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Êtes-vous prêts à manager une rentrée compliquée ?

La rentrée ne se prête pas toujours à la joie et à l’optimisme. Paperasse et dossiers : c’est souvent ce qui attend le manager à chaque rentrée. Et lorsque les collaborateurs ne sont pas encore prêts à travailler, c’est au dirigeant que revient la lourde tâche de gérer l’humeur du personnel. Dans un environnement professionnel, il faut savoir faire des compromis, et c’est toujours au manager de montrer l’exemple. Il n’est pas évident de rétablir l’ambiance au travail après quelques semaines de break, il faut l’admettre. Si vous n’avez pas d’idées pour mieux gérer votre rentrée, voici quelques conseils pour manager une rentrée compliquée.

Représenter personnellement l’attitude à adopter 

Le manager est le miroir dans lequel ses collaborateurs se reflètent. Sachez que votre entourage interprète vos attitudes et comportements dans les moments difficiles. Votre mine déconfite, votre regard hagard, vos soupirs ou même votre allure affaissée sont autant des signes qui génèrent une forte inquiétude chez les autres. Vous devez donc leur montrer par votre attitude que vous êtes prêt. Pour ce faire, adoptez un comportement corsé : allure déterminée, respiration lente, voix audible avec un lent débit et des intonations sur les mots et expressions importants. 

Surtout gardez le sourire puisque celui est communicatif.  Vous devez leur faire part de l’engagement professionnel et vous montrer dynamique. Parce que vous n’êtes pas un acteur, vous devez juste reposer votre idée sur la conviction. Vous pouvez vous dire des mantras qui incitent à la proactivité, par exemple : « il est possible de prendre part à la construction de l’avenir »« faire du travail de qualité pour les clients et les usagers garantit notre service »

Adapter son langage à la situation

En termes de communication, les managers non avertis tombent souvent dans deux pièges très courants. Le premier est le défaitisme. Quand l’entreprise connaît un échec, ou lorsque la situation est désespérée et que l’avenir de la société est incertain, l’erreur à ne pas commettre est d’arborer une mine défaite. Le deuxième est l’angélisme. C’est la situation qui amène à des constats de ce style : « qui veut peut »« la crise n’est qu’une opportunité, nous avons toujours eu une bonne étoile »« les choses s’arrangeront d’elles-mêmes ». Erreur ! Le discours à tenir doit être le plus proche de la réalité/vérité. Vous pouvez par exemple dire à ce moment que : « la situation est difficile, si nous restons les bras ballants, elle ne fera qu’empirer. J’ai confiance en vous pour relever les défis. Pour ma part, je m’y engage ».

Focaliser l’équipe sur les résultats immédiats

Les collaborateurs peuvent être aspirés par des réactions passives. Souvent, en cas de difficultés, une tendance trop facile est de dire que personne n’a le pouvoir sur la situation, que ce n’est de la faute de personne, et qu’il est donc plus convenable d’attendre et de voir ce qui va arriver plus tard. C’est ce qui caractérise … la passivité ! On peut la déceler par les phrases classiques comme « nous n’y pouvons rien », « y’a qu’à », « faut qu’on », « tout changer ! ». Pour éviter que cela n’arrive, concentrez chacun et l’équipe sur l’obtention de résultats immédiats. Les progrès visibles et les actions à court terme sont des signes de vitalité.

Comment rester connecté pendant les vacances ?

Ça y est ! Vous avez enfin réussi à prendre des vacances … Enfin presque car malgré tous vos efforts pour bien vous organiser et déléguer un maximum de vos fonctions à vos salariés, certaines vous semblent difficiles à déléguer complètement ou des questions se posent encore. Même si vous avez organisé votre journée pour n’être connecté connecté que quelques heures et que vous en avez informé vos salariés, quels sont les outils que vous pouvez utiliser pour être connecté connecté pendant les vacances ?

Le téléphone / smartphone 

Il s’agit du premier outil de communication que vous pouvez utiliser avec vos salariés. Simple et efficace, vous devrez cependant désactiver les fonctions « push » pour éviter de recevoir toute la journée des emails qui pourraient vous perturber pendant vos vacances. Si possible, éteignez complètement celui-ci pour ne pas être dérangé pendant vos heures de repos bien méritées.

Si vous avez une phobie de l’urgence, laissez-le connecter. Toutefois, demandez explicitement à vos salariés de ne vous contacter qu’en cas d’urgence. A défaut, vous risquez de vous retrouver encore plus sollicité que lorsque vous serez présent. Contactez vos salariés à des heures précises et à des créneaux que vous avez identifiés avec eux afin qu’ils préparent leurs questions. Attention à ne pas passer votre journée au téléphone ! Vous pouvez utiliser votre smartphone en mode « partage de connexion » pour connecter votre ordinateur et accéder à internet à partir du moment où celui-ci capte au moins la 3G. Vous pouvez également dissocier votre ligne en achetant un téléphone spécifique. Cela vous évitera de confondre de simples appels avec des urgences qui nécessitent qu’on vous dérange.

Les applications du type Google Talk

Excellent outil de communication, il vous permet de laisser votre téléphone de côté et de vous connecter avec vos managers aux heures qui vous plaisent. Si vous n’êtes pas connecté, ils ne peuvent pas vous parler et vous ne serez donc pas dérangé. Cet outil est efficace même s’il vous faudra taper vos messages et faire attention à ce que vos messages ne soient pas déformés (problème commun à de nombreuses communications écrites). N’hésitez pas à abuser des smileys afin que chacun comprenne le ton de vos phrases. N’oubliez pas de demander à vos collaborateurs de se connecter. En effet, à l’inverse, vous ne pourrez pas communiquer avec eux, s’ils ne le sont pas. L’inconvénient principal réside dans la nécessité d’une connexion internet même si elle peut être à bas débit.

Une connexion par Skype

Idéal pour les conférences à deux ou plusieurs, Skype possède l’avantage de diffuser le son et l’image. Attention à ne pas trop mettre un décor paradisiaque derrière vous car vos salariés pourraient vous jalouser. Trouvez-vous un petit bureau au calme afin de ne pas être perturbé. Skype comme Google Talk possède l’avantage d’être moins coûteux, surtout si vous êtes à l’étranger, qu’une conversation téléphonique classique. De la même manière que pour Google Talk, il vous faudra demander à vos collaborateurs de se connecter afin de pouvoir les appeler. Il nécessite cependant une bonne connexion afin de transmettre l’image.

Privilégier l’email

Cela peut paraître bête. Il s’agit pourtant de l’outil le plus efficace pour continuer à travailler même lorsque vous êtes en vacances. Il ne vous impose pas d’horaires de connexion précis. Vous pouvez ainsi vous connecter à l’heure qu’il vous plait et comme il vous plaît. Il nécessite une connexion internet qui peut être faible et vous permet de prendre le temps de rédiger vos réponses. Son principal inconvénient est qu’il est peu adapté aux situations d’urgences et qu’il ne vous permet pas de répondre rapidement. Vous pouvez créer un email spécifique pour les urgences, si vous souhaitez ne recevoir que les emails les plus importants. 

