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Pourquoi prévoir quelque chose à Noël avec ses équipes ?

Aujourd’hui, 91% des salariés sont désengagés vis-à -vis de leur travail et/ou de leur entreprise. Augmenter les salaires ou donner des « inventives » aux salariés, par exemple, ne représente pas  forcément la clé pour souder vos équipes. Une bonne façon de les fédérer durablement peut être de les rassembler tous autour d’un événement de team building. Alors quoi de mieux que d’organiser un événement au moment des fêtes de Noël avec ses équipes ?

Noël, la convivialité qui fédère

Le moment est propice à la convivialité et à l’ouverture aux autres. Que ce soit une soirée spéciale Noël autour d’une bonne table ou un événement plus sportif où les salariés vont donner le meilleur d’eux-mêmes, le but est le même : créer la cohésion des équipes. Fédérer ses équipes autour d’un événement festif à Noël est une pratique gagnant-gagnant. Au-delà de l’événement qui, bien-sûr, est un élément entraînant et dynamique, le réel intérêt est de créer ce sentiment d’appartenance à un groupe et de bâtir des équipes solidaires. Outre la ferveur derrière cet événement, les collaborateurs en ressortent plus épanouis.

Hors de l’entreprise, on apprend à se connaître

Sortis du cadre de l’entreprise, les collaborateurs adoptent un comportement différent. Ils vont à la rencontre d’autres salariés voire même de leurs dirigeants et apprennent à mieux les connaître. Améliorer la communication entre les salariés et la direction est essentiel. Les salariés ont des objectifs, des idées et des emplois du temps différents. L’événement de Noël va réunir tout le monde au même endroit et les concentrer sur un seul projet : la fête de Noël ou une compétition sportive par exemple. L’événement va créer une synergie entre eux qui se poursuivra dans le quotidien de l’entreprise. L’entraide et la cohésion sont importantes pour la croissance de l’entreprise.

La confiance qui redonne la motivation

Échanger de manière décontractée permet aux individus de regagner confiance en eux-mêmes mais aussi d’accorder leur confiance aux autres. Un événement de Noël dynamisera le groupe. Chacun est à l’écoute de l’autre en tenant compte de ses points faibles et points forts afin que l’équipe fonctionne le mieux possible à l’avenir.

Des conditions de travail améliorées ensuite

Le but est de redonner des conditions de travail motivantes et de libérer la créativité des salariés.

  • Ils vont travailler pour le bien de l’entreprise et non plus pour remplir leurs obligations professionnelles ou répondre à des procédures.
  • Ils seront plus créatifs et plus impliqués dans la relation client.
  • Ils vont, en équipe, aider à diversifier l’offre.

Il en résulte des gains en productivité, des baisses d’absentéisme, moins de turnover et plus de croissance.

L’idéal est de co-construire le projet de Noël avec les salariés dans une démarche volontaire et commune.

Le projet de Noël fédère et permet aux collaborateurs de mieux se connaître, de partager ensemble. Résultat : ils travailleront mieux ensemble et dans la bonne humeur !

Les 10 raisons pour lesquelles l’entrepreneuriat est sans filets de sécurité

L’entrepreneuriat, c’est un peu comme être le maître de cérémonie dans un cirque sans filets de sécurité. Imaginez-vous en train de jongler avec des idées, marchant sur une corde raide de responsabilités, et dressant un spectacle où chaque jour est une nouvelle performance. Voici les 10 raisons pour lesquelles diriger une entreprise est aussi fou que diriger un cirque.

1/ La jonglerie des priorités 

En tant qu’entrepreneur, jongler avec les priorités est une compétence à part entière. C’est un peu comme orchestrer une symphonie complexe où les tâches sont les notes de musique et l’équilibre est la mélodie. Parfois, cela ressemble à jongler avec des boules enflammées. Cependant, avec une dose d’humour, on peut faire voler ces balles sans brûler le chapiteau.

2/ Le funambulisme financier 

Équilibrer les livres, c’est un peu comme marcher sur un fil tendu au-dessus d’un précipice financier. Un faux pas, et c’est la chute dans le monde des chiffres rouges. Mais les entrepreneurs sont des funambules intrépides, prêts à danser au-dessus du vide avec une agilité financière digne d’un acrobate de renom.

3/ Les acrobaties de la gestion d’équipe

Gérer une équipe, c’est un spectacle en soi. Vous avez les jongleurs qui manient plusieurs projets à la fois, les équilibristes qui maintiennent l’harmonie, et bien sûr, le lanceur de couteaux qui prend des risques calculés. L’ensemble crée une chorégraphie unique où chaque membre de l’équipe est une étoile dans le grand spectacle entrepreneurial.

4/ Les numéros de « dressage » de clients

Dans le monde des affaires, les clients sont comme des lions à dompter. Certains sont dociles, d’autres ont une crinière rebelle. Mais avec la bonne approche, un entrepreneur peut devenir le roi de la savane des affaires, faisant des prouesses pour satisfaire et fidéliser son public.

5/ Les numéros de magie budgétaire

Créer des bénéfices à partir de rien, c’est un peu comme un tour de magie spectaculaire. L’entrepreneur tire des lapins du chapeau budgétaire, transformant les chiffres en une véritable représentation magique où le public est émerveillé par l’équilibre parfait entre recettes et dépenses.

6/ Les clowns de la concurrence

La concurrence est une troupe de clowns qui tente de voler la vedette sous le grand chapiteau des affaires. Mais avec une dose d’humour et une créativité sans limites, un entrepreneur peut les reléguer au statut de figurants dans son propre spectacle, captivant ainsi l’attention du public.

