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La nouvelle mode du travail collaboratif

Le travail collaboratif est de plus en plus tendance au sein des entreprises. Et pour cause les nouvelles pratiques comme le travail à distance et la dématérialisation ont entraîné une modification en profondeur des habitudes de travail. Les contraintes ont diminué même si certains entrepreneurs continuent de conserver les pratiques traditionnelles.

Cette nouvelle pratique n’est pas encore tout à fait entrée dans les entreprises. En effet, seulement 28% des salariés se déclareraient l’opter volontiers selon une enquête Ipsos/OpenMind Kf même si 58% d’entre eux pensent qu’elle est en pleine progression. Il faut dire que les outils permettent désormais de numériser la plupart des documents. ils permettent de réaliser des réunions à distance et d’être en contact permanent avec l’ensemble de ses collaborateurs. 

Les avantages qui font que le travail collaboratif cartonne. 

Tout d’abord le travail collaboratif améliore l’ambiance de travail de manière générale. Déjà parce qu’il permet de ne venir que quand cela s’avère vraiment nécessaire et de s’organiser comme bon nous semble. Les salariés ne sont plus contraints de venir et montrent qu’ils viennent car ils ont en envie. Le lieu de travail devient un lieu de vie et la présence sur place un choix. Vous pouvez travailler d’où bon vous semble grâce aux outils digitaux sans que votre travail s’en trouve affecté. Les contraintes comme le temps de transport ou les grèves et leurs conséquences délétères n’affectent plus le travail. L’organisation même de la vie personnelle peut changer avec des horaires qui peuvent parfois être flexibles. 

Les échanges entre collaborateurs

Les collaborateurs sont ensuite amenés à échanger tout le temps et sur tous les sujets. Le fait de collaborer ensemble renforce les liens et chacun s’ouvre à l’autre. L’esprit d’équipe est ainsi amplifié, ce qui se ressent sur l’ambiance générale. 

Les outils collaboratifs permettent un gain de temps considérable car ils sont pensés pour optimiser les relations. Les échanges sont rapides et nombreux et la fameuse réunionite disparaît. Il n’est plus nécessaire de préparer des réunions longues, de rappeler l’ordre du jour ou d’imprimer des dizaines de documents qui ne seront utilisés, souvent, qu’à ce moment-là. L’information circulant d’une meilleure manière, la prise de décision s’en trouve facilitée. 

Ce mode de travail implique, bien entendu, des outils spécifiques mais le fait de choisir son organisation et sa manière de travailler responsabilise. Au-delà, elle fait naître un sentiment de confiance entre les différents collaborateurs. Elle implique une transparence et les jugements hâtifs disparaissent. Chacun s’organise à sa manière en essayant de s’adapter aux autres. Les logiciels de gestion de projet ont ainsi la belle vie puisqu’ils permettent de partager les plannings, gérer les différentes tâches mais aussi de les attribuer. Vous pouvez aisément communiquer sur les échéances, les retards et désigner les actions prioritaires. 

Elle est également éco-responsable. On y pense peut mais la planète souffre de nos nombreux déplacements. Le travail à distance limite les impressions du simple fait que l’ensemble des processus est en général numérisé. Il n’est plus nécessaire de faire des copies, chacun pouvant les consulter de partout et à tout moment. 

Méthode de travail intéressante ?

Cette méthode de travail sécurise également les informations par le simple fait qu’elles sont aujourd’hui sauvegardées automatiquement et accessibles par tous. Si une modification est opérée, il est possible de le repérer et on se pose plus la question de savoir si vous êtes en possession de la dernière version ou non. Il reste cependant à définir des règles et des bonnes pratiques afin que chacun utilise correctement les outils à disposition. 

Les inconvénients existent également

Si chacun s’organise comme il l’entend et peut se rendre indisponible, il est possible que la réactivité s’en trouve affectée. C’est la raison pour laquelle, certains entrepreneurs demandent tout de même que la présence soit la règle. 

L’esprit d’équipe peut également se trouver mis à mal car il est agréable de pouvoir échangé physiquement avec les personnes ou encore plus d’aller boire un verre à la sortie du travail. Il faut également veiller à ce que l’ordinateur ne devienne pas la seule source d’interaction. 

La motivation peut également être en berne puisque votre collaborateur n’est plus forcément présent sur son lieu de travail. Les discours galvanisants diminuent et la routine peut rapidement s’installer. La prise de mauvaises habitudes peut aussi être considérée comme un obstacle car la tentation guette tout un chacun de faire autre chose. Cette méthode de travail demande une autodiscipline à toute épreuve. Le salarié ne ressent plus une pression alors que celle-ci peut se révéler parfois stimulante. Certains salariés affirment ainsi qu’ils ont du mal à travailler quand ils ne sont pas sur le lieu de travail, la présence de leurs chefs les incitant à s’investir davantage. 

Reste que cette méthode de travail a le vent en poupe et que le sentiment de liberté qui lui est attribué devrait entraîner un développement de cette pratique dans les prochaines années. 

Pourquoi choisir un statut comme le portage salarial ?

