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Être innovant, qu’est-ce que cela veut vraiment dire ?

Se différencier est le maître-mot des entreprises. Pour se différencier les entrepreneurs cherchent de manière constante à trouver l’idée qui leur permettra de sortir des sentiers battus. Pourtant l’image portée sur l’innovation est souvent réductrice car elle est liée en général à une invention ou une création. Le CES Las Vegas en est un excellent exemple. En effet, il réunit les innovateurs du monde entier mais il existe aussi des associations comme Innov’Acteur qui mettent en exergue d’autres innovations issues souvent du vécu des salariés et qui deviennent des moteurs d’innovation.

Face à un marché de plus en plus concurrentiel, la nécessité d’innover apparaît prégnante pour bien des entreprises. Cependant, il n’est pas toujours évident de définir le caractère innovant ou non d’une idée ou d’un projet. Il est possible de dégager plusieurs types d’innovation, certains propres au monde de l’entreprise. Ainsi, comment définir l’innovation en milieu professionnel ?

La mise en place de nouvelles idées

On peut définir l’innovation dans le domaine de l’entreprise par la mise en place sur le marché de nouveaux produits, comme la voiture hybride, ou de nouveaux services, tels que le paiement par mobile. Le registre des nouveautés peut s’étendre également à une méthode de vente (le e-commerce), un procédé (la cuisson par micro-ondes) ou un type d’organisation (le flux tendu). De manière générale, tout ce qui apporte quelque chose d’inédit et de pertinent à la fois dans un secteur peut être considéré comme une innovation. Celle-ci peut ainsi être assimilée à une bonne idée, quel que soit son domaine ou sa spécificité. Quelque chose de très simple, comme le post-it (mis au point en 1980 par l’entreprise 3M), peut devenir une innovation au succès mondial.

La mise en place de services innovants

L’innovation se trouve souvent au cœur de nouveaux services proposés par les entreprises. Ainsi, on voit les entreprise rivaliser dans la performance de leurs services après-vente ou leurs services de livraison. Elle s’attachent à rester en étroite communication avec leurs clients pour leur montrer leur omniprésence, leur souci de répondre aux clients. Elles multiplient les SMS et les enquêtes de satisfaction.

Les innovations de rupture et les innovations incrémentales

Dans le milieu professionnel, on peut distinguer dans les grands types d’innovation qui connaissent chacun des réussites notables de manière régulière. Les innovations de rupture concernent des inventions radicales, qui bouleversent totalement la technologie ou les habitudes du public. Elles peuvent correspondre notamment à un changement de support ou à une modification des pratiques : on citera en exemple le remplacement de la VHS par le DVD ou l’abandon du baladeur au profit de l’iPod. Moins révolutionnaires, les innovations incrémentales apportent une évolution sensible à un produit déjà existant. C’est le cas par exemple de l’iPhone d’Apple, perfectionnement des téléphones portables présents jusque-là sur le marché.

Un autre mode de fonctionnement interne

Dans l’entreprise, l’innovation peut aussi être un processus collectif qui favorise l’efficacité, la prise de décision et au final la productivité. On peut estimer que donner aux salariés les moyens de satisfaire les clients en revoyant le fonctionnement en interne est une démarche d’innovation. Ainsi, le concept de libération d’entreprise, vulgarisé ces dernières années par Isaac Getz et Brian M. Carney, peut être perçu comme innovant. En responsabilisant les employés, il donne la possibilité à chacun de s’investir dans son travail pour fournir de meilleurs résultats. En favorisant l’autonomie des membres du personnel, un entrepreneur fait lui aussi preuve d’innovation.

Une adaptation aux progrès techniques

Enfin, il est permis de penser que l’innovation réside également dans une adaptation constante aux défis technologiques. Parvenir à préparer son entreprise aux nouveaux enjeux ou aux contraintes d’un marché témoigne d’un véritable sens de l’innovation. Ainsi, l’utilisation de l’économie numérique afin de proposer une alternative à un service traditionnel peut être qualifiée d’innovante. Il s’agit de la définition de l’ubérisation, un phénomène qui a le vent en poupe depuis quelques années. Des start-up comme Airbnb, Deezer ou BlaBlaCar ont notamment fait preuve d’innovation pour proposer de nouvelles solutions dans leur domaine et occupent aujourd’hui une place de leader.

La cohérence : un essentiel pour les marques

Les nouvelles habitudes de consommation sont arrivées sur le marché et aujourd’hui pas de doute, de nombreuses entreprises vont devoir se transformer en profondeur. Si on a longtemps entendu parler d’ADN de marque, il va falloir aller plus loin et instaurer de la cohérence partout dans les entreprises. 

Difficile dans ce monde en plein bouleversement, qui remet les acquis pour la protection de la planète, pour les intérêts de vie des agriculteurs, pour les consommateurs d’avoir des pensées et actions emplies de sérénité. Cependant, ils n’ont plus les yeux fermés et connaissent les enjeux. Pour les marques respecter les consommateurs grâce à des actions transparentes devient un atout majeur.

La marque, un repère pour les consommateurs

Aujourd’hui, il faut le dire le consommateur est littéralement perdu et recherche du sens. Il ne cherche plus seulement à recevoir passivement, Il désire contribuer, par sa consommation, à une société qu’il voudrait meilleure. En effet, depuis l’apparition du phénomène bio, il a intégré qu’il peut par ses choix influencer les futurs produits et sanctionner les entreprises en les boycottant si elles ne respectent pas ses valeurs. Il cherche finalement à trouver de la cohérence entre ses valeurs et celles des sociétés qui lui vendent des produits. Par ailleurs, le phénomène se fait grandement ressentir au travers des labels qui ne cessent d’apparaître chaque jour pour certifier au consommateur que ce qu’il consomme est conforme à leurs attentes.

L’exemple de l’éco-responsabilité

Il faut le constater, l’écologie n’est qu’un début pour les entreprises. Si de nombreux grands groupes y sont allés à grands coups de campagnes de greenwashing (écoblanchiment), il va falloir aller bien au-delà de la simple apparence dans l’avenir. Ainsi, cet exemple montre bien une exigence sur l’éco-responsabilité. En fait, elle devrait dans les avenirs s’étendre à tous les pans de l’entreprise qui vont être scrutés, analysés et partagés. 