7/ L’équilibre sur le fil du marché

Naviguer sur le fil du marché est comme réaliser une performance de trapèze sans filet de sécurité. L’équilibre entre l’offre, la demande et les tendances du marché est une prouesse risquée, mais c’est aussi ce qui rend chaque représentation entrepreneuriale aussi palpitante qu’un numéro de cirque époustouflant.

8/ Les numéros de voltige administrative

Les démarches administratives sont comme des acrobaties complexes. Naviguer à travers les dédales des formalités, c’est réaliser une série de sauts périlleux dans l’arène bureaucratique. C’est souvent acrobatique, parfois vertigineux, mais l’entrepreneur atterrit toujours sur ses pieds, prêt pour le prochain numéro.

9/ La mise en scène du branding

Créer une image de marque, c’est comme réaliser une pièce de théâtre visuelle. Choisissez les bonnes couleurs, les bons slogans et les bons visuels, et vous orchestrez un spectacle qui reste gravé dans la mémoire du public, tel un grand numéro sous le chapiteau.

10/ L’incroyable numéro de l’innovation

L’innovation, c’est le clou du spectacle entrepreneurial. C’est un peu comme sortir un lapin du chapeau, sauf que ce lapin est une idée révolutionnaire qui éblouit le public et laisse la concurrence sans voix. L’entrepreneur est ainsi un magicien de l’innovation, enchantant le public avec des tours aussi éblouissants qu’inattendus.

L’entrepreneuriat est une aventure sous le grand chapiteau de l’incertitude, où chaque jour est une nouvelle représentation avec des numéros risqués, des acrobaties financières et des clowns de la concurrence. Mais à la fin du spectacle, c’est cette audace et cette créativité qui rendent chaque représentation unique et chaque entrepreneur un véritable artiste du cirque sans filets de sécurité. Alors, que le spectacle continue sous le grand chapiteau des affaires !

Comment utiliser la réalité augmentée pour améliorer l’expérience client ? 

Les entrepreneurs explorent sans cesse des moyens innovants pour offrir une expérience client exceptionnelle. Parmi eux, la réalité augmentée (RA) émerge comme un catalyseur révolutionnaire, redéfinissant la manière dont les entreprises interagissent avec leurs clients. Plongeons dans le monde fascinant de la RA et examinons comment elle s’inscrit dans la quête de l’amélioration de l’expérience client.

Un monde où le virtuel s’entremêle au réel

La réalité augmentée transcende les frontières entre le virtuel et le réel, offrant une superposition ingénieuse d’informations numériques sur notre monde physique. Cette fusion créative dévoile un terrain de jeu infini pour les entreprises cherchant à enrichir l’expérience client.

Essayer avant d’acheter 

Dans le royaume du commerce de détail, la RA se révèle être une baguette magique pour les consommateurs. Des essayages virtuels pour les vêtements aux simulations de mobilier, la RA permet aux clients de visualiser avec précision comment un produit s’intégrera dans leur vie avant même de l’acheter. Cette immersion virtuelle transcende les simples transactions pour devenir une expérience de consommation interactive.

Redéfinir l’expérience d’achat

Naviguer dans un espace commercial peut être un défi. La RA, toutefois, se pose en guide virtuel, offrant aux clients des informations en temps réel sur les produits, des recommandations personnalisées et même des offres exclusives. En transformant ainsi l’expérience d’achat, la RA apporte une touche personnalisée à chaque interaction.

Personnaliser de manière inégalée 

La personnalisation atteint de nouveaux sommets grâce à la RA. Que ce soit des bijoux uniques, des chaussures personnalisées ou même des ajustements virtuels d’intérieurs, la RA offre une personnalisation instantanée qui renforce le lien émotionnel entre le client et le produit, transcendant les limites traditionnelles du commerce.

Éduquer et informer 

Dans des secteurs où la complexité des produits peut être un obstacle, la RA devient une alliée précieuse. Des manuels d’utilisation virtuels aux démonstrations interactives, elle permet aux clients de comprendre pleinement les fonctionnalités et avantages de leurs achats, améliorant ainsi l’expérience d’utilisation.

Publicités immersives : de l’observateur à l’acteur

La publicité évolue vers de nouveaux horizons avec l’intégration de la RA. Les campagnes publicitaires interactives permettent aux clients de visualiser des produits en 3D, d’interagir avec des informations contextuelles et même d’essayer virtuellement des produits. La publicité cesse d’être un simple visuel pour devenir une expérience immersive captivante.

Transformer des événements en direct 

Les événements en direct voient également leur scène transformée par la RA. Des lancements de produits aux salons professionnels, la technologie crée des expériences uniques. Les participants peuvent vivre des moments inoubliables grâce à des ajouts numériques qui transcendent la réalité, élevant ainsi l’expérience événementielle.

Intégrer là dans les applications mobiles 

L’intégration de la RA dans les applications mobiles offre une accessibilité maximale. Les clients peuvent simplement utiliser leur Smartphone pour explorer des fonctionnalités de RA, que ce soit pour des visites virtuelles, des informations contextuelles ou des jeux interactifs. L’accessibilité devient synonyme de commodité.

La réalité augmentée ne se contente pas d’être une innovation technologique. Elle devient le tissu même des expériences client. Des essayages virtuels à la personnalisation instantanée, la RA offre aux entreprises une palette d’outils pour créer des interactions mémorables. Alors que nous nous aventurons plus loin dans l’ère numérique, la réalité augmentée émerge comme une force transformatrice, prête à redéfinir notre manière de vivre et d’expérimenter le commerce. Une chose est certaine : l’avenir de l’expérience client s’annonce plus passionnant que jamais.

