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Comment vaincre la concurrence ?

La concurrence, elle n’a plus le même visage. Celle-ci est passée de nationale à internationale. Ce changement a bouleversé la manière de l’observer. Elle est aussi passée par les services qu’elles utilisent comme la performance de la navigation de son service internet et la présentation des produits, les moyens de paiement, la livraison, le service après-vente… Elle implique de réaliser une observation rigoureuse de tous se paramètres pour savoir où votre performance se trouve optimale ou quels sont vos points faibles.

Votre projet est lancé et possède toutes les chances d’atteindre le succès escompté. Un problème demeure : la concurrence ! Cette dernière reste présente dans tous les secteurs et lutter contre elle s’avère essentiel lorsque l’on souhaite occuper la place de leader sur le marché. Le prix est, toutefois, loin d’être le seul critère qui peut vous aider à remporter ce combat. Voici quelques astuces afin de sortir vainqueur de cette lutte sans merci.

Connaître ses forces et faiblesses

Dans l’art de la guerre, la connaissance de soi demeure essentielle à la victoire. Il en est de même pour votre entreprise. Avant d’étudier les stratégies à mettre en place, il faut évaluer ses propres atouts comme ses faiblesses afin d’en tirer une conclusion qui vous aidera à lutter contre la concurrence. Quel est le point fort de vos produits/services ? De votre manière de vendre ? Les atouts internes à l’entreprise sont également à mettre en avant, tels que votre cohésion d’équipe ou vos qualités de négociation. Vos faiblesses doivent également être analysées : Quel est votre talon d’Achille et comment le corriger ? En faisant abstraction de la concurrence durant un court instant, demandez-vous si votre firme atteint le maximum de ses capacités et si son offre à toutes ses chances de réussir. 

Analyser la concurrence

Après votre analyse interne, il est temps d’étudier la stratégie employée par vos adversaires. Une nouvelle fois, analysez leurs points forts pour vous améliorer, ainsi que leurs points faibles pour proposer une offre qui comble ces derniers. Tâchez également d’anticiper leurs futures innovations pour ne pas être pris de court et vous retrouver avec une offre qui ne fait pas le poids. Si l’imitation demeure à proscrire et qu’une entreprise peut copier un concept différemment, un leader de marché se place en tête seulement en se démarquant par ses propres idées ! Même si cette analyse demeure essentielle, pour lutter contre la concurrence, ne passez pas votre temps à espionner leurs moindres faits et gestes, au risque de les regarder évoluer, tout faisant stagner votre entreprise !

Placer l’innovation comme cœur de stratégie

L’innovation demeure un atout des plus avantageux ! En apportant constamment à vos clients une amélioration de votre offre, ils seront d’autant plus aptes à consommer chez vous plutôt que chez vos adversaires.
Cette innovation peut se faire, par exemple, par le biais d’un concept original ou en. À titre, d’exemple, Hakim Benotmane, fondateur de Nabab Kebab, a frappé fort sur le marché du kebab . Il a pu se hisser à la tête de ce dernier en proposant un concept de « casual food ». L’idée ? Effacer l’image négative du kebab en proposant un cadre de restauration plus chaleureux et casual pour consommer ces célèbres sandwichs. Un pari réussi pour le jeune homme, qui a pu voir sa chaîne de restaurants se développer avec l’ouverture de plus de 81 établissements en France et à l’étranger. 

Adapter son business model selon l’état du marché

Si vous êtes sur le marché depuis un moment, ne pensez pas que la place de leader vous ait acquise ! La concurrence peut, à tout moment, vous détrôner ! Pour éviter que cela ne se produise, n’hésitez pas à adapter votre business model. Certaines entreprises ont, malgré elles, progressivement disparu en ne s’adaptant pas aux évolutions du marché. Le leader mondial de la cosmétique, l’Oréal, a su prendre en compte ce critère, en changeant son business model pour « survivre » : « Nous misons surtout sur l’innovation environnementale et sociale. Nous la promouvons auprès des fermiers, qui produisent les ingrédients des matières végétales de nos produits », explique Alexandra Palt, Directrice du développement durable du groupe à la Tribune.
Face aux préoccupations écologiques, ce dernier a su revoir sa stratégie pour en proposer une nouvelle, plus pertinente et éthique, auprès de ses clients.  

Fidéliser ses clients

L’une des meilleures solutions pour que vos clients ne se réfugient pas chez vos concurrents, reste de les fidéliser. Plusieurs manières de procéder s’offrent alors à vous : respecter ses engagements, employer le marketing relationnel afin de créer une relation personnalisée avec ces derniers, prendre en compte leur avis et éventuelles critiques, et offrir un service de qualité afin de les satisfaire. Fidéliser ses clients vous permet, en plus de cela, de lutter contre la concurrence, d’assurer la pérennité de votre entreprise en conservant ces derniers dans le temps, afin qu’ils consomment régulièrement vos produits. N’oubliez pas, « le client est roi » et, pour le fidéliser sur le long terme, la satisfaction demeure un élément clé.

Le respect de vos adversaires

Dans cette lutte contre la concurrence, le but n’est pas de les mettre plus bas que terre mais d’occuper la place de leader. Pour ce faire, ne tentez pas de critiquer sans cesse vos concurrents auprès de clients et prospects communs ou lors d’événements, où vous serez amené à vous rencontrer.
Le respect reste de mise et doit perdurer car l’on apprécie la réussite de ceux qui brillent sans avoir besoin d’éteindre les autres. Veillez à toujours mener une « bonne guerre », dans le respect et la courtoisie.

Établir une communication judicieuse

Un autre élément clé qui peut vous aider face à concurrence ? Une bonne campagne de communication ! Si vous tournez cette dernière sur un ton divertissant, attrayant, séduisant ou même sympathique, elle peut avoir un impact positif direct sur vos ventes et redorer l’image de votre entreprise.
Vantez, lors de vos campagnes publicitaires, les solutions qu’apportent vos produits, créez-vous une place de taille sur les réseaux sociaux, et fidélisez votre communauté à travers des concours ou animations. Cette campagne de communication se doit de véhiculer vos valeurs et votre positionnement (qui se démarquent, bien évidemment, de vos concurrents).

Comment garder un salarié les premiers mois ?

D’après une récente étude pour Instant Office, un nouvel employé sur quatre démissionnerait dans les 90 jours suivant le début de son contrat. En cause certes des problèmes liés au travail mais également un accueil qui serait loin d’être satisfaisant. Zoom sur quelques bonnes pratiques pour garder garder un salarié les premiers mois.

Un bon accueil du salarié.

