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Top 10 des ressources en ligne gratuites pour les entrepreneurs

Le chemin vers le succès est pavé d’opportunités à saisir et de défis à surmonter. Cependant, naviguer dans ce paysage dynamique nécessite une boîte à outils bien garnie. Heureusement, l’ère digitale nous offre une pléthore de ressources en ligne, chacune constituant une pépite d’or virtuelle pour les entrepreneurs. Voici les 10 ressources gratuites qui peuvent faire la différence pour les créateurs d’entreprise.

1/ Google My Business : la carte de visite virtuelle

Développée par le géant des moteurs de recherche, Google My Business est bien plus qu’une simple inscription. En créant votre fiche d’entreprise, vous jetez les bases d’une visibilité locale accrue. Vous ouvrez ainsi les portes de nouvelles opportunités et clientèles. Vous pouvez profiter des avis de vos clients qui en attireront d’autres à condition de les satisfaire alors pourquoi s’en priver ?

2/ HubSpot Academy : l’académie de l’excellence entrepreneuriale

Les cours gratuits de l’HubSpot Academy offrent une plongée en profondeur dans les arcanes du marketing, des ventes et du service client. Accessibles à tous les niveaux, ces cours sont un compagnon de route idéal pour affûter ses compétences. Ils vous permettent de rester à la pointe des tendances du marché.

3/ Canva : votre atelier de design virtuel

Pour les entrepreneurs désireux de créer des visuels accrocheurs sans l’expertise d’un graphiste, Canva est l’allié parfait. Des modèles de logos aux présentations marketing, cette plateforme intuitive offre une palette de possibilités créatives.

4/ SCORE : le mentorat virtuel

En tant que partenaire de la Small Business Administration aux États-Unis, SCORE offre un mentorat virtuel sous la forme de webinaires, de conseils pratiques et de modèles de plan d’affaires. Une boussole précieuse pour guider les entrepreneurs dans leur périple.

5/ TED (Talks – Entrepreneuriat) : l’inspiration en quelques clics

Les TED Talks consacrées à l’entrepreneuriat sont une source inépuisable d’inspiration. Des entrepreneurs chevronnés partagent leurs histoires, leurs défis et leurs triomphes, offrant ainsi des perspectives uniques sur le monde de l’entreprise.

6/ MailChimp : l’art de la communication digitale

La création et la gestion de campagnes marketing par e-mail sont très efficaces à condition de bien les faire. MailChimp propose une version gratuite, permettant aux entrepreneurs de démarrer leur liste de diffusion sans investissement initial.

7/ Medium : la toile des idées entrepreneuriales

Medium offre une plateforme de publication où les entrepreneurs peuvent partager expériences et conseils avec une communauté mondiale. Lire des articles pertinents peut apporter des connaissances pratiques et des perspectives enrichissantes.

8/ Khan Academy : l’école virtuelle de l’entrepreneurat

Bien connue pour son engagement éducatif, Khan Academy propose des cours gratuits couvrant un éventail de sujets, de la finance à la programmation. Une opportunité d’acquérir de nouvelles compétences pour propulser votre entreprise.

9/ WordPress : la scène virtuelle pour les entrepreneurs

La création d’un site web professionnel est impérative dans le monde numérique actuel. WordPress offre une plateforme gratuite, souple et conviviale pour établir et gérer votre présence en ligne sans maîtriser les subtilités techniques.

10/ Small Business Trends : l’oreille sur le pouls du marché

Pour rester informé des dernières tendances dans le monde des petites entreprises, Small Business Trends est votre source incontournable. Des articles informatifs et des analyses approfondies vous aident à prendre des décisions éclairées dans un environnement commercial en constante évolution.

En explorant ces trésors virtuels, les entrepreneurs peuvent renforcer leurs compétences, élargir leur réseau et propulser leur entreprise vers de nouveaux horizons. Dans une ère où l’information est le nerf de la guerre, ces ressources en ligne gratuites se posent comme des alliées de choix pour ouvrir la voie du succès.

Souplesse et économie sont-ils les seuls avantages de la location de bureaux partagés ?

La location de bureaux partagés est une solution de plus en plus prisée par les entreprises. La raison est avant tout d’ordre économique, mais ce n’est pas la seule. Quels sont les autres avantages – mais aussi les principaux désavantages – pour une entreprise de partager ses bureaux avec d’autres sociétés en 2015 ?

La location de bureaux, une nécessité pour une majorité d’entreprises

Vaut-il mieux être propriétaire ou locataire de ses bureaux de travail ? C’est une question qui ne se pose pas pour une large majorité de nos grandes entreprises. Bien souvent, elles se retrouvent avec des biens immobiliers hérités, localisés dans le centre des grandes villes prenant de la valeur et de la plus-value avec les années. Mais pour les petites entreprises et notamment toutes celles qui commencent une activité professionnelle, investir dans des biens immobiliers n’est sûrement pas l’objectif numéro un, loin de là, pour des raisons de trésorerie évidentes. Aussi, la solution de louer des bureaux dans des centres d’affaires conçus et parfaitement aménagés est fortement recommandée. Lorsque le nombre de bureaux à disposer est faible, la location peut être partagée avec d’autres entreprises.

Les avantages de la location de bureaux partagés

Le premier avantage est bien évidemment d’ordre économique. Bien souvent situés dans des centres d’affaires, les bureaux de travail sont de véritables lieux professionnels fonctionnels et parfaitement équipés en mobilier et en réseaux informatiques. Aussi, avoir la possibilité de choisir quasiment au mètre carré la surface de bureaux à disposer est un véritable atout d’un simple point de vue comptable. Quitte même à augmenter le nombre de bureaux (ou à le diminuer) selon le développement ultérieur et la situation financière de l’entreprise. La location de bureaux partagés est donc intéressante d’un point de vue flexibilité pour une petite entreprise. 

Mais l’autre énorme avantage de la location de bureaux partagés est incontestablement la possibilité de mutualiser certains services. On pensera à la réception et l’accueil, aux moyens de sécurité ou à l’entretien des bureaux et des espaces verts. C’est aussi le meilleur moyen de partager une salle de réunion lorsque son utilisation n’est qu’épisodique. D’autres services comme la photocopieuse, l’imprimante laser ou le fax peuvent également être mis en commun. Enfin, faire jouer les synergies entre entreprises colocataires peut s’avérer être un excellent moyen de développement des business respectifs de chacune.

Les inconvénients de la location de bureaux partagés

Pour des raisons liées essentiellement au type d’activités (comme par exemple la sécurité, les secteurs sensibles liés à la défense et au nucléaire ou les activités tout simplement incompatibles entre elles), certaines entreprises ne pourront pas s’engager dans la location de bureaux partagés avec n’importe quelles autres sociétés. Le suivi du règlement interne (unique) peut également dans certains cas poser problème à certaines entreprises. Ce sont les deux causes principales qui pourraient interdire une entreprise de prétendre à la location de bureaux partagés. Celle-ci reste, et de loin, la meilleure solution pour les TPE/TPI/PMI/PME. Ceci, pas seulement pour des raisons liées à la souplesse et à l’économie…

Le top 10 des signaux d’alarme que vous travaillez trop (et qu’il est temps de ralentir)

Vous jonglez constamment entre les e-mails, les réunions et les tâches interminables ? Mais que se passe-t-il lorsque la ligne entre le travail et la vie personnelle devient floue, et que même votre café a besoin d’une pause-café ? C’est le moment où les signaux d’alarme devraient sonner – et non, ce n’est pas le son de votre dernier e-mail urgent. Voici le Top 10 des signes que vous avez peut-être dépassé la limite du travail acharné et que le temps est venu de ralentir.

