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Les couleurs de votre marque au service de votre business

Face aux multiples sollicitations visuelles dont nous faisons tous l’objet, certaines marques impactent durablement les esprits quand d’autres glissent dans l’anonymat. Comment garantir un maximum de visibilité à votre logotype, tout en l’inscrivant dans vos objectifs de communication ?

L’expression visuelle passe par les couleurs

Selon Gérard Caron, fondateur de l’agence Carré Noir, la couleur est la première forme d’expression visuelle que nous percevons, devant la forme, le mot et enfin le nombre. Vecteur de sensations et d’émotions, la couleur influe en tout premier lieu sur la perception subjective de votre identité par vos interlocuteurs. Votre choix peut avoir un effet important sur la visibilité et la crédibilité de votre entreprise… C’est une décision durable que vous ne devez pas laisser au hasard. 

Le choix des couleurs de son logotype

Prenez le temps d’en discuter avec l’équipe créative en charge de la conception de votre logotype. C’est un choix qui doit être à la fois rationnel et personnel. N’hésitez pas à lui communiquer vos préférences ainsi qu’à vous informer sur les codes de votre secteur. Les couleurs ont des connotations subjectives, à la fois archétypales (le rouge induit le dynamisme, le orange, optimisme et convivialité, le bleu rassure…) et culturelles (le bleu évoque aussi la technicité), en fonction des modes, des tendances, des secteurs d’activité, des pays (le blanc est couleur de deuil en Inde).

Ainsi, dans le domaine du packaging ces connotations peuvent fortement influencer les ventes. Un antibiotique rouge sera perçu comme plus efficace, alors qu’un médicament contre les allergies sera vert, donc apaisant. Le noir, synonyme de luxe dans de nombreux secteurs, est peu employé dans l’alimentaire.

Observez votre secteur et votre concurrence

Un mapping des principaux acteurs de votre secteur vous aidera à vous en faire une vision globale. Quelles couleurs utilisent vos principaux concurrents ? Comment vous positionnez-vous sur votre marché ? Vous imposez-vous en leader, challenger ou en rupture avec les codes du marché ? À moins d’adopter une stratégie de rupture, il s’agit de vous différencier afin de créer de l’impact et d’affirmer votre identité, tout en restant lisible sur votre marché pour vos prospects et clients.

Les couleurs de votre logotype participent à la personnalité de votre marque. Vérifiez la cohérence de vos choix avec vos valeurs et l’ADN de votre marque. Votre identité est-elle plutôt chaleureuse ou puissante ? Féminine ou masculine ? Traditionnelle ou audacieuse ? Essayez également d’éviter les effets de mode pour vous inscrire dans la durée.

Le bon logotype : une ou deux couleurs, maximum

Le rouge et le orange, couleurs chaudes, ont un impact puissant, mais peuvent aussi être efficaces en couleurs secondaires pour dynamiser un logotype. Si vous êtes dans les nouvelles technologies, le orange s’inscrira en rupture avec les tendances générales du web, mais en couleur secondaire il peut amener de la chaleur et de la convivialité.

Quand on démarre une activité, l’identité visuelle peut paraître secondaire. Pourtant c’est la première chose que vos interlocuteurs identifieront sur votre carte de visite ou sur votre site : ne la négligez pas.

Les conditions d’une plus grande productivité au bureau

Est-ce que vos salariés semblent apprécier le travail dans votre entreprise ? Si vous êtes obligé d’avouer que ce n’est pas le cas, quelques changements pourraient vous permettre de changer la donne. Le faible entrain que montrent vos salariés pour venir travailler n’est pas une fatalité et n’est pas inéluctable. Il est tout à fait possible de développer un environnement de travail favorable, où tout le monde vient travailler avec « plaisir ». 

Fournir à chacun de l’espace

L’idéal reste de donner à chacun un espace de travail clairement défini et séparé. Si rien n’empêche d’avoir un Open Space, il faut considérer que vos salariés ont parfois besoin de s’isoler. Ces derniers ne sont efficaces que dans des conditions bien particulières. Les employés n’ont pas envie que tout le monde puisse observer et entendre tout ce qu’ils font. Il reste toujours désagréable qu’on puisse voir votre écran même quand vous travaillez. Le but n’est cependant évidemment pas l’isolement. La situation idéale est celle où chacun possède sont « intimité » avec un espace de travail séparé. Cependant, elle dispose de multiples occasions pour être en contact et échanger avec les autres membres de l’équipe. Les études semblent désormais confirmer que l’Open Space peut nuire à la productivité s’il est mal utlisé. Celui-ci crée même dans de nombreux cas un mal-être chez les salariés. 

Faire preuve de souplesse sur le planning

Les employés ont évidemment tous une vie en dehors du travail et même au bureau ils continuent d’y penser. Inévitablement les vies personnelle et professionnelle vont parfois entrer en collision. Certains ont eu tendance à vouloir créer des frontières imperméables et à obliger chacun à vouloir suivre un rythme bien défini.

Pourtant, faire preuve de souplesse sur l’aménagement de l’emploi du temps, lorsque quelqu’un doit rentrer à la maison plus tôt, ou rester à la maison pour s’occuper d’un enfant malade, peut largement contribuer à son bien-être dans l’entreprise. Être flexible permet parfois de moduler efficacement son emploi du temps et peut restreindre la fatigue. Vouloir absolument et impérativement qu’un salarié vienne à une heure précise et finisse à une heure qui l’est tout autant n’est pas forcément une bonne solution pour la productivité. Surtout si vous n’y êtes pas obligé. Si vous faites preuve de trop de rigidité, vos employés seront également tentés d’aller voir ailleurs pour trouver un environnement plus souple. 

Créer un esprit d’équipe

La première étape pour créer un esprit d’équipe et de camaraderie dans une entreprise est de ne surtout pas opposer et mettre en concurrence vos salariés. Faites au contraire en sorte de ne pas les comparer et d’apprécier la contribution de chacun. Dans cette optique, les primes collectives sont à privilégier par rapport à celles liées aux performances individuelles. De la sorte, les meilleurs éléments seront plus enclins à partager leurs connaissances et leurs techniques de travail avec ceux qui arrivent ou qui connaissent plus de difficultés. Encouragez la socialisation entre les employés au bureau. En outre, si cela vous est possible, organisez des événements en dehors du travail pour renforcer les liens. 

Ne pas abuser des réunions

Les réunions doivent être suffisamment rares pour êtes utiles, mais surtout pour être appréciées. Certes, il faut favoriser les liens au sein de vos équipes, mais ce n’est pas une raison pour mettre constamment ensemble vos salariés par des réunions inutiles. Elles doivent être préparées en amont, faire l’objet d’un suivi et être efficaces. Personne n’est perdre du temps dans une réunion donc autant faire en sorte qu’elles se déroulent vite et bien.

Ce ne sont que quelques éléments qui contribuent au bien-être au travail et donc à la productivité mais qui demeure facile à mettre en place. Il existe une multitude d’autres facteurs à prendre en compte pour créer un environnement vraiment favorable.

