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Gestion : connaître quelques principes fondamentaux

Certaines personnes sont allergiques à la gestion et sont prises de panique devant les différents tableaux de bord. La gestion d’une entreprise, d’une société est une chose délicate, voire complexe mais pas difficile. Il suffit que vous maîtrisiez quelques principes fondamentaux et vous pourrez mener à bien votre gestion !

Nous avons tous des préférences ou des facilités pour effectuer certaines tâches. Mais se contenter de réaliser en priorité ce qui nous est facile est loin d’être l’attitude idéale pour un dirigeant. Il est indispensable de bien cerner les bonnes pratiques.

Limiter vos dépenses 

Si vous êtes en pleine phase de démarrage, évitez de faire des dépenses inutiles. Il faut faire preuve de vigilance durant cette phase. Limitez vos frais fixes. Donc pas de factures excessives ni de rémunération trop élevée. Si cela peut réduire les coûts, exercez d’abord vos activités au sein de votre domicile ou faites du co-working ! N’oubliez pas que les dépenses haussent au fur et à mesure que les bénéfices augmentent.

La solution ? Une meilleure organisation

Les résultats satisfaisants reposent entièrement sur cette bonne organisation. Il faut savoir organiser les diverses tâches : la facturation, les livraisons, les échéanciers. La gestion de temps est précieuse. Si les délais-clients prolongés accroissent les besoins, le retard de la facturation crée des crédits invisibles. Ainsi donc, les tâches essentielles et urgentes passent en priorité, celles qui sont secondaires mais urgentes seront déléguées et les tâches ni importantes, ni urgentes sont à traiter en dernier ou éventuellement à supprimer.

En classant ses tâches quotidiennes de la sorte, on gagne en efficacité et surtout, on s’affranchit de cette désagréable impression d’être sans cesse débordé. Mais il ne faut pas oublier aussi de maîtriser le poste clients-fournisseurs. Pour ce faire, essayez de diversifier vos sources d’approvisionnement et de surveiller la santé financière des fournisseurs stratégiques pour éviter la rupture des stocks.

L’importance de la qualité de produits et des services

L’image que vous reflétez au départ est très importante pour le devenir de votre entreprise. C’est grâce à la qualité de produit que vous offrez à votre client que vous gagnerez sa confiance.

Puisque la réussite dépend de la qualité des produits offerts sur marché, pensez à faire un contrôle régulier, que cela concerne le produit ou le service. Essayez toujours de garder cette confiance car il très difficile de la renouer si vous la rompez.

Les inventaires sont-ils nécessaires ?

Le contrôle de la quantité globale et la quantité de chaque produit est une tâche non négligeable dans une entreprise. Cela doit être fait de façon régulière. Vous pouvez procéder soit à un inventaire physique que l’entreprise a l’obligation d’effectuer au moins une fois par an à la date de clôture du bilan, soit à un inventaire comptable établi de manière permanente grâce au fichier stock. Ces études permettront aux chefs d’entreprises de déterminer le niveau de stocks optimums, les stocks outils et de produire ou de vendre sans gonflement ni risque de rupture.

La gestion d’une entreprise sous-entend un professionnalisme 

De nombreuses personnes ont dû travailler dur avant d’avoir pu créer leurs entreprises. Les autres ont hérité de l’entreprise de leurs parents. Mais quelle que soit la façon dont vous avez obtenu ou créé votre entreprise, vous devez toujours agir en bon professionnel et tout faire pour réduire les fautes de gestion.

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Les 7 erreurs qui tuent la crédibilité du leader


Nombreux sont les managers qui agissent sous le coup de l’impulsion. Entre les excuses trop fréquentes pour être sincères et les contre-attaques, il n’est pas toujours facile d’être un bon leader. Et quand l’image du manager est ternie, c’est sa carrière qui en souffre. Pleins feux sur les attitudes inadéquates qui effacent toute trace du vrai statut de chef d’entreprise et focus sur les 7 erreurs qui tuent la crédibilité du leader.

Une évidence,  les différents confinements, le télétravail ont  transformé le rôle du manager. Les réseaux sociaux, les médias qui sont à l’écoute du moindre incident à mettre en épingle, veillent à ne leur laisser aucun répit.

Un sondage révélateur

Selon les managers interrogés par Cadremploi, les 3 premières compétences d’un « bon » manager sont la capacité à déléguer et à faire confiance (82 %), l’écoute des membres de son équipe (70 %) et la faculté à prendre des décisions (63 %) (questionnaire administré en ligne auprès des bases opt-in Cadremploi du 30 septembre au 2 octobre 2020 – 1935 répondants.)

63 % des managés insatisfaits de leur manager

Selon les managers, 30 % d’entre eux ont l’impression de communiquer davantage avec leur équipe depuis la première période de confinement. Or, 45% des managés ont exactement le vécu contraire. 63% des managés s’estiment insatisfaits de leur relation avec leur N+1, 32 % pointent même un changement négatif chez leurs responsables depuis mars dernier et 30% les jugent incapables d’affronter la situation. Il existe donc un réel problème de communication.

Mais autre chiffre significatif, si les managers se considèrent majoritairement bienveillants (74 %), « responsabilisants » (58 %) et transparents (50 %), les cadres « managés » les perçoivent plutôt comme autoritaires (30 %), directifs (27 %) et négatifs (24 %).

Les cadres demandent à leurs managers de leur fixer des « objectifs clairs » (57 %), de faire preuve de « transparence » (49 %) et d’être à « l’écoute » (44 %). Cependant, les managers eux-mêmes se sont trouvés en difficultés car non épaulés par leur propre hiérarchie (57 %), de leur DRH (56 %) ou de leur direction générale (61 %).

