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Comment créer une équipe performante et motivée ?

Une équipe qui fonctionne harmonieusement, qui est engagée dans ses tâches et qui partage une vision commune peut accomplir des réalisations remarquables. Cependant, créer et maintenir une telle équipe n’est pas facile. Cela demande du temps, de la planification et un leadership efficace. Voici les étapes essentielles pour créer une équipe performante et motivée qui excelle dans ses missions.

1/ Définissez une vision et des objectifs clair

La première étape pour créer une équipe performante est de définir une vision claire et des objectifs précis. La vision représente l’avenir vers lequel l’entreprise se dirige, tandis que les objectifs sont les jalons concrets qui la guident vers cette vision. Assurez-vous que chaque membre de l’équipe comprend la mission de l’entreprise, sa place dans cette mission et les objectifs spécifiques à atteindre. Les objectifs doivent être réalistes, mesurables et alignés avec la mission de l’entreprise.

3/ Recrutez avec soin

Le recrutement est une étape cruciale pour créer une équipe performante. Recherchez des candidats dont les compétences, l’expérience et les valeurs sont en harmonie avec la culture de l’entreprise. La diversité des compétences et des perspectives peut également enrichir l’équipe. Lors du recrutement, assurez-vous de bien communiquer la mission et la vision de l’entreprise pour attirer des candidats qui partagent ces valeurs.

3/ Favorisez la communication et la collaboration

La communication ouverte et la collaboration sont essentielles pour une équipe performante. Encouragez les membres de l’équipe à partager leurs idées, à poser des questions et à travailler ensemble. Créez un environnement où chacun se sent en confiance pour s’exprimer. Organisez des réunions régulières pour discuter des progrès, des défis et des opportunités.

4/ Créez un environnement de travail positif

Un environnement de travail positif est propice à la motivation. Assurez-vous que les membres de l’équipe se sentent appréciés, respectés et soutenus. Cela peut passer par des récompenses, des opportunités de développement professionnel et une culture de reconnaissance. Créez un espace de travail agréable et encourageant.

5/ Développez les compétences

Investissez dans le développement des compétences de votre équipe. Offrez des formations et des opportunités d’apprentissage pour aider les membres de l’équipe à progresser dans leur carrière. Le développement des compétences montre que vous croyez en leur potentiel et que vous investissez dans leur avenir.

6/ Donnez des responsabilités

Accordez aux membres de l’équipe une certaine autonomie et des responsabilités. Lorsqu’ils ont un sentiment de propriété sur leur travail, ils sont plus susceptibles de se sentir investis et motivés pour réussir. Encouragez la prise d’initiative et la responsabilisation.

7/ Fixez des attentes claires

Définissez des attentes claires en ce qui concerne les rôles et les responsabilités de chaque membre de l’équipe. Assurez-vous que tous comprennent ce qui est attendu d’eux et que les objectifs sont atteignables. Lorsque les attentes sont définies avec précision, les membres de l’équipe savent ce qu’on attend d’eux et sont plus susceptibles de réussir.

8/ Encouragez l’innovation

Favorisez un environnement qui encourage l’innovation. Encouragez les membres de l’équipe à penser en dehors de la boîte et à proposer des idées nouvelles et créatives. L’innovation peut stimuler la performance de l’équipe et aider à résoudre les problèmes de manière plus efficace.

9/ Faites preuve de leadership inspirant

Le leadership joue un rôle déterminant dans la motivation de l’équipe. Soyez un leader inspirant, capable de montrer l’exemple, de donner des orientations claires et de soutenir les membres de l’équipe dans leurs efforts. Soyez à l’écoute de leurs préoccupations et de leurs idées, et montrez-leur que vous êtes là pour les soutenir.

10// Récompensez et célébrez les réussites

Reconnaître et récompenser les réalisations de l’équipe est un puissant moteur de motivation. Célébrez les victoires, grandes ou petites, pour renforcer le sentiment d’accomplissement. Les récompenses peuvent être financières, mais aussi sous forme de reconnaissance publique, de développement de carrière ou de possibilités de formation.

Tour du monde : les actualités internationales à ne pas manquer

Les innovations ne cessent de nous apporter un nouveau souffle. Les finances sont au cœur des évolutions mondiales et ne cessent de nous donner le tournis. Focus sur les dernières actualités internationales.

Arm : valorisation proche des 52 milliards de dollars !

Arm, le concepteur britannique de puces électroniques dont les processeurs sont présents dans 99 % des smartphones, vise une valorisation d’environ 52 milliards de dollars pour son introduction en Bourse à la Bourse de New York. Cette introduction en Bourse est la plus importante depuis près de deux ans, depuis l’arrivée de Rivian à Wall Street, ainsi le prix de l’action d’Arm a été fixé au niveau le plus élevé de la fourchette initiale, soit entre 47 et 51 dollars par action. L’opération, lancée par SoftBank Group, l’actionnaire majoritaire d’Arm, qui vendra environ 10 % des actions de la société technologique basée à Cambridge, en Angleterre. La valorisation d’Arm dépasse largement les 32 milliards de dollars dépensés par SoftBank pour acquérir la société en 2016, mais reste en deçà des 60 à 70 milliards de dollars visés par SoftBank il y a quelques semaines.

Révision nécessaire de 600 à 700 avions pour Airbus

Pratt & Whitney, le motoriste américain, a identifié un défaut sur les moteurs équipant l’A320neo d’Airbus. En fait, cette découverte nécessite le rappel et la révision de 600 à 700 avions, les immobilisant pendant un certain temps. Le coût de cette situation se situe entre 3 et 3,5 milliards de dollars sur les « prochaines années » par RTX, la société mère de Pratt & Whitney. Environ 1 200 avions pourraient être affectés, dont 3 000  équipés de ce moteur PW1100 GTF.

