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Faire disparaître des dossiers importants de votre bureau

Nous avons tous été confrontés à cette situation désespérante : un bureau encombré de dossiers, de papiers et de post-its qui menacent de nous engloutir. Les dossiers importants se multiplient comme par magie, et vous vous demandez comment vous allez vous en sortir. Heureusement, il existe une solution magique pour résoudre ce problème : la psychologie du bureau illusionniste ! Voici les secrets de l’art de faire disparaître des dossiers importants de votre bureau sans que personne ne s’en aperçoive.

Le tour de la distraction

Le premier tour de la psychologie du bureau illusionniste est le « Tour de la Distraction ». Pour commencer, assurez-vous que votre bureau est suffisamment encombré pour dissimuler vos intentions. Ensuite, engagez une conversation animée avec un collègue à proximité de votre bureau. Parlez de sujets en apparence importants comme la météo, le dernier épisode de votre série préférée ou même les mystères de l’univers. Pendant que vous parlez, faites glisser discrètement les dossiers dans un tiroir, derrière un ordinateur portable ou sous une pile de magazines. Votre collègue sera tellement absorbé par votre conversation que la seule chose qui disparaîtra sera son attention, et il ne remarquera pas la disparition des dossiers.

La fausse fuite d’eau

Le « tour de la fausse fuite d’eau » est une autre astuce ingénieuse. Prétendez soudainement que vous avez renversé accidentellement un verre d’eau sur votre bureau. Tilt ! Votre collègue va se précipiter pour vous aider à éponger l’eau imaginaire. Pendant ce temps, vous pouvez glisser les dossiers dans un tiroir ou sous votre chaise. Tout le monde sera tellement occupé à sauver votre bureau de la catastrophe que la disparition subite des dossiers sera totalement inaperçue.

La métamorphose de la poubelle

Le « tour de la métamorphose de la poubelle » est un classique de la psychologie du bureau illusionniste. Il suffit de prétendre que vous êtes sur le point de jeter un tas de papiers inutiles dans la poubelle. Pendant que vos collègues observent attentivement votre geste altruiste en faveur de l’environnement, remplacez habilement les dossiers importants par des vieux papiers froissés que vous avez préalablement préparés à cet effet. La magie opère, et vos dossiers disparaissent comme par enchantement, laissant derrière eux un bureau propre et ordonné.

Le leurre de la cafetière

Le « leurre de la cafetière » est un moyen subtil de faire disparaître des dossiers sans éveiller les soupçons. Tout d’abord, annoncez que vous avez une envie irrépressible de café. Quittez votre bureau en toute hâte, en laissant les dossiers en évidence. Pendant que vous faites la queue à la cafetière, demandez à un collègue de bureau complice de passer discrètement récupérer les dossiers. À votre retour, prétendez que vous avez tout simplement oublié où vous aviez laissé les dossiers, et personne ne sera plus sage.

Le grand final : La réapparition stratégique

Maintenant que vous avez réussi à faire disparaître vos dossiers importants, il est temps de préparer le grand final : la réapparition stratégique. Attendez quelques jours, voire quelques semaines, puis réintroduisez subrepticement les dossiers sur votre bureau. Vous pourriez prétendre que vous les avez miraculeusement retrouvés ou que vous les avez finalement mis en ordre. Ébahissez vos collègues par votre capacité à résoudre des problèmes qui semblaient insurmontables. En effet, voici le vrai talent de la magie du bureau.

Bien sûr, nous plaisantons ! Dans la réalité, il est essentiel de maintenir un espace de travail organisé pour être productif et efficace. Plutôt que de faire disparaître vos dossiers, envisagez des méthodes de gestion du temps et de l’organisation pour relever les défis de votre bureau. Cependant, il n’y a rien de mal à ajouter une touche d’humour et de créativité à votre journée de travail pour égayer l’atmosphère au bureau. Après tout, un sourire est le meilleur tour de magie de tous, et un bureau bien rangé est une véritable œuvre d’art !

Salles de jeux au travail : si on osait se détendre pour booster la productivité ?

Parmi les nombreuses évolutions du monde du travail, il est intéressant de constater que de nombreuses salles de jeux font partie de certaines entreprises. La tendance n’est pas encore majoritaire en France, mais il arrive que des grandes et moyennes entreprises aménagent un espace détente pour ses employés.

Ici, nous ne parlons pas de la banale machine à café et de quelques journaux posés sur une table. Tables de ping-pong ou bornes d’arcade : voilà les amusements proposés par les entreprises afin de détendre leurs employés. La pratique d’une activité qui sorte du train-train du travail est non seulement sympathique, mais aussi bénéfique pour la plupart des gens.

Bien sûr, l’implémentation d’une salle de jeux aura tendance à susciter un doute chez la plupart des patrons et employeurs. Les questions sont multiples: Est-ce judicieux d’investir dans des équipements de jeux alors que les employés sont censés travailler. Qui contrôle le temps de jeu ? comment s’assurer que les employés n’abusent pas de cette forme de divertissement ?

Après plusieurs années de tests, la plupart des entreprises françaises ayant tenté les salles de jeux sont satisfaites. Voici les raisons pour lesquelles une large sélection de jeux dans un cadre professionnel peut booster la productivité globale des employés.

Une idée originale de Google

Dès les années 90, une entreprise célèbre du nom de Google innove et offre à ses employés des aires de jeux au sein de l’entreprise. L’idée est d’opérer une cassure marquée entre les phases de travail et les moments où l’employé peut décharger son cerveau, et recharger ses batteries. Dans un premier temps, l’entreprise fournit des tables de ping pong, et l’idée se propage dans les autres entreprises de la Silicon Valley, lieu où l’on repense le milieu du travail d’une manière révolutionnaire.

Dans l’histoire du monde du travail, fournir un espace réservé à la détente active n’est pas si récent, mais il a fallu au moins vingt ans pour que l’idée vienne se propager en France. Encore de nos jours, l’image d’une salle de jeu dédiée à la détente fait sourire. On imagine une bande de créatifs en basket qui travaillent en dilettante sur des immenses coussins.

La productivité des employés en question

Pourtant, la vie de bureau apporte son lot de stress, et il est tout à fait utile pour un employé de pouvoir faire une vraie pause dans le cadre de son travail. Bien entendu, la plupart des salles de pause sont peuplées de gens qui regardent leur portable, mais cela vaut le coup d’aménager une salle de jeu si votre entreprise comporte plus d’une vingtaine d’employés.