1/ Votre café est tellement fort que même les cuillères tremblent de peur

Si votre café est plus fort que la conviction de vos résolutions du Nouvel An, vous pourriez être sur la voie rapide vers un abonnement chez les torréfacteurs anonymes. Si vos collègues se cachent chaque fois que vous faites un expresso, c’est peut-être un signe subtil qu’il est temps de reconsidérer votre relation avec la caféine.

2/ Votre bureau ressemble à un champ de bataille post-apocalyptique

Si votre bureau ressemble à une zone de quarantaine après une invasion de post-it et de documents, vous avez peut-être dépassé le stade de l’organisation et atteint le niveau « scientifique fou ». L’archivage virtuel ne devrait pas se sentir comme la recherche d’une aiguille dans une botte de foin.

3/ Vous réservez votre sourire pour les selfies

Si votre sourire est devenu un acteur de soutien dans votre vie professionnelle, apparaissant uniquement lors des selfies du week-end, il est temps de le sortir pour une représentation principale au travail. Un sourire au travail est comme une bouffée d’air frais dans une salle de réunion pleine de tableaux Excel.

4/ Vous avez épuisé la corbeille de « bons plans pour plus tard »

Si votre corbeille à idées déborde de projets géniaux que vous n’avez jamais eu le temps de concrétiser, peut-être est-il temps d’accepter que votre rêve d’ouvrir une pizzeria hawaïenne dans l’Arctique est peut-être un peu trop ambitieux.

5/ Vous discutez avec Siri comme s’il était votre thérapeute virtuel

Si vos conversations les plus intimes sont avec votre assistant virtuel plutôt qu’avec de vraies personnes, vous pourriez être en train de glisser doucement dans la dimension de la solitude numérique. Siri ne peut pas remplacer un véritable échange humain, surtout quand il s’agit de décider où déjeuner.

6/ Vous faites du multitâche tellement bien que même vos rêves sont surchargés

Si vos rêves ressemblent à une chorégraphie de tâches à accomplir, avec des alarmes qui sonnent et des e-mails flottant dans l’air, il est peut-être temps de réaliser que même votre subconscient a besoin d’une pause. Le multitâche a ses limites, même dans le royaume des rêves.

7/ Votre playlist de travail est une série ininterrompue de balades mélancoliques

Si votre playlist de travail ressemble à une bande-son de film dramatique, vous pourriez inadvertamment avoir transformé votre bureau en une scène de mélodrame. Il est peut-être temps d’ajouter une touche de jazz ou de pop pour réveiller l’atmosphère et peut-être même organiser un « vendredi danse » occasionnel.

8/ Votre lampe de bureau est devenue votre étoile polaire

Si votre lampe de bureau est la seule source de lumière que vous voyez pendant des jours, vous pourriez être sur le point de devenir un expert en ergonomie mais un novice en ce qui concerne la lumière naturelle. Quitter la clarté artificielle et se plonger dans la lumière du jour peut être une révélation.

9/ Votre boîte de réception est un labyrinthe sans fin

Si votre boîte de réception ressemble à un labyrinthe sans issue, avec des e-mails se transformant en Minotaure, il est temps de déposer le fil d’Ariane du tri numérique. Un nettoyage de printemps virtuel pourrait faire des merveilles pour votre productivité et votre santé mentale.

10/ Vous planifiez vos vacances à la retraite

Si vos plans de vacances les plus concrets sont situés à l’horizon lointain de votre retraite, peut-être est-il temps de reconsidérer votre équation entre le travail et le temps personnel. Les vacances ne devraient pas être une odyssée mythique, mais plutôt un rendez-vous régulier sur votre calendrier.

Si ces signaux d’alarme vous semblent familiers, il est peut-être temps de lever le pied ! Le travail acharné est certes admirable, mais vous avez besoin de moments de répit. Alors, faites une pause, respirez profondément, et rappelez-vous que le vrai succès réside dans un équilibre sain entre vie professionnelle et vie personnelle.

Prêt immobilier : pouvez-vous choisir votre assureur ?

Lorsque vous souscrivez un prêt immobilier, vous devez prendre des décisions connexes, dont le choix de l’assureur. Ce dernier peut en effet avoir des répercussions significatives sur le coût de l’assurance, les conditions de couverture et même la flexibilité en cas de modifications ultérieures du contrat. Lorsque vous choisissez un bon produit d’assurance, vous pouvez réaliser de nettes économies sur votre investissement. Vous êtes sur le point de faire un prêt immobilier ? Nous vous donnons des informations importantes sur le choix de votre assureur afin de vous permettre d’optimiser financièrement l’achat de votre bien immobilier.

À quoi sert l’assurance emprunteur dans le cadre d’un prêt immobilier ?

La souscription de l’assurance emprunteur n’est pas une obligation légale, mais elle peut être exigée par votre organisme préteur lorsque vous demandez un prêt immobilier. Lorsque la banque vous prête de l’argent, elle prend le risque de ne pas recouvrer ses fonds suite à une invalidité qui vous empêcherait de travailler ou un décès. Elle demande donc cette assurance emprunteur pour se prémunir et garantir la solvabilité de son prêt.

L’assurance emprunteur ne protège pas uniquement l’organisme prêteur, mais également l’assuré. Elle vous permet de vous prémunir contre le risque de ne pas pouvoir rembourser les échéances de votre prêt. Ainsi, en cas d’aléas de la vie, votre assureur prendra le relais pour rembourser le capital et/ou les intérêts restants. C’est également une formule idéale pour protéger vos proches en évitant la saisie de vos biens pour honorer la dette. Une assurance emprunteur est ainsi un excellent outil de la protection de la cellule familiale. Elle vous donne la certitude de léguer à vos enfants ou à votre conjoint un actif immobilier net de remboursement de crédit en cas de coup dur de la vie.

L’assurance emprunteur couvre de nombreux risques de la vie. Les garanties obligatoires de ce type de contrat sont le décès et la perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA). Elles sont soumises à certaines conditions liées à l’âge qui peuvent varier d’un établissement prêteur à un autre. Les garanties invalidité (totale ou partielle) et incapacité de travail peuvent également être incluses dans le contrat d’assurance emprunteur. Si vous êtes un salarié avec un contrat à durée indéterminée, vous pouvez également choisir la garantie perte d’emploi. Elle est facultative et vous protège en cas de perte involontaire d’emploi causé par un licenciement hors de la période d’essai.

Pouvez-vous choisir vous-même votre assurance emprunteur ?

Avant, les institutions financières imposaient leur propre assurance emprunteur ou celle de l’un de leurs partenaires dans le cadre d’un prêt immobilier. Aujourd’hui, la législation offre une grande flexibilité. Il est désormais possible, voire recommandé de choisir soi-même son assurance emprunteur. Vous pouvez donc vous adresser à l’assureur de votre choix pour couvrir votre prêt immobilier.

