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5 bonnes raisons de faire toujours évoluer votre étude de marché

La santé du marché sur lequel vous vous lancez peut évoluer et les circonstances actuelles nous le prouvent. Certains profitent des crises pour trouver de nouvelles opportunités et profiter de la disparition de leurs concurrents quand d’autres cherchent un moyen de maintenir en vie leur entreprise en raison de rupture de stocks ou du coût de l’énergie, par exemple. Mais il existe aussi de nouveaux marchés qui peuvent évoluer et ouvrir de nouvelles portes que vous pouvez déceler dans une étude de marché.

Une étude de marché n’est jamais gravée dans le marbre ! Une évidence dans ce monde qui chaque jour nous étonne par ces innovations mais aussi par ces incohérences. Et pourtant, une étude de marché nous donne des clefs pour surfer sur les vagues qui se succèdent et nous permettent de ne pas être engloutis.

Les mille et une évolutions du marché

Un jour au top, le mois suivant à la traîne… rien n’est moins sûr que l’état d’un marché. S’il est possible de faire des prévisions, un évènement peut vite venir chambouler les chiffres. Il suffit ainsi qu’un concurrent sérieux entre sur votre marché ou, à l’inverse, que les clients se prennent subitement d’intérêt pour votre produit, et toutes les prévisions de l’étude de marché sont à revoir. L’étude de marché de votre projet ne doit pas rester un document réalisé ponctuellement et qui reste ensuite au fond d’un tiroir. Tout au long de votre travail d’élaboration du projet, l’étude de marché doit vous servir de boussole.

L’étude de marché, un guide

Il  vous aidera à prendre des orientations stratégiques plus justes. Comment réussir à prendre un cap clair lorsque l’horizon est dans le brouillard ? Si vous souhaitez prendre des décisions stratégiques pour l’avenir de votre entreprise, il est indispensable de vous baser sur des données justes du marché. Une bonne connaissance du marché est cruciale pour pouvoir faire les bons choix concernant le développement de l’entreprise.

Observer les premiers résultats de l’entreprise pour avoir un regard objectif

Les premiers tests terrain de votre produit ou service vous donneront peut-être des surprises. Les retours que vous feront les premiers clients vous éclaireront sur les nouveaux aspects à développer ou sur les réseaux de distribution potentiels de votre offre auxquels vous n’auriez pas songé. Tous ces éléments remettront fatalement en cause les évaluations faites lors de la première version de l’étude de marché.

Une étude de marché pour rassurer vos financeurs

Comment justifierez-vous face à vos financeurs vos résultats s’ils sont loin des prévisions annoncées dans l’étude de marché ? Pour que vos investisseurs continuent à vous faire confiance et soient prêts à vous suivre si vous devez réaliser une nouvelle levée de fonds destinée à financer le développement de l’entreprise, actualisez votre étude de marché en fonction de l’état du marché et de la réalité de vos ventes.

Prendre en compte de nouvelles perspectives

Il y a peut-être des facteurs que vous n’aviez pas pris en compte. Si votre étude de marché ne correspond pas exactement à la réalité, c’est peut-être le signe que vous aviez oublié de prendre en compte un élément important. Dans ce cas, plongez-vous dans votre étude de marché et analysez-le. Demandez-vous alors si chaque contrainte ou chaque dépense nécessaire de l’entreprise avait été planifiée. Si vous observez un oubli, remettez à jour l’étude de marché et rétablissez les prévisions qui en découlent.

10 conseils pratiques pour adopter une stratégie gagnante sur les réseaux sociaux ?

Établir une stratégie gagnante sur les réseaux sociaux suppose une connaissance approfondie des outils de travail nécessaires pour booster votre marque. Devant une base de données aussi riche que celle présente sur les médias sociaux, vous devez savoir vous démarquer et retenir l’intérêt de votre cible en appliquant ces 10 méthodes aussi simples qu’efficaces.

Établir le profil de son public

La tendance est de penser que les réseaux vous ouvrent la porte de tous les publics. Or c’est une conception erronée pour obtenir la crédibilité.

Pour mieux utiliser les réseaux sociaux, il est recommandé de bien définir et comprendre son public. Pour cela, posez-vous les bonnes questions : qui sont mes auditeurs ? Quelles sont leurs attentes ? Ont-ils des habitudes particulières ? Comment utilisent-ils les réseaux sociaux ? En répondant à ces questions, vous établirez un profil spécifique pour vos auditeurs.

Sélectionner les réseaux sociaux adéquats

Devant la diversité des médias de communication présents sur la toile, il est difficile de tous les utiliser. Il faudra être sélectif et ne retenir que ceux qui sauront améliorer votre stratégie marketing. Pour certains services ou produits, Facebook peut s’avérer un bon outil, mais dans d’autres cas, X peut sembler plus approprié.

Déterminer votre image de marque

Pour retenir l’attention de vos auditeurs, vous devez créer votre image de marque. Cette image se doit d’être le reflet de votre entreprise et de ses activités. Essayez de mettre en place des éléments captivants qui sauront attiser la curiosité de votre public.

Installer un moyen de communication facile et efficace

Pour que les réseaux sociaux puissent alimenter votre stratégie marketing, vous devez connaître à quelles fréquences et par quels moyens votre public y est présent. Inutile de choisir Facebook pour communiquer avec votre public si celui-ci est plus actif sur X. A quelle heure, est-il opportun de communiquer ? Quel jour ?

Hootsuite a analysé des milliers de publications postées sur TikTok, Facebook, Instagram, X (Twitter) et LinkedIn pour voir si certains jours ou certaines heures obtenaient un meilleur engagement que d’autres. En général, le meilleur moment pour publier sur les réseaux sociaux est le lundi à 9 heures PST (soit 18 heures en Europe centrale). Mais chaque réseau social a son créneau idéal.