Le consommateur comme juge

Avec l’apparition des réseaux sociaux, le consommateur ne s’adresse plus simplement à son groupe d’amis proches. Il juge et n’hésite pas à partager ses opinions qui peuvent rapidement faire le buzz. Nombre d’entreprises ont été sanctionnées pour leur mauvais comportement ou mauvaise communication. Tous les actes de l’entreprise sont observés. Regroupé en communauté, il peut rapidement sanctionner une entreprise qui ne se conformerait pas à son code éthique et partager ses « preuves » d’un comportement qui ne le serait pas. On l’aura compris, le consommateur va devenir plus exigeant et intransigeant avec les entreprises qui ne respectent pas ses valeurs. 

Une information qui ne devrait plus lui échapper

S’il demeure encore mal informé et qu’il ne prend pas le temps de le faire, l’information devrait bientôt lui parvenir de toute manière que ce soit par la création de sites qui permettront de s’informer sur la marque, les réseaux sociaux, les médias traditionnels/internet ou d’autres futurs moyens. 

La communication ne suffit plus

Pour se sortir de cette situation, la plupart des entreprises ont commencé par réaliser des actions. Cependant, celles-ci restent souvent à l’échelle de la consommation. Il ne s’agit pas de montrer que vous avez un produit bio pour faire oublier que 95% des autres ne le sont pas. Si ces actions sont déjà un début, les entreprises vont devoir faire preuve de plus en plus transparence comme nous le voyons pour l’égalité homme-femme récemment. Si la transparence devrait entraîner de lourdes sanctions, on le comprend les entreprises vont devoir trouver de la cohérence.

La cohérence est devenue nécessaire

Plus que jamais l’attachement aux marques se fait ressentir et les communautés interagissent. Le rôle de l’entreprise a changé et il s’agit désormais d’aider les consommateurs à aligner leurs valeurs. Pour cela, les entreprises vont devoir les aider à mieux consommer et recycler, moins gaspiller ou encore ne pas étouffer les petits producteurs. 

Le consommateur scrute donc les actions de l’entreprise. Il s’agit donc de remettre en question toute la chaîne de l’entreprise et de vérifier à partir de la production, en passant par le fonctionnement interne de l’entreprise, la livraison et ceci jusqu’au service après-vente qu’elle respecte bien toutes les valeurs de la RSE. 

Il est nécessaire plus que jamais de scruter l’ensemble des actions de l’entreprise et de placer des garde-fous. Pour cela, nombre d’entreprises devront vérifier que leurs valeurs soient bien exprimées mais pas seulement qu’elles soient bien respectées à tous les niveaux. La vague qui arrive ne devrait laisser en vie que les pionnières dans ce domaine. 

Le lieu de fabrication

Depuis la pandémie, le consommateur comprend que les produits des marques qu’il croyait fabriqués dans l’hexagone, l’étaient dans des pays lointains. Il comprend aussi que la délocalisation était loin d’être une idée qui avait du sens. Il faudra aux marques prendre conscience que le consommateur va devenir exigeant sur le lieu de fabrication et qu’il ne suffira plus de mettre une étiquette Made in France.

Bore-out, burn-out… kézako ?

Les sondages se multiplient sur le bien-être au travail. Si ce n’est pas un phénomène de mode c’est parce que les conséquences le sont certes pour les entreprises mais avant tout touchent le bonheur des salariés.

Selon une étude réalisée début 2022 par OpinionWay pour le cabinet Empreinte Humaine, 34 % des salariés seraient en burn-out dont 13 % en burn-out sévère soit 2,5 millions de personnes. Ce stress au travail a également un coût pour la société : un coût lié à l’absence de l’employé et à son remplacement, des coûts liés à l’impact sur la marque employeur et les répercussions d’une absence longue sur les équipes.

De même, selon de nombreuses études le bore-out a aussi un fort impact sur le dynamisme de l’entreprise et sur sa notoriété.

Bore out, burn out, surmenage, dépression professionnelle, autant de mots pour désigner des variantes d’un seul et même phénomène. Quand le travail conduit à la grave dépression, que le chef d’entreprise n’arrive plus à s’en sortir tout seul, il importe de réagir. Mais avant tout, il convient de définir ces pathologies pour pouvoir les reconnaître et les traiter.

Le burn out, ou l’épuisement professionnel, un phénomène en pleine expansion

Reconnu comme maladie professionnelle, le burn out est un phénomène bien connu. Il n’empêche qu’il touche toujours plus de salariés. En outre, il reste difficile à détecter par les professionnels de santé et à accepter pour les patients. Caractérisé par une fatigue intense, une perte de contrôle et une incapacité à aboutir à des résultats concrets dans son travail. Il est une forme de dépression liée l’activité professionnelle, pouvant potentiellement toucher tous les travailleurs, sans distinction d’âge, de sexe, de domaine d’activité ou de fonction hiérarchique. 

Les causes, multiples et variées, sont exclusivement liées à l’environnement professionnel du patient qui en est atteint. Les conséquences, comme celles d’une dépression classique, peuvent s’avérer désastreuses pour la santé du travailleur : stress, pathologies cardio-vasculaires, etc. Le burn out est un phénomène de grande ampleur, qui s’est intensifié au cours de la dernière décennie. On estime que le burn out est désormais la première cause d’absence longue au travail. Cette pathologie touche 40% des travailleurs à des stades plus ou moins importants. Ce chiffre pouvant même atteindre les 60% dans certains secteurs d’activité.

Le bore out, ou l’ennui au travail, phénomène miroir du burn out

Le phénomène du bore out est bien moins connu, car moins médiatisé. Il se définit par un ennui extrême au travail, touchant par exemple les salariés d’entreprises dont l’activité est quasiment réduite à néant, pour cause de crise, ou de salariés « mis au placard ». A cet ennui s’ajoutent la honte et la culpabilité. Une culpabilité qui empêche ses victimes d’en parler. En effet, dans une société profondément touchée par le chômage, comment peut-on comprendre le mal être de celui qui a un emploi et se plaint de s’y ennuyer ? Et pourtant le malaise est réel, et peut conduire à une profonde dépression, ou des gestes plus graves. 

Les conséquences ne sont pas uniquement psychologiques. Une récente étude fait apparaître que les travailleurs souffrant d’ennui professionnel ont quasiment trois fois plus de chances de contracter de pathologies cardio-vasculaires que les autres. Comment déceler alors cette pathologie, miroir du burn out ? Difficile de définir de manière très claire les contours de ce phénomène. Il touche des salariés n’ayant pas assez de tâches pour combler leur journée de travail, contraints de trouver des alternatives pour « tuer le temps ».

Il existe des tâches répétitives qui ne présentent plus aucun intérêt parfois pour le salarié. S’il est consciencieux, il va les réaliser avec sérieux. Cependant, il se peut qu’au bout d’un moment il n’y voit plus de valeur ajoutée et perde toute envie de travailler. Allumer son ordinateur devient un supplice par exemple. Si de plus dans son service, il n’a aucune reconnaissance de son travail, il en viendra à s’en désintéresser.