LittleBig Connection, une entreprise qui voit grand

Interview de Constance Nevoret, CEO de LittleBig Connection, une entreprise qui crée un pont entre des grandes entreprises et celui des partenaires externes.

Quand a été créée LittleBig Connection ?

LittleBig Connection a été créée en 2013. Le monde du travail connaissait déjà depuis quelques années de profondes mutations : d’un côté, les entreprises avaient de plus en plus besoin de faire appel à des compétences en dehors de leurs équipes internes. Ceci est principalement dû à des pénuries de talents sur certains secteurs et à l’accélération de la sortie des nouvelles technologies. De l’autre côté, au sein de la population de travailleurs, il y eu a une augmentation du nombre de freelances, d’indépendants et de petites entreprises de conseil. C’est une tendance de fond, qui s’est accélérée depuis la pandémie. C’est notamment ce qui a entraîné l’essor du freelancing avec un nombre de freelances qui a été multiplié par deux en 10 ans, soit une croissance de 100 % de freelances.

Que faisait l’entreprise à ses débuts ?

Notre mission était de connecter ces deux parties, les entreprises et tous leurs partenaires externes, pour qu’ils puissent travailler ensemble de façon plus simple, plus directe et plus transparente.

Vous êtes arrivée quelques années plus tard…

Effectivement, je ne suis pas fondatrice de l’entreprise. Cependant, cela fait plus de 10 ans maintenant que je travaille chez Mantu, qui est le groupe qui a racheté LittleBig Connection. Au moment du rachat, j’étais en train d’ouvrir les bureaux de Mantu en Amérique du Nord. Je suis partie au Canada tout début 2014 pour lancer les activités en partant de zéro et monter les bureaux à Montréal, Toronto et New York. C’était une belle aventure, cette fois, intrapreneuriale.

Quand avez-vous rejoint l’entreprise ?

J’ai repris le poste de CEO de LittleBig Connection, il y a bientôt quatre ans, début 2020. Je suis arrivée au moment où nous étions en train de passer de la phase de start-up à une phase de scale-up. A l’époque, il y avait énormément de beaux projets, de beaux challenges à relever pour pouvoir poursuivre la croissance et la belle success story dans laquelle nous étions et sommes toujours. Il fallait à la fois continuer à innover et à proposer des solutions toujours plus audacieuses à nos clients. Ceci, en mettant en place une équipe de direction, une structure d’entreprise qui nous permette de « scaler » nos opérations.

Avant votre arrivée, quels étaient les grands défis de l’entreprise ?

LittleBig Connection a été créée en 2013, et rachetée par Mantu en 2015. C’était donc quasiment au démarrage et il n’y avait pas beaucoup d’activités à l’époque. Ce qui est essentiel à souligner, c’est que nous n’avons réalisé aucune levée de fonds du côté de LittleBig Connection. Nous avons eu un mode de fonctionnement dès le départ basé sur l’autofinancement. Si cela a pu être considéré comme une contrainte à une époque, cela a finalement été une aubaine pour développer un modèle pérenne. En effet, cela nous a obligés à nous concentrer sur les investissements les plus pertinents pour l’entreprise.

Quel a été l’apport de Mantu ?

L’apport principal de Mantu a été son ADN international qui nous a conduits à partir, sans perdre un instant, à la conquête de nouveaux marchés autour du monde, avec notamment le lancement de nos activités au Canada, Vietnam, Tunisie, Inde ou encore Espagne, pour ne citer que quelques-uns des 40 pays dans lesquels nous comptons une activité commerciale.

Quels sont les changements principaux depuis votre arrivée ?

Tout a beaucoup changé. Quand j’ai rejoint la direction, nous réalisions environ 50 millions d’euros de chiffre d’affaires. Fin 2023, nous allons atteindre les 450 millions, ce qui représente une croissance exceptionnelle. Aussi, nous étions moins de 50 personnes alors que nous sommes 350. De la même manière, nous opérons aujourd’hui dans 40 pays contre une dizaine de pays à l’époque. Il y a donc eu effectivement une phase de « scaling » très forte qui s’est réalisée ces quatre dernières années. Un élément-clé a été la montée en compétences de nos équipes. Actuellement notre plateforme est au cœur de l’entreprise. Nous avons fait évoluer nos offres en incluant, par exemple, des algorithmes d’intelligence artificielle sur lesquels nous travaillons depuis maintenant quatre ans. Nous pouvons dire qu’il y a eu des changements majeurs, notamment la nomination d’une Chief Product Officer (CPO).

« De nouveaux concurrents apparaissent chaque jour ! Ce qui fait notre différence par rapport à ces acteurs, c’est notre présence internationale et la capacité à pouvoir accompagner nos clients dans tous les pays. Ce qui est assez rarement le cas. »

Quels ont été les plus gros défis depuis votre arrivée (2020) jusqu’à aujourd’hui ?

Parmi les défis majeurs que nous avons pu avoir, il y a eu le « scaling » à l’international. Nous avons eu des facilités grâce au groupe qui nous a rachetés, notamment grâce à leur logique de mutualisation des compétences. Autrement dit, au moment du développement d’un nouveau pays, nous pouvons compter sur le support logistique, financier et humain des bureaux géographiquement proches. C’est la raison pour laquelle, nous avons gardé le même modèle. L’ouverture des activités dans un nouveau pays ne suppose pas seulement une traduction de notre plateforme et de nos offres. Il s’agit parallèlement de se faire un nom et une place sur le marché. Il a fallu également adapter notre offre aux spécificités locales, aussi bien légales qu’opérationnelles.