Le portage salarial a connu un bel essor ces dernières années et devrait connaître un succès toujours plus grand. Les nouvelles habitudes liées au marché du travail ainsi que le développement de l’entrepreneuriat représentent un sérieux atout pour ce statut. Zoom sur les raisons du succès du portage salarial.

Le portage salarial, de quoi s’agit-il ?

Il s’agit avant tout d’une nouvelle forme d’emploi qui se situe à la croisée des chemins entre salarié et entrepreneur. Il permet de lancer une activité professionnelle indépendante mais conserve les avantages de la couverture sociale d’un salarié classique. On pourrait se dire, au premier abord, qu’un freelance agit de la même manière, mais la situation est tout autre.

Le principe est simple, vous ne faites pas partie des effectifs de l’entreprise mais vous effectuez une prestation pour elle. Il n’y a donc pas de contrat de travail entre l’entreprise et le salarié, le contrat est un contrat commercial. Cependant, un contrat de travail existe bel et bien, mais il est conclu entre la société de portage salarial et le salarié-porté.

Le portage salarial, une valeur ajoutée ?

A l’origine, il était créé pour les cadres en  transition professionnelle. Ceux-ci ont acquis au fur et à mesure de leur carrière une expertise et ont parfois des compétences rares. Ils souhaitent utiliser tout leur savoir-faire en travaillant de manière autonome sans avoir un lien de subordination qui les lient à l’entreprise. Or, les bénéfices du portage salarial se prêtent particulièrement à leur profil : la transformation des honoraires en salaires.

Ce type de statut permet en effet à des prestataires réguliers d’une entreprise de bénéficier des avantages du salariat. Désormais, il sert également à des entrepreneurs qui souhaitent également en bénéficier notamment lorsqu’ils débutent par une première collaboration importante avec une entreprise. On pensera notamment aux anciens salariés d’une entreprise qui souhaitent  créer leur société car ils ont détecté une nouvelle opportunité et qu’ils souhaitent en profiter, mais ce n’est évidemment pas restrictif car de nombreuses possibilités existent.

Les raisons du succès du portage salarial pour le porté

Les bénéfices du portage salarial sont nombreux autant pour les entreprises que pour les salariés portés mais si  le portage salarial connaît un véritable succès ces dernières années, c’est avant tout parce que la rémunération est généralement attractive. L’expertise des portés leur permet de vendre leur savoir-faire cher voire très cher à des entreprises désireuses de faire appel à eux et de prétendre à des salaires plus élevés que ceux qu’ils avaient jusque-là.

Plus de sécurité

Ensuite, il attire les entrepreneurs ou les freelances car il possède les avantages du salariat et notamment la protection sociale comme l’aide au retour à l’emploi, plus communément appelée chômage. Il est donc bien différent des statuts de gérant ou encore de président directeur général qui n’offrent pas la possibilité de se protéger des situations de l’entrepreneuriat qui peuvent devenir périlleuses dans certaines circonstances.

Plus d’autonomie

Il assure également une certaine autonomie par rapport à l’entreprise qui fait appel à ses services. Le lien de subordination n’existe pas et la relation est donc celle du freelance avec son prestataire. Un statut qui plaît donc à ceux qui aiment l’autonomie. Le porté peut donc, comme un indépendant, s’organiser de manière libre et gérer ses horaires en principe.

Un aspect administratif simplifié

Il épargne surtout le côté administratif, juridique, fiscal et comptable aux indépendants et entrepreneurs. La société de portage salarial se charge de toutes les démarches et déclarations. Ce n’est pas au dirigeant par exemple de traiter sa fiche de paie. Il reste considéré comme un salarié et c’est donc à la société de portage salarial que revient la charge de toutes ces contraintes.

Un statut rentable

Il permet de se vendre au plus offrant puisque finalement  la relation n’est pas celle d’un CDI et que le porté peut parfaitement conclure son prochain contrat avec une autre société. Ceci est d’autant plus attractif que le profil désiré est recherché sur le marché.

Dernier avantage évident, la société de portage dispose en général d’un réseau avec l’ensemble de ses portés. Le porté qui reste en charge de la partie commerciale de l’entreprise pourra ainsi en bénéficier pour trouver ses futures missions notamment si le contrat prend fin.

Les raisons du succès du portage salarial pour l’entreprise

Les entreprises aiment le portage salarial d’abord parce qu’il leur permet d’intégrer une ressource experte dans l’entreprise sans toutefois qu’elle soit assimilée à un salarié. Elles ne veulent parfois pas recruter un salarié supplémentaire, pour des raisons de seuil par exemple.

Un statut avantageux lors des missions temporaires

Autre avantage pour les entreprises, elles ne souhaitent pas forcément gérer une relation qui évolue dans le cadre d’un contrat de travail. Il se peut aussi qu’elles ne souhaitent pas agrandir leurs effectifs car la mission est temporaire ou que la politique de recrutement de l’entreprise ne s’y prête pas.