La clé 4G

Elle est très efficace si vous souhaitez avoir une connexion relativement rapide et à tout endroit. Elle vous coûtera environ une centaine d’euros mais vous permettra d’avoir un débit plus rapide. Attention tout de même à ne pas en abuser car les frais qui ne sont pas tous compris peuvent rapidement monter surtout lorsque vous envoyez des documents volumineux ou en téléchargez. 

Désormais vous connaissez les principaux outils pour rester connecté pendant vos vacances mais n’oubliez pas que les vacances sont faites pour en profiter et vous reposer avant une rentrée qui pourra s’avérer animée.

Comment bien rédiger ses vœux professionnels pour 2023 ?

Le monde des affaires n’exclut pas le savoir-vivre et ses quelques gestes simples d’humanité. Adresser ses vœux pour la nouvelle année en fait partie et prendre un peu de temps peut montrer votre considération à vos destinataires. Le tout reste de savoir comment bien les rédiger. Les détails.

Personnalisez votre message

La carte de vœux est envoyée pour fidéliser des relations professionnelles sous une forme plus chaleureuse et plus sensible. Pour que votre carte de vœux soit opérante, évitez les formules lapidaires ou trop convenues qui ne laisseraient aucun souvenir à votre destinataire. Essayez plutôt de personnaliser votre message en fonction de la relation professionnelle et de la situation personnelle et professionnelle de votre destinataire. Mais surtout, restez dans une tonalité positive et optimiste. Par ailleurs, vous pouvez très bien utiliser des synonymes moins neutres et plus expressifs que les mots habituels. Par exemple, utilisez une année florissante, féconde, colorée ou des mots tels que partage, ambition, défis, aventures, initiatives…, au lieu des traditionnels « réussite, souhait, bonne année… ». Veillez également à bien vous relire pour ne pas laisser passer des fautes d’orthographe ou d’accord.

Les erreurs à éviter

En milieu professionnel, à moins d’être très proche du destinataire, évitez de parler de la santé et de bonheur. Vous pouvez, tout simplement, souhaiter une douce année. Ne parlez pas non plus de concept comme le progrès parce que vous allez laisser sous-entendre que votre destinataire n’a pas avancé jusque-là. Souhaitez-lui plutôt de nouvelles réussites à venir.

S’il est recommandé d’envoyer vos vœux la première quinzaine de janvier en France, dans les pays anglo-saxons, vous devez l’envoyer dès le mois de décembre. En tout cas, veillez à les envoyer avant la fin du mois.

Personnaliser chaque message serait l’idéal.

Vous n’avez, cependant, pas toujours le temps et l’imagination pour le faire. Vous pouvez donc puiser et vous inspirer dans ces quelques messages passe-partout pour ensuite leur donner une nuance plus personnelle :

Quelques exemples types…

  • « Toute l’équipe de… tient à vous remercier pour la confiance que vous lui accordez et vous souhaite bonheur et réussite dans tous vos projets ».
  • « Toute l’équipe de …vous remercie de votre confiance et vous présente ses meilleurs vœux de santé et de réussite pour l’année 2023 ».
  • « Que notre collaboration perdure en cette Nouvelle Année ! »
  • « Nous vous souhaitons (Je vous souhaite) d’atteindre vos objectifs. Bonne et heureuse année ! »
  • « Que cette nouvelle année voit s’accomplir vos rêves et réussir vos projets ! » « Que l’année 2023 vous apporte le bonheur et la réussite, le succès dans vos projets et l’accomplissement de vos rêves ».
  • « Toute l’équipe de … vous transmet ses vœux les plus sincères pour la nouvelle année ».
  • « Cher M. X, nous vous souhaitons (je vous souhaite) bonheur, joie et prospérité pour la nouvelle année, en espérant continuer à vous accompagner dans vos projets ».
  • « Nous vous souhaitons (je vous souhaite) une année à venir pleines de promesses et de succès. »
  • « (Notre société) (Je vous remercie ) vous remercie de votre confiance et vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2023 .»
  • « (Notre société) et son équipe vous remercient de votre fidélité et vous présentent leurs Meilleurs Vœux de bonheur, santé et réussite à l’occasion de cette nouvelle année. »
  • « (Notresociété) vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2023 ! »
  • « Toute l’équipe vous remercie de la confiance que vous lui avez renouvelée
    et vous souhaite une bonne et heureuse année. »
  • « (Notresociété) vous présente ses meilleurs vœux pour 2023. »
  • « (Notresociété) vous remercie de la confiance que vous lui accordez et vous présente ses meilleurs vœux pour la nouvelle année. »
  • « Pour cette année 2018, je vous souhaite de vibrer pour des projets enthousiasmants et de les voir couronnés de succès. »
  • « (Notresociété) vous remercie de votre confiance et vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2023. »
  • « Nous faisons un vœu… pour que tous les vôtres se réalisent ! Bonne Année 2023 ! »
  • « Que cette nouvelle année déploie vos talents pour réaliser tous vos projets. »
  • « Notre collaboration ainsi que votre fidélité sont la clé de notre réussite. »
  • « Que la nouvelle année 2018 soit synonyme d’évasion et de succès. »

Encore une fois, rien ne vous empêche de personnaliser vos vœux

si le temps vous le permet. Cela ne pourra que toucher vos destinataires et marquer leur esprit ! À vos stylos !

Sortir des sentiers battus et chercher de nouvelles perspectives

Que ce soit dans une logique d’amélioration continue pour la satisfaction client ou pour le bien-être des collaborateurs, pour opter pour un business model plus efficace/performant ou encore trouver de nouvelles sources de rentabilité, il existe de nombreuses raisons de vouloir sortir des sentiers battus et donc de ne pas faire comme tout le monde.

Des entrepreneurs de génie !

Des entrepreneurs de génie ouvrent de nouvelles voies et créent des entreprises hors des sentiers battus. Il arrive plus souvent qu’on ne le pense que des entreprises se contentent de copier des modèles existants et de les reproduire. Certaines s’en sont fait une spécialité. Elles essaient de se servir de l’idée à coup d’injections de capitaux pour les doubler.

Attention ! Les concurrents veillent

Il s’agit alors d’une course de vitesse qu’il est parfois difficile de gagner pour le nouveau challenger. Cependant, elle peut marcher et tourner en la défaveur de celui qui a initié le marché s’il n’a pas eu la capacité d’innover et s’il s’est laissé bercer par les musiques de la réussite, surtout si le dernier venu se lance dans une guerre des prix.

Mais pourquoi donc sortir des sentiers battus ?

Les raisons qui conduisent à vouloir sortir des sentiers battus sont multiples. Il s’agit parfois simplement d’un choix stratégique pour le futur. En effet, vous sentez que votre marché s’essouffle, que la concurrence est en train ou va devenir plus sévère ou pour une volonté de vous ouvrir à de nouvelles opportunités. Il peut aussi être issu d’un choix d’agir autrement. Ainsi, la nouvelle manière de faire peut davantage faire écho à vos valeurs, par exemple.

Toujours innover pour mieux répondre aux clients

Il se révèle aussi parfois nécessaire pour rester compétitif de se transformer plus ou moins profondément. Le premier réflexe consiste alors souvent à imaginer des produits innovants qui répondront davantage aux besoins des clients que ceux existants ou encore à intégrer les nouvelles technologies. C’est dans ce cadre qu’interviennent souvent les processus d’amélioration continue ou encore la mise en place de cellules d’innovations.

