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Comment anticiper les impacts de la 5G sur votre entreprise et vos produits ou services ?

La cinquième génération de téléphonie mobile, communément appelée 5G, est sur le point de bouleverser radicalement le paysage des communications. Avec des vitesses de transmission de données bien plus rapides, une latence pratiquement nulle et la capacité de connecter un grand nombre d’appareils en simultané, la 5G promet d’apporter une révolution dans la manière dont les entreprises opèrent, interagissent avec les clients et développent de nouveaux produits ou services. Comment anticiper les impacts de la 5G sur votre entreprise et vos produits ou services ?

La 5G : qu’est-ce que c’est ?

Avant de plonger dans les implications de la 5G, il est essentiel de bien comprendre cette technologie révolutionnaire. La 5G est la cinquième génération de téléphonie mobile, succédant à la 4G. Elle se caractérise par des vitesses de transmission de données bien plus élevées. Ainsi, la latence est considérablement réduite (le temps de réponse des réseaux). Aussi, elle permet de connecter une multitude d’appareils en même temps. Ces caractéristiques ouvrent la voie à de nouvelles possibilités en matière de communication et de connectivité.

Évaluer les opportunités

La 5G offre un potentiel considérable pour améliorer les opérations commerciales et créer de nouveaux produits ou services notamment sur mobile. Les entreprises doivent donc se demander comment elles peuvent tirer parti de cette technologie. Parmi les opportunités à explorer, on trouve l’amélioration de la connectivité pour les employés et les clients, le développement de l’Internet des objets (IoT) pour une automatisation accrue, l’intégration de réalité virtuelle et augmentée dans les opérations, et bien plus encore.

Réfléchir à la transformation de l’expérience client

La 5G a le potentiel de transformer radicalement l’expérience client. Les entreprises peuvent envisager d’offrir des services plus rapides, plus interactifs et plus personnalisés. Les applications de réalité augmentée peuvent être utilisées pour améliorer les achats en magasin, tandis que des services en temps réel peuvent accroître la satisfaction des clients. Anticiper ces changements et adapter vos produits ou services pour répondre aux nouvelles attentes des clients est essentiel.

La 5G peut donc ouvrir la voie à de nouveaux modèles d’affaires. Par exemple, certaines entreprises pourraient passer d’un modèle de vente de produits à un modèle basé sur l’abonnement, offrant des services connectés en continu. D’autres pourraient exploiter la 5G pour créer des services hautement personnalisés ou des offres de divertissement innovantes. Anticiper ces évolutions et ajuster votre stratégie est essentiel pour rester pertinent sur un marché en constante évolution.

Investir dans la sécurité

L’explosion attendue du nombre d’appareils connectés avec la 5G pose des défis en matière de sécurité. Les entreprises doivent anticiper les nouvelles vulnérabilités qui pourraient surgir et investir dans des mesures de sécurité robustes. Cela inclut la protection des données, la sécurisation des réseaux et la sensibilisation des employés à la cyber-sécurité. La confidentialité des données des clients et des informations sensibles de l’entreprise doit rester une priorité absolue.

Se préparer à la concurrence

La 5G ouvrira de nouvelles opportunités pour de nombreuses entreprises, mais elle augmentera également la concurrence. Il est essentiel de surveiller vos concurrents et de rester à l’affût des innovations liées à la 5G dans votre secteur d’activité. Cela peut vous aider à anticiper les mouvements de la concurrence et à ajuster votre stratégie en conséquence. Le marché de la 5G évoluera rapidement, et la capacité à s’adapter rapidement peut faire la différence entre le succès et l’obsolescence.

Engager votre équipe dans l’apprentissage

L’adoption de la 5G nécessite une compréhension approfondie de ses implications techniques et commerciales. Il est important d’engager votre équipe dans l’apprentissage et la formation pour s’assurer que tous comprennent comment la 5G peut impacter leur travail et comment tirer parti de ses avantages. Il peut être utile de mettre en place des programmes de formation internes ou de collaborer avec des experts externes pour renforcer les compétences de votre personnel.

La transition vers la 5G peut être complexe, en particulier si votre entreprise n’a pas encore une expertise interne dans ce domaine. Collaborer avec des experts de l’industrie, des consultants ou des partenaires technologiques peut vous aider à naviguer dans ce nouveau paysage. Ces experts peuvent fournir des conseils sur la mise en œuvre de la 5G, les meilleures pratiques en matière de cyber-sécurité, et les opportunités de marché.

Le crédit impôt recherche (CIR)

Créé en 1983, le crédit impôt recherche (CIR) a pour but de réduire les dépenses liées à la recherche et développement (R&D) des entreprises, afin d’accroître les activités de recherche et d’améliorer leur compétitivité. Cette mesure permet donc de réduire l’IR ou l’IS.

Qui peuvent bénéficier du crédit impôt recherche (CIR) ?

Toutes les entreprises industrielles, commerciales ou agricoles (quels que soient leur taille ou secteur d’activité) soumises à l’IR ou l’IS, sous le régime du bénéfice réel (normal ou simplifié) peuvent en bénéficier.

Quelles sont les dépenses concernées ?

Les dotations aux amortissements déductibles, les dépenses liées au personnel, au fonctionnement, aux opérations de R&D externalisées, à la protection de la propriété industrielle etc. Les dépenses ouvrant droit au crédit d’impôt recherche sont celles qui concernent les opérations de recherche fondamentale et appliquée, y compris la réalisation d’opérations de conception, de prototypes ou d’installations pilote. Sont retenues celles qui déterminent le résultat imposable à l’IR ou à l’IS dans les conditions de droit commun.

Comment se calcule la réduction d’impôt ?

Seules les dépenses engagées au cours de l’année civile, quelle que soit la date de clôture des comptes de la société, sont à prendre en compte.

Ce crédit d’impôt recherche (CIR) se détermine donc  par année civile quelle que soit la date de clôture de l’exercice. Son montant est égal à :

  • 30 % du montant des dépenses de recherche inférieures ou égales à 100 millions d’euros.
  • 5 % des dépenses supérieures à 100 millions d’euros.
  • 20% dans le cadre d’un crédit d’impôt innovation.

Pour les exploitations situées dans les départements d’outre-mer (DOM) le taux du CIR est de :

  • 50 % pour les dépenses inférieures à 100 millions d’euros,
  • 40 % dans le cadre d’un crédit d’impôt innovation.

Comment s’assurer que les dépenses sont éligibles ? 

Pour savoir l’éligibilité des dépenses consacrées à la R&D dans le cadre du CIR, l’entreprise peut déposer une demande d’avis préalable (dit « rescrit fiscal ») auprès de la direction des services fiscaux ou auprès de l’un des trois organismes suivants : Ministère de de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR), Agence Nationale de la Recherche (ANR) ou Oséo.

L’absence de réponse motivée dans un délai de trois mois vaut accord tacite de l’administration.

Quelles sont les activités concernées par le CIR ?

Les activités concernées par le crédit d’impôt recherche sont les suivantes :

  • Activité de recherche fondamentale : travaux de recherche expérimentaux ou théoriques pour acquérir de nouvelles connaissances. Ceci, sans envisager une application ou une utilisation particulière.
  • Activité de recherche appliquée : travaux de recherche pour permettre de déterminer les mises en application possibles des résultats de la recherche fondamentale.
  • Activité de développement expérimental : travaux systématiques fondés sur les connaissances tirées de la recherche fondamentale et de la recherche appliquée. Ils ont pour objectif de déboucher sur de nouveaux produits ou procédés ou d’améliorer des produits ou procédés existants.