Investir dans une telle salle peut avoir un effet bénéfique sur votre image de marque. Ainsi, quand un employé potentiel aperçoit les locaux pour la première fois, il sera conforté dans l’impression que votre entreprise sait donner un côté humain à son management

Les recherches scientifiques ont maintes fois démontré que c’est un employé heureux qui sera le plus productif. S’accorder quelques minutes de jeu par jour ne se fait pas du tout au détriment d’un travail bien fait. C’est au contraire une manière saine de couper pour revenir sur sa tâche.

Bien entendu, il faut savoir doser et ne pas donner à son entreprise une ambiance d’arrière salle de PMU. Pour cela, on privilégie les jeux collectifs (baby-foot, ping-pong) et on incite les gens à se mouvoir le plus souvent possible. Cela s’applique notamment pour les entreprises où les personnes travaillent assises toute la journée.

Aux États-Unis, certains patrons un peu gamers ont équipé leur entreprise de bornes d’arcade. L’idée n’est pas mauvaise car les jeux vidéo ont leurs bénéfices sur le plan cognitif : réflexe, rapidité de décision et résolutions des problèmes, entre autres.

L’importance avérée du team-building pour les entreprises

Même dans les petites entreprises, créer une culture du jeu et de la détente peut s’avérer gagnant en termes de productivité mais aussi de team-building. Le terme, forcément anglophone, désigne toutes les activités amusantes qui peuvent être pratiquées en entreprise qui ne concernent pas le travail.

Une salle de jeux aménagée peut d’ailleurs être le centre des activités de team-building. On peut imaginer des tournois de ping-pong, ou même des jeux de sociétés. Ces activités peuvent se pratiquer soit durant un temps de pause défini, mais aussi à tour de rôle. Le meilleur score sur un jeu en particulier peut aussi provoquer une émulation. Offrez un petit lot à la meilleure équipe de baby-foot si vous le désirez. Une atmosphère de compétition bienveillante aura tendance à faire oublier les tracas du boulot à coup sûr.

La pratique d’activités en dehors du boulot ne s’arrête pas à cette salle de jeux. Il est traditionnel de donner à ses employés au moins une opportunité par an pour aller manger une pizza entre collègues ou même aller faire un bowling. Même si tous les employés ne se prêtent pas à ce genre de festivités, il en résulte que ce sont des bons moments qui permettent aux gens de mieux se connaître. Cela profitera sûrement à une bonne ambiance de travail.

Comment anticiper les tendances technologiques futures qui pourraient perturber votre secteur ?

Le monde évolue constamment et les changements s’opèrent rapidement. Les entreprises doivent avoir la capacité à anticiper les tendances technologiques futures si elles ne veulent pas se retrouver dépassées. En effet, les avancées technologiques rapides ont le pouvoir de perturber profondément et rapidement les marchés. Ceux qui ne sont pas préparés peuvent se retrouver rapidement à la traîne. Alors, comment pouvez-vous anticiper ces tendances et rester en tête de la vague technologique ? C’est la question à laquelle nous allons répondre dans cet article.

Surveillez l’actualité technologique

La première étape pour anticiper les tendances technologiques futures consiste à être bien informé. Suivez l’actualité technologique en lisant des publications spécialisées. Pour cela, vous pouvez assister à des conférences, écouter des podcasts ou encore des experts du domaine sur les réseaux sociaux. L’information est la clé, et rester à jour sur les dernières avancées vous permettra de repérer les tendances naissantes.

Les médias technologiques sont une mine d’or d’informations. Des sites Web tels que TechCrunch, Wired, et The Verge couvrent en profondeur les dernières innovations. Ils vous informent des lancements de produits et des avancées de l’industrie. Les podcasts technologiques, comme « This Week in Tech » (TWiT) et « Reply All » offrent également une perspective précieuse sur les développements technologiques actuels. Ils sont cependant en anglais. 

Les conférences technologiques sont un excellent moyen d’obtenir un aperçu des tendances émergentes. Des événements majeurs tels que le Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas et la Web Summit attirent les leaders de l’industrie du monde entier. Assister à ces conférences vous permet de voir les dernières technologies en action et de discuter avec des experts de premier plan.

Analysez les investissements et la recherche

Les entreprises qui investissent massivement dans une technologie particulière indiquent souvent une tendance émergente. Les annonces de grandes entreprises et les financements de startups peuvent révéler les domaines qui retiennent l’attention de l’industrie. De plus, examinez les projets de recherche universitaire et les brevets déposés. Ils peuvent également donner des indices sur les innovations à venir.

Lorsqu’une entreprise investit dans une technologie émergente, cela signifie qu’elle a identifié un potentiel disruptif. Prenez l’exemple de Tesla, qui a investi massivement dans les véhicules électriques et l’automatisation de la conduite. Ces investissements ont révolutionné l’industrie automobile et ont établi Tesla comme un leader dans le domaine.

Aussi, la recherche universitaire est une source souvent négligée d’informations sur les tendances technologiques futures. Les universités du monde entier mènent des recherches de pointe dans divers domaines, de l’intelligence artificielle à la biotechnologie. En surveillant les publications académiques et les projets de recherche, vous pouvez repérer des idées novatrices qui pourraient façonner l’avenir de votre secteur.

Restez à l’écoute de vos clients et de vos concurrents

Vos clients représentent une source précieuse d’informations sur leurs besoins futurs. Écoutez leurs commentaires, effectuez des sondages et menez des enquêtes pour comprendre comment leurs besoins évoluent. En outre, surveillez ce que font vos concurrents. S’ils commencent à adopter de nouvelles technologies ou à changer leur modèle commercial. Cela peut être le signe que vous devriez faire de même pour rester compétitif.

L’écoute de vos clients est essentielle pour comprendre comment votre produit ou service peut évoluer pour répondre à leurs besoins changeants. Une entreprise qui a bien réussi à cela est Amazon, qui a commencé comme une librairie en ligne mais a évolué pour devenir une plateforme de commerce électronique diversifiée en fonction des commentaires de ses clients.

La veille concurrentielle est également à ne pas négliger. Utilisez des outils de surveillance en ligne pour suivre l’activité de vos concurrents sur les médias sociaux, les sites Web et les plateformes de crowdfunding. Cela peut vous donner un aperçu de leurs projets futurs et de leur stratégie technologique.

Collaborez et participez à des écosystèmes technologiques

Faire partie d’écosystèmes technologiques, tels que des clusters industriels, des incubateurs ou des associations professionnelles, peut vous mettre en contact avec d’autres acteurs du secteur. Ces réseaux vous permettront d’échanger des idées, de discuter des tendances émergentes et même de collaborer sur des projets innovants.