Changer mais avec brio

Le changement est parfois plus profond puisque des entrepreneurs n’hésitent pas à quitter leur business model voire à transformer totalement l’entreprise. Si vous désirez un changement majeur et à tous les niveaux, la mise en place de l’innovation participative peut représenter une solution.

N’oubliez pas avant de vous lancer que sortir des sentiers battus n’est pas évident, notamment si vous avez déjà une culture d’entreprise bien ancrée. Elle vous demande parfois de remettre en cause toute l’organisation de l’entreprise et votre manière de la gérer. Ceci est d’autant plus vrai si vous avez une structure pyramidale et si celle-ci n’est pas habituée aux changements rapides.

Des entrepreneurs qui sont sortis des sentiers battus

Cartes de vœux c’est maintenant ! Faites plaisir !

Quand vous offrez un cadeau, vous réfléchissez sur ce qui lui ou leur ferait plaisir… Pour les cartes de vœux, c’est la même démarche ! Au moment de la nouvelle année, c’est le temps rêvé pour prendre un nouveau départ, pour prendre de bonnes résolutions et la carte de vœux peut jouer son rôle. Le message d’une carte de vœux professionnelle doit être porteur du dynamisme et des valeurs de votre entreprise.

Le moment pour envoyer les cartes de voeux

Soyez les premiers à envoyer vos vœux ! N’attendez pas la dernière limite (31 janvier). Prenez-vous y dès maintenant ! N’hésitez pas à penser que vous pouvez également faire vos vœux, si vous en avez les moyens techniques, en habillant votre site ou encore vos e-mails avec une touche originale. 

À l’international, il est souvent recommandé d’envoyer les vœux avant la fin de l’année. Renseignez-vous dès aujourd’hui sur les us et coutumes de vos partenaires. N’envoyez pas n’importe quel graphisme et tenez compte des coutumes, de la religion : vous pouvez en un instant détruire un an d’efforts. Aussi, dans les pays anglo-saxons, il est plus courant de souhaiter de bonnes fêtes en décembre que de marquer la nouvelle année. Bref, soyez pros !

Une démarche réfléchie : un coût en temps et en argent

Il convient de se poser de nombreuses questions quand vous souhaitez faire votre carte de vœux : 

  • Quel est le but de la carte de vœux ? Faire comme tout le monde, suivre la tradition ? Innover ? 
  • Quel message souhaitons-nous envoyer ?
  • Avons-nous des nouveautés à proposer ?
  • Souhaitons-nous évoquer les valeurs de notre entreprise ? De notre démarche de développement durable ? De nos actions en mécénat ? De vos innovations ? De notre savoir-faire ?
  • Comment utiliser notre carte de vœux comme un signe envers nos clients ?
  • Comment rendre notre carte de vœux « originale » par rapport aux années précédentes ?
  • Notre fichier de contacts est-il à jour et à quels destinataires souhaitons-nous envoyer les cartes ? Clients, prestataires, fournisseurs… ?
  • Nos clients sont-ils exclusivement nationaux ou internationaux ?
  • Quel rétroplanning ?
  • Qui veille à la réussite de l’envoi des cartes de vœux d’entreprises outil de communication envers nos clients ?
  • Comment réduire les coûts et gagner du temps ? Version papier et/ou électronique ? Le dilemme

Les e-card vs les cartes traditionnels

La e-card représente un gain de temps et d’argent !!! La e-card de vœux d’entreprises offre des avantages certains et évidents : elle vous fait gagner du temps car elle est envoyée en quelques clics à un nombre illimité de personnes et donc entraîne une réduction considérable des coûts.

Mais elle est beaucoup plus impersonnelle… La carte de vœux papier reste une marque de considération et il s’avère parfois nécessaire de l’envoyer à ses meilleurs clients car la version papier signée avec vos collaborateurs ou avec votre associé est une marque de cohésion de votre équipe. Le coût d’une carte de vœux à l’unité peut ainsi varier de 2€ à 7€. Cela peut paraître élevé mais c’est un investissement qui peut être intéressant s’il est bien ciblé.

Attention aux spams

Votre budget ne vous permet pas d’utiliser la forme papier : alors utilisez avec intelligence la version électronique et faites attention aux spams. Si votre carte a pour destination le courrier indésirable c’est-à-dire la poubelle, l’impact escompté sera nul. Alors réfléchissez avant de l’envoyer à ce qui pourrait l’empêcher de vivre ce sort.

Les clefs de l’impact de la carte de vœux

La carte de vœux est là pour créer ou consolider le lien avec vos clients. Il est donc inutile et ridicule d’envoyer trois cartes identiques à la même personne parce que chacun veut adresser ses vœux. Cela dénote un vrai manque de cohérence : une concertation s’impose à l’intérieur de l’entreprise sur la manière d’agir.

Dans ce monde de business, mettez de l’humanité 

1/ Écrivez pour faire plaisir

Vous existez pour nous, vous faites partie de notre communauté alors nous vous adressons nos vœux c’est parce que sommes heureux de travailler avec vous.

2/ Écrivez pour entretenir les relations

Les vœux sont une excellente opportunité pour établir un contact avec ses partenaires, ses clients. Profitez-en, en même temps, pour proposer la rencontre que vous n’avez pas pu réaliser cette année. Ne vous contentez pas de « Nous espérons vous rencontrer » : une proposition bien trop formelle. Proposez un mois, une date. Vous pouvez également le faire pour rappeler à votre réseau que vous existez. C’est aussi le moment de faire preuve d’originalité.  Le visuel, le texte sont d’une importance

3/ Écrivez pour prospecter

La carte de vœux est une occasion unique pour communiquer, se montrer, fidéliser, prospecter, faire passer un message.  Cela reste un moyen efficace pour développer sa notoriété.

Quels sont les différents types de sacs à dos à impression ? 

Le principal atout du sac à dos en tant que goodies publicitaires est qu’il convient tout le monde. Enfant, jeune, adulte, homme, femme, etc., tout le monde en fait usage à un moment donné. Les sacs à dos imprimés sont donc des produits d’une grande utilité. Ils sont très appréciés en termes de goodies publicitaires. Quels sont les différents modèles disponibles sur le marché ? 

Une large gamme de sacs à dos imprimés

Afin de rehausser l’image de votre marque et attirer le maximum de prospects, vous devez bien choisir les sacs à dos imprimés personnalisables que vous offrirez à vos potentiels clients. 

Le sac à dos à cordons personnalisable

Cet objet est parfait pour une cible jeune et dynamique. Effectivement, les modèles à ficelle personnalisables sont toujours très appréciés par les consommateurs. Et pour cause ! Ils s’adaptent très bien aux besoins des clients et des prospects. 

Les sacs à dos imprimés sont faciles à utiliser et présentent un prix abordable très attractif pour les marques. Ils peuvent être distribués à diverses occasions et sont totalement personnalisables en matière de textile, de couleur, de motifs, etc. 

Le sac à dos imprimé pour ordinateur

Avec l’avènement et le développement du numérique, les ordinateurs portables sont devenus des appareils qui font partie intégrante de la plupart des consommateurs. L’un des accessoires qui fera toujours le bonheur des consommateurs, en particulier de ceux qui possèdent un PC est le sac à dos pour ordinateur. 