A qui s’adresser ?

  • Ministère de la Recherche, Direction générale de la recherche et de l’innovation, bureau 1, 1 rue Descartes, 75005 Paris
  • Service des impôts des entreprises (SIE).

Zoom sur la technique de « L’influence sociale »

Dans l’ère numérique actuelle, la prise de décision des consommateurs est de plus en plus influencée par le comportement en ligne de leurs pairs. C’est là que « l’influence sociale » entre en jeu. Cette technique puissante exploite les preuves d’approbation sociale, telles que le nombre d’abonnés, de likes, ou d’avis positifs sur les médias sociaux, pour convaincre les clients potentiels de la qualité d’un produit ou service. Cette stratégie s’appuie sur la psychologie humaine et joue un rôle clé dans la prise de décision des consommateurs. 

L’Influence sociale en action

L’influence sociale repose sur le principe de la preuve sociale : si de nombreuses personnes approuvent un produit ou un service, il est plus probable qu’il soit de haute qualité et mérite d’être adopté. Lorsque les clients potentiels voient des signes d’approbation sociale, tels que des abonnés en grand nombre sur les réseaux sociaux, des likes massifs, ou des avis élogieux, cela crée un sentiment de confiance et de légitimité.

Les médias sociaux comme plateforme d’influence

Les médias sociaux sont l’une des principales plates-formes pour l’influence sociale. Les entreprises peuvent montrer leur popularité en affichant des chiffres impressionnants d’abonnés, de likes, et de partages sur des plates-formes telles que Facebook, Instagram, Twitter et LinkedIn. Ces indicateurs de popularité sont immédiatement visibles par les clients potentiels, ce qui renforce la crédibilité de la marque.

Avis et témoignages en ligne

Les avis et témoignages en ligne jouent également un rôle clé. Les clients sont plus susceptibles de faire confiance à l’expérience d’autres consommateurs. Les avis positifs et les témoignages clients sont de puissantes preuves d’approbation sociale. Les entreprises peuvent les mettre en avant sur leur site web, leurs profils de médias sociaux, et d’autres canaux marketing pour renforcer leur crédibilité.

Utilisation de personnalités d’influence

De plus en plus, les entreprises font appel à des personnalités d’influence sur les médias sociaux pour promouvoir leurs produits ou services. Ces influenceurs ont déjà une base de fans engagée et peuvent donner un sérieux coup de pouce à la notoriété de la marque. Leur approbation est souvent considérée comme authentique, ce qui renforce la confiance des clients.

La psychologie derrière l’influence sociale

L’influence sociale repose sur des concepts psychologiques tels que la « preuve sociale » et le « principe du consensus ». Les gens ont tendance à suivre le comportement de la majorité, car cela leur donne un sentiment de sécurité. Lorsqu’ils voient d’autres clients satisfaits, ils sont plus enclins à croire que le produit ou le service répondra à leurs attentes.

Stratégies pour utiliser l’influence sociale

Pour tirer parti de l’influence sociale, les entreprises peuvent adopter plusieurs stratégies :

  • Mettre en avant les chiffres : Affichez fièrement le nombre de clients satisfaits, d’abonnés sur les médias sociaux, ou de likes pour montrer votre popularité.
  • Encourager les avis clients : Sollicitez activement des avis clients et assurez-vous de répondre aux commentaires, qu’ils soient positifs ou négatifs. L’interaction montre que vous valorisez l’opinion de vos clients.
  • Collaborer avec des influenceurs : Identifiez des influenceurs pertinents pour votre niche et établissez des partenariats pour promouvoir vos produits ou services.
  • Créer du contenu authentique : Partagez des histoires et des témoignages authentiques de clients satisfaits pour montrer que vous avez un impact positif sur leur vie.

Équilibre entre transparence et authenticité

Lorsque vous utilisez l’influence sociale, la transparence est essentielle. Ne prétendez pas avoir plus d’approbation sociale que vous en avez réellement. Les consommateurs d’aujourd’hui sont avertis et peuvent rapidement identifier les tentatives de manipulation. Soyez authentique et honnête dans vos démarches.

L’influence sociale au fil du temps

L’influence sociale évolue avec les tendances et les changements technologiques. Il est essentiel pour les entreprises de rester à jour avec les plateformes de médias sociaux en évolution et les nouvelles opportunités pour exploiter l’influence sociale.

Quelques outils pour augmenter votre influence sociale

Vous pouvez utiliser divers outils et astuces. Voici quelques recommandations :

1/ Outils de gestion des médias sociaux 

Hootsuite, Buffer, Sprout Social : Ces outils vous aident à gérer vos comptes de médias sociaux, à planifier des publications, et à surveiller l’engagement en ligne. Google Analytics : Il vous permet de suivre le trafic généré par vos médias sociaux sur votre site web.

2/ Plateformes de marketing d’influence 

AspireIQ, Upfluence, Traackr : Ces plateformes vous aident à identifier, collaborer, et gérer des influenceurs pour promouvoir votre produit ou service.

3/ Analyse des avis clients 

Trustpilot, Yotpo, Bazaarvoice : Ces plateformes vous permettent de recueillir, gérer et afficher des avis clients, renforçant ainsi la preuve sociale.

4/ Outils de gestion des témoignages 

Birdeye, Podium, NiceJob : Ces outils vous aident à recueillir et à partager les témoignages de clients sur différents canaux.

5/ Widgets de preuve sociale 

Taggbox, Fomo, Proof : Ces widgets vous permettent d’afficher en temps réel des notifications de preuve sociale sur votre site web.

Et quelques astuces en plus ! 

Le succès sur les médias sociaux repose sur une interaction proactive avec votre public. Engagez votre audience en répondant aux commentaires, aux messages privés et aux avis. Cette démarche montre que vous valorisez vos clients et que vous êtes attentif à leurs besoins. De plus, encouragez vos clients satisfaits à partager leur expérience sur les médias sociaux. Cela renforce votre preuve sociale.

Les études de cas représentent une autre méthode efficace pour démontrer la valeur de votre produit ou service. Elles mettent en lumière comment vous avez résolu un problème spécifique pour un client, fournissant ainsi une preuve tangible de la qualité de votre offre. De plus, vous pouvez collaborer avec des influenceurs locaux pour cibler votre audience de manière plus efficace.

Enfin, créez du contenu visuel engageant, car les images et les vidéos sont plus susceptibles d’être partagées. De plus, il est essentiel d’être transparent et authentique  pour gagner la confiance de votre public. 

Une serial entrepreneure bien à la page !

Interview de Catherine Barba qui se lance dans un nouveau défi avec Envi. Après de nombreux succès entrepreneuriaux tels que Cashstore vendu à Plebicom ou Malinea vendu à Veepee, créatrice d’événements promulguant l’égalité hommes/femmes et la diversité (La JFD à paris, le WIN Forum aux USA) et une expérience de 5 ans à New York, la pionnière du digital poursuit son aventure avec passion en restant toujours connectée aux nouvelles tendances.

Que s’est-il passé depuis notre dernière interview ?

