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Comment renouveler sa motivation ?

Dans le périodes d’accalmie comme les vacances d’hiver par exemple, nombreux sont ceux qui prennent de bonnes résolutions. Prendre de l’avance au niveau du travail ou encore se renouveler personnellement lors de cette période est, en effet, idéal. Coupé du monde environnant, vous pouvez enfin prendre du temps pour vous et transformer vos habitudes. Zoom sur comment renouveler votre motivation.

Depuis la crise sanitaire, il y a eu des moments d’accalmie dans le business et donc de découragement face aux incertitudes. Or, un entrepreneur doit toujours renouveler sa détermination même quand le vent ne souffle plus et que son bateau est à l’arrêt au milieu de nulle part et que la trésorerie est bientôt à sec. Dans ces périodes, les pessimistes qui vous entourent vont chanter les chansons habituelles qui au lieu de nous donner de l’élan vont vous démotiver et vous conseiller de chercher des solutions peu constructives.

1 – Faire le point sur vos objectifs

Vous pouvez avoir aussi bien des objectifs dans le travail que dans votre vie personnelle. Le tout est de les poser. Ne vous en fixez pas trop et commencez par les énumérer. Vous avez l’embarras du choix : arrêter l’alcool ou prendre de nouvelles habitudes, stopper le tabac, prendre de l’avance sur votre travail, vous mettre au sport, prendre soin de vous, prendre soin de votre intérieur, … Une fois l’ensemble de vos objectifs listés, sachez qu’il sera compliqué de tous les réaliser en même temps.  On considère qu’il ne faut pas se fixer plus de 5 nouvelles habitudes et qu’il faudra au moins quelques semaines voire dans l’idéal 6 mois pour qu’elles rentrent dans vos habitudes.

2 –Inscrire concrètement sur papier leurs apports

Chaque objectif fixé l’est en général dans des buts bien précis. Vous pouvez lister ce que vous apporte chacun d’entre eux. Si vous souhaitez prendre de l’avance sur le travail, il peut s’agit de tranquillité par exemple, de pouvoir gérer les imprévus ou encore de pouvoir lancer de nouvelles activités. N’hésitez pas à les écrire ou à les taper pour les consulter de temps en temps afin de vous rappeler si la démotivation prend le pas, la raison pour laquelle vous souhaitez atteindre ses objectifs.

3 – Prendre quelques minutes pour vous projeter

Vous pouvez faire cette activité régulièrement pour booster votre motivation. Prenez l’un de vos objectifs et fermez les yeux. Projetez-vous dans le futur comme si vous aviez déjà réalisé la tâche et vous pensez au bien-être que vous apportera l’atteinte de cet objectif. Cette technique est notamment utilisée lorsque l’on arrête de fumer mais s’applique globalement à tous les objectifs. Vous allez rapidement voir apparaître une sensation de bien-être qui boostera votre motivation à atteindre votre objectif.

4 – Imprimer un calendrier

Si votre objectif s’étale sur la période des vacances par exemple, rien ne vous empêche d’imprimer un calendrier. Commencez par entourer les dates où vous avez atteint le but de votre décision (par exemple en vert). Vous pourrez alors constater le chemin déjà parcouru et chaque jour observer l’avancée et que vous vous rapprochez de votre objectif. Si par exemple, vous avez décidé de maigrir et que vous avez évalué de le faire dans une période donnée, vous pourrez ainsi visualiser même de loin que vous allez tranquillement vers la date de fin de votre effort.

5 – Décliner tous vos sous-objectifs

Si vous ne l’avez pas fait auparavant, il s’agit de créer des étapes afin de ne pas trop regarder le point final. Il s’agit davantage de vous concentrer sur ces étapes que sur l’objectif final car vous pourriez rapidement vous décourager. Ainsi, si nous sommes le 23, mieux vaut vous fixer une étape le 29 et faire un nouveau bilan à cette date. A chaque étape, n’hésitez pas à célébrer votre victoire en vous offrant quelque chose ou tout simplement en vous accordant du temps pour vous. Prenez en compte que ce jour-là, vous ferez peut-être un petit écart dans vos objectifs. A chaque étape, n’oubliez pas de regarder le chemin parcouru.

6 – En discuter avec des amis ou vos associés

Si vous sentez que votre motivation retombe et que vous n’avez pas réussi à vous booster par vous-même, rien ne vous empêche d’en discuter avec ceux qui auraient un gain à l’atteinte de ce but ou tout simplement des amis qui vous permettront par leurs encouragements de vous remonter à bloc. Si vous rencontrez des difficultés, n’hésitez pas à leur en parler car ils pourront vous encourager et vous aider à surmonter un manque de motivation temporaire.

7 – Vous lancer dans la tâche quoi qu’il arrive

Lorsque l’atteinte d’un objectif prend du temps, il est souvent difficile de se motiver. Or la motivation vient souvent avec l’action. Il s’agit parfois tout simplement de suivre votre to do list et de vous l’imposer comme une obligation. Une fois la tâche terminée, vous pourriez bien ressentir de la satisfaction et le lendemain vous dire que vous avez déjà parcouru un sacré chemin et que ce n’est pas finalement si difficile que cela. A défaut d’avoir la motivation initiale, elle pourrait bien se créer pour les jours à venir.

8 – Tenir un journal

Pour se booster quand on n’en a vraiment pas envie, rien ne vous empêche d’écrire vos motivations mais pas seulement l’ensemble de vos ressentis. Vous pourrez ainsi vous rappeler en relisant les sentiments que vous avez éprouvés lorsque vous avez pris votre décision. Dans les moments de faiblesse, rien ne vous empêche de l’écrire et ainsi de prendre à nouveau la décision de vous dépasser. Ecrire ce que l’on ressent permet souvent d’extérioriser une difficulté et de la faire ressortir comme un élément extérieur.

9 – Vous dire que vous allez y arriver

Si vous vous êtes fixé cet objectif, c’est a priori qu’il y avait une chance que cela se produise et que vous parveniez à ce résultat. Ce que l’on désire ardemment se réalise souvent si vous ne vous contentez pas de rêver et que vous mettez les moyens en action. Dites vous que vous allez réussir quoi qu’il arrive !

On l’aura compris, la motivation est avant tout une démarche personnelle où vous devez visualiser ce que vous apporte l’atteinte de votre objectif. Souvent, la motivation provient du chemin parcouru ou encore du fait de vous astreindre à avancer toujours un peu plus. C’est le moment d’arrêter la lecture de cet article et de vous lancer !

La Silver économie, le business de demain ?

Selon, l’Insee, au 1er janvier 2024, en France, 21,5 % des habitants ont 65 ans ou plus. Cette proportion augmente depuis plus de trente ans et le vieillissement de la population s’accélère depuis le milieu des années 2010, avec l’arrivée à ces âges des générations nombreuses du baby-boom dont les plus anciennes auront 78 ans en 2024. Ainsi, les personnes âgées de 75 ans ou plus représentent désormais une personne sur dix en France (10,4 %) et leur part est en forte augmentation (9,0 % en 2013). Cette situation est commune à tous les pays de l’UE27. En 2022, les personnes de 65 ans ou plus représentent 21,1 % de la population de l’UE27, contre 18,0 % en 2012 et 16,0 % en 2002. Leur part est supérieure à 23 % en Italie, au Portugal et en Finlande en 2022.

Des chiffres qui font rêver les entrepreneurs quand on sait que les seniors sont d’excellents consommateurs, tant pour leur plaisir que pour leur santé. Avec l’essor de ce marché, la Silver économie deviendra-t-elle le business de demain ?

Sortir des idées reçues sur les seniors

Entre 62 ans et 99 ans, les seniors vivent des réalités très différentes. Tous les seniors n’ont pas le même profil et il faut arrêter de penser qu’ils sont tous dépendants de la société, de leurs enfants… ! 