Aujourd’hui, quelle est la différence avec tout ce qui se fait sur le marché ?

Tout d’abord, il faut savoir que nous avons deux offres. La première est une solution Vendor Management System (VMS ou système de gestion des fournisseurs en français) qui permet de piloter toutes les prestations externes de l’entreprise. Dans cette partie, nous sommes en concurrence avec des acteurs internationaux où notre différenciation repose sur l’aspect « plug-in » de notre solution qui s’intègre directement aux systèmes d’information de nos clients. Notre seconde offre est une marketplace sur laquelle nous connectons nos clients avec des experts indépendants. Il existe de nombreux acteurs internationaux comme Upwork, mais aussi des acteurs locaux. De nouveaux concurrents apparaissent chaque jour ! Ce qui fait notre différence par rapport à ces acteurs, c’est notre présence internationale et la capacité à pouvoir accompagner nos clients dans tous les pays. Ce qui est assez rarement le cas.
Le deuxième élément, c’est le fait que nous avons, dès le départ, eu une orientation grands comptes. Aujourd’hui, nous travaillons avec de nombreuses entreprises internationales. Si nous prenons l’exemple de la France nous collaborons avec 75 % des entreprises du CAC 40. Nous sommes capables, finalement, grâce à notre plateforme, de pouvoir nous adresser à de très grands comptes. Nous proposons à nos clients des talents externes quelle que soit leur localisation dans le monde et leur statut : freelances, mais également freelances, cabinets de conseil ou encore ESN. Cela fait la différence par rapport à d’autres marketplaces qui se concentrent sur les freelances.

Quels vont être les défis à venir ?

Un défi majeur et central chez LittleBig Connection est celui de la durabilité. Depuis deux ans, nous accélérons notre action dans la transition durable et solidaire de l’économie. Nous utilisons notre pouvoir de catalyseur pour servir la transformation durable des entreprises. Nous avons notamment lancé une offre qui s’appelle Connect for Good, grâce à laquelle nous accompagnons nos clients pour trouver les meilleurs experts du secteur du développement durable. Par ailleurs, nous avons également développé en parallèle une calculatrice carbone qui permet à nos clients de pouvoir prendre des décisions, en fonction de l’empreinte carbone des sociétés avec lesquelles ils vont travailler. Pour LittleBig Connection, la transition durable et inclusive des entreprises est un axe de développement majeur et, globalement, un enjeu sociétal impondérable. Il s’agit d’un aspect essentiel de notre développement à venir. Ces enjeux de durabilité sont au cœur du développement de LittleBig Connection.

Quelles sont vos valeurs ?

Nos trois valeurs principales peuvent être résumées avec l’acronyme TOP, c’est-à-dire Trust, Openness et Performance, donc en français, confiance, ouverture et performance. Confiance parce que nous faisons confiance à des jeunes en leur confiant des responsabilités, en leur permettant de mener des projets de grande ampleur. L’intrapreneuriat est un formidable accélérateur d’initiatives sur lequel nous misons beaucoup.
La deuxième, c’est l’ouverture, ouverture à la fois internationale, mais aussi dans le sens de curiosité d’esprit. Aujourd’hui, nous avons plus de 350 personnes, dont plus de 40 nationalités différentes dans l’entreprise. A mon arrivée, il n’y avait pas de femmes dans la direction et aujourd’hui, nous sommes 50 % de femmes dans le comité de direction et le comité opérationnel.
La troisième valeur, c’est la performance. Nous avons réalisé une très bonne performance au cours des dernières années. Cependant, nous avons encore des ambitions très fortes pour la suite.

Est-ce que vous savez pourquoi Mantu a racheté LittleBig Connection ?

Mantu a racheté LittleBig Connection en 2015 parce qu’il y avait cette certitude que le monde du travail était en train de changer, que les entreprises n’avaient plus uniquement besoin du service des sociétés de conseil, mais qu’elles avaient un besoin d’immédiateté et de pouvoir être connectées instantanément aux bonnes expertises.

Est-ce qu’il y a un point que je n’ai pas abordé et que vous souhaitez aborder ?

Nous avons évoqué rapidement l’IA. Elle est pourtant au cœur du développement de notre produit et de notre capacité à pouvoir identifier le plus rapidement possible les bonnes compétences pour nos clients. Ceci, à la fois grâce à des algorithmes de matching, pour faire correspondre le bon candidat avec le besoin du client, mais aussi, ce sur quoi nous travaillons beaucoup aujourd’hui, le prédictif. Notre objectif, c’est de mieux comprendre et anticiper leurs besoins de demain et mieux gérer leurs compétences.

Conseil de Constance Nevoret

Un conseil fondamental : s’avoir bien s’entourer.
Je pense que c’est le premier atout de n’importe quel dirigeant, qu’il soit en phase de création d’entreprise ou en phase de  » scaling « , la capacité à aller identifier les bons talents qui vont l’aider à créer l’entreprise et à la faire grandir un jour. C’est un élément absolument indispensable. Il est important de savoir donner sa confiance pour permettre aux talents qui composent son entreprise de porter le relais.

Votre stand sur un salon d’exposition, vous le préparez comment ?

Exposer dans un salon n’est jamais de tout repos. Entre la location de la place elle-même, la communication à vos clients, la préparation de dépliants et de goodies à distribuer, les effectifs d’accueil supplémentaires à trouver… Avez-vous eu le temps de penser au stand lui-même ? 