Garder des collaborateur motivés et la cohésion, un gap difficile

Pour près de la moitié des managers (49 %), la première difficulté « dans le contexte actuel » est de « garder les collaborateurs motivés », tandis que quatre managers sur dix trouvent principalement difficile de maintenir la cohésion au sein de leur équipe (42 %).

Pas le temps aujourd’hui… ou jamais ?

« Je suis débordé, je n’ai pas le temps ! ». Cette phrase est de plus en plus utilisée par les managers et au fil du temps, cela devient assez problématique pour l’employeur et l’employé. Ce comportement dénonce une mauvaise gestion du temps.

En effet, si vous dites à vos employés que vous n’avez pas le temps pour eux, c’est que vous ne savez pas gérer votre temps tout simplement. Le mieux est de savoir déléguer, de communiquer et de prendre au moins cinq minutes par jour pour réfléchir et accorder un peu de temps aux autres.

Le leader doit prendre du recul

Parfois, il arrive que le leader se sente débordé et qu’il se mette à suivre la tendance. Un collègue a d’ores et déjà tout préparé pour la réunion et vous demande d’enchaîner. Situation plutôt fade, puisque vous reprenez immédiatement le procédé sans recul. Il est important pour le manager de savoir rester dans le mode de l’action réfléchie. Les collègues s’attendent à voir un leader qui a de l’initiative, qui mène l’équipe et non qu’il suive. Enfin, le leader doit chercher des idées qui lui correspondent.

Il s’excuse trop

C’est impardonnable ! Le leader qui s’excuse à chaque fois qu’il prend la parole voit son image se ternir peu à peu. Le manager, c’est lui qui décide et il est essentiel qu’il évite ce genre de phrases : « Vous permettez que je vous donne les chiffres ? » ou encore « Si vous me donnez l’autorisation, je souhaite vous dire que… ». L’idéal est d’y aller direct et de rester assertif quoi qu’il arrive.

Les expressions à la mode, mais démodées

Le manager doit donner l’exemple, n’est-ce pas ? En adoptant les expressions du moment ou en s’habillant selon les tendances actuelles, ce dernier risque de se rabaisser auprès de ses employés. La plupart du temps, les leaders sont considérés comme des ringards et pour contrer tout cela, ils décident de s’imprégner des codes de la génération Y ou Z. Évitez ce genre de comportements et restez vous-même, affirmez vos goûts et votre allure.

Il se justifie trop

Un dossier à boucler rapidement et l’horloge semble vous rattraper à toute vitesse ? Inutile de se justifier, dites simplement la vérité. Il est très important pour le leader d’assumer. En aucun cas, il ne faudrait qu’il se justifie, car cela pourrait représenter une forme de soumission.

Gardez en tête que la franchise est la meilleure réponse qui soit et n’ayez pas peur de parler sans vous justifier.

Travailler dans un désordre pas possible

Direction le bureau du manager. Livres, pense-bêtes, post-it… il n’y a plus de place de libre ! Même si cet environnement convient au leader, il lui faut penser à ses collaborateurs. Pour eux, toute cette inspiration est synonyme de désordre et peut leur faire croire que la hiérarchie est encore inconnue du manager. Rangez le tout après avoir effectué votre tâche. Par ce faire, vous montrez que vous savez vous affirmer.

Divisé par les émotions

Souvent, il arrive qu’un employé arrive au travail en mode provocation et commence à vous parler sur un ton désagréable. Le rôle du bon leader est d’éviter d’en faire de même. En effet, en filtrant ses émotions, le manager parviendra à acquérir le respect de ses employés. Ils sauront que le chef sait gérer les situations délicates et que c’est un vrai leader. Adoptez les phrases comme « Pardon, tu peux répéter s’il te plait ? » ou encore « Explique-moi comment cette remarque est liée à notre rencontre ».
En travaillant sur ces sept points, le leader parviendra à s’autogouverner et à rester cohérent dans ses agissements, quelle que soit la situation.

Comment captiver l’attention du client lors d’une présentation commerciale ?

L’objectif d’une présentation commerciale est de vendre à court ou long terme. Il s’agit donc d’éveiller la curiosité de votre interlocuteur. Or, c’est un exercice qui demande d’avoir quelques techniques. Lors d’une présentation commerciale, il est vraiment difficile de captiver l’attention d’un client, bien que l’on ait préparé un excellent argumentaire de vente. Vous faites souvent face à ce genre de situation ? Voici quelques conseils qui pourraient vous être utiles.

Utiliser des supports percutants

Lors de la présentation commerciale, il est essentiel pour tous les représentants commerciaux de chaque entreprise d’utiliser des supports. Ces derniers produisent des effets plus captivants et aussi plus vivants pendant la présentation. Les personnes qui assisteront à vos présentations ne sont pas toutes les mêmes. Il faut donc privilégier des supports variés qui correspondent à tout le monde. Par exemple, vous pouvez utiliser des vidéos pour attirer l’attention des personnes qui possèdent une mémoire visuelle. Pour celles qui ont plutôt une mémoire auditive, vous pouvez affiner votre argumentaire oral. Enfin, n’hésitez pas à apporter des échantillons, si c’est possible avec votre produit, pour les personnes qui ont besoin de toucher pour comprendre. Ces outils sont également d’une grande aide pour les commerciaux dans la mesure où ils peuvent ainsi convaincre des clients potentiels. Vous pouvez encore adapter les supports selon vos besoins et selon vos clients.