On pourrait classer les seniors en quatre catégories : 

  • Les seniors actifs qui créent des entreprises, se lancent dans des activités de bénévolat au service des autres et souhaitent pérenniser leur lien avec la société ou qui recherchent un complément de revenus dans le contexte de la crise ;
  • Les seniors qui profitent d’un repos bien mérité après la vie professionnelle pour voyager ou s’adonner aux joies du sport, de leur maison de campagne, de leurs familles…
  • Les seniors à la santé chancelante dont la première préoccupation est d’être en forme et qui deviendront des inconditionnels des cures, des objets ergonomiques…
  • Les seniors dépendants de l’aide médicalisée et qui solliciteront une aide de la famille et de la société. Ces derniers sont loin de représenter l’ensemble des seniors contrairement aux a priori.

« Dans la réalité, les personnes dépendantes représentent une très faible minorité des seniors, l’immense majorité des moins de 80 ans étant en pleine forme. Même parmi les 80-90 ans, seulement 11 % sont dépendants. Et 60 % sont fragilisés, car ils n’ont plus la force physique de tout faire. Cela signifie tout de même que 30 % sont encore très alertes. Ainsi, vieillissement ne rime pas uniquement avec dépendance. »

Selon Guillaume Richard, fondateur et président du groupe O2, lors d’une interview de Dynamique 

Ainsi, comme exemple, les personnes âgées sont d’excellents consommateurs de vacances et de voyages. Leur désir les conduit à penser qu’il reste un coin de paradis auquel les voyagistes, à l’affût, souscrivent pleinement. Par ailleurs, ces seniors ont l’avantage de ne pas être dépendants des vacances scolaires et permettent de maintenir l’activité de certaines entreprises pendant les mois plus creux. Mais ils sont également des consommateurs de bien-être comme en témoigne, entre autres, leur présence dans les centres de cure, de thalassothérapie ou dans les piscines. Source « Etre entrepreneur aujourd’hui, Editions Eyrolles »

Un marché très large 

Dans l’économie mondiale, le vieillissement de la population concerne de nombreux pays, les entreprises réfléchissent à profiter de cette opportunité. En France, 1 Français sur 5 à plus de 65 ans, un chiffre éloquent qui confirme que les possibilités de création de concept et d’entreprises se sont multipliées pour répondre aux attentes des seniors et de leur famille. Par ailleurs, elle apparaît comme un secteur florissant avec 16 millions de personnes âgées présentes sur le territoire français et 2 millions de plus dans deux ans.  La silver économie dispose, en France, d’un fort potentiel de croissance. Son chiffre d’affaires s’élève à 130 Md€ en 2020 (CRÉDOC). La silver économie pourrait induire 300 000 créations d’emplois nettes.

Pour se développer, les entreprises de ce secteur tentent d’innover pour accompagner les personnes dépendantes. Les seniors deviennent moins mobiles au fil du temps et de leur âge et le maintien à domicile entre autres a un impact conséquent sur les marchés de l’habillement, du tourisme et des transports, des soins d’hygiène et d’appareils médicaux indispensables pour une vie plus confortable. 

La modernité et la technologie sont des secteurs très sollicités par les entreprises.

La Silver économie quant à elle, tente de concilier entre les attentes de leurs consommateurs et la modernité. Il s’agit de s’imposer dans un marché qui se développe pourtant à grande échelle. Plusieurs entreprises ont misé sur des applications pour garder le contact et s’occuper des personnes âgées (Celyatis, présence verte…). Ainsi, le maintien à domicile devient très fréquent chez les seniors les plus âgés, leur prise en charge est nécessaire.

La technologie permet de contrôler leur activité à l’aide de bracelets ou de capteurs pour être alerté en cas d’anomalie. L’un des principaux concepts de la Silver économy consiste à pouvoir prendre soin de ces ascendants à distance même si l’on ne peut être présent à côté d’eux. Dans une autre perspective, les seniors vivent souvent seuls et développent parfois un sentiment de solitude. Pour remédier à cela des entreprises innovent avec des assistants vocaux ou encore des petits robots pour les accompagner dans leur quotidien. De surcroît, les innovations se multiplient et les acteurs tentent leur chance auprès de différents profils. 

Des moyens disponibles pour développer la Silver économie 

Ce secteur destiné aux seniors séduit de nombreuses entreprises et le concept se développe grâce aux investisseurs confiants.

Des startups émergent, c’est le cas de SeniorAdom qui propose une téléassistance aux personnes âgées à l’aide de détecteurs de mouvement installés à leur domicile. En Île de France, environ 250 entreprises ont investi dans la Silver économie. Pour aider le développement de ce secteur, plusieurs mesures ont été mises en place. En 2014, un fond de capital-risque a vu le jour pour financer les sociétés qui investissent dans ce secteur. Cette création de la caisse des dépôts a permis d’investir dans les entreprises à hauteur de 40 millions d’euros. En effet, l’évolution du nombre de personnes âgées des prochaines années, entrainent que  les investissements perdurent et des structures à l’échelle nationale ou internationale prennent vie. 

Pour gérer le développement des entreprises et satisfaire les personnes âgées, des aides se mettent en place. Il s’agit du cas de l’accélérateur de Silver économie Seas 2 Grow. Il consiste à aider l’émergence des innovations technologiques et sociales et fournit des aides aux différents acteurs, comme les entreprises, les collectivités locales, les établissements dédiés et les seniors eux-mêmes. Les entreprises peuvent alors se spécialiser dans un secteur pour pouvoir s’y développer. Il s’agit de les aider à se perfectionner grâce à des tests et des experts dans le domaine. L’élément fondamental de cet accélérateur reste l’accès à des solutions innovantes parfois brimées par des réglementations, des frontières et des soucis financiers.

Le salon des seniors 

Pour faire découvrir leur projet et leur innovation à leur consommateur, les entreprises ont besoin de démarcher. Pouvoir attirer les seniors en termes de marketing demande de bien cerner les besoins et attentes. Beaucoup d’entreprises pour développer et promouvoir leur business font le choix d’exposer ou de se rendre sur des salons pour seniors. Le salon des seniors se tiendra à la Porte de Versailles, du 26 au 27 novembre 2024. À cette occasion, 250 exposants seront présents pour promouvoir leur concept et leur activité. D’une année sur l’autre, ils sont 75% à revenir en raison du succès de l’année précédente. Il est intéressant de noter que les visiteurs passent en moyenne 2h55 à visiter les différents stands des exposants. Ce qui n’est pas toujours les cas dans les salons. La cible reste donc très intéressante pour les entreprises. 

 Le salon rencontre des adeptes qui s’informent ou achètent des produits au concept utile. La fréquentation est en nette progression par rapport aux années précédentes, l’expérience séduit et les visiteurs reviennent. Ils étaient 92% à vouloir recommander la visite du salon à leurs proches. Ce secteur devient omniprésent auprès des entreprises françaises et de l’économie mondiale. 

Ces mauvais réflexes que l’on peut avoir avec son associé ?

L’association demeure un peu comme un mariage, il existe des règles à ne pas enfreindre pour que tout se passe bien. Certaines pratiques vous permettent de construire un rapport sain avec celui ou celle qui devrait vous accompagner pendant quelques années jusqu’à la réussite de l’entreprise. Pour ne pas tomber dans des travers délétères, voici quelques mauvais réflexes que l’on peut avoir avec son associé.

Il existe mille et une anecdotes sur le relation entre associés. Pourtant, dès le début de l’association il est essentiel de bien poser les bases et ne ne pas occulter vos différences et de savoir si vous allez être capables l’un comme l’autre de les accepter. Alors, ne foncez pas la tête baissée et réfléchissez pour créer une association pérenne.