Je suis passée de la révolution numérique à la révolution du travail. Après avoir travaillé pendant 20 ans dans le digital, le e-commerce, la transformation du retail et créé trois entreprises dans ces secteurs, je suis partie aux États-Unis. C’était mon rêve d’enfant et j’ai embarqué toute ma famille dans l’aventure ! J’avais envie d’aller voir comment se passait la transformation du travail et du digital aux États-Unis. Je me demandais s’il y avait des bonnes pratiques et des idées innovantes à aller chercher du côté des retailers outre-Atlantique.

Je me suis rendu compte que ce n’était pas aussi innovant que je le pensais. J’y ai tout de même fait un saut quantique sur mes compétences en matière d’omnicanal et de transformation digitale (sur les sujets diversité et inclusion aussi !) et suis revenue en France il y a deux ans. C’est là que la suite de mon histoire d’entrepreneure m’est tombée dessus, comme une évidence. Exactement comme je l’avais vécu il y a vingt-cinq ans avec l’arrivée du digital, qui allait transformer toutes les entreprises, grandes et petites. Aujourd’hui, la nouvelle révolution est celle du travail, elle va aussi profondément transformer les entreprises, pas seulement autour des clients mais aussi autour des collaborateurs. C’est la raison pour laquelle j’ai cofondé ENVI l’école du futur du travail et des indépendants.

Qu’est-ce qui s’est profondément transformé ?

Je perçois, comme vous probablement, un sentiment profond d’aspirations nouvelles, de désir de changement. Une sorte de fin de cycle où travailler 20 ans dans la même entreprise comme salarié n’est plus ni la norme, ni le désir des jeunes ou moins jeunes générations. Tout se passe comme si ce qu’il y a eu avant ne durera pas et que ce qui est très long terme n’a pas de sens. Comme je comprends ceux qui s’orientent dans des voies qui les reconnectent à la nature, au vivant, aux métiers manuels ! Le travail n’a plus la même centralité ou en tout cas, le même visage.

Le Covid et les confinements successifs ont aussi conduit de nombreuses personnes à s’interroger sur le sens de leur travail, et ce questionnement s’est traduit par une forte aspiration à plus d’autonomie, d’équilibre, de sens, d’empowerment, ce mot si difficile à traduire en français qui exprime le fait de décider et prendre le contrôle de sa destinée professionnelle.

Beaucoup ont dès lors été tentés de quitter leur entreprise pour se mettre à leur compte – il n’y a jamais eu autant de création d’entreprises qu’en 2021 et 2022 (plus d’un million selon l’INSEE sur chaque année) notamment de business solos !

On dénombre ainsi aujourd’hui près de quatre millions d’indépendants en France. Si l’on ajoute les « slasheurs » qui ont des vies professionnelles plurielles, cumulant emploi salarié et aventure entrepreneuriale, on atteint vraisemblablement près de dix millions de personnes. Ces talents et ces compétences souvent désormais externes, représentent une opportunité fantastique pour les entreprises, c’est maintenant qu’il faut en prendre la mesure pour ne pas prendre de retard.

Est-ce que cette possibilité est liée aux évolutions technologiques ?

Sans aucun doute. Beaucoup de business solos reposent sur des activités de service qui ne nécessitent pas d’apport financier ou matériel important. On vend son savoir-faire de là où on veut, avec son ordinateur et son mobile comme seuls outils de travail, on échange, prospecte, vend par visioconférences.
Quant à la démarche de création d’entreprise, j’ignore si c’est beaucoup plus simple qu’avant. Depuis 2008 des simplifications ont été apportées par Hervé Novelli quand, secrétaire d’État aux PME, il créait le régime de l’auto-entreprise devenu micro-entreprise.
La technologie facilite indéniablement la création et la façon d’opérer au quotidien. Cette simplicité n’est évidemment pas le gage d’une viabilité économique plus facile. La difficulté n’est pas de créer mais de durer !

Pour toi, cela a changé toutes les méthodes de communication, de travail ?

Quand on devient indépendant, tout change ! C’est parfois un sacré choc. On le voit chez nos clients (qu’on appelle talents) qui viennent se former chez ENVI pour se lancer. Quitter un environnement connu, balisé, collectif, sécurisant pour aller vers l’inconnu et l’indépendance est très excitant mais la nécessité d’être un vrai couteau suisse, devoir définir son positionnement, sa proposition de valeur, son modèle économique, se constituer un nouveau réseau, prospecter, se vendre, communiquer seul(e) n’est pas de tout confort !

J’observe aussi que ce qui change radicalement, surtout si on a été manager, est de passer du « faire faire » au « faire » : quand on entreprend on n’a pas le choix, on renoue avec l’action, on fait, on mesure, on recadre, et on le fait soi-même, sans oublier de continuer à apprendre car le savoir est très vite obsolète. Après, si l’envie est forte, si la motivation est là, on s’adapte, on survit et on n’est pas à l’abri de réussir 😉 Surtout si on est bien accompagné par un collectif bienveillant, stimulant et la meilleure méthodologie comme avec ENVI (pardon pour la petite page de pub).

« J’observe aussi que ce qui change radicalement, surtout si on a été manager, est de passer du « faire faire » au « faire » : quand on entreprend on n’a pas le choix, on renoue avec l’action. »

Au niveau des salariés, cela a changé beaucoup les conditions notamment avec le développement du télétravail, etc. ?

Bien sûr. La question des entreprises aujourd’hui est : « Comment créer un engagement solide quand l’entreprise est un corps social hors-les-murs (certains collaborateurs en présentiel, d’autres en distanciel) et hybride avec des freelances et des salariés ? » L’équation est loin d’être simple pour les leaders, les managers, les RH. Pour les équipes non plus !
Toute entreprise a un impératif de rentabilité et une somme d’actions individuelles ne construit pas une réussite collective sans règles, sans rituels. Pour embarquer tous les coéquipiers vers la croissance rentable, il faut un capitaine avec une vision, qui montre le chemin, donne de la cohérence, développe l’autonomie et la confiance. Si l’entreprise libérée est une séduisante utopie, les paquebots avec 50 niveaux de validation sont de vrais repoussoirs.

Tout l’enjeu pour un leader est de réussir cet exercice d’équilibriste entre l’autorité que l’on exerce et l’autonomie que l’on accorde, dans un contexte hybride entre full-remote et office-based. Pardon pour les anglicismes ! Et que l’on soit fondateur, salarié, indépendant, étudiant, je crois qu’il faut se donner pour mission personnelle de créer chaque jour du collectif, être un connecteur, quelqu’un par qui le lien se fait. Le sens se trouve dans le collectif. Et dans ce collectif, la nouvelle donne, ce sont les talents indépendants, digitaux mais pas seulement. Sans talents, point de croissance. Or souvent les meilleurs ne veulent plus de l’ancien sacro-saint CDI.

Comment gérer cette aspiration ?

Des entreprises comme Mazars sont très avancées. Mazars autorise non seulement ses salariés à avoir un « side project » mais encore les y encourage ! Ce travail en mode « multi » répond au besoin de sécurité, de stabilité, autant qu’à l’aspiration à plus d’autonomie, d’équilibre et de sens : je veux appartenir à un collectif qui m’élève, me protège, me forme, autant que je veux être maître de mon travail, établir mes propres règles, récolter le fruit de mes actions. La multi-activité choisie est certainement une réponse à cette ambivalence. Notre identité ne se réduit plus à un seul emploi, à une seule entreprise, une trajectoire linéaire.