Avec cette possibilité de choix, les emprunteurs peuvent comparer les différentes offres disponibles sur le marché pour sélectionner une assurance qui correspond le mieux à leurs besoins. Cela vous permet de personnaliser les options selon vos besoins et d’obtenir une formule plus avantageuse financièrement. Vous pouvez ainsi choisir le coût de la prime, les garanties offertes, les exclusions et les modalités de modifications en cas de changement de votre situation personnelle.

L’établissement prêteur ne peut pas revoir les conditions du prêt immobilier qu’il vous a accordé ou proposé lorsque vous choisissez un contrat d’assurance emprunteur externe. Vous devez cependant vous assurer que l’assurance choisie répond aux critères requis par la banque prêteuse pour éviter les éventuelles complications lors de l’acceptation du prêt. Il est généralement nécessaire de fournir à la banque des garanties équivalentes à celles de l’assurance qu’elle propose.

Comment payer moins cher votre assurance emprunteur ?

Pour optimiser votre investissement, vous devez chercher à réduire le coût de votre assurance emprunteur lorsque vous contractez un prêt immobilier. La première astuce pour y arriver consiste à comparer méticuleusement les offres du marché. N’acceptez pas automatiquement l’assurance proposée par votre banque prêteuse. Cherchez des alternatives qui proposent des solutions plus économiques, mais avec la même qualité de couverture. Il existe de nombreux assureurs. Demandez donc des devis auprès de différents organismes et choisissez une police sur mesure qui est adaptée à vos besoins.

La négociation est également une solution optimale pour payer moins cher votre assurance emprunteur. Les compagnies d’assurance peuvent en effet personnaliser les tarifs en fonction de certains critères. Par exemple, les emprunteurs ayant un profil de risque plus favorable peuvent négocier des taux plus avantageux. N’hésitez donc pas à demander des ajustements ou des réductions. Vous pouvez également profiter de la loi Lemoine. Cette dernière met en place 3 dispositifs intéressants pour réduire le prix de votre assurance emprunteur :

  • l’extension du droit à l’oubli,
  • la résiliation du contrat à tout moment,
  • la fin de la sélection médicale sous condition.

Le premier dispositif permet aux personnes guéries d’une hépatite C ou d’un cancer depuis 5 ans au moins de ne pas déclarer ladite maladie dans le questionnaire de santé. Le deuxième dispositif de la loi Lemoine permet aux nouveaux emprunteurs de résilier leur contrat en cours à n’importe quel moment sans attendre la date d’anniversaire pour le remplacer par une offre à couverture similaire et moins chère. Lorsque vous sollicitez un prêt de moins de 200 000 euros remboursé avec votre 60e anniversaire, le troisième dispositif vous autorise à ne pas remplir le questionnaire de santé.

La solution de renégocier votre assurance : comment ça marche ?

Il est possible de renégocier votre assurance avec votre banque. Pour cela, vous devez trouver une formule plus avantageuse et transmettre les conditions générales du nouveau contrat à votre banque pour validation. Vous aurez une réponse dans un délai de 10 jours (le seul motif de refus est la non-équivalence des garanties). Le nouveau contrat peut être signé après confirmation de la banque. Vous pouvez enfin résilier votre ancien contrat en envoyant par courrier avec accusé de réception une demande de résiliation à l’établissement prêteur.

Avant de résilier votre ancienne assurance, nous vous conseillons de toujours attendre l’acceptation formelle de la banque pour éviter une rupture de couverture. Dans cette situation, le prêteur peut exiger que vous remboursiez immédiatement l’intégralité du capital dû restant avec les intérêts.

Vous avez également la possibilité de trouver un établissement tiers pour faire racheter votre crédit afin de profiter de conditions plus avantageuses. En dehors du gain sur les intérêts, vous devez prendre en compte le coût de l’opération comme les frais de transferts de garanties et de dossier et les indemnités de remboursement anticipé. Vous devez également considérer l’écart de taux, la durée de remboursement restant et le capital restant dû.

Comment évaluer la réputation en ligne de votre entreprise et y réagir ?

Chaque clic peut façonner la perception de votre entreprise. La gestion de la réputation en ligne est devenue un art délicat qu’il vous faut maîtriser. Évaluer et réagir de manière stratégique ne se limite pas à une simple surveillance, mais nécessite une compréhension profonde des multiples facettes qui composent le paysage complexe de la réputation en ligne. Penchons-nous sur ces intrications et explorons comment les entreprises peuvent non seulement survivre, mais prospérer au sein de cet environnement.

La danse complexes des médias sociaux

Les médias sociaux, les agoras numériques modernes, sont le point de départ incontournable. L’observation active des discussions sur des plates-formes telles que Facebook, X (Ex-Twitter), Instagram ou encore TiK Tok offre une fenêtre sur les préoccupations, les éloges, et les attentes des clients. Cependant, la gestion de la réputation ne se limite pas à la simple surveillance. Elle s’étend, en effet, à une participation éclairée, répondant aux commentaires avec un mélange d’efficacité et d’authenticité. Pas facile ! 

Les avis en ligne…

Les plateformes d’avis en ligne, telles que Yelp, Google Reviews, ou Trustpilot, ne sont pas seulement des tableaux de bord pour les clients. Elles servent également de miroir reflétant l’image perçue de votre entreprise. Analyser les retours, qu’ils soient élogieux ou critiques, offre une opportunité unique d’ajuster les voiles de votre entreprise en fonction des vents changeants de l’opinion publique.

… Et ceux des employés

Les sites de notation d’entreprises, tels que Glassdoor, ne doivent pas être négligés. Les avis d’employés peuvent influencer non seulement les candidats potentiels, mais aussi les clients. Une équipe heureuse transmet une énergie positive qui se traduit souvent dans les interactions avec les clients. Prendre en compte ces perspectives internes permet de bâtir une réputation solide de l’intérieur vers l’extérieur.

Les contours des médias en ligne

Les médias en ligne, avec leurs articles et critiques, peuvent être des alliés ou des adversaires. Surveiller les mentions dans les médias traditionnels et en ligne donne une vision holistique de la perception publique. Savoir comment réagir à une couverture médiatique peut faire la différence entre un problème mineur et une crise de réputation.

La navigation à travers les moteurs de recherche

Maîtriser les résultats des moteurs de recherche est un art subtil. Les consommateurs d’aujourd’hui font confiance aux premiers résultats affichés. S’assurer que les contenus positifs sont bien en évidence, tout en abordant les aspects négatifs de manière constructive, peut influencer grandement la première impression des clients potentiels.

Stratégies de réaction : l’art de la conduite en eaux agitées

Réagir à des commentaires, qu’ils soient élogieux ou critiques, nécessite une approche délicate. La rapidité est essentielle, mais la transparence et l’empathie sont tout aussi importantes. Reconnaître les erreurs, le cas échéant, et démontrer un engagement envers l’amélioration continue, construit une confiance à long terme.

Créer une symphonie positive en ligne

Au-delà de la réactivité, l’entreprise peut orchestrer une symphonie positive en ligne. Encourager les retours constructifs, partager des réussites, et créer des contenus positifs contribuent à un équilibre positif dans la perception générale.