  • pour publier sur Facebook est le lundi à 10 heures PST (19 heures en Europe centrale).
  • pour publier sur Instagram est le lundi à 9 heures PST (18 heures en Europe centrale).
  • pour publier sur X (Twitter) est le vendredi à 9 heures PST (18 heures en Europe centrale).
  • pour publier sur LinkedIn est le lundi à 13 heures PST (22 heures en Europe centrale).
  • pour publier sur TikTok est le dimanche à 13 heures PST (22 heures en Europe centrale).

Créer du contenu de qualité et original

Pour vos publications textuelles et numériques, privilégiez la qualité plutôt que la quantité. et surtout éviter le dupli content qui ne vous apportera que des critiques et surtout d’être banni par les algorithmes qui vous feront bannir.

Encourager le partage

Cette stratégie n’est que la conséquence de la précédente. En réalité, si vous publiez du contenu de qualité, votre public se chargera du partage spontanément. Sachez que le partage d’informations est l’un des piliers du marketing, notamment à travers les réseaux sociaux.

Varier les stratégies marketing

Le marketing gratuit sur les réseaux sociaux peut se montrer efficace, parfois plus que toutes les autres pratiques publicitaires rassemblées. Rien ne vous empêche toutefois de multiplier les méthodes. Pourquoi ne pas opter pour de la publicité payante, si votre budget vous le permet.

Entrer en contact avec les « influenceurs » 

Dans pratiquement toutes les communautés sociales sur la toile, il existe des groupes d’influence. Ce sont des leaders d’opinions dont le travail s’inscrit dans un contexte marketing par excellence. Essayez de les joindre ou de capter leur attention. Ils seront alors comme les « porte-paroles » de votre marque et vous aideront à vous faire connaître.

Jouer sur la diversité

Dans un univers aussi vivant que celui des réseaux sociaux, il faut savoir être actif et réactif. Variez alors les réseaux pour confirmer votre présence sur le marché. Variez aussi les publications pour ne pas lasser votre public et lui offrir de la nouveauté à chaque occasion qui se présente.

Evaluer régulièrement la stratégie

Votre stratégie doit être évaluée en permanence. Vous saurez alors reconnaître ses points forts et ses limites. Seule, une mise au point régulière, vous permettra de développer votre stratégie marketing sur les réseaux sociaux en ne gardant que les meilleures pratiques.

Tout savoir sur l’intérêt du motion design pour le business

Nous connaissions les effets spéciaux au cinéma, voilà qu’ils arrivent dans le marketing ! L’arrivée d’outils simples de création numérique a permis l’éclosion d’une nouvelle spécialité, le motion design. Il s’agit de concevoir au service de l’entreprise des productions graphiques mêlant de la vidéo, de l’animation 3D, du texte, du son et des effets spéciaux. Ce format publicitaire, souvent interactif, offre aux labels une approche dynamique et plus conviviale du consommateur. Tour d’horizon des avantages pour votre entreprise du motion design.

Se démarquer grâce à l’Art du mouvement

Les marques font toutes appel à la publicité pour acquérir de la notoriété. Elles se bousculent sur tous les supports du monde réel et de l’univers virtuel. Le motion design permet de se démarquer en présentant son nom et son offre de manière plus attrayante. Ce type de présentation fait appel à tous les ressorts disponibles de la technique pour dynamiser cette dernière, captiver le consommateur et finalement faire passer son message efficacement. Mais au-delà du rendu lui-même, le motion designer s’appliquera à utiliser des tags judicieux pour optimiser le référencement SEO (lié au moteurs de recherche) de sa production et en améliorer le trafic sur Internet. Ce dernier point ne doit pas laisser à croire que le motion design s’applique aux seuls produits online ! Les spots TV animés et les films passés en espace de vente sont tout autant concernés. Véritable Art du mouvement, cette technique marketing nécessite une maîtrise professionnelle de tous les médias disponibles.

Découvrir le  pouvoir des images

Avec l’émergence de l’omni-connexion, le consommateur s’est habitué à visionner des images plutôt qu’à lire du texte. La génération Internet décode les images et adore cela ! Néanmoins sa consommation effrénée d’images à partir des divers outils de connexion la rend très versatile et exigeante. Elle ne s’attarde que sur les contenus les plus fun et les plus percutants. Il s’agit donc d’utiliser au maximum le pouvoir de l’image en utilisant un minimum de temps pour faire passer son message. Le motion design optimise la communication marketing dans un univers hyper concurrentiel. Il propose une multitude de styles, cartoon, whiteboard ou infographique par exemple. Dans tous les cas, il doit être ludique et très fluide. La moindre imperfection et c’est l’assurance de perdre le visionneur avant qu’il n’ait eu le temps de s’imprégner du message.

Faire passer son message

En France 38% des personnes interrogées déclarent se rendre sur le site Internet d’une marque pour se renseigner sur ses produits avant d’aller en point de vente. Ce chiffre souligne l’importance d’être présent sur le Net. Néanmoins, il y est particulièrement difficile de capter l’attention des internautes le temps suffisant pour faire passer son message. Le motion design permet une présentation rapide et efficace de la marque et de son offre. La présentation dynamique et technique valorise celles-ci. Elle permet de garder l’internaute plus longtemps en offrant un montage et des effets captivants. Un point extrêmement important quand on sait que 83% de la mémoire est visuelle !

Les smartphones et les tablettes ajoutent une valeur supplémentaire. Plus de 50% de la navigation sur Internet se fait sur mobile.  Il va donc  falloir adapter votre présentation au web mobile et donc de repenser  votre logo votre style graphique et votre communication audiovisuelle.

Le motion design est en passe de devenir un ingrédient incontournable des plans marketing. Il s’agit de fournir un produit de présentation ou publicitaire adapté aux attentes d’un public exigeant et averti.