Lors de l’arrivée d’un nouveau collaborateur, il reste nécessaire de particulièrement soigner votre accueil en fournissant tous les éléments nécessaires à la bonne exécution de la mission : matériel informatique, logiciels, logins, kit d’accueil avec notamment les valeurs de l’entreprise, le fonctionnement des divers services et les référents sur chaque domaine… Ensuite, vous devez penser à leur intégration au sein de vos équipes en privilégiant par exemple une journée d’accueil par l’ensemble des collaborateurs ou encore des journées découvertes où ils pourront par exemple visiter les différents sites de votre entreprise. Il faut que rapidement votre salarié se sente intégrer à vos équipes et connaisse les principaux rouages de votre entreprise. 

Partager votre vision et insérer du sens

Quand on ne sent que comme un rouage dans une immense machine, on a tendance à vite perdre sa motivation. Il s’agit de leur montrer que leur travail a du sens qui va au-delà de la simple exécution de leur tâche quotidienne. Ils doivent connaître votre vision pour voir où vous souhaitez les emmener et savoir en quoi ils contribuent à la réalisation de votre mission. Plus ils verront qu’ils font la différence, plus ils auront tendance à se donner à fond dans leur mission

Voir avec eux leurs perspectives 

S’ils peuvent être bien dans votre entreprise à l’instant où ils l’intègrent, il faut qu’ils puissent se projeter dans l’avenir et savoir où ils seront dans les prochains mois ou années. La stagnation entraîne généralement la démission. Ils doivent comprendre que vous voyez leur potentiel d’évolution et que vous savez vers quoi ils veulent tendre afin que vous puissiez leur montrer un plan de carrière. Ils doivent pouvoir comprendre ce qu’ils gagneront en termes de salaire mais également en termes de travail. Encouragez-les dès leur intégration à suivre des formations afin qu’ils développent leurs compétences. Ils sont nombreux à compter évoluer et s’ils peuvent gagner à tous les niveaux, ils seront preneurs. Cela peut être des formations internes comme des formations externes. 

Le bon vivre en entreprise

Mettez en exergue qu’il fait bon de travailler chez vous, plus qu’ailleurs notamment si vous avez mis en place un bon esprit d’équipe. N’hésitez pas à rappeler les avantages éventuels que vous offrez. Votre culture d’entreprise est unique. Alors autant la mettre en avant et montrer en quoi vous êtes dans une entreprise où il fait bon vivre. Si vous ne l’avez pas encore fait, n’oubliez pas que le team building joue un rôle important. Vérifiez que l’esprit d’équipe soit présent afin que chacun se sente bien à son niveau.

Augmenter le salaire 

Si vous avez des salariés qui s’impliquent tout particulièrement, il ne faut pas hésiter à leur donner des augmentations si vous en avez les moyens. Evitez de penser qu’un salarié se contentera éternellement de sa rémunération initiale. Votre grille de salaire doit rester compétitive même si vous mettez en place de nombreux avantages au sein de votre entreprise. Aucun salarié ne voudra rester s’il a l’impression de pouvoir trouver vite et mieux ailleurs. 

Être reconnaissant

Comme on le dit souvent un « merci » a toute la valeur du monde. La reconnaissance du travail accompli ou encore en cas de performances représente l’un des meilleurs facteurs de motivation. Féliciter une personne qui décroche un contrat ou encore célébrer toutes les petites victoires vous permettra de valoriser vos salariés. Plus l’effort aura été intense, plus votre reconnaissance sera attendue. Valorisez-les auprès des autres collaborateurs. 

Bien recruter

Il vaut mieux passer plus de temps à rechercher le profil que de prendre n’importe lequel sous prétexte de ne pas en avoir le temps. Mettre une personne qui n’est pas tout à fait en adéquation avec un poste ou pire pas du tout dans l’esprit de votre entreprise représente le meilleur moyen d’avoir du turn-over et de détruire l’ambiance. Cherchez les meilleurs vous évitera de perdre du temps à les former et vous pourrez bénéficier de leurs savoirs pour avancer plus rapidement. 

Utiliser tout leur potentiel

Comme le précise Instant office dans son communiqué, « les employés peuvent perdre toute motivation au travail s’ils ne sont pas suffisamment stimulés. Si vous disposez d’employés prometteurs, veillez à utiliser pleinement leur potentiel, sans quoi ils risquent de se tourner vers une autre entreprise qui s’en chargera à votre place ». Une personne qui sent que son potentiel est inexploité et que ses compétences ne sont pas mises à profit peut vite perdre sa motivation. Il ne faut pas hésiter par exemple à leur faire apporter une « contribution dans des domaines allant au-delà même des fonctions qui leur sont attribuées ». Vous devez vérifier leur potentiel dans les autres domaines même ceux qui ne sont pas relatifs à leur CV. Ils pourraient bien vous surprendre à posséder des compétences ou qualités qui n’y figurent pas. 

Portrait-robot de l’entrepreneur aimé de son banquier !

Le banquier. On lui attribue souvent ses déboires et si vous avez des ennuis de trésorerie, il fait un parfait coupable. Et pourtant, il est celui qui peut se révéler un véritable soutien dans votre parcours d’entrepreneur. Avant tout, il vous faudrait faire l’analyse de votre comportement qui lui saute aux yeux car aujourd’hui les relevés en ligne classent vos dépenses : alimentaires, prélèvements pour la vie quotidienne (EDF, assurance), mais aussi les restaurants et donc le banquier voit à travers vos dépenses quel client vous êtes… Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que lorsque vous voulez faire un crédit les banques vous demandent trois mis de relevés car ils sont des indicateurs.

Le banquier est l’interlocuteur privilégié des entrepreneurs.

Communiquer avec lui ne s’improvise pas. Afin de développer un climat de confiance et d’établir d’excellentes relations avec votre banquier et, ainsi, faciliter la gestion de votre compte au quotidien mais aussi de lui demander un appui dans les moments difficiles, la maîtrise de votre savoir-être est indispensable.

Auriez-vous envie de prêter un peu de votre argent à un ami qui semble ne pas tout vous dire sur ce qu’il veut en faire, qui ne vous donne jamais de nouvelles, et qui est connu pour être un vrai flambeur ? Non bien sûr ! Vous trouverez alors une jolie formule pour expliquer à cet ami que ça va être un peu difficile pour vous… Eh bien, sachez-le, votre banquier se trouve exactement dans la même situation lorsqu’un entrepreneur, au business model imprécis et qui ne se manifeste que quand il a besoin d’une facilité de paiement, lui demande un prêt. Demandez-vous alors depuis quand vous n’avez pas pris rendez-vous avec lui simplement pour faire le point sur votre activité et l’informer des prochaines étapes du développement de votre entreprise ? Vous vous sentez d’un seul coup un peu plus visé ? 