Ne pas bien le connaître

Lorsque vous décidez de vous associer avec quelqu’un. Certes vous devez vous assurer qu’il ait les compétences nécessaires mais pas seulement. N’hésitez pas à voir ses habitudes de travail et savoir si elles s’accordent avec les vôtres et s’ils les tolèrent. Par exemple si vous êtes un fan du télétravail, il peut s’avérer très compliqué de s’associer avec quelqu’un qui ne tolère que le présentiel. Vérifiez également les horaires de travail car si vous attendez de votre associé qu’il travaille beaucoup, il se peut que cela ne soit pas son cas ou qu’il n’ait pas les capacités à réaliser le nombre d’heures que vous souhaitez. Enfin, la compatibilité des personnalités est essentielle dans l’association et il vous faudra bien regarder que la sienne colle avec la vôtre. Vous allez passer de nombreuses heures avec votre associé ou à échanger avec lui. Autant vérifier que sur le long terme vous arriverez à supporter sa présence et lui la vôtre.

Ne pas définir les grandes règles de fonctionnement

Une des grandes erreurs est de postuler sur les grandes règles de fonctionnement de l’organisation. Ce n’est pas parce que vous êtes à l’origine de l’idée que vous serez celui qui décide de tout. Votre associé a peut-être décidé de se lancer dans l’aventure car il souhaite justement pouvoir décider du chemin avec vous. N’hésitez pas à définir des choses simples comme : qui représente l’entreprise ? Comment se prennent les décisions stratégiques ? Autre point clé, le rôle de chaque associé. Ce n’est pas parce qu’un des associés à une compétence particulière et notamment technique qu’il souhaite faire cela toute sa vie ou encore s’occuper de cette partie. Vérifiez bien avec votre associé ce qu’il souhaite faire et vers où il souhaite s’orienter. Vous pouvez aussi définir la future répartition des responsabilités et pôle dont s’occupe chacun.

La future répartition des parts, les modalités de rémunération, les apports de chacun sont également à examiner. Ce n’est pas, par exemple, parce que vous présupposez que chacun va vouloir utiliser ses indemnités chômage jusqu’au bout que cela sera forcément le cas. Il faudra également cerner avec lui le but de l’entreprise. S’agit-il de revendre rapidement l’entreprise ? Se distribuer des dividendes dès que possible ? De garder le contrôle de l’entreprise ? Faire rentrer des investisseurs ? De vous diluer et de devenir minoritaire en faisant appel à des fonds ?

Éluder les situations les pires

Il s’agit d’une partie qui est toujours délicate car elle évoque les conflits voire des situations un peu spéciales dans une entreprise. Déjà, il vous faut déterminer les règles qui régissent le conflit : que faites-vous si vous n’êtes pas d’accord ? Dans le cas de deux visions stratégiques qui s’opposent, comment choisissez-vous ?  Les conflits entre associé sont l’une des premières causes de fermeture des entreprises donc autant bien avoir déterminé les règles dans ce cas.

Moins amusant mais toujours utile, le fait de savoir ce qui se passe s’il arrive quelque chose à un des associés. Par exemple, que faire en cas de décès ou d’incapacité d’un associé ? Y a-t-il un droit de préférence pour ces parts ? Se transmettent-elles à ses ayants droits ? Auront-ils le droit de vote ? Autant de questions qui mettront une ambiance relativement bizarre lorsque vous les aborderez avec vos associés.

Ne pas convenir de rendez-vous formels

La communication se passe plutôt naturellement quand on est à deux dans un bureau, c’est moins vrai à 10 ou à 15. Si vous avez une tendance naturelle à l’échange avec votre associé, c’est une bonne chose mais sachez que convenir de rendez-vous formels où vous pouvez aborder différents sujets demeure une bonne pratique. N’hésitez pas à convenir de rencontres régulières avec votre associé afin de pouvoir aborder la stratégie et différents points avec lui. La tendance est de chacun faire son travail et de discuter rapidement de sujets au téléphone de manière informelle mais créer des échanges ponctuels vous permet d’accorder du temps à chacun afin qu’il puisse s’exprimer.

Se comparer avec son associé

S’il y a bien une chose qui peut perturber une association, c’est le fait de se comparer avec son associé. Vous tomberez alors vite dans le « moi j’ai fait tant d’heures alors que toi tu n’as fait que dormir… ». La comparaison entre associés est source de jalousie et n’apporte jamais rien de bon. Rien ne vous empêche de vous réunir avec votre associé si vous sentez qu’un écart se crée dans la contribution de chacun en posant des éléments objectifs mais vous plaindre dans son dos ne vous apportera rien et ne fera pas avancer l’entreprise. Si l’un des associés a décidé de réduire la voilure, il est peut-être temps de revoir avec lui la répartition des parts en lui en rachetant quelques-unes ou de discuter avec lui de sa rémunération.

Vouloir tout contrôler / Manquer de confiance

Un associé c’est avant tout quelqu’un en qui vous devez avoir confiance. Il s’agit de votre alter-ego dans l’entreprise qui pourra vous assurer non seulement des périodes de repos quand vous n’êtes pas là (par exemple, quand vous souhaitez prendre des vacances) mais qui représente également une bonne source d’appui lorsque vous ne vous sentez pas bien. Surtout, il vous décharge d’une grande partie du travail et vous devez pouvoir compter sur lui. Si vous ne faites pas confiance à votre associé alors autant en changer !

Réagir de manière excessive

Vous allez passer de nombreuses heures avec votre associé et vous pourriez même passer plus de temps avec lui qu’avec votre conjoint(e) donc autant apprendre à vous contrôler quand vous discutez avec lui. Si on peut comprendre qu’exceptionnellement que la discussion puisse dégénérer, vous devez tant que possible éviter d’abord de le faire devant les collaborateurs. Ensuite, sachez qu’une dispute entre associés peut vite amenée à une situation de malaise profond. Si dans le cadre de l’association familiale, les conflits arrivent presque toujours à se résoudre, ce n’est pas toujours le cas si vous décidez de vous associer avec un ami ou une connaissance qui pourrait très mal prendre le ton utilisé.

Faire face à des avis négatifs sur internet

Les avis sur votre site internet ne doivent pas être pris à la légère et cela d’autant plus s’ils sont négatifs. Ne vous contentez pas des réflexions habituelles : c’est un râleur, il n’a que cela à faire, c’est un concurrent mal intentionné… Les avis négatifs sur internet ont un réel impact car les internautes les consultent que vous le vouliez ou non.

 92% des Français reconnaissent regarder avec attention les avis clients en ligne avant de sélectionner une entreprise pour un achat ou une prestation, une augmentation significative par rapport aux 75% de l’année 2021, selon l’étude précédente de l’IFOP pour Guest Suite sur l’impact des avis clients. 60% d’entre eux confirment regarder les avis lorsqu’ils hésitent entre plusieurs prestataires et souhaitent les comparer. 52% les utilisent pour juger de la réputation des établissements potentiels, tandis que 26% s’en inspirent pour trouver de nouveaux établissements qui pourraient répondre à leur recherche.

Peu importe votre secteur d’activité, votre entreprise risque un jour ou l’autre d’être confrontée à un avis négatif sur internet. Certes, cela peut être blessant et ne fait jamais plaisir, mais pourtant, vous ne devez pas le prendre comme une fatalité. Si vous arrivez à réagir de façon appropriée, vous pourriez en sortir grandi. 

Connaissez votre droit.

Sachez que vous pouvez recourir à une action juridique contre un avis négatif sur plusieurs fondements afin d’obtenir réparation. Il existe d’abord l’accusation de dénigrement, qu’on pourrait assimiler à la concurrence déloyale. C’est le fait pour un acteur économique de jeter le discrédit sur une autre entreprise ou ses produits. Pour aller sur le terrain du dénigrement, il faut réunir trois conditions : les propos doivent avoir un caractère péjoratif (c’est-à-dire de nature à dévaloriser l’image auprès de votre clientèle), être rendus publics et viser une entreprise identifiable, sa marque ou ses produits. Vous pouvez également dénoncer la publication de faux avis ou commentaires qui peuvent soit être élogieux (dans l’intérêt de la personne qui les poste) ou négatifs (le but étant de jeter le discrédit sur l’entreprise visée).