6 Conseils pour rendre vos graphiques convaincants

Les situations qui peuvent vous amener à réaliser un graphique s’avèrent nombreuses. Que ce soit pour une réunion, une présentation de vos résultats ou encore une levée de fonds, ils demeurent souvent les bienvenus. Pour appuyer une communication avec les médias, un sondage ou un baromètre, ces derniers facilitent la compréhension et la présentation d’informations. Pour obtenir l’impact recherché, il faut les préparer avec soin. Si vous devez les présenter en visioconférence, ils se doivent d’être encore plus explicites et la tendance aujourd’hui est de communiquer à travers les supports internet. Voici 6 conseils pour rendre vos graphiques convaincants.

Les graphiques font partie intégrante de la communication et on ne peut plus penser qu’ils sont superflus. Pourtant, il ne faut pas les choisir au hasard ni prendre une couleur qui développe une connotation négative. C’est pourquoi les sémiologues permettent souvent d’analyser les couleurs et leur sens caché. Ainsi, le packaging du fromage, le Caprice des Dieux réunit les symboles français : le bleu du ciel et des du manteau des rois, le ruban rouge de la remise des prix, le doré, signe de richesse. N’hésitez pas à bien observer l’association de vos couleurs dans les graphiques.

1/ Réfléchissez au message que vous souhaitez transmettre

Avant de choisir le moindre graphique à intégrer dans votre présentation, posez-vous toujours ces questions au préalable : Quel effet cherchez- vous et quel message voulez-vous faire passer ? Le graphique ne s’avère pas destiné à un but purement décoratif. Il doit remplir un vrai rôle dans votre discours et transmettre une idée forte. Si ce n’est pas le cas, sa présence ne se justifie pas forcément. Il vous revient donc de commencer par votre message. Une fois cette étape finie, choisissez les données que vous voulez exploiter en éliminant celles qui ne présentent aucune ou peu d’utilité. Cette réflexion et ces recherches terminées, vous pouvez à présent chercher des graphiques qui correspondent parfaitement à votre discours. Choisissez avec soin pour rendre votre prise de parole synonyme de réussite !

2/ Choisissez des couleurs adaptées

Pour vous, la couleur de vos graphiques ne représente pas la moindre importance ? Erreur ! Elle permet de les rendre plus lisibles et agréables au regard. Votre objectif demeure de toucher le plus de monde possible et de transmettre rapidement l’information essentielle. Pour pallier les différents types de situation, il faut prendre en compte plusieurs facteurs qui peuvent jouer sur l’utilisation des coloris. Quelques bonnes pratiques doivent rester dans votre esprit. Par exemple, le fait que près d’un homme sur dix s’avère daltonien, et 0,8 % chez les femmes. Certains assistent peut-être à votre présentation ! Choisissez les couleurs en prenant en compte cet aspect ou précisez les biens dans votre présentation. Autre point à noter, si vous vous exprimez à un auditoire international, sachez que les couleurs ne possèdent pas la même signification d’un pays à l’autre.  Prêtez bien attention à ces différents aspects. Autre conseil, évitez l’emploi d’un dégradé. Ces derniers peuvent poser un problème de compréhension. Démarquez de façon claire et précise vos schémas et graphiques

3/ Utilisez les figures à bon escient

Pour rendre encore plus explicite votre message, vous ne manquez pas de choix en matière de graphique. Nuage de points, histogramme ou encore les courbes s’avèrent pouvoir répondre à vos besoins. Il convient tout de même de ne pas les utiliser à tout bout de champ et de bien réfléchir à leur bonne utilisation. Pourquoi ? Un emploi trop répété risque de leur faire perdre l’impact qu’ils pouvaient avoir et de faire ressembler votre présentation à un cours de dessin. Il en est de même pour un mauvais usage des figures. Si vous souhaitez montrer l’évolution de quelque chose, n’optez pas pour un camembert par exemple. Privilégiez plutôt les courbes ou les histogrammes. Le choix s’avère plus pertinent, et le graphique bien plus lisible. Gardez bien en tête que l’objectif demeure de donner un maximum d’informations en un minimum de temps. Ne mettez que l’essentiel !   

4/ Donnez une vision positive

Lors de votre présentation, vous préférez présenter les choses sous un jour favorable ? Pas de problème ! Personne n’apprécie montrer des résultats qui peuvent donner une connotation négative. Dans ces conditions, mentir ne sert à rien et s’avère même déconseillé. Vous pouvez en revanche, donner une vision plus positive en faussant la perception des personnes. En choisissant de placer en ordonnée des chiffres entre 3 et 5% au lieu de 0 et 5% par exemple. La pente sera plus forte et donnera l’impression de meilleurs résultats. Vous pouvez également opter pour la modification des longueurs des axes afin de modifier la courbe. Donnez à vos graphiques la vision que vous souhaitez pour appuyer et convaincre encore plus votre présentation.

5/ Captez l’attention

Pour transmettre le plus efficacement possible le message que vous souhaitez transmettre et maintenir l’attention du public, montrez-vous ingénieux. N’hésitez pas à créer des ruptures au sein de vos graphiques ! Mettez en valeur des données qui vous semblent pertinentes afin d’attirer le regard de tous sur ce point et de le faire ressortir. Il vous suffit par exemple d’utiliser une couleur plus foncée ou claire par rapport au reste. De cette façon, tout le monde portera directement son attention sur ce qui vous intéresse. Gardez à l’esprit qu’il ne faut tout de même pas que vous surchargiez vos graphiques pour qu’ils restent le plus clair possible. A vous de capter l’attention du public sur ce qui vous intéresse !

6/ Rendez la présentation plus vivante 

La présence de graphiques rend non seulement votre présentation plus compréhensible, mais également plus animée. Pour lui donner un côté encore plus vivant, n’hésitez pas à faire participer le public. Lors de la présentation d’un de vos visuels, demandez si tout le monde a compris et que le schéma est clair. Les personnes se sentiront prises en compte et leur attention ne peut que croître. Vous pouvez également ajouter des animations dans vos graphiques pour atteindre toujours le même objectif. Faites de votre mieux pour chacun passe un agréable moment ! 

Lors d’une présentation, les graphiques occupent une place primordiale dans la bonne compréhension du message que vous voulez faire passer, mais également pour capter l’attention et mettre en avant des éléments.
Contrairement à ce que l’on peut penser, ils ne se placent pas n’importe comment et n’importe quand. Il faut qu’ils apportent un réel plus pour avoir un impact. A vous de préparer vos graphiques ! 