Soyez dans la transparence

Être transparent avec son banquier est la base même de la construction d’une bonne relation avec lui sur le long terme. Les pièges à éviter à tout prix : essayer de se faire oublier en faisant l’autruche quand les résultats ne sont pas convaincants, ou pire, tenter de bluffer en annonçant des prévisionnels ou des chiffres sur votre marché truqués. Dans les deux cas, il vous sera ensuite très difficile de gagner à nouveau la confiance du professionnel bancaire. Alors, comment faire ? Le strict minimum est de fournir à son banquier un business plan détaillé et un bilan prévisionnel réaliste de son entreprise. Ensuite, il ne faut pas hésiter à provoquer des rencontres ou des dialogues avec lui régulièrement pour faire le point sur vos chiffres et lui expliciter la situation financière de votre entreprise. 

Montrez vos qualités de gestionnaire

Cela paraît évident, mais il est tout de même utile de le rappeler : pour entretenir de bonnes relations avec votre banquier, vous devez avant tout être capable de lui prouver que vous savez gérer votre entreprise avec sagesse. Prenez le plus grand soin à ne pas vous retrouver à court de trésorerie et gérez intelligemment votre besoin en fonds de roulement. Si votre compte professionnel se retrouve régulièrement à découvert, vous aurez bien du mal par la suite à quémander des prêts à court terme. Pour ne pas tomber dans ce travers, veillez à optimiser au maximum vos charges fixes et à ne pas vous verser un salaire qui dépasse les capacités financières de votre entreprise. Au besoin, rapprochez-vous de votre expert-comptable qui pourra vous délivrer de précieux conseils en termes de gestion.

Communiquez sur votre capacité d’anticipation

N’attendez pas que votre banquier décroche son téléphone pour avoir des nouvelles de votre entreprise ! Proposez des rendez-vous, à votre initiative, pour discuter ensemble du développement de votre société. Vous pouvez même le tenir au courant de tous les évènements marquants de la vie de votre entreprise : acquisition d’un nouveau client, développement d’une nouvelle offre, recrutement… évitez au maximum de mettre votre banquier devant le fait accompli lorsque vous vous retrouvez à découvert. Annoncez-lui par exemple quelques mois en avance que vous risquez de connaître un creux d’activité ou qu’un lourd investissement va s’avérer nécessaire. N’oubliez pas également de le prévenir de tout flux d’argent un peu « atypique » depuis ou vers votre compte tels qu’un prélèvement émis de l’étranger ou une importante sortie d’argent par exemple.

Adoptez la bonne attitude : sympathique ou méfiant ?

Si les banquiers sont souvent vus d’un mauvais œil par les entrepreneurs, il ne faut pas oublier que ces professionnels sont avant tout des êtres humains qui, par définition, préfèrent traiter avec des personnes sympathiques et ouvertes. Par-dessus tout, ils détestent avoir affaire à des entrepreneurs qui leur mettent la pression, qui gèrent la relation sur le mode de la tension et qui cherchent sans cesse à négocier les frais bancaires. Aborder votre banquier de façon sympathique est une des conditions clés pour qu’il puisse vous soutenir et vous aider à trouver les solutions bancaires adaptées à vos besoins. Néanmoins, il faut bien garder à l’esprit que ces rapports cordiaux ne feront pas tout et que vous ne devez donc pas tout miser sur cet aspect. L’essentiel reste bien sûr les chiffres que vous allez lui présenter. 

Cernez les impératifs du banquier

Votre conseiller bancaire n’est pas un philanthrope capable de faire des miracles pour soutenir votre entreprise ! Il a des impératifs financiers à respecter et doit rendre des comptes à sa hiérarchie. Aussi, lorsqu’il a affaire à un entrepreneur qui comprend son métier et ses impératifs, il se décrispe et une relation de confiance peut s’installer. 

Inspirez la confiance 

Il n’y a pas de secrets, pour « inspirer la confiance » de votre banquier : respectez les engagements pris avec lui, faites preuve du plus grand sérieux dans les échanges, soyez régulier dans les reporting que vous lui faites, prévenez-le bien en amont de toutes les futures bonnes ou mauvaises nouvelles, n’essayez jamais de lui omettre des éléments sur votre entreprise ni de le « bluffer »,
Et surtout restez réaliste dans vos prévisionnels.
Enfin, point non négligeable, soignez votre apparence lorsque vous le rencontrez : pas de jean-baskets pour un rendez-vous ! N’oubliez pas que vous êtes la première image qu’il a de votre entreprise.

Pourquoi et comment se reconnecter avec la nature ?

Ces dernières années on parle de plus en plus de retour à la nature, de bien-être et d’un droit à la déconnexion. Il est clair que les effets demeurent méconnus même si chacun a pu ressentir l’effet notamment du changement de qualité de l’air. Il existe pourtant de nombreuses raisons d’aller se reconnecter à la nature. Guide des bienfaits et bonne manière de fonctionner. 

Les bienfaits d’une connexion avec la nature

Les effets de la nature sur notre corps sont aujourd’hui bien connus. La déconnection bénéficie d’abord à notre santé.  Elle abaisse notre stress, augmente nos défenses naturelles et possède divers bienfaits sur la santé. Il est démontré aujourd’hui qu’une marche en ville ou en forêt n’a pas du tout le même impact notamment sur le rythme cardiaque. Elle entraîne une forte chute du stress et que notre système immunitaire se renforce avec une production amplifiée de cellules tueuses dans l’organisme pour une durée relativement longue. 

Se mettre au calme

Se mettre au calme permet également de booster notre mental et de prendre du temps pour se reconnecter à soi. Vous vous concentrez davantage sur votre ressentis et vos émotions ce qui rapidement engendre des conséquences positives sur le psychisme. Certaines thérapies comme l’éco-thérapie font d’ailleurs appel à elle pour lutter contre le stress ou la dépression. 

Ensuite, elle permet de vous déconnecter grâce notamment au paysage et à l’espace, ce qui n’est pas le moindre de ses avantages. La qualité de l’air, le calme et le silence abaisse largement notre pollution sonore que nous avons tendance à oublier dans les grandes villes. Vous pouvez bénéficier de la musique de la nature qui reste considérée comme relaxante. Vous pouvez vider votre esprit des tracas du quotidien et laisser vaquer vos pensées. 

Enfin, faire un petit week-end au vert aurait aussi des effets bénéfiques pour l’entreprise puisqu’elle génèrerait une hausse de la productivité au travail et une créativité amplifiée. 