Logiciels pertinents  de motion design de 2024

Adobe After Effects – Il s’avère excellent pour la post-production vidéo, la création d’effets spéciaux, et les animations graphiques pour le web et les réseaux sociaux.

Cinema 4D – Il propose un choix pertinent pour les graphistes 3D, les animateurs, et les designers pour les visualisations de produits et les animations architecturales.

Blender – Il est utilisé par les artistes indépendants et les studios pour les courts métrages, les visualisations 3D et les jeux vidéo.

Autodesk Maya – Il s’intègre aisément dans les environnements de production professionnels avec une prise en charge étendue de plugins et de moteurs de rendu.

Vyond – Il offre une plateforme accessible pour créer rapidement des animations de caractères et des scénarios.

Comment interpréter des données chiffrées pour les transformer en business ?

Le web est devenu un centre commercial international. En quelques années, il s’est révélé être une excellente manière de faire du business. Les entreprises s’y sont donc installées en  créant des sites e-commerce, en diffusant des informations et surtout en devenant présentes pour se rendre visibles. Mais au fur et à mesure, elles se sont rendu compte qu’il fallait quitter leurs anciens modèles et remettre en question leur  stratégie.

Selon une récente étude, ls entreprises seraient  plus de 95 % à rencontrer des difficultés dans l’analyse d de leurs données. L‘intelligence artificielle (IA) et le machine learning (ML) vont s’intégrer de plus en plus au sein des systèmes de Business Intelligence. En effet, ces dernières optimisent l’analyse des données, l’analyse prédictive et la prise de décision. Leur principal intérêt est d’automatiser le travail des data analysts. Adaptées aux très gros volumes de données, elles seront performantes dans la prédiction des tendances, l’identification des modèles et l’anticipation des fluctuations d’un marché. Une enquête a même révélé que les entreprises n’utilisent que 57 % des données qu’elles collectent. En 2024, les solutions de traitement des flux de données en temps réel devrait faciliter la collecte des données.

Bien des entreprises développent aujourd’hui leurs activités via un site web, mais certaines peinent encore à mesurer la pertinence de leur stratégie numérique. L’analyse des données chiffrées permet cependant de fournir des informations précieuses susceptibles d’améliorer son business. De quelle manière opérer pour interpréter ces chiffres à des fins commerciales ?

Choisir les bons outils

Toute interprétation implique d’utiliser les outils adéquats. Il en existe deux types pour l’analyse statistique des sites web : ceux basés sur les logs et ceux basés sur les tags. Les logs rassemblent dans un fichier texte tous les événements survenus sur le site, dont chaque visite effectuée. Ce sont des données fiables mais longues à analyser. La seconde méthode, plus simple à utiliser, nécessite de marquer le code HTML de chaque page avec un tag permettant de l’inclure dans un programme d’analyse statistique. On obtient ainsi des graphiques pertinents pour optimiser les ventes, comme le flux des visiteurs en fonction des pages. Des outils performants comme Xiti et Google Analytics sont à recommander.

Relever les indicateurs clés

Ces outils donnent la possibilité d’exploiter un grand nombre de chiffres afin d’améliorer ses ventes en ligne. On les divise en données liées aux internautes (adresse IP, configuration de l’ordinateur utilisé) et en données liées aux visites elles-mêmes (nombre de pages vues, durée de chaque visite, sites de provenance, etc.). Il s’agit d’informations capitales en termes de business, dont l’analyse détaillée permet de comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas sur un site. Des pages peu vues seront à retravailler, alors que des visites de courte durée indiquent qu’il faut trouver d’autres moyens pour retenir les internautes sur le site jusqu’à l’achat.

Analyser le trafic en détail

L’exploitation des données chiffrées est la partie la plus importante pour espérer améliorer ses ventes. Chaque information peut être classée en prenant compte les indicateurs de son choix (comme la durée de la visite) sur un intervalle de temps précis. Cela permet de mesurer précisément l’impact d’une campagne de communication ou d’une offre promotionnelle sur la fréquentation du site et les ventes réalisées. Il est également possible de segmenter les données pour une analyse plus fine du comportement des internautes, en observant les visites par ville ou par région. Des actions de communication ciblées permettront ensuite d’améliorer la visibilité de l’entreprise dans les zones géographiques où les visiteurs sont moins nombreux.

Observer les chiffres importants

L’analyse des données chiffrées sert aussi à mettre en exergue des indicateurs évolués essentiels pour optimiser les ventes en ligne. Le taux de rebond correspond au pourcentage de visiteurs qui consultent une seule page du site avant de partir. Un taux supérieur à 80 % indique que le site est à repenser : des bugs, un manque d’ergonomie ou une présentation, n’inspirant pas confiance, font fuir les utilisateurs. Le taux de transformation est le pourcentage d’internautes à avoir réalisé un objectif défini (comme une demande de devis) en fonction du nombre total de visites. Cet indicateur sert à mesurer la rentabilité du site et la pertinence des actions commerciales : une campagne d’emailing n’augmentant pas de manière significative le taux de transformation est par exemple un échec.

Comment pensent les hyperactifs ?

L’hyperactif pensent beaucoup, parlent (trop) vite, passent d’une pensée à l’autre sans transition. Les hyperactifs sont souvent submergés par les idées, ne savent pas par où commencer.

Quand la nature nous a dotés de méninges hyperactives, le fonctionnement de la pensée se déroule un peu différemment. Voyons en quoi il consiste et quels en sont les avantages, mais aussi les inconvénients. Cela aidera sans doute certains entrepreneurs à comprendre leur état d’esprit !

Comment se définit l’hyperactivité ?