Les clusters industriels sont des regroupements géographiques d’entreprises du même secteur. Par exemple, la Silicon Valley est célèbre pour être le centre de l’innovation technologique aux États-Unis. Rejoindre un cluster similaire dans votre domaine vous exposera aux dernières tendances et aux opportunités de collaboration.

Les incubateurs de startups sont un autre moyen de rester à la pointe de la technologie. Ils fournissent souvent un espace de travail partagé et un accès à des mentors et des investisseurs. En collaborant avec des startups, vous pouvez bénéficier de leur agilité et de leur esprit d’innovation.

Investissez dans la recherche et le développement

Pour rester à la pointe, investir dans la recherche et le développement est essentiel. En consacrant des ressources à l’exploration de nouvelles technologies et à l’innovation, vous serez mieux préparé à adopter rapidement les tendances technologiques qui peuvent perturber votre secteur.

Des entreprises telles que Google consacrent une part importante de leur budget à la recherche et au développement. Cela leur permet de rester à la pointe de l’intelligence artificielle, de la recherche en informatique quantique et d’autres domaines technologiques de pointe.

Soyez prêt à évoluer

L’anticipation des tendances technologiques futures nécessite une mentalité d’ouverture au changement. Soyez prêt à remettre en question les normes établies, à adopter de nouvelles technologies et à vous adapter rapidement à l’évolution du paysage technologique.

Nokia est un exemple d’entreprise qui n’a pas réussi à s’adapter au changement. Autrefois leader incontesté dans le secteur des téléphones mobiles, Nokia a été dépassé par l’arrivée des smartphones et n’a pas su s’adapter à temps. En revanche, Apple a réussi à anticiper cette tendance en lançant l’iPhone, ce qui a transformé l’industrie.

Les réseaux sociaux pour augmenter la rentabilité

Zoom sur les bonnes pratiques permettant aux entrepreneurs de booster les revenus de leur site web en surfant sur la vague des réseaux sociaux. Les réseaux sociaux permettent aux entreprises d’augmenter directement ou non la rentabilité de leur site Internet… A condition de savoir vraiment bien utiliser les réseaux sociaux.

Selon une enquête Statista, entre 2019 et 2020, les revenus de la publicité sociale ont bondi de 35 % pour atteindre 130 milliards de dollars dans le monde. En 2021, ce chiffre a grimpé à 183,5 milliards de dollars. D’ici la fin de 2022, les dépenses publicitaires sur les réseaux sociaux devraient augmenter de 42 milliards de dollars supplémentaires pour atteindre 226 milliards de dollars dans le monde.

En France, le réseau social le plus plébiscité par les marques est LinkedIn (91.2%), qui a dépassé Facebook (84%). Par ailleurs, LinkedIn fait toujours partie des réseaux les plus utilisés par les professionnels du marketing en France (91.2% contre 89.18% l’année dernière). Ensuite, on trouve Instagram (83.2%), puis YouTube (64%), X (ex Twitte (53.6%) et enfin TikTok (27.2% contre 11.22% l’année dernière). En 2022, les marques étaient encore peu présentes sur TikTok. Or, aujourd’hui près d’un tiers sont présentes sur ce réseau social. Ce dernier se situe devant Pinterest (18.4% contre 19.84% l’année dernière). En 2023, le contenu vidéo s’impose comme la nouvelle tendance et TikTok est en train de devenir la star. Il faut noter qu’Instagram et TikTok sont considérés comme les réseaux sociaux les plus rentables. 

Les réseaux sociaux : sources de revenus directs 

LinkedIn, l’étoile montante

En 2023, LinkedIn est une plateforme sociale sur laquelle les créateurs de contenus deviennent exponentiels. Ils partagent leurs expertises, leurs expériences professionnelles mais aussi leurs réflexions ou leurs avis sur l’actualité et les tendances de leur secteur.

En France, LinkedIn enregistre plus de 27 millions de membres en 2023. Aussi, en deux ans seulement, LinkedIn a vu son nombre de membres augmenter de 20 %.  Selon les données affichées par Statista, le dernier chiffre d’affaires annuel de LinkedIn était de plus de 13,8 milliards (chiffres octobre 2022). 

Instagram, une présence soutenue

La France compte 23,7 millions d’utilisateurs d’Instagram en janvier 2023, 58,6 % des usagers d’internet âgés de 16 à 64 ans utilisent l’application au moins une fois par mois. 19,4 % des Français qui utilisent les réseaux sociaux font d’Instagram leur plateforme favorite. Les Français passent en moyenne 8h36 par mois sur I ’application, l’application mobile se classe 5e en 2022 en termes d’utilisateurs mensuels actifs. C’est la 5e application la plus téléchargée en 2022.

Facebook, toujours efficace

Les marques présentes sur Facebook au travers de publicités peuvent en tirer une rentabilité directe. Pour cela, il est essentiel que cette publicité conduise vers le site e-commerce de la marque. En ciblant à la fois les CSP, la tranche d’âge ou les centres d’intérêt par mots-clés, et en procédant à une rotation des campagnes sur des segments distincts, il est aisé d’atteindre une cible de plus en plus pertinente tout en maîtrisant son budget. Quelques dizaines d’euros par jour suffisent ! Le ciblage est moins profond sur X (ex Twitter). Cependant de nombreux outils, tels que SocialBro ou Hootsuite, fournissent des statistiques basiques et gratuites sur les clics depuis les tweets : provenance, les plus suivis, les prescripteurs principaux… 

Facebook est un des sites le plus visité au monde, derrière Google et YouTube. Les opportunités business y sont donc kyrielles, et la plateforme présente encore de nombreux avantages. Facebook c’est : 2,934 milliards d’utilisateurs actifs par mois. A noter : 43,2% de femmes et 56,8% d’hommes. Autre donnée : 648,6 millions d’utilisateurs de 25-34 ans, la tranche d’âge la plus représentée sur Facebook. Une audience publicitaire potentielle de 2,168 milliards de personnes

X (ex Twitter), toujours aussi insolite

Twitter permettra en outre de déceler les mots-clés les plus porteurs : une fois les bons « hashtags » identifiés, les liens marchands de la marque seront plus performants. 

Les chiffres de Twitter en France, c’est 5 716 000 visiteurs uniques moyens par jour. 40 % des community managers estiment que Twitter est important dans le cadre de leur travail alors que 9,76 % du trafic web issu des réseaux sociaux provient de Twitter. A noter que 66 % des utilisateurs sont des hommes, contre 34 % de femmes, 22,1 % des visites se font sur ordinateur, 84,5 % sur smartphone, 6,2 % sur tablette.