Ces dépenses incluront des indemnisations aux compagnies aériennes propriétaires d’A320neo, une période critique alors que le trafic aérien se redresse après la pandémie de Covid-19. Le problème découle d’un défaut dans une poudre de métal utilisée pour fabriquer des disques de turbine haute pression. Ce défaut ne représente pas de danger immédiat mais il peut entraîner une usure prématurée. Airbus indique qu’elle ne prévoit pas de perturbation dans ses livraisons pour 2023 ni dans son plan de montée en cadence en 2024.

Le câble USB type C s’impose et sera obligatoire dès 2024

La directive européenne du 4 octobre 2022 impose l’obligation d’intégrer le port USB-C sur tous les appareils électroniques à partir du 28 décembre 2024. Notamment, Il faudra l’intégrer sur les téléphones mobiles, tablettes, liseuses, casques, enceintes, écouteurs, appareils photo numériques et consoles de jeux portables. Les ordinateurs suivront cette obligation en 2026. En outre, cette mesure vise à réduire les déchets liés aux nouvelles technologies et à faire économiser chaque année 250 millions d’euros aux consommateurs européens. Pour rappel, l’USB-C est un connecteur standard de 24 broches, plus fin et plus performant que ses prédécesseurs. Par exemple, il s’utilise couramment sur les smartphones Android. Il peut fournir une tension de charge allant jusqu’à 240 Watts. A noter : Apple a intégré le port USB-C à sa nouvelle gamme d’iPhone.

Birkenstock a déposé une demande d’introduction à la bourse de New-York

Cette démarche vise à poursuivre la croissance de l’entreprise qui a gagné en popularité ces dernières années, grâce à une stratégie marketing audacieuse et à des collaborations de luxe. Le document déposé est préliminaire. Il ne précise pas le nombre d’actions offertes aux investisseurs. Les actionnaires, dont L Catterton, associé à LVMH et dirigé par Bernard Arnault, visent une valorisation de plus de 7 milliards de dollars pour Birkenstock. L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 1,24 milliard d’euros lors de son année fiscale se terminant en septembre 2022, avec un bénéfice net de 187 millions d’euros. Au cours des six premiers mois d’octobre 2022 à mars 2023, les revenus ont augmenté de 18 % pour atteindre 644 millions d’euros. 

Paris 8ème meilleure ville pour télétravailler

Le leader mondial des espaces de co-working, IWG, a publié un classement des 25 villes les plus propices à des « workations ». Barcelone a été classée en première position pour son dynamisme et son climat méditerranéen. Toronto au Canada est en deuxième place, suivie de Pékin en Chine. IWG a utilisé neuf critères pour évaluer ces destinations, notamment le climat, la culture, l’accès aux transports, la cuisine, le niveau de bonheur, la vitesse de l’Internet haut débit et la disponibilité d’espaces de travail flexibles. D’autres villes telles que Milan en Italie, New York aux États-Unis, Rio de Janeiro au Brésil, et Amsterdam aux Pays-Bas figurent également dans le classement. Paris se classe en huitième position, mais obtient des notes basses en raison du coût de la nourriture et des boissons.

Fermeture des magasins Wilko

La chaîne en faillite Wilko prévoit de fermer tous ses magasins d’ici début octobre. Ces fermetures entraîneront le licenciement de 9 100 employés supplémentaires, selon PwC, le cabinet de conseil administrateur de la faillite. Il est devenu évident qu’aucune partie significative de l’activité de Wilko ne peut être maintenue dans sa forme actuelle. Ces licenciements s’ajoutent aux plus de 1 600 suppressions d’emplois annoncées ces dernières semaines.

De plus, de nombreux employés ont choisi de quitter l’entreprise par anticipation. En fin de compte, presque tous les 12 500 emplois que comptait l’enseigne avant sa faillite disparaîtront. L’investisseur Doug Putman, propriétaire des magasins de musique HMV, a renoncé à sa tentative de reprise des magasins Wilko. En effet, en raison de l’incapacité à réduire les coûts de l’infrastructure centrale suffisamment rapidement, la transaction n’a pu être finalisée. Wilko avait déposé le bilan début août compte tenu de la crise du coût de la vie et de l’inflation au Royaume-Uni.

Nintendo va ouvrir son propre musée

Un musée dédié à Nintendo devrait ouvrir ses portes en 2024 dans une ancienne usine de l’entreprise au Japon. Cette entreprise, spécialisée dans la création de consoles et de jeux vidéo depuis 1977, a une histoire de plus en plus riche à partager. Lors d’une conférence Nintendo Direct, le PDG de la société, Shinya Takahashi, a donné des détails sur le projet en cours du Nintendo Museum, anciennement connu sous le nom de « Nintendo Gallery ».

La date exacte d’ouverture du musée reste un secret, mais Nintendo assure qu’il proposera une vaste gamme d’éléments liés à l’histoire de Nintendo, y compris des objets historiques et potentiellement des jeux oubliés, méconnus ou extrêmement rares aujourd’hui. Ces dernières années, Nintendo a cherché à offrir une expérience plus immersive aux fans et aux joueurs, en ouvrant notamment deux parcs à thème basés sur ses univers au Japon et aux États-Unis. En France, une initiative similaire serait en préparation.

Interdiction des vêtements qui « heurtent les sentiments »

La Chine envisage d’interdire les vêtements jugés offensants pour les sentiments de la population. Les autorités de Pékin ont élaboré un projet de loi visant à sanctionner les vêtements considérés comme nuisibles à l’esprit du peuple chinois, pouvant entraîner des amendes voire des peines d’emprisonnement. Cette réforme fait suite à plusieurs incidents liés au port de vêtements japonais dans des lieux historiques ou lors de journées commémoratives. En 2021, un tabloïd d’État, le Global Times, avait rapporté qu’une femme avait été vivement critiquée pour avoir porté un kimono en public le 13 décembre, journée nationale de commémoration des victimes des crimes de guerre commis par le Japon en 1937. 

Réussir son premier contact avec un capital-risqueur

Vous êtes à la tête d’une jeune entreprise et vous avez décidé de partir à la quête de fonds propres ? Vous avez l’annuaire du capital-risque en mains et vous êtes prêts à dégainer votre téléphone ? 7 conseils rapides avant de passer à l’action et contacter un capital-risqueur.