La gestion de la réputation en ligne est un défi continu. Elle nécessite une compréhension subtile des nuances numériques et une approche réfléchie. L’évaluation va au-delà de la simple surveillance pour impliquer une réelle compréhension des opinions et des sentiments. A vous de vous forger une réputation numérique robuste qui résiste aux marées.

La Maison Convertible : un succès familial

Interview de Réuel Mizrah qui a rejoint l’entreprise familiale et la direction depuis une dizaine d’années. Il nous confie son analyse des raisons du succès et nous raconte le déroulement de l’intégration des membres de la famille dans le groupe.

Pouvez-vous me raconter ce qui s’est passé avant que vous arriviez à la direction de La Maison Convertible ?

La Maison Convertible, c’est une entreprise familiale française qui, depuis les années 1980, œuvre pour que les gens se sentent bien chez eux. Depuis la création, nous proposons des canapés et lits, design, confortables, qui permettent de gagner de la place. Nous sommes spécialistes du mobilier intelligent et plus précisément, nous sommes numéro 1 français du canapé convertible.
L’histoire débute donc en 1980 avec deux familles qui décident de s’unir. A l’origine, tout part d’un dépôt-vente. Un dépôt-vente, c’est un magasin où les gens viennent et déposent des produits d’occasion. Mon père établit rapidement le constat que les canapés convertibles rencontrent un fort engouement. Cela semble logique puisque le mètre carré coûte alors de plus en plus cher à Paris. En peu de temps, il a l’idée d’ouvrir le premier magasin La Maison Convertible dédié aux canapés-lits à Paris, dans le 19ème arrondissement. C’est pourquoi nous avons un ADN assez parisien, même si aujourd’hui, nous nous développons dans toute la France.

Quand est-ce que vous êtes arrivé à la direction ?

Moi, j’arrive bien après. La seconde génération dont je fais partie arrive dans les années 2010. Nous sommes quatre cousins à avoir rejoint la société, l’un d’entre nous vers 2005, moi, en 2012. En réalité, nous sommes arrivés, à différentes années, parce que nous avons huit ans d’écart entre le plus jeune et le plus âgé de la nouvelle génération. Nous sommes entrés selon le calendrier des fins d’année d’études ou d’expériences professionnelles. En résumé, nous avons tous rejoint l’entreprise sur huit ans. Pour la seconde génération, nous sommes ainsi quatre directeurs généraux et nous formons une codirection. Cependant, la société est dirigée par mon père qui est toujours PDG.

Qu’est-ce qui s’est passé avant votre arrivée ?

Ce qui s’est passé en l’espace de 40 ans peut se résumer par l’ouverture successive de magasins. Nous avons eu beaucoup de chance parce que nous nous sommes rendu compte du potentiel du marché. Il y a eu beaucoup de facteurs qui ont contribué à notre expansion, c’est-à-dire l’augmentation du prix du mètre carré, mais aussi le fait que les gens ont de plus en plus de plaisir à être bien chez eux. Vous avez des tendances comme le « feng shui » ou le « bien-être chez soi », qui se sont accélérées d’ailleurs pendant la Covid, ou encore le travail indépendant qui a favorisé notre essor. Bref, de nombreux facteurs qui a fait que l’intérieur des gens a été révolutionné et que les gens veulent du confort et des produits multifonctionnels. C’est notre métier, cela tombe bien !

Comment vous êtes-vous répartis les rôles ?

Les rôles se sont répartis en fonction des compétences, des besoins de l’entreprise et de nos appétences. Assez naturellement, moi, par exemple, j’ai repris toute la partie marketing et finance parce que j’ai suivi des études de mathématiques appliquées à la finance. Cela me semblait logique. De plus, je suis très intéressé par le digital donc je me suis vite retrouvé dans ce pôle. Deux de mes cousins, eux, avaient vraiment une sensibilité produit sur : « qu’est-ce qu’un beau canapé ? Qu’est-ce qu’un beau produit ? Qu’est-ce qu’un vrai confort ? » Donc, eux se sont consacrés d’emblée aux achats.
Mon frère, lui, a une réelle aisance commerciale, ce qui fait qu’il est devenu rapidement directeur commercial et directeur du développement.
Nous avons de la chance parce que nous sommes très complémentaires. Tout a été dirigé par mon père qui reste le PDG, qui tranche s’il le faut et qui dresse les axes stratégiques importants.

Quel a été votre apport pour l’entreprise ?

Nous avons apporté beaucoup de fraîcheur et beaucoup d’ambition. Il est difficile de savoir ce que serait l’entreprise aujourd’hui sans nous, mais c’est vrai que depuis que nous sommes arrivés, nous nous sommes beaucoup développés en France. Nous avons ouvert un réseau de « corners », qui sont des espaces de shopping d’affiliés en France. Cela nous a permis d’avoir plus de 50 magasins. Depuis, nous avons démarré un vrai développement en propre avec aujourd’hui plus de 20 magasins et avec trois enseignes. Parce que nous avons également développé une enseigne cousine de La Maison Convertible qui s’appelle « Le lit » et qui est spécialisée dans la literie haut de gamme et accessible.

« Nous sommes passés depuis 2010, d’une PME familiale rentable et à taille humaine, qui était composée d’une trentaine de salariés, à aujourd’hui, une centaine. C’est passionnant, vraiment. »

Quels ont été les grands défis ces dernières années ?

Quand vous me posez la question, la première chose qui me vient à l’esprit, c’est la Covid, évidemment, qui a été un sacré défi. Quand elle est arrivée, je pense que nous avons tous ressenti une espèce de « Qu’est-ce qui se passe ? Ouh là là ! ». Nous avons stoppé toutes les livraisons et nous avons eu peur. Nous avons eu peur de mettre la vie en danger de certaines personnes en les livrant. Au final, nous avons tous un petit peu naturellement paniqué.

Comment avez-vous réagi ?

Nous sommes précurseurs dans le monde du digital dans notre secteur qui est l’ameublement. Nous avons eu notre premier site Internet dans les années 2000, mais depuis, le site est devenu puissant. Il génère plus de 2,5 millions de visiteurs à l’année. Nous avons rapidement vendu des canapés en ligne et par téléphone, ce qui nous a permis d’être actifs malgré la crise sanitaire et de redémarrer sans perdre de temps le business.

Bien que tous les magasins soient fermés, nous avons ainsi pu réaliser du chiffre d’affaires et être en contact avec les clients par Internet et par téléphone. Aussi, la Covid, au final, a incité les gens à revisiter leur intérieur et cela nous a dynamisés. Cela nous a permis de nous remettre en question et d’accélérer encore plus sur le digital pendant cette période. Ainsi, nous avons fait +250 % sur la vente en ligne pendant cette période.

Depuis, les choses sont revenues à la normale ? Quels sont les changements avant ou après la Covid ?