La relation de travail n’est pas du salariat et l’entreprise peut gérer la relation comme celle avec un prestataire ou un freelance. Les rapports ne sont pas donc pas les mêmes lors de la fin du contrat. Il reste  plus facile d’attendre que la prestation se finisse que de licencier un salarié dont on avait seulement besoin temporairement. Le portage salarial lui  évite de gérer le management de la motivation par exemple, puisqu’un porté est investi dans sa tâche et a tout intérêt à ce que la prestation se déroule dans un climat de confiance.

Plus souple qu’un CDD

Le portage salarial est également très utile quand la mission s’inscrit dans une durée longue et qui peut être supérieure au maximum autorisé par les contrats de travail à durée déterminée. Il est particulièrement  utile lorsque la durée de la mission n’est pas connue . Le statut permet d’optimiser le coût ou de connaître le coût de l’opération à l’avance. Le porté donne parfois un livrable avec une durée précise pour un certain prix, ce qui permet de calculer au mieux ses coûts.

En conclusion

Finalement, en contrepartie de l’ensemble de ces avantages, le porté donne une partie de ses revenus à l’entreprise de portage salarial. La plus grande partie des sommes cédées lui permet de disposer de la  protection juridique du salariat et l’autre partie de ne pas avoir à se soucier des contraintes administratives. À défaut de trouver une nouvelle mission immédiatement par exemple, il sera protégé par le chômage : un statut qui a de quoi attirer !

Le grand marché des jeux

Si les jeux de manière générale font toujours partie intégrante des moments conviviaux au sein des familles, il faut bien constater que le marché des jeux vidéos en ligne ont le vent en poupe. Le développement du jeu en ligne et des jeux sur mobile a contribué à l’essor de ce secteur de manière considérable.

Le secteur du jeu vidéo continue sa croissance.

Le rapport de SuperData est éloquent en la matière : le secteur des jeux vidéos a réalisé un chiffre d’affaires mondial de 120 milliards de dollars en 2019. Il a ainsi augmenté de 13 % sur un an. Concernant la France seulement, il a atteint les 5 milliards d’euros avec une hausse de 15 %. L’Europe reste loin derrière l’Asie avec 11 milliards de dollars contre 54,3 mais reste proche de l’Amérique du Nord (14,8 M). Les utilisateurs représentent tous les âges puisque d’après le SELL, 74 % de la population joueraient à des jeux vidéos occasionnellement. Ce pourcentage reste plus élevé chez les jeunes avec 97% pour les 10-14 ans et 94 % chez les 15-18 ans. A noter également que les joueurs utilisent parfois leurs pc, tablette et mobile…

Une consommation qui diffère selon les pays.

La consommation se fait aujourd’hui sur mobile puisque 51 % des ventes dans le monde se font désormais via ce moyen. Les jeux sur PC (30 %) dominent encore ceux sur console (11 %). A constater que trois modes de consommation se détachent des autres : le free-to-play, le premium et le mode intermédiaire le freemium. Rappelons que le premier est en accès gratuit tous les jours et reçoit des recettes en général via la publicité. Le second consiste dans l’achat du jeu ou le fait d’avoir un contenu complet et sans publicité. Le troisième qui est une formule hybride des deux donne accès à des achats supplémentaires dans le jeu et est parfois soumis à la publicité. Le premier modèle domine en Asie et représente 80 % des ventes. Il est moins populaire aux États-Unis (66%) et en Europe (52 %) même s’il continue de dominer le marché.

Les jeux d’argent et paris sportifs

Autre mode de jeu, le marché des paris sportifs continue de connaître une belle croissance à deux chiffres depuis quelques années. En 2018, il représentait déjà 847 millions d’euros liés principalement à l’augmentation du nombre de joueurs qui est passé de 1,4 à 2,2 millions. Si on pense naturellement au poker en ligne, les jeux de dice connaissent également un fort succès à travers toute l’Europe. Si en ce qui concerne l’année 2018, on pourrait se dire que ce sont les paris liés à la coupe du monde qui ont fait augmenter le nombre de joueurs, ils ne représentaient qu’environ 10% des paris, un effet à relativiser.

Le marché des jeux de société

Celui-ci reste dynamique puisqu’il était estimé à 395 millions d’euros en 2017 en France, pays leader en Europe. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le nombre de clubs et de salons est en progression, le développement du marché en ligne ne semble donc pas lui nuire. Il représente 14 % du marché global du jeu et du jouet et pas moins 112 millions de boîtes vendues par an. Il a dépassé 400 M€ en 2018 avec une croissance supérieure à 22 % par rapport à 2017. A remarquer que les jeux qui ont des durées de vie plus courtes semblent de plus en plus prisés par les consommateurs même si Hasbro (Monopoly) et Mattel (Uno) continuent de s’octroyer les meilleures places dans les ventes. A constater également qu’une complémentarité entre jeux vidéos en ligne et jeux de société semble s’être mise en place puisque ces derniers possèdent souvent des applications.

Le RGPD va-t-il évoluer ?

Si la décret n° 2019-536, publié le 30 mai 2019, représente la dernière étape de la mise en conformité du droit national avec le Règlement général sur la protection des données (RGPD) et la Directive « police-justice », cette loi devrait encore être modifiée dans le futur. La loi californienne a évolué et s’impose souvent comme un standard.