1/ Ne pas envoyer de Business Plan par la poste ou sur info@…

Ayez en tête qu’un fonds de capital-risque reçoit de nombreux projets chaque jour et n’en financera qu’une petite dizaine par an. Vos chances de passer toutes les étapes en partant de tout en bas sont faibles. Il faut absolument trouver un angle pour attaquer votre potentiel futur actionnaire. Essayez, par exemple, de trouver une relation commune avant de passer à l’action. Vous pourrez ainsi passer par elle pour connaître la bonne manière de déposer votre dossier. 

2/ Pas d’e-mailing de masse !

Cela peut paraître évident, mais il est assez fréquent en tant qu’investisseur de recevoir un business plan par email alors que d’autres investisseurs sont en CCI (Copie Cachée Invisible) ou pire en CC avec l’ensemble de nos confrères ! Comme pour un CV, faites un effort sur la personnalisation… Il ne faut pas hésiter à changer quelques phrases pour montrer que ce fonds ou ce Business Angel en particulier a fait l’objet de vos faveurs. Et ceci pour de bonnes raisons.

3/ Renseignez-vous sur l’investisseur et le capital-risqueur

Avant de contacter un investisseur, visitez son site internet. Regardez ses participations et cherchez si vous avez des connaissances communes. Rien ne sert de prendre contact avec un fonds qui n’investit pas dans votre secteur ou, au contraire, a déjà financé votre concurrent. Plus votre projet collera avec son expertise ou des domaines qui l’intéressent, plus vous aurez de chance que votre dossier soit traité.

4/ Rien à moins de 1M€

Les fonds professionnels ont rarement des tickets d’investissement inférieurs à 1M€. Si vous cherchez 100.000€ à 500.000€, tournez-vous plutôt vers des Business Angels ou vers les seuls fonds spécialisés dans l’amorçage. 

5/ Éviter la paranoïa

Votre projet est sûrement prometteur, mais n’exigez pas la signature d’un accord de confidentialité avant même la transmission d’un résumé de votre projet. Il est logique de se protéger mais à partir du moment où vous livrez des informations sensibles.  Vous devez donner un minimum de détails afin d’attirer votre investisseurs même si vous souhaitez garder quelques informations confidentielles. 

6/ Laissez la parole…

Vous avez enfin réussi à décrocher un RV. Bravo ! Vous êtes sûrement très excité. Mais n’oubliez pas d’être à l’écoute du capital-risqueur ! Faites-le parler sur ses critères d’investissement et adaptez votre discours.

7/ Ayez la bonne attitude

Il faut vous attendre à rencontrer des investisseurs qui adorent jouer les « avocats du diable ». Acceptez de jouer le jeu et ne perdez jamais votre sens de la répartie et de l’humour.

Aussi, votre investisseur rencontre des entrepreneurs d’univers variés. Il ne connaît pas votre secteur aussi bien que vous. Ne le perdez pas avec votre jargon et n’essayez donc pas de le prendre de haut. De la même manière, il est important de montrer que vous connaissez du monde, mais rien ne sert de faire étalage de tout votre carnet d’adresses…

Enfin, les investisseurs savent que créer une entreprise n’est pas simple et que vous avez des challenges plus difficiles que d’autres à relever. Ne balayez pas les difficultés d’un revers de main… Vendre, ne veut pas dire mentir.

Créativité Individuelle : Encouragez chaque employé à apporter des idées créatives !

L’innovation est devenue le maître-mot pour les entreprises. Traditionnellement, elle était souvent associée à des équipes de recherche et développement ou à des spécialistes en technologie. Cependant, il est temps de reconnaître une ressource créative souvent négligée en interne : les employés. La gestion de la créativité individuelle est aujourd’hui un élément clé du leadership moderne. En effet, elle permet aux entreprises de libérer le potentiel créatif de chaque membre de leur équipe.

Favoriser une culture de créativité

La première étape pour encourager la créativité individuelle au sein de l’entreprise consiste à créer une culture qui la valorise. Les employés doivent se sentir en sécurité pour partager leurs idées, même les plus farfelues, sans craindre le ridicule ou le rejet. Une culture de créativité favorise un environnement où chaque employé se sent habilité à contribuer et à apporter une valeur ajoutée. Les dirigeants jouent un rôle essentiel dans la création de cette atmosphère positive en encourageant activement la participation. Ils doivent valoriser la diversité des idées et en récompensant les contributions créatives.

L’importance de l’écoute active

Pour que les employés se sentent valorisés et encouragés à contribuer, il est essentiel que les dirigeants pratiquent l’écoute active. Cela signifie écouter attentivement les idées et les préoccupations de chaque employé. Il est nécessaire de poser des questions pour approfondir leur réflexion et montrer la prise au sérieux de leurs contributions. L’écoute active renforce la confiance au sein de l’entreprise et stimule la créativité individuelle. Les dirigeants ne doivent pas seulement être des auditeurs passifs, mais également des facilitateurs actifs. Organiser des sessions de brainstorming, des réunions de partage d’idées ou même des ateliers de résolution de problèmes peut aider à encourager la créativité en fournissant un espace où les employés peuvent librement exprimer leurs idées et collaborer.

Donner du temps et de l’espace pour la réflexion créative

La créativité ne peut pas être forcée ni contrainte dans des délais stricts. Les dirigeants doivent donner à leurs employés le temps et l’espace nécessaires pour réfléchir de manière créative. Cela peut inclure la possibilité de travailler sur des projets personnels, des pauses créatives ou même des espaces de travail spécialement conçus pour inspirer l’imagination. Les moments de détente et de réflexion sont souvent les plus propices à la génération d’idées novatrices.

Il faut l’encourager en laissant aux employés une certaine marge de manœuvre dans la gestion de leur temps. Cette flexibilité permet aux employés de suivre leur propre rythme de travail et d’explorer de nouvelles idées sans être constamment sous pression.