Bien choisir les informations à mettre en avant

Une fois que vous avez trouvé l’outil qu’il vous faut pour votre présentation, il est important de savoir ce que vous allez y insérer. La plupart des personnes ne sont pas intéressées par les trois quarts de vos contenus, il faut leur apporter des précisions techniques. La solution est de transmettre en premier lieu l’essentiel. Puis, de le mettre en valeur par l’intermédiaire de vos supports. Certes, ces supports ont la capacité de contenir beaucoup d’informations, mais ce n’est pas pour autant que vous allez présenter tout ce que vous avez sur votre support à votre interlocuteur. Vous devez sélectionner ce que vous les informations avec pertinence. Si votre interlocuteur connaît votre produit, il faudra mettre en exergue ses dernières évolutions ou lui proposer un tarif exceptionnel, par exemple.

Bien préparer vos argumentaires pour présentation commerciale réussie

C’est le fondement d’une présentation commerciale réussie. Pour pouvoir convaincre ses interlocuteurs, il est important pour un commercial de bien maîtriser son offre. C’est-à-dire être capable de répondre à toutes les questions de ses interlocuteurs et ceci  à tout moment de l’exposé. Par ailleurs, les réponses ne doivent pas sortir du contexte de son exposition commerciale. Il vous faudra éviter les digressions superflues. Sachez également que la première phrase que vous allez présenter est décisive. La première phrase doit être une affirmation ou une  information qui va intéresser l’interlocuteur et capter son attention.

Savoir convaincre

L’objectif d’une présentation commerciale est de convaincre les interlocuteurs. Une fois que le commercial finit sa prestation, il perçoit tout de suite s’ils sont plutôt intéressés ou pas. Dans les deux cas, vous devrez parfaire votre argumentation. Si vous sentez que les interlocuteurs sont convaincus de ce que vous avez affirmé, vous devez leur présenter les argumentations en partant de l’élément le plus faible à l’élément que vous pensez le plus concluant. Dans le cas où les interlocuteurs sont plutôt hostiles, vous devez les présenter en premier l’argumentaire le plus convaincant vers le moins essentiel.

Ces petits gestes à cultiver pour plus de bonheur au travail

Le bonheur au travail est devenu une préoccupation de nombreux dirigeants. Ils savent que le bien-être de leurs collaborateurs a pour binôme leur implication. De plus, s’ils veulent attirer des talents, rien de plus explicite que celui-ci fasse partie des valeurs de l’entreprise. Les conseils et astuces sont pléthores. Focus de Dynamique sur un sujet qui lui tient à cœur.

Aux Etats-Unis, Arnaud Collery, a lancé en avril la première agence du bonheur, Kikai Mining (le nom japonais signifie littéralement « créer des opportunités dans le chaos »). Son idée ? Créer des « Happy audit » et des « Happy events » pour accélérer le bonheur et la passion au sein des entreprises. Ce projet est basé sur le constat que près de 500 milliards de dollars seraient perdus chaque année aux Etats-Unis à cause du manque de bonheur des salariés.

Un mal-être qui se traduit concrètement par une baisse de la productivité des employés ou leurs départs de la boîte. Certaines études, qui ont établi la corrélation entre le bonheur et la performance, avancent un écart de productivité entre 10 % et 50 % entre les employés heureux au travail et ceux qui ne le sont pas (10% dans les tâches répétitives et peu complexes et jusqu’à 50% s’il s’agit d’un poste demandant de la créativité).

De l’autre côté de l’Atlantique, si les Français cultivent l’art du « bien vivre » aux yeux du monde entier, le « management par le bonheur » est actuellement moins un oxymore qu’une expression à la mode. Le temps de cultiver le bien-être et les gestes de bonheur au travail pour doper les résultats de réussite de l’entreprise est arrivé ! Voici quelques conseils tout simples pour pratiquer les émotions positives au travail et booster la propension au bonheur de vos salariés.

Soyez optimiste

Tel est l’état d’esprit que vous devez adopter pour insuffler à votre entreprise une nouvelle bouffée d’oxygène. En tant que manager, vous êtes amené à cultiver la pensée positive pour votre propre bien-être et celui de vos employés. Simpliste ? Peut-être. Mais c’est à vous d’impulser le mouvement quelle que soit votre humeur du jour. D’encourager vos salariés lorsqu’ils gagnent des parts de marchés, trouvent un slogan attirant, réalisent des bénéfices. Au quotidien, une à deux petites phrases gentilles et vitaminées provoquent un élan de dynamisme et de zèle chez vos employés. Ils se sentent considérés et encouragés à progresser dans leur travail.

Ces petites attentions qui comptent pour plus de bonheur au travail

Bien sûr, on ne vous pousse pas à ce qu’elles soient monnaie courante. Mais votre équipe se sentira choyée le jour où vous leur apporterez des croissants pour commencer la semaine ou des paquets de bonbons pour adoucir leur journée. Une valeur ajoutée qui procure tout en simplicité un peu de bonheur autour de soi. Vous pouvez également tenir un calendrier des anniversaires de vos salariés et faire circuler des cartes à signer avant les dates respectives. Un geste symbolique pour marquer le coup et témoigner d’un esprit d’équipe et de travail positif.

Prendre les repas ensemble

Il y a ceux qui aiment leur petit moment d’indépendance. Ceux qui s’esquivent à l’extérieur pour le déjeuner. Certains profitent de l’espace-temps entre midi et deux pour gérer leurs mails personnels et puis quelques-uns sont en rendez-vous… Si toutes les journées se ressemblent et sont identiques à celles-ci, difficile de créer un esprit d’équipe et de resserrer les rangs autour des valeurs de l’entreprise. Les repas comme les moments de pause dans la journée sont des instants certes anodins en apparence mais capitaux en réalité pour échanger entre les services et décompresser autour de bons mots. Alors investissez dans ces moments-là et essayez de les provoquer !

