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Peut-on entreprendre sans jamais mettre les pieds à la banque ?

Vous pensez peut-être à la lecture de ce titre que c’est parce que les banques en ligne sont devenues omniprésentes et offrent des opportunités sans que l’on ait à se rendre dans une agence. Oui c’est une possibilité mais depuis une décennie les possibilités de financement se sont multipliées et permettent de créer et de développer une entreprise et entreprendre sans mettre « les pieds à la banque ». Utopie, me direz-vous. Zoom sur les solutions.

Entreprendre sans jamais recourir au financement bancaire ou au crédit peut sembler un mythe mais reste cependant beaucoup plus fréquent malgré les idées reçues. Il existe en effet de nombreux secteurs d’activité qui ne requièrent pas d’investissement massif ni de grands besoins en financement. Comment alors réussir à créer son entreprise sans avoir à entamer de coûteuses démarches à la banque ?

Le manque de fonds : une fausse excuse ?

Avec le développement de l’auto-entreprise, des entrepreneurs individuels ou encore des artisans et entrepreneurs sur le Web, le financement d’une première entreprise ne nécessite pas forcément d’investissement. En dehors des PMI et entreprises spécialisées qui nécessitent forcément de coûteuses machines-outils et installations hors de prix, créer son entreprise sans argent reste toujours possible. Sites Internet, auto-entreprises, services à la personne ou encore entreprises individuelles ne nécessitent pas de mises de départ importantes. L’analyse de l’une des figures du patronat français, Yvon Gattaz, avait ainsi analysé les besoins en financement des jeunes entrepreneurs dans Jeunesse et Entreprises. Celui-ci a évoqué alors un mythe du manque d’argent dans la création d’entreprise qui est tant redouté des futurs entrepreneurs et cause principale supposée des échecs.

Le financement participatif en vogue

Le manque de fonds semble pour Yvon Gattaz un prétexte car il existe de nombreuses solutions comme les business Angels, tant appréciés des anglo-saxons. Ces investisseurs providentiels sont alors chargés de promouvoir les business models performants et à fort potentiel, dont les idées sont novatrices et originales. Créé en 2004, Paris Business Angels investit ainsi depuis de nombreuses années entre 2,5 et 4 millions d’euros dans les projets les plus prometteurs, permettant aux jeunes entrepreneurs de débuter sans mise de départ Il a ainsi aidé plus de 150 sociétés à monter leur projet. Dans la même optique le crowdfunding en vogue depuis quelques temps permet de réunir la somme nécessaire à une première création d’entreprise et faire aboutir son projet.

Kickstarter a bénéficié de l’une des levées de fonds les plus importantes de ces dernières années avec près de 7 millions d’euros réunis auprès de 43 000 contributeurs. De nombreux autres projets ont également émergé à l’instar de ceux pris en charge par l’intermédiaire de plateformes comme My Major Company, KissKissBankBank ou encore Indiegogo, et qui ont connu une forte notoriété sans investissement de départ. Une solution optimale pour investir en famille et profiter de relations de confiance, le love money consiste à solliciter une aide financière auprès de ses proches et de son entourage familial.

Faire fonctionner les réseaux

Les réseaux disponibles sur tout l’hexagone permettent aussi aux futurs repreneurs ou entrepreneurs d’exercer dans l’activité de leur choix sans avoir à trouver un financement ou un crédit bancaire. Nacre et ARE,  Arce, Pôle-Emploi, les prêts d’honneur sans intérêts, les crédits à 0% et autres microcrédits constituent autant de solutions privilégiées pour faire aboutir son projet sans débourser de sommes faramineuses. Les pouvoirs publics et particulièrement les collectivités locales et nationales par le biais de la Caisse des Dépôts ou Bpifrance, permettent d’accéder à une source de financement idéale pour créer son entreprise.

En dehors des cas d’autofinancement qui peuvent s’avérer une solution de facilité au manque de fonds mais toujours risqués pour les investisseurs et actionnaires, le recours au capital-risque est envisageable pour dénicher une source de financement. À condition de respecter une prise de participation raisonnable, les futurs créateurs d’entreprise disposent là d’une solution optimale afin de développer leurs projets entrepreneuriaux.

Ces jeux que l’on peut faire au boulot

Lorsqu’on est en entrepreneur, il est naturel d’éprouver le besoin de se détendre afin de résister au stress inhérent à la fonction. Pour ce faire, il existe de nombreuses méthodes comme la méditation ou tout simplement le fait d’aller voir des amis. Les jeux peuvent également vous aider à vous relaxer ne serait-ce que quelques minutes même si vous ne devez pas y consacrer votre temps précieux pour éviter de trop procrastiner.