Récompenser et reconnaître la créativité

Pour stimuler davantage la créativité individuelle, il est important de reconnaître et de récompenser les contributions créatives des employés. Cela peut se faire par le biais de récompenses financières, de reconnaissances publiques ou de possibilités de développement professionnel. Lorsque les employés voient que leurs idées sont valorisées et récompensées, ils sont plus susceptibles de continuer à contribuer de manière créative à l’entreprise. Certaines entreprises vont même jusqu’à mettre en place des programmes de récompenses spécifiques pour l’innovation. Elles offrent des primes ou des avantages aux employés dont les idées sont mises en œuvre avec succès. Cela crée une incitation supplémentaire à participer activement au processus créatif.

Favoriser la diversité des idées

La gestion de la créativité individuelle ne se limite pas à encourager chaque employé à apporter des idées, elle doit également favoriser la diversité des idées. Les équipes hétérogènes sont souvent plus créatives car elles apportent différentes perspectives et expériences. Les dirigeants doivent donc veiller à ce que la créativité individuelle soit encouragée dans tous les domaines de l’entreprise, et pas seulement dans certaines équipes ou départements. Cela peut également se faire pour la diversité des idées en créant un environnement exposé à des sources d’inspiration variées. Cela peut inclure des voyages, la participation à des conférences ou la promotion de la collaboration avec des organisations externes.

Quelques outils ou astuces

Voici les 2 méthodes les plus couramment utilisées :

1/ Brainstorming et sessions de réflexion :

  • Séances de brainstorming : Organisez des sessions de brainstorming régulières où les employés sont encouragés à partager leurs idées, même les plus folles. Utilisez des techniques de brainstorming structurées telles que la méthode des 6 chapeaux pour stimuler la créativité
  • Mind mapping : Encouragez l’utilisation de logiciels de mind mapping pour visualiser et développer des idées. Des outils comme MindMeister ou XMind peuvent être très utiles pour organiser des concepts complexes.

2/ Plateformes de gestion de l’innovation :

Logiciels de gestion de l’innovation : Utilisez des outils de gestion de l’innovation tels que IdeaScale, Spigit, ou Brightidea pour recueillir, suivre et évaluer les idées des employés. Ces plateformes permettent également de collaborer sur des projets innovants.

Top 10 avantages de la gestion axée sur les données

La gestion axée sur les données, également connue sous le nom de gestion des données, est devenue une priorité absolue pour les entreprises de toutes tailles. Elle offre un avantage concurrentiel considérable en permettant aux organisations de tirer parti de leurs données. Elles peuvent grâce à elle prendre des décisions éclairées, optimiser leurs opérations et améliorer la satisfaction de leurs clients. Voici les 10 principaux avantages de la gestion axée sur les données et comment elle peut transformer votre entreprise.

1/ Prise de décision éclairée 

L’un des avantages les plus évidents de la gestion axée sur les données est la capacité à prendre des décisions éclairées. Les entreprises collectent une multitude de données, des ventes aux données opérationnelles. Or, l’analyse de ces données offre des informations cruciales pour la prise de décisions stratégiques. En examinant les tendances passées et actuelles, les dirigeants peuvent anticiper les évolutions du marché, identifier les opportunités de croissance et atténuer les risques potentiels.

2/ Amélioration de l’efficacité opérationnelle 

Grâce à l’analyse de données, les entreprises peuvent optimiser leurs processus opérationnels. Par exemple, l’analyse des données de production peut révéler des inefficacités et des goulots d’étranglement, permettant ainsi des ajustements pour une utilisation plus efficace des ressources. De plus, la gestion des stocks peut être améliorée en utilisant des données en temps réel pour éviter les surstocks ou les ruptures de stock.

3/ Personnalisation des services 

Les données clients sont précieuses pour personnaliser les services et les offres. En analysant les préférences et les habitudes d’achat des clients, les entreprises peuvent créer des expériences plus personnalisées. Par exemple, un site de commerce électronique peut recommander des produits basés sur les achats précédents, améliorant ainsi la satisfaction et la fidélité des clients.

4/ Prévision de la demande 

L’analyse des données permet de prévoir la demande future avec une précision accrue. Cette capacité est particulièrement utile dans les secteurs où la saisonnalité ou les tendances du marché sont des facteurs importants. Les entreprises peuvent ajuster leur production, leurs approvisionnements et leurs effectifs en fonction des prévisions, réduisant ainsi les pertes de revenus liées à une offre excédentaire ou à une demande insatisfaite.

5/ Découverte de nouvelles opportunités 

Les données révèlent souvent des opportunités inattendues. En analysant les données du marché, de la concurrence et des clients, les entreprises peuvent découvrir de nouveaux marchés à explorer, de nouveaux segments de clientèle à cibler ou de nouveaux produits à développer. Cette capacité à anticiper les besoins du marché est cruciale pour rester compétitif.

6/ Gestion proactive des risques 

La gestion axée sur les données permet de surveiller en temps réel les risques potentiels. Par exemple, les banques utilisent des analyses prédictives pour détecter les signaux d’alerte précoce de comportements frauduleux. De plus, les entreprises peuvent anticiper les risques liés à la chaîne d’approvisionnement, aux fluctuations des prix des matières premières et aux problèmes de qualité des produits, minimisant ainsi les perturbations potentielles.

7/ Meilleure fidélisation client 

Les données clients permettent de mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes. Les entreprises peuvent ainsi mettre en place des programmes de fidélisation plus efficaces. Des offres spéciales ciblées, un service client personnalisé et des réponses rapides aux problèmes des clients renforcent la relation client.

8/ Optimisation du marketing 

L’analyse des données est essentielle pour optimiser les efforts marketing. Les entreprises peuvent suivre l’efficacité de leurs campagnes publicitaires, identifier les canaux les plus performants et ajuster leurs messages en temps réel pour maximiser l’impact. Cela permet de réduire les dépenses marketing inutiles et d’améliorer le retour sur investissement.

