dragons ennuyeux toute la journée. Tu sais à quel point il est difficile de convaincre un dragon de se brosser les dents avant d’aller se coucher. »

10/ « Que ferais-tu si tu n’avais pas à travailler ? »

Réponse déroutante : « Si je n’avais pas à travailler, je passerais mes journées à apprendre la langue des dauphins. On ne sait jamais, ils pourraient avoir des conseils cruciaux sur la manière de bien ranger sa chambre. »

Chaque parent est un super-héros dans le monde de ses enfants. Avec ces réponses, vous pouvez rester le maître du mystère tout en transformant votre vie professionnelle en une aventure aussi épique que leurs rêves les plus fous. Après tout, pourquoi la vérité devrait-elle être ennuyeuse quand elle peut être aussi passionnante que leur imagination débordante ?

Comment évaluer la pertinence de l’externalisation de certaines fonctions de l’entreprise ?

Lorsque les entreprises cherchent à optimiser leurs opérations et à rester compétitives sur un marché en constante évolution, l’externalisation de certaines fonctions devient une option stratégique à considérer. Cependant, la décision d’externaliser ne doit pas se prendre à la légère. Il est impératif d’effectuer une évaluation minutieuse afin de déterminer la pertinence de l’externalisation de certaines fonctions de l’entreprise.

Analyse coût-bénéfice approfondie

L’un des principaux moteurs derrière l’externalisation est souvent la réduction des coûts. Cependant, il est essentiel de ne pas se limiter à une vision à court terme. Une analyse coût-bénéfice approfondie doit être réalisée pour évaluer non seulement les coûts directs, mais aussi les avantages à long terme tels que la possibilité de se concentrer sur les activités principales de l’entreprise. Il peut aussi s’agir d’une fonction qui peut être utile sur le long terme. On pourra penser notamment au développement technologique pour une entreprise qui fait du e-commerce par exemple et qu’il pourrait être utile d’avoir en interne si l’entreprise grandit. 

Nature des fonctions à externaliser

Toutes les fonctions ne sont pas égales lorsqu’il s’agit d’externalisation. Les activités non essentielles au cœur de métier de l’entreprise sont souvent les candidats les plus appropriés. Par exemple, les services de support administratif, la gestion de la paie, la comptabilité ou même le service client peuvent être externalisés avec succès.

Évaluation des compétences et de l’expertise des prestataires

Choisir le bon partenaire pour l’externalisation est essentiel. Il est nécessaire de s’assurer que le prestataire possède les compétences et l’expertise nécessaires pour effectuer les tâches de manière efficace. Cela peut paraitre évident mais certaines fonctions peuvent demander un niveau d’expertise supplémentaire. Cela peut impliquer une évaluation détaillée de leur historique de service, des références client et une compréhension approfondie de leurs processus opérationnels.

Gestion des risques et de la qualité

Externaliser certaines fonctions signifie inévitablement partager la responsabilité de la qualité et de la gestion des risques. Établissez des mécanismes clairs pour surveiller la qualité des services fournis par le prestataire et assurez-vous que des protocoles de gestion des risques sont en place pour atténuer les éventuels problèmes.

Impact sur les employés internes et la culture d’entreprise

L’externalisation peut avoir un impact significatif sur les employés internes et la culture d’entreprise. Communiquez de manière transparente sur les raisons derrière cette décision, mettez en œuvre des programmes de transition, et assurez-vous que la culture d’entreprise reste intacte malgré les changements.

Quelques critères si vous souhaitez externaliser

La décision d’externaliser une fonction dans une entreprise dépend de plusieurs facteurs, et il n’y a pas de critères universels qui s’appliquent de manière égale à toutes les organisations. Cependant, voici quelques critères généraux que les entreprises peuvent prendre en compte lorsqu’elles envisagent l’externalisation d’une fonction :

Coûts :

L’un des principaux motifs d’externalisation est souvent la réduction des coûts. Si une entreprise peut obtenir des services de meilleure qualité à un coût inférieur en externalisant, cela peut être un argument convaincant.