En fonction du budget et de la stratégie que vous désirez déployer, personnalisez ces sacs à dos imprimés en y ajoutant des options telles qu’un renfort à l’arrière, un chargeur USB, des roulettes, etc. 

Le sac à dos de sport

Incontournables pour les sportifs et les adeptes de l’effort physique, les sacs à dos de sport se répandent de plus en plus dans les présents offerts par les entreprises. Grâce à ces objets publicitaires personnalisés avec votre logo, le sentiment d’appartenance à la communauté de votre marque, chez les prospects et les clients, est considérablement renforcé. 

Les sacs à dos de sport personnalisé avec le logo de votre entreprise déambuleront sous les yeux de potentiels clients et vous permettront d’asseoir votre notoriété. 

Pourquoi utiliser des sacs à dos imprimés en tant qu’objet publicitaire ? 

Les sacs à dos imprimés constituent de véritables atouts de communication pour votre marque, car ils présentent plusieurs avantages. 

En premier, ce sont des accessoires polyvalents qui offrent une grande visibilité. En effet, le sac à dos peut être utilisé dans plusieurs situations du quotidien. Ils peuvent donc servir à transporter des documents, des livres, des affaires diverses, un ordinateur portable, etc. 

De fait, en comportant votre logo, ces articles joueront le rôle d’ambassadeurs de votre marque, car il porte votre image dans des endroits très fréquentés comme les rues de la ville, les stations de métro, les commerces, les écoles, etc. 

Ensuite, les sacs à dos imprimés sont des accessoires à la mode. Effectivement, certains modèles sont conçus afin de s’adapter à tous les styles et les goûts. C’est la raison pour laquelle il est courant de voir des jeunes avec des sacs à dos lors d’évènements de mode ou dans les rues. Par ailleurs, il existe également des sacs à dos qui se marient parfaitement avec des tenues plus formelles. 

Pour finir, le sac à dos peut être personnalisé avec diverses techniques d’impression telles que la sérigraphie, la broderie, l’impression numérique, la sublimation ou encore le transfert numérique. Tout dépend de vos préférences et du résultat que vous désirez avoir sur vos sacs à dos imprimés. 

10 conseils pour organiser au mieux son bureau

Qu’il soit une pièce à part entière ou un coin aménagé dans une autre pièce, le bureau mérite d’être parfaitement organisé. Il contribue fortement à votre bien-être et à votre productivité alors autant ne pas le négliger. Le rangement de votre bureau n’est certes pas chose facile mais ne vous affolez pas pour autant ! Avec ces bons conseils et un zeste de motivation, vous allez retrouver un espace dont vous ne soupçonniez même plus l’existence. Adoptez la Rangitude, et faites de votre espace professionnel un lieu serein et organisé pour une vie d’entrepreneur au top !

Voici quelques conseils et astuces proposés par Ali de Shoji pour optimiser, organiser et ranger au mieux votre bureau. Une fois que vous vous serez inspiré des conseils de ce guide, vous prendrez plaisir à vous asseoir à votre bureau pour surfer sur internet, ranger les courriers de la semaine… Ou bien tout simplement redécouvrir un bureau épuré qui vous permettra de travailler efficacement.

1 – Rangement des papiers

Qui ne connaît pas les piles de courriers et feuilles volantes qui s’amoncèlent sur le bureau parce qu’à chaque fois qu’on ouvre un nouveau courrier, on le pose en se disant qu’on le rangera plus tard… Stop !!! Ne remettez plus à plus tard ce qui peut vous prendre 30 secondes à faire de suite ! Adoptez la Rangitude « je touche une seule fois ce courrier » attitude ! Je prends le papier, je ne le repose pas pour le retoucher un jour, une semaine voire des mois plus tard… mais je le jette, je le remplis, je prépare l’enveloppe pour le retourner ou je le range ».

Soyez organisé, prévoyez soit un classeur avec une pochette pour chaque thème des papiers (assurance, impôts, Edf…) ou bien une boite horizontale avec des intercalaires où vous n’aurez plus qu’à glisser chaque feuille selon la catégorie à laquelle elle appartient.

2 – Combien de temps conserver les papiers ?

On pense parfois devant un courrier : suis-je obligé de le garder ? Je n’en aurai plus jamais besoin, je peux le jeter c’est sûr ! … Méfiez-vous, certains documents demandent d’être conservés plusieurs années, même après avoir résilié un contrat, par exemple.

Sans vous faire la liste complète des documents importants à conserver, je vous en propose quelques-uns :

  • contrats d’assurance : toute la durée du contrat et 2 ans au-delà de la résiliation ;
  • contraventions : trois ans ;
  • factures d’électricité : deux ans ;
  • facture de téléphone : un an…

3 – Agrémentez de tiroirs et/ou de caissons

Si vous n’avez pas de tiroirs intégrés au bureau, ce que je recommande d’ailleurs (les solutions sont plus modulables et on pourra trouver de la place pour les jambes !), il ne faut pas pour autant s’en passer complètement. Il est toujours bon d’avoir des solutions de rangement pour y mettre quelques dossiers, le classeur de papiers, des fournitures de type enveloppes, feuilles blanches, timbres…

Il existe de jolis caissons sur roulettes que vous ferez voyager facilement jusqu’à vous, avec des tiroirs ou des ouvertures plus classiques comme celles de porte. Un petit caisson vous permettra également de poser par-dessus une imprimante ou un numériseur tout en pouvant toujours glisser le tout sous le bureau.

4 – Des étagères pour les plus jolies boîtes

Pour les plus petites boîtes, qui se font d’ailleurs de plus en plus jolies et pratiques, mettez une ou deux étagères, ce qui vous permettra de gagner de l’espace tout en n’obstruant pas l’espace au sol. Cela permet également d’y avoir accès sans vous courber en deux et de pouvoir rapidement naviguer entre les différents dossiers. 

5 – Une poubelle à portée de main

Prévoyez une corbeille à papiers à proximité du bureau. De cette manière, vous pourrez jeter dès que cela s’avérera nécessaire sans devoir atteindre la poubelle principale et vous suivrez d’autant plus facilement la Rangitude « je touche une seule fois ce courrier » attitude. Pour les papiers importants, de type facture de carte bleue, ou autre document qui contient des informations confidentielles (même partielles), essayez de broyer. De petits broyeurs très maniables se trouvent désormais en vente, plus besoin d’un gros broyeur à usine ! Cependant si vous n’avez pas de broyeur, au moins déchirez-les !

6 – Des crayons qui fonctionnent !

Comme il est toujours pratique d’avoir quelques stylos à portée de main…quand ils fonctionnent !! Car qu’est-ce que ça énerve quand on tombe sur un stylo qui ne fonctionne pas ! On prend un brouillon et on fait des cercles en s’acharnant comme si ça allait le ressusciter !! Alors faites-vous ce plaisir, triez vos vieux crayons et jetez ceux qui ne daignent plus vous offrir de l’encre ! Agrémentez votre bureau d’un joli et original pot à crayons et rangez-y vos stylos préférés. 