Mazars et d’autres entreprises visionnaires mesurent les bénéfices de cette permaculture d’entreprise : comme cette dernière qui fait cohabiter différentes espèces pour rendre la terre durablement fertile, la multi-activité choisie est régénératrice : accomplissement personnel, développement de compétences plus larges, adaptabilité accrue… ce sont autant d’atouts qui bénéficient à l’entreprise.

Au niveau de l’apport de sens, y a-t-il une nouvelle donne notamment sur la manière dont les entreprises s’adressent à leurs salariés ?

Oui, et cela a été formalisé dès 2018 dans le rapport de Nicole Notat et Jean-Dominique Senard remis aux ministres de la transition écologique et solidaire, de la justice, de l’économie et des finances, dont les recommandations répondaient à l’impératif de « redonner de la substance à l’entreprise, l’amener à réfléchir à sa raison d’être ».

Au-delà de faire de la croissance et du profit, à quoi contribue l’entreprise, quelles valeurs défend-elle, sur quoi s’engage-t-elle pour la planète, les générations futures ? Quelle est l’utilité sociétale ou environnementale des projets qu’on y porte ? Comment augmenter l’employabilité de mes salariés en leur offrant des formations (chez ENVI :), en leur donnant la possibilité de développer sans cesse leurs compétences et d’exprimer leur engagement ?

Quelle que soit la réponse, les entreprises sont désormais contraintes à une radicale authenticité, à une saine transparence. La jeune génération oblige les entreprises à faire ce qu’elles disent et dire ce qu’elles font, ce qui au fond n’est pas si mal comme projet de vie 😉

Est-ce une problématique nouvelle ?

Ce qui est nouveau pour l’entreprise est d’admettre que le rapport de force s’est inversé. Les collaborateurs ont conscience que leur valeur est toute aussi importante que celle des employeurs. Quand quelqu’un rejoint notre équipe, je raisonne toujours dans une logique de « culture add » et non de « culture fit » : je n’espère pas tant que la personne adhère à 100 % à notre ADN qu’elle vienne l’enrichir, nous bousculer, être un poil à gratter pour notre organisation. J’adore quand quelqu’un arrive à bousculer ma façon de faire, à modifier mon regard sur le travail, sur les clients.

Chez ENVI nous avons un onboarding un peu particulier. Lorsque de nouveaux collaborateurs commencent ils sont d’emblée partie prenante. On leur a par exemple laissé la main à 100 % sur la création de notre compte Instagram, @_envischool. Je n’aurais jamais fait des choses pareilles ! On est dans la co-construction.

Toute entreprise, grande ou petite, gagnerait je crois à être dans cette optique. On s’entoure trop de gens qui nous ressemblent. L’entre-soi est mortifère ! Ce sont les frottements et les divergences qui produisent de l’innovation. Il faut accepter d’être dérangé ou à minima, accepter un regard différent sur une activité que l’on croit maîtriser de fond en comble. Les choses bougent si vite ! C’est évidemment plus facile pour une entreprise comme ENVI qui a moins d’un an d’existence d’être agile et ouvert, on n’a pas d’héritage.

Comment cela se traduit-il ?

Je vois aussi de grandes organisations très visionnaires sur le Future of Work qui osent expérimenter des pratiques de travail inédites pour essayer d’aligner les intérêts de l’entreprise et ceux de leurs collaborateurs et créent une adhésion durable. Cela passe par de nouveaux critères de recrutement, la data, de nouveaux outils à base d’intelligence artificielle. Je crois enfin que les entreprises qui réussiront mieux que les autres sont celles qui développeront à tous les étages l’esprit d’entreprendre. Pour devenir des communautés de « bougeurs », d’innovateurs dans le cadre, qui testent, osent, bousculent. Pour y arriver il faut collaborer plus et mieux avec les indépendants, les freelances, et proposer des formations par des entrepreneurs comme celles d’ENVI.

Qu’est-que propose ENVI aujourd’hui ?

Pour les entreprises, nous développons des formations et des coachings pour injecter l’esprit d’entreprendre dans la culture managériale, en vue d’aider les entreprises à bouger les lignes plus vite et attirer les meilleurs. Et ça marche !

Nous avons aussi créé le Do Tank, un club de grandes entreprises de tous secteurs qui expérimentent avec nous les nouvelles pratiques du Future of Work, notamment les ingrédients d’une collaboration réussie avec les indépendants et les freelances. Les sujets sont abordés sous l’angle du partage et de l’expérimentation, avec une dimension internationale ; c’est ce qui rend le Do Tank unique et performant. On prend beaucoup de plaisir aussi. Il faut nous rejoindre pour défricher et prendre une longueur d’avance sur le travail de demain !

Pour les particuliers, nous avons depuis un an des programmes uniques pour apprendre à réussir comme indépendant, que l’on se lance ou que l’on soit déjà à son compte. Ce sont des parcours en ligne collectifs, sur 4 ou 12 semaines, à l’issue desquels tu sais exactement ce que tu dois faire pour être rentable, avoir une offre percutante et singulière, te constituer un super réseau, trouver régulièrement des clients. Nos atouts sont notre incroyable réseau de mentors, tous entrepreneurs de renom qui partagent leur expérience (allez voir la liste sur notre site envischool.com !) et notre réseau soudé et solidaire. On est solo, mais jamais seul !

Penses-tu que la réalité virtuelle ou augmentée va transformer les entreprises ou que cela n’aura d’impact que dans certains secteurs d’activité ?

Dans le retail, AR et VR étaient il y a quelques années le graal ; à dire vrai, en tant que cliente, je ne suis pas sûre que cela ait changé quoi que ce soit dans ma façon de prendre des décisions d’achat ou de consommer. Il est toujours nécessaire d’explorer pour se faire une expérience avec des KPI et mesurer l’impact. Est-ce que cela rend davantage service à mes clients ? Augmente la fréquence d’achat, le panier moyen ? Et au vu du coût de set up et d’exploitation, qu’est-ce que cela crée comme valeur ? Si une solution rend significativement service à tes clients et qu’elle génère de la croissance, alors oui, il faut y aller. Et pour le savoir il faut tester !

Est-ce que tu penses que la vidéo va prendre le pas sur les autres manières de communiquer ?

Ça fait déjà presque 20 ans que la vidéo est partout et qu’on la consomme sans modération ! Le podcast a ouvert une brèche (passionnante !) Mais ma conviction est qu’il y a de l’avenir pour les littéraires dans le digital. L’écrit a une très grande puissance, la puissance des mots. Pour te faire connaître, donner envie, convaincre, vendre, il faut savoir écrire. Un email, un post Linkedin, un argumentaire de vente, une newsletter… tout texte bien écrit, ramassé, dynamique, ciselé, a un énorme impact. On apprend tout cela chez ENVI. Et si Chat CPT fait indéniablement gagner un temps fou pour produire du volume, pour y adjoindre un ton, un style, une âme, rien ne remplace l’humain !

Est-ce qu’il y a un sujet que tu souhaiterais aborder ?