Compétences spécialisées :

Si une fonction nécessite des compétences spécialisées qui ne sont pas disponibles en interne, il peut être judicieux de faire appel à des experts externes.

Amélioration de la qualité :

Dans certains cas, des fournisseurs externes peuvent offrir une expertise et des processus plus efficaces, ce qui peut conduire à une amélioration de la qualité des services.

Risque et responsabilité :

L’externalisation peut permettre de partager ou de transférer certains risques et responsabilités à des fournisseurs externes, en particulier dans le contexte de services spécifiques.

Capacité à évoluer :

Une entreprise en croissance peut externaliser certaines fonctions pour répondre à ses besoins actuels tout en restant flexible pour évoluer à l’avenir.

L’externalisation peut être une stratégie puissante pour améliorer l’efficacité opérationnelle d’une entreprise, mais elle doit être abordée avec prudence. Une évaluation complète, incluant une analyse coût-bénéfice approfondie, la nature des fonctions à externaliser, la sélection judicieuse des prestataires, la gestion des risques, et la prise en compte de l’impact sur les employés, est essentielle pour garantir le succès de cette démarche. En adoptant une approche réfléchie, les entreprises peuvent tirer pleinement parti des avantages de l’externalisation tout en minimisant les risques potentiels.

Attention car la qualité de la communication et de la gestion des relations avec les fournisseurs externes est essentielle pour garantir le succès de l’externalisation.

Une valeur qui n’est pas que financière !

La valorisation financière d’une entreprise est souvent considérée comme l’indicateur ultime de son succès. Cependant, de toute évidence, la vraie valeur d’une entreprise ne se limite pas uniquement et heureusement à des chiffres.

Les chiffres, les bilans, et les ratios financiers ! C’est un fait ! Ils sont scrutés de près par les investisseurs, les analystes, les banquiers et les dirigeants d’entreprise pour évaluer la santé et la performance d’une société. Mais, au-delà des aspects purement financiers, il existe une multitude de facteurs intangibles et non financiers qui participent de manière caractéristique à la valeur réelle d’une entreprise.

De nouvelles attentes

Les attentes des parties prenantes, telles que les consommateurs, les employés, les régulateurs, les investisseurs et la société en général, ont évolué et davantage encore depuis la crise sanitaire et climatique. Les questions liées à la durabilité, à la responsabilité sociale et environnementale, l’innovation, la diversité et l’inclusion, la culture d’entreprise, la confiance ainsi que la réputation de l’entreprise sont devenues des critères déterminants pour évaluer la valeur réelle d’une entreprise.

De nouveaux défis

Les entreprises se confrontent désormais à des défis qui ne peuvent s’envisager et se résodre sous l’angle seulement des paramètres financiers. Le contexte actuel, en effet, est marqué par des bouleversements politiques, économiques, technologiques, climatiques et sociaux majeurs. Mais ce n’est pas tout ! La mondialisation des marchés, les avancées rapides de la technologie et l’évolution des préoccupations sociétales ont profondément transformé la dynamique des entreprises.
Et donc dans ce contexte, la portée de la valeur non financière a gagné en pertinence.

Pourquoi la valorisation uniquement financière ne fait pas tout ?

Se concentrer uniquement sur les chiffres conduit, il faut le constater, à une vision tronquée de la réalité. Les facteurs humains, la culture d’entreprise, l’innovation, la qualité des produits et services, la loyauté des clients, ainsi que d’autres éléments non financiers sont à prendre en compte. En effet, il est essentiel de comprendre que la valorisation financière ne capte qu’une partie de la réalité. Les chiffres reflètent le passé et le présent, mais ne sont pas toujours des indicateurs fiables sur l’avenir, souvent empli d’incertitudes mais aussi d’innovations, entre autres, qui bouleversent le paysage économique.
De surcroît, les marchés ne cessent d’évoluer et les entreprises doivent s’adapter en permanence pour prospérer. Les initiatives de développement durable, une culture d’entreprise constructive, une main-d’œuvre motivée et diversifiée, des pratiques de gouvernance exemplaires et des investissements dans l’innovation contribuent, sans conteste, à la pérennité et à la création de valeur. Ignorer ces aspects revient à négliger des données essentielles pour la durabilité et la réussite d’une entreprise.