Vous vous êtes déjà promenés dans des salons ou des foires ! Les stands sont tout aussi simples et identiques les uns que les autres. Ou vous avez aussi sûrement déjà exposé aux côtés de stands que vous trouviez vous-même très minimaliste. Puis, dans la masse, l’un d’eux au design différent et à l’affichage attractif a dû vous taper dans l’œil. C’est bon, vous le remettez ? Eh oui, ce qui tape dans l’œil de vos clients potentiels, c’est que votre stand se démarque notamment par son ergonomie. 

Les éléments clés du bon stand

Pour réussir votre stand, il faudra vous rappeler des bases du merchandising et penser qu’il doit être comme votre produit. Il doit :

  • attirer l’attention. Votre stand devra reposer sur un concept nouveau. Il doit être divertissant pour ne pas se noyer dans la masse et attirer vos futurs clients.
  • vendre votre produit ou prestation. La PLV présente sur votre stand devra mettre en avant les avantages de votre produit ou service. N’hésitez pas à y faire figurer votre slogan et un chiffre que chacun pourra retenir 
  • impliquer le futur client. Votre PLV devra permettre au client de se poser des questions et susciter de l’intérêt pour votre offre commerciale.

Un bon stand d’exposition doit également permettre d’optimiser l’espace disponible afin de permettre d’avoir un bon flux de circulation à l’intérieur. 

Quelques conseils pour votre stand

  • Si vous n’avez pas de grands moyens, n’hésitez pas à utiliser des équipements standards. A défaut de construire l’image de votre société, il sera vite opérationnel et ne vous coûtera pas cher… 
  • Si vous avez le budget disponible, créez un stand sur mesure qui mettra davantage votre marque en valeur
  • Mettre de la vidéo pour l’ambiance. Aujourd’hui, il n’y a guère que dans les magasins de bricolage qu’on ne voit la vidéo. C’est normal ! Personne ne prend le temps de regarder les écrans. Celle-ci peut cependant servir à créer une ambiance ou encore appuyer votre discours par une animation.
  • Créez la surprise pour attirer votre futur client et des animations. N’hésitez pas à faire preuve d’originalité pour attirer votre prospect !
  • Laissez vos produits visibles même quand il y a une foule. Pour cela, n’hésitez pas à les mettre en haut. Certains n’hésitent pas à mettre des ballons au-dessus de leur stand !  

La méthode « la ballade » : travail sur l’originalité d’une idée

Il est essentiel de captiver l’attention du public de manière unique. C’est dans cette optique que la méthode « la ballade » a émergé, proposant une approche novatrice pour présenter des idées de manière mémorable. Zoom sur cette technique encore peu utilisée.

Une mélodie d’innovation

La méthode « la ballade » encourage les entrepreneurs à créer une histoire ou une chanson pour communiquer leurs idées. Inspirée par le pouvoir de la narration et de la musique, cette approche vise à transformer des concepts complexes en mélodies entrepreneuriales accrocheuses.

Marie Leclerc, entrepreneure chevronnée, partage son expérience avec « la ballade » : « j’avais une idée révolutionnaire, mais je luttais pour la communiquer de manière percutante. La méthode ‘la ballade’ m’a permis de transformer mon message en une histoire engageante, facilitant la compréhension et suscitant l’enthousiasme. »

Les étapes de la ballade

  1. Composer l’ouverture : débutez votre ballade par une introduction qui capte immédiatement l’attention. Décrivez le problème que votre idée résout de manière poignante et suscitez l’émotion.
  2. Vers et chorus : structurez votre ballade avec des couplets et un refrain. Chaque couplet peut explorer un aspect différent de votre idée, tandis que le refrain réitère le message principal de manière mémorable.
  3. Bridge de persuasion : intégrez un pont persuasif qui met en lumière les avantages distinctifs de votre proposition. Utilisez des métaphores et des analogies pour rendre votre idée accessible à un large public.
  4. Conclure en harmonie : terminez votre ballade par une conclusion percutante. Résumez les points clés et laissez une impression durable sur votre auditoire.

Prenons l’exemple d’une startup, spécialisée dans le développement de technologies de gestion du stress. En utilisant la méthode « la ballade », ils peuvent créer une chanson captivante expliquant comment leur application révolutionnaire aide les individus à retrouver l’équilibre émotionnel.

Le futur de la communication entrepreneuriale

La méthode « la ballade » représente une nouvelle ère dans la manière dont les entrepreneurs communiquent leurs idées. En intégrant la puissance de la narration et de la musique, les innovateurs peuvent transcender les barrières de la communication conventionnelle et créer des connexions émotionnelles durables avec leur public.

Alors que le paysage entrepreneurial continue d’évoluer, la méthode « la ballade » offre une approche créative pour se démarquer dans un monde saturé d’informations. Transformez votre prochaine présentation en une symphonie d’idées, et laissez la mélodie de l’innovation résonner dans l’esprit de votre auditoire.

Astuces pour la mettre en place 

Storyboard visuel :

Avant de commencer à écrire votre ballade, créez un storyboard visuel pour organiser visuellement les différentes parties de votre histoire. Cela peut vous aider à structurer votre narration de manière cohérente et à identifier les moments clés que vous souhaitez mettre en avant.

Utilisation d’outils de création musicale :

Si vous choisissez de créer une chanson plutôt qu’une histoire écrite, explorez des outils de création musicale en ligne. Des plateformes comme GarageBand, Audacity, ou des applications plus avancées peuvent vous aider à composer la musique qui accompagnera votre ballade.

Métaphores visuelles :

Intégrez des métaphores visuelles dans votre histoire pour renforcer les concepts abstraits. Utilisez des images ou des vidéos pour appuyer votre message et rendre votre ballade encore plus mémorable.