Comment se reconnecter à la nature

Pour vous reconnecter à la nature, il ne faut pas chercher bien loin les solutions. Rien qu’une balade en forêt ou dans un grand espace vert suffit en général à vous apporter les premiers bienfaits. Si vous n’avez pas la possibilité de sortir de votre ville, des espaces verts y existent à proximité et il ne vous faudra en général qu’une ou deux heures maximum pour les atteindre. Aller faire une balade en forêt avec des amis est à la portée de tous et ne vous demande pas trop d’efforts à partir du moment où vous décidez d’en prendre le temps. Plutôt que de rencontrer vos amis dans un café, vous pourriez ainsi décider d’aller faire un pique-nique en forêt. 

Les plantes ?

Si vous n’avez décidément pas le temps, il suffit de vous concentrer sur un élément tel qu’un arbre, une plante pour commencer à vous déconnecter. Il vous suffit de prendre quelques instants pour sortir de votre quotidien. Vous pouvez le faire à votre pause déjeuner comme le matin ou le soir. Il vous suffit de vous concentrer sur l’élément naturel à portée de vos yeux et de vous concentrer sur sa forme, ses odeurs, …

Faites un sens après l’autre et vous serez en quelques minutes reconnecté à la nature. Vous en disposez de cinq : l’ouïe, le touché, l’odorat, le goût et la vue. Même si vous ne pouvez pas tout manger et qu’il vous faudra au moins un parc pour bénéficier de l’ouïe, vous pouvez normalement activer vos 3 autres sens en toute situation. Il s’agit de ressentir ce qui se passe en vous à chaque fois que vous y faites appel.

Bien observer pour en comprendre la complexité représente une troisième manière de bien vous reconnecter à la nature, il s’agit de voir tous les détails au maximum. Si vous êtes dans de grands espaces, vous pouvez vous émerveiller du spectacle. La nature a très certainement fait partie de vos grandes découvertes quand vous étiez petit et devrait naturellement vous rappeler des souvenirs. N’hésitez pas à toucher divers éléments comme une pierre. L’idéal reste d’allier toujours vos sens avec vos sensations et votre ressenti. 

L’utilité en entreprise

Prenez en compte que la nature se trouve partout et n’hésitez pas à organiser vos séminaires proches des villes mais à la campagne. Vous pouvez par exemple le faire dans un gîte comme la société Morning à la place des salles de séminaire habituelles. Cela ne vous coûtera probablement pas plus cher et pourrait être l’occasion d’être dans la déconnection avec vous et vos salariés. Vous pourrez ainsi mieux les connaître et créer un esprit d’équipe pour ceux qui pourront y participer. 

D’autres sociétés utilisent des lieux isolés pour la créativité et n’hésitent pas à inviter les clients pour leur soumettre leurs idées créatives ou tout simplement pouvoir prendre le temps de bien analyser leurs besoins. Une bonne occasion de vous reconnecter à la nature tout en vous assurant une meilleure connaissance client et fidélisation. 

Après une période de stress pour vos équipes, organiser un petit week-end à la campagne peut également s’avérer une bonne solution pour faire redescendre la tension et revigorer l’ensemble de vos équipes. Les ballades ne coûtent rien et pourront leur permettre de fortifier leur organisme et donc de réduire le nombre de maladies (et donc d’arrêts) que pourraient provoquer une présence trop longue dans une ville. Vous pouvez le faire par petits groupes si vous le désirez afin de profiter au maximum. 

Muriel Pénicaud, ministre du Travail, ne veut rien lâcher sur l’égalité professionnelle

La ministre du Travail a une stratégie assez claire : désigner haut et fort les entreprises récalcitrances. Dans le contexte actuel de recherche de talents pour développer la croissance des entreprises les incite à éviter toute forme de pénalisation pour ne pas nuire à leur réputation. Pour parvenir à cela, en 2019, elle avait mis en place l’index égalité professionnelle dans les entreprises afin d’inciter les entreprises à agir en ce sens.

Quel est donc cet index, boussole de l’égalité hommes femmes ?

Toutes les entreprises d’au moins 50 salariés doivent calculer et publier leur Index de l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, chaque année au 1er mars. Pour ce faire, le ministère du travail a mis en ligne un simulateur-calculateur ainsi qu’un dispositif d’accompagnement complet pour les aider dans leur démarche. Elles doivent le communiquer, avec le détail des différents indicateurs, à leur Comité social et économique (CSE) ainsi qu’à l’inspection du travail (Direccte).

Les entreprises concernées

L’obligation de base concerne les entreprises d’au moins 1000 salariés. Depuis le 1er mars de l’année dernière, celles d’au moins 250 salariés ont dû le faire. Depuis le 1er septembre 2019, le spectre a été élargi à celles d’au moins 50 salariés qui devaient l’appliquer au 1er mars 2020. 

Après les grandes entreprises, puis celles de 250 à 1 000 salariés, l’index de l’égalité professionnelle femmes-hommes s’appliquait donc à celles de 50 à 250 salariés, qui devaient le publier, dimanche dernier, 1er mars. 

Selon le ministère, 40 000 firmes sont concernées, couvrant 9 millions de salariés, dont près de la moitié sont des femmes. 66% ont déjà publié l’index, dont 83 % des sociétés de plus de 1 000 salariés, 71 % de celles de 250 à 1 000 employés et 49 % de celles de 50 à 250 salariés. 

Comment se calcule l’index ?

L’Index, sur 100 points, se calcule à partir de 4 à 5 indicateurs selon que l’entreprise fait moins ou plus de 250 salariés :

  • L’écart de rémunération femmes-hommes,
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles,
  • L’écart de répartition des promotions (uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés),
  • Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité,
  • La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations.

La plupart des données à prendre en compte figurent dans la base de données économiques et sociales des entreprises (BDES).

Aucune entreprise ne peut se reposer sur ses lauriers

Les entreprises de plus de 250 salariés ont donc du publier leur Index le 1er septembre 2019. Elles devront le faire à nouveau pour le 1er mars 2020 pour montrer leurs efforts en ce sens. 

En cas d’Index inférieur à 75 points, l’entreprise doit mettre en place des mesures correctives pour atteindre ce seuil dans un délai de 3 ans. Ces mesures annuelles ou pluriannuelles, doivent être définies dans le cadre de la négociation obligatoire sur l’égalité professionnelle, ou, à défaut d’accord, par décision unilatérale de l’employeur et après consultation du CSE.

Des pénalités non négligeables pour faire peur

En cas de non publication de son Index, de non mise en œuvre de mesures correctives ou d’inefficience de celles-ci, l’entreprise s’expose à une pénalité financière allant jusqu’à 1% de sa masse salariale annuelle.