L’impact de la valorisation non financière sur la rentabilité

Un constat : la valorisation non financière d’une entreprise influence directement sa rentabilité à long terme. Les entreprises qui accordent de l’importance à des facteurs tels que l’engagement des employés, la satisfaction des clients ou encore la réputation de la marque obtiennent des bénéfices tangibles sous forme de réduction des coûts, d’augmentation des ventes, et de fidélité accrue des clients. Les pratiques de développement durable, quant à elles, en plus de mettre en valeur l’image de l’entreprise, réduisent les risques liés aux aléas de l’environnement et génèrent des économies d’énergie et de ressources.

Les défis de la mesure de la valeur non financière

Cependant, il faut reconnaître que mesurer la valeur non financière s’avère fort complexe. Alors que les indicateurs financiers sont généralement quantitatifs et standardisés, les éléments non financiers sont la plupart du temps plus qualitatifs et difficiles à quantifier. Comment mesurer la culture d’entreprise, la satisfaction des employés, la responsabilité sociale, ou la confiance des parties prenantes ?

Objectif de ce dossier

Pour cerner la vraie valeur d’une entreprise, nous considérerons les dimensions non financières. Il existe différentes méthodes et indicateurs qui permettent d’appréhender cette valeur dans sa globalité. En effet, il devient fondamental désormais pour les entreprises de tenir compte dans leur stratégie de tous les paramètres.
Ce dossier a pour but d’encourager les entreprises et dirigeants à adopter une vision plus globale de leur valeur. Il fournira des perspectives et des outils pour évaluer, gérer, et communiquer la valeur non financière car, comme nous venons de l’évoquer, la vraie valeur d’une entreprise dépasse largement les chiffres inscrits dans ses états financiers. Nous explorerons également des cas concrets et des exemples pratiques de sociétés qui ont réussi à intégrer avec succès ces dimensions non financières pour créer une valeur durable.
Vous pourrez examiner les différentes méthodes et outils qui ont été développés pour évaluer ces aspects immatériels de la valeur. Nous allons vous proposer des réflexions sur la façon de les intégrer de manière significative dans la prise de décision stratégique des entreprises.

Les règles d’or pour réussir sa participation à un salon professionnel

Vous souhaitez générer de nouveaux contacts, favoriser la notoriété de votre marque, lancer un produit ou plus simplement accroître vos ventes ? Pourquoi ne pas exposer sur un salon professionnel, rendez-vous incontournable des acteurs d’un marché ? Il s’agit d’un outil de promotion rentable et efficace… à condition qu’il soit bien préparé !

Le choix du salon

Près de 350 salons professionnels sont organisés en France chaque année. Pour être certain de faire le bon choix, posez-vous d’abord les questions suivantes :

  • Ce salon correspond-il vraiment à mon cœur de métier ?
  • Quel est le profil des visiteurs / est-il en adéquation avec ma cible principale ?
  • Quel est le nombre de visiteurs ? Est-il en augmentation constante d’une année sur l’autre ?
  • Quels sont mes objectifs chiffrés (afin de mesurer le retour sur investissement) ?
  • Quelles sont les modalités de participation et le budget nécessaire pour exposer ?