Pour cette infraction, il faut prouver le caractère « mensonger », « excessif » ou « disproportionné » desdits avis, ou qu’ils contiennent des propos injurieux, diffamants ou dénigrants. Côté loi, vous pouvez porter plainte pour diffamation ou injure publique. Ce ne sont pas les armes législatives qui manquent. Si vous êtes tenté par une action en justice, un avocat sera votre meilleur conseil. 

Soyez vigilant.

Il faut toujours garder un œil sur ce qui se passe sur internet. Surveillez régulièrement le web afin de repérer les problèmes avant qu’ils ne deviennent trop néfaste pour le business. Plusieurs outils sont disponibles pour mieux suivre les avis des internautes, au premier rang desquels les alertes Google. Grâce à votre compte Google, il sera possible pour vous de créer des alertes sur un mot-clé (en l’occurrence, le nom de votre société) afin de recevoir des e-mails concernant toute l’actualité de votre entreprise, y compris les commentaires des internautes. 

Soyez réactif.

Plus vous tardez à répondre à un commentaire négatif, plus vous avez de chances que cela dégénère, que le client mécontent diffuse son message en le relayant avec de plus en plus d’ampleur et que cette critique se répande sur les réseaux sociaux comme Facebook ou X. Essayez de répondre le jour même au commentaire de l’internaute. Même si vous ne possédez pas toute la réponse, répondez-lui tout simplement que « sa demande est en cours de traitement ». Tact, diplomatie et réactivité constituent là vos meilleurs atouts. Il ne faut pas oublier que vos clients sont en permanence connectés, ils apprécieront donc que vous le soyez également pour répondre à leurs attentes. 

Continuez la discussion en privé.

Même s’il est important de répondre en public pour montrer aux autres consommateurs que vous restez attentif à leurs problèmes et soucieux de leurs préoccupations, il vaut mieux continuer la conversation en privé si cette dernière perdure. Pourquoi ? Le but est d’éviter un effet d’escalade, qui risque de vous mettre en position de faiblesse auprès de vos autres clients. En effet, discuter en privé vous rapprochera du client. Ainsi, vous donnerez à la discussion une dimension plus personnelle. Le client se sentira écouté et aura le sentiment que vous individualisez la réponse à son problème. En passant sur le terrain du privé, vous gardez dans un sens la confidentialité liée à certaines de vos activités. 

Demandez à ce que l’on respecte les règles.

Internet n’est pas une zone de non-droit ! Il existe des règles pour ceux qui veulent s’exprimer. La plupart des sites ou forums disposent d’une charte de bonne conduite (dont font généralement partie les mentions « ne pas écrire des insultes » ou « ne pas inciter au crime ou à la haine ») ou d’un message signalant que les commentaires sont soumis à modération. Les chartes précisent en général qu’un avis déposé par quiconque doit être objectif. Si malgré tout, le commentaire de l’internaute va à l’encontre de la charte, vous pouvez vous adresser au site pour que ce dernier retire le commentaire au plus vite.

Servez-vous des commentaires négatifs pour vous améliorer.

Les commentaires peuvent vous être utiles si vous souhaitez avoir des renseignements sur la santé de votre activité ou sur l’image que vous reflétez à vos clients ainsi que ce qu’ils pensent de la qualité de vos services. Voyez les commentaires négatifs comme des signaux pointant vers un problème qu’il vous faut au plus vite réparer. Cela vous fera avancer pour que votre entreprise améliore son écoute des besoins du consommateur.  

Investissez dans un Community manager.

Pensez à embaucher un Community manager. Ce dernier constitue un atout précieux dans l’entretien de votre e-réputation. Véritablement gardien de votre image, il s’occupera de l’animation de votre site et de vos pages sur les réseaux sociaux. C’est aussi lui qui va modérer les propos des internautes, qui va interagir et communiquer avec eux, supprimer les commentaires injurieux, répondre à ceux qui posent des questions, gérer les débats, etc. 

Le gratuit en 6 business models

Aujourd’hui, les offres gratuites se multiplient tant pour suivre des cours en e-learning que pour nous proposer des divertissements en tous genres. L’idée part du principe qu’une fois essayé, le client satisfait va l’adopter. Dans ces circonstances nos boîtes e-mail ne désemplissent pas de propositions qui touchent à tous les domaines de notre vie quotidienne et de notre vie en télétravail. Comme nos habitudes changent, nous sommes obligés de savoir comment nous occuper mais aussi comment occuper les enfants

Le gratuit !!! On en rêve et pourtant il existe dans notre vie de tous les jours. Il n’est pas rare qu’un commerçant sur un marché vous fasse goûter un morceau de fromage ! Il vous a conquis !!! Mais allons plus loin…

A l’instar des autres systèmes de vente, le gratuit possède lui aussi ses propres business model. Focus sur six manières de vendre un bien ou un service en utilisant le gratuit.

Le modèle « Freemium », très présent dans le digital. 

Contraction des mots anglais « free » [gratuit] et « premium » [payant], le terme « Freemium » désigne un modèle économique où l’accès aux biens ou aux services est en partie gratuit, en partie payant. Celui-ci est très répandu dans les secteurs de la presse en ligne et les services web. Son principe ? Proposer à l’utilisateur grand public un service gratuit où il pourra effectuer des opérations basiques. S’il souhaite avoir accès à des fonctionnalités plus riches, le consommateur devra payer.

Mediapart illustre bien ce modèle au sein de la presse en ligne. Les lecteurs non abonnés ont accès à un nombre d’articles limités tandis que les abonnés bénéficient d’une interface interactive avec des contenus journalistiques enrichis (vidéos, photos, archives… etc.). Du côté des services web, on peut citer l’exemple des Clouds de stockage de données comme Google drive ou Dropbox. Généralement, pour utiliser ces services, l’internaute a accès gratuitement à un certain volume de stockage. Mais s’il souhaite l’augmenter, voire y accéder de manière illimitée, le service lui sera facturé.

Le modèle publicitaire classique. 

Dans ce modèle, le consommateur accède gratuitement à 100 % des biens et services proposés par l’entreprise. Elle, elle se rémunère via des recettes publicitaires. Les coûts fixes de fonctionnement, de développement, de stockage ou liés aux ressources humaines, sont tout ou partie couverts par l’argent versé par les annonceurs. En échange, ces derniers peuvent afficher des contenus promotionnels sur les supports publics de l’entreprise. Très classique, ce modèle est utilisé depuis longtemps par les médias traditionnels comme la télévision, la radio ou la presse papier. Celui-ci a traversé le temps pour se développer dans les médias digitaux mais pas que. Les services web, comme le célèbre moteur de recherche Google, désormais entité de la maison-mère Alphabet, se fiance entièrement sur ce modèle.

Ce dernier l’a même optimisé grâce à son système d’annonces ciblées. Résultat ! Des dizaines de milliards de dollars de recettes chaque année permettant à la firme de couvrir ses frais de fonctionnement et d’investir dans ses divisions de recherche et développement.

Les subventions croisées et les biens de consommation courante. 

Donner un service ou un bien en échange de l’achat d’un autre produit, ainsi pourrait-on résumer le modèle des subventions croisées. En d’autres termes, on conditionne le don à l’achat. Par ailleurs, ce modèle est très utilisé dans le commerce des produits de consommation courante. Lorsqu’un opérateur téléphonique vous propose un abonnement en offrant le téléphone, il s’agit bien de subventions croisées. Même si le téléphone a un certain prix, ce n’est pas cet achat qui sera rentable pour l’entreprise mais plutôt les mensualités payées au fil du contrat d’abonnement. En définitive, l’utilisateur du bien ou du service « subventionne » le produit qui lui est offert.