 X, la plateforme anciennement connue sous le nom de Twitter, rencontre une baisse du nombre de ses utilisateurs actifs quotidiens depuis son acquisition par Elon Musk. X aurait perdu entre 9 et 34 millions d’utilisateurs actifs quotidiens, soit entre 3,7 et 11,6 %, par rapport à la période précédant le rachat de l’entreprise par Musk selon les statistiques révélées par Linda Yaccarino, la PDG de X. Le réseau social compte désormais 550 millions d’utilisateurs actifs mensuels. X se concentrerait davantage sur la fonction Communautés de la plateforme. Celle-ci compte 50 000 groupes et connaît une augmentation de l’engagement et du temps passé. 

Pinterest, toujours sollicité

Pinterest permet d’afficher immédiatement le prix de votre article et de renvoyer directement vers votre site web. Y être présent le plus tôt possible augmente l’audience d’une marque, surtout pour des produits très visuels. Pinterest c’est plus de 300 millions d’utilisateurs inscrits sur le site, environ 83 % des utilisateurs hebdomadaires font un achat de produit après l’avoir vu sur Pinterest, environ 85 %, des inscrits l’utilisent pour la planification d’évènements importants. Les membres de cette plateforme dépensent 29 % de plus que les autres. 33 % de trafic se fait plus sur Pinterest que sur Facebook. A noter que 90 % des utilisateurs actifs l’utilisent pour des prises de décisions d’achat.

Youtube, l’incontournable

Le réseau social génère également des revenus directs : des publicités peuvent être insérées au début des vidéos les plus vues, chaque visionnage provoquant dès lors une rémunération. YouTube c’est 2,2 milliards d’utilisateurs à travers le monde.

La tranche des 25-35 ans est majoritaire parmi l’audience, aussi bien hommes que femmes, la chaîne YouTube la plus connue fédère 202 millions d’abonnés, 450 chaînes YouTube françaises ont plus d’un million d’abonnés. En 2021, le site YouTube a dépassé les 50 millions d’abonnés aux formules payantes.

Tik Tok, le réseau social, qui a le vent en poupe

Au premier trimestre 2023, TikTok est devenu l’application la plus téléchargée au monde devant Instagram. CapCut, l’éditeur vidéo de ByteDance, la maison-mère de TikTok, se classe 5e. Des chiffres qui permettent de comprendre rapidement l’impact de ces applications sur le paysage mondial des réseaux sociaux ces dernières années. Voici les chiffres clés en France. 

  • 14,9 millions d’utilisateurs actifs mensuels,
  • 9,5 millions d’utilisateurs actifs quotidiens,
  • 22,4 millions de visiteurs uniques mensuels,
  • 72 % des utilisateurs ont moins de 24 ans.

Les marques et la publicité sur TikTok

1,08 milliard de personnes de plus de 18 ans peuvent être atteintes par les publicitaires sur TikTok (20,8 % des usagers d’internet de plus de 18 ans), soit une baisse de 1 % par rapport au premier trimestre 2023. En majorité, ce sont les 18-34 ans qui représentent le plus fort potentiel pour les marques.  Pourtant, moins de 4 % des entreprises utilisent TikTok pour leur marketing. Et en France en 2022, 40 % des community managers estimaient que TikTok était un réseau important pour communiquer. Ils n’étaient que 17 % en 2021.

Les réseaux sociaux : sources revenus indirects

Les revenus indirects concernent tout d’abord la valorisation supposée d’une marque. Plus elle a de fans sur Facebook, de followers sur X (exTwitter) ou de « vues » sur YouTube, plus elle sera légitime aux yeux d’un investisseur ou d’un actionnariat.

Un second revenu indirect réside dans le trafic même des réseaux sociaux : une information diffusée sur Facebook est potentiellement partagée par 130 personnes en moyenne. Les utilisateurs sont des prescripteurs inégalables vis-à-vis de leur entourage. Ainsi, plusieurs centaines de milliers de personnes accèdent à une information qui ne concerne au départ que quelques milliers de « fans ». 

Sources : étude We Are Social/Meltwater (avril 2023), étude We Are Social/Meltwater (France 2023), TikTok, Statista, étude We Are Social/Meltwater, étude Kepios/data reportal, Meltwater

La méthode des six chapeaux de l’Innovation  

L’innovation est devenue un impératif pour les entreprises et les individus souhaitant rester compétitifs. Cependant, l’exploration approfondie d’une idée tout en maintenant la créativité peut être un défi. C’est là qu’intervient la méthode des « Six chapeaux de l’innovation » d’Edward de Bono. Cette approche puissante offre un cadre structuré pour explorer une idée sous différents angles. Voici les détails de cette méthode fascinante. 

Les six chapeaux de l’innovation en quelques mots

La méthode des « Six chapeaux » est un système de pensée développé par le célèbre penseur Edward de Bono. Chacun des six chapeaux symbolise un mode de pensée différent. Cette approche permet aux individus ou aux équipes de prendre en compte une variété de perspectives lors de l’exploration d’une idée. Voici un aperçu de chaque chapeau :

  • Chapeau Blanc : il représente la perspective factuelle et objective. C’est l’occasion d’examiner les données, les faits et les informations disponibles concernant l’idée en question.
  • Chapeau Rouge : il incarne l’aspect émotionnel de la réflexion. Il permet aux participants de partager leurs sentiments, leurs intuitions, et leurs réactions émotionnelles à l’idée, sans jugement ni analyse.
  • Chapeau Noir : il est celui du pessimisme et de la critique. Il invite les participants à examiner les risques, les faiblesses, et les éléments négatifs de l’idée, offrant ainsi un contrepoids essentiel.
  • Chapeau Jaune : il symbolise l’optimisme et l’approbation. Il met l’accent sur les avantages, les opportunités et les aspects positifs de l’idée.
  • Chapeau Vert : il est le chapeau de la créativité. Il encourage les participants à générer de nouvelles idées, à explorer des solutions alternatives et à stimuler la créativité.
  • Chapeau Bleu : il joue le rôle de gestionnaire du processus. Il coordonne la réflexion, assure que les participants portent le chapeau approprié au bon moment, et maintient la structure de la discussion.