Mots fléchés et sudoku

Ce sont des incontournables car ils stimulent non seulement votre cerveau mais vous absorbent complètement. Une fois que vous êtes habitué, vous pouvez même les faire relativement rapidement même si au début, vous risquez de mettre un temps certain à acquérir de la dextérité. Ils ont l’avantage de pouvoir être interrompus à tout moment, sans conséquences sur ce qui a été déjà réalisé. Restez vigilant à ne pas vouloir absolument les finir surtout lorsque vous rencontrez un blocage dans votre jeu et qu’une tâche urgente vous attend. Un peu de bon sens ne fait pas de mal. Il existe autant d’applications que de sites en ligne qui vous permettent d’y jouer gratuitement.

Les sites de poker en ligne

Pourquoi pas une petite partie de poker en ligne pour vous détendre. De nombreux sites et applications existent aujourd’hui. Ils vous permettent de jouer au poker en ligne mais également à de nombreux jeux. Vous n’êtes bien sûr pas obligé de miser de l’argent mais ils constituent une bonne manière d’occuper les quelques minutes que vous avez devant vous ou de vous distraire le temps de quelques parties. Attention tout de même à l’addiction car il ne s’agit pas d’entrer dans un cercle négatif mais positif. Les jeux en ligne restent des jeux et il faudra vous fixer des limites si vous tenez à ce qu’ils le restent.

Les jeux à télécharger sur votre mobile

Ils sont une multitude mais il vous faudra bien choisir : il ne s’agit pas de passer votre temps à jouer et d’être contraint à une concentration pendant un long moment. Il vous faudra sélectionner le type de jeu qui vous offre la possibilité d’y jouer sans toutefois être captivé au point de ne pouvoir vous interrompre. Dans l’idéal, il vous faut trouver des jeux que vous reprendre sans conséquence. Les jeux collaboratifs restent souvent chronophages et vous demandent de vous connecter à des horaires précis et génèrent souvent de l’indisponibilité. Des jeux comme Candy Crush ou encore Fruit Ninja demandent par exemple des temps de connexion assez courts. Certains jeux permettent même de vous défouler alors pourquoi ne pas avoir sous la main une application qui vous permet de vous détendre ?

Les compétitions et challenges

Si vous pouvez vous détendre au travers du jeu, rien n’empêche de faire participer vos salariés à ce moment de plaisir. Vous pouvez ainsi organiser une compétition sur un jeu de fléchettes comme un tournoi de babyfoot avec récompense à la clé. Les jeux représentent souvent une bonne manière de renforcer l’esprit d’équipe surtout si vos équipes ont un défi en commun et qu’elles doivent faire appel à l’intelligence collective pour réussir. Ces compétitions et challenges sont d’autant plus appréciés après une période intense de rush. Il s’agit de faire souffler les équipes et de leur accorder un moment de pause pendant leur horaire de travail.

Les jeux pour le recrutement.

Certaines entreprises n’hésitent pas à tester les comportements des candidats de leur entreprise dans des escapes game afin de voir la personnalité de chacun et comment les futurs recrutés interagissent avec le groupe. Il existe de nombreux jeux qui existent pour tester la capacité à collaborer de vos candidats. Certaines tâches peuvent également être gamifiées pour les rendre plus intéressantes. Le plus dur reste de trouver comment allier l’utile à l’agréable sous forme de jeux. Ces jeux peuvent par exemple servir à décorer votre entreprise.

Les jeux de team building

Si vous souhaitez allier à la fois team building et histoire de l’entreprise, le jeu de frise chronologique peut représenter un bon moyen. Pour cela rien de plus simple, il vous suffit de tracer une ligne sur un grand tableau ou un grand carton et de mettre par exemple au début la naissance de l’idée puis la date de création de l’entreprise. Vous pouvez ensuite ajouter diverses dates importantes pour l’entreprise comme un changement de nom, une levée de fonds, la date d’arrivée du premier salarié, l’atteinte de certains paliers. Par la suite vous pouvez par exemple demander à vos équipes de coller leur photographie au moment où ils sont arrivés s’ils le souhaitent. Cette frise chronologique est parfois utilisée pour marquer l’expérience de chaque salarié ou son domaine d’expertise. A noter que ces jeux ne doivent pas forcément avoir un but spécifique mais servent simplement parfois à renforcer les liens entre vos différents collaborateurs.

En quoi le langage non-verbal peut-il vous trahir quand vous négociez ?

Rien n’est plus éloquent pour comprendre l’impact du langage non verbal que de regarder un mime ou acteur qui joue la comédie ou la tragédie. A travers ses différentes expressions nous comprenons ses pensées et il nous conduit à partager ses émotions. Il maîtrise chacun de ses gestes et c’est cette maîtrise qui lui permet de communiquer avec un large public.