Le coût marginal nul, joker de l’industrie culturelle. 

Dans ce modèle, on vend le bien ou le service à très bas prix dans la perspective d’un retour sur investissement à plus long terme. Moins répandue que les autres méthodes, la pratique du coût marginal nul a été régulièrement utilisée dans le secteur culturel et numérique. Ainsi en 2007, le chanteur et compositeur américain Prince a offert son album Planet Earth en partenariat avec le journal hebdomadaire britannique Mail on Sunday. Trois millions d’exemplaires de ce journal ont été vendus. Toutefois, ce n’est pas sur ces ventes que le bénéfice s’est effectué. C’est bien sur l’achat de produits dérivés et les places de concert qu’il fut effectif. En outre, la même année, le groupe anglais Radiohead a lancé son album In Rainbows depuis son site internet. Il a laissé à l’internaute le soin de fixer lui-même le prix, même à 0 dollar !

Résultat, le prix moyen du disque s’est établi à six dollars. Ce fut d’ailleurs l’album le plus rentable de l’histoire du groupe. À côté de cela, le buzz positif de cette opération a boosté les ventes du disque matériel et l’achat de places de concerts. La diffusion gratuite du bien immatériel, ici une chanson, sert de promotion à la vente du bien matériel. 

Le don au cœur de l’open source. 

Comme son nom l’indique, le modèle du don consiste à offrir le bien ou le service gratuitement à l’utilisateur. En contrepartie, celui-ci est libre de faire des dons au fournisseur dans la limite de ses moyens. Toutefois, il n’a aucune obligation. Les recettes sont conditionnées à la générosité du consommateur. L’exemple phare illustrant cette pratique est l’encyclopédie numérique Wikipédia. Celle-ci offre un accès totalement libre et gratuit à sa base de données. De plus, elle propose régulièrement aux utilisateurs de faire un don à la Fondation Wikimédia. Ceux-ci financent le coût de maintenance et d’hébergement du site.

L’échange de travail au rythme de l’économie du partage. 

Ici, la monnaie d’échange n’est plus l’argent mais les services mutuels que se rendent deux acteurs. Jusqu’ici peu répandu, ce modèle commence à faire sa place dans ce qu’on appelle aujourd’hui « l’économie du partage ». Les systèmes dits « d’échange local » (SEL) sont très illustratifs. Un adhérent à un SEL peut par exemple offrir ses compétences de « maçon » à un autre adhérent, qui en échange, s’occupera de développer son site internet. À chaque service reçu correspond un nombre de crédits virtuels, que l’on accumule en rendant des services. Ces crédits peuvent ensuite être dépensés pour recevoir d’autres services, par contre sans échange en retour. Dans ce modèle, la création de richesse ne se trouve pas dans l’achat du bien ou du service mais dans l’échange de travail.

Est-il possible aujourd’hui de lancer un business sans rien connaître de son cœur de métier ?

C’est une vérité de La Palice, le dirigeant dirige des équipes dont ils ne dominent pas le métier : ingénieurs, webmasters… Il apprend au fur et à mesure à dialoguer avec les équipes afin de cerner l’essentiel pour mettre en œuvre les actions et les décisions à prendre. Il doit développer une écoute qui lui permettra d’impliquer l’ensemble des collaborateurs. Travailler dans son domaine d’expertise est une devise bien connue dans l’univers de l’entreprise. Néanmoins, de plus en plus d’entrepreneurs se lancent dans un secteur qui n’est pas le leur. Est-ce une erreur ? Ou au contraire, est-il possible de lancer un business même sans rien connaître de son cœur de métier ?

Se lancer oui mais en se documentant ! Nous avons aujourd’hui une pléthore d’informations sur internet qui nous permettent d’acquérir des connaissances. Il faut seulement se donner la peine d’aller les chercher. Si vous ne connaissez pas le secteur, vous pouvez aller à la rencontre des entreprises implantées dans votre futur secteur en visitant leur site. Vous y apprendrez l’essentiel. Mais pour cela, il est indispensable de réaliser une veille.

Analyser et cerner ses atouts et compétences Même si vous vous lancez dans un domaine inconnu, vous possédez sûrement des compétences qui peuvent vous servir. Ces compétences peuvent être aussi bien professionnelles que personnelles. Par exemple, la rigueur et la capacité de gérer une équipe sont des atouts humains nécessaires pour créer une entreprise. Pas besoin d’un diplôme pour cela. Il s’agit d’une prédisposition qui peut jouer en votre faveur. Ainsi, avant de vous lancer, commencez par :

  • considérer vos atouts et compétences
  • détecter vos faiblesses pour les combler par la suite
  • évaluer votre situation financière.

Ainsi, vous serez face à un bilan exhaustif qui tient compte de vos points forts et de vos faiblesses. Une telle évaluation permet de vous projeter et de trouver la voie que vous devez emprunter même si vous vous attaquez à un domaine que vous ignorez.

L’externalisation, une richesse à ne pas sous-estimer

L’externalisation consiste à confier une partie de ses tâches à d’autres entreprises. Il s’agit d’un travail collaboratif qui peut booster la performance de votre entreprise si vous manquez de connaissances dans un secteur donné : comptabilité, marketing, etc. Voici alors les principaux avantages de l’externalisation :

  • Une technologie de pointe : les technologies nouvelles nécessitent un investissement considérable que vous pouvez éviter en confiant ces tâches à une autre entreprise. Si vous ne pouvez pas vous permettre les salaires onéreux de techniciens spécialisés, l’externalisation apparaît comme la solution adéquate.
  • Un ajustement financier : plutôt que d’engager des commerciaux, vous pouvez réaliser une externalisation en travaillant avec des centres d’appel qualifiés. Sachez que cela vous reviendra nettement moins cher que si vous le réalisez en interne.
  • Une flexibilité des horaires : ce qui est sûr, c’est que si vous procédez à l’externalisation, vous aurez l’avantage d’avoir un fuseau horaire qui peut s’étendre jusqu’à 24/24. Tout cela sans devoir payer des heures supplémentaires à vos employés.

Ainsi, l’externalisation apparaît comme une solution favorable pour le développement d’une entreprise. Ce travail collaboratif vous fait économiser du temps et de l’argent.

« Piloter » un projet, le job du dirigeant

En réalité, si certains pensent qu’il est difficile de lancer un business dans un domaine qu’ils ignorent, c’est parce qu’ils croient à tort que l’entrepreneur doit participer à toutes les tâches professionnelles de son entreprise. Ceci reste un leurre indéniable ! L’entrepreneur est le « pilote ». Il est uniquement tenu de superviser les équipes, d’où l’importance de déléguer. L’externalisation se révèle être alors comme une alternative gagnante à court comme à long terme.

Avec un bon esprit d’équipe et du bon sens, il est possible de mener toute sorte de projet. C’est pour cette raison que beaucoup définissent le travail d’entrepreneur comme un métier qui nécessite surtout des qualités humaines et une aptitude psychologique. Grâce à l’externalisation, l’entrepreneur peut se consacrer à sa tâche initiale : « le pilotage de son entreprise » !

Ces polluants quand on est en télétravail

On a beau le dire mais le télétravail pèse fortement sur la motivation. Si certaines personnes arrivent parfaitement à se concentrer et gagnent même en productivité en travaillant de chez elles, d’autres au contraire se laissent avoir par les nombreuses distractions qui s’amplifient ou n’existent que dans le télétravail. Zoom sur ces polluants qu’il vous faudra éviter et savoir contrer.