Donner de l’autonomie à vos employés

En donnant davantage d’autonomie à vos employés, vous développerez chez eux la capacité d’innover. L’excès de normes provoque une incapacité à prendre en charge de nouvelles responsabilités. Une attitude flexible favorise une atmosphère de confiance et de bien-être au sein de l’entreprise. Les membres de votre équipe ressentent moins de pression. Plus libres de leurs mouvements et reconnaissants de l’opportunité et de la confiance que vous leur accordez, ils se sentent valorisés. Vous pouvez choisir de ne pas imposer d’horaires stricts par exemple ou mettre en place, quand cela est possible, des journées de télétravail. En évitant le temps passé dans les transports, la fatigue et le stress de certains de vos employés décroîtront, contrairement à leur bien-être et leur performance professionnelle.

Organiser des points réguliers avec l’équipe

Vous devez prendre régulièrement le pouls de votre équipe pour veiller au risque de burn-out ou de stress accru. En tant que manager, attachez un soin particulier à parler à chacun des membres. Ces échanges vous seront utiles pour percevoir des comportements inhabituels. Certaines entreprises ont mis en place plusieurs outils pour apprécier le moral de leurs salariés. Par exemple celui de pouvoir à tout moment mettre à disposition une écoute sociale. Les employés livrent leur état d’esprit dans un mail anonyme recueilli par des prestataires extérieurs à la boîte. Ce défouloir ne vaut pas la parole directe mais permet aux employés de gérer leur émotion et de faire le point sur ce qu’ils vivent dans le milieu professionnel plutôt que de la garder contenue en eux.

Mettre en place des activités au sein de l’entreprise

Durant la pause-déjeuner, vous pouvez faire appel à des prestataires extérieurs pour organiser des temps de relaxation ou de yoga. Pourquoi ne pas organiser également un match de football entre les co-workers à la sortie du travail ? Vous pouvez également inciter vos salariés à s’engager dans des associations caritatives. Ces quelques exemples soudent l’esprit d’équipe et, en même temps que faire du lien, ils permettent de donner du sens à la vie en entreprise. Vos salariés auront l’impression de vivre plusieurs journées en une seule et ces projets leur donneront de la motivation.

Adopter un meilleur espace de travail

L’espace de travail et la décoration sont des aspects primordiaux quand on travaille dans un bureau toute la semaine durant. Faire peau neuve dans vos locaux, peindre un mur, ajuster des nouveaux tableaux, acheter des plantes, ou des parfums d’intérieurs… sont autant de petites attentions qui, sans avoir d’incidence directe et chiffrée, mettront plus de baume au cœur de vos employés.

6 leçons de Saint-Exupéry pour manager son équipe

Au fur et à mesure de nos lectures, force est de constater que les personnes emplies de sagesse se réfèrent toujours à des écrivains, à des femmes et hommes d’action, à des exemples pour se guider sur leur propre chemin et aussi guider ceux qui les entourent. Écrivain, poète et aviateur, pilote pour la compagnie Latécoère, future Aéropostale, Saint-Exupéry a survécu à de nombreuses épreuves, et beaucoup de théoriciens ont basé leurs essais sur les préceptes et les leçons de Saint-Exupéry. Ce grand homme est en quelque sorte un guide pour les entrepreneurs. “ Pour ce qui est de l’avenir, il ne s’agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. ”

Si le manager est dans une impasse, les écrits de Saint-Exupéry lui seront d’une aide pour trouver les solutions adaptées à ses problèmes. Des leçons qui permettent aux managers d’aller de l’avant. Bien sûr, les leçons de Saint-Exupéry se destinent à tous, et non uniquement au manager. Mais appliqués à la sphère professionnelle, ils deviennent très intéressants.
Voici un bref aperçu des 6 enseignements de Saint-Exupéry pour bien manager une équipe.
Trouver un repère stable

Il est indispensable de trouver des repères stables.

Les points de stabilité vous permettent d’affronter toute épreuve dans votre travail, en somme, tout ce qui bouge trop vite. Vous devez identifier les habitudes et les méthodes de travail afin de les conserver. Vous ne devrez jamais changer plusieurs choses en même temps. Sachez que tout changer à la fois perturbe et crée de la résistance à la nouveauté. Évitez de le faire même si c’est pour moderniser des méthodes. Et retenez le message de Saint-Exupéry : “Les échecs fortifient les forts.”

Se soucier de la finalité des choses

La finalité de votre travail est à la base des efforts communs et crée l’efficacité, fédère les compétences. Une simple considération technique ne suffit pas. Vous devez donner une signification profonde à un projet, puis indiquer la direction, avec des jalons progressifs, ciblés à court ou long terme. Vous pouvez aussi apaiser les esprits. Et découvrez le message de Saint-Exupéry : “Dans la vie il n’y a pas de solutions ; il y a des forces en marche : il faut les créer et les solutions suivent.”

La densité de l’instant présent

Déplacé par l’urgence, l’homme étouffe. Stationnaire, il s’ennuie. Souvent, dans l’entreprise, tout ce qu’on fait doit être très rapide : les solutions, le chiffre d’affaires. Pour Saint-Exupéry, il est important de goûter à l’instant présent et savoir se contenter de ce que l’on a. Le manager doit s’adapter aux faits avant tout. Si nécessaire, il devra prendre du recul. Il lui sera ainsi facile de trouver des solutions à ses problèmes managériaux. Et n’oubliez pas les mots si profonds de Saint-Exupéry : “Il est des victoires qui exaltent, d’autres qui abâtardissent. Des défaites qui assassinent, d’autres qui réveillent.”

La force de l’échange

Saint-Exupéry soutient qu’il est important de faire un échange. Il pense que l’échange est la base de la confiance et qu’il présuppose le respect mutuel. Il est donc important pour un manager de laisser parler ses collaborateurs. De cette manière, ils peuvent exprimer leurs idées et leur vérité. Sinon, ils se sentiront dévalorisés. Et retenez le message de Saint-Exupéry : “Ce que d’autres ont réussi, on peut toujours le réussir.”