Le langage non-verbal est sans cesse scruté pour les personnalités aussi bien médiatiques que politiques. Certains journalistes transmettent ainsi des informations au grand public qu’il est difficile de percevoir si l’on n’est pas expert dans ce domaine.  En effet, le langage non-verbal permet de comprendre l’état d’esprit dans lequel se trouve une personne. Le langage non verbal représente la moitié du message que vous émettez. Or, Il est parfois difficile de maîtriser sa gestuelle dans des situations qui demandent une maîtrise de ses émotions. Il existe des solutions pour travailler sur soi et maîtriser ce langage non-verbal.

Les bases de la synergologie

Il apparaît évident que Le langage non-verbal est souvent méconnu alors que la communication orale, souvent bien maîtrisée, notamment dans le cadre d’échanges commerciaux. Cette discipline, la synergologie, reste une source d’information primordiale face à un interlocuteur bavard, ou même discret, car elle apporte des éléments décisifs non-dissimulables car il est vrai que le cerveau et le corps sont une entité unique, qui constitue l’être humain.

Quelques signes à décrypter

La gêne lors d’une communication reste très difficile à masquer. Elle se traduit toujours de la même façon malgré des raisons différentes. Le regard fuyant, avec des yeux qui clignent plus rapidement que la normale en est une démonstration. Dans les bases du langage non verbal, cette retranscription symbolise le mensonge ou le malaise. La posture peut également être interprétée de façon négative en fonction de votre attitude. Croiser les bras témoigne parfois d’un comportement défensif, la voix qui tremble indique l’hésitation et le regard fixe tourné vers la droite signifie l’invention. Cependant, interpréter le non-verbal peut être réducteur car l’être humain de par sa nature apprend instinctivement dans la vie à maîtriser ses émotions.

Comment corriger ces démonstrations

Le langage non-verbal reste essentiel lors d’un entretien surtout les gestes qui peuvent agacer votre interlocuteur. Il faut donc utiliser les signes faciles d’emploi comme la position, avec un corps penché vers son interlocuteur, assis au bord de la chaise et les mains posées. Il est vital de fixer ses mains pour ne pas trahir la gêne ou tout autre sentiment défavorable à un entretien. De nombreux réflexes peuvent traduire le malaise comme le fait de tripoter son stylo ou ses vêtements. Cependant, certains signes sont difficiles à maîtriser comme lorsque l’on rougit. On peut tout de même sourire et acquiescer de la tête pour montrer son intérêt à la conversation.

Comment maîtriser le langage non-verbal

Le mouvement des yeux et le rythme auquel vous respirez transmettent des informations précieuses sur la personne. Bien que difficiles à contrôler, certains éléments peuvent être relativement maîtrisables. Par exemple, il est facile d’éviter de fuir le regard de son interlocuteur en faisant en regardant son front. Entraînez-vous avec votre entourage, vous verrez qu’il devient aisé de regarder votre interlocuteur. Les expressions du visage, propres au réflexe, sont importantes dans la communication non verbale et difficiles à travailler. Cependant ; s’entraîner à sourire si cela ne fait pas partie de votre nature vous permettra de briser de multiples barrières car le sourire est une clef dans la communication non-verbale.

Enfin, la gestuelle est sûrement l’attitude sur laquelle on peut le plus facilement interagir. Avoir une posture correcte, contrôler le balancement de ses pieds par exemple qui traduisent l’impatience mais aussi l’anxiété peuvent se travailler, pour laisser place à une attitude posée. Ces habitudes sont souvent prises au cours des études et elles demandent un certain temps pour s’en débarrasser. A vous de prendre quelques minutes chaque jour pour vous habituer à ce contrôle.

Les 5 conseils pour réussir ses démonstrations professionnelles

Les démonstrations professionnelles ont une importance essentielle et pourtant nombre d’entrepreneurs n’aiment pas se retrouver dans cette situation car ils ne se sentent pas performants à l’oral. Et pourtant, il maîtrise leur sujet au point que souvent ils sont intarissables mais à mauvais escient. A contrario, certains entrepreneurs réduisent leur communication et laissent leur auditoire sur leur faim. Pour séduire vos collaborateurs, associés ou clients, vos présentations doivent être tonifiantes, nettes et synthétiques. Voici quelques conseils qui peuvent vous aider à réussir vos démonstrations professionnelles.

1. Être synthétique

L’affichage excessif d’informations discrédite les présentations. Combien de slides comportent trop d’informations et monopolisent l’attention de vos interlocuteurs… qui ne vous écoutent plus. Soyez synthétique et donnez du volume et un aspect pratique à votre information afin de la rendre vivante. Évitez les détails inutiles et complétez à l’oral, ce qui peut l’être. En ce qui concerne les images, soyez vigilant. Évitez de poster trop de données dans vos graphiques, schémas, tableaux… Une slide ne doit pas comporter plus de deux graphiques en même temps. Dans le cas où les deux infographies ne montrent pas la même conclusion ou évolution, ne les montrez pas ensemble. De préférence, présentez un seul concept par slide.