Oui, l’optimisme ! Aujourd’hui il y a à l’évidence beaucoup de raisons de s’inquiéter de l’avenir. Avec Carine Malausséna et Charlotte de Charentenay mes associées, on aime dire comme Sénèque qu’il fait apprendre à « danser sous la pluie » : ne jamais cesser d’espérer, avoir confiance dans les générations futures pour inventer des solutions, être toujours curieux, volontaire, engagé, au service des autres, ensemble, et continuer à « savourer et goûter intérieurement les choses » comme dit Ignace de Loyola.

« Si une solution rend significativement service à tes clients et qu’elle génère de la croissance, alors oui, il faut y aller. Et pour le savoir il faut tester ! »

Top 10 avantages de la délégation des tâches dans une entreprise

La délégation des tâches est une compétence fondamentale pour les dirigeants et gestionnaires. Elle permet de répartir efficacement les responsabilités au sein de l’équipe. Cela a un impact significatif sur la productivité, le développement des employés et la croissance de l’entreprise. Voici le top 10 des avantages de la délégation des tâches dans une entreprise et comment elle peut contribuer au succès à long terme de l’organisation.

1/ Libérer du temps pour la gestion stratégique

L’un des avantages majeurs de la délégation est qu’elle permet aux dirigeants de se concentrer sur des tâches stratégiques. Les tâches opérationnelles, bien qu’obligatoires, peuvent souvent monopoliser leur temps. En déchargeant ces responsabilités, les managers ont plus de temps pour se consacrer à la planification à long terme. Ils peuvent également plus se pencher sur l’innovation et la croissance de l’entreprise. Cela signifie qu’ils peuvent mieux anticiper les tendances du marché, identifier de nouvelles opportunités et élaborer des stratégies pour renforcer la position de l’entreprise.

2/ Développer les compétences des employés

La délégation offre une opportunité précieuse pour le développement des compétences des employés. Lorsque les responsabilités sont déléguées, les membres de l’équipe ont l’occasion d’acquérir de nouvelles compétences et de gagner en confiance. La confiance est un élément clé du développement professionnel. En prenant en charge des tâches spécifiques, les employés apprennent à prendre des décisions, à résoudre des problèmes et à assumer la responsabilité de leurs actions. Cela peut être bénéfique pour leur progression professionnelle, leur engagement dans l’entreprise et leur motivation à exceller.

3/ Augmenter l’efficacité opérationnelle

En répartissant les tâches entre plusieurs membres de l’équipe, l’entreprise peut fonctionner plus efficacement. La délégation permet de réduire les goulots d’étranglement et d’accélérer les processus. Cela se traduit par une utilisation plus efficace des ressources et une amélioration de la productivité globale. Les employés peuvent se concentrer sur des tâches qui correspondent à leurs compétences et à leur expérience. Cela entraine un travail de meilleure qualité et des délais d’exécution plus courts.

4/ Favoriser l’innovation

La délégation encourage la créativité et l’innovation au sein de l’entreprise. Lorsque les membres de l’équipe sont responsables de tâches spécifiques, ils sont encouragés à réfléchir de manière indépendante et à apporter de nouvelles idées et perspectives. La diversité des points de vue peut conduire à des améliorations significatives dans les opérations, les produits et les services. Les employés qui se sentent responsables de leur travail sont plus enclins à proposer des solutions innovantes et à participer activement aux projets de développement.

5/ Réduit la charge de travail du leadership

Les dirigeants et les gestionnaires peuvent rapidement se sentir dépassés s’ils portent toute la charge de travail. La délégation permet de réduire la pression sur le leadership en distribuant les responsabilités. Cela contribue à prévenir le stress et l’épuisement professionnel. Cela est essentiel pour la santé mentale et la performance à long terme. Les dirigeants peuvent consacrer leur énergie à des activités stratégiques plutôt qu’à des tâches opérationnelles quotidiennes.

6/ Fournir une redondance pour la continuité des opérations

La délégation offre un avantage en garantissant la continuité des opérations. En déléguant des tâches spécifiques à plusieurs membres de l’équipe, une entreprise se protège contre les interruptions potentielles. En cas d’absence imprévue d’un employé clé en raison de maladie, de congés ou de tout autre motif, d’autres sont formés pour prendre le relais. Cela permet de maintenir la continuité des opérations, d’assurer la satisfaction des clients et de préserver la réputation de l’entreprise. La redondance est un élément clé de la gestion des risques et de la continuité des activités.

7/ Encourager la responsabilisation

La délégation oblige les membres de l’équipe à assumer des responsabilités spécifiques. Cela encourage la responsabilisation et la prise de décision autonome. Les employés responsables s’investissent davantage dans leur travail et prennent des décisions plus éclairées. La prise de décision autonome est une composante essentielle de l’efficacité organisationnelle, car elle permet de réagir rapidement aux défis et aux opportunités.

8/ Favoriser la croissance de l’entreprise

La délégation peut favoriser la croissance de l’entreprise. En déléguant des tâches à des membres de l’équipe compétents, une entreprise peut gérer un volume de travail plus important sans augmenter le nombre d’employés. Cela se traduit par une expansion plus rentable et une utilisation efficace des ressources. De plus, les dirigeants peuvent se concentrer sur l’expansion de l’entreprise, l’exploration de nouveaux marchés, l’acquisition de clients et l’innovation, car ils ont plus de temps et de ressources à disposition.

9/ Améliorer la qualité du travail

En déléguant des tâches à des employés spécialisés ou compétents, l’entreprise peut s’assurer que le travail est effectué avec expertise. Les employés qui ont des compétences spécifiques dans un domaine peuvent apporter un haut niveau d’expertise, ce qui se traduit par une meilleure qualité du travail. Une meilleure qualité est synonyme de clients plus satisfaits, de produits et de services de meilleure réputation, et d’une plus grande fidélisation de la clientèle. En fin de compte, la délégation permet de fournir un meilleur produit ou service, ce qui est essentiel pour la croissance de l’entreprise.

10/ Créer un environnement de travail équilibré

La délégation peut contribuer à la création d’un environnement de travail équilibré. Les employés surchargés de travail peuvent rapidement devenir stressés et démotivés. La délégation permet de répartir équitablement la charge de travail, ce qui améliore la satisfaction des employés. Un environnement de travail équilibré favorise un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, ce qui renforce la rétention du personnel. Les employés qui se sentent respectés et écoutés sont plus susceptibles de rester fidèles à l’entreprise et de fournir un travail de qualité.

Utiliser les des tableaux de bord spectaculaires pour la procrastination

La procrastination est un art subtil qui mérite d’être étudié de près. Pourquoi se préoccuper de ces tâches ennuyeuses au travail quand on peut se plonger dans l’art de la procrastination productive ? Explorons ensemble une approche tout à fait unique de la procrastination : comment créer des tableaux de bord spectaculaires pour la procrastination au lieu de travailler. Après tout, qui a besoin de ces rapports fastidieux lorsque vous pourriez être le génie de l’infographie ?

L’inépuisable source d’inspiration de la procrastination

La procrastination est comme une mine d’or inépuisable d’inspiration. Dès que vous faites face à une tâche ennuyeuse ou une deadline imminente, votre cerveau commence à fourmiller d’idées créatives pour tout sauf cette tâche. C’est à ce moment-là que naissent les tableaux de bord spectaculaires. En effet, il n’y a rien de plus stimulant que de créer quelque chose de magnifique pour échapper à l’ennui.