9/ Conformité réglementaire améliorée 

Dans un environnement réglementaire en constante évolution, la gestion axée sur les données permet de suivre et de garantir la conformité aux normes et réglementations en vigueur. Les entreprises peuvent surveiller leurs pratiques et leurs opérations pour éviter les sanctions financières et les problèmes juridiques.

10/ Innovation continue 

Les données sont une source inestimable d’inspiration pour l’innovation. Elles fournissent des informations sur les tendances émergentes, les besoins du marché et les opportunités de développement de nouveaux produits et services. Les entreprises axées sur les données sont mieux positionnées pour innover constamment et rester compétitives à long terme.

RH : Avez-vous vraiment besoin de recruter ?

Le recrutement est une activité qui vise à associer des postes offerts et vacants dans une organisation. Le besoin en recrutement peut se faire sentir. Jusque-là rien d’anormal. Mais connaissez-vous réellement les compétences de vos équipes, présentes, pour certaines, depuis plusieurs années ? Avez-vous vraiment besoin de recruter ?

Les signes d’un besoin de recruter 

1/ Charge de travail excessive

L’un des signes les plus évidents qu’il est temps de recruter est lorsque vos employés actuels sont constamment submergés de travail. Une charge de travail excessive peut avoir des conséquences graves, telles que le burn-out, la baisse de la productivité et la démotivation. Si vous observez que vos collaborateurs ont du mal à respecter les délais, que les projets s’accumulent ou que la qualité du travail en souffre, il est probablement temps d’ajouter des mains supplémentaires. Assurez-vous de prendre en compte la charge de travail réelle et d’éviter la surcharge, car cela peut entraîner des problèmes à long terme.

2/ Croissance de l’entreprise

Si votre entreprise connaît une croissance constante, c’est un signe positif, mais cela peut également signifier que vous avez besoin de renforcer votre équipe. Lorsque vos ventes augmentent, que de nouveaux projets se profilent, ou que vous envisagez de pénétrer de nouveaux marchés, il est probable que votre effectif actuel ne puisse plus suivre la cadence. Une équipe surchargée risque de compromettre la qualité de vos produits ou services, ce qui peut nuire à votre réputation. Dans ce cas, recruter de nouveaux talents peut vous permettre de capitaliser sur ces opportunités de croissance tout en maintenant la qualité de votre travail.

3/ Fluctuations saisonnières

Certaines entreprises connaissent des fluctuations saisonnières dans leur activité. Par exemple, les commerces de détail peuvent avoir besoin de plus de personnel pendant la période des fêtes. Si votre entreprise est soumise à de telles variations, cela peut influencer vos besoins en personnel. Embaucher temporairement pendant les périodes de pointe peut être une solution efficace pour répondre à la demande sans alourdir les charges salariales pendant les périodes plus calmes. Assurez-vous de prévoir ces fluctuations dans votre planification des ressources humaines.

4/ Perte de compétences clés

La perte d’employés clés ou d’experts de votre secteur peut avoir un impact significatif sur votre entreprise. Ces individus apportent souvent une expertise unique et une connaissance approfondie de votre entreprise. Si vous constatez que des employés clés quittent l’entreprise, cela peut être un signe que vous avez besoin de recruter pour combler ces lacunes. Le remplacement de compétences essentielles est essentiel pour maintenir votre compétitivité et votre expertise dans le domaine.

Une démarche parfois inutile 

Le réflexe, par expérience, d’un chef ou d’une cheffe d’entreprise, lorsque le besoin de recruter d’un poste précis est nécessaire à l’efficacité de la structure, est de démarrer le processus classique de recrutement. À savoir : établissement d’un profil de poste, sourcing, tri et le décryptage des CV, entretiens. Ce processus peut s’avérer coûteux en termes de temps et de coûts. Toutes ces démarches pour, au final, peut-être ne pas dénicher la perle rare.

Cependant, avez-vous pensé que cette perle rare est peut-être dans vos locaux, avec en prime une connaissance parfaite de la culture de votre entreprise ?

Évaluez les compétences internes, peut avoir plusieurs buts : 

  • Motiver vos salariés en montrant qu’il est possible d’évoluer au sein de votre société
  • Diminuer la lassitude et le turn-over. Un salarié même compétent à son poste peut avoir l’envie de faire autre chose ou de monter en compétences. 
  • Recruter un poste moins coûteux.

N’oublions pas que les structures de recrutement basent, leur tarif sur le montant brut du salaire annuel. Alors, prenez le temps de, vraiment, connaître, vos équipes !

Comment transformer une discussion informelle en une réunion de trois heures

Ah, les réunions improvisées ! Ces moments magiques où une simple conversation de bureau se transforme en une véritable aventure dans le monde de l’interminable. Qui aurait cru qu’une petite discussion innocente sur le café du matin pouvait se métamorphoser en une réunion épique de trois heures ? Voici comment transformer une discussion informelle en une réunion de trois heures, avec une touche d’humour.

L’innocence de la conversation

Tout commence innocemment. Vous arrivez au bureau le matin, encore à moitié endormi, et vous vous dirigez vers la machine à café. Un collègue, lui aussi en quête de caféine, vous rejoint. Vous échangez quelques plaisanteries sur la météo, la dernière série télé à la mode, et puis, sans crier gare, la conversation bascule. Votre collègue mentionne un projet sur lequel il travaille et voilà, le piège est en place. Vous le constaterez : il n’y a pas de méchant dans cette histoire, juste une série d’événements qui échappent à votre contrôle. Vous ne pouviez pas savoir que cette simple mention du projet allait vous conduire dans un labyrinthe de discussions et de débats.

L’engrenage de l’intérêt

À ce stade, par le projet de votre collègue vous intrigue. Vous posez quelques questions innocentes, et il commence à expliquer les détails. C’est à ce moment-là que la magie opère. Vous réalisez que vous avez des idées à partager, des suggestions à faire, et pourquoi pas, des anecdotes personnelles à raconter. Les minutes s’écoulent, mais vous êtes trop captivé pour le remarquer. Vous essayez de garder un œil sur l’horloge murale, mais elle vous fait un clin d’œil moqueur. « Je vais juste rester encore cinq minutes, » pensez-vous, ignorant le fait que c’est exactement ce que vous avez dit il y a quinze minutes. Le temps semble s’étirer comme du chewing-gum.