Assurance crédit en entreprise : peut-on renégocier son contrat ?

L’assurance crédit est une disposition préventive contre divers risques de trésorerie en entreprise. Il s’agit notamment des risques d’impayés de la part de vos clients. Cependant, il arrive que les termes de l’assurance crédit d’entreprise ne répondent plus aux besoins ou aux réalités de votre société. Dans ce cas, renégocier son contrat est une alternative que vous devez sérieusement envisager. Toutefois, comment pouvez-vous réussir cette démarche ?

Vous pouvez renégocier une assurance crédit en fonction de la date du contrat

La date du contrat d’assurance crédit en entreprise est le premier critère pour lequel la renégociation est envisageable. En effet, un contrat d’assurance crédit d’entreprise est souvent établi pour une durée d’une, deux ou trois années. Selon cette durée, vous pouvez engager des négociations directement auprès de votre assureur ou engager un courtier pour le faire à votre place.

Soulignons que la durée du contrat d’assurance oblige votre assureur à prendre en charge l’ensemble des créances impayées de votre entreprise en cas de défaillance de vos clients. De plus, au cours de cette période, votre entreprise bénéficie de nombreux services tels que le tri et la surveillance de vos prospects. En dehors de ces services, la compagnie d’assurance pourrait vous faire profiter d’un service de recouvrement de vos créances. Toutefois, son rôle premier est d’assurer l’indemnisation de tous vos impayés.

Si votre contrat d’assurance est à quelques mois de sa date d’anniversaire, vous pouvez envisager de changer de compagnie d’assurance lorsque les termes ne vous correspondent pas. Il existe de ce fait des outils performants de nos jours qui permettent d’obtenir juste en quelques clics une étude comparative détaillée des solutions d’assurance présentes sur le marché.

Par ailleurs, il se pourrait que votre contrat d’assurance crédit ait été mis en place durant une période où les prix ou la sinistralité des entreprises étaient très hauts. Dans ce cas, renégocier votre contrat vous fera réaliser d’importantes économies. Notez que les compagnies d’assurance crédit ont développé des méthodes d’analyse et de prévision des risques pour élaborer des modèles très pertinents. Grâce à ces outils, il est désormais possible de mieux anticiper les impayés en faisant un profilage des clients de l’entreprise.

En quoi consiste le délai de dénonciation ?

Un contrat d’assurance crédit en entreprise contient plusieurs clauses qui régissent les relations entre l’assureur et l’entreprise. Parmi ces clauses, on retrouve celle relative à la rupture du contrat. Il s’agit de textes qui régulent clairement les conditions à respecter en cas de résiliation du contrat avec l’assureur. Le délai de dénonciation apparaît parmi ces conditions. Il correspond à une période de préavis que vous donnez à votre assureur.

En fonction de l’entreprise, le délai de dénonciation peut être d’un, deux ou trois mois avant la date d’échéance du contrat. Notez qu’il est impératif de vite envoyer votre lettre de dénonciation à l’assureur. Vous pouvez le faire à titre conservatoire pour informer la compagnie d’assurance à l’avance de votre désir de résilier votre contrat.

La lettre de dénonciation doit être envoyée en courrier recommandé à la compagnie d’assurance. Grâce à ce courrier, vous pouvez soit changer de compagnie d’assurance à la date d’échéance de votre contrat, ou continuer avec votre assureur lorsque ses conditions vous conviennent.

Comparez les offres de plusieurs assurances crédit

Lorsque vous envisagez une renégociation de votre contrat d’assurance crédit, comparer les offres disponibles sur le marché est important. Cela vous permet d’avoir une idée plus ou moins précise des réalités du marché en ce qui concerne ce type de couverture. Avoir ces informations vous permet de bien argumenter vos propos lorsque vous souhaitez avoir des termes plus avantageux que votre contrat d’assurance actuel. De même, si vous envisagez de changer d’assureur, le comparatif des offres disponibles sur le marché vous permet de choisir une offre qui vous convient parfaitement.

La comparaison des offres peut se faire de diverses façons. Nous vous recommandons de vous servir d’un comparateur d’assurance crédit pour entreprise en ligne. Il s’agit d’outils pratiques qui présentent plusieurs offres à la fois, juste en quelques clics. Vous pourrez alors identifier les solutions correspondant parfaitement à votre goût et aux besoins de l’entreprise. Pour comparer les offres proposées par les compagnies d’assurance, il faut s’intéresser :

  • au taux de prime,
  • à la franchise de seuil de déclaration,
  • au montant des « non dénommés »,
  • à la limite de décaissement,
  • aux quotités de garantie.

Il faut aussi faire attention aux frais annexes et vous assurer qu’ils ne pèsent pas sur votre budget. Les compagnies d’assurance exigent souvent ces frais pour couvrir les enquêtes sur les nouveaux clients, les démarches de règlement de contentieux et la surveillance pour les agréments en cours.

Demandez à votre assureur vos différentes statistiques

Afin de renégocier votre contrat d’assurance, demandez à votre assureur de vous faire le point sur vos statistiques. Le professionnel devra alors vous communiquer :

  • les Primes Payées (PP),
  • le Solde Technique de la Police (STP),
  • les Sinistres Payés (SP),
  • les Sinistres en Suspens (SS).

Une fois que vous avez ces différentes données, vous pourrez faire une analyse approfondie sur la pertinence de l’offre de l’assureur.

Peut-on négocier seulement quelques points du contrat ?

Le contrat d’assurance crédit peut être négocié uniquement en ce qui concerne certains points qui vous intéressent. Il peut s’agir de la durée du contrat, les exclusions, les délais, les avenants bonus-malus, les franchises, les pourcentages de couverture, les taux, etc.

Lorsque vous souhaitez négocier quelques points de votre contrat d’assurance crédit d’entreprise, veillez à prendre de l’avance. Cela consiste par exemple à vous renseigner auprès de l’entreprise sur ses prochains tarifs même avant le début d’une nouvelle année. Si vous connaissez ces prix, vous devez les comparer à la moyenne estimée par les autres assurances du marché. Vous pourrez alors mieux vous projeter dans le temps en faisant par exemple des prévisions financières utiles pour une bonne organisation de l’entreprise.

Notez que les compagnies d’assurance n’acceptent pas toujours de communiquer leurs prochains tarifs avant le début d’une nouvelle année. Dans ce cas, elles peuvent délibérément retarder votre procédure et faire passer la durée du préavis au cours de laquelle vous avez une influence. Il est possible de mettre cette situation à profit dans vos négociations pour obtenir une meilleure offre.

Certains arguments vous permettent d’avoir de meilleures options pour votre contrat d’assurance crédit après négociations. Vous pouvez par exemple mettre en avant le fait que le nombre de vos demandes a diminué ou que votre entreprise prévoit des actions pour augmenter ses ventes.

Quelles méthodes pour booster sa productivité ?