L’émergence du tableau de bord fantaisiste

Il est temps de faire ressortir vos talents artistiques cachés. Ouvrez votre logiciel de création de tableaux de bord préféré, ou, mieux encore, créez un depuis zéro. Choisissez des couleurs vives et des polices extravagantes pour donner vie à votre vision. Si vous avez toujours rêvé d’une infographie avec des êtres féériques dans un paysage de sucreries, c’est le moment idéal pour la réaliser. Laissez votre créativité s’exprimer sans limites.

Les données et les graphiques : les toiles de l’artiste « procrastinateur »

Impossible de créer un tableau de bord sans données, n’est-ce pas ? Les chiffres et les graphiques deviennent les toiles de l’artiste « procrastinateur ». Allez chercher des données au hasard ou créez vos propres chiffres fictifs. Plus c’est extravagant, mieux c’est. Vous pouvez même inventer un graphique qui montre l’évolution de la consommation de popcorn dans l’entreprise au fil des ans. Qui oserait contester la pertinence de cette donnée, même si elle est entièrement imaginaire ?

La réunion imaginaire

Maintenant que vous avez conçu un tableau de bord spectaculaire, il est temps d’organiser une réunion imaginaire pour discuter de votre création. Invitez des collègues imaginaires et interprétez chaque rôle avec une passion débordante. Discutez de la signification profonde de chaque élément du tableau de bord, même si cela n’a aucun sens. Faites semblant de prendre des notes sérieuses et de poser des questions cruciales pour montrer à quel point votre travail est vital. Vous êtes maintenant à un niveau de procrastination digne d’un Oscar.

La présentation spectaculaire

Quand votre tableau de bord est prêt, il est temps de le présenter à votre public, même s’il est inexistant. Créez une présentation élaborée avec des transitions flashy, des animations audacieuses, et des diapositives qui volent. Prétendez que vous êtes sur le point de révéler la découverte la plus importante du siècle. Vous êtes la star de cette présentation, et votre tableau de bord est la pièce maîtresse. Ne lésinez pas sur les effets spéciaux et les feux d’artifice virtuels.

La retouche sans fin

Pour parfaire votre art de la procrastination, assurez-vous de passer un temps infini à retoucher et améliorer votre tableau de bord. Ajoutez des détails inutiles, des légendes farfelues, et quelques graphiques supplémentaires. N’oubliez pas d’utiliser des filtres artistiques pour donner à vos données un aspect plus « avant-garde ». Chaque minute passée à peaufiner votre chef-d’œuvre « procrastinatoire » est une minute de travail évitée avec style.

Le moment de révélation

Enfin, quand vous avez atteint le sommet de la procrastination créative, révélez votre chef-d’œuvre à un ami ou à un collègue. Soyez prêt à expliquer avec sérieux l’importance vitale de votre tableau de bord spectaculaire, même si cela reste un pur produit de votre imagination. Qui sait, peut-être que votre ami imaginera une utilisation réelle pour cette création magnifique, ou tout simplement, il applaudira votre capacité à transformer la procrastination en une forme d’art.

La procrastination peut être bien plus que le simple report de tâches ennuyeuses. Elle peut être un terrain d’expression artistique. Au lieu de lutter contre l’envie de remettre une tâche à plus tard, pourquoi ne pas laisser libre cours à votre créativité et créer des tableaux de bord spectaculaires ? Vous pouvez ainsi prouver que la procrastination peut avoir des avantages insoupçonnés : l’émergence d’un artiste de la donnée. Alors, la prochaine fois que vous voudrez éviter une tâche ennuyeuse, sortez vos pinceaux numériques et créez une œuvre d’art « procrastinatoire » ! Après tout, n’est-ce pas ce que signifie réellement « travailler intelligemment » ?

Êtes-vous l’entrepreneur, le salarié, le client  accro au Dift ?

Mais de quoi s’agit-il ? Avez-vous manqué la dernière idée révolutionnaire qui pourrait vous apporter un nouveau souffle et répondre aux besoins du moment ? Le Dift ! Permettez à Dynamique-mag de vous l’expliquer en quelques mots car elle en est devenue fan.

Une nouvelle version du cadeau d’affaire

Captain Cause, la startup pionnière du financement de projets à impact par les entreprises, cofondée par Frédéric Mazzella et Georges Basdevant, a  inventé le terme DIFT®. Mais pourquoi donc ? En fait, c’est la contraction des mots DON et GIFT (cadeau). Elle a décidé de dépoussiérer le monde des cadeaux des affaires pour ouvrir la nouvelle ère du cadeau dans ce moment où tout un chacun a besoin de solidarité et de placer ses investissements dans des enjeux majeurs pour aujourd’hui et pour demain.

Il s’agit d’une nouvelle approche du mécénat d’entreprise. Le Dift est un cadeau solidaire digital qui vise à utiliser les budgets cadeaux ou marketing des entreprises vers des défis environnementaux et sociétaux. Mais ce qui change la donne, de surcroît, c’est d’impliquer l’entrepreneur, les clients et les  collaborateurs, pour redonner du sens à ces cadeaux professionnels qui n’obtenaient plus l’engouement  et restaient  figés dans des cadeaux sans valeur ajoutée. Certes, vous pouvez boire votre thé préféré dans un mug, avoir une clef USB, au nom d’une entreprise avec laquelle vous avez tissé des liens mais au bout d’un moment vous vous en lassez sans vous en rendre compte. Chacun le sait, boire son  thé dans le même mug …

Il faut le reconnaître, déjà plus de  150 entreprises sont accro au Dift : Accor, L’Équipe, Great Place to Work, Orange ou M6 et font confiance à Captain cause pour utiliser  leur argent à bon escient.

Le Dift c’est avant tout l’originalité 

Le Dift a pour objectif de donner l’opportunité aux entreprises de créer des opérations personnalisées. Ainsi, elles définissent un montant global à allouer, ainsi que 3 à 6 projets environnementaux et sociaux parmi les 100 associations aujourd’hui référencées sur la plateforme. Il ne s’agit guère de se limiter à quelques références déjà bien connues dans l’hexagone, elles ont la chance  de  diriger  leur “dift” vers le projet qui leur tient le plus à cœur. Les projets bénéficiaires des dons communiquent par la suite via la plateforme sur leur progression, informant ainsi de leurs avancées sur le terrain. De plus, elles peuvent suivre l’évolution du projet et cela n’est guère anodin. Il permet de créer des liens pérennes et de remercier et rassurer les donateurs sur l’utilisation efficace de l’argent, raviver la sensibilisation de tous autour de ces causes, dans une nouvelle forme d’implication-communication. Et n’hésitez pas à visionner la vidéo qui vous en dira davantage !

Comment choisir les bons partenaires stratégiques pour votre entreprise ?

Pour rester compétitives, les entreprises cherchent de plus en plus à établir des partenariats stratégiques. Ces alliances offrent des opportunités de croissance, d’innovation et d’expansion, mais elles comportent également des risques. Choisir les bons partenaires stratégiques est une décision critique qui peut impacter considérablement le succès à long terme de votre entreprise. Voici les étapes et les considérations pour sélectionner les bons partenaires stratégiques qui renforceront votre entreprise.