Exploration multidimensionnelle

L’un des avantages les plus marquants de la méthode des Six Chapeaux est qu’elle favorise une exploration multidimensionnelle d’une idée. En effet, elle encourage les participants à considérer l’opportunité, la valeur, les défis, les avantages, les idées nouvelles, et la gestion du processus. Cette approche holistique permet ainsi d’identifier des angles morts, d’éviter de se concentrer exclusivement sur un aspect, et d’élargir la vision.

Créativité, innovation et gestion

Le chapeau vert est souvent considéré comme le catalyseur de la créativité. Il pousse les participants à penser de manière non conventionnelle, à explorer des pistes inattendues, et à générer des idées nouvelles. En intégrant la créativité dans le processus de réflexion, les idées novatrices émergent plus facilement.

Le chapeau bleu, quant à lui, remplit un rôle de gestionnaire du processus. Il veille à ce que la transition entre les différents chapeaux se fasse de manière fluide, que les participants restent concentrés, et que le temps soit utilisé efficacement. Cette approche structurée garantit une réflexion organisée et ciblée.

Application de la méthode des six chapeaux

Pour utiliser la méthode des six chapeaux de l’innovation, un groupe de réflexion ou une équipe doit convenir de quel chapeau chaque participant portera à un moment donné. Cela peut se faire de manière linéaire, en parcourant les chapeaux dans un ordre préétabli, ou en fonction des besoins de la discussion. L’objectif est de passer en revue les différents chapeaux pour obtenir une compréhension complète de l’idée explorée.

Outils & Astuces 

Pour mettre en pratique la méthode des « Six chapeaux de l’innovation » de manière efficace, voici quelques astuces et outils qui peuvent vous aider :

1/Utilisez des outils de gestion de projet 

Les outils de gestion de projet tels que Trello, Asana, ou Microsoft Teams peuvent être utilisés pour structurer et suivre les discussions liées à chaque chapeau.

2/ Exploitez la technologie 

Il existe des outils en ligne, comme Stormboard ou Miro, qui facilitent la collaboration à distance et permettent aux participants d’ajouter des idées à différents « tableaux » correspondant à chaque chapeau.

3/ Organisez des sessions structurées 

Planifiez des réunions ou des sessions de réflexion spécifiques où vous utiliserez la méthode des Six Chapeaux. Assurez-vous que les participants comprennent les rôles associés à chaque chapeau.

4/ Définissez des règles claires 

Établissez des règles claires pour chaque chapeau. Par exemple, lors de l’utilisation du Chapeau Noir, assurez-vous que les participants se concentrent sur les aspects négatifs de l’idée, sans critiquer d’une manière destructive. Aussi, lorsque vous portez le chapeau vert, encouragez la pensée créative en utilisant des techniques telles que le brainstorming. Laissez libre cours aux idées et aux suggestions nouvelles. Assurez-vous également que les participants comprennent le but de chaque chapeau et comment les utiliser correctement. Vous pouvez envisager une formation préalable pour garantir une utilisation efficace.

Les TPE et les terminaux de paiement

Les paiements électroniques sont devenus la norme. Ainsi, les commerçants de toutes tailles doivent disposer de terminaux de paiement électronique (TPE) s’ils souhaitent augmenter leurs ventes. Les petites entreprises, en particulier, ont tout à gagner en adoptant cette technologie qui non seulement simplifie les transactions, mais améliore également l’efficacité et la satisfaction de la clientèle.

La révolution des TPE pour les commerçants

Il fut un temps où les paiements en espèces étaient rois, mais leurs jours sont révolus. Les TPE, ces petits appareils électroniques qui permettent aux commerçants d’accepter les paiements par carte de crédit et de débit, ont transformé la façon dont les transactions se déroulent. Alors que les grandes chaînes de magasins ont adopté cette technologie depuis des années, de plus en plus de petites entreprises prennent conscience de l’importance d’avoir leur propre TPE.

Il faut dire que les commerçants ont compris que les TPE simplifiaient et accéléraient les transactions. Il n’y a plus besoin de manipuler de l’argent liquide, de faire de la monnaie, ou de s’inquiéter des chèques encaissés. Les clients peuvent simplement insérer ou balayer leur carte et régler rapidement leurs achats. Cela permet aux files d’attente de diminuer et  d’améliorer ainsi l’expérience du client.

Diversité de paiement et sécurité

Les TPE ne se limitent pas seulement aux cartes de crédit. De nos jours, ils prennent en charge une variété de méthodes de paiement, notamment les paiements sans contact, les applications de paiement mobile, et même les paiements par code QR.

La sécurité est un autre avantage majeur des TPE. Les risques liés à la manipulation d’espèces, comme la fraude et le vol, sont considérablement réduits. De plus, les TPE sont conformes aux normes de sécurité les plus strictes, ce qui garantit la confidentialité des informations de paiement des clients.

Suivi des ventes et gestion facilitée

En outre, les TPE modernes offrent des fonctionnalités de suivi des ventes et de gestion qui peuvent aider les commerçants à gérer leur entreprise de manière plus efficace. Ils peuvent consulter des rapports détaillés sur les ventes, suivre les stocks et gérer les programmes de fidélité, le tout depuis un seul appareil.

Quelques éléments à prendre en compte

Cependant le choix du terminal de paiement électronique ne se fait pas au hasard. Il existe une multitude d’options et de frais associés, les prix variables, les frais de transactions, TPE fixes ou mobiles qui posent des questions pour les commerçants qui cherchent à choisir le bon système de paiement.

Prix variables : une énigme pour les commerçants

L’un des principaux défis auxquels sont confrontés les commerçants lorsqu’ils envisagent d’adopter un TPE est la variabilité des prix. Les fournisseurs de TPE proposent une gamme de forfaits, chacun avec ses propres caractéristiques et coûts. Les commerçants doivent donc naviguer à travers cette jungle tarifaire pour trouver l’option qui convient le mieux à leurs besoins.

Ils doivent notamment regarder les frais de transactions. En effet, chaque fois qu’une vente est réalisée, des frais peuvent être facturés. Ces frais varient en fonction de la carte utilisée, du montant de la transaction, et même de la politique de tarification du fournisseur de TPE. Les commerçants doivent examiner attentivement les frais de transactions pour éviter les surprises et comprendre comment cela affectera leur rentabilité.  À noter que certains fournisseurs proposent des tpe sans abonnement comme Stancer, spécialisé dans les solutions de paiement sécurisées pour e-commerçant et points de ventes physiques

TPE fixe et mobile : La stabilité à un prix

Les TPE fixes offrent généralement une certaine stabilité en termes de coûts. Les commerçants paient un montant fixe mensuel ou annuel pour l’utilisation de l’appareil. Cela permet un meilleur contrôle des coûts. Cependant, les TPE fixes peuvent avoir des coûts de transactions plus élevés, ce qui peut être problématique pour les commerçants traitant un grand volume de paiements par carte.