Le don ou l’intérêt du bien commun

Selon Saint-Exupéry, l’intérêt personnel ne crée que des envies et des frustrations. Tout manager digne de ce nom ne doit pas user de son nom ou de son pouvoir hiérarchique. Bien au contraire, il doit consacrer son temps à aider, transmettre et à bien motiver les équipes. Il faut savoir donner de son temps pour bâtir les équipes. Et retenez le message de Saint-Exupéry : “Être homme, c’est précisément être responsable. C’est sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde.”

L’aveuglement par les chiffres

Un manager ne doit pas juste se focaliser sur le résultat obtenu. Il ne doit pas non plus penser qu’à posséder, breveter, et en oublier la finalité des choses. Il doit se détacher de l’obsession des résultats, des tableaux, des rapports. Le travail ne se résume ni à la statistique ni au résultat. Il est important de reconnaître quelqu’un par ses efforts et ses intentions.
Et n’oubliez pas ses paroles d’or de Saint-Exupéry : “Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve, une réalité.”

Mettre en place une campagne de crowdfunding attractive

Votre trésorerie ne vous permet pas de vous développer ni de financer des projets qui vous permettraient d’être innovant. Le crowdfunding est une campagne de communication au financement participatif très en vogue. Selon la Banque mondiale, il atteindra 90 milliards de dollars en 2025. On ne compte pas moins d’un million de Français ayant déjà participé à une campagne de crowdfunding attractive. Cette méthode de financement a déjà permis à des milliers de projets d’éclore. Voici quelques conseils pour rendre votre projet le plus attractif possible et le faire sortir du lot.

Comment convaincre vos futurs donateurs ?

La présentation du projet doit être racontée sous forme d’histoire. Préférez des phrases courtes, cherchez des formulations percutantes. Et puis pourquoi pas, une fois le style de votre présentation trouvé, tentez de faire rire vos lecteurs. Un lecteur qui rit est un lecteur conquis. N’hésitez pas à être créatif, inventif, original et singulier non seulement dans la présentation, mais aussi dans les récompenses que vous proposez aux donateurs. Offrez-leur des cadeaux inédits pour les remercier (sans vous ruiner) ! Goodies, gadgets, rencontres, dédicaces, livres, participation plus active au projet. Plus vous donnez, plus vous recevez. Soyez généreux et peut-être que cela les incitera à donner davantage ou à parler de vous dans l’entourage des donateurs ! Répondez aux questions des donateurs ou des futurs donateurs. Prenez en compte leurs avis et montrez-leur au fur et à mesure ce que leur remarque a apporté à votre création. 

Bien chiffrer le montant de votre demande

Pour être le plus attractif possible, il convient d’être vigilant à certains détails dès le début.  Surtout quand cela concerne les donateurs. Il ne faut pas être trop gourmand quant à la somme demandée. Cela pourrait faire fuir vos futurs investisseurs. Les projets qui suscitent le plus de donations n’excèdent pas les 10 000 dollars. De même, certains secteurs séduisent plus que d’autres les internautes.

Dynamiser vos supports visuels. 

Pour éviter que l’internaute ne s’ennuie visuellement, multipliez les supports. Intégrez aussi bien des infographies, illustrations, graphiques, vidéos, photos. Celui qui aura l’impact le plus viral reste le contenu vidéo dont le format ne doit pas dépasser 2 minutes 30. Variez les lieux, tout en ayant du sens avec votre projet. Utilisez des polices originales qui apportent un petit plus à vos bandeaux informatifs. Ajoutez des effets de style pour dynamiser votre vidéo. Ce support est sans doute celui qui vous demandera le plus gros travail, ne négligez pas le matériel utilisé au départ cela vous évitera des heures de montage en plus et vous garantira une image et un son de meilleure qualité. Intégrez à votre vidéo des interactions, sous-titres, musiques : audiojungle.net.

Pour le montage, faites des sessions courtes, sans interviews sèches qui deviennent vite ennuyeuses. Choisissez des supports comme Viméo ou Youtube, pour lesquels vous obtiendrez un meilleur résultat. Puis, intégrez votre vidéo à la plateforme de crowdfunding. Au même titre que pour la vidéo, vous devez soigner tous les supports visuels que vous ajoutez. Soyez attentif à leur pertinence, s’il s’agit de photos, veillez à ce qu’elles ne soient pas pixellisées, qu’elles respectent les formats demandés, qu’elles soient bien cadrées et en haute définition. Pensez que la première photo que vous mettrez correspondra à votre avatar sur les réseaux sociaux, on doit reconnaître votre projet au premier coup d’œil.

Booster l’intérêt des internautes. 

Informez les internautes sur l’avancée du contenu et sur d’éventuels changements, donnez de nouvelles informations croustillantes comme les prochaines innovations à venir. Cela permet à la fois d’attiser la curiosité de nouveaux contributeurs, mais aussi de tenir en haleine ceux qui ont participé au projet, tout au long de la campagne. Ce point est capital. Il peut arriver que la somme versée décolle très vite et stagne pendant un long moment. C’est pourquoi, il faut tout faire pour booster continuellement l’intérêt des internautes, qui ne l’oublions pas, ont sous les yeux des milliers de projets différents et innovants. Un manque d’attention de votre part et tout votre projet peut tomber à l’eau en quelques secondes.

Communiquer tous azimuts

Faites de la publicité dans les médias et tentez de toucher les blogueurs influents qui relayeront votre réalisation. Autre possibilité : organisez des mini-événements autour de votre projet sans que cela ne soit ruineux ou profitez des soirées auxquelles vous participez pour promouvoir et séduire le plus de donateurs possible. Vous pouvez profiter de ces occasions pour distribuer quelques prospectus qui résument votre concept et préciser le lien de la plateforme de financement participatif à laquelle vous appartenez. Proposer des prototypes en version limitée, vous distribuerez lors de ces soirées, peut être attractif et vous aider à faire le buzz.