Comment être influent et devenir incontournable ?

Il arrive très souvent que certains entrepreneurs fassent souvent la une de plusieurs médias et qu’ils soient beaucoup sollicités pour des interviews ou pour participer à des plénières dans les salons, des conférences où ils sont placés comme des Guest stars et des experts. Que ce soit Xavier Neel, Frédéric Mazella, que ce soit Sandra Legrand, ils ont tous en commun d’avoir trouvé un produit ou une idée innovante qui a séduit un large public. Ils sont devenus les modèles dont il serait bon s’inspirer. Loin de se contenter de leur notoriété, ils communiquent et donnent de leur temps pour soutenir des actions auprès des jeunes, des femmes et de toutes les actions qui correspondent à leurs valeurs et ne sont pas avares de leur temps car ils se souviennent de leur parcours et des difficultés qu’ils ont rencontrées pour se faire connaître. Comment être influent et devenir incontournable ?

Créer de l’influence, améliorer sa réputation et être le porte-parole de son secteur, n ‘est-ce pas là le moyen pour booster son business et n’est-ce pas le rêve de tout entrepreneur ? Voici quelques conseils pratiques qui vous permettront de savoir comment y parvenir.

Pour la huitième année consécutive, Reech a rendu publique, le 17 janvier, son étude consacrée au marketing d’influence. Pour dresser un panorama du marché en France, l’entreprise a adressé un questionnaire de 40 questions à 1268 créateurs de contenu, entre le 22 novembre et le 11 décembre 2023.

Les chiffres clés à retenir sur l’influence en 2024

78 % des créateurs de contenu sont des femmes (+ 4 points par rapport à 2021), 89 % des répondants abordent la thématique du lifestyle (beauté, mode, food, voyage, etc.) dans leurs publications, 75 % des sondés ont pris connaissance de la loi visant à encadrer l’influence commerciale, promulguée le 9 juin 2023, 72 % des personnes interrogées déclarent que la création de contenu représente leur principale source de revenus, 25 % des sondés génèrent un revenu annuel supérieur à 10 000 €, contre 11 % en 2021, 8 créateurs sur 10 ont réalisé un partenariat gratuit ou rémunéré lors de l’année écoulée, 76 % des sondés optent pour le placement de produit lorsqu’ils collaborent avec une marque, 91% des créateurs de contenu considèrent Instagram comme leur plateforme principale. Ce réseau social devance TikTok et Facebook.

Qu’est-ce qu’un influenceur ?

Commençons tout d’abord par sa définition : un influenceur est une personne physique qui peut influencer les comportements des autres grâce à son statut. Les influenceurs sont en général des blogueurs qui diffusent régulièrement des articles, actualités… à une ou plusieurs communautés autour de mêmes valeurs et de mêmes idées. On parle alors d’e-influenceur. Par exemple, être un influenceur, c’est défendre un point de vue, une idée. C’est se démarquer et laisser une trace de son passage. Il est le porte-parole de son secteur. Il peut être le créateur de tendances.

Comment mesurer son influence ? 

Il existe plusieurs critères pour mesurer son influence. On peut mesurer le trafic de son site internet ou blog grâce au nombre de visiteurs, au nombre de pages vues par visite, au temps passé des visiteurs. Il est vrai que le nombre de visiteurs varie selon les secteurs. La communauté qu’il le suit via les réseaux sociaux (X, Facebook…). Le nombre d’abonnés à sa newsletter est un critère mais aussi toutes les interactions qu’il peut y avoir sur son compte ou communauté. En effet, ceui-ci devient influent à partir du moment où l’on fait appel à lui pour des demandes d’interventions ou d’interviews. On lui demande des conseils, son point de vue, etc… Les partenariats sont aussi un critère qui permet de mesurer sa popularité. Il reste que la véritable influence d’un individu ne dépend pas de la quantité, mais de la qualité de sa communauté. A réfléchir !

Comment devenir un influenceur ?

Il n’existe pas 10 000 façons pour y parvenir. En fait, on ne devient pas un influenceur du jour au lendemain. Rome ne s’est pas construit en un jour. C’est un travail chronophage, qui demande un énorme investissement en temps. Contre toute attente, il n’y a pas de recettes miracles, c’est du travail, du travail et du travail. Les quelques conseils à suivre pour se lancer :

  • Créer du contenu, du contenu et du contenu régulièrement
  • Maîtriser parfaitement votre domaine d’activité
  • Être à l’écoute des autres
  • Répondre aux questions
  • Animer différents réseaux sociaux
  • Échanger avec d’autres personnes influentes
  • Se créer un kit de communication
  • Enfin, Observer les entreprises qui communiquent et analyser leur manière de faire…

Comment évaluer la performance de son site web ?

Le site internet de l’entreprise est le lien direct avec les clients. Par la navigation performante qu’il offre, par la réponse à leurs questions et donc par conséquent à leurs attentes : produits, description des produits, moyens de paiement, livraison, SAV … et bien d’autres points liés à chaque business, le site peut devenir celui auquel on s’adresse en premier lorsque l’on a une demande. Comment évaluer la performance de son site web ?

Selon une étude de Databox de 2019, environ 41% des sites Web ont une durée moyenne de session comprise entre 2 et 3 minutes : 55% des sessions ont une durée moyenne inférieure à 3 minutes et seulement 27% des sessions dépassent les 4 minutes. La meilleure stratégie pour augmenter la durée moyenne d’une session est d’intégrer des visuels – tels que des vidéos, des graphiques et des infographies pertinentes. 

L’évaluation d’un site Internet permet de déterminer si sa performance dépasse celle de son concurrent ou non. Cette opération influe sur le positionnement du site et le confort des internautes. En même temps, elle permet de découvrir les failles et les points à améliorer et de déterminer la meilleure façon d’y procéder. Différents moyens permettent d’évaluer la performance de son site web, nous en découvrirons quelques-uns dans le développement qui suit.

Déterminer le nombre de visiteurs depuis les moteurs

Un site performant dispose d’une visibilité irréprochable et attire de multiples visiteurs. Il se trouve que le nombre de visiteurs provenant de Google constitue un élément pertinent permettant de définir la performance d’un site. Afin de faciliter l’évaluation du nombre de visiteurs, il faut déterminer les mots clés qui génèrent réellement du trafic. 