Nous avons à notre portée quand on est chez soi touts les moyens de nous distraire et de se laisser envahir par la force d’inertie. Rien de pire que d’être adepte d’une série ou de surfer sur son portable pour connaître les dernières news. Les journalistes le savent bien et choisissent des titres qui vont capter votre attention. Alors soyez vigilant ! Un homme ou un femme avertit en vaut deux !!! A vous de diriger votre vie et non l’environnement.

1/ La télévision, les séries sur internet et les réseaux sociaux

Il s’agit de l’une des premières tentations lorsque l’on commence le télétravail. A l‘abri des regards indiscrets, il peut être vite tentant de regarder un épisode de sa série préférée ou d’allumer la télévision ne serait-ce que pour le fond sonore. C’est le premier réflexe : n’allumez surtout pas votre télévision et ne lancez pas un épisode de votre série préférée car vous pourriez y perdre une demi-journée voire plus. Mettez loin de vous la première et évitez soigneusement votre compte Netflix pendant les horaires de travail. Il s’agit d’une rigueur à adopter car vous pourriez vite vous retrouver à ne plus faire ce que vous devez. N’hésitez pas à programmer un ordinateur de bureau et à enlever votre chère télévision de la pièce dans laquelle vous travaillez. De la même manière, évitez autant que possible les réseaux sociaux non professionnels pendant vos heures de travail. 

2/ Les enfants 

Ils requièrent beaucoup d’attention et ont souvent du mal à comprendre le concept du mot travail. Ils souhaitent d’ailleurs attirer la vôtre et n’hésiteront pas à venir vous solliciter pour tout ou n’importe quoi. Ici aussi, il faudra faire attention à mettre en place des règles strictes avec vos enfants afin qu’ils ne viennent pas vous perturber pendant vos horaires de travail. Ils auront tendance à tester vos limites qu’il vous faudra vite établir. Disposer d’un bureau à part dans ce cas s’annonce très souvent la solution avec une porte fermée qui veut dire que vous n’êtes pas accessible et une porte ouverte qui veut dire qu’ils peuvent venir vous parler. 

3/ L’absence de matériel

Être en télétravail signifie avant tout de disposer de l’ensemble du matériel nécessaire à la réalisation de vos missions. La première chose à faire reste donc de vous équiper de l’ensemble de ce que vous utilisez pour votre travail : scanner, imprimantes, cartouches, ordinateur, agrafeuse, trombone, vidéoprojecteur, caméra, micro… Tout ce qui peut vous être utile doit être à portée de main. A défaut, vous pourriez vous retrouver coincé face à ce manque qui pourrait vous ralentir grandement dans votre travail ou encore qui accaparer inutilement votre esprit. Pensez à bien vous doter de tout le matériel nécessaire. 

4/ Les emails et coup de téléphone

Qui parle de télétravail dit multiplication des nuisances liées au technologies. Que l’on parle de votre téléphone, de vos emails ou encore des différents logiciels de communication à distance, ils devraient être davantage utilisés pour entrer en contact avec vous. Le problème c’est que dans de nombreux cas, votre interlocuteur ne saura pas si vous êtes disponible ou non et il vous faudra mettre en place un système d’alarme pour éviter qu’on vienne vous perturber à tout bout de champ.

Si vous souhaitez travailler dans la sérénité, mieux vaut apprendre à éteindre la sonnerie de votre téléphone ou de votre ordinateur à chaque email ou chaque notification. N’hésitez pas d’ailleurs à les éteindre tout court pendant certaines périodes tout en gardant un moyen de vous joindre en cas d’urgence. Dans 99% des cas, les gens peuvent facilement attendre une heure que vous terminiez votre tâche pour avoir votre réponse, donc arrêtez de culpabiliser et de scruter sans cesse vos différents terminaux. 

5/ L’environnement de la maison

Un grand conseil si vous commencez à travailler de chez vous : ranger et faites en sorte que tout soit en ordre dans votre bureau d’abord et ensuite ailleurs. Si vous pouvez alterner les tâches ménagères par exemple avec votre travail en agrandissant votre planning de travail, cela n’est pas toujours possible. N’hésitez pas à bien vous organiser et à bien tout préparer au préalable avant de vous lancer dans vos tâches. Il est courant de se rappeler quand on est chez soi par exemple d’avoir oublié de faire tourner la machine de linge, autant vous dire que cette situation ne se produirait si vous étiez au travail alors que si vous êtes chez vous, vous risquez fort de vous laisser distraire.

Pour ce faire, la majorité des gens agrandissent leurs horaires afin de pouvoir alterner entre les différentes tâches et prendre en compte l’ensemble. Vous économisez par ailleurs en temps de transport, ce que vous pouvez dédier à cette gestion. Plutôt que d’être de 8h à 9h en chemin vers votre travail, vous pouvez ainsi par exemple dédier ce temps à quelques corvées ménagères et vous en débarrasser. 

6/ Les amis et la famille

Quand on travaille de chez soi, certaines personnes ont vite l’impression que vous êtes libre de faire ce que vous voulez quand vous le voulez. Ils n’hésitent pas à vous solliciter car de toutes manières pour eux vous ne pouvez pas être « grondé » par votre supérieur hiérarchique et comme le dit l’expression « pas vu pas pris ». Cependant, ce n’est pas tout à fait vrai car en télétravail c’est souvent l’atteinte de l’objectif qui est vérifié et ces multiples perturbations peuvent vite vous ralentir dans vos tâches.

N’hésitez pas à mettre rapidement le « hôla » aux visiteurs trop envahissants (en ce moment ils ne sont pas nombreux) ou encore aux appels pendant les heures de travail. Vous devez montrer que même si vous n’êtes pas sur votre lieu de travail, vous êtes … au travail. Par exemple, vous pouvez leur indiquer une indisponibilité temporaire car vous êtes concentré sur une tâche, ce qui leur rappellera parfois qu’on ne peut vous déranger n’importe quand. Vous pouvez même préciser que vous « êtes en train de travailler » au cas où ils auraient tendance à l’oublier.

7/ Vous-même

Vous demeurez votre plus grand polluant car en l’absence de hiérarchie ou de salariés pour vous voir procrastiner, vous pouvez vite avoir tendance à vous laisser-aller. Pour aller de l’avant, l’autodiscipline est souvent nécessaire. Des réflexes comme commencer une tâche pour en enchaîner d’autres restent fondamentaux. Suivez scrupuleusement le plus possible votre to do list afin de ne pas tomber dans l’inertie. Le plus grand défi en télétravail réside dans la motivation surtout si vous ne disposez pas d’un cadre de travail chez vous et que vous travaillez dans votre lieu de vie. Vous devrez apprendre à combattre ces tendances et à toujours vous fixer des objectifs afin de ne pas tomber dans l’inertie.

Tout savoir sur le pacte d’associés

Le pacte d’associés ou pactes d’actionnaires permet aux associés fondateurs de définir leurs droits et d’anticiper les difficultés. La vie de l’entreprise est loin d’être un fleuve tranquille et prévoir les situations de conflits est une preuve de sagesse mais aussi de compétences managériales.

Vous êtes en parfaite harmonie avec vos futurs associés et vous pensez que cette harmonie va être pérenne. Par ailleurs, vous êtes aux prises avec l’opérationnel et le pacte vous paraît d’être loin de la priorité. Vous le reportez à plus tard mais sans vous en rendre compte le temps va s’écouler et lorsque vous penserez qu’il est indispensable d’en rédiger un, vous serez déjà dans des relations avec vos associés plus tendues. Alors, pourquoi ne pas le mettre en place sans attendre.

Le pacte d’associés sert à définir les relations entre les parties prenantes. Ce document juridique et technique se rédige en plus des statuts et organise les interactions des associés en plus de leur garantir des droits. Souvent négligé par les entrepreneurs, il peut se révéler très utile en cas de pépin. A quoi sert-il et comment le constituer ?

Le pacte d’associés, qu’est-ce que c’est ?