2. Être sobre

Faites en sorte que vos démonstrations professionnelles soient sobres. Ne jouez pas trop avec les couleurs, n’utilisez que trois coloris et mettez en avant les couleurs du logo de votre entreprise si possible. Évitez d’utiliser les animations à outrance ou des polices trop originales dans votre présentation. Appliquez la même police tout au fil de votre présentation. Pour assurer une meilleure clarté, la taille de votre texte ne doit pas être moins de 14 et vos titres de 20. Contrairement aux idées reçues, le fait de mettre les textes en capitales ne change rien à sa lisibilité donc ne faites pas d’abus. La multiplication des couleurs déconcentre le public du message essentiel.

3. Se préparer

Pour capter l’attention de vos collaborateurs ou associés, vous devez bien préparer. N’ayez pas tendance à lire bêtement vos slides car le public sera sans pitié à votre égard et vous serez déconsidéré. Au contraire, essayez de reformuler autant que possible vos mots. Ne faites pas de discours trop techniques qui peuvent mener à l’ennui. Adaptez votre jargon professionnel aux langages communs afin d’être mieux compris par tous vos interlocuteurs et non par les seuls spécialistes. Pour mieux mémoriser vos slides, faites des phrases simples et courtes. Pour mettre en évidence certaines de vos idées, vous pouvez les présenter sous forme de slogans.

N’hésitez pas à répéter votre discours pour garantir une meilleure rythmique et variez vos mots de liaison qui sont les rouages subtils de tout discours. Vous pouvez également jouer avec les émotions, en donnant de la vivacité à votre discours. Pensez à raconter une brève histoire afin de capter l’attention de vos interlocuteurs. En mettant un petit côté théâtral à votre discours, il sera plus intéressant et moins ennuyeux.

4. Les photos et les vidéos

La qualité des photos joue un rôle capital dans toute démonstration. Comme au cours de celle-ci, les images seront affichées en grand format, il est préférable que vos photos aient une bonne résolution. Le mode design est en plein essor actuellement côté visualisation. Captivez votre assemblée avec par votre originalité. En jouant la carte de la créativité, vous obtiendrez une vidéo qui sera au centre des attentions.

5. Le timing

Gérez bien le temps de votre présentation. Ne faites pas de présentation trop longue car la concentration se perd vite. Limitez autant que possible le temps et surtout ne dépassez pas le temps prévu. Si possible, faites en sorte qu’elle ne dépasse pas les 45 minutes. En général, le décompte est de 3 minutes par slide.

Stratégie de marketing, il faut oser !

Au sein d’une entreprise, la stratégie marketing est un enjeu majeur. Son objectif principal demeure de conquérir le maximum de clients mais aussi de les garder. Choisir la stratégie marketing qui développera votre entreprise et votre notoriété n’est guère une tâche aisée lorsque la concurrence fait rage. Il faut parfois prendre des risques pour gagner des parts de marché. 

Stratégies marketing, une politique gagnante

Que l’on prospecte des clients sur le web ou par appel d’offres, les stratégies marketing jouent un rôle essentiel. Elle permet de définir les différentes cibles à atteindre ainsi que les clients potentiels. Pour cela, il est nécessaire de réaliser un questionnaire et un brainstorming avec les collaborateurs pour discerner celles qui seront porteuses de croissance et celles qui vous feront perdre du temps. Elle détermine l’objectif de vente qu’il faut atteindre et améliore la connaissance des attentes du client. Une stratégie risquée peut porter ses fruits et l’adage « qui ne tente rien, n’a rien » prend tout son sens ! Stratégie risquée ne signifie pas irréfléchie, bien au contraire, il faut prendre le temps de bien y penser. 

Comment créer une stratégie marketing ? 

Avant de la créer, assurez-vous que le produit ou votre service répond aux attentes des clients. De cette manière, vous serez sûr de développer des actions qui porteront des fruits à long terme. Pour que la stratégie soit réussie, déterminez les caractéristiques de votre cible (âges, revenus…) afin de savoir les personnes qui seraient susceptibles d’être intéressés mais aussi d’attirer d’autres clients. Déterminez les entreprises concurrentes qui sont dans le même domaine que vous afin d’analyser vos atouts par rapport à ces dernières. Prenez en compte leurs avantages et leurs faiblesses. Notez que la réussite de votre stratégie dépend de la réponse à un besoin et il faut donc que le client soit séduit par votre offre et sente la différence avec votre concurrent.

Quelle stratégie adopter ? 