Cet état d’être chez un individu correspond à un comportement particulier, qui se remarque tôt dans l’enfance. L’enfant, pas nécessairement toujours agité, éprouve, par exemple, de la difficulté à ne pas répondre à une question avant même qu’elle soit terminée. Bien souvent, il a déjà en tête la prochaine question à poser, lorsqu’une personne tente de lui répondre. Certains sujets ne tiennent pas en place, car leur esprit ne fonctionne que sur le mode accéléré et tout dans leur environnement peut les distraire de l’action présente. Une fois adultes, les hyperactifs ne peuvent s’empêcher de faire irruption dans une conversation, d’interrompre ou ne comprennent pas qu’ils doivent attendre leur tour.

Comment manager un hyperactif ?

Si vous managez un hyperactif, votre défi sera donc d’éviter qu’il s’épuise. Essayez de calmer son stress. Pour minimiser les impacts son équipe, proposez-lui un espace de travail isolé qui lui permettra de se concentrer sans trop de stimuli extérieurs, et sans risque d’importuner les collègues. À vous aussi de savoir exploiter l’énergie de l’hyperactif . En effet, l’hyperactif a du dynamisme à revendre, nul doute qu’il saura insuffler celle-ci à son équipe.

Les avantages de la pensée hyperactive

Les hyperactifs sont de véritables champions de la solution. Ils passent beaucoup de temps à analyser les situations et à tenter d’en prévoir les enjeux, mais surtout ils cherchent (et trouvent souvent) la façon de les régler. Selon les études axées sur ce type de personnalité, les hyperactifs vivraient avec l’impression quasi constante que tout dans leur cerveau s’active en même temps. Ainsi, plusieurs d’entre eux arrivent à combiner plusieurs tâches avec efficacité. L’univers informatique, rapide et performant, leur convient à merveille.

Quelques désavantages également

D’un autre côté, dans la pensée hyperactive, tout se passe en accéléré. Il peut donc s’avérer difficile d’établir des relations paisibles avec une personne ou un groupe. L’hyperactif-type peut changer d’avis plus d’une fois par jour, et presque tout est sujet à la remise en question. Certains d’entre eux souffrent aussi d’un manque de concentration, ce qui complique leur cheminement à l’école et, plus tard, les apprentissages reliés au monde du travail.

Comment les hyperactifs arrivent à se détendre ?

Avec de la bonne volonté et une pointe d’humour, ils finissent par accepter de laisser la vie les guider plutôt que de tenter de tout prévoir. La pratique du lâcher-prise s’avère également très efficace pour apaiser un esprit agité. Des techniques de détente comme le tai-chi, le yoga, la respiration profonde et la méditation peuvent leur être bénéfiques, même si l’adaptation s’avère parfois un peu ardue au début. Avec du temps et de la patience envers soi et les autres, un hyperactif peut réussir à se concentrer sur l’instant présent ; à n’écouter que cette petite voix qui lui suggère de faire confiance à son expérience et son bon jugement. De toute façon, il réalisera peu à peu que ses pires craintes ne se réalisent quasiment jamais.

L’hyperactivité ne constitue, en somme, qu’un état d’être avec lequel on s’habitue à vivre, et tout se passe mieux quand l’entourage immédiat montre de la compréhension.

L’hyperactivité, un fléau dans les entreprises

Hyper connectés et submergés d’informations inutiles, les cadres sont en pleine crise d’hyper-activité au travail. L’infobésité ( trop de mails, de sms, de coups de téléphones, trop de webinaires, trop de zoom…) interrompent  les journées de travail des salariés, en particulier des cadres.  Il est donc nécessaire de bien comprendre que tout hyperactif s’épuise à un moment ou à un autre.

Un salarié consulte son smartphone 150 fois par jour

Mais les leaders de demain sont aujourd’hui submergés et souffrent d’hyper-connexion. D’après Deloitte un employé consulte son smartphone environ 150 fois par jour et ce n’est pas un signe d’efficacité. Pour 75% des DRH, cette question est désormais urgente : il faut permettre aux salariés d’être moins sollicités.

« Nous commençons tout juste, avec le ComEx, à nous appliquer des règles d’usage des outils. Une urgence, on s’appelle, lecture des mails dont on est juste en copie deux fois par semaine, etc. Nous n’en sommes qu’au commencement ! » témoigne un DRH d’une compagnie d’assurance internationale interrogé par le cabinet d’audit.

Top 12 des erreurs stupides qui peuvent couler votre boîte

Vous voulez créer votre start-up ou vous avez déjà une entreprise existante ? C’est très bien ! Mais que vous soyez un entrepreneur expérimenté ou non, quel que soit votre degré de motivation, votre volonté de bien faire et votre passion pour le domaine dans lequel vous vous investissez, vous ferez sans doute des erreurs quant à la gestion de certains aspects de votre structure. Et cela est tout à fait normal. Seulement, certaines erreurs sont plus fatales que d’autres, surtout dans le cas des start-up. Parmi celles-ci, quelles sont donc les 12 principales erreurs stupides qui peuvent faire couler votre entreprise ?

“La plus grande erreur que vous puissiez faire dans la vie, c’est d’avoir peur de faire des erreurs.”

John Kennedy

Avant de vous dénigrer et penser que vous vous auriez dû faire autrement, il vaut mieux se remettre en question et éviter les erreurs stupides que vous auriez pu parfaitement éviter.

1- Mal rédiger votre business plan

Comme le dit le dicton : on ne planifie pas un échec, mais on peut échouer à cause d’une mauvaise planification. Stephen Covey dans son livre intitulé “Seven Habits of Highly Effective People”, pour « Les habitudes des personnes très efficaces », nous dit qu’il faut pour débuter un projet, avoir en tête et garder à l’esprit la fin de ce dernier. Autrement dit il faut déjà penser à l’objectif final du projet.

Avoir une idée, c’est génial, mais il faut être certain de où l’on va et savoir quels sont les résultats escomptés. C’est en cela que le business plan intervient. C’est un outil qui vous permettra de jauger non seulement les ressources nécessaires à la mise en œuvre du projet, mais également de prévoir les résultats attendus. Il vous donnera un peu plus de clarté en ce qui concerne vos objectifs d’affaires, et vous permettra de comprendre quelles sont vos priorités dans le plan d’action.