Lors de la création d’une entreprise, le choix du statut juridique de l’entreprise fait partie des premiers. Si les SA, SAS ou SARL, séduisent une majorité de créateurs d’entreprise, l’étape suivante consiste alors à déterminer qui fait partie de l’aventure, comment le capital de la société se constitue, sa répartition ou encore le nombre d’associés et leurs parts dans la société.

C’est alors qu’intervient le pacte d’associés ou pacte d’actionnaires, si vous avez opté pour la SA ou la SAS. Ce document juridique complète la définition impliquée par les statuts en détaillant les relations entre ces parties prenantes. Il indique également les procédures à suivre en cas de conflit d’intérêts. Le pacte d’associés se présente sous la forme d’une liste de clauses insistant notamment sur les points suivants : la rupture du contrat, les règles en cas de cession de parts, la propriété intellectuelle, la durée ou encore la signature d’un droit à la priorité en cas de vente de parts de l’un des membres.

Pourquoi rédiger ce document ?

Le pacte d’associés permet de gérer certaines situations de crise en précisant les procédures à suivre en cas de litige. Il protège également les intérêts communs. La confidentialité représente l’autre avantage célèbre de ce document. Le contenu du pacte d’associés n’est connu que de ses signataires. Les statuts d’une entreprise demeurent publics et faciles à trouver en ligne, alors que les clauses du pacte d’associés restent secrètes.

Certaines règles de fonctionnement entre les acteurs d’une entreprise ne peuvent être révélées, dans l’intérêt de la société ou des personnes concernées. Il suffit alors de les inscrire dans ce document pour que seules ces dernières soient informées. Ce texte n’en demeure pas moins un contrat : en cas de non-respect, un tribunal pourra ordonner des dommages et intérêts. Le pacte d’associés s’avère, du reste, facilement modifiable. Une telle opération peut se faire à travers un simple avenant mais nécessite la présence de l’ensemble des signataires.

Les clauses concernant la durée et les priorités du pacte d’associés

Afin de gérer les crises, ce document doit parer à toute éventualité. Pour ce faire, quelques clauses demeurent indispensables lors de sa rédaction. En premier lieu, le pacte doit indiquer une durée de validité. Celle-ci peut être indéterminée, chaque engagement évoqué peut aussi présenter des échéances différentes mais il demeure important de préciser ces points. Pour que le pacte reste effectif, il s’avère également possible de prévoir une reconduction tacite. Dans le cas contraire, pensez aussi à rédiger des conditions de rupture du contrat.
Vous disposez d’une grande liberté dans la rédaction des clauses elles-mêmes. Vous pouvez décider des degrés de priorité des unes par rapport aux autres, par exemple. Le niveau d’implication des associés peut aussi être précisé, une clause de loyauté garantit souvent d’ailleurs que ceux-ci n’iront pas prendre parti dans une entreprise concurrente.

Les précisions sur la gestion de l’entreprise par les différents acteurs

Les associés s’engagent donc pour une durée déterminée avec des responsabilités définies. Le pacte les unissant sert également à organiser leurs relations. Les indications relatives au droit de vote, difficiles à définir dans les statuts, se révèlent alors faciles à établir. Les signataires peuvent, par exemple, octroyer un droit de veto à une personne en particulier. D’autres peuvent temporairement, ou sous certaines conditions, renoncer à leur droit de vote. Il s’avère également possible de désigner certains associés comme « référents » en matière de prise de décision. Il s’agit du droit de consultation, cette clause indique que la personne choisie doit être informée avant toute prise de décision.
Le pacte d’associés reste également connu pour la possibilité qu’il offre de gérer les conflits entre associés. Pour ce faire, pas de secret, il vous suffit d’expliquer une méthode à appliquer dans ce cas de figure. Il peut s’agir d’une procédure d’arbitrage ou bien d’un règlement à l’amiable entre les différents acteurs. Les clauses concernant les litiges doivent détailler les instructions à suivre pour rétablir au plus vite une situation stable devant n’importe quelle difficulté.

Les clauses relatives à l’actionnariat

Une société s’organise aussi à travers ses actionnaires ! Les partenaires définissent leurs priorités et leurs interactions dans le pacte d’associés mais ce document permet aussi de gérer l’actionnariat d’une entreprise. Trois clauses demeurent célèbres : la clause de préemption, celle d’agrément et celle d’inaliénabilité. La première implique que lorsqu’un signataire souhaite rendre ses actions, il doit les céder en priorité à l’une des autres personnes ayant connaissance du pacte. La clause d’agrément veille à ce que toutes les personnes impliquées par le document aient validé la cession des titres de l’un des membres.

La clause d’inaliénabilité, quant à elle, consiste à déterminer une durée pendant laquelle les signataires ne peuvent céder leurs actions. D’autres clauses, comme celle d’anti-dilution, permettent d’empêcher les actionnaires de tomber en dessous d’un certain niveau d’investissement. La clause de limitation des participations sert, de son côté, à limiter l’investissement des membres à un certain montant afin de maintenir une certaine égalité entre tous.

Que met-on dans les notes de frais ?

La plupart des entrepreneurs utilisent les notes de frais pour eux-mêmes et pour leurs salariés car l’activité de l’entreprise génère des dépenses qu’il faut parfois payer en avance.

Pour la quatrième fois, Mooncard dévoile les résultats de son étude réalisée avec l’Ifop sur la réalité des notes de frais en entreprise, et l’implication qu’elles représentent sur les finances des cadres. L’inflation a de plus aggravé la situation.

  • 80% des cadres font régulièrement des notes de frais ; 20% au moins une fois par mois
  • 52% d’entre eux consacrent plus de 100 euros par mois aux avances de frais professionnels (+3 points vs 2022)
  • 23% des cadres admettent avoir déjà fait passer des dépenses personnelles en notes de frais, (+10 points vs 2022).

Une note de frais, pour une entreprise, sert à enregistrer les dépenses du dirigeant et des salariés dans le cadre de leur mission. Toute dépense effectuée par un salarié pour le compte de l’entreprise génère une note de frais. Celle-ci est un document destiné au service comptable de l’entreprise. Celui-ci, après avoir attesté de la note de frais, l’inscrit dans le registre comptable de l’entreprise.

La restauration en tête 

Vous l’aurez deviné à l’instinct, c’est bien les dépenses de restauration qui arrivent en tête du classement largement devant les autres avec 42%. Dans le détail, ce sont les frais de bouche qui dominent avec 31% du montant total dépensé par les salariés français. Si les dépenses sont nombreuses, elles ne sont pas en général très coûteuses puisqu’ils ne se rendent pas dans les meilleures tables et se dirigent souvent vers l’hypermarché ou le Fast Food du coin.

L’hébergement en second

Deuxième dépense logique : l’hébergement qui ne représente que 16% des frais professionnels. Les hôtels « classiques » ont toujours la côte avec Ibis Hotels qui occupent toujours la première place. La plupart des salariés restent donc sur des dépenses raisonnables mais réelles dans ce domaine également. Attention dans le cas où vous prendriez une chambre hôtel à bien prendre en compte la distance par rapport à votre logement car une distance de 50 km est souvent à respecter.

Les frais liés au déplacement enfin

Suit ensuite le déplacement terrestre (taxis, VTC, bus, métro et train). A la première place, Uber qui représente plus de 38% du montant des dépenses de taxis/VTC. Les transports en commun et ferroviaire se révèlent logiquement dominés par la SNCF et ses filiales avec 35% des transactions effectuées.  

Le transport aérien n’a rien à leur envier car il représente 7% du montant total des notes de frais même si le nombre de factures n’est en réalité que faible. Enfin les dernières notes de frais vont vers les frais de services, le carburant, l’acquisition d’équipements, frais de parkings, d’entretien automobile et de péages. Elles s’avèrent importantes. 