L’essentiel pour une entreprise reste de satisfaire sa clientèle et la fidéliser. Pour commencer, sachez que votre stratégie doit être choisie en fonction de la nature de votre activité et la situation du marché dans lequel vous vous trouvez. En général, les principales matières à mettre en valeur lors de cette méthode sont le produit, le prix, la promotion et la place de votre entreprise. Les techniques sont nombreuses, mais l’enjeu principal demeure les coûts qu’elles engendrent. En matière d’enjeu, on peut également citer la différenciation de l’offre de l’entreprise par rapport aux sociétés concurrentes. Cette stratégie nécessite beaucoup d’originalité de votre part.

Et enfin, l’une des très bonnes démarches à réaliser serait la concentration de l’activité de votre entreprise. Vous avez aussi le choix entre les stratégies de mouvement « pull », pratique lorsque vous êtes en phase de croissance, ainsi que la stratégie de mouvement « push » dans le cas d’un nouveau marché émergent.

Les stratégies marketing sont de diverses sortes.

Mais pour obtenir de très bons résultats, il vous faudra bien sûr prendre des risques. N’oubliez jamais de faire preuve de rigueur lors de l’étude de votre marché, car c’est en fonction de cela que vous allez élaborer votre stratégie. Prendre des risques ne signifie pas « se lancer aveuglement » mais de façon réfléchie.

Chef d’entreprise : les enjeux de l’utilisation des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux comme les e-mails ou les textos ont conduit les salariés à adopter un nouveau comportement. Pour les e-mails, les collaborateurs ont vite compris qu’un e-mail envoyé sans réflexion à l’ensemble de l’entreprise peut lui nuire. Ainsi des bonnes pratiques de l’usage des e-mails ont été instaurés dans nombre d’entreprises. En ce qui concerne les réseaux sociaux dans la mesure où ils font partie de la sphère privée, la situation est plus délicate et le plus souvent les entreprises instituent une charte d’utilisation afin d’éviter des situations conflictuelles.

Depuis plusieurs années, les réseaux sociaux sont l’un des moyens les plus utilisés pour partager l’information, que ce soit par les particuliers ou les entreprises. Les réseaux sociaux ont permis à de nombreuses entreprises de communiquer directement avec leurs clients et de les fidéliser.
L’utilisation de ces réseaux demande cependant beaucoup de prudence et de bon sens.

Quels sont les risques encourus par les entreprises ?

L’utilisation des réseaux sociaux que ce soit par les employés ou le dirigeant peut entraîner des risques pour l’entreprise. Un document récemment publié par le MEDEF montre les risques les plus fréquents encourus par une entreprise quant à l’utilisation des réseaux sociaux. Le premier concerne la fuite d’information. En utilisant les réseaux sociaux, vos salariés risquent de ne plus faire la différence entre vie professionnelle et personnelle et … divulguer involontairement des informations confidentielles ou des secrets liés à l’entreprise. Le deuxième risque concerne l’image de l’entreprise elle-même.
Un salarié mécontent peut publier des propos qui peuvent mettre en cause la réputation de l’entreprise. Enfin, l’usurpation d’identité peut arriver.

Quelles sont les solutions pour limiter ces risques ?

Malgré ces risques, les entreprises ne peuvent pas interdire l’utilisation de ces réseaux sociaux à titre personnel. La solution reste d’informer les employés des règles d’utilisation et des bonnes pratiques. La première chose à faire demeure de sensibiliser les employés, de leur faire comprendre les enjeux et de les accompagner dans leur utilisation si nécessaire. Vous pouvez aussi restreindre leur emploi mais ceux-ci étant accessibles via les smartphones, il sera souvent inutile de le faire. 

Pour éviter d’en arriver à cette interdiction (souvent inutile), n’hésitez pas à effectuer une veille sur ce qui est dit par vos salariés dans le domaine public et à choisir une personne qui sera en charge de gérer le compte de votre société. Cela pourrait limiter les dégâts et aussi permettre de retirer les informations qui n’auraient pas dû être divulguées. N’hésitez pas à mettre en place un guide des bonnes pratiques.

Restez professionnel même dans un environnement à tendance ludique

Parfois, des personnes mal intentionnées ou même l’un de vos employés peuvent vous faire du tort par le biais des réseaux sociaux. Faites attention à votre réponse car elle pourrait nuire à l’image de votre société. Votre réaction sera essentielle et votre professionnalisme devra être à toute épreuve. Si un commentaire inexact ou désobligeant est écrit, n’hésitez pas à y répondre avec tact afin de montrer les atouts de votre entreprise tout en restant poli. Évitez d’écrire sous la colère car cela pourrait avoir des conséquences lourdes. Prenez donc du recul dans ce dernier cas.