N’hésitez pas à visiter le salon ciblé une première fois avant d’exposer : une bonne façon de valider la pertinence d’une participation future que ce soit pour mieux connaître les visiteurs, les lieux, l’ambiance…

Le budget

Devenir exposant est souvent onéreux – d’autant plus si la thématique du salon attire les foules.
Voici trois conseils pour limiter les coûts :

  • Partager son stand avec une marque partenaire (veillez à la cohérence et la complémentarité des produits/services proposés).
  • Profiter des offres de bouclages des organisateurs : certains stands non loués sont bradés à la dernière minute… Attention toutefois, vous n’aurez pas le choix de l’emplacement.
  • Aménager vous-même le stand sans passer par un standardiste. Cette option nécessite un minimum de savoir-faire et ne vous dispense pas de respecter le cahier des charges de l’organisateur en termes de consignes de sécurité, d’assurances…

Les quatre facteurs de réussite

La visibilité :

Tout comme un commerce de proximité, le critère n°1 est l’emplacement du stand ! L’objectif : avoir un maximum de trafic et donc, de contacts. Et attention aux idées reçues : un stand situé à l’entrée principale ou à proximité d’un podium/bar/point info (…) sera remarqué mais pas forcément visité. L’idéal est donc d’être positionné sur les principaux axes de passage – généralement indiqués sur le plan du salon remis à l’inscription.

Les stands étant attribués selon l’ordre d’arrivée des réservations, ne traînez pas à vous inscrire ! (au moins 6 mois à l’avance).

L’attractivité :

Soignez l’aménagement du stand, la présentation de vos produits. Misez sur un éclairage créant une ambiance chaleureuse et prévoyez des supports de communication expliquant votre concept et présentant vos principaux arguments commerciaux (affiches, kakemono, plaquettes…). Selon la taille du stand, prévoyez des hôtesses en renfort pour l’accueil des visiteurs.

L’animation :

Pour capter l’attention et attirer les visiteurs, vous pouvez proposer sur votre stand des démonstrations et dégustations de vos produits, offrir des goodies, réaliser un jeu-concours, organiser un cocktail, des rendez-vous d’affaires, inviter quelques journalistes à une mini conférence de presse… Bref, donner vie à votre stand !

La communication :

La participation à un salon est un excellent prétexte pour communiquer :

  • Auprès de vos clients, prospects, partenaires : invitez vos contacts via email, courrier ou téléphone au moins 3 semaines à l’avance. Vous pouvez également annoncer votre participation sur votre site internet, en signature de vos mails… Tous les moyens sont bons pour relayer l’information !
  • Auprès des journalistes de la presse spécialisée : préparez un dossier et un communiqué de presse, diffusez-les en amont et remettez quelques exemplaires au pôle presse du salon.
  • Dans les différents supports proposés par l’organisateur (plan, catalogue, fiche exposant, site web du salon…), selon vos moyens budgétaires.
  • N’hésitez pas à concevoir une offre promotionnelle « spéciale Salon » (remise tarifaire, prime à l’achat…), pour doper vos ventes auprès des visiteurs.
  • Participez à une conférence ou un atelier thématique pour vous positionner comme un expert et gagner en légitimité.
  • Enfin, constituez une base de données grâce à des fiches contacts à compléter à chaque rencontre : vous pourrez par la suite exploiter ces contacts et les relancer via des opérations de marketing direct (emailing, phoning…) par exemple.

Vous l’aurez compris : participer à un salon ne s’improvise pas. N’hésitez pas à lister les actions à réaliser avant/pendant et après le salon : une check-list bien utile pour rencontrer le succès ! Ou faites-vous (bien) accompagner par des spécialistes en communication.

Analyse de la rentabilité du capital investi (ROIC) 

Une mesure se distingue comme un indicateur très utile de la santé financière d’une entreprise : le ROIC ou retour sur investissement en capital. Cette métrique, souvent négligée par les investisseurs occasionnels, offre une fenêtre transparente sur la manière dont une entreprise utilise ses ressources pour générer des rendements.

Qu’est-ce que le ROIC ?