Pour gagner en productivité, il faut devenir le maître de son temps et ne pas laisser le temps devenir votre maître. Il faut donc posséder une organisation sans faille et déjà bien étudier votre comportement et en lister les points positifs comme les points négatifs. Ainsi, mettre de l’ordre dans votre bureau qu’il soit physique ou virtuel, avoir à votre portée de mains ou de clics les outils nécessaires aux tâches et avoir une stratégie à laquelle vous ne dérogez pas. Quelles méthodes pour booster sa productivité ?

Tout entrepreneur rêve d’une productivité sans faille afin de réaliser tous ses objectifs. Les méthodes qui améliorent la productivité sont nombreuses. Notamment la technique Pomodoro, la technique du gros caillou, la technique du Post it et bien d’autres. Quelle sera la vôtre ?

Pomodoro

Francesco Cirillo a imaginé le mode opératoire suivant. Vous choisissez une tâche à accomplir. Vous décidez d’y travailler pendant 25 minutes sans interruption et, surtout, sans aucune distraction : pas de mails, pas de téléphone. Votre concentration doit être maximum. Programmez une minuterie à 25 minutes qui vous empêchera d’être distrait par le temps. Au terme de ces 25 minutes, notez sur un cahier la tâche que vous avez accomplie. Vous aurez bien mérité 5 minutes de relaxation pendant lesquelles vous êtes libre de votre activité : sortir, naviguer sur internet, etc. Vous aurez accompli un cycle complet appelé Pomodoro. Puis, vous recommencez ce cycle 3 fois. Lorsque vous aurez accompli 4 cycles, vous pourrez vous accorder une pause de 20 minutes.

Le gros caillou

Un entrepreneur croule sous les tâches plus ou moins urgentes. Il reste difficile de choisir quelles sont les priorités. En effet, les tâches sont remplies de manière aléatoire et dans un délai pas toujours optimal. Imaginez un bocal. Vous le remplissez de gros cailloux et après, vous comblez les vides avec de plus petits cailloux et du sable. Le bocal est mieux rempli que si vous aviez commencé par les petits cailloux. Maintenant, si on vous dit que ce bocal, c’est votre emploi du temps, que les gros cailloux sont vos priorités et que les petits cailloux sont les tâches les moins urgentes. Vous comprenez qu’en priorisant vos tâches et en commençant par les plus importantes, vous aurez plus de place dans votre emploi du temps pour les moins urgentes et vous serez plus efficace !

La question jackpot

Combien de fois vous est-il arrivé d’être coupé dans votre tâche parce qu’une personne souhaite vous parler ? Ce collaborateur se présente et parle longuement avant d’arriver à la question qu’il souhaite vous poser. Pendant son discours, vous avez perdu un temps précieux, votre concentration et votre productivité. Un moyen de couper court au long discours qui précède la question tout en restant dans une démarche d’aide est la technique de la question jackpot. Revoyons la scène : votre collaborateur se présente et, tout sourire, vous lui dites : « En quoi je peux t’aider ? ». Votre interlocuteur est poussé à formuler clairement et brièvement sa demande. Vous lui répondez aimablement et vous gagnez un temps précieux !

Le Post It

Vous commencez la journée avec une longue liste de choses à faire. En fin de journée, le bilan ne vous satisfait pas, il reste plein de choses encore à faire sur votre liste. Pas terrible comme motivation. Et si vous preniez un Post It, que vous réfléchissiez à ce qui est prioritaire et que vous notiez 4 ou 5 tâches à accomplir dans la journée ? Vous avez réduit le nombre de tâches et vous avez augmenté votre motivation et vos chances de réaliser toutes les tâches du post-it. Je parie que votre fin de journée sera plus satisfaisante mais, surtout, moins stressante.

Le cahier de notes

Combien de fois il nous arrive d’interrompre nos activités par une pensée qui nous traverse l’esprit : penser à appeler Mr X, idée sur une activité, tâche oubliée qui revient à l’esprit. Une fois cette pensée passée, elle a du mal à repartir et elle perturbe le travail en cours. Pour s’en débarrasser au plus vite sans la jeter aux oubliettes, pourquoi pas avoir un cahier de notes à portée de main et y noter toutes ces pensées et se remettre au travail l’esprit libre !

Supprimez toutes les réunions inutiles

Vous avez des managers, vous avez des collaborateurs qui pourront animer un certain nombre de réunions et vous en faire le feedback. Donc inutile d’assister à toutes les réunions. Avant la réunion, vous pouvez relire l’ordre du jour et y ajouter quelques points si vous le jugez nécessaire. 

Chaque entrepreneur est différent et chacun choisira la méthode la plus adaptée dans un souci d’efficacité maximum.

Comment collecter des avis clients positifs

Quel que soit le site que vous ouvrez, vous voyez apparaître un espace commentaire où chacun est libre de s’exprimer dans la limite du respect, bien sûr. ! Il y a encore peu de temps pour récolter les avis des clients, on utilisait le biais des enquêtes ou des sondages fort complexes à mettre en place et surtout coûteuses. Mais internet a ouvert le champ des possibilités et permet en quelques clics à tout un chacun de donner son avis.

Internet représente aujourd’hui le moyen de communication et d’information le plus rapide, ayant la plus grande portée et la plus grande accessibilité. Si internet demeure pour une marque un moyen très performant de faire connaître ses produits et de trouver des clients, il reste aussi un moyen pour ces derniers de donner leurs avis.

Pour ne pas se faire surprendre en attendant passivement les aléas d’avis clients naturels ou parfois même « organisés » par la concurrence, les marques adoptent une attitude proactive et tentent de se construire une bonne réputation en collectant et en encourageant des avis positifs laissés par des clients satisfaits.

De nombreuses plateformes entièrement dédiées à l’enregistrement du feedback des utilisateurs ont vu le jour. Un feedback positif peut convaincre un client indécis, et encore plus lorsque l’avis a été laissé par une connaissance. Une bonne collecte d’avis positifs doit cependant se faire dans les règles.

Faire du feedback une étape logique de l’expérience client

Pour commencer, il demeure crucial de faire en sorte que les utilisateurs de votre site perçoivent la procédure de feedback comme une étape tout à fait normale. S’ils achètent un produit, par exemple, assurez-vous de leur envoyer un email après la réception du produit pour leur demander de faire un retour sur différents points.

Pour y arriver, communiquez !

N’hésitez pas à expliquer sur votre site qu’on leur demandera un avis à la suite de leur commande. Ne manquez pas non plus de leur expliquer que leur avis permettra à l’entreprise de grandir, profitera à d’autres utilisateurs, ou que leurs suggestions d’amélioration sont les bienvenues pour une éventuelle implémentation.

Certaines entreprises encouragent les utilisateurs à laisser des avis en leur promettant des récompenses ou réalisent des tombolas.
Bien que ce soit une stratégie qui fonctionne, elle n’est pas toujours fiable, étant donné que certains utilisateurs enjoliveront toujours leurs opinions, en croyant avoir plus de chances de gagner ainsi. Par ailleurs, l’encadrement légal des concours et tirages au sort n’est pas toujours compatible avec une demande d’avis.