2- Faire une mauvaise estimation ou une sous-capitalisation

De toutes les erreurs qui peuvent faire couler votre entreprise, la sous-capitalisation est certainement celle qui peut la faire tomber plus vite. En effet, lors de la conception de votre plan d’affaires, plus particulièrement au niveau de la planification financière, il faudra être aussi précis que possible quant aux diverses dépenses projetées. Il vaut mieux en effet surévaluer une dépense que de la sous-évaluer. Dans ce même ordre d’idées, il faudra déterminer toujours avec précision, les profits que vous pourriez réaliser au bout de un an, deux ans et même jusqu’à cinq ans.

3- Ne pas tenir compte des bénéfices réels

Peu importe combien d’argent vous avez acquis dans une période. Si rien de tout cela n’est profitable à votre entreprise, alors vous aurez travaillé à perte. Le rôle premier d’une entreprise est de créer de la valeur, d’être rentable. Se concentrer uniquement sur un taux de rotation élevé a causé la mort à de nombreuses entreprises. En effet, il arrive d’avoir un contrat de 600.000 euros pour des charges de plus de 650.000 euros. Ce qui pourrait vous catapulter rapidement dans l’abîme des dettes.

4 – Ne pas vouloir investir

Même si vous pensez avoir fait de gros bénéfices, ne dépensez pas tout de suite votre argent dans l’acquisition d’une belle voiture ! Lorsque votre entreprise commence à prendre de l’ampleur, il est l’occasion idéale de réinvestir cet argent et de travailler sur le perfectionnement de vos processus, des compétences de vos employés, sur la réorganisation des bureaux et également sur une meilleure commercialisation pour assurer la longévité de l’entreprise.

5. Refuser de procéder à une expansion

Une partie du réinvestissement doit être engagée pour l’expansion de l’entreprise vers des domaines plus porteurs. C’est le cas de Musk, qui en vendant PayPal, s’est introduit dans le domaine du nucléaire et du spatial.

6. Refuser d’écouter des conseils

On ne peut pas tout faire par soi-même. Même le géant de Facebook Marc Zuckerberg l’a reconnu en disant que la meilleure façon de surmonter les obstacles en entreprise est de rester ouvert et à l’écoute des autres, notamment des spécialistes des domaines dans lesquels nous ne nous y connaissons pas assez.

7. Mépriser le travail en équipe

Pour garder votre entreprise en vie, il faudra un certain savoir être. Vos employés sont là pour accroître la productivité de l’entreprise. Vous devez sans doute instaurer le respect. Mais il faut toujours collaborer dans la bonne ambiance. Surtout, ne faites pas l’erreur de contraindre certains employés à démissionner !

8- Ne pas être capable de s’adapter aux changements

En tant qu’entrepreneur, vous devez avoir le flair pour analyser les changements qui s’installent dans votre écosystème au jour le jour. Vous devez pouvoir dans ce même ordre d’idées, vous adapter et faire face aux défis nés de ces changements parfois brusques. La montée ou la chute du dollar américain a par exemple conduit à la fermeture de plusieurs grandes structures dans le monde.

9- S’entourer de collaborateurs inefficaces

Il ne faut rien prendre à la légère et surtout s’entourer de personnes efficaces qui ont la même vision de l’excellence que vous.

10 – S’opposer à la délégation des tâches

Sachant que vous ne pouvez pas tout faire par vous même, il serait judicieux de déléguer au moment opportun des tâches à vos collaborateurs. Sachez leur faire confiance tout en suivant avec eux le travail que vous leur avez confié.

11 – Ne pas communiquer

La communication à l’heure du digital est un incontournable pour mieux vendre sa marque , ses produits ou services. Il vous faut communiquer certes avec discernement : communiqués de presse,  site web d’information, des webinaires, des posts sur les réseaux sociaux  peuvent suffire mais devront faire l’objet d’une stratégie rigoureuse pour éviter toute déperdition d’énergie.

12 – N’avoir aucune vision d’avenir

Un bon chef d’entreprise sait anticiper les changements nécessaires au fonctionnement pérenne de sa boîte mais surtout il  doit être constamment en veille et en recherche pour saisir les opportunités qui se présentent mais aussi les crises.

Découvrir ses clients pour mieux vendre son produit

Les entreprises qui réussissent sont celles qui possèdent une vraie personnalité. Leurs clients peuvent vous dire exactement pourquoi ils s’orientent vers elles. Leurs produits ou services ne s’adressent pas nécessairement au plus grand nombre. Une cible cohérente est explicite aux yeux de tous. En analysant la communication et le marketing de l’entreprise, il est facile de déterminer à qui s’adressent leurs produits. Pour une  entreprise quelle que soit sa taille, il s’agit de créer une vraie personnalité pour convaincre les personnes d’acheter le produit ou service proposé. Pour ce faire, la première chose est de bien comprendre les besoins et désirs des personnes ciblées mais aussi l’évolution de l’environnement et des circonstances.

Découvrir ses clients. Pas si facile ! Car il ne s’agit pas d’un client mais des clients et donc d’un panel large. Des personnes qui n’ont rien en commun. Pourtant, toutes ces personnes différentes peuvent avoir besoin du même produit ou service. Il faut donc en amont trouver ce qui peut dans votre produit ou service les séduire toutes et même parfois le conduire à acheter pour d’autres  soit, par exemple, pour leur rendre service ou soit pour leur faire plaisir. Il faut bien sûr scruter la concurrence qui peut vous souffler des idées pour mieux les vendre.