Celle-ci s’impose actuellement comme le nouveau standard aux États-Unis. Le « California Consumer Privacy Act » (CCPA) va ainsi entrer en vigueur le 1er janvier. Il correspond à l’équivalent du règlement européen sur la protection des données (RGPD) même si elle est loin d’en être le clone. 

La version française en cause

Il ne s’agit donc pas comme en Europe d’obtenir le « consentement » de récolter et d’utiliser les données. La plupart des sites en France vous informe que l’utilisation du site va entrainer le fait que vous déclarez être d’accord avec l’utilisation de cookies pour améliorer votre expérience.  Si vous cliquez sur le site, vous apprenez alors en général que vous disposez d’un « droit d’accès, de rectification, d’effacement et d’opposition pour motif légitime concernant vos données personnelles ainsi qu’un droit d’opposition à la prospection commerciale » ou encore que « vous bénéficiez également d’un droit à la portabilité de vos données, de la possibilité de limiter leur traitement ainsi que de nous faire part de vos directives relatives au sort de celles-ci après votre décès. »

Des scandales qui ont entrainé la loi

Il faut dire que les abus et scandales de gestion des informations personnelles ont fait grand bruit aux États-Unis et que si l’état de la Silicon Valley adopte des règles, il existe souvent un effet dominos dans le pays de l’oncle Sam. On pense aux scandales autour des données d’utilisateurs de Facebook par Cambridge Analytica depuis ruinée et qui a déposé le bilan aux États-Unis. Pour rappel, elle avait été accusée d’avoir collecté les données personnelles d’utilisateurs du réseau social pour les campagnes politiques. Aujourd’hui, la Californie a instauré la possibilité de refuser. En l’occurrence, les entreprises ont l’obligation de mettre un lien qui dit en substance « ne vendez pas mes données ». Les personnes disposent ainsi du choix de vendre ou non leurs données. 

La définition de la vente

Encore faut-il définir la vente. Facebook, par exemple, ne fait pas de la vente stricto sensu de données aux annonceurs mais exploite les données pour son ciblage publicitaire qui lui est payé par les annonceurs. Une loi qui devrait donc devenir une source de travail pour toutes les entreprises qui se basent sur les données pour réaliser du chiffre d’affaire. On pensera à d’autres entreprises comme Criteo et plus globalement à toutes les plateformes de streaming de musique ou encore les moteurs de recherche… Le coût apparaît comme colossal aux États-Unis car il pourrait s’élever à 55 milliards de dollars selon le thing tank American Enterprise Institute. 

Une mise en conformité pas facile

La mise en conformité devrait donc s’avérer longue et difficile pour les petites entreprises. Plus de la moitié des entreprises seraient pressenties pour ne pas être en conformité alors que les infractions sont sanctionnables dès mi-2020. Élément drôle, la situation pourrait devenir encore plus intenable car un référendum prévu en 2020 en Californie a pour objet de renforcer encore davantage  la protection des données sensibles dont la géolocalisation. Le congrès devrait intervenir prochainement dans le débat et serait déjà parvenu à créer un premier texte qui sera à suivre. Les nouvelles règles seront à suivre car ce qui se propage aux États-Unis s’implante souvent en Europe notamment quand cela vient de la Silicon Valley. 

5 moments difficiles dans la vie d’un entrepreneur

Souvent répété en boucle l’adage « la vie d’un entrepreneur n’est pas un long fleuve tranquille », n’est pas seulement un leitmotiv. L’entrepreneur est confronté, on pourrait le dire, aux intempéries de toute entreprise. Il doit pouvoir sans cesse rebondir pour permettre à son entreprise de rester pérenne. Les circonstances peuvent être des grèves qui détournent les acheteurs de son entreprise, la multiplication de concurrents sur un terrain où vous aviez le monopole, de l’innovation…et la stratégie que vous aviez élaborée n’a plus de sens.

Disposant d’une grande liberté qui lui permet de s’épanouir, l’entrepreneur n’est pas à l’abri de certaines situations difficiles. Celles-ci peuvent remettre en question la viabilité de l’entreprise : ventes en baisse, trésorerie tendue, conflits d’intérêt ou dépôt de bilan. Comment faire pour gérer au mieux ces moments indésirables et éviter le pire ?

La baisse du chiffre d’affaires

Incertitudes ou dévalorisation, les substantifs ne manquent pas lorsqu’un entrepreneur mobilise tous les moyens humains, matériels et financiers pour espérer des ventes qui ne se réalisent pas. Dans cette situation, qui se répète de nombreuses fois dans la vie d’un entrepreneur, il faut réagir rapidement et procéder à une nouvelle étude de marché. Il faut tout d’abord observer précisément les pratiques commerciales de la concurrence, puis prendre davantage en compte la spécificité de la clientèle et enfin trouver une identité commerciale.