Les réseaux sociaux comme relais d’information de votre projet. 

Pour gagner en audience, montrez-vous là où se trouvent le plus de donateurs potentiels. Twitter et Facebook représentent les deux réseaux les plus fréquentés sur lesquels il est important de miser pour relayer votre projet et séduire le plus de futurs donateurs possible. Surtout quand on sait que 50 % de l’accès sur Ulule se fait par Facebook. La vidéo de présentation de votre produit peut être relayée sur Youtube, vous jaugerez ainsi assez rapidement le succès ou non de votre projet. Google+, lui détient un autre avantage : référencer les actualités concernant votre projet dans son moteur de recherche, vous bénéficierez ainsi d’une meilleure audience concernant votre campagne de crowfunding. N’hésitez pas à utiliser d’autres réseaux comme Instagram, LinkedIn …

Les conseils pour savoir décrypter un bilan comptable

Lorsque vous avez créé votre entreprise, vous cerniez vos capacités pour mettre en œuvre votre projet. Des compétences vous n’en manquez pas, du talent non plus. Pourtant, vous avez un talon d’Achille.  Décrypter le bilan comptable de votre entreprise est loin de faire partie de vos capacités. Alors, voici quelques conseils de Dynamique.

Qu’est-ce qu’un bilan comptable ?

Le bilan comptable est un document comptable synthétisant ce qui est possédé par une société. Ce document est divisé en deux parties. La partie active, c’est-à-dire les immobilisés et l’actif circulant, et la partie passive qui recense les capitaux propres et les dettes.

Le bilan comptable fait partie des états financiers d’une entreprise au même titre que le compte de résultat et les annexes. En d’autres termes, il est le reflet de la situation patrimoniale de votre entreprise. Le bilan comptable est souvent comparé à une photographie du patrimoine d’une entreprise à la clôture d’un exercice. Il est essentiellement utilisé par les tiers (banques, clients, actionnaires, administrations…) afin de connaître la valeur de la société et de s’assurer de sa solvabilité. Il sert également à déterminer le bénéfice imposable. De plus, il peut être exploité par les dirigeants afin de piloter des analyses internes. Pour garantir la transparence et la véracité des bilans, les chiffres du bilan doivent généralement être certifiés par un commissaire aux comptes.

Lisez un bilan de compte comme un comptable confirmé

Pour décrypter un bilan comptable, il est donc obligatoire de connaître et de maîtriser les deux parties qui le composent (active et passive). Une fois que vous savez distinguer un actif d’un passif, ce document n’aura plus aucun secret pour vous.

Zoom sur la partie active

Dans la partie active, il y a ce que l’on appelle l’immobilisé. L’immobilisé rassemble tous les biens qui restent durablement dans l’entreprise. Certains d’entre eux sont amortissables et subissent annuellement une perte de valeur irréversible comme les véhicules, les matériels informatiques. D’autres sont non amortissables comme les terrains ou les titres. Ces pertes de valeurs diminuent la valeur du patrimoine de votre entreprise.

La partie active comprend aussi l’actif circulant. Il s’agit des biens qui ne restent pas durablement dans l’entreprise et/ou qui sont transformés. Entre autres, il s’agit des stocks, des encours, des créances, des valeurs mobilières de placement et les disponibilités.

Zoom sur la partie passive

La partie passive d’un bilan comptable comprend les capitaux propres de l’entreprise. Ce sont les ressources à long terme dont dispose l’entreprise, dont le capital, les réserves et le résultat de l’exercice. Ils correspondent également aux montants que l’entreprise doit aux associés puisqu’ils appartiennent à ces derniers. On y lit aussi les dettes ou les capitaux étrangers comme les emprunts bancaires à long ou à court-terme. On entend par dettes à court terme, les dettes aux fournisseurs, les dettes liées aux impôts et aux taxes ou encore les dettes liées au coût du travail (salaires, charges sociales…).

Il est nécessaire de comparer les bilans obtenus. En effet, c’est l’unique moyen d’évaluer la stabilité de l’entreprise. L’équilibre à long terme est obtenu à partir de la comparaison de l’actif à long terme et du passif à long terme. Le calcul du fonds de roulement permettra d’évaluer la stabilité financière de l’entreprise. Il correspond à la partie des capitaux permanents qui reste disponible pour financer l’exploitation et ce, même après les investissements en immobilisations. 

L’équilibre à court terme, par contre, est acquis par la comparaison de l’actif à court terme et du passif à court terme ce qui permet de donner une bonne idée de la liquidité de l’entreprise. L’évaluation du besoin en fonds de roulement, c’est-à-dire les sommes d’argent que l’entreprise va dépenser dès sa création et qu’elle ne pourra récupérer qu’à partir du moment où ses clients honoreront les premières factures, est l’indicateur de référence.

Répandre la bonne humeur au bureau. Souriez !

Sourire n’est pas votre sport favori mais si vous saviez qu’en souriant vous mettez 17 muscles à contribution vous commenceriez immédiatement. Sourire booste notre système universitaire, abaisse notre pression sanguine et libère des endorphines, ces petites hormones du bonheur qui font que vous vous sentez optimiste. Le simple fait de sourire vous fera développer un optimiste qui sera un antidote à la dépression et à l’anxiété et de plus sachez que le bonne humeur au bureau possède un pouvoir de séduction hors pair.

Alors demain au bureau, sortez de la morosité ambiante !