Estimer les motivations des clients potentiels

Pour bien vendre, il faut d’abord bien connaître les personnes ciblées. Avoir une vague idée de la raison pour laquelle les gens pourraient acheter ne suffit pas. Une fois la cible définie, il faut choisir une approche et utiliser le levier le plus adapté sur ce point. Se différencier, accentuer sa différence est souvent nécessaire pour créer le lien émotionnel qui convaincra les personnes de passer à l’acte d’achat. Le produit proposé doit réellement être en cohérence avec le mode de vie des personnes que vous voulez convaincre.

C’est évidemment complexe à faire quand on ne s’est pas encore confronté au marché, Pourtant, les personnes de votre cible doivent se dire que l’offre que vous proposez leur correspond tout à fait. Les études marketing peuvent pour cela vous être d’une aide précieuse. Elles peuvent par exemple vous faire prendre conscience que le levier que vous souhaitiez utiliser pour vous distinguer n’est pas vraiment pertinent, qu’il n’influe pas suffisamment sur la décision d’achat.

Suivre l’évolution de l’environnement

Une fois que vous avez déterminé le levier de communication et de marketing le plus pertinent, il est aussi important d’analyser l’environnement actuel de la cible. Les médias ont un impact énorme sur notre comportement d’achat. Certaines tendances ou sujets à la mode peuvent pousser les gens à adopter un comportement d’achat. Or, celui-ci interfère avec votre levier de différenciation. Les modes de consommation entrent également en compte. Vous pouvez avoir parfaitement compris votre cible, ce qui la pousse à acheter. Toutefois, si votre offre n’est pas en adéquation avec son mode d’achat, son mode de consommation, son budget cela ne vous sera d’aucune aide. Il peut s’agir de l’envoi du produit, de la façon avec laquelle le produit peut être acheté, ou le bien ou service est proposé.

Mettre le doigt sur votre force

Une fois votre offre lancée, il est tout à fait possible que l’attitude de vos clients ne soit pas réellement conforme avec vos études marketing. Il se peut que votre produit fonctionne mais que ce ne soit pas pour les raisons que vous aviez envisagées. Pour cela il est important de s’interroger, sans cesse, sur l’image que renvoie votre entreprise. Ce n’est pas parce que le produit est lancé que le plan marketing ou de communication peut être changé, au contraire. En vous confrontant au marché, vous connaissez de façon plus précise ce qui motive vos clients. N’hésitez pas à proposer des offres spéciales aux clients en échange de quelques minutes de leur temps pour qu’ils vous expliquent par un questionnaire, par exemple, qu’est-ce qui les séduit dans ce qui est proposé.

Et il faut se dire qu’un produit qui n’est pas utile aujourd’hui pour un client le sera peut-être demain. Il suffit de penser que l’être humain évolue dans ses besoins selon son âge : étudiant, célibataire, marié, seniors….Votre réputation sera votre principal atout au fur et à mesure de l’évolution de sa vie !!! Une évidence, pas si facile à cerner !

La reconnaissance, la valeur ajoutée d’un dirigeant

Le chef d’entreprise est celui qui dirige l’entreprise, le premier responsable, le propriétaire de la boîte. Mais bien sûr, une entreprise n’est jamais florissante par l’effort d’une seule personne. C’est pourquoi, vérité de la Palice, le dirigeant engage des salariés pour en réaliser le bon fonctionnement.

La reconnaissance, ce n’est pas une technique de management. Elle doit avant tout partir d’une volonté réelle de participer à l’harmonie de la société et au bonheur des salariés. Si elle devient une technique au lieu de conquérir vos collaborateurs, vous ferez l’effet inverse. La reconnaissance va bien au-delà. Il faut y mettre la même implication que lorsque vous offrez un cadeau à une personne que vous aimez. Votre choix ne sera lié qu’au fait de lui faire plaisir. Alors agissez de même !

Être reconnaissant  de  la qualité du travail, des efforts fournis, des qualités de chaque collaborateur  apparaissent comme des éléments indispensables à la motivation. Des gestes, des compliments ou des éloges font souvent la fierté, mais surtout génèrent la motivation de chaque salarié.

La reconnaissance propre

La reconnaissance au travail figure parmi les outils les plus puissants qu’un chef d’entreprise puisse utiliser pour motiver ses salariés. Il est vrai qu’il existe plusieurs manières d’impliquer ou de motiver les employés, mais biens souvent, cela n’a une efficacité qu’à court terme. La reconnaissance est bien un moyen essentiel pour garantir un engagement durable et réel. Au sein d’une entreprise, elle est donc l’outil que le chef d’entreprise doit privilégier s’il compte avoir des résultats rapides, fiables et à faible coût.
La reconnaissance créative au quotidien permet d’instaurer durablement un climat de confiance et d’appartenance entre l’entreprise et l’employé.

Comment faire ?

Pour que la reconnaissance prenne toute sa valeur, il est toujours préférable de choisir le moment opportun et envers la bonne personne. C’est tout un art. Réaliser le bon geste, que ce soit pour démontrer son appréciation envers une personne ou toute l’équipe, est un moyen efficace de garder et même d’augmenter la motivation au travail. Il est certain qu’ elle prend plus d’impact  en public, que ce soit une reconnaissance personnelle ou pour toute l’équipe. Le bon geste est donc une manière de montrer sa considération envers les employés.

La reconnaissance au quotidien

Pour des résultats palpables, le chef d’entreprise doit présenter une reconnaissance à la fois variée et constante afin d’éviter que le reflet ne s’efface avec le temps, pour s’adapter aux situations nouvelles et afin de répondre aux besoins individuels. Au quotidien, cela reste un défi pour le dirigeant d’entreprise. Il ne faut pas oublier que la reconnaissance constitue un besoin essentiel pour tout un chacun . Pour ce faire, elle peut prendre la forme d’un soutien, d’un compliment ou encore d’une formation de la personne ou de toute l’équipe. Le chef d’entreprise doit être conscient que la reconnaissance est directement un avantage pour sa société !