À l’opposé des TPE fixes, les TPE mobiles offrent une grande flexibilité, mais cette flexibilité a un coût variable. Les commerçants peuvent utiliser leur propre Smartphone ou tablette comme terminal de paiement, mais les frais de transaction sont souvent plus élevés, et certains fournisseurs imposent des frais de location pour les appareils mobiles. Cependant, la mobilité et la facilité d’utilisation peuvent être un atout majeur pour les petites entreprises.

Les règles de la communication dans un contexte professionnel

Les méthodes de communication traditionnelles, en l’espace d’à peine une décennie, ont évolué pour faire place à de nouvelles approches plus rapides, plus efficaces et plus adaptées aux besoins de notre société connectée. Cependant, cette communication professionnelle moderne exige également le respect de certaines règles et de bonnes pratiques pour créer une communication porteuse de sens. Dans cette optique, il est essentiel de comprendre les enjeux, les avantages et les défis liés à la communication dans un contexte professionnel.

Défis de la communication moderne

La communication professionnelle moderne se révèle être un défi. Les niveaux élevés de communication constante conduisent à une surcharge d’informations et à une difficulté à se concentrer sur les informations essentielles. De plus, des malentendus peuvent survenir en raison d’une communication écrite mal maîtrisée qui oublie de mettre en exergue le contexte et ne peut pas inclure de fait les expressions faciales si explicites. Par ailleurs, la gestion de la confidentialité et de la sécurité des données devient cruciale dans un environnement numérique qui peut mettre en danger la vie des entreprises et des collaborateurs.

Une communication interne qui s’adapte

La communication interne doit s’adapter aux nouveaux outils adoptés par les employés. Les réseaux sociaux d’entreprise perturbent les anciens modèles, remplaçant progressivement la communication descendante et centralisée par une communication transversale et personnalisée. Ainsi, la communication interne consiste de moins en moins à diffuser une information globale et uniforme au sein de l’entreprise.

Elle se concentre davantage sur la régulation de flux d’informations multiples et autonomes générés par les communautés professionnelles regroupées par activités (commerciales, achats, ressources humaines, etc.) ou par des projets transversaux. La mise en place d’un réseau social d’entreprise va au-delà de l’introduction d’un simple outil. Elle implique une révision complète du fonctionnement de l’entreprise, de sa culture et de ses valeurs. Dans ce contexte, les services de communication ont un rôle crucial à jouer en élaborant les « règles du jeu » (la charte des médias sociaux) et en accompagnant les employés dans l’appropriation du réseau social interne. En outre, ils doivent tout mettre en œuvre pour développer la confiance des employés dans ces réseaux internes.

Une communication organisatrice

Nous assistons au passage d’une ère de la Communication centralisée à une communication plus organisée. Les membres des communautés professionnelles sont désormais responsables de la diffusion, de l’enrichissement et du partage des informations qui les concernent. Il incombe cependant à la Communication de filtrer ces flux pour extraire les informations les plus pertinentes, qui seront ensuite diffusées via les canaux de communication de l’entreprise.

Il est concevable d’imaginer chaque salarié, devenu en quelque sorte autonome, doté d’un « journal » sur son écran, où s’affichent les informations sélectionnées. Celles-ci émanent des membres de l’entreprise et des flux auxquels ils s’abonnent. Ces informations sont produites par ses pairs et les communautés auxquelles ils appartiennent mais aussi de la chaîne « officielle » de la direction de la Communication. Cette dernière ne se limite pas à diffuser uniquement les informations corporatives, elle relaie également les informations adéquates, extraites d’autres flux internes, utiles et bénéfiques pour l’ensemble des salariés.

A vous de débuter les conversations

La Communication se trouve souvent confrontée à la nécessité d’initier une véritable révolution culturelle, notamment en encourageant les employés à prendre l’initiative de communiquer de leur propre chef au sein du réseau interne. Jusqu’à présent, pour la plupart des employés, s’exprimer individuellement représentait un acte risqué plutôt que comme un signe de liberté. Cependant, l’existence d’un réseau social au sein de l’entreprise pourrait bien changer cette perception et leur action.

Pour le management et la Communication, il est désormais indispensable de revoir les conditions dans lesquelles les employés s’expriment en utilisant ces nouveaux outils. Dans cette optique, mettre en avant et distinguer les contributeurs les plus pertinents devient un moyen de stimuler une dynamique positive.
Toutefois, il est important de noter que le réseau social d’entreprise suscite des effets indésirables : les individus les plus habiles en communication pourraient mettre en avant leurs actions plus facilement, même si elles ne sont pas nécessairement bénéfiques pour l’entreprise. C’est à la Communication de jouer un rôle de régulateur en distinguant et en encourageant les contributions de qualité.

Construire et synchroniser les identités numériques

Un aspect fondamental de la communication consiste à guider les employés dans la construction de leur identité numérique au sein du réseau interne de l’entreprise. En collaboration avec le service des ressources humaines (DRH), le département de la communication va probablement devoir mettre en place des actions formatrices pour aider les employés à compléter leur profil en indiquant leurs expériences, leurs domaines d’expertise et leurs compétences spécifiques.

Top 10 conseils pour développer une stratégie de marketing de contenu vidéo

Le contenu vidéo est devenu pour le marketing le joyau de la couronne. Il offre un moyen puissant de captiver l’attention de votre public, de raconter votre histoire et de promouvoir vos produits ou services. Toutefois, pour réussir dans le domaine du marketing de contenu vidéo, il est impératif de mettre en place une stratégie solide. Voici le top 10 des conseils pour développer une stratégie de marketing de contenu vidéo.

1/ Bien identifier votre public cible

Avant de créer des vidéos, il est essentiel de comprendre profondément votre public cible. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs caractéristiques démographiques ? Quels sont leurs intérêts, leurs besoins et leurs préférences ? Une compréhension approfondie de votre public est la pierre angulaire de toute stratégie de contenu vidéo réussie. Elle vous permet de créer du contenu qui résonne avec votre public, l’engage et l’incite à agir.

2/ Fixez des objectifs clairs

Identifiez les objectifs que vous souhaitez atteindre avec votre contenu vidéo. Que ce soit la notoriété de la marque, l’augmentation des ventes, la génération de leads, l’éducation des clients ou toute autre finalité, des objectifs clairs vous aident à orienter votre stratégie et à mesurer le succès de vos vidéos.