Le bureau est souvent considéré comme un endroit très formel, dans lequel les salariés devraient garder un certain comportement et suivre des règles.
Ceux-ci subissent des pressions et il leur est parfois difficile d’afficher une mine radieuse. En toutes circonstances, la bonne humeur demeure indispensable. Avoir des salariés qui débordent de joie peut être un grand avantage pour une organisation. Si la majeure partie de vos salariés affichent une mine défaite, voici quelques conseils pour répandre la bonne humeur au bureau.

Pourquoi la bonne humeur au travail ?

Notre joie et notre bonne humeur au bureau peuvent impacter positivement notre travail, notre comportement et notre santé. Notre bonne humeur influence notre performance.
Plus les salariés sont de bonne humeur, plus ils sont productifs. Attention à ce qu’elle ne se transforme pas en déconcentration néanmoins !

La joie donne également une santé 6 fois meilleure aux employés, ce qui réduirait le taux d’absentéisme au sein de l’entreprise. C’est pour cela qu’il est important de faire en sorte que les employés trouvent toujours de la joie durant une journée de travail. Les employés travailleront mieux et auront une grande capacité à pouvoir profiter de toutes les opportunités.

De la bonne humeur pour plus de résultats 

Au sein d’une entreprise, nombreuses sont les manières pour donner de la joie aux employés.

Soyez optimiste

Il faut être quelqu’un de positif. Cela commence par le dirigeant, une fois qu’il se montre optimiste, le reste suit. Le patron doit engager des discussions constructives avec ses employés. Il est important de faire quelque chose que l’on aime pour être heureux. Chacun doit aussi cultiver l’optimisme en soi par la lecture de livres ou en commençant la journée avec des pensées positives. Il faut s’accorder du temps pour ce qui fait plaisir ou penser à des moments agréables. Aujourd’hui, tout nous conduit à être pessimiste et si nous nous laissons emporter par le flot de mauvaises nouvelles, nous allons céder la place à la dépression. Il faut donc chercher les nouvelles positives : le festival de Cannes, les réussites d’entreprise, les idées innovantes et échanger avec les collaborateurs sur ces sujets-là plutôt que d’apporter une réflexion encore plus négative à la réalité.

Optimiser les pauses

Le temps passé entre amis et entre collègues de bureau est très important. Il crée de la complicité entre les salariés. Pendant la pause-café ou les pauses cigarettes, il est important de les faire rire. Cette attitude compte parce qu’elle débloque les tensions émotionnelles et physiques que chacun subit. De cette manière, les salariés supportent moins de pression et deviennent beaucoup plus productifs. Attention de bien choisir vos plaisanteries pour ne pas vous rendre ridicule.

Donner plus de liberté

Les employés seront beaucoup plus heureux si on leur laisse un peu de liberté de temps en temps. Vous devez les laisser s’organiser eux-mêmes. Plus ils auront de joie et de liberté dans leur travail, plus ils auront de chances de faire quelque chose de nouveau. Il est juste important de bien choisir le domaine pour lequel vous leur laissez de la liberté. Par exemple des conditions de travail flexibles. Leur donner l’opportunité de faire du télétravail ou de choisir leurs horaires. Plus ils sont heureux, plus ils communiqueront leur humeur à leurs collègues de travail et aussi à leurs clients.

Pourquoi les petites entreprises ont-elles besoin de sécurité ?

Lorsque nous pensons à la sécurité d’Internet, ce sont souvent les énormes et épouvantables piratages de grandes entreprises qui nous viennent à l’esprit. Nous pensons au chaos causé par le piratage et le vol de données d’une grande corporation ou d’une organisation gouvernementale. Mais qu’en est-il des petites entreprises ? Sont-elles aussi piratées ?

Les cyberattaques : une réalité pour 1 PME sur 10, et près d’un tiers se sentent menacées

11% des PME ont déjà été la cible d’une cyberattaque, selon l’enquête réalisée par l’Ifop pour Stoïk. Ainsi, le risque qui pèse sur les plus petites d’entre elles est loin d’être négligeable. La crainte d’une cyberattaque est partagée par 30% des entreprises interrogées. La peur est très élevée chez celles qui ont déjà été ciblées. Plus de la moitié craint d’être à nouveau la victime d’une cyberattaque (58%). L’enjeu de la cybersécurité concerne environ 67% des PME.

Bien sûr, et beaucoup plus souvent que l’on pourrait le croire. La BBC a rapporté que les chefs de petites entreprises possédaient une vision irréaliste de leur niveau de risque de sécurité informatique. Un point que Faronics a pu vérifier dans son Enquête sur les médias sociaux. Les 1 900 chefs d’entreprises interrogés avaient généralement une bonne idée de ce qu’était le piratage et de ses dangers potentiels. Cependant, ils ne pensaient pas être affectés. Ils pensaient que le piratage ne touchait que les grandes sociétés. En fait, davantage d’attaques (40 %) ciblent et les petites et moyennes entreprises que les grandes sociétés (28 %).

Pourquoi pirater une petite entreprise ?

Les petites entreprises pensent souvent être immunisées contre le piratage. Elles ne possèdent, selon elles, rien qui vaille la peine d’être volé. Mais pour les pirates, des données sont des données et plus il est facile de se les procurer, mieux c’est. Comme n’importe qui d’autre, ils ne feront pas plus d’efforts que le minimum requis pour obtenir ce qu’ils souhaitent. Les petites entreprises tendent à être bien moins compétentes pour se protéger que les grandes sociétés. Ainsi elles sont en fait des proies faciles.

Les pirates savent que les chefs de petites entreprises sont souvent des personnes très occupées, et qu’essayer de maintenir les bénéfices de leurs activités au quotidien constitue leur principale préoccupation. En effet, les chefs de petites entreprises sont souvent tellement préoccupés par l’exécution quotidienne de leurs activités qu’ils ont du mal à trouver du temps pour examiner les problèmes pouvant affecter leur entreprise sur le long terme.