Pendant la Covid, tous les magasins étaient fermés, tout le monde achetait en ligne. Logiquement, nous avons vu une normalisation avec une légère baisse de la vente en ligne. C’est normal puisqu’il y a eu une explosion qui était, elle, anormale. Le +250 % s’est rationalisé à +100 % mais cela reste en nette augmentation par rapport aux périodes antérieures.
Finalement, nous avons gardé une très belle croissance et cette année, nous sommes encore à plus de 60 % d’augmentation sur la vente en ligne. Ce que nous avons vu, c’est qu’il y avait un changement générationnel et qu’il y avait de plus en plus de gens qui étaient prêts à mettre 2 000, 3 000, 4 000 € en ligne pour acheter un canapé. C’est vrai que nous avons aussi la chance d’avoir une marque qui est connue. Nous avons fait de la pub à la télé, à la radio, ce qui fait que les gens nous ont fait confiance pendant la période COVID. Il faut dire que nous avons livré plus de 500 000 clients depuis 40 ans. Je pense que les gens se recentrent aussi beaucoup sur les marques dans ce genre de période. Ils ont besoin d’être dans un cercle de confiance.

Pourquoi ne pas d’envisager un développement à l’international ?

Nous avons ouvert un magasin à Lille, à Bordeaux, à Nantes, à Marseille, Or, c’est est extrêmement prenant. Nous avons vraiment un marché porteur dans toutes les grandes métropoles de plus de 100 000 habitants, parce que c’est toujours des espaces où le mètre carré coûte cher et le client souhaite toujours avoir un mètre carré en plus. S’il a 64 mètres carrés, il aimerait en avoir 80. S’il en a 120, il aimerait en avoir 140. En ce sens, nous voulons d’abord nous installer dans ces villes et nous sommes encouragés par le potentiel. Par contre, c’est sûr que cela génère énormément de challenges. D’abord, pour trouver des locaux, ce qui n’est pas si simple. Ensuite, cela soulève des questions de ressources humaines.

« Le client. C’est un élément sur lequel nous n’avons jamais rogné et que nos parents nous ont mis vraiment dans la tête. Et la qualité des produits, pour satisfaire le client quand il arrive. Je pense que c’est la valeur principale qui est la satisfaction du client. »


Comment est-ce qu’on fait pour recruter des commerciaux qui sont censés être des experts ?

La qualité et le conseil, cela fait partie de notre ADN. C’est pour cette raison que les gens viennent chez nous. Comment est-ce que nous créons du lien quand les commerciaux ne sont pas à Paris, à 10 minutes de chez nous à pied, mais qu’ils sont à trois heures de TGV ? Comment est-ce que nous faisons pour les driver, pour les former aussi ou pour nous assurer que le client soit aussi bien servi, qu’il soit à Paris ou à Marseille ? Cela fait partie de nos nouveaux challenges. Cela affecte l’organisation. Il y a donc une logistique à prendre en compte et cela d’autant plus que nous livrons la moitié de nos clients en 48 heures et nous tenons à garder cette force-là.
D’autres questions se sont posées comme : « Comment est-ce que nous faisons pour continuer tout en étant dans un cercle éco-responsable ? Comment est-ce que nous faisons pour livrer tous nos clients partout en France avec un dépôt qui aujourd’hui est situé à Paris et ceci, très rapidement ? »

Il y a des défis liés à la croissance ?

Nous sommes passés depuis 2010, d’une PME familiale rentable et à taille humaine, qui était composée d’une trentaine de salariés, à aujourd’hui, une centaine. C’est passionnant, vraiment. Nous avons assisté et nous avons été acteurs du changement de la structure. Comment est-ce que nous avons fait pour passer d’une PME familiale à une structure organisée où nous nous entourons de gens très compétents ? Il a fallu mettre des processus clairs pour pouvoir se donner les moyens de se développer. Cela prend du temps parce qu’il faut bien mettre en place des choses, il faut apprendre beaucoup et il faut aussi changer les mentalités en interne.
L’essentiel est que tout se déroule bien pour le client. Aujourd’hui, nous sommes à même d’ouvrir quatre magasins par an. Nous sommes contents qu’un client se rende dans notre boutique en centre-ville de Bordeaux et achète un produit qui a été designé à Paris, fabriqué en Italie et transporté de Paris jusqu’au centre de la France et livré chez lui. Nous sommes satisfaits quand tout se passe bien et qu’à la fin il le confirme sur Internet en disant « qu’il est ravi parce que tout s’est bien passé ». Il est agréable de se dire que nous ne travaillons pas pour rien et nous sommes plutôt fiers de ce que nous faisons.

Le développement régional a commencé quand ?

En 2012, nous avons démarré par un développement avec des ateliers. C’est ce que nous appelons les « corners ». L’idée, c’était de travailler avec des commerçants en France qui ne sont pas dans des régions dans lesquelles nous avons nos propres magasins en prenant 100 mètres carrés dans leur espace, dans des grands magasins de 5 000 mètres carrés, voire en prenant un magasin complet.

L’idée, c’était que nous leur vendions des produits, nous leur vendions notre PLV et surtout, nous leur vendions de la place sur le site Internet, parce que comme je dis, nous avons un site Internet ultra-puissant et quand les gens tapent « canapé convertible » sur Google, ils tombent sur nous. Et derrière, ils revendaient notre produit. Cela a été du win-win. C’est ce qui nous a permis rapidement de nous développer en France et de commencer à comprendre le marché, comprendre ce que cela voulait dire d’être à Clermont-Ferrand, à Strasbourg ou encore à Nice.

Quels sont vos objectifs dans les années à venir ? Vous développer en France encore plus ?

Nous avons plusieurs objectifs. Déjà, oui, de continuer à nous positionner comme le leader national. Nous voulons continuer à développer notre notoriété, notre chiffre d’affaires en France et être présents dans les villes où les clients ont besoin de nous. Cela signifie principalement dans les grandes métropoles. Il y a également un challenge parce que, comme nous l’avons évoqué, nous avons une deuxième enseigne qui s’appelle « Le lit ». Cette dernière est spécialisée dans la literie haut de gamme accessible. Aujourd’hui, nous sommes partis sur un concept de double enseigne. C’est-à-dire que nous considérons que nous sommes légitimes sur le canapé convertible, sur les matelas et que nos deux produits sont complémentaires.

Il y a une complémentarité entre les deux produits qui semblent évidentes ?

En effet, souvent, les gens qui viennent chez nous, sont dans un changement de vie, dans un déménagement, par exemple ou dans des travaux. Ils remeublent tout leur intérieur et ils ont besoin d’un canapé et d’un matelas. Ce que nous essayons de faire, quand c’est possible, quand la surface de vente est suffisamment grande pour nous le permettre, c’est d’avoir un seul lieu. Dans ce même lieu, nous implantons nos deux magasins. C’est important pour nous de rester hyper spécialistes dans nos deux domaines, ce qui fait notre force. Cela fait partie des challenges avec des questions qui se posent comme : « Comment est-ce que nous faisons pour faire vivre les deux enseignes ensemble ? Comment est-ce que nous faisons pour le faire connaître aux clients ? Est-ce que cela fonctionne ? ». Pour l’instant, nous avons fait quelques tests qui sont assez concluants et nous continuons !

A quelle date a été lancée la deuxième enseigne ?

En 2012. Cela fait dix ans que nous faisons ce métier-là. Au départ, c’était une enseigne complètement indépendante. Aujourd’hui, nous essayons de créer de la « cross enseigne » et de les faire vivre ensemble.

Est-ce que ce n’est pas difficile, en tant que membre de la famille, d’arriver et de prendre des postes de direction ? Est-ce que les salariés, ont apprécié ?