7 – Un bureau épuré

Vous l’aurez plus ou moins compris avec tous les conseils qui ont précédé : j’ai parlé de rangement au-dessus ou en dessous du bureau mais pas tellement sur le bureau ! Il y a bien une raison à ça… Laissez votre bureau le plus épuré possible : ordinateur, clavier, souris, votre fameux pot à crayons, et… pas grand-chose d’autre ! Autorisez-vous les documents, cahiers, classeurs que vous utilisez très souvent mais essayez de retrouver un maximum d’espace sur votre bureau, vous ne vous en sentirez que mieux ! Pour aménager convenablement votre espace de travail, retrouvez ici une sélection de meilleurs modèles de table de réunion qui conviendront à votre salle de réunion.

8 – Une bonne source de lumière

Un bureau peut se mettre à peu près n’importe où mais pour avoir une bonne harmonie et surtout ne pas vous énerver après les rayons du soleil, essayez de positionner votre bureau face à une fenêtre. Si vous faites dos à la fenêtre, tous les reflets du soleil vont gêner la visibilité que vous aurez sur votre écran d’ordinateur. Si la proximité d’une fenêtre n’est pas réalisable, investissez dans une belle lampe de bureau qui fera très bien l’affaire !

9 – Une chaise de bureau confortable

Ce conseil s’adapte un peu plus à ceux qui passent de nombreuses heures devant leur écran d’ordinateur, mais est valable pour tout le monde : ne négligez pas votre dos ! Investissez dans une chaise de bureau confortable dans laquelle vous vous sentirez bien à l’aise. D’autre part, cela peut vous éviter de souffrir du mot du siècle : le mal de dos. Si vous le pouvez, équipez d’ailleurs tous vos collaborateurs de ce type de chaise ergonomique qui limite l’impact de la position assise prolongée.

10 – Un planning pour organiser sa semaine

Pour parfaire tous ces conseils, le rangement de votre bureau et son organisation passe aussi par l’organisation de votre emploi du temps. Il existe de nombreux produits permettant de faire de son organisation hebdomadaire un vrai objet de décoration. Du customisable au professionnel, organisez votre semaine au mieux grâce à un tableau que vous accrocherez au mur : notez-y en vrai business man vos rendez-vous d’affaires…

Business : la gestuelle du succès

Le succès survient généralement dans un contexte de communication efficace par l’exploitation des ressources du langage corporel. Cela consiste à adopter une attitude positive dans sa gestuelle afin de séduire et convaincre. Cette dimension non-verbale de la communication renforce-t-elle réellement le message des entrepreneurs ?

La communication par le langage corporel s’exerce depuis la nuit des temps, contribuant à la cohésion sociale, à une meilleure compréhension entre les peuples de culture et de langue différentes. Aujourd’hui, ce moyen de communication universelle, fondé sur les valeurs émotionnelles, fait avancer les hommes et les femmes en quête de réussite.

La communication productive sans les mots

L’image d’une société, c’est en premier lieu celle que renvoie son personnel, par le langage corporel. En entreprise ou ailleurs, 80 % de notre communication se base sur des gestes parfois anodins,. Toutefois, ils sont l’expression d’émotions révélatrices. L’intensité des sourires, les regards, les postures en disent long sur l’état d’esprit d’une personne. Une entreprise qui aspire au succès sera vigilante lors du recrutement de son personnel. Améliorer la qualité de sa communication de ses collaborateurs et rendre plus transparents ses échanges avec l’extérieur font partie des priorités des entreprises compétitives.

Il est donc primordial de bien prendre en compte le langage corporel de chacun pour que l’entreprise connaisse le succès. Chaque personne est dotée d’un patrimoine gestuel qui peut être utilisé à des fins personnelles, sociales ou professionnelles. Une poignée de main bien mesurée peut rassurer un collaborateur et témoigner de la force de l’entreprise.

Les gestes efficaces

Cette dimension non-verbale de la communication renforce-t-elle réellement le message des entrepreneurs ?  

Pour renforcer votre message verbal, vous devez avoir le visage serein, le regard fixe, les épaules droites et des gestes amples pour mieux occuper l’espace. Le décryptage des postures a fait l’objet d’études fiables, au service de la communication et de l’entreprise et qui peuvent faire l’objet de formation.

A contrario, par exemple, les épaules affaissées, les tics nerveux et autres positions basses dévoilent un manque de confiance et un comportement négatif. Les discoureurs qui maintiennent leurs bras ballants laissent transparaître leurs inquiétudes. Tous les signaux émis par le langage corporel sont sources de succès ou pas et ne sont pas à négliger.

Un contexte positif à ne pas négliger

Les attitudes corporelles à éviter ou à s’approprier sont désormais connues et largement exploitées au sein des entreprises les plus innovantes. Cependant, le succès arrive seulement dans un contexte de positivité, engageant l’ensemble du personnel. Ce contexte peut se provoquer : n’est-ce pas dans cette optique que sont organisés certains séminaires ? La réussite d’une petite ou moyenne entreprise repose sur l’énergie que dégagent ses ressources humaines. L’utilisation du langage corporel ne peut être efficace sans la mise en œuvre d’une politique valorisante, axée sur la cohésion et l’esprit d’équipe.

Un mode de vie positif

Le langage corporel s’exprime spontanément, même s’il peut être maîtrisé pour faire face à une situation précise telle qu’un entretien d’embauche ou lorsqu’il s’agit de conclure une affaire en entreprise. Apprendre à décoder la gestuelle de ses interlocuteurs représente un atout non-négligeable et s’il faut prendre la parole devant un auditoire, le mieux est de s’y préparer afin de convaincre par une gestuelle positive.

Certaines postures aident les personnes à avoir davantage confiance en elles et par conséquent, à accéder au succès. Il vous suffit de vous informer pour les connaître. Cependant, Il ne s’agit pas de réaliser une mise-en-scène corporelle en désaccord avec votre état mental. Il est question ici, d’un mode de vie bénéfique pour soi-même et pour son entourage professionnel.

Groupe Mousset : Un groupe familial basé sur de belles valeurs sportives !

Interview de Frédéric Leblanc, entrepreneur vendéen, qualifié aux championnats du monde IRONMAN 70.3 qui se surpasse et insuffle une véritable émulation à ses équipes notamment grâce au sport.

Quel a été votre parcours jusqu’à votre arrivée au sein du groupe en 1992 ?

Mon parcours est assez simple et rapide. Je vais jusqu’en CAP et je suis plutôt mauvais élève. En fait, je n’aime pas l’école et je m’embête sur ses bancs. Je la quitte à l’âge de 16 ans et demi. Puis, je fais des préparations militaires dont une terre et une parachutiste. Je m’engage dans l’armée très jeune puisque je devance l’appel et à 17 ans et demi et je me retrouve sous les drapeaux. Je pars dans un régiment d’élite et je me spécialise sur des missions à l’étranger.

Une de mes premières missions se déroule au Liban en 1984. J’ai alors un engagement de cinq ans dans la FAR (force d’action rapide, ndlr) que j’écourte au bout de trois pour me marier et m’engager dans la vie professionnelle. Dès que je sors de l’armée, et pendant 2 ans, je travaille avec mes parents qui ont une marbrerie. J’essaye de développer l’activité avec eux mais nous nous quittons un peu fâchés car nous ne nous entendons pas.

On est alors en 1991 ?