Il n faut pas oublier qu’il est indispensable de rappeler aux collaborateurs qu’ils sont les premiers ambassadeurs de l’entreprise et que la mettre en valeur sera une source du développement pour l’entreprise qui aura aussi un impact sur leur vie professionnelle. La notoriété de l’entreprise rejaillit sur le collaborateur. 

Les Français impliqués dans la transition alimentaire

Selon un baromètre de la transition alimentaire 2019 – Sondage Opinion Way pour Max Havelaar France réalisé auprès d’un échantillon de 2066 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, toutes les catégories de la population française seraient désormais sensibles à avoir une consommation alimentaire responsable.

Les secteurs touchés

L’alimentaire avec la prise de conscience de la protection de la planète, de la protection de la santé est devenu une préoccupation majeure. L’alimentaire demeure aujourd’hui le secteur privilégié pour les produits garantis « responsables ». 81% d’entre eux le citent et 68% en premier. Viennent ensuite le secteur hygiène, cosmétique, beauté pour 51% d’entre eux. Suivent les produits d’entretien et le secteur de l’habillement, du textile avec respectivement 44% et 36% des personnes interrogées. Cette préoccupation est d’autant plus forte que l’âge est élevé notamment pour l’alimentaire avec 86% des personnes âgées de 35 ans et plus et seulement 68% pour les moins âgées.

Les tendances de la consommation

Le premier constat est frappant : 98% des Français achètent des produits responsables même s’ils ne le font pas de manière systématique et simultanée et 77% d’entre eux achètent, plus ou moins souvent, tous les types de produits testés. Ce pourcentage s’élève à 90% d’entre eux au moins une fois par mois pour un type de produit et descend à 67% pour une fois par semaine, un rythme qui reste donc relativement élevé. Parmi les catégories de produits alimentaires responsables : les produits locaux, produits des régions, produits bio, produits limitants ou sans emballages, équitables. 

Les produits locaux arrivent en tête avec 82% des Français qui consomment des produits Made in France au moins une fois par mois. Ce pourcentage redescend cependant à 57% à la semaine. Suivent les produits régionaux pour 76% d’entre eux et 44%. Les produits bios ne sont pas en reste avec respectivement 58% et 30% au moins une fois par semaine. A noter que les produits sans ou limitant les emballages représentent tout de même 58% et 28%. Les produits issus du commerce équitable demeurent encore peu à la mode avec 46%. 

A noter qu’un quart des français (27%) achètent tous les types de produits (locaux, bio, zéro-déchet, équitable et bio-équitable) au moins une fois par mois même si ce pourcentage serait à 7% à la semaine. A noter que même si les catégories socio-professionnelles les plus aisées restent les plus consommatrices, tous les Français ont fait évoluer leurs pratiques d’achats et ce sont les catégories populaires qui ont le plus fait évoluer leur manière de consommer depuis un an. 

Les motivations des français

C’est avant tout pour les Français d’un soutien aux producteurs et agriculteurs puisqu’il s’agit de la première raison citée pour 59% d’entre eux. Ils le font aussi pour eux et leur santé pour 54% d’entre eux. Suivent de près les considérations environnementales (53%) afin de réduire le gaspillage et le suremballage et le même pourcentage pour agir et protéger la planète.

Ses motivations sont différentes selon l’âge puisque les personnes âgées de 35 ans et plus sont très sensibles aux producteurs et agriculteurs (64%) alors que les plus jeunes ne sont que 44%. La planète étant une priorité pour eux (55% contre 52%). Une nouvelle donne qui pourrait donc changer le fonctionnement des entreprises dans leur approche : utilisation du plastique, gaspillage, impact environnemental et bien-être animal devrait bientôt devenir une préoccupation majeure pour les entreprises. 

Les freins principaux à la consommation

Le prix est l’obstacle majeur puisque 69% des répondants le citent comme première raison. Viennent derrière une méfiance sur le respect des engagements pour 36% des Français et au même niveau l’indisponibilité de certains produits dans certaines gammes. Ceci est d’autant plus marquant que le prix reste le critère principal dans le cadre des courses alimentaires générales (63%) alors que la qualité gustative arrive loin derrière (40%). Suive de près la provenance (39%) et la composition du produit (39%). 

A noter que le manque d’informations reste un frein car seuls 52% des Français se considèrent bien informés avec seulement 7% pour les « très bien informés ». 

Le Mentorat, c’est quoi ?

Le mentorat, mot bien francisé pour remplacer les trop anglo-saxons « coaching » ou « mentoring », n’en dit pourtant pas très long sur ce qu’il désigne réellement.

L’idée de mentor pourrait sembler ne pas bien s’adapter dans le contexte de l’entreprise et du business. Le mentor est vu, de façon courante, comme le grand maître, vecteur de transmission de savoirs en tous genres pour ses disciples. Nous sommes donc loin de la vie de nos entreprises et de l’univers du business.