Le retour sur investissement en capital est une mesure financière qui évalue l’efficacité d’une entreprise à générer des rendements sur le capital investi dans ses opérations. En d’autres termes, il répond à la question simple : « combien d’argent une entreprise gagne-t-elle pour chaque euro investi ? »

La formule du ROIC est : 

ROIC= Bénéfice d′Exploitation (EBIT)​ / Capital investi

Où :

  • EBITEBIT représente le Bénéfice d’Exploitation avant intérêts et impôts.
  • Capital  investi se réfère au capital total investi dans l’entreprise, y compris la dette et les capitaux propres. Cela peut être calculé en prenant la somme des capitaux propres et de la dette, ajustée pour exclure la trésorerie.

La formule peut également être exprimée de la manière suivante :

ROIC=Bénéfice d′Exploitation (EBIT) ×(1−Tauxd′Impôt)/(Capitaux Propres + Dette – Trésorerie

Où Taux d′Impôt représente le taux d’imposition applicable à l’entreprise.

Pourquoi le ROIC est-il important?

  1. Rendement réel : le ROIC offre une perspective réelle sur la performance financière d’une entreprise, en tenant compte de son niveau d’endettement. Cela permet aux investisseurs de voir au-delà des bénéfices simplement déclarés.
  2. Comparaison juste : en comparant le ROIC de différentes entreprises, les investisseurs peuvent évaluer objectivement la manière dont elles utilisent le capital pour générer des rendements. Cela est particulièrement important dans des industries où les coûts d’exploitation peuvent varier considérablement.
  3. Indicateur de gestion efficace : un ROIC élevé est souvent le signe d’une gestion efficace des ressources et d’investissements judicieux dans des projets rentables.

Comment l’interpréter?

  • Roic positif : positif, il indique que l’entreprise génère des rendements sur son capital investi. Un chiffre élevé suggère une gestion prudente et des investissements judicieux.
  • Roic négatif : négatif, il peut signaler des difficultés financières. Cependant, il est essentiel de creuser plus profondément pour comprendre les raisons sous-jacentes.

Étude de cas :

Prenons l’exemple d’une entreprise technologique xyz. Avec un ROµIC de 15%, elle génère 15 cents de bénéfice pour chaque euro investi. Comparons cela à une entreprise concurrente avec un ROIC de 8%. Xyz semble être une meilleure utilisation du capital, du moins sur cette base.

Outils & Astuces 

1/ Utiliser des Logiciels d’Analyse Financière 

Des outils tels que Bloomberg, FactSet, ou encore des plates-formes de trading en ligne offrent souvent des fonctionnalités d’analyse financière avancées. Ces logiciels peuvent simplifier le calcul du ROIC et fournir des graphiques et des rapports détaillés sur la performance d’une entreprise au fil du temps.

2/ Comparer le ROIC dans le temps 

Le ROIC peut varier d’une année à l’autre en raison de circonstances exceptionnelles ou de changements dans la stratégie d’entreprise. Comparer le ROIC sur plusieurs années peut fournir une image plus claire de la constance dans la génération de rendements.

3/ Considérer les secteurs d’activité 

Les industries ont des coûts de capital différents et des cycles de vie variés. Comparer le ROIC d’une entreprise à celui de ses pairs dans la même industrie offre une perspective plus juste sur sa performance relative.

4/ Ajuster pour l’endettement et les actifs immobilisé

Les entreprises financées principalement par la dette peuvent avoir un ROIC élevé en apparence, car l’endettement réduit le capital investi. Il peut être utile d’ajuster le ROIC en fonction de la dette pour obtenir une image plus précise de la performance opérationnelle. 

Aussi, dans certaines industries, les entreprises peuvent avoir des actifs importants qui ne génèrent pas nécessairement des rendements immédiats. Exclure ces actifs du calcul du capital investi peut fournir une mesure plus précise du rendement opérationnel.