Le fait que nous soyons une structure familiale fait que nous avons des salariés qui sont chez nous depuis plus de 20 ans. En effet, certains nous ont vus grandir. C’est vrai que quand nous arrivons dans la société, au départ, et qu’ils nous ont vu tout petits, cela peut leur faire bizarre. Mais les choses ont été bien faites parce que chacun d’entre nous, est arrivé doucement. Nous avons travaillé à tous les postes de la société et gagné ainsi en légitimité.

Comment l’avez-vous vécu ?

Personnellement, j’ai travaillé à la comptabilité, à l’administratif, aux ventes. J’ai essayé d’être au maximum humble et prudent. Je suis arrivé après mes études et après différentes expériences. Nous avons pris tout notre temps pour faire nos armes et démontrer que nous étions compétents et pas seulement « fils de ». C’était extrêmement important. Au fil des années, les choses se sont construites assez naturellement.

Nous avons encore des gens avec qui nous travaillons depuis plus de 20 ans et aujourd’hui, forcément, nous avons des relations très fortes parce que nous les connaissons très bien. Il y a également de nouveaux salariés qui arrivent alors que nous sommes déjà là depuis longtemps. Au final, les choses se déroulent assez naturellement. Il n’y a pas eu de clash. J’ai plutôt ressenti de l’envie, du plaisir de construire cette famille ensemble, parce que je considère que nous sommes tous une famille et une grande communauté de personnes qui ont du plaisir à travailler ensemble. Et nous ressentons du plaisir dans le fait que d’autres personnes rejoignent la famille.

Quelles sont les valeurs de La Maison Convertible ?

Le client. C’est un élément sur lequel nous n’avons jamais rogné et que nos parents nous ont mis vraiment dans la tête. La qualité des produits de manière parallèle, pour satisfaire le client quand il arrive. Je pense que la valeur principale est donc la satisfaction du client.
Après, je peux vous dire également qu’il y a l’innovation, parce que les produits que nous vendions il y a 40 ans n’existaient pas et nous avons eu la chance de nous associer avec les bonnes personnes pour pouvoir construire, innover… Nous vendons des canapés convertibles qui sont extrêmement confortables et qui sont aussi beaux que n’importe quel canapé fixe, ce qui n’existait pas, il y a 15 ans. Un canapé convertible, c’était avant deux accoudoirs et un « truc » un peu dur. Aujourd’hui, nous sommes capables de tout faire et d’arriver à des produits raffinés. Et cela, nous avons pu le faire parce que nous avons innové, parce que nous avons travaillé avec des designers, des ateliers, sur la technologie des produits… Nous avons révolutionné ce produit, ce qui nous a permis d’arriver à ce que nous réalisons aujourd’hui.

Vous produisez vous-même tous vos canapés ?

Nous ne produisons rien. Nous, notre métier, c’est d’acheter et de vendre. C’est le métier de base et nous sommes vraiment des commerçants. Cependant, nous nous présentons également comme concepteurs. Pourquoi ? Parce que nous vendons que des produits exclusifs La Maison Convertible. Nous travaillons avec nos propres designers qui conçoivent les produits et ensuite, avec des ateliers, des usines qui se situent en Europe, majoritairement en Italie. Ce sont des usines qui travaillent quasi exclusivement pour nous et qui fabriquent les produits. Au final, nous, nous les achetons et nous les revendons. Donc, nous avons le statut de concepteur. Par contre, nous n’avons jamais voulu nous occuper directement de la production. Je pense que chacun a son métier et que nous préférons être partenaire avec des experts plutôt que d’aller dans un métier que nous ne maîtrisons pas.

Comment est composé le conseil d’administration ?

Il est composé de la famille. L’actionnariat est 100 % détenu par nous. Tout ce qui est transmission purement capitalistique a été prévu depuis de nombreuses années par mon père. Tout cela est déjà en place. Pour tout ce qui est transmission, de l’ordre de la gouvernance, ce sont des sujets qui sont sur la table et que nous préparons. Mon père est toujours là et tout se passe bien, mais c’est un sujet d’actualité. Nous essayons de trouver des conseils et d’en discuter entre nous pour voir quelle serait la meilleure solution.

Est-ce que ce n’est pas un petit peu difficile de travailler tout le temps avec sa famille ?

Nous n’avons pas tous la même façon de vivre. C’est beaucoup de points positifs. Parce que forcément, comme nous sommes en famille, nous nous disons les choses plus facilement, plus rapidement. Peut-être que parfois, l’émotion arrive, mais il faut réussir à la mettre de côté. Mais je vois surtout des avantages parce que cela permet d’aller beaucoup plus vite. Nous travaillons tous dans le même sens, nous sommes tous dans la même équipe et il n’y a aucun problème. Il n’y a pas vraiment de souci d’ego et nous dialoguons. En plus, nous sommes de la même famille et nous avons vraiment du plaisir à travailler ensemble.

Un point à ajouter ?

Ce que je peux ajouter, c’est que nous avons refait notre site Internet cette année et que cela a représenté un énorme challenge pour nous. Nous nous sommes lancés dans une stratégie omnicanale et nous devons pouvoir proposer la même expérience aux clients, que ce soit en ligne ou en magasin, quel que soit le support de communication qui soit utilisé, par téléphone, en ligne, par tchat, en magasin… Du coup, nous le refaisons et nous sommes plutôt très satisfaits.

3 Conseils de Réuel Mizrah

  1. Être patient parce que les choses ne se font pas du jour au lendemain. Nous ne pouvons pas tout espérer, tout avoir tout trop vite. D’ailleurs, cela ne marche pas dans le cas inverse. Avec l’expérience, je me suis rendu compte que quand nous voulions aller trop vite, nous nous trompions et nous n’arrivions pas forcément non plus à inclure les gens.
  2. Considérer que la communication est extrêmement importante. Si nous voulons que cela marche, il faut réussir à faire adhérer les gens à notre projet et à nos idées. Parce que tout n’est qu’une question de travail d’équipe. J’adore le proverbe africain qui dit : « Tout seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin. » J’y crois énormément. Ce qui compte quand nous sommes dans une société, c’est d’aller loin, de construire ensemble et d’avoir le maximum de cohésion pour construire quelque chose de beau ensemble.
  3. Garder la passion. Moi, j’aime bien le terme de passion. Il y a plein de livres qui expliquent qu’en effet, que quand nous sommes passionnés, nous perdons la raison et que rapidement, nous allons tomber dans l’émotionnel. Le terme passion, il faut faire attention. Je dirais plutôt « aimer ce qu’on fait ». Ce qui est chouette, c’est quand nous nous levons le matin et que nous n’avons qu’une seule envie, c’est d’aller sur le terrain et rester proche du terrain, construire, fabriquer. Avec du recul, quand nous voyons tout ce que nous avons réussi à faire, nous avons de la fierté et nous avons envie de continuer. Gardez du plaisir, c’est cela le conseil.

Connaissez-vous le people-based marketing

Dans le monde de l’économie et des entreprises, les usages et techniques couramment usités ont aussi été changés après l’arrivée d’internet. Le « people-based marketing » fait partie des changements fortement intéressants qui ne cessent de renouveler la gestion des entreprises et de proposer des solutions nouvelles.

Qu’est-ce que le people-based marketing ?