Pourtant, les années passant, les chefs d’entreprise et dirigeants, constatent que le mentorat prend une propension très importante. Cette notion s’inscrit d’ailleurs de plus en plus dans un registre professionnel proche de celui des affaires. Beaucoup de choses aujourd’hui dans la vie de tous les jours au sein de nos entreprises nous ramènent à l’idée de formation, de transmissions de savoirs et de connaissances entre les collaborateurs.

Une distinction nécessaire entre tutorat et mentorat

Première distinction, pourtant importante à faire et à considérer, celle entre le tutorat et le mentorat. Le tutorat ne s’applique que dans un cadre de formation pure. Il met en relation un tuteur, plus largement considéré comme professeur, et des « tutorés », finalement étudiants. Le tutorat s’inscrit donc dans un cadre plutôt scolaire là où le mentorat est une version bien plus professionnalisante de l’apprentissage. Cette distinction s’avère nécessaire pour bien comprendre le cadre d’application du mentorat et l’objectif du mentor envers ses mentorés, ses apprentis.

L’objectif du mentorat

Le mentorat a donc une visée professionnelle. Visant la transmission entre collaborateurs d’une même entreprise, il s’inscrit dans une volonté d’entraîner et de développer les rapports en interne. Les contrats de génération en sont une illustration parfaite. Le senior désirant partir en retraire prend sous son aile un nouvel employé junior. Il lui transmet l’ensemble des savoirs nécessaires ainsi que les bénéfices de son expérience.

On s’aperçoit donc aisément que le mentorat, ou coaching, s’immisce bien plus que l’on ne le pense dans la vie de nos entreprises. Nombre d’initiatives sont lancées pour développer ce type d’initiatives visant à la transmission et la formation en interne.

Le mentorat semble donc une notion à prendre très au sérieux pour les dirigeants. Les avantages sont nombreux, tant en termes de gains de temps de formation qu’en termes d’économies de coûts de formation également. Il est nécessaire que tous les dirigeants désireux de développer la transmission de savoir dans le but d’assurer la compétence et la productivité des employés, se penche avec sérieux sur le mentorat pour en tirer un maximum de bénéfices pour l’avenir de leur entreprise.

Période de crise : les erreurs à éviter en management

Toute période de crise chamboule les prévisions de l’entreprise oblige à remettre en cause le fonctionnement habituel. Si la crise perdure il devient parfois difficile de continuer à payer les salariés et là le management du dirigeant est essentiel car il doit prendre des décisions et il ne doit regretter aucune d’entre elles afin que ce moment ne soit pas synonyme de régression mais de pérennité de l’entreprise.

En temps normal, une tâche essentielle reste de manager votre équipe, pour qu’elle soit performante, réactive et productive.
Avec la crise économique et sociale qui sévit actuellement, il devient de plus en plus dur de diriger une équipe. 

Aussi, en temps de crise, bon nombre d’entreprises ont tendance à réduire leurs effectifs et n’atteignent pas leurs objectifs. Pourtant, pour que l’entreprise reste concurrentielle, les équipes doivent rester motivées. Dans ce cas, comment faire pour gérer la crise et surtout, comment faire pour éviter des erreurs de management ?

Réduire ses effectifs trop rapidement

En ces périodes incertaines, il est vrai que l’entreprise est en mauvaise passe et traverse une période particulièrement difficile. Le plus souvent des cas, l’entreprise s’empresse de réduire ses effectifs, en pensant réduire certaines charges dans l’espoir d’un équilibre financier. Cette décision peut s’avérer fatale pour une entreprise et peut représenter une erreur grossière si mal exécutée. Réduire son effectif mène à également à réduire la production et ne représente pas une solution pérenne dans la mesure où l’entreprise espère en tirer des profits. Un bon manager cherchera d’autres solutions.

Fidéliser et motiver ses collaborateurs

Il est vrai qu’en période de crise, il est difficile d’envisager de fidéliser et de motiver ses salariés. Pourtant, c’est l’un des gestes à faire. Face à l’absence de perspectives, il se pourrait que les salariés trouvent des avantages ailleurs qu’au sein de votre entreprise et décident de la quitter. Ce serait une perte pour l’entreprise qui pourrait perdre en productivité. Aussi, le manager se doit de ne pas considérer ses collaborateurs comme acquis et il reste indispensable de motiver et de fidéliser ses employés, mais surtout, de communiquer avec eux afin d’empêcher les frustrations et les conflits.

Rester productif

Surtout en période de crise, l’entreprise doit rester productive. Pour ce faire, proposer des formations aux employés pour qu’ils soient plus compétents et qu’ils développent leurs atouts peut représenter un bon moyen d’améliorer le rendement de chacun. Il reste souvent inutile de limiter le budget de formation, car ce sont elles qui permettent à une entreprise d’être efficace, productive et très concurrentielle. Aussi, évitez aux collaborateurs le surmenage qui pourrait avoir un effet inverse à celui désiré en ne surchargeant pas vos employés. Dans une situation critique, et si vous ne savez pas de quoi demain sera fait, n’hésitez pas à faire appel à l’intérim. 