Top 10 des difficultés que vous allez rencontrer en tant qu’entrepreneur

Lancer sa propre entreprise, c’est comme se lancer dans une épopée. Il y a de l’imprévisible et une aventure où chaque virage réserve son lot de surprises et de défis. Cependant, il faut se rappeler que ces embûches, loin d’être des entraves insurmontables, sont autant d’occasions de grandir et d’apprendre. Voici un regard approfondi sur les dix difficultés incontournables auxquels les entrepreneurs font face, des obstacles qui façonnent non seulement leurs entreprises, mais aussi leur propre trajectoire professionnelle et personnelle.

1/ La quête du Graal financier 

Le saint Graal de l’entrepreneuriat, c’est le financement. Réaliser ses rêves d’entreprise peut souvent se réduire à une quête incessante de capitaux. Jongler avec des ressources limitées, rechercher des investisseurs bienveillants ou négocier des prêts tout en maintenant une boussole financière stable devient le rite de passage initial. Si on peut toujours se passer d’investisseurs, la trésorerie représente souvent comme on le dit le nerf de la guerre alors soyez prêt. 

2/ L’arène de la concurrence 

Entrer sur le marché, c’est entrer dans une arène. La concurrence, féroce et omniprésente, devient un partenaire constant. La nécessité de se démarquer et de créer une proposition de valeur unique devient la stratégie de survie. Comme dans une arène, n’hésitez pas à évaluer vos concurrents, à vous intéresser à leurs forces ou faiblesses. Vous pouvez également penser à vous allier avec eux. 

3/ Le puzzle de la gestion du temps 

La gestion du temps est souvent le défi le plus sous-estimé. Jongler entre des dizaines de tâches et de responsabilités nécessite une adresse digne d’un funambule. Les entrepreneurs sont des maîtres du multitâche, mais la clé réside dans une gestion du temps stratégique et efficace. Vous devrez rapidement vous habituez à utiliser une to do list ou encore à rechercher les mécanismes qui vont permettre de gagner du temps. Il faudra aussi vous débarrasser des mangeurs de temps. 

4/ Le marathon de la résilience émotionnelle 

L’entrepreneuriat est un marathon émotionnel. Les succès exaltants et les échecs dévastateurs sont monnaie courante. La capacité à rebondir après un revers, à apprendre de chaque échec et à maintenir une attitude positive dans les moments les plus sombres devient le pilier de la réussite. Il faut donc vous attendre à des instants de bonheur comme à d’autres de stress où vous vous sentirez parfois bien seul. 

5/ Le ballet de l’adaptabilité 

Les marchés sont comme des danseurs capricieux, changeant constamment de pas. L’entrepreneur doit être un danseur agile, prêt à ajuster sa chorégraphie pour suivre le rythme changeant du marché. L’adaptabilité devient une compétence de survie et est de plus en plus nécessaire pour la survie notamment car les évolutions technologiques se font de plus en plus rapidement. 

6/ La quête des étoiles 

Construire une équipe solide est comme chercher des étoiles dans une galaxie infinie. Recruter, motiver et retenir les talents deviennent des défis épiques. L’entrepreneur est un chef d’orchestre, orchestrant une symphonie d’individualités vers un objectif commun. Il vous faudra viser la lune pour au pire atterrir dans les étoiles comme le veut le proverbe. 

7/ La labyrinthe réglementaire 

Naviguer à travers le labyrinthe des réglementations peut sembler une tâche herculéenne. Comprendre et respecter les normes locales, nationales et internationales devient une quête, une sorte de recherche du Graal juridique.

8/ L’alchimie de l’innovation 

L’innovation est l’alchimie de l’entrepreneuriat. La capacité à transformer des idées en or exige une recherche et un développement continus. Les entrepreneurs doivent être des alchimistes modernes, constamment à la recherche de la formule magique pour rester en tête.