La reconnaissance créative

La reconnaissance créative est un geste de reconnaissance que les dirigeants d’entreprise ne doivent pas oublier. Comme son nom l’indique, le chef d’entreprise doit être créatif et démontrer à ses employés qu’il prend la peine de leur prêter attention. Il existe différentes manières d’opérer. Le chef d’entreprise peut débuter une réunion par une présentation de la réalisation d’un employé, indiquer le nom des personnes qui ont contribué à un projet à la fin des documents ou encore faire connaître la qualité de travail d’un salarié à tous les employés, par courriel par exemple.

Le dirigeant d’entreprise peut également inviter un petit groupe d’employés chaque mois au restaurant, payer la pizza ou les beignets après l’inventaire, ou après que vos salariés ont passé du temps sur un projet et réalisé de nombreuses heures supplémentaires. Il faut bien savoir que la rémunération pour les collaborateurs n’est pas de la reconnaissance, elle paie pour le travail qu’il effectue.

Ne jamais comparer sa situation du dirigeant à celle de vos  collaborateurs

Pour qu’ils restent impliqués et communiquent leur motivation aux autres, il ne faut jamais comparer sa situation de dirigeant à celle du collaborateur, ni lui rappeler les efforts que vous avez fournis pour créer cette entreprise. Un collaborateur pensera immédiatement que son salaire n’est pas le même que le vôtre et que vous en avez choisi les retombées du fait  d’être dirigeant et donc de parfois mettre votre vie personnelle entre parenthèses. C’est votre choix pas le sien mais en revanche, votre attitude respectueuse peut l’inciter à donner une valeur ajoutée à son travail. Vous devez faire de vos collaborateurs vos alliés. Pas si facile !

Cassez votre routine !

Avec les années et la répétition des tâches, les urgences qui ne cessent de s’accumuler, il arrive souvent que les chefs d’entreprise soient de moins en moins motivés pour travailler car, comme tout le monde, le fait de ne pas varier vos activités peut vite devenir lassant. Alors comment casser la routine pour ne pas ressentir la lassitude ? 

Changer vos horaires ou votre lieu de travail

Si vous êtes un habitué des horaires de bureau et du même de lieu de travail, il peut se révéler judicieux d’opérer un changement en décidant par exemple de travailler de chez vous ou dans un café au calme. Vous pouvez également changer de bureau ou repositionner vos équipes afin de modifier l’atmosphère. Rien ne vous oblige également à vivre dans une routine horaire, vous pouvez très bien modifier complètement vos horaires même s’il faut prendre en compte d’autres paramètres comme les transports bondés. 

Inverser vos habitudes ou en créer 

Si vous avez le rituel tous les matins de tout effectuer dans un ordre précis, investissez dans de nouvelles activités et instaurez sans précipitation tout de même des habitudes créatrices de valeur. Vous pouvez par exemple faire votre sport le matin à la place du soir et inversement. Incluez dans votre emploi des habitudes que vous aimeriez bien avoir et auxquelles vous ne consacrez pas de temps. Tout changement de vos habitudes peut vous aider à vous remotiver et à ne plus avoir l’impression de vivre le fameux « métro-boulot-dodo ». Si elles peuvent vous sembler difficiles à réaliser en raison de votre charge de travail, sachez que ces nouvelles habitudes finiront par s’ancrer. 

Intervertir vos tâches ou déléguer 

Vous pouvez parfaitement intervertir certaines de vos fonctions avec vos associés ou déléguer à des collaborateurs, notamment les fonctions qui vous lassent. Ce n’est pas parce que les tâches vous ennuient après quelques années qu’il en sera de même pour les membres de votre équipe, qui, à l’inverse peuvent être heureux d’apprendre à réaliser de nouvelles tâches et de monter en compétences. Pour cela, posez-leur la question sur celles dont aimeraient s’occuper et de leur déléguer. Si cela peut prendre du temps à instaurer, cela peut se révéler une bonne solution pour éviter la lassitude. 

Développer une nouvelle aile

Si vous avez l’impression d’avoir fait le tour de vos tâches, prenez le temps de développer une aile porteuse de sens, une nouvelle technologie ou encore une manière inédite de réaliser vos tâches. Vous pourrez ainsi découvrir un domaine inconnu et découvrir de nouvelles choses qui pourront satisfaire votre curiosité naturelle ou vous aider à réaliser vos tâches différemment. Le développement de pans inhabituels implique souvent une délégation en amont car le temps n’est pas indéfiniment extensible. Pour cela, observez les différentes opportunités de développement de votre entreprise en regardant les domaines connexes ou les savoir-faire que vous pouvez utiliser. 

Vous intéresser à ce que fait la concurrence

Il se peut que certaines pratiques existent dans votre secteur d’activité ou d’autres et qui peuvent être mises en place dans votre entreprise. Ce n’est pas parce que vous êtes le meilleur dans votre activité que vous êtes le meilleur partout. Certaines pratiques d’autres entreprises n’ont certes rien à envier à la vôtre mais vous pouvez vous inspirer des leurs pour changer vos habitudes et casser votre routine. Comparez-les en pesant les avantages et les inconvénients ou encore à allez voir des pratiques originales même à l’étranger. 

Réorganiser votre vie familiale et professionnelle

Les chefs d’entreprise sont nombreux à affirmer qu’il y a souvent une confusion entre les deux vies et rien ne vous empêche de les cloisonner ou de les décloisonner si vous souhaitez sortir de votre routine. Attention tout de même à ne pas trop perturber votre entourage qui pourrait mal vivre le changement. Dans tous les cas, créer des moments de rupture entre les deux vies ne peut que vous faire du bien, notamment si cela fait des années que vous n’accordez pas de temps pour votre vie familiale / personnelle. Cela s’avère n’être jamais une perte de temps.