À peu près, puisque c’est le moment où je rentre dans un abattoir de volailles pour conduire un camion, ce que je peux faire grâce à mes permis militaires. En 1992, Gaston Dessein vend son abattoir à Doux, le leader de la volaille à l’époque, et ce dernier externalise son transport à MOUSSET. Je fais partie du transfert et je rencontre Jean-Michel Mousset qui m’embauche comme conducteur. C’est un des premiers sites d’AVILOG, qui en est à ses débuts.

De 1992 jusqu’en 2011, vous progressez au sein de la société ?

En effet ! De conducteur, je passe manager de site. Je développe alors beaucoup l’activité sur le nord de la France, mais aussi sur le centre et toutes les régions de France puisque Doux rencontre une forte progression. J’accompagne cette croissance et je passe par toutes les fonctions : conducteur, manager, directeur, directeur régional, directeur général. Je bâtis avec Jean-Michel MOUSSET une société qui est la locomotive du groupe. En 2011, quand je prends la présidence, AVILOG pèse 80 % du chiffre d’affaires de l’entreprise et 100 % de sa rentabilité.

De 2011 à aujourd’hui, quelles ont été les grandes évolutions du groupe ?

En 2011, je prends la direction et nous réalisons alors 80 millions d’euros de chiffre d’affaires. Aujourd’hui, nous allons consolider 300 millions d’euros en 2022 et 370 millions d’euros en 2023. Nous avons surtout bâti et équilibré les axes stratégiques puisque de 80 % en cour de ferme, nous sommes à 50 % aujourd’hui et 50 % en transport industriel et frigorifique. Nous avons partagé les risques en équilibrant les activités.

Qu’est-ce qui vous a poussé à vouloir participer au championnat du monde d’Ironman ?

Il y a six ans, j’ai découvert le triathlon via le Triathlon des Entreprises aux Sables d’Olonne. Il s’agit d’un évènement qui réunit les collaborateurs de nombreuses entreprises vendéennes. Ces derniers se partagent les épreuves : la nage, le vélo et la course à pied. En l’occurrence, je rentre dans une équipe et j’assure la nage. Je peine vraiment à faire 300 mètres en mer et je me surprends à être en difficulté alors que je suis sportif. C’est le déclic ! Je me lance dans le triathlon avec mes collaborateurs et j’impulse dans l’entreprise la culture et la dynamique du sport. J’ai commencé par l’ Ironman 70.3, et cette année, j’ai la chance de faire un podium et de me qualifier pour le championnat du monde.

Qu’est-ce qui fait que vous adorez ce sport en particulier ?

Ce sport est déjà très équilibré dans les épreuves puisqu’on réalise trois épreuves qui n’ont rien à voir les unes avec les autres. Il y a la nage, le plus souvent en mer, qui est très spécifique et très technique ; le vélo, qui demande une force et un talent particuliers ; et enfin la course à pied qui n’a rien à voir avec les deux premières disciplines. Ce sont trois sports très équilibrés et complémentaires. Le triathlon requiert une résilience importante pour obtenir des résultats. C’est un sport très inspirant qui me permet de faire le lien avec les problématiques et les enjeux de l’entreprise.

Je suppose que vous encouragez la démarche auprès des collaborateurs également ?

Nous avons beaucoup de collaborateurs qui participent. Je me suis qualifié au championnat du monde, mais je ne suis pas le seul puisque j’ai un collaborateur qui s’est également qualifié. Pour vous donner un exemple, lors du dernier IRONMAN 70.3 des Sables d’Olonne, 35 collaborateurs étaient sur la ligne de départ, ce qui est considérable ! À Tanger, le jour où je me qualifie, nous sommes six représentants du Groupe MOUSSET et deux à nous qualifier. C’était un weekend magnifique !

Est-ce que vous voyez des valeurs communes entre ce sport et votre entreprise ?

Évidemment ! J’ai parlé de la résilience mais il y a aussi la notion d’ « objectif ». Faire de l’Ironman, c’est aussi s’en fixer de très élevés. C’est aussi se faire mal, être dans l’inconfort, profiter et s’enthousiasmer de la réussite. Il se passe la même chose dans l’entreprise. Nous sommes vraiment dans un sport qui nous permet de nous projeter. La multidisciplinarité correspond bien aussi à l’entreprise. Le triathlon, c’est trois sports. Au sein de l’entreprise, nous sommes sur plus de trois axes stratégiques aujourd’hui – nous en comptons cinq – mais la problématique est exactement la même : gérer la performance sur des activités différentes.

C’est vrai que je ne le dis pas, parce que pour moi c’est naturel, mais nous sommes assez atypiques dans le transport. Nous sommes sur cinq métiers différents alors que la majorité des entreprises sont mono-métier. Nous réussissons à faire des métiers différents parce que, justement, nous capitalisons sur le savoir-faire de chacun, sur les talents de tous. C’est transposable dans le sport, notamment dans le triathlon.

Je suppose que cela fait vraiment partie d’une recommandation de l’entreprise de faire du sport ?
Cela rentre dans le cadre d’une politique RSE. Notre politique en la matière est tournée énormément vers l’innovation sociale et plus particulièrement vers la santé du collaborateur. Nous sommes sur des métiers compliqués, difficiles, avec de la pénibilité. C’est pour cela que quand vous venez au siège, vous y trouvez une salle de sport de niveau professionnel. Le Groupe Mousset participe également aux abonnements de nos collaborateurs à une salle de sport. Nous collaborons aussi avec des coachs sportifs. Nos collaborateurs ont accès gratuitement aux services d’une diététicienne ou encore d’une hypnothérapeute.

Nous occupons vraiment ce créneau-là et nous soutenons énormément d’associations sportives dans lesquelles sont impliqués nos collaborateurs. Nous sommes installés sur 160 sites en France, souvent en milieu rural, c’est donc important pour nous de soutenir les associations sportives locales. Cela permet de créer du lien social et de prendre part au tissu économique. Cela prend différentes formes, mais c’est vrai que le sport a une très grande importance dans l’entreprise.

Nous avons lancé un challenge en 2023. Les collaborateurs du Groupe qui m’accompagneront sur trois half Ironman partiront avec moi pour une 4ème épreuve dans une très belle destination. Le challenge est lancé, je vois des collaborateurs qui se mettent au triathlon, qui se mettent au sport et c’est génial. Promouvoir le sport dans l’entreprise, c’est aussi prévenir certaines maladies comme le mal de dos etc., donc le sport est vraiment dynamisant en entreprise. La notion d’objectifs est très importante en entreprise, le sport permet d’encore mieux l’appréhender.

Comment bien préparer 2023, justement ?

A titre personnel, aujourd’hui, je suis sur un petit nuage parce que je suis qualifié aux championnats du monde en Finlande au mois d’août prochain. 2023 va être consacrée à cette ultime épreuve et à la réalisation des IRONMAN 70.3 de Dubaï et des Sables d’Olonne. En 2024, je me projette sur du full Ironman. Côté entreprise, nous venons de faire une acquisition importante. Nous sommes en moyenne sur une croissance externe par an depuis 10 ans.

Nous avons une dynamique très forte et nous sommes pratiquement leaders sur l’ensemble de nos axes stratégiques, ce qui nous permet de créer de la valeur et de pouvoir mettre notre politique sociale en œuvre. Notre axe 2023 est de conforter les acquisitions. L’entreprise qui vient d’entrer dans le Groupe réalise 55 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte 400 collaborateurs. Donc en 2023, priorité sera donnée à l’intégration de cette société au sein du Groupe MOUSSET-JETRANSPORTE.