Et la ministre du Travail, lors d’une interview au Parisien, n’a pas hésité à citer les récalcitrants : Derichebourg (note de 62) mais aussi Alsace Croisières CroisiEurope (51), Ufifrance Patrimoine (57), Hager electro SAS Obernai (64), Safran Electronics and Defense cockpit solutions (64), Circet (66), Foncia carrières et compétences (66) ou encore Securitas France (66). 

Elle les a également prévenus, de la future action du ministère du travail : « Ces entreprises vont être contactées dans les prochains jours par la Direction générale du Travail qui va leur rappeler la loi », rappelant que « si dans deux ans elles conservent cette mauvaise note, elles s’exposent à une amende qui équivaut à 1 % de la masse salariale chaque année ».

Mise en avant des entreprises bons élèves

A contrario, elle n’a pas hésité pas à féliciter haut et fort les entreprises qui ont réalisé de réels efforts. Ainsi elle a cité Orange, la Maif, Nocibé ou la Française des jeux. Aujourd’hui, elle considère que « la dynamique est lancée ». Elle a souligné que « la note globale moyenne des grandes entreprises est passée de 83 à 87, une augmentation qui peut être considérée comme encourageante. « cela change déjà la vie des femmes mais il y a encore beaucoup à faire », a-t-elle commenté.

Créer son entreprise avec Zéro euro : est-ce possible ?

Devenir chef d’entreprise même avec une idée de génie demandait un capital, des locaux ayant pignon sur rue, un carnet d’adresses bien rempli, des relations dans le monde des affaires. Aujourd’hui tous ces paramètres ont été bouleversés avec non seulement le développement des réseaux mais aussi par le changement de comportement des Français. Par ailleurs, les nouvelles réglementations et les aides pour créer une entreprise ont changé la donne.

Créer sans un sou en poche relevait de la gageure. Aujourd’hui avec la création de la microentreprise ce rêve est devenu réalité. Alors comment faire ?

Quel type de structure peut-on créer avec Zéro euro ?

Sur le plan légal, mise à part la SA, il n’y a plus de capital minimum obligatoire pour créer une société de type Microentreprise, SARL, EURL ou SAS. Quant aux entreprises individuelles aucun apport minimum n’est requis. Cependant, sur le plan des chances de pérennité de l’entreprise il en est tout autrement !

Quelle est la difficulté lorsqu’on démarre sans argent ?

Si la création en elle-même peut ne pas coûter grand-chose, l’entrepreneur doit disposer d’un minimum de fonds. En effet, ceux-ci vont lui permettre d’assurer ses engagements de vie au quotidien et payer les frais engendrés par son activité. De surcroît, la prospection commerciale prend du temps et les clients ne payent souvent que 60 jours après réalisation de la prestation. Le créateur doit donc avoir un minimum de fonds pour démarrer son activité et pour payer les premiers frais (téléphone, déplacements…).

Sans capital de départ, peut-on bénéficier d’aides ou de subventions ?

Dans le cas du dispositif NACRE par exemple, l’organisme décide d’accorder ou non ce prêt en fonction de critères d’éligibilité. Parmi ces critères d’éligibilité, le fait que l’entreprise ait une chance de survie est étudié. Et, pour survivre, l’entreprise doit avoir suffisamment d’argent !

Comment faire quand on a une idée et rien dans le porte-monnaie ?

L’entrepreneur peut s’adresser à des structures spécialisées tels que l’ADIE, à une banque qui pourra solliciter le Prêt à la Création d’Entreprise d’Oséo, ou encore contacter les plateformes d’initiatives locales. Mais, dans la plupart des cas, il faut disposer d’environ un tiers des besoins pour bénéficier de ces financements. L’important est de se faire accompagner. Le financement d’une création relève souvent d’une véritable ingénierie financière où une aide ouvre les portes vers une autre, par effet de levier. Les accompagnateurs savent bien comment faire jouer ces leviers et aboutir à un financement cohérent avec les besoins de l’entreprise.

Peut-on être crédible face aux banquiers si l’on arrive sans capitaux de départ ?

C’est difficile. Si vous n’avez pas d’argent, essayez tout de même de récolter quelques fonds grâce à la love money, l’argent du cercle familial et amical. Même si les sommes sont modestes, elles témoignent de la confiance de l’entourage vis-à-vis de votre projet. Elles représentent ainsi une réelle valeur pour les banquiers.

Y a-t-il des secteurs plus facilement abordables pour créer avec très peu d’argent ?

Les secteurs nécessitant d’importants investissements seront moins accessibles lorsque l’on a très peu d’argent que ceux qui ne nécessitent que du fonds de roulement. En revanche, si l’on souhaite lever des fonds, il vaut mieux avoir des investissements que du simple BFR à financer.

Et le financement participatif ? La solution ?

Le financement participatif (crowdfunding) est un mode de collecte de fonds, réalisé via une plateforme internet, qui propose à un ensemble de contributeurs de choisir collectivement de financer directement et de manière traçable des projets identifiés. Le financement participatif s’intéresse à toutes les sortes de projets : projets culturels, sociaux, environnementaux, innovants, numériques, etc.

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Trois types de contributions proposés aux financeurs :

– un don (donation ou reward crowdfunding).
 une prise de participation aux fonds propres de la société créée par un investissement :
en capital (rémunération sous forme de dividendes ou de plus-values réalisées lors de la cession des titres),
en obligations (rémunération sous forme d’intérêts)
o en royalties (rémunération sous forme de commissions sur le chiffre d’affaires).
 un prêt (crowdlending) :
o le prêt sans intérêt
o le prêt à intérêt sans caution ni garantie.
Pour fonctionner les plateformes prennent une commission sur le montant des sommes récoltées (5 à 12 %).Le choix de recourir à une forme de crowdfunding en particulier sera guidé par la nature de votre projet.

8 mars 2020 : la journée internationale de la femme !

A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Infogreffe dévoile une nouvelle étude exclusive sur les femmes et l’entrepreneuriat en France. Cette analyse des données issues des 436 440 entreprises immatriculées en 2019 permet de constater une légère embellie pour les femmes dans le monde entrepreneurial français, bien que les hommes soient encore majoritaires. 

Des dynamiques positives incontestables

En 2019, près d’un tiers des entrepreneurs seraient ainsi des femmes. 32,5% : c’est la proportion de femmes parmi les porteurs de projets qui se sont lancés dans l’aventure entrepreneuriale en 2019, contre 32% en 2018. Si la création d’entreprise française reste dominée par les hommes – qui représentent encore 67,5% du total des entrepreneurs – la concrétisation de projets portés par des femmes augmente même si l’on considère que cette progression est encore loin d’être satisfaisante.