L’absence de rémunération

Il est difficile pour un entrepreneur d’être à la fois stratège, financier ou communicant sans pouvoir se verser la moindre rémunération. Cette situation est une vraie épreuve pour un chef d’entreprise qui doit bien souvent faire face à un burn out . Pour éviter de ne pas s’assumer financièrement, il faut établir un business plan précis dès le démarrage de l’activité puis le réévaluer mensuellement en y intégrant une rémunération. L’idéal est de prévoir une épargne de précaution en cas de coup dur avant de débuter l’exploitation de son affaire.

Le conflit avec un associé

Un ami de longue date ou un business angel sélectionné pour ses compétences économiques… Pourtant, les relations avec son associé se dégradent pour une question de stratégie commerciale ou d’extension d’une ligne de crédit.

Du jour au lendemain, l’existence de l’entreprise est mise en péril. Pour régler rapidement le conflit, mieux vaut organiser une réunion formelle dans le but de réaffirmer ses objectifs et ceux de son associé. Si le conflit ne se résout pas, il faut reformuler le contenu de l’entretien dans une lettre recommandée voire saisir le juge.

L’arrêt des financements bancaires

Un chiffre d’affaires dégradé et plusieurs rejets de prélèvement suffisent à la banque pour stopper toute ligne de crédit. C’est une situation dramatique pour un entrepreneur car le manque de trésorerie ne permet pas de régler les divers fournisseurs, provoquant ainsi une diminution du stock et du chiffre d’affaires. Pour rétablir la situation, plusieurs actions sont à mener de front :  continuer les négociations avec la banque, demander des délais de paiement auprès de ses fournisseurs et autres partenaires, saisir le médiateur du crédit mandaté pour rechercher une solution financière

La déclaration de cessation de paiement

Malgré tous les efforts déployés pour sauver son entreprise, il arrive qu’aucune solution ne puisse rendre viable son activité. Lorsque les dettes s’accumulent et que le retard des paiements dépasse 45 jours, il faut déclarer son entreprise en cessation de paiement. Si une phase de redressement est accordée, il est nécessaire de communiquer régulièrement avec le mandataire judiciaire. En parallèle, il est bon de penser à sa reconversion professionnelle (cession de l’entreprise, entretiens d’embauche…).

Mais, il faut vraiment penser au rebond et chercher des solutions et pour cela plutôt que de s’isoler rencontrer des personnes   expertes qui vous aideront à sortir de l’impasse. 

L’intérêt d’utiliser le marketplace

Une forte progression, celle que connaît le secteur du marketplace. Un concept crée pour les professionnels du commerce que cela soit sur des forums spécialisés ou bien sur la toile. Le marketplace qui veut dire littéralement place de marché offre des opportunités aux indépendants ainsi qu’aux sociétés commerciales, un outil pour écouler leurs produits. Alors pourquoi un tel intérêt d’utiliser le marketplace ?

Selon les chiffres du premier trimestre 2019 de la FEVAD, la croissance du chiffre d’affaires des places de marché est de +17%. Cela représente 32% du poids total des ventes Internet. Ainsi, les commerçants de tous les horizons bénéficient d’une notoriété et visibilité sans égale, de la confiance des consommateurs.

L’occasion que propose le concept marketplace en termes de marketing, donne l’impression que c’est l’environnement parfait pour présenter et écouler sa marchandise. l’idée d’avoir ou d’utiliser le marketplace est en soit une façon ou plutôt un moyen pour présenter ses offres au public.

Indépendants ou sociétés, pourquoi choisissent-ils cet outil ?

Le choix du marketplace peut s’avérer une bonne idée pour la publicité et la vente de ses produits. Certaines sociétés ou bien des indépendants préfèrent faire appel à ce genre d’outils pour mieux se placer sur le marché.

Comment se fait la mise en place du marketplace ?

Une panoplie de sites web proposent des services de marketplace aux professionnels, on cite par exemple : Ebay, Amazon, Rakuten, Pixmania, C discount, La Redoute, Mano Mano, La Fnac- Darty, Spartoo,  etc.. Au sein de ces géants des places de marché il y a une réelle chance pour booster son activité. Il suffit de prendre un abonnement chez l’une des plateformes existantes pour faire l’annonce de ses offres, choisir une formule.
Prenant l’exemple de la plateforme Ebay, ce site propose des formules aux professionnels sous forme de boutique en ligne, classique ou Premium. Une commission est bien évidemment prélevée par le site qui est variable en fonction du contrat passé.

Les avantages du marketplace

L’un des critères les plus avantageux du marketplace est le fait de profiter d’une audience très importante. Certains sites peuvent prétendre avoir quelques millions de visiteurs par mois sur leur interface ce qui leur permet d’avoir une base de données clients très attractive.

Un autre point positif qui est la présence et la visibilité qu’offre le marketplace aux professionnels du secteur. Il faut savoir qu’être lié à Google pour sa représentation sur le net peut présenter un risque aux commerçants (financier et technique) c’est pourquoi les marketplaces sont une alternative pour réduire cette dépendance afin d’être plus compétitif et disponible pour ses clients.

De plus, les sites des places de marché accordent une certaine confiance aux clients envers des produits en vente, une infrastructure façon 2.0 qui profite aux commerçants ainsi, ils peuvent exploiter le SAV (service après-vente) proposé par les marketplaces, ainsi que le mode de paiement via internet qui garantit une sécurité aux utilisateurs.