Prôner le développement

En toutes circonstances, le stress ne doit jamais prendre le dessus sur la qualité de service. Le cas échéant, il se pourrait que cela se retourne contre votre entreprise, dès que la crise économique sera terminée. La meilleure chose à faire reste de vous intéresser à vos salariés qui sont continuellement en contact avec vos clients et aux solutions qu’ils pourraient vous apporter. Ainsi, en tant que manager, offrez à votre équipe les moyens nécessaires pour prendre des décisions et développer de nouveaux projets qui seront peut-être la porte de la sortie de crise. Cela pourrait les inciter à davantage s’impliquer et représente pour eux une grande marque de considération et un geste qui sera sûrement vraiment apprécié.

En quoi le respect est-il une valeur essentielle à tout bon chef d’entreprise ?

Le fait d’être le dirigeant demande de prendre en compte la dignité des personnes comme critère essentiel de management. Avoir pour idée que les personnes doivent vous être reconnaissants parce que vous leur offrez un travail et des conditions de travail agréables doit être absolument écarté de votre esprit. Ce genre de pensée conduit de manière inéluctable à manquer de respect envers la personne puisqu’elle vous est redevable . Vous pouvez ainsi franchir des frontières qui ne sont pas acceptables. A contrario avoir la pensée légitime qu’ensemble vous construisez l’avenir d l’entreprise, votre propre avenir et celui de votre collaborateur engendrent un respect mutuel. Chacun est reconnaissant à l’autre de ce qu’il apporte.

Un bon chef d’entreprise est une personne qui a une forte capacité d’écoute des partenaires, des clients ou encore des salariés. Le respect reste une des premières valeurs dont tout chef d’entreprise doit faire preuve envers son entourage direct et indirect. Mais pourquoi ? 

Le respect, une valeur indispensable à tout chef d’entreprise 

On dit toujours que bien manager consiste à se faire respecter tout en respectant les autres. Le respect qu’un chef d’entreprise doit montrer vis-à-vis de ses clients, ses fournisseurs, et même ses collaborateurs ne se résume plus qu’à un simple « bonjour », « s’il ne vous plaît » ni « l’écoute ».
D’après une enquête effectuée par la société Regus, 68 % des collaborateurs français trouvent que leurs supérieurs directs leur manquent de respect. Si vous pensez que reconnaître la valeur de vos employés par des bonus va encore plus motiver vos employés, sachez qu’ils attendent bien plus. Pour le bon fonctionnement de votre entreprise, il est important de pouvoir accepter les différences, que ce soit au niveau des personnes, des moyens ou des conditions. Le respect demeure donc plus que votre politesse. 

Le respect, un élément-clé de la fidélisation

Que ce soit pour la fidélisation de vos clients ou des collaborateurs, des employés et des fournisseurs, le respect demeure essentiel. La plupart des démissions restent dues aux comportements des managers et supérieurs hiérarchiques. En général, les salariés partent parce qu’ils se sentent dévalorisés. Lorsque les employés se sentent respectés à l’inverse, ils s’impliquent davantage et fournissent un travail de meilleure qualité. Pour les clients et les fournisseurs, en les respectant, vous aurez plus de chances d’obtenir leur confiance. Un client qui se sent mal reçu par un chef d’entreprise ou qui n’est pas satisfait de votre service n’hésitera pas à le quitter définitivement. 

Le respect, pour le développement de votre entreprise

Le respect est un pilier pour le développement de votre entreprise. Plus vous respectez les collaborateurs et les employés, plus ils auront envie de travailler pour votre entreprise. C’est pour cette raison que vous devez à tout moment leur prouver votre considération. Il est primordial de leur montrer le respect de la personne qu’elles sont. Surtout face à leurs collègues. Éviter de les critiquer devant les autres employés si vous avez des reproches à leur faire. Et surtout, faites-leur sentir que la critique n’est pas personnelle. N’oubliez pas de faire preuve de politesse et de courtoisie. Le comportement d’un chef d’entreprise reste un facteur qui impacte la motivation des employés. N’oubliez pas que cette dernière demeure essentielle au bon fonctionnement de l’entreprise. 

De cette manière, les employés et les collaborateurs produiront plus pour les clients ou les fournisseurs qui sont satisfaits de la collaboration et feront preuve de plus de respect à leur égard. La réputation de votre entreprise augmentera et les clients satisfaits qui parleront en bien votre entreprise se multiplieront. Vous hésitez encore ?