Il est nécessaire de bien définir ce qu’est le people-based marketing qui attise la curiosité et l’attrait de beaucoup d’entreprises. Marketing basé avant toute autre chose sur les consommateurs et leurs besoins, le people-based marketing permet de renverser un rapport plutôt classique du marketing. Ce dernier permettait de mettre en avant une offre à travers divers canaux publicitaires destinés à un public large et peu segmenté, le people-based marketing, quant à lui, cible les personnes à qui proposer cette offre. En effet, il centre la publicité sur l’utilisateur. Ainsi, la publicité devient individuelle et non généraliste comme elle était dans le concept classique de marketing.

Google illustre le parfait exemple de cette stratégie : l’ensemble des bannières publicitaires proposées prennent en compte les différents sites visités par l’utilisateur et mettent en avant des offres ciblées pour ce même utilisateur. Vous pouvez constater cet exemple dans la vie de tous les jours, lors de l’utilisation de votre navigateur internet : les publicités répondront toujours à l’une de vos attentes.

Pourquoi le people-based marketing intéresse les entreprises ?

Facebook, Twitter, Google et de très grandes entreprises mondiales utilisent ce concept et ne sont pas prêtes d’arrêter. Pas de meilleure publicité que celle qui vise les utilisateurs de façon individuelle, sans même que l’entreprise doive tout mettre en œuvre pour établir cette sélection individuelle par elle-même. Grâce à un grand nombre d’algorithmes et de calculs mathématiques, ce concept permet un fonctionnement autonome et un service complet qui nécessite que peu de temps et de main-d’œuvre et qui semble une stratégie plus efficace. C’est ce qui explique que cette solution de marketing soit l’une des plus utilisées aujourd’hui dans le monde de l’entreprise (simplicité, facilité d’utilisation, efficacité incomparable et tout est possible.)

Comment le mettre en place ? 

Pour la mettre en œuvre avec succès, commencez par collecter des données précises sur les clients à partir de diverses sources telles que les interactions en ligne, les achats et les réseaux sociaux. Ces informations serviront à créer des profils clients détaillés, intégrant des données démographiques, des préférences d’achat et des comportements en ligne. L’utilisation de plates-formes de gestion de données (DMP) peut faciliter le stockage et l’activation efficace de ces données, permettant ainsi une segmentation avancée pour une personnalisation plus poussée.

Une fois les données collectées et organisées, adoptez une approche de personnalisation des messages et des offres en fonction des besoins et des intérêts individuels. L’automatisation du marketing peut jouer un rôle clé dans la mise en œuvre de campagnes personnalisées à grande échelle. Elle garantit une cohérence sur différents canaux. Cependant, il est important de rester attentif à la conformité réglementaire et à la protection de la vie privée des clients. Assurez-vous d’obtenir le consentement approprié pour la collecte et l’utilisation des données, tout en analysant continuellement les performances des campagnes pour apporter des ajustements et des améliorations.

La formation à la résolution de conflits 

Les entreprises cherchent constamment des moyens d’améliorer leur efficacité et leur productivité. Un élément souvent négligé, mais essentiel, de cette équation est la gestion des conflits en milieu de travail. La résolution rapide et efficace des conflits peut non seulement préserver la cohésion de l’équipe, mais aussi stimuler l’innovation et favoriser un environnement de travail harmonieux.

La réalité des conflits en milieu de travail

Les conflits font partie intégrante de toute organisation. Il est essentiel pour les entreprises de mettre en place des stratégies efficaces pour les résoudre. Les désaccords entre collègues, les différences d’opinions et les tensions interpersonnelles peuvent rapidement évoluer en problèmes majeurs s’ ils ne sont pas traités rapidement et de manière appropriée.

Investir dans la formation à la résolution de conflits

Une approche proactive pour gérer les conflits consiste à investir dans la formation à la résolution de conflits pour les employés et les gestionnaires. Cette formation vise à fournir des compétences essentielles pour identifier, comprendre et résoudre les conflits de manière constructive. Vous pouvez former les employés mais aussi les gestionnaires : 

  • Formations pour les employés :

les employés bénéficient d’une compréhension approfondie des dynamiques de conflits. Ils apprennent à reconnaître les signes précurseurs et à développer des compétences en communication pour prévenir les malentendus. Ces formations peuvent également inclure des techniques de médiation pour les conflits interpersonnels. Elles permettent aux employés de jouer un rôle actif dans la résolution.

  • Formations pour les gestionnaires :

les gestionnaires, en tant que chefs d’équipe, ont un rôle important dans la gestion des conflits. Leur formation met l’accent sur le leadership éthique, la gestion des émotions en situation de conflit, et la mise en œuvre de stratégies de résolution appropriées. Les gestionnaires formés sont mieux équipés pour anticiper les conflits potentiels et les aborder de manière proactive.

Les avantages tangibles d’une main-d’œuvre formée

Investir dans la formation à la résolution de conflits peut avoir des avantages tangibles pour une entreprise. Une main-d’œuvre bien formée à la résolution de conflits est plus susceptible de collaborer de manière efficace, d’innover et de maintenir un climat de travail positif. Cela se traduit souvent par une réduction du taux de rotation du personnel, une productivité accrue et une amélioration globale de la culture d’entreprise.

Quelques astuces & conseils

1/ La communication non violente (CNV) 

Encouragez l’utilisation de la CNV, une approche développée par Marshall Rosenberg, qui met l’accent sur l’expression authentique des besoins et des sentiments, tout en favorisant l’empathie envers les autres. L’intégration de la CNV dans la culture d’entreprise peut améliorer significativement la qualité des échanges lors de situations conflictuelles.

2/ Utilisation de technologies collaboratives 

Les outils de collaboration en ligne peuvent être exploités pour favoriser une communication ouverte et transparente. Des plateformes de gestion des projets, de partage d’idées ou de feedback en temps réel peuvent réduire les malentendus et prévenir les conflits potentiels.

3/ Élaboration de politiques de gestion des conflits 

Mettez en place des politiques organisationnelles claires en matière de gestion des conflits. Ces politiques peuvent définir les étapes à suivre, les ressources disponibles et les attentes de l’entreprise en matière de résolution de conflits.

Top 10 des méthodes pour l’évaluation de la concurrence sur le marché

Dans le monde dynamique des affaires, la compréhension de la concurrence est cruciale pour le succès d’une entreprise. Que vous soyez sur le point de lancer une nouvelle entreprise ou que vous cherchiez à renforcer votre positionnement sur le marché, voici le top 10 des méthodes incontournables pour évaluer la concurrence.

1. Analyse swot :

La méthode classique d’analyse swot (forces, faiblesses, opportunités, menaces) offre une vue d’ensemble complète de la concurrence. En identifiant les forces et les faiblesses de votre entreprise ainsi que les opportunités et les menaces du marché, vous pouvez élaborer des stratégies plus informées.

2. Veille concurrentielle :

La veille concurrentielle implique la surveillance constante des activités, des produits et des performances des concurrents. Des outils en ligne et des alertes personnalisées peuvent être utilisés pour rester informé des développements dans votre secteur.

3. Analyse des prix :

Examinez attentivement la structure des prix des concurrents. Cela peut vous donner un aperçu des différentes stratégies de tarification et vous aider à positionner vos produits ou services de manière compétitive.