Prendre en compte vos objectifs et votre stratégie

La première étape dans le choix de partenaires stratégiques est de définir clairement vos objectifs et votre stratégie. Quels avantages recherchez-vous dans un partenariat ? S’agit-il d’accéder à de nouveaux marchés ? De développer de nouvelles compétences ? De réduire les coûts ou d’améliorer la qualité de vos produits ou services ? Votre stratégie globale doit guider la sélection de partenaires pour garantir que les partenariats sont en phase avec vos objectifs.

Par exemple, si vous êtes une entreprise de technologie, vous pourriez chercher un partenaire stratégique pour accélérer la recherche et le développement de nouvelles technologies. Si vous êtes une entreprise axée sur la distribution, un partenaire de logistique pourrait être essentiel pour étendre votre présence géographique.

Identifiez les compétences et les ressources manquantes

Une autre considération clé est d’identifier les compétences et les ressources que votre entreprise ne possède pas encore. Cela peut concerner des domaines tels que la technologie, la distribution, la fabrication ou même l’expertise sectorielle. Les partenariats stratégiques peuvent combler ces lacunes et renforcer votre position sur le marché. Pour ce faire, procédez à un audit interne approfondi pour évaluer vos capacités actuelles. Identifiez les domaines dans lesquels vous avez besoin de renfort pour atteindre vos objectifs.

Recherchez des partenaires complémentaires

La complémentarité est souvent la clé d’un partenariat stratégique réussi. Cherchez des partenaires dont les compétences, les ressources et les objectifs sont en phase avec les vôtres. Vous ne cherchez pas seulement un partenaire qui remplit les lacunes. Vous recherchez aussi un partenaire dont les atouts renforcent vos propres points forts.

Par exemple, si vous êtes une entreprise de médias sociaux en croissance rapide, un partenariat avec une société de gestion des données peut vous permettre de mieux comprendre les tendances et les besoins des utilisateurs. De même, si vous êtes une entreprise de fabrication de produits électroniques, un partenariat avec un fournisseur de composants clés peut renforcer votre chaîne d’approvisionnement.

Évaluez la réputation et la stabilité du partenaire

La réputation et la stabilité du partenaire potentiel sont des facteurs clés à prendre en compte. Avant de vous engager dans un partenariat, effectuez une évaluation minutieuse de l’historique, de la situation financière, de la gouvernance d’entreprise et de la culture de l’entreprise du partenaire potentiel. Assurez-vous que le partenaire partage vos valeurs et votre engagement envers l’intégrité et l’éthique des affaires. Un partenaire avec une réputation solide est plus susceptible de respecter les engagements pris dans le cadre du partenariat et de contribuer positivement à l’image de votre entreprise. De plus, la stabilité financière est importante pour garantir que le partenaire a les ressources nécessaires pour soutenir le partenariat sur le long terme.

Créez des objectifs et des rôles clairs

La clarté est essentielle pour le succès d’un partenariat stratégique. Dès le début, il est nécessaire de définir des objectifs clairs pour le partenariat, ainsi que les rôles et les responsabilités de chaque partie. Cette clarté garantit que toutes les attentes sont mutuellement comprises et acceptées. Un accord formel, généralement sous la forme d’un accord de partenariat, devrait se mettre en place pour documenter ces objectifs et rôles. Cet accord doit inclure des éléments tels que les échéances, les indicateurs de performance et les mécanismes de résolution des conflits.

Pensez à long terme

Les partenariats stratégiques sont souvent plus fructueux lorsqu’ils sont conçus pour une durée plus longue. Bien que les gains à court terme soient importants, envisagez également comment le partenariat peut se développer et s’adapter aux besoins changeants de votre entreprise sur le long terme.

Par exemple, si vous êtes une entreprise de biotechnologie, un partenariat avec une entreprise pharmaceutique peut commencer par une collaboration de recherche, mais évoluer vers une coentreprise pour la commercialisation de médicaments.

Soyez prêt à la communication et à l’adaptation

La communication ouverte et continue est cruciale pour maintenir un partenariat stratégique solide. Les deux parties doivent être disposées à discuter des problèmes potentiels, des changements de stratégie et des ajustements nécessaires. La flexibilité et l’adaptabilité sont essentielles pour faire face aux défis imprévus qui peuvent surgir. Une communication régulière permet également d’éviter les malentendus et de résoudre les problèmes rapidement. La transparence renforce la confiance entre les partenaires et contribue à la stabilité du partenariat.

Évaluez régulièrement la performance du partenaire

La gestion efficace d’un partenariat implique de mesurer régulièrement la performance du partenaire par rapport aux objectifs fixés. Si le partenariat ne répond pas aux attentes ou s’il n’est plus mutuellement bénéfique, il peut être nécessaire de réévaluer la relation ou de la réorienter. La performance doit être évaluée en fonction des indicateurs clés de succès convenus au départ. Si le partenariat ne contribue plus de manière significative à l’atteinte de ces objectifs, il peut être temps d’envisager des ajustements ou même la fin du partenariat.

N’oubliez pas que la gestion de partenariats est un processus sur le long terme mais nécessite une attention constante. Les partenariats évoluent avec le temps, tout comme les besoins de votre entreprise. En restant vigilants et flexibles, vous pouvez tirer le meilleur parti de ces alliances stratégiques pour le bénéfice de toutes les parties impliquées.

En savoir plus sur l’analyse de la Valeur Actuelle de l’Exploitation (NPV)

La prise de décision repose sur des fondements solides et des données précises. Lorsqu’il s’agit d’évaluer la viabilité d’un projet, d’un investissement ou de l’ensemble d’une entreprise, l’Analyse de la Valeur Actuelle de l’Exploitation (NPV) est un outil financier puissant qui apporte une perspective précise sur la valeur actuelle nette des flux de trésorerie futurs. Cette analyse va au-delà des chiffres bruts et examine la valeur temporelle de l’argent. Elle tient compte de l’impact du temps et de l’incertitude.

La valeur actuelle de l’exploitation (NPV) en quelques mots

La NPV est une méthode financière essentielle qui aide à évaluer l’efficacité des investissements en capital, des projets, des acquisitions d’entreprise, et même de l’entreprise dans son ensemble. Elle repose sur le principe économique fondamental que l’argent aujourd’hui vaut plus que la même somme d’argent dans le futur. Ceci, en raison de l’opportunité d’investir et de gagner des rendements.

L’importance de la NPV

La NPV est un indicateur de la rentabilité et de la faisabilité d’un projet ou d’un investissement. Elle est cruciale pour les entreprises qui souhaitent maximiser leur retour sur investissement et allouer efficacement leurs ressources financières. En d’autres termes, elle aide à déterminer si un projet générera des flux de trésorerie positifs ou négatifs au fil du temps.

Le processus d’analyse NPV

L’analyse NPV consiste en plusieurs étapes essentielles :

  • Estimation des flux de trésorerie futurs : La première étape implique d’estimer les flux de trésorerie futurs, généralement sur une période donnée, liés au projet, à l’investissement ou à l’entreprise. Cela inclut les revenus attendus, les coûts d’exploitation, les investissements en capital, les taxes, et d’autres éléments pertinents.
  • Détermination du taux d’actualisation : Un taux d’actualisation est appliqué aux flux de trésorerie futurs pour les ramener à leur valeur actuelle. Ce taux d’actualisation est basé sur le coût du capital de l’entreprise et prend en compte le niveau de risque associé au projet.
  • Calcul de la NPV : La NPV est calculée en soustrayant la somme des flux de trésorerie actualisés du coût initial de l’investissement. Une NPV positive indique que le projet générera un retour positif. A l’inverse une NPV négative indique que le projet est peu rentable.