Simplifier autant que possible la procédure pour laisser les avis

Il ne suffit pas de suggérer aux clients de laisser des avis, surtout en France où l’internaute a plus tendance dans ce domaine à faire des efforts pour critiquer plutôt que pour féliciter. Faites en sorte que laisser un avis ne prenne que très peu de temps.

Si l’utilisateur est déjà inscrit sur votre site, ne lui demandez pas d’aller créer un compte sur une autre plateforme. Au besoin, intégrez-la dans votre site. Si vos utilisateurs sont déjà connectés à Facebook, X ou d’autres plateformes sociales, servez-vous de ces connexions pour valider leurs avis, plutôt que de leur demander de remplir d’autres formulaires.

Les réseaux sociaux, un atout !

Avec les réseaux sociaux, vous pouvez aussi rendre ludique le fait de laisser un avis. Par exemple avec Twitter, vous pouvez demander aux clients ayant un compte Twitter de simplement RT (re-tweeter) votre dernière promo ou un tweet présentant vos produits ou de tweeter ce qu’ils ont le plus apprécié chez vous avec le hashtag de votre marque.

Le formulaire d’avis à peaufiner

En ce qui concerne la présentation du formulaire d’avis, vous aurez plusieurs choix. Idéalement, il faudrait présenter le formulaire sous forme d’un bref questionnaire avec quelques questions à choix multiples et une section libre où ils pourront laisser des commentaires moins structurés.

Assurez-vous de choisir des points concrets tels que la rapidité de réponse du service client ou de la livraison des produits ou services ou encore sur la qualité de la prestation. Ensuite, pensez à choisir un format universellement compris par tous. Vous pouvez opter pour des points de 1 à 5 pour les différents critères composant votre service.
Ainsi, tous les utilisateurs, quelles que soient leurs origines, pourront comprendre le système de notation et s’en servir efficacement.

Laissez les impressions suggestives pour la section de commentaires libres. Mais, ce n’est pas parce qu’il s’agit de la dimension subjective de ces avis qu’il faudra la négliger. Ils peuvent vous permettre de déceler certains aspects de votre service qui irritent légèrement les utilisateurs sans les frustrer.

Parfois, répondre à ces avis ne vous demandera que très peu de travail. Et lorsque ces clients reviendront sur votre site et qu’ils réaliseront que vous êtes attentif à leurs préoccupations : vous ferez grandir leur sentiment d’engagement !

Organiser une veille sur Internet reste primordial.

Que ce soit sur les réseaux sociaux ou sur le web « classique », il existe pléthore d’applications permettant d’être prévenu dès qu’une mention de vos produits ou de votre marque se trouve sur Internet.

Rien ne vous empêche de collecter les avis positifs en les mentionnant sur votre plateforme avec un lien vers la source. Vous pouvez répondre directement en remerciant les auteurs d’avis positifs, en montrant votre écoute aux avis mitigés et en répondant aux avis négatifs.

Un avis négatif ? Allez au contact du client !

Une fois que vous avez reçu un avis, il faut prendre le temps d’y répondre, ou tout au moins de remercier le client d’avoir laissé son avis, même s’il n’est pas flatteur. Et dans les cas où le commentaire est vraiment révélateur d’une mauvaise expérience client, il faut être encore plus dynamique.

Pour chaque mauvais commentaire, vous devrez prendre le temps d’y répondre et comprendre, du point de vue du client, les problèmes qui ont été à la source de ce mauvais commentaire. Au besoin, il faudra proposer un remboursement total ou partiel ou d’autres alternatives.

Une fois le client satisfait, encouragez-le à compléter son commentaire

Et surtout pas à le supprimer – pour refléter son changement d’opinion. Non seulement vous aurez réussi à vous éviter une mauvaise réputation, mais en plus, vous pourrez vous faire un client fidèle sur le
long-terme. Sans oublier que ces clients deviendront de fervents ambassadeurs de votre image de marque auprès de leurs proches.

Plusieurs études montrent que les clients insatisfaits qui ont été pris en compte par la société avec laquelle ils avaient des problèmes, en deviennent les plus fervents supporters.

Il est même arrivé que quelques marques fassent exprès de très légèrement maltraiter leurs clients, afin ensuite de pouvoir s’excuser, les soigner, et d’en faire des fidèles et véritables ambassadeurs de la marque.

Comment faire pour réussir une vente ?

On l’entend souvent dire, le premier commercial de l’entreprise, c’est le dirigeant et pour cause ! Il aura dû convaincre plus d’une personne pour mener à bien son projet et aura rencontré des interlocuteurs aux personnalités parfois difficiles à cerner. Le client, c’est le défi de l’entrepreneur car il est la source de la vie de l’entreprise.

Réussir une vente est souvent le défi qu’affrontent les entrepreneurs car si l’entreprise lorsqu’elle se développe peut développer une équipe commerciale, au début de l’aventure entrepreneuriale, c’est l’entrepreneur qui joue le rôle de commercial entre autres. Il lui faut donc acquérir un savoir-faire et des méthodes qui lui permettront de vendre.

Vendre vos produits, n’est-ce pas là votre objectif principal en tant que créateur d’entreprise ? Cet art reste, tout de même, difficile à maîtriser pour certains. Quelques conseils permettent pourtant de réussir avec efficacité ses ventes. Une bonne impression, une préparation de taille ou encore le traitement des objections constituent des étapes indispensables pour une vente réussie. Les détails.

Faire bonne impression

Lors du premier contact, il est essentiel de faire bonne impression à votre prospect afin de lui inspirer confiance et de préparer le terrain d’une bonne négociation. Vous ne pouvez pas vous permettre d’aller à la rencontre d’un client en ayant négligé votre apparence. Assurez-vous qu’elle soit soignée et porteuse de charisme, si vous souhaitez représenter au mieux votre entreprise. Présentez-vous, brièvement, ainsi que votre société pour établir une mise en contexte et rappelez le but de cette négociation. Pensez également, lors de la poignée de main, à la faire de façon assez ferme afin de prouver votre assurance et votre envie de conclure cet échange. Le but étant de susciter un sentiment de sympathie chez le client et de le préserver sur le long terme.

Se préparer à l’avance pour réussir une vente

Inutile de se présenter à cet entretien si vous n’avez pas, au préalable, travaillé votre présentation. Vous devez connaître les avantages de votre produit ainsi que ses potentiels inconvénients dans les moindres détails pour répondre à toutes remarques ou éventuelles objections. Au-delà de votre présentation personnelle, étudiez avec soin les besoins de votre client : Quels sont les avantages qu’il recherche ? Quelles sont ses possibilités de développement ?