Mettre en place des bonnes pratiques pour casser la routine

De nombreuses associations notamment existent et qui promeuvent certaines pratiques comme le bien être au travail, l’innovation participative ou encore l’amélioration continue. Renseignez-vous sur les bonnes pratiques. Ce n’est pas parce que vous n’avez jamais fonctionné comme cela que cela vous ne pouvez pas innover à partir d’aujourd’hui. N’hésitez pas à vous renseigner sur les trophées qui existent dans tous les domaines et qui pourraient bien apporter un vent de renouveau à votre entreprise. 

Améliorer votre réseau domestique en le rendant intelligent

L’intelligence n’est plus réservée aux individus. En effet, la révolution technologique a étendu son influence jusque dans nos foyers. Elle permet aujourd’hui d’améliorer notre quotidien grâce à la transformation de notre réseau domestique en un système intelligent.

L’aube de la maison connectée

Les premières lueurs de la maison intelligente se sont manifestées comme une promesse d’efficacité et de commodité. L’idée de personnaliser votre environnement domestique pour s’adapter à nos modes de vie individuels est devenue une réalité. À l’aide de dispositifs connectés astucieusement intégrés, tels que des assistants vocaux, des thermostats intelligents, les ampoules connectées ou encore les serrures de porte automatisées, les foyers d’aujourd’hui sont témoins d’une métamorphose technologique. L’intelligence domestique va au-delà de simples gadgets. C’est l’intégration harmonieuse de technologies dans votre environnement quotidien pour accroître l’efficacité, la sécurité et le confort.

L’épine dorsale d’un réseau domestique intelligent

Un réseau domestique performant est essentiel pour soutenir la multitude de dispositifs intelligents qui peuplent nos maisons. Vous devez faire particulièrement attention à disposer d’un WiFi maillé (ou encore Wifi « Mesh »). En effet, pour contourner les limitations des box ou routeurs conventionnels, un système Wifi Mesh s’avère des plus utiles. Ce dernier crée un réseau Wifi homogène pour profiter d’internet partout chez vous, éliminant les zones d’ombre et offrant une expérience en ligne sans accroc dans chaque coin de votre résidence.

Il vous faut ainsi acquérir un système WiFi Mesh pour avoir une connectivité de pointe, comme les systèmes Mesh Orbi proposés par exemple par Netgear. Grâce à son Wifi haute performance, un système Wifi Mesh Orbi vous permettra d’utiliser un nombre toujours plus important d’objets connectés, en simultané. Tous ces appareils intelligents qui vous simplifient la vie et la rendent plus agréable : ajuster la température de votre maison à distance, éteindre les lumières inutiles avec une simple pression sur votre téléphone, le tout contribuant à une empreinte énergétique plus légère et à des économies substantielles sur vos factures.

Les avantages d’un réseau domestique intelligent

Les réseaux domestiques intelligents offrent plusieurs avantages significatifs. Tout d’abord, ils contribuent à l’efficacité énergétique en permettant une gestion judicieuse de la consommation d’énergie. Grâce à des systèmes automatisés, les paramètres tels que la température et l’éclairage peuvent être ajustés en temps réel en fonction des besoins, ce qui non seulement réduit les coûts énergétiques, mais favorise également la durabilité environnementale.

Deuxièmement, ces nouveaux systèmes Wifi Mesh sont largement plus sécurisés et permettent de mieux protéger votre réseau domestique contre les cyberattaques. Et en ajoutant des dispositifs tels que des caméras de surveillance intelligentes, des serrures connectées et des capteurs de mouvement, vous renforcez la protection physique de la maison. La possibilité de surveiller à distance, via des applications mobiles par exemple, offre aux propriétaires une tranquillité d’esprit inestimable en matière de sécurité.

Enfin, les réseaux domestiques intelligents offrent un confort personnalisé en automatisant les réglages selon les préférences individuelles. Imaginez une maison qui s’adapte à vos habitudes, ajustant la température, l’éclairage et d’autres paramètres pour créer un environnement accueillant à chaque retour. Ces fonctionnalités personnalisées contribuent à rendre la vie quotidienne plus pratique et agréable. Pour pouvoir profiter de tous les avantages de ces objets connectés, la maison intelligente doit s’appuyer sur un Wifi de qualité et sécurisé, capable de couvrir l’étendue du domicile où se trouvent dispersés tous ces appareils intelligents. D’où la nécessité d’un Wifi maillé.

Les étapes pour rendre votre réseau domestique intelligent

Vous n’avez pas besoin de transformer votre domicile du jour au lendemain. Commencez par intégrer un ou deux dispositifs, puis étendez progressivement votre réseau intelligent en fonction de vos besoins et de votre budget. Cette approche graduelle permet une adaptation fluide aux changements.

1/ Évaluation des besoins 

Identifiez les zones de votre maison qui pourraient bénéficier d’appareils connectés, que ce soit pour la sécurité, l’économie d’énergie ou le confort. Cette évaluation initiale éclairera vos choix ultérieurs.

2/ Choix des dispositifs 

Sélectionnez des dispositifs compatibles avec votre Wifi, en veillant à ce qu’ils puissent interagir de manière cohérente. La compatibilité est la clé pour assurer une expérience utilisateur fluide.

3/ Installation et configuration 

Suivez les instructions fournies par chaque dispositif pour une installation et une configuration sans encombre. Les fabricants offrent souvent des guides conviviaux pour faciliter cette étape cruciale.

4/ L’épine dorsale

Assurez-vous de posséder un Wifi solide pour éviter les latences et les déconnexions intempestives au niveau de vos appareils intelligents.

Les opportunités pour les entrepreneurs

À noter : l’évolution vers des foyers intelligents crée un marché dynamique pour les entrepreneurs. Des services d’installation spécialisés, des conseils en intelligence domestique et des applications personnalisées sont autant d’opportunités pour les entrepreneurs innovants. Les entreprises peuvent capitaliser sur la demande croissante de compétences spécialisées dans le domaine de la maison intelligente.