À ne pas oublier, le fait que les places de marché ne vont pas vous donner accès à la richesse sans efforts, une réflexion sur vos produits mis en vente, et une gestion de vos stocks sont aussi importants pour votre réussite sur le web.

L’importance du SAV pour les nouvelles entreprises

Découvrez toute l’importance d’un bon SAV dans une entreprise, et tout ce que cela peut vous apporter sans plus attendre ! Fidélisation clients, augmentation de votre chiffre d’affaires… autant d’impacts positifs que vous souhaitez forcément pour accélérer le développement de votre société.

Vous créez votre entreprise ? Avez-vous pensé au SAV ? Ne négligez surtout pas ce fameux service après-vente, au risque de vous priver d’un levier majeur pour attirer vos futurs clients. Le SAV cristallise à lui seul toutes les attentes de votre clientèle : fiabilité, réactivité et bien sûr service irréprochable.

À la création d’une entreprise, l’accent est rarement mis sur le service après-vente. On pense plutôt aux produits que l’on va vendre, à la stratégie de communication et bien sûr au business model. Des basiques, qu’il faut bien évidemment prioriser, mais qui ne doivent pas pour autant signifier l’abandon du SAV. Celui-ci est primordial pour vos futurs clients, qui doivent absolument pouvoir compter sur lui afin de garder une bonne image de votre entreprise.

L’enjeu principal du SAV pour une entreprise

En un seul mot : la confiance. En sachant qu’il peut faire appel à un service après-vente de qualité, le client sera plus enclin à acheter vos produits. Que celui-ci soit défectueux, ou bien qu’il subisse un quelconque dommage : le client est plus serein lorsqu’il sait qu’il peut compter sur un SAV performant. Or, il est reconnu qu’un client satisfait devient un ambassadeur de votre marque, en recommandant celle-ci après de ses proches. En revanche, il est aussi de notoriété publique qu’un client mécontent n’hésitera pas à partager sa mauvaise expérience au plus grand nombre. C’est pourquoi un SAV de qualité est absolument indispensable à toute entreprise.

Les points forts d’un bon service après-vente

Maintenant que vous avez conscience de la nécessité d’un SAV qualitatif, voici quelques éléments qui font toute la différence en matière de service après-vente : répondre à toutes les questions de la part de vos clients, proposer des solutions rapides et adéquates en cas de panne, ou de casse, avoir un personnel dédié accueillant, proposer des services personnalisés, garder le contact avec le client afin de connaître son niveau de satisfaction

Ces items sont véritablement la clé d’un SAV remarquable, et remarqué par votre clientèle. Mais n’en oubliez pas pour autant le plus basique…

Faites-en sorte d’être joignable par vos clients

Oui, vous aurez beau avoir le service après-vente le plus performant qui soit, si celui-ci n’est pas aisément identifiable et joignable, cela pose un réel problème. Que le client ait obtenu les coordonnées du SAV auprès d’un service de renseignements téléphoniques, ou bien sur le web, il s’attend à ce qu’on lui réponde. Idéalement, votre client ne devrait presque pas à avoir faire de recherche poussée pour obtenir vos coordonnées. Celles-ci doivent être facilement accessibles. Et bien entendu, les appels ou e-mails doivent recevoir une réponse rapide et explicite, de manière à ce que le client sente que sa demande est bien prise en compte.

Galette des rois et entreprises

Les traditions ont la vie longue et se propagent parfois jusque dans nos entreprises. Selon un récent sondage, réalisé par Deskeo (bureaux flexibles en France), sur 2 200 sociétés le premier sujet de la rentrée résiderait dans la galette des rois ! 

Une fête prisée des français

Le début d’année commence avec intensité. Si les informations parlent tous les jours de grève et de retraite, une fête est à l’ordre du jour : celle de l’épiphanie et sa fameuse galette des rois. Cette fête demeure particulièrement prisée par les sociétés françaises et génèrent des réactions parfois surprenantes.  Selon un récent sondage, les Français adorent la galette des rois puisque 78% des Français sont favorables à partager celle-ci en entreprise et que 71% des entreprises françaises estiment que l’on dégustera une galette en janvier. Une tradition donc bien présente dans les sociétés de l’hexagone. 

Un événement créé par les salariés

Il faut constater que dans la plupart des cas, cette célébration n’est pas un événement officiel. Si les entreprises en sont parfois à l’origine, ce sont les salariés qui l’apporteront et vont organiser la fête dans 69% des cas contre seulement 38% pour les entreprises. Seulement 22% de personnes se déclarent contre cette tradition, une fête qui serait donc du goût de la majorité. Il faut dire que cette fête dont l’origine est religieuse n’en symbolise plus le sens dans la majorité des cas puisqu’elle est avant tout considérée comme un évènement convivial. 