Arrêter les pirates

Les petites entreprises sont à la fois plus vulnérables au piratage, et souffrent davantage de ses effets. Lorsqu’une petite entreprise perd une quantité importante de données d’un seul coup, elle peut avoir du mal à survivre. 80 % des petites entreprises subissant un piratage considérable finissent par faire faillite. Pour arrêter les pirates, les petites entreprises doivent prendre la sécurité d’Internet au sérieux. Le piratage ne va pas simplement disparaître.

Il est donc indispensable que les petites entreprises voient la sécurité d’Internet comme une part vitale de leur plan d’entreprise, et non pas comme un élément facultatif qu’ils mettront en place lorsqu’ils en auront le temps. Outre des logiciels de sécurité, ils doivent œuvrer à la mise en place d’un plan de continuité des opérations et un plan pour protéger leurs Données afin de pouvoir survivre si le pire devait se produire.

L’assurance ?

Plus d’un tiers des PME ont souscrit une assurance contre les risques cybers, ou l’envisagent. 32% des PME ont déjà souscrit une assurance cyber, et 5% en ont l’intention. L’intérêt pour l’assurance cyber est particulièrement lié au sentiment d’insécurité des entreprises : 47% des entreprises qui se sentent vulnérables ont déjà souscrit ou compte le faire.

Cependant, parmi les entreprises qui ont l’intention de souscrire une assurance, 39% déclarent que cela reste à l’état de projet,  puisqu’elles ne l’envisagent pas avant un an. Cependant, le coût reste un barrage trop important pour 19% des entreprises non-couvertes, un frein bien plus décisif chez celles qui ont déjà subi une cyberattaque (42%) et celles qui se sentent vulnérables (40%).

Jeune entrepreneur ? Les clés pour que votre business paraisse plus grand

Vous avez décidé de vous lancer dans l’entrepreneuriat en entendant les histoires de grands entrepreneurs ayant commencé à assembler leurs produits dans leur chambre d’étudiant ou chez leurs parents. Vous vous êtes dit moi aussi je vais tenter ma chance. Mais maintenant, l’enthousiasme du début est retombé et vous avez de sérieux problèmes pour attirer des clients et être crédible. C’est vrai, recevoir un client potentiel dans le garage de vos parents, entre la tondeuse et la machine à laver, n’est pas vraiment l’idéal pour paraître sérieux. Rien n’est perdu pour autant, il existe quelques astuces et clés pour que votre business paraisse plus grand et pour donner l’impression que votre petite entreprise est un business déjà florissant et de taille importante. 

En 2023, il y a 2,5 millions d’auto entrepreneurs. Un chiffre révélateur des besoins actuels et des nouvelles tendances. Pour répondre rapidement aux clients, rien de mieux qu’une petite structure. Pourtant, il est être crédible et de développer une certaine notoriété est la grande préoccupation des dirigeants de ces entreprises.

Il est indispensable de réussir à projeter une image sérieuse de votre entreprise, même si elle est extrêmement récente et que vous n’avez pas de locaux adaptés. Ne soyez pas trop sûr de vous. Votre produit, service, concept, est essentiel mais l’image que vous renvoyez est aussi déterminante. C’est d’autant plus important si vous êtes seul, que vous n’avez pas d’employé et que vous travaillez chez vos parents.

Le site internet

Le premier réflexe d’un client potentiel quand il pense à la possibilité de faire affaires avec une entreprise de petite taille est de regarder son site internet. Il est indispensable d’être présent sur le net et de proposer un site d’aspect professionnel.

Un site internet performant est un moyen (relativement) peu onéreux pour avoir l’air plus grand que vous ne l’êtes réellement. Cet outil marketing augmentera votre visibilité et votre crédibilité. Vous devez d’abord acquérir le nom de domaine (très proche ou identique au nom de votre entreprise). C’est une faible dépense qu’il est indispensable de faire. La construction de votre plateforme ne vous coûtera pas très cher si vous utilisez par exemple une plateforme open source comme WordPress ou Joomla. Il faudra peut-être passer par un web designer à un moment ou à un autre mais vous pourrez mettre à jour tout seul votre plateforme par la suite.

L’adresse mail

Il est quasi impératif d’avoir une adresse mail professionnelle qui reprenne le nom de votre entreprise ou de votre domaine. Une adresse Yahoo, Outlook, ou encore Gmail vous fera perdre en crédibilité. Si vous êtes une jeune entreprise, pas besoin de passer en plus pour un amateur sur ce point. De plus, même si vous êtes tout seul, vous pouvez vous créer une adresse à votre nom et d’autres adresses pour les différents services (vente, service client…)

Le logo

Un logo cohérent et attractif est indispensable et pas besoin d’avoir une créativité débordante pour cela. Vous pouvez utiliser le nom de votre entreprise au lieu de créer un logo totalement abstrait par exemple. Cela vous aidera encore une fois à avoir une image plus professionnelle. Dans tous les cas, il est important qu’il ait un aspect professionnel, et soit pertinent par rapport au nom de votre marque et au marché sur lequel vous êtes situé.

Les cartes professionnelles

Pas besoin de dépenser une fortune pour avoir des cartes de visite d’aspect professionnel. Elles peuvent être imprimées pour un coût assez réduit. Le plus simple est de passer par un professionnel sur internet, si vous utilisez votre propre imprimante, aussi performante soit-elle, il y a des chances pour que le résultat ne soit pas à la hauteur de vos attentes. Sur internet les entreprise vous offrent de nombreux modèles que vous n’avez plus qu’à compléter.

Si vous mettez en place ces quelques astuces, si ce n’est pas déjà fait, vous pourrez facilement gagner en crédibilité et attirer des clients qui auraient pu se montrer réfractaires.