Avec du recul, je constate qu’il y a une certaine similitude de trajectoire entre celle l’entreprise et ma trajectoire sportive. En 2011, l’entreprise marchait bien, comptait 900 collaborateurs et réalisait 80 millions d’euros. Aujourd’hui, nous comptons 3 200 collaborateurs et 300 millions d’euros de chiffre d’affaires, 370 millions d’euros l’année prochaine. Je me rends compte que les objectifs d’année en année sont de plus en plus grands, un peu comme ceux que je me fixe personnellement. Au-delà de ma trajectoire, il y a aussi celle des collaborateurs autour de moi. J’en ai énormément qui sont dans cet état d’esprit et qui créent cette dynamique progressive.

Nous relevons chaque fois un défi encore un peu plus important. Comme illustration de cette forte imbrication entre la vie professionnelle et le sport, depuis cinq ans, j’emmène une fois par an mon comité de direction élargi en jeûne, évidemment, sur la base du volontariat. Je pars aussi, avec un cercle de proches collaborateurs, en raid VTT, en trek dans le désert etc. indépendamment des Ironman, nous organisons de nombreux challenges sportifs qui jouent un fort rôle de cohésion humaine, et de réflexion collective et personnelle. Quand on marche une semaine dans le désert, il se passe quelque chose quand même ! Il y a une démarche qui est vraiment globale, qui est à la fois physique et presque holistique. Tout cela rejaillit sur le travail et l’état d’esprit des équipes.

Comment arrivez- vous à intégrer toutes ces entreprises ?

Nous arrivons à intégrer ces entreprises parce que nous avons essuyé des plâtres et nous avons appris à intégrer. L’intégration, c’est simple et complexe à la fois. La simplicité, c’est qu’il faut laisser faire. Il faut prendre en compte la culture des entreprises, accueillir le savoir-faire des gens et accepter qu’on nous explique un métier qui est différent du nôtre. Il faut être très humble vis-à-vis des personnes qui intègrent un groupe. La force de notre groupe aujourd’hui, c’est l’addition de ces savoir-faire. Par exemple, si on prend la société que nous venons d’acquérir, qui réalise 55 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte 400 personnes. On ne peut que leur reconnaître une grande expertise dans leur métier. Si nous achetons une entreprise, c’est parce que ses membres ont beaucoup de choses à nous apprendre. La création de valeur se fait grâce à cela.

D’ailleurs, quelles sont les valeurs du Groupe Mousset ?

Respect, fiabilité, solidarité et diversité. Ce sont des valeurs qui ont été écrites il y a longtemps déjà et qui sont toujours vraies, plus que jamais, vraies, d’ailleurs. Le Groupe Mousset, au départ, c’est une petite entreprise familiale qui a grandi, portée par une vocation économique et surtout humaine. Évidemment, nous ne sommes pas une entreprise philanthropique, nous devons gagner de l’argent pour nous développer, mais la vocation humaine est très présente. Quand nous parlons de respect, c’est le respect des collaborateurs, de nos clients, des clients de nos clients et des produits.

Il y a un accent particulier sur la diversité ?

La diversité demeure un enjeu majeur. Nous ne recrutons pas sur des CV. Chez nous, nous accueillons vraiment des profils, des personnalités qui vont apporter leur singularité à l’entreprise, que nous allons former. Le savoir-être prime sur le savoir-faire. Je me rappelle bien le moment où nous avons écrit ces valeurs et le moment où je les ai partagées avec mes équipes.

Je suis originaire du terrain et j’ai bâti des équipes hétéroclites, venant de toutes les régions de France. Alors, je me suis retrouvé à manager des collaborateurs dans le Sud-Est, dans le Sud-Ouest, dans le nord de la France, dans le centre, dans l’ouest, en Bretagne, etc. Je me suis très vite aperçu que la culture régionale avait une empreinte forte dans le management. Prendre en compte chaque particularité, chaque spécificité et chaque talent dans les équipes nous permet d’avancer plus vite. La genèse de ces valeurs vient de là. Nous sommes sur des métiers très complexes qui nécessitent de la dextérité, et il fallait donc aussi utiliser la promotion interne. La promotion interne, c’est 60 % de l’effectif aujourd’hui chez AVILOG. C’est culturel dans le Groupe Mousset. Cette promotion interne est fondée sur ces valeurs-là.

Cette diversité humaine se retrouve aussi dans la construction du groupe parce que ce dernier s’est développé grâce à de la croissance endogène, mais aussi par beaucoup de croissances externes. Je n’aime pas le nom de groupe car on est plutôt, un collectif d’entreprises, qui nous rejoignent au fil du temps avec leur histoire, leur identité, leur métier, leur ancrage territorial et leur culture.

Nous sommes réunis sous une bannière qui est jetransporte.com, certes mais chaque entité a sa marque. La diversité se retrouve autant dans nos hommes que dans les entreprises qui composent le Groupe Mousset. Tout à l’heure, vous avez posé la question de comment on faisait pour intégrer les entreprises. Cela commence par garder les marques. Dans toutes les acquisitions que nous avons faites, nous avons gardé le nom de l’entreprise et nous avons profité de la notoriété de celle-ci. Nous n’imposons rien. Jetransporte est venu rassembler avec sa marque employeur, mais chaque société a gardé sa marque d’origine.

Chaque entreprise garde sa culture, si je comprends bien ?

L’intégration se fait progressivement. Par exemple, nous ouvrons le capital aux salariés régulièrement, tous les trois ans. Ceci permet de rendre actionnaires de l’entreprise des salariés qui, progressivement, entrent dans le groupe au fur et à mesure des croissances externes. Il n’y a rien de radical, rien de violent. Tout cela se fait très progressivement. Souvent, les dirigeants restent à la tête des entreprises, d’ailleurs. La majorité des dirigeants sont restés. Nous fonctionnons en centre de profit : chaque société est un centre de profit et 100 % des salariés ont la possibilité d’entrer au capital tous les trois ans. Aujourd’hui, il y a quand même 10 % du capital qui est détenu par les salariés.

Comment avez- vous vécu le fait de grandir aussi rapidement ?

Je ne m’en rends pas trop compte parce que quand un dossier est terminé, je passe au suivant. Nous retrouvons le goût du challenge et la métaphore avec le sport. Dès que j’ai atteint mon objectif, je repars sur un autre et du coup, j’emmène avec moi les équipes. Je bâtis involontairement autour de moi des équipes qui conduisent des projets derrière. Au début, la complexité, c’était d’avoir autour de soi des personnes avec la même philosophie. Avec les années, tout naturellement, elles sont dans cette dynamique-là. Je pense que mon entourage se rend beaucoup plus compte de la dimension qu’a prise le groupe que moi. Je suis comme au premier jour

. C’est comme le sport, cela libère beaucoup d’endorphine. Être sur des projets de croissance externe, accueillir de nouvelles équipes ou encore être sur de nouveaux projets métiers, ce sont des challenges au quotidien. Ce n’est pas facile, nous ne sommes pas dans un monde parfait, mais c’est extrêmement riche parce qu’il y a beaucoup de rencontres, nous devons faire « famille », comme j’aime bien le dire.