La qualité des visites et le taux de fidélisation

Disposer de nombreux visiteurs ne suffit pas, il faut considérer la qualité des visites. Cela consiste à distinguer les visiteurs en fonction de leur provenance. Ainsi, il devient plus facile de déterminer le temps qu’ils passent sur le site, de découvrir les actions qu’ils ont effectuées (consulter les offres ou faire des achats) et de savoir si le site les intéresse réellement. À part cela, il faut définir le taux de fidélisation du client. Pour calculer ce taux, il faut relever le nombre de clients achetant deux articles et plus par an et le comparer avec le nombre total de clients au sein de la communauté. 

Le temps passé par page

Un site performant se traduit par un site qui suscite de l’intérêt. Si son contenu intéresse le visiteur, il passera plusieurs minutes, voire même plusieurs heures sur ce site. L’entreprise peut optimiser la performance de son site en évaluant le temps passé par un visiteur sur chaque page. Elle peut modifier certaines pages en se référant à celles qui ont obtenu des temps record. L’achat en ligne ne doit toutefois pas requérir un temps important. Les clients doivent pouvoir faire leurs achats rapidement, facilement et de manière sécurisée.

Le nombre de liens cliqués

Un site performant obtient un nombre considérable de clics. Il existe des logiciels permettant de déterminer le nombre de liens cliqués par les internautes, tels que des captures d’écran. Un faible taux de clics peut déceler un impact négatif non négligeable sur le positionnement du site. Dans ce cas, la révision de la stratégie de l’entreprise s’impose. 

Réaliser un test de rapidité en ligne

Plusieurs sites Internet proposent des outils en ligne permettant aux entreprises de procéder à l’évaluation de leur site web. Pour garantir la fiabilité du résultat, il ne faut pas hésiter à réaliser le test sur différents logiciels. Les professionnels dans ce domaine recommandent aux entreprises de vérifier régulièrement la performance de leur site, car l’internaute n’aime pas attendre. Il a besoin d’une réponse instantanée. Si le temps d’attente dépasse les 8 secondes, le site risque de perdre plus de 47 % de ses visiteurs. Cela risque de compromettre réellement sa performance et son positionnement sur les moteurs de recherche.

Les 5 outils indispensables d’analyse de site web

SemRush

Cet outil permet d’analyser et d’optimiser les performances de votre site internet. Vous pouvez suivre votre positionnement dans les résultats de recherche, analyser vos concurrents, effectuer des audits de votre site.

 Google Analytics  

Cet outil permet d’ analyser leur audience de votre site Vous pouvez obtenir des informations détaillées sur votre audience, vos sources de trafic, vos objectifs de conversion …C’est un outil gratuit qui vous permet  d’avoir en votre possession une vue d’ensemble de la santé votre site internet et d’analyser les comportements des utilisateurs.

Ahrefs

Cet outil offre de nombreuses fonctionnalités telles que l’exploration de backlinks, l’analyse de mots clés, le suivi de positionnement. Ahrefs est particulièrement utile pour l’étude du référencement SEO de votre site internet.

Similarweb

Cet outil vous permet de connaître les statistiques de trafic de n’importe quel site web. Vous pouvez obtenir des informations sur les sources de trafic, les mots clés organiques, les sites référents ect. C’est un excellent outil pour surveiller vos concurrents et comprendre comment ces derniers attirent du trafic sur leur site.

Comment dompter la fatigue ?

Quand on est entrepreneur, il n’est pas rare de multiplier les heures et de sentir de grands coups de fatigue qui arrivent d’un coup. A force de persévérer dans l’effort, une fatigue intense peut se faire ressentir. Il existe certaines bonnes pratiques qui vous permettent d’en ressentir moins les effets, de les anticiper et qui peuvent vous aider à produire plus avec le même nombre d’heures de sommeil. Zoom sur certaines d’entre elles. 

Les urgences s’accumulent et vous ne savez plus où donner de la tête. Vous êtes si fatigué que vous ne savez plus par quelle tâche commencer. La non-maitrise de la fatigue peut vous conduire sans que vous vous en rendiez compte au burn out. Vous avez , et sous le savez bien, pris un certain nombre de mauvaises habitudes. Il existe des solutions simples et la première est de revenir à votre corps et à votre esprit qui ne sont pas corvéables à merci. Les respecter fait partie de la démarche pour apprendre à dompter votre fatigue.

Adapter ses heures de sommeil.

On le dit souvent : les heures avant minuit seraient plus productives. Plutôt que de chercher absolument à terminer votre dossier ce soir, peut-être est-il temps de réorganiser votre emploi du temps afin de vous coucher plus tôt et de vous lever plus tôt. Le cerveau est d’ailleurs souvent jugé plus productif le matin que l’après-midi même si dans les réalités, il faut bien prendre en compte d’autres éléments comme les heures et la digestion. L’alimentation joue aussi un rôle essentiel. Une bonne hygiène de vie vous permettra de mieux dompter votre fatigue. De la même manière, un sommier et un matelas de qualité peuvent rapidement être rentabilisés et vous permettre de profiter au maximum de vos nuits. Si possible essayez également de dormir dans un environnement sans bruit. N’oubliez pas par exemple d’éteindre la télévision avant de dormir. 

Bannir le stress

Le stress fatigue beaucoup plus qu’on ne l’imagine. En dehors de l’augmentation de votre rythme cardiaque, il est avant tout synonyme de fatigue. Si vous n’êtes pas adepte de la pensée positive, il est peut-être de temps de vous y mettre. Commencez votre journée par des pensées positives et surtout créez tout ce qui peut vous rassurer ou qui peut diminuer votre stress.

Par exemple, vous pouvez faire une to do list. Celle-ci vous permettra d’éviter de stresser toute la journée à force de penser à ce que vous n’avez pas réalisé ou encore traité en premier les tâches qui vous stressent afin de vous en débarrasser et aborder la journée sereinement. Vous pouvez également penser à relativiser. Quand une situation vous stresse et à vous demander ce qu’il arriverait au pire si une tâche n’est pas accomplie. Diminuer tous les facteurs de stress représente une bonne pratique pour dompter votre fatigue.

Devenir adepte des micro-siestes

Les micro-siestes sont beaucoup plus productives qu’on ne le pense et surtout si votre corps est particulièrement fatigué. Il est donc peut-être temps de mettre en place une salle de repos ou de vous équiper d’un matériel. Celui-ci vous permettra de réaliser des micro-siestes sans souffrir d’un mal de cou. N’hésitez pas à prôner la sieste en entreprise. Vous le faisiez bien quand vous étiez petit pour récupérer un maximum alors pourquoi ne pas reprendre cette bonne vieille habitude. Dans l’idéal, essayez que la luminosité ne vous gêne pas et que la posture de sieste soit agréable. Des entreprises comme Orange ont créé des salles spécifiques alors pourquoi pas vous ? 