De quelle manière votre produit peut-il correspondre à ses attentes ? En se présentant à lui armé de ces précieuses informations, vous augmenterez, considérablement, vos chances de conclure la vente. Le client aura l’impression d’être sincèrement écouté et que ses besoins sont bien pris en considération, ce qui lui inspirera davantage confiance ainsi que l’envie de collaborer à vos côtés. Si vous insistez sur les avantages de votre produit/service sans qu’il ne corresponde réellement aux attentes du client, vous risquez de perdre son attention. Ne proposez pas un produit/service standard mais, plutôt, une offre qui permette de personnaliser la relation avec le client. De cette manière, il se sentira privilégié et aura moins tendance à vouloir tenter une autre expérience auprès de la concurrence.

Présenter son produit/service à l’aide de la méthode SONCAS

Pour présenter votre produit de manière efficace, pensez à employer la méthode SONCAS (Sécurité, Orgueil, Nouveauté, Confort, Argent et Sympathie). Cette technique de vente permet de mieux analyser les besoins du client et de pouvoir proposer, en conséquence, une offre pertinente, qui saura le convaincre :

  • Sécurité. Le client a besoin, avant toute chose, d’être rassuré.
  • Orgueil. Le client pense surtout à l’image qu’il va renvoyer grâce à votre produit/service et donc à sa notoriété.
  • Nouveauté. Le client s’intéresse aux innovations ou les améliorations qui promettent un changement conséquent.
  • Confort. Le client cherche, en premier lieu, une sensation de bien-être.
  • Argent. Le client recherche un moyen d’économiser ou de gagner plus d’argent.
  • Sympathie. C’est le relationnel et l’émotion qui poussent le client à apprécier votre produit/service.

Utilisez l’empathie pour comprendre au mieux les besoins du client à travers cette méthode. À titre d’exemple, si vous souhaitez vendre des sièges ergonomiques, certains clients considéreront en premier l’avantage du confort qui permettra de favoriser la santé. À l’inverse, d’autres préfèreront le fait que vos fauteuils soient une nouveauté sur le marché. Comprendre les motivations d’achat de vos clients vous permettra, rapidement, de savoir sur quel pied danser lors de l’entrevue.

Traiter les objections

Ne pensez pas qu’une bonne présentation est dénuée d’objections de la part du client, qui cherche à être sûr de son choix d’achat.
Bien au contraire ! Une objection ne représente pas une agression personnelle ou une remise en cause de vos compétences mais bien un questionnement par rapport à votre produit/service. Si l’objection n’est pas vraiment fondée, elle s’avère assez simple à traiter. Elle représente surtout le besoin d’un client d’être rassuré. Si celle-ci est fondée et que votre produit/service a du mal à la combler, insistez sur les avantages de ce dernier, qui permettent de compenser ce défaut. Tentez également d’analyser les signes non-verbaux qui peuvent exprimer une réticence de la part du prospect tels que des bras fermés ou le regard fuyant. Face à ce type de gestuelle, il faudra, une nouvelle fois, argumenter de manière à préserver le lien de confiance établi.

Conclure une vente de manière positive

Une fois que vous aurez joué toutes vos cartes, il sera nécessaire de passer à la conclusion de la vente. Dès la signature, tachez de remercier le client et de lui montrer votre volonté de renouveler ce type de contrat. À l’inverse, si les deux parties n’ont pas su trouver de terrain d’entente, inutile d’afficher une mine dépitée et de montrer votre agacement. Une vente qui ne se conclut pas dans l’immédiat a tout de même ses chances de se réaliser lors d’un futur entretien, au cours duquel vous apporterez de nouvelles offres plus susceptibles de convaincre votre interlocuteur. Pensez toujours à voir sur le long terme, sans laisser vos émotions prendre le dessus !

Les avantages et inconvénients de la franchise

La franchise apparaît comme la solution idéale pour se lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat. Au vu du taux de réussite, elle semble attrayante mais il ne faut pas se leurrer et prendre en considération aussi bien les avantages que les inconvénients autant pour le franchiseur que le franchisé. Zoom sur ces deux aspects, les avantages et inconvénients de la franchise, qui pourront vous aider à faire votre choix…

Les plus pour le franchisé

L’image de marque avant tout

La franchise a comme premier avantage de vous proposer une marque qui s’avère le plus souvent connue et reconnue. Elle peut attirer naturellement de la clientèle notamment car celle-ci connaît le concept de l’entreprise, l’a déjà testé et l’apprécie. Vous bénéficiez ainsi du capital sympathie de la marque et de son attrait naturel sur une clientèle de base. Il est cependant possible que l’enseigne soit nouvelle et que cela ne soit pas encore le cas. A noter tout de même que plus la notoriété de la marque génère souvent un droit d’entrée élevé.

La prise en charge nationale de la communication

Si vous n’êtes pas un expert de la communication ou du marketing, le franchiseur prend en charge très largement la communication. S’il peut laisser une certaine sphère d’autonomie au franchisé, c’est bien la marque qui va s’en charger au niveau national. Qu’on parle de logo, de charte graphique ou d’architecture de locaux, … Tout vous est, en général, fourni sur un plateau d’argent.

Un gain de temps précieux pour les entrepreneurs pour qui la communication relève d’un plan secondaire et qui préfère exploiter et s’assurer de l’activité plutôt que de se charger de cet élément surtout au début de l’aventure. Le réseau possède souvent l’obligation contractuelle de réaliser de manière régulière des opérations de communication d’envergure nationale pour asseoir la notoriété de la marque (mais demande parfois un pourcentage pour cela). A noter que le franchisé peut se charger de la communication sur sa zone de chalandise même si, en général, le franchiseur lui fournit les éléments graphiques.

L’acquisition d’un savoir-faire éprouvé

Il se révèle le plus gros attrait de la franchise. En effet, il diminue fortement le risque d’échec même s’il n’est pas nul, rappelons-le. La transmission de l’expertise du franchiseur, la formation initiale et continue représentent les avantages par excellence de la franchise. Vous n’avez donc pas à justifier d’une maîtrise professionnelle du domaine ou secteur puisque celle-ci vous existe au travers de l’accompagnement avant, pendant et après l’ouverture de votre commerce. Vous bénéficiez d’un savoir-faire régulièrement mis à jour ainsi que de recettes qui marchent ailleurs, une obligation légale et souvent contractuelle de vous aider dans votre gestion au quotidien est souvent présente.

Attention tout de même car des concepts qui marchent dans un endroit peuvent très bien ne pas fonctionner dans un autre. C’est la raison pour laquelle vous devrez vous assurer bien au-delà des chiffres donnés par le franchiseur que le concept s’adapte bien à la zone géographique dans laquelle vous comptez vous lancer. Les compétences s’étendent surtout à la gestion commerciale qui vous fait gagner du temps et réduit fortement le risque financier.

Être indépendant mais pas seul

Vous êtes juridiquement indépendant et, à ce titre, vous pouvez vous considérer comme un vrai entrepreneur ou chef d’entreprise. Vous bénéficiez de toute l’autonomie nécessaire pour gérer votre activité mais vous n’êtes pas seul. Si votre franchise est bien structurée, elle vous fait profiter de l’ensemble du réseau, des retours d’expérience ainsi que de contacts privilégiés avec les autres franchisés. Vous pouvez ainsi échanger avec vos pairs que ce soit sur les bonnes pratiques comme les mauvaises.