L’émergence des experts

Alors que votre discussion prend de l’ampleur, d’autres collègues s’approchent. Ils sont attirés par l’énergie créative qui émane de votre coin café. Avant que vous ne le réalisiez, vous êtes entouré d’une petite foule d’experts auto-proclamés. Chacun a son propre point de vue sur le sujet, et la discussion devient une cacophonie de voix passionnées.

Les collègues débarquent les uns après les autres, comme des spectateurs enthousiastes dans un cirque. Ils apportent leurs opinions, leurs expériences passées et leurs théories saugrenues sur le sujet. On dirait que le projet de votre collègue est devenu la star de sa propre comédie d’improvisation.

La transformation en réunion officielle

La transition vers la phase de réunion est subtile, mais inévitable. Quelqu’un suggère que vous devriez tous vous réunir dans une salle de conférence pour « discuter sérieusement » du projet. Et voilà, vous êtes en plein milieu d’une réunion improvisée. Les chaises grincent, les tableaux blancs sont armés de marqueurs, et soudain, le temps n’a plus d’importance.

Le problème avec les réunions improvisées, c’est qu’elles ont tendance à prendre une vie propre. Ce qui aurait dû être une simple conversation se transforme en un événement avec ordre du jour, objectifs et sujets de discussion. Quelqu’un se porte volontaire pour être le modérateur, même si personne ne l’a jamais élu. Le projet initial a disparu, englouti par une mer de bullet points et de graphiques.

La fuite impossible

À ce stade, vous pourriez bien songer à vous échapper, mais c’est trop tard. Vous êtes pris au piège. La réunion s’étire, les discussions dérivent, et des sujets apparemment sans rapport surgissent. Vous regardez l’horloge, mais elle semble s’être arrêtée. Vous vérifiez votre montre, et elle vous nargue avec son indifférence aux lois de la physique temporelle. Chaque tentative pour mettre fin à la réunion est repoussée par des participants zélés qui insistent pour discuter encore un peu. « Juste une dernière chose à ajouter » disent-ils, et c’est toujours suivi par une autre chose, puis une autre. C’est comme essayer de sortir d’un film infini où les crédits de fin ne viennent jamais.

La conclusion épique

Finalement, après des heures de débats, de rires et d’échanges, quelqu’un décide que la réunion doit prendre fin. Les participants se dispersent, chacun retournant à ses tâches quotidiennes, se demandant comment ils en sont arrivés là. Et vous, vous rentrez chez vous en vous demandant si la machine à café est en réalité une porte d’entrée vers un monde parallèle où le temps n’a pas la même signification.

Comment aligner la stratégie d’entreprise sur la mission et la vision de l’entreprise ?

La mission et la vision d’une entreprise ne sont pas de simples déclarations de principes. Elles représentent plutôt les fondations sur lesquelles repose son identité et sa stratégie. La mission définit le pourquoi, le cœur de métier de l’entreprise. La vision, quant à elle, représente l’aspiration à long terme, la destination ultime vers laquelle l’entreprise se dirige. Aligner la stratégie d’entreprise sur la mission et la vision est un élément clé de la réussite organisationnelle. Voyons les étapes essentielles pour assurer un alignement harmonieux entre la stratégie, la mission et la vision de l’entreprise.

Bien comprendre la mission et la vision

Pour commencer, il est impératif de bien comprendre la mission et la vision de l’entreprise. La mission représente la raison d’être de l’entreprise, son objectif central qui guide ses actions au quotidien. Elle répond à la question fondamentale : « Pourquoi existons-nous ? » La vision, de con côté, est une image à long terme de ce que l’entreprise aspire à devenir. Elle offre une direction et une inspiration pour l’avenir. Ces déclarations doivent être claires, concises, mémorables et authentiques pour tous les membres de l’organisation.

Impliquer les parties prenantes

L’alignement de la stratégie sur la mission et la vision commence par l’engagement des parties prenantes. Il est essentiel d’impliquer les employés, les actionnaires, les clients, les partenaires et d’autres parties prenantes clés. Leur compréhension et leur adhésion à la mission et à la vision renforcent l’engagement envers la stratégie qui en découle. Organisez des réunions, des ateliers ou des sondages pour recueillir leurs opinions, leurs suggestions et leurs idées, les intégrant ainsi dans le processus d’alignement.

Identifier les objectifs stratégiques

Une fois que la mission et la vision sont clairement définies et que les parties prenantes sont engagées, il est temps d’identifier les objectifs stratégiques qui soutiendront la réalisation de la vision tout en respectant la mission. Ces objectifs stratégiques sont des jalons mesurables qui guideront la stratégie à long terme de l’entreprise. Ils doivent être en harmonie avec la mission et la vision.

Avant de la mettre en œuvre, n’oubliez pas de mener une analyse approfondie de l’environnement externe et interne de l’entreprise. Cela comprend l’évaluation des forces et des faiblesses de l’entreprise, ainsi que l’identification des opportunités et des menaces sur le marché. Une compréhension approfondie de cet environnement aidera à orienter la stratégie de manière proactive.

Formuler une stratégie cohérente

Une fois que vous avez une compréhension claire de la mission, de la vision, des objectifs stratégiques et de l’environnement, il est temps de formuler une stratégie cohérente. Cette stratégie doit détailler comment l’entreprise atteindra ses objectifs tout en restant fidèle à sa mission et en progressant vers sa vision. Elle doit être élaborée de manière à maximiser les avantages concurrentiels et à répondre aux besoins changeants du marché.

La communication est essentielle à ce stade pour réussir l’alignement de la stratégie sur la mission et la vision. Partagez la stratégie de manière transparente avec tous les membres de l’organisation, en expliquant comment elle contribue à la réalisation de la mission et à la poursuite de la vision. Assurez-vous que chaque employé comprend son rôle dans la mise en œuvre de la stratégie. Créez des mécanismes de rétroaction pour recueillir les commentaires des employés et ajuster la stratégie en conséquence.