Définir de bonnes tâches

Quand on est très fatigué, il est absolument inutile de se lancer sur une tâche intellectuelle ou complexe. Non seulement vous risquez de vous décourager mais vous risquez surtout de l’effectuer sans vous en rendre compte. De toute manière, vous devrez réaliser toutes vos tâches alors autant vous occuper de celles intellectuelles ou complexes le matin par exemple et de mettre l’après-midi celles qui demandent très peu de concentration. L’organisation représente une des clés lors que l’on est très fatigué. A défaut, vous pourriez vite vous retrouver coincé sur une tâche qui n’avance pas. Définir les heures de sieste vues plus haut en fait partie. En intégrant intelligemment chaque tâche à la bonne période, vous pouvez ainsi maximiser votre fatigue. 

Penser à l’environnement de travail

Votre environnement contribue fortement à votre fatigue. Une mise au vert peut vous redonner le peps nécessaire pour gérer votre fatigue ou un cadre de travail agréable et propre. Autant ne pas évoluer dans un environnement sale et prendre quelques minutes pour que votre corps, en plus de lutter contre la fatigue, doivent lutter contre les microbes et acariens présents dans l’air. Gérer la luminosité demeure ainsi un bon facteur, notamment si vous travaillez beaucoup sur écran.  

Les nombreux compléments alimentaires

Même s’ils font souvent débats, de nombreux compléments alimentaires comme les vitamines peuvent vous permettre de booster votre corps et vos défenses. Il ne s’agit pas de vous doper de trop mais de prendre certaines substances jugées comme essentielles pour votre corps. N’hésitez pas à prendre l’avis de votre pharmacien afin d’avoir des conseils. L’homéopathie reste souvent jugée comme bénéfique et comme nous l’avons dit plus haut, à défaut bien vous alimenter et éviter les aliments trop lourds peut grandement vous aider à ressentir moins la fatigue

Pratiquer du sport : fatigue contre fatigue

Si vous ressentez trop de fatigue, peut-être est-il temps de ressentir une fatigue qui soit salutaire pour votre corps. Déjà, vous allez booster les hormones du plaisir et vos nuits seront d’autant plus productives. Si les pratiques sportives vous seront davantage bénéfiques sur le temps, elles demeurent une bonne méthode pour booster votre performance et donc vous permettre de mieux maîtriser votre fatigue. N’hésitez à les intégrer à votre emploi de temps. A force de vouloir gratter chaque minute, vous risquez d’en perdre. 

Préparer le lendemain quand vous êtes fatigué

Plutôt que de vous créer une chaîne de stress dès le matin, pourquoi ne pas prendre 10 minutes le soir pour préparer la journée du lendemain. Votre corps pourra ainsi se lever tout en douceur plutôt que de se précipiter dès le matin et de ressentir du stress. Prendre quelques minutes pour mettre à jour votre to do list ou préparer vos affaires ne représente pas une perte du temps et vous sera bien utile que de vous mettre un dernier épisode de votre dernière série Netflix. De la même manière, n’accumulez pas trop de mini-tâches qui vous encombrent le cerveau et qui sont réalisables en moins d’une minute. 

Pimentez votre contenu pour un meilleur engagement

La réponse à la question comment attirer les clients, les consommateurs est au fond la question répétitive de tout moment d’une entreprise : comment faire pour obtenir le meilleur résultat possible ? pour obtenir le meilleur résultat possible à moindre coût ? pour impliquer les collaborateurs pour qu’ils deviennent des ambassadeurs ? Comment faire … La réponse à la question engendre une stratégie, une prise de décisions, des consultations. Il en est de même pour votre contenu pour un meilleur engagement.

Chaque jour, vous publiez du contenu de qualité et vous n’observez que de faibles résultats qui sont loin de ce que vous espériez. Vous attendez patiemment un commentaire, le partage de votre contenu ou un simple “merci”. Toutefois, rien ne se passe !

La plupart des nouveaux blogueurs et « marketeurs » blâment souvent à tort leur contenu pour le manque d’engagement qu’il obtient. Un ingrédient principal à ne pas négliger est la composante visuelle. Alimentez votre contenu avec des vidéos, des images, des bandes dessinées, des infographies, des présentations postées sur Slideshare, des animations Tumblr etc, et vous verrez la différence.

Votre contenu n’a pas besoin d’être ennuyeux. En intégrant des éléments visuels, vous pouvez ajouter du piquant à votre site Web ou votre blog. Vous voulez des preuves ? Regardez la montée en flèche des sites de médias sociaux comme

Pinterest et Instagram.

Pinterest, lancé en mars 2010, a rapidement gagné du trafic et a connu une augmentation des ses visiteurs uniques depuis sa création. Instagram quant à lui, a débuté en 2010.

Selon Pinterest en 2024, le réseau social compte 498 millions d’utilisateurs actifs mensuels. La plus forte audience se trouve aux USA. Le chiffre américain avait chuté de 5% entre 2021 et 2020, pour une progression de 13% dans le reste de la planète. En ce qui concerne les âges et générations, les abonnés bougent. En effet, les tranches d’âge les plus jeunes sont de plus en plus nombreuses sur la plateforme : Pinterest comptabilise une augmentation de 50% de la gen Z, les utilisateurs nés entre 1995 et 2010. Les hommes représentent 22,4% de la population contre 69,5% de femmes au global selon We Are Social et les chiffres des annonces publicitaires.

Quant à Instagram, il compte plus de 2,5 milliards d’utilisateurs actifs mensuels, et une utilisation de l’app par 1,28 milliards de personnes (HubSpot / Mention, 2023). Un pic a été atteint en 2022 avec 2,3 milliards d’utilisateurs (We Are Social / Meltwater, Statista). Instagram est le 3ème média social le plus utilisé en France. Selon Digimind, en France, l’audience d’Instagram s’élève à plus de 26,5 millions d’utilisateurs actifs par mois en 2023. .Le réseau social est représenté par toutes les tranches d’âges :

  • 32% des utilisateurs entre 18 et 24 ans
  • 30% entre 25 et 34 ans
  • 17,9% entre 35 et 44 ans.

Prenons un autre exemple flagrant ! 

Je peux vous écrire tout un paragraphe en décrivant le nouveau gâteau “velour rouge” de la boulangerie locale, ou je peux simplement vous le montrer en utilisant l’image ci-dessous. 

Je ne suis pas sûr que vous allez lire l’intégralité du paragraphe et que vous serez convaincu de vouloir y goûter ! Toutefois, je suis sûr qu’en regardant le visuel, vous allez vouloir le dévorer !