Vous pouvez tirer parti également des synergies économiques comme le groupement d’achat (à vérifier pour chaque franchise) ainsi que de l’ensemble des innovations du franchiseur et des autres franchisés. Les économies d’échelle peuvent s’avérer d’ailleurs non négligeables dans la performance d’un concept. L’isolement du chef d’entreprise est donc beaucoup moins ressenti notamment au travers des différents événements organisés par le franchiseur. Notamment les conventions annuelles, les réunions régionales ou départementales, les rendez-vous avec les animateurs ou encore des séances de formation.

Le levier d’investissement

Il est clair qu’un concept qui a déjà fonctionné par ailleurs vous permet de lever plus facilement de l’argent auprès de votre banque qu’un concept nouveau. Les chiffres que vous montrez à votre banquier sont non seulement fiables mais ont un précédent qui peut permettre de le rassurer. Vous n’êtes pas sur des projections liées à des intuitions, des tendances mais bien sur un concept qui a été éprouvé concrètement, ce qui peut vous permettre de réunir les fonds plus facilement qu’en partant ex-nihilo. Le meilleur taux de succès devrait également rassurer les institutions financières et vous n’avez pas à prouver que le concept peut marcher.

Des inconvénients à ne pas oublier

Des sommes à payer

La franchise n’a pas que des avantages, bien entendu. Déjà vous devez souvent payer un droit d’entrée ou « redevances forfaitaires initiales ». Une fois celles-ci acquittées, il est très souvent prévu que vous deviez reverser des royalties (pourcentage indexé au chiffre d’affaires) pour la licence de marque, l’assistance, la formation, la recherche et l’innovation ou encore la communication. Une partie de vos bénéfices passent donc dans le paiement du fonctionnement de la franchise même si le groupement d’achats parfois demeure avantageux pour vous. A noter que l’investissement de départ demeure souvent plus conséquent pour la franchise.

Une indépendance relative

Si vous êtes responsable de votre point de vente, par exemple, vous êtes dans l’obligation d’appliquer la stratégie commerciale du franchiseur. Or, les innovations ou encore les changements de comportement des consommateurs peuvent faire en sorte que le savoir-faire initial devienne désuet et que la stratégie devienne inadaptée. Vous devrez alors respecter le concept mais également les obligations en termes de standards de qualité par exemple. Vous devez vous conformer à l’évolution du concept et des idées, quand bien même vous n’approuvez pas forcément la direction. En fait, vous n’êtes pas donc libre de tout choisir et vous devez parfois suivre à contrecœur des décisions qui ne sont pas les vôtres. Votre capacité à pivoter est également réduite puisque vous n’êtes pas maître du concept. De la même manière, la possibilité de mettre en œuvre des initiatives de communication reste encadrée et peut sembler contraignante.

Des fournisseurs souvent imposés

A chaque avantage son inconvénient mais le franchiseur peut vous imposer de faire appel notamment à des fournisseurs référencés sur lesquels vous pouvez n’avoir aucune maîtrise sur les achats et donc devoir passer par une centrale pour les réaliser. Ceci peut poser des problèmes parfois en termes de réactivité ou, par exemple, si la qualité ne vous convient pas. Si vous pouvez, bien entendu, en faire part à votre franchiseur, vous n’en avez pas la maîtrise.

Un développement réduit

Votre franchise s’applique généralement sur une zone géographique délimitée et si la plupart des franchiseurs admettent que si vous avez réussi votre première franchise vous puissiez en développer une autre, cela ne reste nullement une obligation pour eux. Vous pouvez ainsi devoir attendre la validation de votre franchiseur pour vous étendre ou ouvrir une deuxième franchise. Ceci est notamment vrai quand vous sentez que vous montez en puissance sur une première franchise sans toutefois avoir atteint les chiffres vous permettant d’en ouvrir une deuxième et que vous devez attendre la validation de votre franchiseur pour la lancer.

La franchise, un certain enfermement

On en parle peu souvent mais commencer en Franchise implique d’y rester pour des raisons tout bonnement matérielles même en cas de désaccord. Si vous souhaitez par exemple la quitter avant l’arrivée à terme du contrat, vous devrez probablement changer tous vos visuels, votre architecture,… Bref tout ce qui peut faire penser que vous êtes encore relié à la marque. Le signataire initial des baux est également à regarder. En effet, il se peut que vous soyez totalement dépendant de votre franchiseur et que vous ne puissiez réellement le quitter sans devoir vous déplacer de zone géographique ou d’emplacement. Les durées des baux ne sont par exemple pas alignées avec la durée de votre contrat de franchise, Vous ne pourrez pas reprendre le bail.

Comment remonter le moral de vos équipes

Les périodes d’incertitudes que nous vivons conduisent plus d’un collaborateur à être influencé par le stress ambiant. Zoom sur quelques bonnes pratiques pour remonter le moral de vos équipes. 

Commencez par apporter l’optimisme avec vous

Si vous ne devez pas non plus afficher une désinvolture délétère, notamment si un de vos salariés rencontre des difficultés personnelles, vous êtes le premier porteur de lumière. Votre attitude et votre optimisme se transmettent à vos équipes. Ne vous laissez pas affecter par la morosité ambiante et dégager le maximum possible une aura positive.

N’oubliez pas de garder à l’esprit que vous pouvez radicalement changer la journée d’une personne par votre positivisme et votre dynamisme. Sans être dans l’excès, il vous faut transmettre cette énergie à vos collaborateurs. Même si vous êtes vous-même stressé car dans l’incertitude, il vous faudra tenir bon pour montrer l’exemple à vos équipes qui vous scrutent. En effet, elles cherchent aussi à se rassurer dans ce monde où les mauvaises nouvelles tombent sur le chômage. Si vous montrez des signes de stress, vous risquez à l’inverse de le communiquer à vos collaborateurs et devenir la goutte qui fait déborder le vase. Un sourire chaleureux joue un rôle fondamental donc faites-en usage ! 

Mettez en avant de bonnes nouvelles

Dans ce cynisme morose, autant en profiter pour mettre en avant les bonnes nouvelles si vous en avez. Vous ne devez pas non plus cacher les mauvaises mais une journée de répit avec les bonnes nouvelles du jour ne fait jamais de mal. N’hésitez pas à faire partager les heureux évènements par vos salariés s’ils en ont. Il s’agit de montrer que tout n’est pas morose et que la vie possède ses bons côtés. Que vous ayez pris de l’avance, signé un contrat important, … Peu importe finalement la nouvelle du moment qu’elle donne du positif. N’en inventez pas, elles doivent être facilement vérifiables et pouvoir donner du baume au cœur au maximum à l’entreprise.