Dieudonné Mpouki, président d’Infogreffe, souligne qu’ « en cette journée internationale des droits des femmes, il est ainsi intéressant de mesurer les dynamiques positives qui soutiennent le développement de l’entrepreneuriat féminin, avec pour perspective une égalité réelle d’accès à la création d’entreprises. »

Une progression du nombre d’entreprise également à prendre en compte

La création d’entreprise sous sa forme micro-entreprises montre un réel dynamisme sous l’impulsion des différentes mesures prises pour susciter la création d’entreprise. Selon les derniers chiffres du Bilan National des Entreprises des greffiers des tribunaux de commerce, elle a progressé de 11% en 2019, pour un total de 436 440 immatriculations au registre du commerce et des sociétés.

Et pourtant, les entreprises restent encore majoritairement dirigées par des hommes puisque seulement 19,5% des entreprises immatriculées en 2019 sont dirigées par des femmes, contre 61% par des hommes. Un gros progrès reste encore à faire !

Le fait qui est significatif est que les femmes se lancent légèrement plus tardivement dans l’aventure que les hommes, avec une moyenne d’âge fixée à 41,4 ans contre 40,7 ans pour les hommes.  L’âge s’est tout de même rajeuni par rapport à 2018, puisqu’il était respectivement de 41,6 ans et 40,9 ans en 2018. 

Des statuts juridiques privilégiés par les femmes 

La proportion de femmes dirigeantes varie également en fonction des statuts juridiques des entreprises. Ainsi, sur les entreprises créées en 2019, les femmes dirigeantes sont plus représentées au sein des sociétés civiles (41,1%), suivies par les SCI (39,7%), les entreprises individuelles (29,3%), les SARL (24,5%) et enfin les SAS (24,4%). 

Quels secteurs sont leur domaine de prédilection ?

Certains secteurs d’activité apparaissent plus propices au développement de l’entrepreneuriat féminin. Ainsi, les femmes représentent la moitié des dirigeants dans les secteurs des services et de l’action sociale, de l’administration, de la santé ou encore de l’enseignement. A l’inverse, d’autres secteurs demeurent peu attractifs ou accessibles pour les femmes, à l’instar de l’industrie des transports et de la construction, largement dominés par les hommes. C’est pourquoi l’intervention du ministère du travail avec son index et ses mesures et pénalités devrait permettre d’améliorer la donne.

Les différences sectorielles ?

Ces différences sectorielles se doublent enfin de clivages géographiques. Certaines régions enregistrent en effet des pourcentages de femmes entrepreneures supérieurs à la moyenne nationale. C’est notamment le cas de la Bretagne (36,2% de femmes entrepreneures) et de la Normandie (35,4%), qui se placent en tête de liste, suivies par la Corse (34,9), la Nouvelle-Aquitaine (34,8 %), la Bourgogne (33,6 %) et enfin l’Occitanie (33,5 %).

L’Union européenne prépare une loi sur la transparence des salaires

La Commission européenne va présenter d’ici à la fin de l’année une législation sur la transparence des salaires, avec pour objectif de lutter contre les inégalités entre hommes et femmes, qui gagnent en moyenne toujours 16% de moins. « Nous allons présenter des mesures contraignantes (…), après consultation des partenaires sociaux », a ainsi déclaré, jeudi 5 mars, la commissaire européenne chargée de l’égalité, la Maltaise Helena Dalli. « Nous devons d’abord avoir ces mesures sur la transparence des salaires ». 

Quant à la fiabilité des données de l’analyse, Dieudonné Mpouki, président d’Infogreffe, a insisté dessus : « Le remarquable travail des greffiers des tribunaux de commerce au quotidien permet de constituer sur Infogreffe une base de données fiable et régulièrement mise à jour sur l’activité entrepreneuriale en France. Les informations issues du registre du commerce et des sociétés sont en effet une mine de ressources précieuse pour analyser l’évolution de l’activité économique dans les territoires et faciliter l’accès de tous à des données économiques certifiées. »

Sport et entrepreneuriat : des valeurs communes !

Si à première vue, le sport et l’entrepreneuriat n’ont absolument rien en commun, la réalité est qu’ils ont de nombreux points en commun. On pourrait même dire que l’entrepreneur est un sportif de haut niveau dans le travail. Zoom sur ces valeurs partagées entre le sport et l’entrepreneuriat. 

L’esprit d’équipe 

Il représente l’une des valeurs communes surtout si on parle de sport collectif. Il s’agit avant tout de faire avancer l’équipe dans le même sens avec un objectif commun. Peu importe finalement le résultat, il faut avant tout fédérer les équipes pour pouvoir aller loin. Chaque jour, il s’agit de renforcer un peu plus l’implication, synonyme souvent de motivation et de performances. Ce n’est pas parce que votre équipe est plus faible qu’une autre qu’elle ne gagnera pas si elle sait s’unir. De la même manière, vous devrez identifier les points forts et faibles de chaque membre pour les mettre au meilleur poste ce qui contribuera à la performance du groupe

La détermination

Comme tous les sportifs, l’entrepreneur se doit d’être déterminé chaque jour. Il doit sans arrêt pousser ses limites un peu plus loin pour arriver à son objectif. Il s’agit souvent d’un travail de longue haleine et développer son entreprise comme ses performances dans le sport peut prendre du temps et demande une détermination à toute épreuve. Si les résultats mettent parfois du temps à être visibles, il faudra tout de même conserver le rythme et garder le cap. Pour ce faire, il devra sans cesse se dépasser, se fixer des objectifs et sortir de sa zone de confort. Il s’agit souvent d’aller au-delà de ce qu’on pense être capable de faire, ce qui implique le même mental que dans le sport. 

L’organisation et la rigueur

Tout comme un sportif, l’entrepreneur se doit d’être organisé et rigoureux. Il faut planifier son emploi du temps comme un sportif planifie ses entraînements. L’organisation représente une des clés de la réussite car elle vous permet d’avancer étape par étape vers votre objectif comme un marathonien qui planifie ses exercices en fonction de ses performances. Il demeure nécessaire d’être également rigoureux et de s’y tenir quelles que soient les difficultés. Autant la flemme peut arriver rapidement de faire ses exercices sportifs, autant il peut s’avérer être de même pour les tâches que vous avez à accomplir. 

La capacité à apprendre de ses échecs

Dans le sport comme dans l’entrepreneuriat, il existe certes des réussites mais aussi des échecs. L’essentiel est d’apprendre de ceux-ci et de savoir s’adapter en fonction des apprentissages que vous tirez. Si une tactique ne fonctionne pas, il faudra alors en chercher une autre qui vous convienne mieux. Le sport et l’entrepreneuriat ont ce point commun qu’il s’agit de toujours se relever et d’avancer. Ce n’est pas parce que vous perdez une compétition que vous arrêtez un sport. De la même manière, l’entrepreneur subira de nombreux échecs et devra toujours se renouveler pour aller de l’avant. 