D’après une étude de StatisticBrain vous disposez de huit secondes pour capter l’attention du public. Vous pouvez utiliser des mots percutants mais il clair qu’avec un visuel vous avez plus de chance d’attirer les regards.

Par le biais des visuels vous créez une connexion avec votre lecteur. Ils évoquent des sentiments plus rapidement que les mots et peuvent retranscrire une histoire.
A titre d’exemple, consultez cette infographie qui a obtenu environ 350 000 visiteurs en 30 jours, expliquant comment fonctionne un moteur de voiture d’une manière assez attrayante.

Comment pimenter votre contenu à l’aide du Marketing visuel ?

1. Utilisez “Madame tout le monde”

Utiliser des visuels avec de réelles personnes permet à votre public de s’identifier et renforce le sentiment de reconnaissance.

2. Soyez créatif

Vous avez un smartphone ? Vous pouvez aussi bien être photographe ! Les médias sociaux types Pinterest, Instagram, Facebook et Twitter sont très pratiques pour mettre en valeur vos compétences en tant que photographe amateur.
L’utilisation de vos propres visuels offre davantage de personnalité à votre contenu. Au final, c’est l’homme qui fait l’entreprise et non pas l’inverse.

3. Créez vos visuels interactifs vous même

Vous n’êtes pas sûr de vos talents de photographe ? Vous pouvez avoir recours à de nouvelles technologies en ligne vous permettant de créer vos propres visuels interactifs assez facilement.
Essayez Visme ou encore Canva pour créer votre présentation, votre visuel avec du texte, votre bannière publicitaire, des infographies etc.

4. Facilement interprétable

Les informations sous formes graphiques et visuelles sont plus facilement interprétables et peuvent se partager facilement. Jouez aussi sur la taille de vos images !

5. Sortez des sentiers battus

Vous connaissez tous les “selfies” ? Quoi de mieux pour ajouter une dimension humaine à votre visuel ? Voici un bon exemple de “selfie” assez fun.

Bien sûr, l’impact peut être plus fort si vous faites appel à des célébrités. Regardez également comment font les “non-célébrités”.

De plus en plus d’annonceurs en ligne utilisent des croquis et autres illustrations de ce type pour diffuser leurs messages au public. De plus, en faisant participer leur audience, ils rentrent en connexion avec leurs clients et prospects et jouent sur l’appartenance et l’attachement à leurs marques et produits.

Vous avez d’autres idées pour pimenter votre contenu ? Quels sont vos types de visuels préférés ? Partagez avec nous vos idées ci-dessous !

Comment répondre à une critique ?

Quand on reçoit une critique, il faut se l’avouer : cela ne fait jamais plaisir. Il en est de même quand nous en formulons. Vous avez beau être dirigeant ou manager, vous n’êtes pas parfait et vous allez donc faire l’objet de critiques. Il se peut que vous vous sentiez blessé, honteux, voire trahi et il est naturel que vous soyez sur la défensive. Une réponse peut être virulente et blessante alors que la critique est peut-être justifiée. Petit zoom sur la bonne manière de répondre à une critique. 

Tout le monde préfère les éloges. Il faut dire que les éloges nous encouragent à nous dépasser. La critique nous conduit parfois à nous sentir pris au piège et nous conduire à nous défendre même si nous avons parfois tort. Dans la vie professionnelle, elle peut être une opportunité qui nous ouvre des horizons ou des chemins auxquels nous n’avions  pas pensé. Cependant, la critique touche parfois notre orgueil et pour éviter de perdre la face nous devenons arrogants et nous dénigrons l’autre et refusons de l’écouter.

Alors, comment faire ?

Ne pas réagir au quart de tour ! 

Les critiques ne doivent pas vous faire réagir de manière inappropriée. Commencez par vous dire que vous ne devez surtout pas répondre spontanément et vous mettre sur la défensive. Il est tentant de réagir au quart de tour et vouloir mettre un terme à la critique rapidement car personne n’aime se faire critiquer. Pourtant, la personne en face de vous n’est pas forcément mal intentionnée et cherche peut-être à vous aider. Ce n’est pas parce qu’on vous critique qu’on cherche à vous faire du mal. Souvent sa critique n’est pas forcément fondée. Elle peut vous révolter dès le début. Cependant, il est peut-être temps de l’écouter jusqu’au bout pour comprendre son origine et pouvoir y répondre calmement et surtout créer des liens basés sur l’empathie. 

Si vous souhaitez y mettre un terme rapidement.

Si vous souhaitez y mettre un terme rapidement, mieux vaut tout simplement couper l’échange et passer votre chemin. Rentrer dans l’argumentation ou bien donner votre point de vue c’est déjà entamer la discussion et donc prendre un temps précieux. Vous pouvez également y mettre fin en ajoutant de manière ironique à quel point la personne à raison mais cela reste un tantinet agressif tout de même. Cependant, cela ne vous permettra pas cependant d’en saisir les tenants et les aboutissants et de résoudre profondément la situation. Une telle attitude n’est jamais souhaitable. Il faut plutôt leur proposer un dialogue à un moment où votre charge de travail vous permettra de l’écouter sereinement.

Pour y mettre fin vraiment : l’écouter jusqu’au bout

Si vous souhaitez éventuellement progresser ou comprendre une critique, le plus simple est de l’écouter jusqu’au bout. Vous devez commencer par vous détacher émotionnellement de la critique. Il ne s’agit pas de la prendre à cœur et contre vous et ce n’est pas parce que vous avez mal agi que vous êtes quelqu’un d’abject. Pour réellement bien traiter une critique, il s’agit de poser une série de questions afin d’appréhender avec précision d’où elle vient et son fondement. Si la personne est en colère en face de vous, il se peut qu’il y ait une raison même infondée mais vous devez avant tout essayer de comprendre la raison pour laquelle elle l’est. Comprendre les autres est une qualité essentielle chez le manager.

Accepter la critique dans un premier temps

Vous l’aurez compris, le premier réflexe est donc très difficile car vous devez prendre du recul, vous détacher émotionnellement de la critique et vous demander objectivement d’où elle provient. Vous devez donc être le plus calme possible et penser que vous avez peut-être un profit à tirer de cette critique.  Ecoutez activement tous les raisons de la critique afin de bien la cerner et bien comprendre le contexte dans lequel elle est émise. L’exercice est très difficile. Surtout si celle-ci a tendance à vous apparaître évidemment non justifiée et que l’injustice fait souvent surgir la colère. 