Félicitez votre équipe

Que vos équipes travaillent à distance ou aient le courage de se rendre sur leur lieu de travail, vous pouvez leur montrer que vous avez conscience qu’il s’agit d’un stress supplémentaire pour elles. Félicitez-les et montrez-leur que leur implication vous touche personnellement. Si vous le pouvez, faites en sorte que la prime supplémentaire défiscalisée soit accordée à chaque salarié qui se rend sur son poste de travail. Ils prennent le risque chaque jour d’être contaminés et de transmettre les différents virus qui circulent à leurs proches, cela vaut bien quelques compliments tout de même !

Accordez-leur un maximum de liberté

Dans cette période particulièrement morose, passer outre quelques comportements comme des pauses à outrance ou ne pas être derrière le dos des employés représentent une bonne pratique. Plus vous leur laisserez de liberté, la capacité à s’organiser, plus ils auront tendance à se sentir bien au travail et à en prendre la responsabilité. S’ils ont la possibilité de toucher à quelque chose de nouveau, faites-leur faire s’ils en ont envie afin de casser la routine. Vous devez bien entendu choisir le domaine dans lequel vous accordez plus de liberté comme les horaires par exemple. 

Prenez des nouvelles et soyez à l’écoute

S’il y a bien un moment pour prendre du temps pour écouter chacun, c’est bien en ce moment. Certains rencontrent des difficultés toutes particulières et vous pouvez parfois les aider. N’hésitez pas à prendre du temps et à prendre un café avec ceux qui le désirent par exemple. Demandez-leur des nouvelles des proches si vous les connaissez ou s’ils vous en ont déjà parlé. Vous devez leur montrer que vous êtes là pour eux et que vous pouvez vous adapter. Prenez le temps de vraiment écouter la réponse à votre éternel « comment allez-vous ? / comment ça va ? »

Faites une activité exceptionnelle et récréative

Vous pouvez également faire appel à votre imagination pour faire en sorte de créer une activité même rapide mais récréative. Vous pouvez ainsi par exemple faire une compilation de scènes drôles et notamment vous mettre dans l’autodérision. Il s’agit de créer dans un espace de temps, même limité, quelques sourires. Evidemment, vous ne devez pas leur faire perdre trop de temps car ils ne se sont pas déplacés pour ne rien faire. Il ne s’agit pas non plus pour vous de montrer que vous vous tournez les pouces ce qui pourrait être également mal vécu. Vous pouvez également par exemple commander pour toute l’entreprise un repas original et demandez à chacun ce qu’il aimerait avoir ou encore ramené exceptionnellement le petit déjeuner si ce n’est pas déjà dans vos habitudes. Quelques attentions délicates et créatives sont absolument nécessaires.

Informez-vous sur ce qu’ils désirent

Le meilleur moyen de ne pas penser au présent reste de se projeter dans l’avenir. N’hésitez pas à les questionner sur les formations qu’ils souhaiteraient avoir par exemple afin de savoir ce qu’ils aimeraient devenir. Notez chaque élément afin de vous informer sur ce que vous pourriez éventuellement mettre en place et n’hésitez pas à faire des propositions si vous le pouvez pour l’avenir même si vous n’en connaissez pas exactement la date. Il ne s’agit pas de vendre du rêve mais bien de prendre en compte les désidératas de chacun. 

Essayez de résoudre des problèmes 

Souvent, de petites choses minent le quotidien de travail de vos salariés. Si vous découvrez des problèmes, il est peut-être temps de les résoudre afin d’apporter la bonne nouvelle aux salariés concernés. Il peut s’agir également de petites choses comme le fait qu’il n’y ait pas de machine à café et que vous en ayez commandé une. Il s’agit de traiter tout ce qui nuit au travail de vos salariés. Si l’un d’entre eux par exemple s’acharne tous les jours, ne serait-ce que sur son agrafeuse qui n’arrête pas de se coincer, peut-être est-il temps de passer commande et de l’en informer. 

La nouvelle législation officielle sur le CBD

On ne peut pas tout commercialiser et ceci est d’autant plus vrai pour la protection du corps humain notamment du fait de l’article 16-1, alinéa 3, du code civil qui dispose que les « les conventions ayant pour effet de conférer une valeur patrimoniale au corps humain, à ses éléments ou ses produits sont nulles ». De la même manière, la vente de drogue est interdite notamment par le code pénal. Mais qu’en est-il du CBD ?

Si certains pouvaient encore se demander si le CBD était vraiment légal en France, le Conseil d’Etat vient d’annuler l’arrêté du 30 décembre 2021 interdisant de vendre des fleurs et feuilles de cannabis ayant un taux de THC (tétrahydrocannabinol) inférieur à 0,3 %. Une décision qui confirme donc la légalité de cette substance à partir du moment où le taux est respecté.

Les faits qui ont entrainé la saisine

Selon un communiqué de presse du Conseil d’Etat, le juge des référés de l’institution avait été saisi en urgence au début de l’année 2022. Il avait suspendu l’exécution de l’interdiction par une ordonnance 24 janvier 2022 réalisée par un arrêté interministériel du 30 décembre 2021. De manière plus ou moins contradictoire, celui-ci autorisait « l’utilisation des fleurs et des feuilles des variétés de cannabis présentant une teneur en delta-9-tétrahydrocannabinol (THC) inférieure ou égale à 0,3 % ainsi que de leurs extraits » mais interdisait dans le même temps « la vente aux consommateurs des fleurs et feuilles à l’état brut quelle que soit la forme prise dans le produit fini (tisanes, huiles, cosmétiques au CBD…). »

L’absence d’effet psychotrope

Pour motiver sa décision, le Conseil d’Etat se base sur le fait que le CBD ( cannabidiol sous plusieurs formes ), n’a pas « d’effet psychotrope et ne provoque pas de dépendance », et « ne peut être considéré comme un produit stupéfiant » et qu’il n’y aurait pas de risque pour la santé publique. Il a donc jugé illégale une interdiction générale et absolue de commercialisation. En effet, il faut rappeler que le code de la santé publique dans son article R. 5132-86 dispose que « la culture, l’importation, l’exportation et l’utilisation industrielle et commerciale de variétés de cannabis dépourvues de propriétés stupéfiantes » peuvent être autorisées.

Il s’avère selon l’instruction menée au fond que le CBD n’a pas d’effet psychotrope et ne provoque pas de dépendance. Si on confond souvent CBD et THC, qui sont les principaux cannabinoïdes végétaux dans les fleurs et les feuilles de cannabis, elles n’ont donc pas les mêmes effets. Si le CBD a des propriétés décontractantes et relaxantes voire anticonvulsivantes, la ressemblance s’arrête là, à condition bien entendu que le taux de THC soit relativement bas.

La difficulté pour les services de lutte anti stupéfiants

Le ministre des solidarités et de la santé, dans sa demande, justifiait notamment sa demande d’interdiction par la ressemblance entre les différentes fleurs et feuilles de cannabis, qui « compromettrait l’efficacité de la politique de lutte contre les stupéfiants. ». Le Conseil d’État a cependant retenu que le taux de THC des fleurs et de feuilles était contrôlable avec des tests rapides et peu onéreux qui permettaient donc de vérifier la variété de la plante, balayant ainsi l’argument de l’efficacité de la politique de lutte contre les stupéfiants pour celles contenant un taux de THC inférieur à 0,3 %.