3/ Créez un plan de contenu solide

Établissez un plan de contenu détaillé qui définit les types de vidéos que vous allez créer, les sujets que vous allez aborder, et la fréquence de publication. Un plan de contenu vous aide à rester cohérent dans votre approche, à maintenir l’engagement de votre public, et à garantir que vos vidéos sont en phase avec votre stratégie globale.

4/ Investissez dans un équipement de qualité

La qualité de votre contenu vidéo est déterminante pour capter et maintenir l’attention de votre public. Investissez dans un équipement de tournage de qualité, y compris des caméras, des micros, des éclairages et des logiciels de montage. Une production de qualité professionnelle rehausse considérablement la perception de votre contenu.

5/ Soignez la présentation visuelle

Le visuel joue un rôle clé dans le contenu vidéo. Assurez-vous de disposer d’un design graphique de haute qualité et de soigner la mise en scène de vos vidéos. Une présentation visuelle attrayante, des graphismes soignés et une esthétique bien pensée contribuent à rendre votre contenu mémorable.

6/ Racontez des histoires « compelling »

Les vidéos qui racontent des histoires captivantes sont plus susceptibles d’attirer et de retenir l’attention. Utilisez des narrations captivantes pour garder votre public impliqué du début à la fin. Les histoires émotionnelles et authentiques sont particulièrement efficaces pour établir des connexions émotionnelles avec vos téléspectateurs.

7/ Optimisez pour les plateformes de diffusion

Chaque plateforme de médias sociaux a ses spécificités en matière de format, de durée et de public. Optimisez vos vidéos pour chaque plateforme que vous utilisez, que ce soit YouTube, Facebook, Instagram, ou d’autres. Adaptez votre contenu pour maximiser sa visibilité et son engagement sur chaque plateforme.

8/ Engagez avec votre public

La conversation est au cœur du marketing de contenu vidéo. Répondez aux commentaires, posez des questions, et encouragez la participation de votre public. L’engagement bidirectionnel renforce la communauté en ligne autour de votre marque et fidélise les téléspectateurs.

9/ Mesurez et analysez les performances

Utilisez des outils d’analyse pour mesurer les performances de vos vidéos. Suivez les indicateurs clés de performance (KPI) tels que le nombre de vues, la durée de visionnage, le taux de conversion, et l’engagement. Analysez ces données pour comprendre ce qui fonctionne le mieux et ajuster votre stratégie en conséquence. La rétroaction analytique vous aide à affiner votre approche pour obtenir des résultats optimaux.

10/ Soyez « consistant »

La cohérence est la clé du succès en marketing de contenu vidéo. Créez un calendrier de publication régulier et tenez-vous-y. La régularité dans la publication de nouvelles vidéos maintient la visibilité de votre marque et renforce la fidélisation de votre public. La fréquence de publication dépend de vos ressources, mais elle doit être maintenue de manière constante pour obtenir des résultats optimaux.

Devenir le roi ou la reine de la salle de pause !

Au bureau, il y a une variété de types d’employés, du travailleur acharné au génie de la gestion du temps. Et puis, il y a les blagueurs, ces individus qui excellent dans l’art de faire rire leurs collègues, même dans les moments les plus stressants. Voici quelques conseils pour devenir le roi ou la reine de la salle de pause. Préparez-vous à déployer votre sens de l’humour comme jamais auparavant !

Le pouvoir de la répartie instantanée

Le blagueur en entreprise possède un super-pouvoir inégalable : la répartie instantanée. Que ce soit en réponse à une question sérieuse lors d’une réunion ou à une remarque anodine dans la salle de pause, le blagueur a toujours une réponse qui fait rire. Entraînez-vous à être prêt à tout moment, car les occasions de faire des blagues surgissent souvent de manière inattendue. Vous pourriez être en train de consulter un graphique barbant dans une présentation PowerPoint. Puis, soudainement, l’inspiration frappe, et vous sortez la blague parfaite pour alléger l’atmosphère.

L’art de l’observation

Les blagueurs sont généralement d’excellents observateurs. Ils repèrent les détails les plus comiques dans la vie de bureau quotidienne et les transforment en anecdotes hilarantes. Que ce soit les réunions interminables, les pannes de la machine à café, ou les collègues aux habitudes étranges, tout peut devenir matière à rire pour un véritable blagueur. Vous pourriez remarquer que Dave du département des finances a une collection de stylos géante qui rivalise avec la Tour Eiffel, et soudain, vous avez une source inépuisable de plaisanteries sur la « stylo-manie » de Dave.

Les blagues thématiques

Les blagueurs en entreprise sont également doués pour créer des blagues thématiques en fonction de la situation. Par exemple, lors d’une période de lancement de produit, ils pourraient glisser subtilement des références aux produits dans leurs blagues. L’art de la blague subtile est un atout majeur pour devenir le roi ou la reine de la salle de pause. Lors du lancement de ce nouveau gadget révolutionnaire, vous pourriez glisser des plaisanteries du genre « J’ai entendu dire que le nouveau produit est si génial que même les photocopieuses se mettent à imprimer des selfies de célébrités ! »

La connexion humaine

Les blagueurs comprennent que l’humour est un moyen puissant de créer des liens. Ils savent que partager un bon rire avec un collègue peut renforcer les relations au sein de l’équipe. N’hésitez pas à utiliser l’humour pour briser la glace avec de nouveaux collègues ou pour détendre l’atmosphère lors de réunions tendues. Vous pourriez même endiguer une dispute entre collègues en lançant une blague bien placée sur le pouvoir de l’humour pour apaiser les tensions. Rien de tel qu’un éclat de rire partagé pour renforcer la camaraderie au bureau.

Les limites de l’humour en entreprise

Toutefois, il est important de se rappeler que l’humour en entreprise a ses limites. Évitez les blagues offensantes, politiquement incorrectes ou susceptibles de heurter vos collègues. L’humour doit être inclusif et positif. Si vous n’êtes pas sûr que votre blague est appropriée, il vaut mieux s’abstenir. Par exemple, évitez de plaisanter sur des sujets sensibles comme la politique, la religion ou des événements récents tragiques. Gardez à l’esprit que l’humour ne doit jamais être au détriment de quelqu’un d’autre.