Prise de décision informatisée

De nos jours, de nombreuses entreprises utilisent des logiciels financiers sophistiqués pour effectuer des calculs NPV. Ces outils automatisent le processus d’analyse, permettent de gérer de vastes ensembles de données. Surtout, ils fournissent des résultats en temps réel. Les logiciels financiers prennent en compte des variables complexes, comme les taux d’intérêt changeants, pour générer des estimations précises de la NPV.

Facteurs clés à considérer

Lors de l’application de l’Analyse NPV, plusieurs facteurs clés doivent être pris en compte, notamment :

  • L’incertitude : L’estimation des flux de trésorerie futurs est soumise à une certaine incertitude. Par conséquent, il est essentiel de prendre en compte différents scénarios, de l’optimiste au pessimiste, pour évaluer la robustesse de la NPV face à des variations potentielles.
  • Le Coût du capital : Le choix du taux d’actualisation est essentiel. Il reflète le coût du capital de l’entreprise, c’est-à-dire le taux de rendement attendu par les investisseurs ou les actionnaires. Un taux d’actualisation inapproprié peut fausser les résultats de la NPV.
  • Taux de croissance : Les taux de croissance des flux de trésorerie futurs sont également un facteur clé. Les projections de croissance doivent être réalistes et basées sur des données solides.

Avantages et limites de la NPV

La NPV présente de nombreux avantages, notamment sa capacité à fournir des résultats en termes de rentabilité. Elle guide les décisions d’investissement. Cependant, elle présente aussi des limites, notamment sa sensibilité aux estimations de flux de trésorerie futurs et au choix du taux d’actualisation.

Quelques outils et astuces pour vous aider pour votre NPV

Voici quelques outils et astuces qui peuvent vous aider à mettre en pratique la NPV de manière efficace :

Utilisation de Logiciels Financiers

Des logiciels financiers tels que Microsoft Excel, Google Sheets ou des logiciels de modélisation financière spécialisés peuvent simplifier le calcul de la NPV. Ces outils automatisent les calculs, ce qui permet de gagner du temps et de réduire les risques d’erreurs.

Modélisation Financière

Pour une analyse NPV approfondie, il est recommandé de créer une modélisation financière détaillée. Cette modélisation doit inclure des projections de flux de trésorerie futurs sur une période donnée, en prenant en compte les revenus, les coûts, les taxes, et les investissements en capital. La modélisation financière vous permet de tester différents scénarios pour évaluer la sensibilité de la NPV.

Sensibilité et scénarios

Explorez différents scénarios pour estimer les flux de trésorerie futurs. Cela vous permettra de mieux comprendre les risques potentiels associés au projet ou à l’investissement. Utilisez des outils de sensibilité pour évaluer comment des variations dans les flux de trésorerie, les taux d’actualisation ou d’autres facteurs influencent la NPV.

Évaluation des coûts et des avantages

Assurez-vous d’inclure tous les coûts et avantages pertinents dans vos projections de flux de trésorerie. Cela peut inclure les coûts de démarrage, les coûts opérationnels, les taxes, les avantages fiscaux, les revenus futurs, et les dépenses en capital.

Choix du taux d’actualisation

Le choix du taux d’actualisation est critique. Assurez-vous qu’il reflète le coût du capital de l’entreprise, ainsi que le niveau de risque associé au projet ou à l’investissement. Une estimation précise du taux d’actualisation est essentielle pour obtenir des résultats significatifs.

Communication et collaboration

Impliquez les parties prenantes clés de l’entreprise dans le processus d’analyse NPV. La collaboration avec les équipes financières, opérationnelles et de gestion est cruciale pour obtenir des données précises et une compréhension partagée des projections.

Externalisation de l’Analyse

Dans certaines situations, il peut être avantageux de faire appel à des experts financiers ou à des analystes pour effectuer l’analyse NPV. Ces professionnels ont l’expérience et les connaissances pour mener une analyse approfondie et impartiale.

Documentation

Assurez-vous de documenter l’ensemble du processus d’analyse NPV. Cela garantit la transparence, facilite la communication avec les parties prenantes et fournit un référentiel pour les futures évaluations.

L’ère des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux ont révolutionné la manière dont nous communiquons et interagissons dans le monde moderne. Devenus des plateformes incontournables pour la communication en ligne, ils jouent un rôle central dans nos vies personnelles et professionnelles. Ces plateformes offrent un espace virtuel où les utilisateurs se connectent, partagent du contenu, interagissent et construisent des relations avec d’autres utilisateurs du monde entier.

Une utilité professionnelle considérable

Dans le contexte professionnel, les réseaux sociaux ont considérablement modifié la façon dont les entreprises interagissent avec leur clientèle. Les entreprises peuvent publier du contenu varié, tels que des mises à jour sur les produits, des actualités de l’entreprise, des promotions spéciales ou des événements à venir. Ils permettent une diffusion rapide et étendue de ces informations, atteignant un public plus large que jamais.

Ils se révèlent être ainsi un moyen efficace de partager des informations pertinentes et de promouvoir les produits ou services d’une entreprise. Leur utilisation dans un contexte professionnel permet également une interaction directe avec les clients ou le public. Grâce aux commentaires, aux likes, aux partages et aux messages privés, les entreprises peuvent engager une conversation avec leur audience, répondre à leurs questions, résoudre les problèmes et recueillir des feedbacks. Cette interaction instantanée renforce l’engagement des clients, crée une relation de confiance et favorise la fidélité à la marque.

Une transformation pour les clients

Les réseaux sociaux ont également un impact significatif sur les relations personnelles. Ils ont transformé la façon dont nous communiquons avec notre entourage. En effet, ils nous permettent de rester en contact avec nos amis, notre famille et nos connaissances, même à distance. Ils facilitent le partage de moments de vie, de photos, d’opinions et de centres d’intérêt communs.
Les réseaux sociaux permettent également de créer de nouvelles relations, en élargissant notre cercle social et en nous connectant avec des personnes partageant les mêmes intérêts. Ils jouent un rôle clé dans la création de communautés en ligne, où les individus peuvent trouver un soutien, des conseils et des échanges enrichissants. Force est de constater que les outils sont devenus si performants qu’envoyer des photos, par exemple, est devenu un jeu d’enfants.

Discerner la vie professionnelle de la vie personnelle

Cependant, l’omniprésence des réseaux sociaux soulève également des préoccupations quant à la vie privée et à la gestion de la réputation en ligne. Il est important de faire preuve de prudence et de discernement lors de leur utilisation, en veillant à protéger sa vie privée et à maintenir une image en ligne professionnelle et positive.
En conclusion, que ce soit dans un contexte personnel ou professionnel, ils offrent des opportunités uniques pour partager des informations, interagir avec les utilisateurs et consolider les relations. Cependant, il est crucial de comprendre les implications et les défis liés à l’utilisation des réseaux sociaux, de respecter les bonnes pratiques de communication en ligne et de protéger sa vie privée. Les réseaux sociaux continueront d’évoluer et de façonner notre manière de communiquer. De plus, il faut se garder de créer du buzz en les utilisant à mauvais escient car les « bad buzz » existent vraiment.

Bonnes pratiques sur les réseaux sociaux à titre professionnel