Analyser la critique

Une fois tous les éléments posés. Il existe deux cas deux figures : la critique est justifiée ou elle ne l’est pas. 

1/ Si elle l’est, il s’agit de la décortiquer, l’analyser et de savoir comment vous pouvez en extraire des éléments positifs. Réagir mal ne vous fera pas avancer et autant demander à la personne en face de vous quel est son point de vue et ses suggestions et ce qu’elle aurait fait à votre place. Vous pourrez ainsi rectifier votre capacité à écouter mais aussi votre capacité à vous améliorer.

2/ Si elle n’est pas ni constructive ni justifiée, vous avez peut-être un manipulateur en face de vous mais pas forcément, il se peut qu’elle n’ait pas tous les éléments à sa disposition. Il peut être tentant de réagir avec de la colère mais en réalité, cela n’apporte jamais rien si ce n’est la rancune bien difficile à canaliser. Pour aller de l’avant, mieux vaut une réponse calme et tranquille. Si la personne continue après vos explications, rien ne sert de persévérer plus loin la discussion et vous pouvez y mettre fin en disant que « vous avez dit ce que vous aviez à dire » et que vous ne souhaitez pas poursuivre sur le sujet.

Le cas où la critique appartient au passé. 

Une des manies de certaines personnes qui souhaitent parfois faire du bien mais en réalité ne font que vous mettre dans une position désagréable consiste à vous dire « oh combien vous avez changé en bien » ce qui sous-entend que vous n’étiez pas au top et donc que vous vous êtes mal comporté. Dans ce cas précis, il vous suffit d’accepter simplement avec un sourire et de ne pas relancer. Ainsi, vous pouvez tout simplement répondre par « Tant mieux, cela semble résolu alors autant passer à chose » avec un sourire. A défaut, la discussion risque vite de se concentrer sur le fait de s’épancher sur le passé avec force de détails. S’il est tentant de vouloir entendre que vous êtes désormais avenant et performant, la conversation prend souvent des allures stériles et délétères et essayez tant que possible de ne pas vous y attarder. 

Dans le monde de l’entreprise, « râleur » et « meilleur » seraient des synonymes

Les Français ont toujours eu une réputation de râleurs, jamais contents et se plaignant constamment. Ils ont aussi pour réputation d’être des résistants. Ces derniers temps, ils en ont fait la démonstration aussi bien lors des grèves à répétition, que lors des manifestation. Ils veulent tout et leur contraire. Ils râlent parce qu’ils ont trop de travail, parce qu’ils voudraient faire du télétravail, ne pas prendre les transports. Cependant, contre mauvaise fortune, ils agissent pour le bien de l’entreprise. Ils apprécient la reconnaissance et les éloge avant tout. Néanmoins, dans un service, le râleur influe sur les autres et peut être source de démotivation. Selon une étude menée par la filiale américaine de Cornerstone, une personne toxique dans un service de 20 personnes augmenterait de 54 % le nombre de démissions.  

On entend souvent que ce sont les Français qui se plaignent le plus. 

Une étude d’Infobip*, société de communications cloud omnicanales, révèle pourtant qu’ils ne se plaignent qu’avec modération.  Ainsi, la majorité des Français (65 % en cumulé) ne se plaignent pas plus de 3 fois par an. Il est cependant intéressant de noter certaines disparités selon les âges. On peut en effet constater que les 18-24 ans et 25-34 ans ont tendance à plus se plaindre que leurs ainés avec par exemple 11 % des 18-24 ans qui se plaignent au moins 5 fois par an et 7 % des 25-34 ans qui se plaignent au moins 6 fois par an.

Par exemple, sur le podium des plaintes françaises on retrouve exclusivement des problèmes liés au secteur du Retail. La première des revendications porte sur les problèmes et retards de livraison pour 35 % des Français. Vient ensuite la qualité du produit pour 27 % ainsi que la qualité du service pour 22 %.

Source : Étude réalisée par 3GEM entre le 1er et le 16 juin 2023, auprès d’un échantillon représentatif de 1000 françaises et français âgés entre 18 et 65 ans et plus et ce sur toute la France.

Pourtant une sérieuse étude américaine publiée par Leadership IQ et menée par un cabinet de conseil d’Atlanta aux Etats-Unis révèle que les employés les moins performants sont ceux qui sont engagés. Mais aussi ceux prêts à se donner à 100% pour leur entreprise et toujours satisfaits de leur travail et de leur patron.

Efficacité et motivation

L’étude nous révèle que les employés qui déclarent être parfaitement heureux dans leur travail sont les moins efficaces. Cela veut-il dire que les râleurs sont plus compétents ? Oui ! C’est en tout cas les conclusions de l’étude américaine. Les « jamais contents », ceux qui râlent constamment et qui réclament toujours plus, sont généralement plus compétents.

Cependant ne généralisons pas. Ce n’est pas parce que vous êtes un éternel râleur que vous êtes forcément meilleur. Mais surtout, ce n’est pas en devenant râleur que vous deviendrez meilleur.
De plus, il n’est pas impossible d’être motivé, impliqué ainsi que très compétent.

Les meilleurs râleurs en fuite

Cependant, les personnes qui lient performance et bien-être au travail sont excessivement rares et la plupart du temps, les employeurs ne savent pas comment gérer ce type de salariés et adoptent un comportement inadéquat.

Résultat, les meilleurs ne restent en général pas longtemps dans les entreprises. La souffrance qu’ils ressentent dans leur travail est mise en cause. En effet, les plus compétents ne se sentent pas appréciés à leur juste valeur car leurs supérieurs ne leur manifestent aucune reconnaissance.
De plus, les plus compétents ont beaucoup de mal à accepter le mauvais travail des médiocres car ils ne se sentent pas plus valorisés qu’eux mais ont pourtant conscience de la supériorité de leur efficacité.

Les médiocres eux ne se rendent pas compte que le travail qu’ils ont fourni en moins, par rapport aux compétents, a été compensé par la bonne productivité de ces derniers. Par conséquent, ils ne prennent pas conscience de leur infériorité, ce qui a tendance à énerver encore plus les meilleurs qui sont souvent déjà… des râleurs.

Ces erreurs de management ont des conséquences néfastes pour les entreprises, car les plus compétents ont tendance à ne pas rester longtemps dans les entreprises à cause de la souffrance qu’ils ressentent et divulguent une mauvaise image de l’entreprise. A l’inverse, les moins bons et qui ont des attitudes très positives, restent généralement longtemps dans les entreprises et la recommandent à leur entourage.

Rappelons que l’étude n’exclut pas l’existence de râleurs, non compétents. N’y pensons pas !