La décision en elle-même

Un an plus tard, le 29 décembre 2022, le Conseil d’État a rendu sa décision et considéré comme « disproportionnée l’interdiction générale et absolue de commercialisation à l’état brut des feuilles et fleurs de cannabis à faible teneur de THC, c’est-à-dire sans propriétés stupéfiantes ». Par conséquent, il a annulé l’interdiction de l’arrêté du 30 décembre 2021.

A noter tout de même que toutes les feuilles ne sont pas concernées puisque le Conseil d’Etat retient que les risques dépendent directement des quantités de THC et que « la nocivité des autres molécules présentes dans les fleurs et feuilles de cannabis, notamment le CBD, n’est pas établie ». D’autre part, il conclut qu’un « taux de THC inférieur à 0,3 % ne crée pas de risques pour la santé publique justifiant une mesure d’interdiction générale et absolue de leur commercialisation. »

5 méthodes pour améliorer les mesures de cybersécurité de votre entreprise

La cybersécurité n’a jamais été aussi importante dans le monde des affaires. Non seulement le nombre de menaces continue de croître à un rythme alarmant, mais elles deviennent également plus sophistiquées et plus difficiles à surveiller.

En outre, les cybercriminels ne ciblent pas seulement les grandes organisations dans l’espoir de percevoir des sommes importantes. Les entreprises, grandes comme petites, ont été victimes de cyberattaques. Ces attaques ne se limitent pas nécessairement à la perte d’argent et de données. Une entreprise pourrait voir sa réputation s’effondrer, ce qui entraînerait une baisse significative de la clientèle et des ventes.

La bonne nouvelle est qu’une entreprise ne doit pas se contenter de subir les assauts d’un cybercriminel. Elles peuvent opter pour une approche proactive et renforcer leurs efforts en matière de cybersécurité, en stoppant les attaques dans leur élan.

Si vous pensez que vos défenses ne sont pas à la hauteur, ce guide vous aidera. Voici cinq méthodes pour améliorer les mesures de cybersécurité de votre entreprise.

1. Découvrez les différentes méthodes d’attaque

Comme nous l’avons mentionné dans l’introduction, les cybercriminels continuent d’étendre et de développer leurs méthodes d’attaque. Si vous n’avez pas prêté attention à ces évolutions au cours des dernières années, votre entreprise est vulnérable. Vous devez être pleinement conscient de toutes ces différentes méthodes de cyberattaque – sinon il vous sera impossible de vous préparer réellement à vous défendre contre elles.

Pour mettre les choses en perspective, voici une liste des méthodes les plus couramment utilisées par les cybercriminels :

  • Logiciel malveillant
  • Phishing
  • Injection SQL
  • Attaque par déni de service
  • Attaque de l’homme du milieu
  • Compromission d’e-mails professionnels
  • Compromission de comptes de messagerie

Et comme si cela ne suffisait pas, les méthodes utilisées pour lancer les attaques varient d’une personne à l’autre. Pour en savoir plus sur ces attaques en matière de cybersécurité, vous pouvez lire ce guide de Proofpoint. La première chose à faire pour améliorer la défense de la sécurité de votre entreprise est de vous informer sur l’ensemble dynamique des menaces de cybersécurité qui existent.

2. Utilisez l’authentification à deux facteurs

Si votre entreprise n’utilise pas encore l’authentification à deux facteurs, il est temps de changer cela dès maintenant. Cette mesure de sécurité supplémentaire peut grandement contribuer à empêcher les cyberattaques de réussir. Un pirate pourrait être en mesure d’obtenir des informations sensibles, comme un mot de passe par exemple, mais l’authentification à deux facteurs signifie que cela ne suffit pas pour accéder à un compte.

Cela est dû au fonctionnement de l’authentification à deux facteurs. Comme son nom l’indique, une personne doit utiliser deux méthodes pour prouver son identité. L’une d’elles est généralement un mot de passe, comme d’habitude. L’autre, en revanche, sera souvent un code d’accès envoyé à l’appareil mobile de l’utilisateur. Si un pirate n’a pas accès à cet appareil mobile, il ne pourra généralement pas aller plus loin dans ses efforts d’attaque.

3. Formez vos employés

C’est vrai : votre logiciel antivirus fait une grande partie du travail de défense contre les cyberattaques. Cependant, vos employés peuvent souvent être la vulnérabilité que les criminels cherchent à exploiter. Si vos employés ne sont pas au courant des menaces qui pèsent sur eux, vos défenses – aussi solides soient-elles – peuvent être percées assez facilement.

Pour éviter que cela ne se produise, il est impératif de former vos employés à la cybersécurité. Ils doivent être pleinement conscients des différentes menaces auxquelles ils peuvent être confrontés pendant leurs heures de travail, qu’il s’agisse d’un e-mail frauduleux ou d’un lien URL douteux. Cela inclut également la connaissance des signaux associés à une cyberattaque, notamment :

  • les fautes d’orthographe
  • les faux noms de domaine
  • l’image du logo de mauvaise qualité
  • l’introduction du message générique
  • les coordonnées de l’expéditeur non concordantes
  • La pression dans le temps pour accomplir une action

Évitez également de considérer la formation comme une tâche à accomplir une fois pour toutes. Elle doit être effectuée au moins de manière semi-régulière, afin de s’assurer que toutes les informations acquises soient encore présentes à leur esprit.

4. Maintenir tous les logiciels à jour

Les mises à jour logicielles sont importantes pour de nombreuses raisons. Si l’on peut considérer ces mises à jour comme un simple moyen d’accélérer les processus et d’ajouter des fonctionnalités, elles ont une autre fonction essentielle : la protection contre les cybermenaces.

Les personnes qui développent des logiciels publient régulièrement des correctifs pour résoudre les problèmes de sécurité découverts. Si vous n’agissez pas et n’installez pas ces correctifs immédiatement, votre entreprise risque fortement de subir des attaques.

Avec l’augmentation de l’utilisation des appareils mobiles et du travail à distance, le suivi des mises à jour logicielles est un défi de plus en plus important pour les entreprises modernes. Grâce à une bonne gestion du système, il est toutefois possible de minimiser le risque. Les employés doivent être informés de l’installation des mises à jour dans le cadre de la formation susmentionnée.

5. S’en tenir aux dispositifs et aux connexions approuvés

Comme mentionné précédemment, le travail hybride est devenu la norme dans le monde des affaires. Si elle présente de nombreux avantages pour les entreprises et les employés, elle pose également un problème supplémentaire en matière de cyberattaques.

Pour limiter le risque et maximiser la protection de votre entreprise contre les menaces, il est important que les employés à distance se servent uniquement d’appareils et de connexions approuvés. Ils peuvent être tentés d’accéder à des réseaux non sécurisés ou d’utiliser leurs propres appareils, mais il est impératif qu’ils s’en tiennent à ceux qui sont approuvés pour le travail.