Un moment contrasté

Si l’on peut considérer qu’elle représente un moment convivial, ce que pensent d’ailleurs 58% des Français interrogés, il s’agit d’un moment gênant pour 31% d’entre eux en raison de quelques pratiques embarrassantes, 54% obligent le ou la plus jeune à aller sous la table et 42% à ce que le roi embrasse la reine. Rappelons que dans la tradition, la plus jeune se met sous la table en famille pour choisir les parts lors de la distribution. Tradition qui semble encore respectée dans les entreprises. Pour 8% d’entre elles, il reste à noter qu’il s’agit avant tout d’une tradition. Une solution alternative pourrait être que le chef d’entreprise passe sous la table, ce qui changerait la donne. 

S’il y a des pratiques délicates, il y a aussi de grands timides puisque 59% des personnes qui trouvent la fève au bureau préfèrent la cacher pour ne pas avoir à porter la couronne, par peur du ridicule ou bien pour ne pas payer une autre galette des rois à tous les collègues !

Faites attention au dérapage

En temps que chef d’entreprise, inutile de vous rappeler que vous devez faire attention à ce que certaines limites ne soient pas dépassées et que personne ne se sente humilié lors de cette fête. L’objectif est avant tout de créer un moment convivial que vous pourriez mettre en place. Certaines entreprises offrent des cadeaux aux salariés qui trouvent la fève par exemple plutôt que de les obliger à embrasser la reine. Des idées créatives peuvent être trouvées comme le fait de laisser au roi les rênes de l’entreprise ou de prendre des choix comme accorder un congé à sa reine. Attention tout de même aux éventuelles allergies. 

Comment manager des caractères différents ?

Les entreprises s’internationalisent et leur diversité multiculturelle oblige à repenser nos manières de manager. Il apparaît évident que diriger des personnes qui ont reçu une éducation différente, une manière de penser à l’opposé est forcément un atout pour l’entreprise puisqu’elles permettent de faire jaillir l’innovation et les échanges offrent l’opportunité de trouver des solutions qu’un esprit cartésien par exemple n’aurait pu trouver. Pour un manager, la remise en question est permanente.

Dans le cadre de la gestion et du management des hommes et des femmes au sein d’une entreprise, de nombreux facteurs doivent être pris en compte pour éviter toutes les erreurs rencontrées de façon courante. La majeure partie des chefs d’entreprise ne cesse de clamer haut et fort qu’il est on ne peut plus difficile de manager des personnes ayant des caractères différents, des agissements variés et des objectifs qui ne se ressemblent pas nécessairement.

Comment faire, en tant que chef d’entreprise ou cadre dirigeant, pour réussir à gérer une équipe de plusieurs personnes n’ayant pas le même caractère ? Quelles sont les solutions concrètes pour réussir à avancer de façon collective en prenant en compte les spécificités de chacun ?

Identifier et anticiper

La première étape, qui s’impose d’elle-même, est bel et bien celle de l’anticipation et de l’identification de ces caractères. Aussi différents soient-ils, il est indispensable de prendre le temps nécessaire pour connaître le caractère de chacun, l’apprivoiser et anticiper les agissements futurs. Il n’est possible d’avancer avec une équipe que si, en tant que leader et dirigeant, vous maîtrisez toutes les connaissances nécessaires sur vos collaborateurs. En toute évidence, les caractères présents dans une équipe de travail, comme dans une équipe sportive ou plus largement un groupe de personnes présentant des intérêts communs ou non, ces caractères se recoupent très souvent.

On retrouve le leader qui ne s’affirme pas, celui qui au contraire s’efface trop, celui que l’on pourrait appeler la « grande gueule », celui qui aime diriger mais n’assume pas les conséquences de ses actes … Les caractères les plus communs sont tous connus et il est donc indispensable de prendre le temps et la peine nécessaires pour ranger chacun de vos collaborateurs dans l’une des cases caractérielles qui lui correspond.

Manager sur le long terme

Une fois cette sorte de classification établie, il devient nécessaire de trouver les solutions pour manager toute cette petite équipée sur le long terme. Faut-il manager de façon globale ou individualisée les méthodes ? Est-il nécessaire de prendre en compte chaque caractère et ce tous les jours ? Ces questions doivent se poser dans votre esprit pour réussir à établir la méthode de management qui répondra le mieux à l’ensemble de vos attentes et de vos besoins, ainsi qu’à ceux de votre entreprise.

L’idée du management de personnes présentant des caractères différents est de pouvoir réussir à créer une alchimie avec un ensemble qui ne présente pas nécessairement la cohérence la plus pure. Réalisation de combinaisons de caractères opposés pour obliger chacun à s’adapter à son collaborateur direct, organisation de nombreuses rencontres entre les collaborateurs pour créer un véritable esprit d’équipe entre eux … De nombreuses solutions sont possibles, à vous de choisir celle qui vous convient.

En toute évidence, le fait de manager une équipe composée de personnalités avec des caractères différents n’est jamais chose aisée. Il est nécessaire de prendre du temps, du recul, d’avoir de la patience pour enfin trouver la combinaison de moyens et d’actions qui vous permettra, en tant que leader de ce groupe, de réussir à atteindre l’ensemble de vos objectifs. Car c’est bien cela ce qui doit rester en vue de toute la mise en œuvre de votre management : atteindre des objectifs fixés à l’avance et ce à l’aide de toute votre équipe, aussi différente et hétérogène soit-elle.