Mesurer et ajuster

Établissez des indicateurs de performance clés (KPI) pour suivre les progrès vers les objectifs stratégiques. Ces mesures fourniront des données concrètes sur l’efficacité de la stratégie. Si des ajustements sont nécessaires en cours de route, soyez prêt à les apporter pour garantir que la stratégie reste alignée sur la mission et la vision. L’apprentissage continu est une composante de ce processus.

Favoriser une culture de l’alignement

Enfin, pour maintenir cet alignement, il est essentiel de créer et de maintenir une culture organisationnelle qui valorise la mission et la vision de l’entreprise. Encouragez la créativité, l’innovation, la collaboration et l’engagement des employés, en rappelant régulièrement à tous les membres de l’organisation pourquoi ils sont là. Cela favorisera une culture d’alignement et de cohérence dans toutes les actions et les décisions.

Business : les actualités qu’il ne fallait pas manquer

En business, les bonnes comme les mauvaises nouvelles ne cessent de faire la une des médias. Pourtant, elles montrent que le rebond existe et que les entrepreneurs ne se laissent pas aller au découragement ambiant. Ils recherchent toujours des solutions.

Flink : offre acceptée en France

Flink France, une entreprise spécialisée dans la livraison rapide de courses à domicile, était en situation de redressement judiciaire depuis juin. Elle a été rachetée par le directeur général actuel, Guillaume Luscan, la société mère allemande et la start-up algérienne Yassir. Cette acquisition a été acceptée par le tribunal de commerce de Paris. Elle implique la continuation de l’activité sous la marque Flink. Mais aussi elle exige la réintégration de 270 employés, grâce à un investissement de plus de 5 millions d’euros de la part de Yassir. Le besoin de financement pour que l’entreprise atteigne sa rentabilité s’élève à environ 5,4 millions d’euros. Celui-ci y compris le coût d’acquisition de Flink France, estimé à environ 500 000 euros.

Les nouveaux propriétaires ont l’intention de recentrer l’activité sur les sites les plus opérationnels, d’augmenter le volume de livraison, et de réduire significativement les coûts fixes. Cependant, ils conservent 14 des 19 sites permettant la livraison express de courses à domicile dans plusieurs villes française. Pourtant, ils envisagent de fermer en priorité ceux qui ont suscité des critiques de la part des riverains et des élus en raison du trafic constant des livreurs.

Naf Naf en redressement judiciaire !

La marque Naf Naf a récemment demandé son placement en redressement judiciaire. Cela principalement en raison de l’accumulation de dettes. Notamment des loyers impayés pendant la période de crise liée à la pandémie de Covid-19. Naf Naf une marque française de prêt-à-porter créée en 1973 par deux frères. Actuellement, elle est détenue par le groupe franco-turc SY et compte 660 employés en France, avec 135 magasins.

Malgré un chiffre d’affaires en croissance en 2022, s’élevant à 141 millions d’euros, l’entreprise est face à une dette considérable. Notamment en raison d’arriérés de loyers depuis 2020. Le tribunal de commerce de Bobigny a décidé de placer Naf Naf en redressement judiciaire avec une période d’observation de six mois. Les dettes de Naf Naf s’élèvent désormais à environ 60 millions d’euros. En mai 2020, l’entreprise avait déjà été placée en redressement judiciaire. Elle avait été reprise par le groupe franco-turc SY International, qui emploie 1 500 personnes dans le monde.

« Pre-Owned » : une nouvelle plateforme de revente de vêtements d’occasion par Zara

Zara a récemment lancé sa nouvelle plateforme Pre-Owned en France, marquant ainsi son entrée dans le marché des articles de seconde main. Cette initiative vise à encourager les clients à prolonger la durée de vie de leurs vêtements Zara. Elle témoigne de l’engagement de la marque en faveur d’un modèle plus durable. La plateforme Pre-Owned offre trois principaux services : achat/vente, dons et réparations.

Les utilisateurs peuvent télécharger des photos de leurs vêtements Zara à vendre, les décrire et fixer un prix. Zara vérifie ensuite l’exactitude des annonces avant de les publier, avec des photos originales des articles sur la page d’accueil. Les détails complets sont disponibles lorsque les acheteurs potentiels cliquent sur un article. Une fois la transaction confirmée, les vendeurs disposent de six jours pour expédier leurs articles. La plateforme permet également aux utilisateurs de donner des vêtements, que Zara redistribuera ensuite à des associations caritatives. Enfin, elle propose un service de réparation . Il permet aux clients de demander des retouches en magasin ou en ligne, avec un suivi personnalisé.

La start-up Verkor annonce une levée de plus de 2 Md €

La startup Verkor se prépare à ouvrir une gigafactory de batteries à Dunkerque. Ce projet promet de créer plus de mille emplois et de renforcer la filière française de batteries électriques. Pour financer cette initiative, Verkor a réalisé une levée de fonds exceptionnelle. Il a réuni « plus de 2 milliards d’euros », dont au moins 850 millions d’euros auprès d’investisseurs privés, établissant ainsi un record pour une jeune entreprise française. Cette somme s’accompagne d’une subvention publique d’environ 650 millions d’euros (soumise à la validation de la Commission européenne) et d’un prêt de 600 millions d’euros de la Banque européenne d’investissement. Fondée en 2020, Verkor prévoit d’ouvrir son usine de Dunkerque d’ici 2025, avec la création de 1 200 emplois directs et une capacité de production initiale de 16 gigawattheures par an.

Carrefour critiqué dans un livre sur ses relations avec ses franchises

Dans son livre intitulé « Carrefour, la grande arnaque », Jérôme Coulombel, ancien directeur juridique du département contentieux de Carrefour qui a quitté le groupe en 2017, affirme que les franchisés de Carrefour sont traités injustement. Il accuse le distributeur de les exploiter comme des « vaches à lait ». En France, la majorité des magasins Carrefour (un peu moins de 6 000 en fin 2022) sont en franchise ou en location-gérance. Le groupe détient et exploite directement seulement 565 magasins.