Tests auprès de publics cibles :

Avant de présenter votre ballade à un public plus large, testez-la auprès de petits groupes ou de collègues. Recueillez des commentaires constructifs pour affiner votre message et vous assurer qu’il est compréhensible et engageant.

Collaboration artistique :

Si la création musicale n’est pas votre point fort, envisagez de collaborer avec des artistes ou des compositeurs. Travailler avec des professionnels de la musique peut amener votre ballade à un niveau supérieur, en ajoutant une dimension artistique et émotionnelle.

Intégration de l’interactivité :

Si la situation le permet, créez une expérience interactive lors de la présentation de votre ballade. Invitez le public à participer, que ce soit en chantant le refrain, en répondant à des questions, ou en interagissant de toute autre manière qui renforce l’impact de votre histoire.

Adaptation multimédia :

Transformez votre ballade en une expérience multimédia complète en intégrant des éléments visuels, sonores et interactifs. Utilisez des diaporamas, des vidéos ou des animations pour renforcer votre message et créer une expérience immersive.

Top 10 des avantages de la sous-traitance pour les petites entreprises

La sous-traitance est devenue une stratégie commerciale incontournable pour de nombreuses petites entreprises cherchant à optimiser leurs opérations et à rester compétitives sur le marché. Cette pratique consistant à confier certaines tâches à des prestataires externes offre une multitude d’avantages stratégiques. Voici le top 10 des avantages de la sous-traitance pour les petites entreprises.

1/ Réduction des coûts opérationnels

L’un des avantages les plus évidents de la sous-traitance est la réduction des coûts. Externaliser des tâches spécifiques permet aux petites entreprises de ne payer que pour les services dont elles ont besoin. Elle évite ainsi les dépenses liées à l’embauche et à la formation de personnel à temps plein. 

2/ Accès à une expertise spécialisée

La sous-traitance offre aux petites entreprises l’opportunité d’accéder à une expertise spécialisée. En faisant appel à des prestataires externes qualifiés, les entreprises peuvent bénéficier des compétences et de l’expérience de professionnels dans des domaines tels que le marketing, la comptabilité, ou les technologies de l’information. Aussi, ces experts se tiennent au courant des dernières évolutions, ce qui peut vous faire gagner beaucoup de temps.

3/ Concentration sur le cœur de métier

En déléguant des tâches non essentielles, les petites entreprises peuvent se concentrer sur leur cœur de métier. Cela permet aux entrepreneurs de consacrer plus de temps et d’énergie à la croissance de leur entreprise, au développement de produits ou services, et à la satisfaction des clients. Il faut prendre en compte que tout faire soi-même vous fait peut-être dépenser moins d’argent mais vous empêche également de développer votre entreprise. Or, si vous passez 20H à faire vos fiches de paies qui ne vous couteraient que peu d’argent à sous-traiter, peut-être est-il temps de consacrer à votre développement plutôt qu’à cette tâche secondaire. 

4/ Flexibilité opérationnelle

La sous-traitance offre une flexibilité opérationnelle aux petites entreprises. Elles peuvent ajuster rapidement leurs ressources en fonction des besoins du moment. Ceci, sans les contraintes liées à la gestion d’une équipe interne à temps plein.

5/ Amélioration de la qualité du travail

Les prestataires de services externes sont souvent des experts dans leur domaine. En externalisant certaines tâches, les petites entreprises peuvent bénéficier d’une qualité de travail supérieure. En effet, elles s’associent à des professionnels qui maîtrisent les meilleures pratiques et les dernières technologies.

6/ Réduction des risques

La sous-traitance peut réduire les risques liés à la gestion interne. Les prestataires externes sont souvent mieux équipés pour gérer les risques liés à la conformité réglementaire, aux fluctuations du marché, et aux évolutions technologiques.

7/ Gain de temps

En externalisant des tâches chronophages, les petites entreprises gagnent du temps précieux. Cela leur permet de répondre plus rapidement aux demandes du marché. Aussi, cela leur permet de lancer des produits plus rapidement et de rester réactives dans un environnement commercial qui évolue.

8/ Meilleure gestion des projets

Les prestataires de services externes sont souvent habitués à gérer des projets complexes. En sous-traitant, les petites entreprises peuvent bénéficier d’une gestion de projet plus efficace, avec des échéanciers clairs et des résultats mesurables.

9/ Éviter les investissements importants

La sous-traitance permet d’éviter des investissements initiaux importants, notamment en équipement et en technologie. Les petites entreprises peuvent ainsi accéder à des ressources de pointe sans avoir à supporter les coûts d’acquisition et de maintenance.

10/ Compétitivité accrue 

En combinant tous ces avantages, la sous-traitance renforce la compétitivité des petites entreprises. Elles peuvent rivaliser avec des concurrents plus importants en profitant des mêmes avantages en termes de qualité, d’efficacité et de flexibilité.

Créer sa société, ce n’est pas si compliqué ! (partie 1)

Créer sa société en France n’est pas si compliquée, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Ce dossier a pour objet de vous expliquer quelques-unes des étapes juridiques essentielles que vous devrez effectuer pour que votre entreprise ait une existence légale, tout en vous donnant des recommandations et pratiques d’expert.

Dans cette première partie, nous attirons votre attention sur le fait qu’il demeure important de ne pas vouloir aller trop vite dans les démarches de création.

Le plus difficile quand on crée, c’est l’idée

La véritable problématique de la création d’entreprise, c’est de trouver une idée qui réponde à un besoin, qui va simplifier la vie des consommateurs et générer suffisamment de chiffre d’affaires pour que la société puisse se développer. Il faut aussi que le marché soit prêt. On parle beaucoup de produits ou de services innovants mais il n’y a pas qu’eux qui peuvent simplifier le quotidien des consommateurs ou des entreprises. Cela peut être tout simplement l’amélioration de l’existant.