La fixation d’objectifs 

Les deux métiers fonctionnent souvent par la fixation d’objectifs qui représentent des paliers intermédiaires. Personne ne commence le sport en se disant qu’il va courir le marathon en 2h et cela fonctionne de la même manière en entrepreneuriat où les objectifs évoluent en fonction de la taille par exemple de l’entreprise ou des ressources dont elle dispose à un instant T. Il s’agit de toujours aller plus loin et de dépasser ses limites au fur et à mesure que l’entreprise devient performante. 

Le respect 

Si on pense immédiatement au respect du règlement intérieur ou des règles de vie ou managériales, il existe également dans le sport des règles du jeu. Le respect va plus loin et c’est le rôle du manager de faire en sorte que chacun les respecte au sein de l’entreprise. Il doit exister aussi une forme de respect entre les collaborateurs autant que dans la relation à la hiérarchie. Si des conflits peuvent apparaître, ils doivent également se faire dans le respect. Chacun doit également respecter le rôle de l’autre dans l’équipe, que ce soit dans le sport ou dans l’entreprise. 

La passion

Un sportif demeure avant tout un passionné. De la même manière l’entrepreneur ressent de la passion pour son entreprise. Il s’agit de s’épanouir avant tout et de se lever tous les matins avec la passion. Si celle-ci se ternit, le sportif arrêtera de faire des efforts et l’entrepreneur de maximiser ses heures de travail. La passion représente dans les deux cas le moteur et il faut apprendre à la cultiver tout au long des années. Si des doutes arrivent voire des blessures, il faut dans les deux cas, booster sa motivation pour avancer. Il ne s’agit pas de s’arrêter à la moindre difficulté rencontrée.

Quelles sont les principales difficultés des chefs d’entreprise ?

Si vous souhaitez entreprendre, il vous faut prendre en compte un certain nombre de difficultés que vous allez rencontrer tout au long de votre vie de chefs d’entreprise. Celles-ci génèrent un stress qu’il vous faudra arriver à contrôler pour ne pas finir en burn out. Voici les principales que vous allez devoir apprendre à gérer. 

La trésorerie, le nerf de la guerre

S’il y a bien une grande difficulté rencontrée par bon nombre de dirigeants du moins les premières années mais qui peut longtemps perdurer c’est bien celle-ci. Difficulté à payer vos fournisseurs ou à vous faire payer par vos clients, atteinte du point mort, investissements… Il est rare de disposer de plusieurs mois de trésorerie et vous devrez donc y faire quotidiennement. Cela implique souvent de négocier avec vos fournisseurs, savoir relancer vos clients, voir avec l’URSSAF, les impôts ou encore la retraite. Bref une difficulté pesante pour une immense majorité de chefs d’entreprise obligée de donner le maximum chaque jour pour que l’entreprise survive. 

Le management, pas si facile

Vous pouvez être un manager né mais la plupart du temps, vous ferez de nombreuses erreurs et vous aurez du mal à motiver parfois vos équipes. Erreur de recrutement, manque de savoir-faire ou encore difficulté à trouver les talents sont autant de difficultés que vous allez devoir apprendre à gérer. Vous devrez sans cesse vous perfectionner et maintenir l’esprit d’équipe. Il ne s’agit pas simplement de donner des missions pour qu’elles soient exécutées comme vous le désireriez. N’hésitez pas à vous former si ce n’est pas le cas ou encore à déléguer les recrutements à des personnes plus compétentes que vous. Les erreurs de casting sont légions et les entrepreneurs se retrouvant aux prud’hommes nombreux. Vérifiez bien que vous faites bien tout dans la légalité. 

Le commercial, surtout dans le dur

Si vous n’avez pas fait de formation commerciale, vous allez vite apprendre que cela sera une des grandes difficultés. Vous serez souvent obligé au début de le faire vous-même. Il s’agit d’une des étapes que de nombreux chefs d’entreprise n’arrivent pas à dépasser. Les premières confrontations aux clients peuvent vous dissuader de continuer l’aventure car ils ne réagiront peut-être pas aussi bien que vous ne l’aviez pensé. Vous devrez apprendre à convaincre et structurer l’ensemble de cette démarche au début. Si ce n’est pas à l’oral, ce sera à l’écrit ou par le biais de campagne marketing par exemple. Dans tous les cas, le client ne vient que rarement tout seul. Des formations existent également dans tous les domaines comme pour le management. 

L’association, à bien gérer

Les conflits d’associés sont pléthores dans l’entrepreneuriat. Il s’agit d’ailleurs d’une des premières causes de mortalité des entreprises. Elles peuvent être dues à une différence de vision ou encore tout simplement à la fatigue. Les nombreux sujets à aborder et les incertitudes devraient vous faire réfléchir profondément aux personnes que vous souhaitez emmener dans l’aventure. N’oubliez pas de bien définir toutes les règles et les rôles dès le début. Vous devez déterminer qui tranche et essayer de poser de bonnes bases de communication. L’ambiance peut vite virer au cauchemar si ce n’est pas le cas et que vous vous retrouviez dans une impasse. 

L’endurance, une qualité essentielle

Vous allez accumuler des heures et des heures alors autant vous préparer mentalement à ce que ce soit le cas. Si vous devrez aller vite, il vous faudra également performer sur le temps. La résistance à la fatigue et au stress est essentielle en entrepreneuriat. Exit les 35 heures et place au 70 heures mal rémunérées au début. On compare souvent l’entrepreneuriat à un marathon plus qu’un sprint. Vous ne devrez jamais perdre votre motivation et vous devrez savoir résister aux différentes pressions. Rien ne se passe jamais comme prévu et vous devez être la colonne porteuse de votre entreprise. 

Les pivots, pas facile

Il est courant pour une entreprise de pivoter et de changer de business model ou de produit. Si cela semble remettre en cause parfois toute votre vision, sachez que c’est normal. Plus vous avancez dans l’aventure et plus le nombre d’éléments vont s’étoffer. Des nouveautés technologiques vont très probablement venir bouleverser votre métier et vous allez devoir vous y adapter. Votre capacité à réaliser des pivots et à ne pas perdre vos équipes en chemin est essentielle. Les pivots représentent des moments cruciaux qui vont fortement vous perturber et pour cause, vous allez vers l’inconnu. 