Coulombel accuse Carrefour de pénaliser les franchisés en pratiquant des prix de gros excessifs et en établissant des conditions contractuelles déséquilibrées. Carrefour a réagi en disant que le livre était écrit par un ancien employé qui conseille désormais des franchisés pour rejoindre des groupes concurrents. Le distributeur affirme que la relation avec ses franchisés n’a pas été affectée par les arguments de l’auteur. Pour Carrefour, les litiges cités en exemple représentent moins de 1 % de ses contrats de franchise. 

Valbiotis : une innovation majeure contre le diabète

La start-up Valbiotis a annoncé une « innovation majeure » dans la lutte contre le diabète. Après 10 ans de recherche et une étude clinique réussie, l’entreprise présente Totum-63, un complément alimentaire. Celui-ci réduit le risque de pré-diabète et de diabète de type 2 de 40 % en seulement six mois. Ce produit a été développé avec rigueur, semblable à un médicament. Il a fait l’objet d’une importante étude clinique internationale impliquant plus de 600 patients. Valbiotis prévoit de commercialiser Totum-63 en partenariat avec Nestlé Health Science dès la fin de l’année prochaine. On considère cette innovation comme la première au monde à offrir des preuves cliniques pour prévenir le diabète de type 2 à un stade précoce. 

TikTok attaqué après un suicide

Les parents d’une adolescente de 15 ans, qui s’est suicidée en septembre 2021 à Cassis, ont déposé une plainte contre le réseau social TikTok. Quelques semaines avant son décès, la jeune fille avait publié une vidéo sur TikTok. Elle y exprimait son ras-le-bol d’être harcelée en raison de son poids et faisait part de son mal-être. L’avocate Laure Boutron-Marmion, citée par France Info, souligne que TikTok porte une part de responsabilité évidente dans cette affaire. Elle met en cause l’algorithme puissant de la plateforme, qui a exposé la jeune fille à un grand nombre de vidéos abordant le même thème. Celles-ci ne pouvaient que renforcer son mal-être. Cette plainte constitue une première en France et fait l’objet d’une enquête en parallèle à une affaire de harcèlement scolaire. 

Période d’essai non valable si déjà évaluée

Comme le confirme l’article L.1221-20 du code du travail, la période d’essai a pour objectif d’évaluer les compétences du salarié pour réaliser son travail. Mais peut-on véritablement en mettre une à chaque nouveau contrat ? 

La période d’essai sert avant tout à confirmer que le salarié répond aux attentes de l’entreprise. Ceci, même si ses compétences sont déjà reconnues. Les objectifs de cette période peuvent être centrés sur des aspects plus culturels et organisationnels que sur les compétences techniques. Il est recommandé que l’employeur communique clairement les objectifs et les attentes de la période d’essai au salarié. Même s’il le connaît déjà bien, cela peut aider à éviter toute confusion. Il faut donc établir des critères de succès clairs.

Ce que dit la cour de cassation

Elle n’a pas pour but de permettre de licencier aisément les salariés. L’employeur qui connaîtrait les compétences professionnelles de son salarié pour réaliser sa mission ne peut donc demander à un salarié de travailler à l’essai. Ceci a été démontré lors de plusieurs cas et notamment :

  • lorsqu’une entreprise a mis à disposition d’une autre société un salarié pendant 6 mois. L’entreprise qui a reçu eu le salarié ne peut alors demander une période d’essai
  • lorsqu’un salarié a eu plusieurs CDD sur le même poste

En effet, pour la cour de cassation l’employeur a eu le temps de se faire une idée précise des compétences. Il en résulte que le salarié n’est plus en période d’essai. Il s’agit donc d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse.

Une élimination pas systématique

Lorsque l’employeur est déjà bien informé des compétences et des qualifications d’un salarié, cela peut influencer la manière dont la période d’essai est gérée. Cependant, cela ne l’élimine pas nécessairement. Autrement dit, même si l’employeur est déjà familier avec les compétences du salarié, il peut toujours y avoir des raisons valables d’instaurer une période d’essai. Par exemple, l’employeur peut vouloir évaluer la capacité du salarié à s’intégrer à la culture de l’entreprise, à travailler en équipe, à s’adapter à de nouvelles responsabilités ou à évaluer comment le salarié s’acquitte de tâches spécifiques au sein de l’entreprise.

Quelques généralités sur la période d’essai

La période d’essai est une phase initiale d’un contrat de travail. Elle permet à l’employeur et au salarié de se familiariser mutuellement et de déterminer si le poste et l’entreprise correspondent à leurs attentes réciproques. La durée de la période d’essai varie en fonction du type de contrat. Cependant, elle est généralement limitée à 1 jour par semaine de travail avec un maximum de 2 semaines pour les contrats de moins de 6 mois, et à 3 mois pour les contrats à durée indéterminée (CDI)

Pendant cette période, l’employeur ou le salarié peut mettre fin au contrat sans justification particulière et sans préavis. Néanmoins, l’utilisation de préavis soit courante pour faciliter la transition. Les salariés en période d’essai ont droit à une rémunération et à tous les avantages prévus dans le contrat. Ils sont aussi protégés contre la discrimination en matière de rupture de contrat.

En cas de rupture de cette période par l’employeur, celui-ci peut être tenu de verser une indemnité de préavis. En revanche, si le salarié décide de quitter pendant cette période, il n’est pas tenu de verser une indemnité de préavis. 

Les recommandations

Il est recommandé de documenter la période d’essai par écrit. Les dates de début et de fin sont idéalement présents dans le contrat de travail ou dans une lettre d’engagement distincte. Si le renouvellement de la période d’essai est prévu, il est important de se conformer à la législation en vigueur. Elle autorise généralement un seul renouvellement, sauf dispositions contraires dans la convention collective applicable.