Une fois que votre idée est aboutie, la partie création en elle-même n’est pas très compliquée, à condition de ne pas sauter d’étape essentielle.

Existe-t-il des raccourcis pour créer sa société plus rapidement ?

D’un point de vue juridique et financier, une création de société se prépare, et il ne faut pas voir cela comme une contrainte. Préparer une création d’entreprise c’est mettre toutes les chances de son côté. Nous sommes fréquemment interrogées sur l’existence de raccourcis à la création : les entrepreneurs veulent aller vite, ils ont raison. Les entrepreneurs veulent gagner du temps et de l’argent pour pouvoir se consacrer pleinement au développement de leur entreprise : c’est précisément là qu’il faut faire attention.

Sauter l’étape d’un business plan par exemple ne constitue pas un gain de temps. Au contraire, préparer un business plan solide permettra au créateur de mettre toutes les chances de son côté pour préparer au mieux son lancement. Il pourra notamment vérifier la viabilité de son projet et procéder aux ajustements nécessaires. Il sera en mesure de présenter son projet à ses partenaires et à ses associés, de convaincre les banquiers et investisseurs de lui faire confiance.

Les aspects juridiques à bien observer

Concentrons-nous quelques instants sur les aspects purement juridiques de la création d’entreprise. Les entrepreneurs nous disent souvent « je n’ai pas le temps pour ça », et ils survolent certains aspects. Évidemment, le droit ne passionne pas tout le monde. Mais négliger les aspects juridiques d’une création en choisissant par exemple des modèles de statuts gratuits pour gagner du temps et de l’argent semble un mauvais calcul. Les statuts d’une société demeurent un acte essentiel de la création d’entreprise. Ils organisent notamment la répartition des pouvoirs dans la société et passer trop vite sur ces étapes mettra les fondateurs dans une situation à risque pour le futur, notamment en cas d’entrée d’investisseurs. 

Nous rencontrons régulièrement des créateurs qui regrettent amèrement de ne pas s’être penchés sur les clauses d’agrément ou de préemption, les clauses d’exclusion des associés ou d’autres, au moment du lancement de leur projet. Ceux-là ont parfois été évincés par leurs propres associés. Il est donc très important de prendre le temps de comprendre ce que contiennent vos statuts.

Tous les projets de création d’entreprise ayant leurs spécificités, il est essentiel de prendre le temps de vous informer, de comprendre et de prévoir les clauses qui protègent le mieux vos intérêts. Là encore, attention aux raccourcis. Sur internet, le meilleur côtoie le pire. Ne consultez pas des sites avec des auteurs inconnus, sans formation ni expérience juridique, ils vous mettent à risque. Vérifiez la fiabilité de vos sources d’informations et vos sources documentaires, c’est très important et c’est normal : ce n’est pas une question de défiance, c’est une question de prudence.

Lorsque l’on gère les aspects juridiques d’une société il faut donc faire les bons choix : attention aux mauvais gains de temps et d’argent.

La suite de cette tribune : Créer sa société, ce n’est pas si compliqué ! (partie 2)

Comment transformer une faiblesse en force … comique

Chaque entrepreneur sait que répondre aux questions pièges est un numéro délicat. Mais imaginez un instant si, au lieu de transpirer à grosses gouttes, vous pouviez transformer ces moments délicats en une comédie irrésistible ? Plongeons dans l’art délicieux de transformer une faiblesse en force et en une parade comique avec ce guide exclusif des réponses pleines d’humour aux questions pièges des investisseurs.

1/ « Quelle est votre plus grande faiblesse en tant qu’entrepreneur ? »

Réponse comique : « C’est comme si vous demandiez à un super-héros sa kryptonite, non ? Ma plus grande faiblesse ? Soyons honnêtes, je suis allergique aux échecs. Mais rassurez-vous, je prends des antihistaminiques entrepreneuriaux pour ça. »

2/ « Comment prévoyez-vous faire face à la concurrence féroce sur le marché ? »

Réponse comique : « La concurrence, c’est comme un feu d’artifice canin, tout le monde veut attraper le même bâton. Notre plan ? Sortir nos griffes et miauler plus fort que tous les autres. Ça devrait les laisser perplexes. »

3/ « Qu’est-ce qui vous distingue des autres entreprises dans votre domaine ? »

Réponse comique : « Eh bien, notre avantage concurrentiel incontestable ? Notre machine à café. Plus fiable que la météo, elle. Vous ne pouvez pas bâtir un empire sur une caféine incertaine, n’est-ce pas ? »

4/ « Comment allez-vous gérer les fluctuations du marché ? »

Réponse comique : « Ah, les fluctuations du marché, c’est comme jongler avec des poissons. On prévoit de distribuer des gilets de sauvetage avec notre logo pour que tout le monde puisse rester à flot, même pendant les tempêtes économiques. »

5/ « Pourquoi devrais-je investir dans votre entreprise plutôt que dans une autre ? »

Réponse comique : « Investir chez nous, c’est comme obtenir un billet VIP pour notre salle de jeux, où toutes les décisions importantes sont prises lors de parties de Jenga ultra-compétitives. Croyez-moi, c’est là que naissent les meilleures idées. »

6/ « Quelle est votre stratégie de sortie à long terme ? »

Réponse comique : « Notre stratégie de sortie à long terme ? On prévoit tous de prendre notre retraite sur une île déserte avec des serveurs de cocktails robotiques. C’est notre manière d’automatiser le bonheur. »