Entreprise : comment sauver la planète simplement ?

Les entreprises peuvent contribuer par des gestes simples à sauver la planète ou du moins à limiter leur impact sur l’environnement. Si souvent les dirigeants pensent ne rien pouvoir faire car leur produit/service n’est pas fait pour résoudre les problèmes écologiques, vous pouvez quand même devenir un entrepreneur écolo. Voici quelques gestes simples.

Faire le bilan carbone de votre entreprise.

Vous pouvez commencer par mesurer votre impact écologique et faire votre bilan carbone. Vous pourrez ainsi d’abord mesurer l’impact de votre entreprise sur l’environnement et éventuellement compenser en décidant par exemple d’avoir une empreinte carbone neutre en plantant des arbres par exemple. En ce sens, Il s’agit de vérifier les postes qui au sein de votre entreprise consomment de l’énergie et de vous demander si vous pouvez faire autrement. En effet, des solutions existent dans de nombreux domaines pour réduire votre impact. Parfois cette réduction s’accompagne en bonus d’une réduction des coûts. Des entreprises comme PUR Projet propose ce type de prestation et compensation. Elles vous permettent même de géolocaliser vos parcelles de plantation ainsi que les informations sur vos arbres et les producteurs participants. 

Former vos salariés aux bons réflexes.

Eteindre sa lumière ou son ordinateur ou encore faire du tri dans ses déchets sont des réflexes simples que chacun devrait avoir. Si vos salariés ne les appliquent pas, c’est pour la plupart tout simplement parce qu’ils n’y pensent pas. N’hésitez pas à envoyer un guide des bonnes pratiques, voire à rappeler les règles de temps à autre afin que chacun prenne conscience qu’il peut contribuer à sauver la planète. Vous pouvez même faire venir des intervenants pour sensibiliser les plus réfractaires. 

Pensez à votre achat de matériel de manière intelligente

Vous distribuez encore vos goodies dans des sacs plastiques ? Sachez que dans un récent rapport de l’IFOP pour WWF, intitulé les Français et le recyclage des produits et emballages plastiques, il apparaît que 93% seraient favorables à ce que les pouvoirs publics incitent les industriels à développer des emballages standardisés pour faciliter le réemploi et le recyclage. 88% seraient même favorables à l’interdiction des produits et emballages plastiques non recyclables. Autrement dit, autant tenir compte du fait que vous pouvez modifier certaines habitudes pour éviter de polluer la planète inutilement. 

Prendre en en compte les labels

Lorsque vous avez affaire à une entreprise ou que vous achetez un produit/service, rien ne vous empêche de lui demander si elle a elle-même une démarche écologique. Certaines disposent de normes ISO 14001 ou encore des labels comme « imprim vert ». La norme ISO est en l’occurrence une norme appliquée aux systèmes de management environnemental pour répondre aux préoccupations environnementales des consommateurs. 

Favoriser le covoiturage / le déplacement écologique

Vos salariés travaillent aux mêmes heures et prennent un trajet quasi identique ? Pourquoi ne pas leur proposer de se rendre ensemble sur le lieu de travail ou encore mettre à disposition des vélos ou autres modes de déplacement pour se rendre aisément dans l’entreprise. Si cette dernière méthode n’est pas possible partout, il peut s’avérer judicieux de mettre en place un système de communication qui favorise des méthodes de déplacement qui coûtent moins cher à l’entreprise.  

Dédier une partie de vos bénéfices à l’environnement

Certaines entreprises n’hésitent pas à dédier une partie de leurs bénéfices à l’environnement. L’entreprise Faguo plante par exemple un arbre pour chaque produit acheté en parallèle et dans le cadre de leur politique de responsabilité sociale et environnementale. Ces arbres permettent de séquestrer du CO2, contribuant à la lutte contre le dérèglement climatique. 

Mettre en place des journées d’action

Vous pouvez très bien mettre en place une journée où l’ensemble de vos équipes ira, par exemple, ramasser des déchets. Il s’agit de vous baser sur le volontariat car vous ne pouvez obliger vos salariés à aller le faire. Les salariés sont nombreux à apprécier de dédier quelques heures à l’environnement plutôt que de rester dans la routine du quotidien. Vous verrez qu’en proposant de telles actions, le succès sera surement plus grand que vous ne l’escomptiez. C’est également une excellente manière de communiquer auprès notamment des jeunes talents qui apprécient ce genre d’initiatives. 

Repensez à vos futurs développements

Vous pensez à vous diversifier et vous cherchez de nouveaux projets à lancer au sein de votre entreprise. Peut-être est-il temps de voir comment concilier lancement de nouvelles ailes stratégiques avec environnement. Vous pouvez faire un appel à projet interne qui pourrait en passionner plus d’un et en plus vous fournir des perspectives de développement pour l’avenir. Les politiques et les milieux financiers se positionnent aujourd’hui sur ce type de projet et vous pourriez bien bénéficier d’aides pour les développer au sein de votre entreprise.