4. Etudes de marché :

Les études de marché approfondies peuvent fournir des données quantitatives sur la taille du marché, la demande des consommateurs et les tendances émergentes. Ces informations sont essentielles pour comprendre la position relative de votre entreprise sur le marché.

5. Entretiens avec les clients :

Parlez directement à vos clients pour comprendre pourquoi ils choisissent vos concurrents. Les commentaires des clients peuvent révéler des points forts et des faiblesses perçus chez vos concurrents.

6. Benchmarking :

Le benchmarking consiste à comparer les performances de votre entreprise avec celles des meilleurs de votre secteur. Identifier les leaders du marché et comprendre leurs pratiques peut offrir des insights précieux.

7. Analyse des médias sociaux :

Les médias sociaux sont une mine d’informations sur la perception des clients envers les concurrents. Analysez les commentaires, les évaluations et les discussions pour obtenir des indications sur la réputation et la satisfaction de la clientèle.

8. Participation à des événements sectoriels :

Les salons professionnels et les conférences sectorielles offrent une excellente occasion d’observer la concurrence en action. Rencontrez des représentants d’autres entreprises, participez à des discussions et analysez les présentations pour rester à jour.

9. Analyse des stratégies marketing :

Etudiez les campagnes publicitaires, les promotions et les messages marketing de vos concurrents. Comprendre comment ils positionnent leurs produits peut vous aider à affiner votre propre stratégie.

10. Analyse des performances en ligne :

Examinez la présence en ligne de vos concurrents. Analysez leur site web, leurs tactiques de référencement et leur activité sur les médias sociaux pour comprendre leur impact numérique.

En conclusion, évaluer la concurrence est un processus continu qui nécessite une combinaison de méthodes. En utilisant ces dix approches, les entrepreneurs peuvent acquérir des informations précieuses pour affiner leur stratégie commerciale et rester compétitifs sur un marché en constante évolution.

Les freelances : des professionnels d’excellence

Les freelances ne sont pas, ou plus, une niche dans le monde du travail. De plus en plus d’entreprises ont fait le choix de la flexibilité. Mais de plus en plus de travailleurs, en particulier de la fameuse génération Y, font aussi le choix du travail en indépendant. Aux États-Unis, une bonne partie % des travailleurs est déjà freelances. En France, en particulier dans les métiers de l’Internet où une grande partie de notre croissance économique et d’emplois se joue, de plus en plus de métiers se font en indépendant.

Derrière le titre de cet article, il y a une réalité : les freelances ou indépendants sont souvent parmi les meilleurs de leur profession. Je l’ai appris ces derniers mois à leur contact, qu’ils soient développeurs, graphistes, webdesigners, photographes, rédacteurs, etc… Et cela s’explique très simplement.

Par la nature même de leur statut d’indépendant

Si un freelance est freelance, c’est dans la majorité des cas parce qu’il sait qu’il est performant et que son travail va se vendre. En effet, il faudrait être inconscient, si on n’est un graphiste ou développeur au niveau moyen, de se mettre à son compte. C’est parce qu’il sait qu’il justifie de réelles compétences que le freelance choisit cette voie. Certains pourraient croire qu’on choisit le fait d’être freelance par défaut, cela peut arriver certes, mais c’est loin d’être la majorité des cas. Tous les freelances ne souhaitent pour rien au monde retourner en CDI. De base, donc, on devient freelance parce qu’on sait qu’on est l’un des meilleurs dans son domaine.

Par le développement de ses connaissances grâce à des formations

Ensuite, un freelance progresse plus vite. On pourrait croire que les périodes de calme entre deux contrats sont l’occasion de prendre des vacances aux Seychelles, mais lorsque votre statut ne vous donne pas de congés payés ou RTT, vous faites au contraire attention à chaque jour non travaillé pour qu’il soit profitable. En relançant des clients ou prospects bien sûr, mais aussi et très souvent en se formant. 

En effet, un freelance se forme entre 2 contrats, et plus souvent que ne le fait un employé dans la plupart des entreprises. Tout simplement car il doit rester à la pointe de sa profession s’ il veut pouvoir se vendre. Il prend des cours, présentiels ou en ligne, pour se perfectionner sur telle ou telle compétence, et il arrive aussi qu’il en donne. 

D’ailleurs, les formateurs eux-mêmes sont souvent des freelances ! Qui, pour préparer une formation, travaillent intensément et deviennent des experts. Je rencontrais par exemple il y a peu un freelance développeur java qui avant que sa nouvelle mission commence se formait via un cours sur la plateforme coursera.org sur un sujet pointu : les algorithmes de recommandations/suggestions. Difficile d’être en entreprise et dire à son patron que l’on prend 3 heures/jour pour assister à un cours…

Par sa capacité d’adaptation

Être performant dans son travail, c’est avoir des connaissances, certes, mais ce n’est que la moitié du problème. L’autre moitié, ce sont les compétences humaines que vous allez développer. Et l’une des grandes forces des freelances, c’est l’adaptabilité. Lorsque vous passez d’un client à un autre, d’un sujet à un autre, d’une mission de 10 jours à une mission de 6 mois, d’une mission en télétravail à une mission chez le client… vous devez faire preuve d’une forte capacité d’adaptation. Et cela permet de rentrer très rapidement sur un nouveau sujet, un nouveau projet, ce qui est exactement ce que recherchent les entreprises aujourd’hui.

En plus, lorsque vous avez sur les 6 derniers mois travaillé pour 2 start-ups, 3 grands sites e-commerce, et une entreprise du CAC 40, vous avez appris de chacune de ces missions, de chacune de ces entreprises et des équipes côtoyées, ce qui permet de devenir encore meilleur.

Par sa relation client-fournisseur

Lorsqu’un freelance travaille avec un client, il n’est pas dans une relation hiérarchique, avec toutes les complexités que cela peut parfois provoquer, mais dans une relation client-fournisseur, au final très saine. Un freelance souhaite, et souhaitera toujours à chaque mission réalisée, la satisfaction de son client. D’abord parce que c’est le client qui le paie, mais c’est aussi ce même client qui va le reconduire ou pas pour une autre mission, et le recommander en interne ou ailleurs pour d’autres missions. Tout cela pousse à l’excellence.

Et surtout parce qu’il est avant tout un chef d’entreprise

Un freelance n’est pas un artiste totalement déconnecté du monde de l’entreprise. Bien au contraire. Il est même un chef d’entreprise, qui gère des clients, une comptabilité, une communication, les achats, etc… Lorsqu’il intervient en entreprise il est donc plus que d’autres conscients des problématiques de coûts, de timing, et en général des réalités économiques.

Loin de moi cependant l’idée d’opposer employés et freelances. Les employés de demain, dans les entreprises, auront un rôle clé : ils seront les dépositaires d’une marque, d’une culture d’entreprise, et devront savoir s’entourer et animer une myriade de prestataires externes, freelances donc, et experts sur des sujets très variés pour mener à bien leurs projets. C’est déjà en grande partie une réalité. L’entreprise sera une sorte de Hub, ou écosystème, dans lequel évolueront des employés en CDI et des prestataires sur des missions précises. Ce qui est certain, c’est que ceux qui sortiront leur épingle de ce nouveau jeu, sont probablement ceux qui aujourd’hui travaillent déjà de cette façon, qu’ils soient du côté entreprise cliente, ou du côté freelance.