7/ « Comment gérez-vous le stress et la pression en tant qu’entrepreneur ? »

Réponse comique : « Stress et pression sont mes meilleurs amis. On pense même à leur donner des surnoms sympathiques, comme Stressy McStressface et Pressura, la pression amicale. Ça rend tout beaucoup plus supportable. »

8/ « Qu’est-ce qui pourrait mal tourner dans votre plan d’affaires ? »

Réponse comique : « Tout peut mal tourner, bien sûr. Mais si notre plan d’affaires était une comédie romantique, je dirais que ces imprévus ne font que rendre l’histoire plus intéressante. C’est notre version entrepreneuriale de ‘La vie, c’est comme une boîte de chocolats.« 

9/ « Comment prévoyez-vous de récupérer en cas d’échec initial ? »

Réponse comique : « Récupérer d’un échec, c’est comme récupérer d’une chute de vélo. On pleure un peu, on fait une pause pour un glace, et ensuite on remonte en selle avec plus de style. C’est ce qu’on appelle le cycle de la résilience. »

10/ « Avez-vous déjà envisagé un plan B au cas où votre idée principale ne fonctionnerait pas ? »

Réponse comique : « Ah, le plan B, c’est un peu comme le parapluie qu’on espère ne jamais avoir à ouvrir. Mais rassurez-vous, notre plan B est tellement génial qu’on pourrait bien lui donner une promotion et le faire devenir plan A. On aime garder les choses flexibles ici. »

Alors transformez les questions pièges en moments de rire, et qui sait, vous pourriez bien avoir les investisseurs qui applaudissent à vos côtés ! Après tout, une bonne blague vaut parfois plus que mille projections financières.

Comment évaluer l’impact de l’intelligence artificielle sur votre secteur ?

L’intelligence artificielle (IA) émerge comme une évidence malgré les résistances. Elle redéfinit la manière dont nos secteurs d’activité évoluent. Dans cette ère de mutation accélérée, comment anticiper et évaluer l’influence de l’intelligence artificielle sur votre secteur particulier ? Voyons ensemble les changements profonds que l’IA peut engendrer et comment les entreprises peuvent naviguer avec assurance.

Exploration approfondie des possibilités de l’IA 

La première étape essentielle consiste à plonger dans les possibilités spécifiques que l’IA peut offrir à votre secteur. Qu’il s’agisse de la santé, de la finance, de la fabrication, ou d’autres domaines, les applications de l’IA sont vastes et diversifiées. L’identification des zones où l’automatisation, l’analyse prédictive, ou la personnalisation des services peuvent créer une valeur ajoutée est la clé de cette exploration initiale.

Analyse approfondie des tendances du marché et des initiatives concurrentielles

Surveiller attentivement les tendances du marché et les initiatives de vos concurrents peut fournir des indices inestimables sur l’influence de l’IA. Les entreprises visionnaires qui intègrent avec succès l’IA dans leur modèle opérationnel offrent des perspectives sur la direction que pourrait prendre votre secteur. Analyser ces initiatives concurrentielles peut aider à anticiper les changements à venir et à rester en avance sur la courbe.

Collaboration étroite avec des experts en IA

Les experts en intelligence artificielle sont des guides inestimables dans l’évaluation de son impact. Établir une collaboration étroite avec des spécialistes de l’IA permet de comprendre comment les technologies émergentes peuvent être adaptées de manière spécifique à votre secteur. Leurs perspectives pointues peuvent éclairer sur les opportunités uniques et les défis auxquels votre industrie pourrait être confrontée.

Évaluation méticuleuse des risques et des opportunités

Chaque révolution technologique apporte son lot de risques et d’opportunités. Évaluez attentivement les implications potentielles de l’IA sur votre secteur. Cela englobe des considérations éthiques, des changements de modèle économique, voire des ajustements réglementaires. Anticiper ces aspects permet de mieux naviguer dans le paysage changeant avec agilité.

Investissement dans la formation et l’adaptation des compétences humaines

L’introduction de l’IA peut remodeler les besoins en compétences au sein de votre secteur. Investir dans la formation et l’adaptation des compétences humaines est essentiel. Identifier les compétences qui resteront utiles, même avec l’automatisation croissante, est une stratégie préventive pour préparer votre main-d’œuvre à ces transformations.

Lancement de projets pilotes pour une évaluation concrète

Lancer des projets pilotes et des initiatives de petite envergure constitue une approche pragmatique pour évaluer l’impact de l’IA. Tester ces technologies dans des conditions réelles permet de mesurer les résultats tangibles. Cela permet d’ajuster les stratégies en conséquence, tout en minimisant les risques potentiels.

Engagement actif avec les parties prenantes

L’engagement actif avec les parties prenantes, qu’il s’agisse de clients, d’employés, ou de partenaires commerciaux, est essentiel. Recueillir des opinions, répondre aux préoccupations et communiquer de manière transparente sur la manière dont l’IA sera intégrée dans votre secteur renforce la confiance et facilite une transition plus fluide.

Développement d’une stratégie d’IA holistique

Fondée sur une évaluation approfondie des impacts potentiels, développez une stratégie d’IA holistique pour votre secteur. Cela devrait inclure des plans d’implémentation, des mesures de gestion des risques, et des mécanismes pour tirer pleinement parti des avantages que l’IA peut offrir.

Évaluer l’impact de l’intelligence artificielle sur votre secteur nécessite une approche proactive et de prendre du recul. Plutôt que de considérer l’IA comme une menace, percevez-la comme un partenaire stratégique potentiel qui peut stimuler l’efficacité, la créativité, et la croissance.