L’urgence, tout le temps

Il est drôle de constater à quel point les chefs d’entreprise sont confrontés à l’urgence. Celle-ci a lieu un peu tout le temps et c’est normal ! Car si vous n’avez plus rien à faire vous vous trouverez de nouvelles voies pour vous développer. Les imprévus arrivent tout le temps et parfois ne sont pas très agréables : réclamation client, non livraison d’un produit, maladies des salariés, oublis, mauvais clients, … Les urgences peuvent venir de partout donc habituez-vous à savoir la gérer. 

La formation, un enjeu pour tous

Les entreprises ont fortement muté ces dernières années et la formation joue aujourd’hui un rôle primordial dans une transformation devenue nécessaire. Les salariés sont nombreux à désirer monter en compétences notamment afin de prendre en compte les nouvelles technologies et nouveaux usages. Il s’agit de s’adapter à un monde en constante évolution. Le CFP offre des opportunités aussi bien pour les salariés que pour les entreprises qu’il faut saisir pour rester concurrentiel sur le marché. Les salariés développent des savoir-faire qui en font des personnes que l’on cherche à garder et à recruter.

Pourquoi la formation demeure essentielle ?

Une évolution positive pour l’entreprise

Lorsque l’entreprise a recruté des salariés qui s’impliquent, elle a tout intérêt à puiser des ressources humaines dans son environnement proche pour répondre à de nouveaux besoins. Il est évident que compte tenu des évolutions tous azimuts, il demeure indispensable de  former les collaborateurs à de nouvelles compétences afin de rester dans l’air du temps et proposer aux clients les nouveautés ou dernières fonctionnalités. Les salariés acquièrent par la formation de nouvelles aptitudes et deviennent ainsi davantage performants à leur poste. Les nouvelles qualifications ont un impact significatif sur la productivité globale de l’entreprise.

A noter que la formation des salariés leur permet d’acquérir une nouvelle valeur sur le marché du travail, ce qui peut faire peur aux entreprises désireuses de conserver les talents. En réalité, il s’agit davantage d’une forme de récompense. Les salariés restent preneurs et reconnaissants aux entreprises qui les forment. Ils savent qu’aujourd’hui leur devenir peut rapidement être remis en cause par un marché en perpétuel mouvement et des technologies de pointe qui ne cessent de faire évoluer leur métier. Certains aspirent à sortir de la routine et doivent se remettre en question. Se lancer des défis leur  apporte confiance en eux et leur permet de regarder l’avenir sereinement.

Comment fonctionne le CPF ?

Le compte personnel de formation (CPF) a remplacé le droit individuel à la formation (DIF). Depuis le 1er janvier 2019, le CPF est alimenté en euros et non plus en heures. Il est utilisable par tout salarié, tout au long de sa vie active, y compris en période de chômage, pour suivre une formation qualifiante ou certifiante . Les salariés ne perdent cependant pas les heures acquises au titre du DIF. Ils doivent les intégrer au CPF avant le 31 décembre 2020 pour les conserver.

Pour connaître le montant de ses droits sur son compte personnel formation (CPF), il suffit d’utiliser la nouvelle application Moncompteformation, proposée par le ministère du Travail, téléchargeable sur smartphone (avec l’App Store ou Google Play) qui permet de chercher et choisir une formation en ligne parmi les 40 000 formations et les 100 000 sessions de formation . Ce site internet offre la possibilité de poser des questions pratiques grâce à un contact téléphonique. Le CPF donne au collaborateur la possibilité de gérer ses formations et de devenir acteur de sa carrière et non plus dépendant seulement du bon vouloir des dirigeants. Nul ne doute de l’importance de créer son compte personnel de formation .

La disparition de certains métiers à anticiper

Inutile de se voiler la face sur les métiers d’aujourd’hui. Nombreux sont ceux qui vont disparaître sous l’égide de l’ intelligence artificielle et de la transformation digitale . Les entreprises vont devoir évoluer afin de rester performantes. De nouveaux métiers vont apparaître et il demeure indispensable d’anticiper et de considérer les changements à prévoir. Quant aux salariés concernés par la disparition de poste, ils savent pertinemment qu’ils devront, pour ne pas se retrouver dans une impasse, acquérir de nouvelles compétences. Les nombreux articles de presse qui mettent en exergue la recherche de collaborateurs avec des compétences adaptées aux évolutions futures devraient les conduire à vouloir se former afin de rester opérationnels.

La tendance naturelle reste toujours la résistance au changement et il faudra parfois agir avec pédagogie pour leur faire comprendre l’ enjeu de la formation que ce soit pour eux ou pour l’entreprise. Cette dernière fait d’eux la personne que les entreprises cherchent à recruter et leur permet d’acquérir une valeur financière loin d’être à sous-estimer.

L’évolution des outils, le savoir-faire, les technologies, des incontournables

Les métiers évoluent et adoptent de nouveaux outils et savoir-faire. Il n’est plus rare de délaisser certains programmes au profit de nouveau. Les connaissances d’hier deviennent obsolètes. Certains métiers demeurent en constante évolution comme celui de webmaster. Pour rester à la page, il faut donc s’adapter et apprendre à utiliser de nouveaux outils ou à se servir de nouveaux logiciels toujours plus performants.

Il n’est pas rare qu’au bout d’un an, les connaissances soient déjà dépassées. De nombreux métiers vont évoluer et les règles du jeu risquent d’être profondément bouleversées notamment par l’intelligence artificielle dans les années à venir. Se former n’est plus seulement destiné à quelques-uns, mais risque d’affecter quasiment tous les postes, que ce soit parce que l’entreprise va se transformer ou parce qu’il s’agit de prendre en compte les  dernières méthodologies et technologies . Par ailleurs, de nouveaux métiers sont en train de prendre vie comme datascientists. La pénurie de talents risque de se faire ressentir étant donné l’apparition rapide et la rareté des programmes de formation.

Comment gérer les différentes formations des salariés ?

Former ses salariés demande d’anticiper ses besoins sur le court terme, le moyen terme et le long terne. Il s’agit d’abord de faire un bilan de ses compétences actuelles, de sa personnalité et de ses désirs d’évolution. Il faut prendre en compte la capacité des salariés à entreprendre certaines formations, car tout le monde n’est pas fait pour exercer tous les métiers. Vous pouvez donc commencer par faire un bilan de compétences ainsi qu’une  évaluation des motivations à la formation . Il s’agit également d’envisager les futurs développements de l’entreprise afin de lui assurer sa pérennité et de former à des métiers réellement utiles à l’entreprise. Inutile de former à certaines compétences si vous n’en allez pas avoir besoin. S’il est nécessaire de proposer une formation, il ne faut pas oublier concrètement que l’activité de l’entreprise doit continuer et vérifier que le planning de formation s’adapte au rythme de la vie des services et des personnes.