9/Le balancier du stress 

L’entrepreneuriat, c’est comme équilibrer sur un fil de fer au-dessus du Grand Canyon. La pression constante peut saper la santé mentale. Gérer le stress de manière constructive devient une compétence de survie. Les entrepreneurs sont souvent victime de burn-out et vous n’y ferez pas exception si vous n’arrivez pas à ménager votre monture. L’entrepreneuriat est un marathon plus qu’un sprint. 

10/ L’harmonie du travail et de la vie personnelle 

L’entrepreneuriat est une danse constante entre passion et réalité. Trouver l’harmonie entre vie professionnelle et vie personnelle devient un défi éternel, un numéro d’équilibriste qui demande une maîtrise subtile.

5 conseils pour cartonner sur le B to B

En tant qu’entrepreneur visionnaire naviguant dans les eaux du B to B, la réussite ne se laisse pas au hasard. La mise en place d’une stratégie robuste est impérative pour s’assurer que votre entreprise se démarque dans un environnement concurrentiel. Voici cinq conseils pour cartonner sur le B to B et qui pourraient bien être la clé de votre succès.

1/ Choisissez un marché maîtrisé 

La première étape est de jeter les bases de votre entreprise sur un terrain familier. Optez pour un marché que vous connaissez à la perfection. Cette connaissance approfondie ne se limite pas seulement à une compréhension des produits ou des services, mais englobe également une compréhension aiguisée des tendances, des besoins des clients et des nuances du secteur. En vous positionnant ainsi, vous maximisez vos chances de succès en anticipant les évolutions du marché.

2/ Construisez une équipe polyvalente 

L’importance d’une équipe bien équilibrée ne peut être surestimée. Réunissez des individus dotés de compétences techniques pointues, de créativité débordante et d’analyses percutantes. La synergie entre ces compétences variées garantit une approche holistique des défis, de la conception à l’exécution. Une équipe diversifiée est le moteur de l’innovation, propulsant votre entreprise au sommet de l’efficacité opérationnelle.

3/ Explorez le marché européen 

Les horizons du succès s’étendent au-delà des frontières nationales. Mettez le cap sur le marché européen, un terrain fertile en opportunités. Comparé aux États-Unis, l’Europe offre un écosystème similaire de PME, mais avec une identité culturelle et des besoins distincts. En capitalisant sur votre connaissance approfondie de ce marché, vous pouvez ériger des barrières à l’entrée et positionner votre entreprise comme un acteur incontournable.

4/ Priorisez les petites entreprises 

Dans la quête de clients, privilégiez la multitude plutôt que l’ampleur. Cibler les petites entreprises plutôt que les mastodontes présente des avantages stratégiques. Cumuler un grand nombre de clients de petite taille crée un tampon de sécurité contre les fluctuations du marché. La diversification de votre portefeuille client offre une stabilité financière accrue et une résilience face aux aléas économiques.

5/ Conception d’une offre universelle 

La clé de l’adaptabilité réside dans la création d’une offre polyvalente. Développez un produit ou un service qui peut être adapté à une pléthore d’entreprises, du plus petit office de tourisme régional au département marketing sophistiqué d’une PME, en passant par le professionnel indépendant. Votre flexibilité à répondre aux besoins diversifiés des entreprises, qu’elles soient locales ou internationales, positionne votre entreprise comme un partenaire de choix sur l’échiquier mondial.

En embrassant ces conseils, les entrepreneurs B to B peuvent non seulement survivre mais aussi prospérer dans un paysage commercial dynamique. La clé réside dans la prévoyance, l’adaptabilité et la construction d’une entreprise agile, prête à relever tous les défis que le B to B peut présenter. En suivant ces lignes directrices, vous mettez toutes les chances de succès de votre côté !