Pratique, Pratique, Pratique

Comme toute autre compétence, l’art du blagueur en entreprise s’améliore avec la pratique. N’hésitez pas à tester vos blagues sur des amis en dehors du travail pour peaufiner votre sens de l’humour. Plus vous pratiquerez, plus vous deviendrez un maître dans l’art de faire rire vos collègues. Vous pourriez organiser des soirées stand-up avec vos amis pour tester vos nouvelles blagues ou même envisager de vous inscrire à un atelier d’humoriste amateur pour perfectionner votre art.

La couronne de la salle de pause

En fin de compte, devenir le roi ou la reine de la salle de pause ne signifie pas nécessairement que vous devez être le plus drôle de tous. Il s’agit plutôt d’être capable d’apporter de la légèreté et du rire dans l’environnement de travail. L’art du blagueur en entreprise consiste à créer un espace où les collègues se sentent à l’aise, détendus et prêts à affronter les défis de la journée avec un sourire. N’oubliez pas que l’humour peut être un excellent moyen de soulager le stress et de favoriser un environnement de travail plus détendu et productif.

L’art du blagueur en entreprise est une compétence précieuse qui peut rendre l’environnement de travail plus agréable. En suivant ces conseils, vous pouvez développer votre sens de l’humour et devenir une figure appréciée de la salle de pause. Alors, préparez-vous à déployer vos talents comiques et à régner en maître dans l’art de faire rire vos collègues. 

A la découverte du Chinese Business Club

Fondé par Harold Parisot il y a 10 ans, le Chinese Business Club, aujourd’hui à 90 % franco-français malgré son nom, a récemment reçu Anthony BOURBON, PDG de la FoodTech FEED, qui répondait aux questions de chefs d’entreprise, entrepreneurs, investisseurs, diplomates, leaders d’opinion et médias. Zoom sur l’activité du club. 

Le Chinese Business Club en quelques mots 

Le Chinese Business Club réunit plus d’une centaine de sociétés membres et tous les secteurs d’activité y sont représentés. Il organise mensuellement des événements (environ 15 par an et principalement à Paris) réunissant chefs d’entreprise, ambassadeurs, investisseurs, hommes politiques, Business Angels, journalistes … Le but est de rassembler des décideurs qui ont le pouvoir d’agir et de collaborer. 

Malgré un positionnement premium, il n’est pas seulement réservé aux entreprises du CAC40 et aux ETI, même si elles y sont néanmoins représentées. Au contraire, des licornes autant que des start-up sont présentes. En effet, l’objectif recherché par le Club est que ces dernières puissent se constituer un carnet d’adresses à haut niveau. Le concept semble très bien fonctionner puisque 90% des sociétés membres renouvellent chaque année leur adhésion, sachant que certaines sont présentes depuis la création du club en 2012.

Une mission globale 

Le club cherche globalement à favoriser les rencontres et les échanges entre de nombreux acteurs économiques. Ils donnent accès à un réseau exceptionnel et varié, comprenant des milliardaires français, des investisseurs, de nombreux chefs d’entreprise, des politiciens, des chefs gastronomiques et même des sportifs professionnels. Pour réussir également à s’imposer, une volonté constante d’innover et d’attirer les meilleurs intervenants ainsi que des services lors des événements. 

Le business model reste simple : une adhésion annuelle sur cooptation et recommandations qui démarre à 10K€HT par an et par société. L’écosystème présent est extrêmement qualitatif et doté d’un réseau puissant axé sur le business et le retour sur investissement.

Un changement d’orientation ?

À l’origine, l’idée qui sous-tendait la création du Chinese Business Club était principalement axée sur les relations franco-chinoises. L’idée prend forme au travers d’acheteurs chinois qui manifestaient un grand intérêt pour rencontrer des acteurs français. Cette orientation initiale de lieu privilégié pour les relations économiques et les opportunités franco-chinoises a opéré un changement de stratégie.

Il s’est ainsi orienté vers un club à 90% franco-français. Il se tourne désormais vers la French Tech alors qu’il visait au début plutôt les grandes entreprises. Après avoir accueilli des personnalités telles que Michel-Edouard Leclerc, Frédéric Mazzella, Edouard Philippe, Anthony Bourbon et Emmanuel Macron, c’est au tour de Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, d’intervenir le 18 décembre à Paris. 

4 questions à Harold Parisot, président fondateur 

1/ En quoi le Chinese Business Club est fait pour un dirigeant ?  

Le Chinese Business Club est un réseau de décideurs. Le temps des chefs d’entreprise et des dirigeants étant précieux, ils ont besoin d’optimiser leurs rencontres. Les cocktails et déjeuners d’affaires organisés tout au long de l’année, au moins 15 par an, constituent de vraies opportunités business pour les dirigeants. Le réseau est un accélérateur de contacts et d’affaires.

2/ Quels sont les profils majoritairement présents dans le club ? 

Depuis le COVID, de plus en plus d’entrepreneurs et chefs d’entreprise de TPE, PME et ETI ont rejoint le Chinese Business Club. En parallèle, on y retrouve de nombreux milliardaires français, des Business Angels et des investisseurs. La force d’un réseau, c’est également sa diversité, raison pour laquelle on retrouve au Chinese Business Club de nombreux politiques, sénateurs, députés, ambassadeurs de grands pays (notamment Moyen-Orient et Afrique) et même des chefs gastronomiques et sportifs professionnels. Les chefs du GIGN, du RAID et de la BRI sont également des habitués du club ! 

3/ Que proposez-vous comme activité tout au long de l’année ? 

Le Chinese Business Club est avant tout un club d’affaires convivial où les décideurs aiment se retrouver régulièrement. C’est en se rencontrant à plusieurs reprises tous les mois qu’émergent des opportunités business entre les membres et les participants du club. Une quinzaine d’événements par an sont organisés à Paris sous forme de réunions d’affaires permettant d’organiser des mises en relation régulières entre les membres. Cela semble fonctionner car le Chinese Business Club connaît un taux de plus de 90% de fidélité et de renouvellement des sociétés membres. 

4/ Quel est le plus de ce club par rapport aux autres ?  

Dès le début lorsque j’ai fondé ce réseau en 2012, j’ai souhaité avoir le positionnement le plus premium possible. Mon objectif était d’être visible et reconnu des décideurs, d’innover en matière de networking avec un réseau éclectique et diversifié favorisant ainsi les rencontres entre les membres. Des partenariats sont également proposés aux sociétés membres permettant ainsi d’avoir des places assises à la table d’honneur à tous les déjeuners et de choisir ses voisins parmi les nombreuses personnalités présentes, une opportunité supplémentaire de développer sur le long terme un carnet d’adresse à haut niveau.