Les méthodes pour rembourser vos salariés

Vous pouvez utiliser plusieurs méthodes pour rembourser à vos salariés leur frais. D’abord celle du forfait notamment utilisée pour les frais pour se loger ou des frais de déplacement. Vous pouvez également le faire par la déduction forfaitaire spécifique sur le salaire brut. Dernière méthode, celle des frais réels. Vous remboursez au salarié sur les dépenses effectivement engagées pour leur valeur réelle. La différence avec les deux autres méthodes réside dans le fait que le salarié doit alors justifier ses dépenses par une note de frais.

Des dépenses à encadrer

Si l’entreprise doit prendre en charge les dépenses professionnelles des salariés, il faut noter que les remboursements sont encadrés. La pratique est tout à fait légale. Elle est conditionnée au fait que les sommes aient été engagées dans l’exercice des fonctions. Si une tenue de protection ou un uniforme en font partie, pas question de prendre en charge un pull lors d’un déplacement. Pour commencer, n’oubliez pas que les dépenses doivent être justifiées et les montants raisonnables.

La dépense engagée doit généralement être proportionnelle à ce qu’elle rapporte à l’entreprise. Il ne s’agit pas de faire des dépenses à tout bout de champ sans prendre en compte le résultat. Les notes de frais doivent bien sûr avoir des preuves matérielles (addition, facture ou fiche). Elles doivent également indiquer l’objet afin d’expliquer l’origine de la dépense en cas de contrôle de l’URSSAF. Si vous dinez par exemple avec des clients, n’hésitez pas à mettre leur nom et prénom, le nom de leur entreprise ou encore l’objectif du rendez-vous. L’administration pourra ainsi aisément comprendre pourquoi la dépense a été engagée. 

Des limites sont également fixées pour certaines dépenses quand il s’agit de dépense pour votre salarié. A noter qu’il peut évidemment engager des dépenses plus élevées par exemple pour inviter un client. Il ne va pas quand même pas payer le dépassement de sa poche. 

Comment transformer technologiquement votre projet numérique

Selon des études récentes, 87 % des entreprises considèrent que la transformation numérique est une priorité fondamentale. 79 % des chefs d’entreprise pensent que la technologie va changer considérablement leur secteur au cours des cinq prochaines années.

Dans le paysage commercial actuel, la transformation numérique est devenue un facteur clé pour maintenir la pertinence et la compétitivité. Avec les progrès de la technologie et l’évolution des attentes des consommateurs, les entreprises doivent constamment s’adapter pour survivre et prospérer dans un environnement numérique en constante évolution.

« La transformation technologique dans les projets et les entreprises est essentielle. S’adapter aux dernières tendances est crucial pour atteindre les objectifs et maintenir la compétitivité sur ce marché en évolution.« , assurent-ils de Yeeply, une entreprise experte pour rechercher et déceler des talents numériques pour tout type de projet.

Maintenant que vous connaissez l’importance du sujet, poursuivez votre lecture et découvrez les principaux facteurs déterminants de la transformation technologique, quelques stratégies pour transformer votre projet numérique et les avantages de ces changements.

Facteurs moteurs de la transformation technologique

De nombreux facteurs sont à l’origine de cette révolution, mais l’un des plus importants est le changement de comportement des consommateurs. Les consommateurs modernes recherchent des expériences numériques plus fluides et personnalisées à tous les points de contact avec la marque.

D’un autre côté, il existe également une évolution rapide de la technologie. Ces dernières années, nous avons assisté à des avancées incroyables dans les domaines de l’intelligence artificielle, de la blockchain, des services cloud, de l’Internet des Objets, du Big Data, etc.

Pour qu’une entreprise reste compétente, elle devra parier sur la transformation technologique, sans pour autant perdre de vue les innovations du moment, tout en réfléchissant à un plan pour déterminer comment les intégrer.

Par ailleurs, une compétition mondiale, et cela peu importe le secteur, incite les entreprises à adopter des technologies avancées pour se différencier du marché et rester compétentes. Si elles ne prennent pas cette décision, elles deviendront bientôt obsolètes.

« Investir dans la transformation technologique grâce aux talents numériques n’est pas seulement une option stratégique, mais aussi une nécessité de réussir sur le long terme dans le paysage commercial actuel. Et en plus, c’est rentable », disent-ils chez Yeeply.

Stratégies pour transformer technologiquement votre projet numérique

Voici quelques-unes des stratégies qui pourraient vous aider :

1. Évaluez votre écosystème technologique actuel

Commencez par faire une évaluation complète de votre infrastructure technologique actuelle, identifiant les domaines d’amélioration et les opportunités d’innovation.

Analysez l’efficacité de vos systèmes, la sécurité de vos données et la compatibilité avec les dernières technologies.

Identifiez tout déficit d’infrastructures qui pourrait entraver la croissance et l’évolutivité de votre projet numérique.

2. Définir des objectifs clairs et mesurables

Fixez des objectifs clairs et mesurables pour votre transformation digitale : 

  • comment améliorer l’expérience utilisateur, 
  • augmenter l’efficacité opérationnelle ou 
  • étendre votre portée sur de nouveaux marchés.

Définir des Indicateurs Clés de Performance (KPI) des détails qui vous permettent d’évaluer les progrès vers vos objectifs et d’ajuster votre stratégie si nécessaire.

En ayant des objectifs clairs, votre équipe sera alignée et concentrée sur les résultats souhaités.

Une erreur très courante consiste à se concentrer sur les objectifs déterminés des concurrents. Il est vrai que cela peut vous inspirer, mais il faut garder à l’esprit que chaque entreprise a ses propres objectifs.

3. Investissez dans les technologies émergentes

Identifier et adopter les technologies émergentes qui peuvent ajouter de la valeur à votre projet numérique. Explorez des options telles que l’intelligence artificielle pour la personnalisation du contenu, l’Internet des objets pour améliorer l’efficacité de l’entreprise ou la réalité augmentée pour enrichir l’expérience utilisateur.

Restez au courant des dernières tendances technologiques et évaluez comment elles peuvent être efficacement intégrées à votre projet pour le maintenir pertinent et compétitif sur le marché.

4. Adopter la culture de l’innovation

Favorisez une culture d’innovation au sein de votre équipe, en encourageant l’expérimentation et l’apprentissage continu. Établir un environnement où les nouvelles idées sont valorisées et la collaboration interministérielle encouragée.

Mettez en œuvre des programmes de formation et de développement professionnel qui permettront à votre équipe d’acquérir de nouvelles compétences et des connaissances technologiques.

En donnant à votre équipe les moyens d’accepter le changement et l’innovation, vous préparerez votre projet numérique à affronter les défis de demain avec confiance.

5. Promouvoir la collaboration externe

Rechercher des opportunités de collaboration avec des partenaires externes, des startups technologiques ou des prestataires spécialisés qui peuvent apporter une expérience et des ressources supplémentaires à votre projet numérique.

La collaboration externe peut ouvrir de nouvelles opportunités de croissance et accélérer la mise en œuvre de solutions technologiques innovantes.

Établissez des alliances stratégiques qui vous permettent de tirer parti des connaissances et de l’expérience des autres acteurs du marché afin de favoriser la transformation technologique de votre projet.

Quels sont les avantages de la transformation technologique ?

Pour que ce soit plus clair, il est important de connaître l’ensemble des avantages que peut apporter la transformation technologique à votre entreprise.

  • Améliorer l’efficacité opérationnelle et réduire les coûts.
  • Stimuler l’innovation et la différenciation sur le marché.
  • Améliorer l’expérience client et augmenter la fidélité à la marque.
  • Faciliter la prise de décision basée sur les données et la personnalisation des expériences utilisateur.

Grâce à ces avantages, votre entreprise restera en évolution continue et pourra rester compétente pour faire une différence dans votre secteur.