Les 10 signes que vous avez besoin de vacances

Les entrepreneurs sont des êtres audacieux qui jonglent avec les deadlines comme des acrobates du cirque, souvent au détriment de leur propre bien-être. Si vous commencez à vous demander si une escapade est dans les cartes pour vous, alors que votre dernier séjour ressemble plus à un mirage qu’à une réalité, cet article pourrait vous parler. Voici les 10 signes sournois qui suggèrent que vous avez grand besoin de vacances.

1/ Votre bureau : zone de combat ou espace créatif ?

Si votre espace de travail ressemble à un champ de bataille post-apocalyptique, avec des piles de documents rivalisant pour le titre de « la tour la plus haute », il est peut-être temps d’évacuer avant que votre bureau ne déclare officiellement son indépendance.

2/ Le syndrome du « Vivement la retraite »

Si vos discours intérieurs finissent toujours par « Vivement la retraite », même si celle-ci est à des décennies de distance, il est peut-être temps de reconnaître que votre vie quotidienne ressemble de plus en plus à une épreuve olympique sans la médaille d’or à la clé.

3/ Café, la potion magique : niveau expert

Lorsque votre café matinal nécessite une dose de café pour être réveillé, on peut se demander si vous êtes un entrepreneur ou un alchimiste moderne. Peut-être est-il temps de troquer votre tasse contre une baguette magique et de faire apparaître des vacances.

4/ Où est passé le soleil ?

Si votre seul souvenir du soleil est une vague lueur à travers la fenêtre de votre bureau, il est peut-être temps d’ajouter quelques rayons de vitamine D à votre régime quotidien. Votre teint fantomatique pourrait bien être le nouvel accessoire à la mode, mais rien ne vaut un bronzage naturel.

5/ La playlist de motivation : plus une complainte

Si votre playlist de motivation ressemble davantage à une triste ballade qu’à un hymne épique, peut-être est-il temps de remplacer le « Eye of the Tiger » par quelque chose de plus exotique. Qui sait, peut-être que « La Mer » de Charles Trenet stimulera votre créativité.

6/ Les vacances par procuration

Si la majeure partie de votre temps est consacrée à admirer les photos de vacances paradisiaques de vos amis sur les réseaux sociaux, il est peut-être temps de quitter virtuellement la plage d’autrui et de réserver la vôtre. Rappelez-vous, il est préférable de créer vos propres souvenirs plutôt que de collectionner ceux des autres.

7/ La cuisine, devenue vestige du passé

Si votre cuisine ressemble davantage à un entrepôt de livraison qu’à un lieu de création gastronomique, il est peut-être temps de redécouvrir le goût des légumes frais et de faire de votre four autre chose qu’un espace de stockage.

8/ Le contact humain, c’est quoi déjà ?

Si votre seul interlocuteur non virtuel est votre assistant personnel, peut-être est-il temps de sortir de votre bulle numérique et de redécouvrir l’art ancien de la conversation. On dit même que cela peut être divertissant.

9/ Rêver de vacances en pleine réunion

Si vous avez déjà échafaudé un plan pour vous évader sur les plages de Bali tout en discutant du budget annuel, il est peut-être temps de donner vie à ces rêves. Après tout, qui a dit que les réunions ne pouvaient pas être plus exotiques ?

10/ Les messages cachés de votre ordinateur

Si votre écran d’ordinateur commence à afficher des messages subliminaux du type « Allez, fiche-moi le camp ! » ou « Sérieusement, tu ne peux pas attendre cinq jours de plus ? », il est peut-être temps d’écouter ces conseils informatiques. Qui sait, peut-être que même votre PC pense que vous méritez une pause.

Même si vous vous reconnaissez dans ces signes, l’idée de vacances pourrait encore être un rêve lointain. Mais, entre nous, même Iron Man prend des jours de congé de temps en temps. Alors, pourquoi pas vous ? Prenez une pause bien méritée, revenez rafraîchi, et qui sait, peut-être que la prochaine grande idée entrepreneuriale viendra à vous pendant que vous siroterez un cocktail sur une plage tropicale.