J’aime beaucoup cette expression parce que nous devons nous réunir, nous ne sommes pas identiques mais nous devons aller dans le même sens. C’est extrêmement grisant. Quand vous faites un Ironman, vous avez la boule au ventre au moment de partir à la natation. Vous avez la même sensation la veille d’une acquisition. Je ne dors pas ou je suis anxieux quand je suis sur la ligne de départ. Je ressens presque plus de pression à ce moment que lorsque je rachète une entreprise. C’est incroyable la pression qu’on peut se mettre, et une fois que c’est parti, c’est parti ! Nous nous lançons pour cinq heures et demie de course, pour les plus rapides. Je me dis que c’est pareil dans l’entreprise.

Comment vous arrivez à la gérer, cette pression, justement ?

C’est tout l’inverse de la tranquillité. Nous ne sommes pas une entreprise tranquille, nous sommes dans le mouvement. C’est intéressant, cette analogie avec le sport, car nous sommes dans le mouvement physique et dans la remise en question en permanence. C’est cela qui nous fait avancer ! Pour prendre un exemple, à l’heure où nous nous parlons, nous sommes 300 personnes en Pologne et nous avons reproduit un schéma managérial et un business model identique à celui que nous avions mis en place en France, chez AVILOG. Nous sommes déjà leaders en Pologne sur le business model de la cour de ferme. Ce que je veux dire, c’est que le jour où je suis arrivé en Pologne avec ma valise, je n’avais pas de client mais je voulais y faire quelque chose. Tout était possible ! La devise du Ironman, c’est « Anything is possible », cela colle parfaitement !

Quels sont vos futurs axes de développement ?

Mes objectifs sont d’asseoir les axes stratégiques de façon à devenir incontournable et leader dans chacun d’entre eux. Pourquoi ? Parce que c’est à ce moment-là qu’on crée la valeur. Nos futures acquisitions seront faites dans cette perspective. Je prévois également des développements à l’étranger, notamment au Portugal.

Est-ce qu’il y a un point que je n’ai pas abordé et que vous souhaitez aborder ?

Je voulais parler du mode de management qui est très transverse. Nous l’avons un peu abordé à travers les marques, à travers les centres de profit. Nous avons un mode de management très horizontal, basé sur l’autonomie décisionnelle. Entre un conducteur et moi, il n’y a que deux niveaux.

Il y a son manager de site et son directeur de région ou de filiale. Notre histoire montre que c’est simple et efficace. J’ai toujours managé comme cela. Je suis quelqu’un de terrain et je voulais garder cette proximité. Compte tenu de mon parcours, j’ai une relation très forte avec les conducteurs. Ces derniers sont très attentifs à cela. Certes, je ne casse pas les codes managériaux mais cela importe particulièrement pour moi.

Ainsi, tous les ans, nous organisons un séminaire stratégique avec un échantillon représentatif de nos conducteurs, c’est-à-dire régions et métiers, soit une trentaine. Pendant deux jours, avec le comité de direction et moi, nous réfléchissons à la stratégie du groupe. Au bout de deux jours, il y a des idées qui ressortent et le rôle au comité de direction est de mettre en application ces idées. C’est très fort parce que d’année en année, la stratégie vient du terrain !
Pour accompagner et faciliter cela, nous disposons de nombreux outils de communication internes et nous venons de mettre en place notre réseau social d’entreprise. L’ensemble des collaborateurs de filiales partagent des photos, chattent entre eux. J’interviens, je like, je donne mon avis et je suis sollicité. C’est génial ! 

« Il faut prendre en compte la culture des entreprises, accueillir le savoir-faire des gens et accepter qu’on nous explique un métier qui est différent du nôtre. Il faut être très humble vis-à-vis des personnes qui intègrent un groupe. »

Chefs d’entreprise : pourquoi acquérir des immobiliers neufs à Tours ?

Économies d’énergies, confort, protection… Les programmes immobiliers neufs comportent de nombreux avantages. Ces derniers sont essentiellement fiscaux et en acquérant ces types de logement, vous êtes sûr d’investir dans un projet qui vous permettra de réaliser des bénéfices non négligeables. Découvrez dans cet article les raisons pour lesquelles il est recommandé aux chefs d’entreprise d’investir dans ces logements dans la ville de Tours.  

Une ville dynamique

En plus d’être l’un des plus importants pôles universitaires de la Loire, la ville de Tours est également une ville très dynamique. En effet, elle regorge d’entreprises, d’étudiants, mais aussi de jeunes actifs qui participent au développement de son économie. Ainsi, en acquérant un immobilier neuf à tours, vous ne manquerez certainement pas de main-d’œuvre pour le développement ou l’extension de vos activités dans cette magnifique ville.

Des logements confortables

L’autre raison pour laquelle il est bon d’acquérir des biens immobiliers neufs dans la ville de Tours en tant que chef d’entreprise est que ces achats permettent d’habiter des logements confortables. De plus, ils offrent la possibilité d’optimiser leur espace, mais comprennent aussi des équipements modernes ou de « dernier cri ». De quoi permettre à leurs occupants de travailler dans de très bonnes conditions.

D’autre part, étant donné que ces logements respectent également de nombreuses normes (normes thermiques, sécuritaires…), il est possible de les habiter sans être perturbé par les bruits extérieurs ou les variations de température. Qui plus est, ils sont conçus pour conserver de la chaleur pendant les hivers ou de la fraîcheur en été. De plus, leurs équipements sont peu énergivores, ce qui offre la possibilité de réaliser des économies sur le plan de l’électricité, du chauffage ou financier.

Des frais de notaire réduits

Outre les raisons citées précédemment, le fait d’acquérir des logements neufs à Tours amène aussi à ne pas payer d’exorbitants frais de notaire. En effet, ces derniers sont généralement de 2 ou de 3 % pour les biens neufs à l’inverse des logements anciens dont les frais de notaire s’élèvent jusqu’à 8 % du prix auquel ils sont vendus.

Des exonérations d’impôts

Dans un certain nombre de cas, les biens immobiliers neufs permettent à leurs acquéreurs de ne pas payer de taxe foncière pendant les deux années qui suivent l’acquisition du bien. Toutefois, pour bénéficier de cette exonération, il faut notamment faire des déclarations auprès de l’administration fiscale.

D’un autre côté, pour ce qui est des autres avantages fiscaux, sachez que le fait d’acquérir des biens immobiliers neufs à Tours amène à obtenir des réductions d’impôt pouvant aller jusqu’à 21 % du prix d’acquisition des immeubles neufs. Cette réduction est surtout accordée aux acquéreurs qui investissent dans les logements neufs grâce à la loi Pinel.

Des garanties qui protègent

Les garanties constructeurs accordées aux propriétaires des biens immobiliers neufs dans la ville de Tours sont légion. Elles vont de la garantie de parfait achèvement à la garantie décennale en passant par la garantie biennale.

Ainsi, en investissant dans cette ville, vous êtes sûr de bénéficier d’une protection contre les défauts de construction, les dommages ou les fuites encastrées. Il en est de même des portes ou des fenêtres mal gondées ainsi que des équipements qui rencontrent des dysfonctionnements.