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Prendre de l’élan pour 2023

Prendre de l’élan pour 2023, c’est décider de vivre une année meilleure que celle que l’on est en train de quitter et de cesser d’être influencé par des nouvelles délétères qui nous coupent l’envie de dépasser nos limites. C’est décider que l’on va conduire son entreprise vers le succès. Focus sur quelques idées qui vont vous permettre de voguer sur les vagues de la victoire.

Alors que la fin d’année est déjà là, les vécus des entreprises ne se ressemblent pas. Certains entrepreneurs se préparent à une période de repos alors que d’autres en abordent une particulièrement agitée. Le mois de décembre représente souvent un des moments clés pour qui veut bien démarrer l’année 2023. Il s’agit parfois de faire un dernier effort alors que la fatigue d’une année bien remplie commence à pointer le bout de son nez. Si votre tendance est peut être de remettre à plus tard, rien ne vous empêche de préparer tranquillement votre reprise et pour ceux, en période de rush, de lire à tête reposée ce dossier quand l’effort sera moins intense.

Préparer la nouvelle année, un classique

Pour préparer votre nouvelle année, la base reste de bien clôturer la précédente que ce soit au niveau de la facturation ou de la comptabilité, dans la mise à jour de vos projections ou tout simplement en faisant un bilan de l’année écoulée. Ce dernier représente l’opportunité de voir ce qui a bien marché et ce qui a dysfonctionné, de vous interroger et de prendre des décisions stratégiques pour l’avenir. La fin (ou le début) de l’année vous offre aussi l’immense chance d’avoir le temps de consulter et de fédérer vos équipes car elles pourront vous proposer des idées innovantes pour réussir votre année 2023.

Prendre des résolutions ou non ?

C’est également l’occasion de prendre de bonnes résolutions car si vous avez l’habitude de les lister le 1er janvier, rien ne vous empêche de vous y prendre un peu à l’avance, sachant que la réflexion peut être utile sur le temps. Pour aller plus loin, vous pouvez vous poser pour réfléchir à la mission de votre entreprise, à ses valeurs ou à l’impact de celle-ci sur la société en général.

Se fixer des objectifs

Bien commencer une année, cela peut consister notamment à se fixer des objectifs, pas n’importe comment mais surtout réalistes. Il est bien de cibler la lune pour finir dans les étoiles mais il peut être utile de ne pas viser non plus Pluton pour ne pas vous décourager. Changer vos (mauvaises) habitudes est également possible en cette période comme en apprenant à déléguer ou en lançant des projets d’automatisation notamment sur les tâches à faible valeur ajoutée. Quelques réflexes listés dans ce dossier vous permettront de partir dans la bonne direction. 

Réalisez votre vidéo d’entreprise

La vidéo d’entreprise est devenue aussi  incontournable que de posséder un mobile. Il est plus facile de capter l’attention des gens avec des vidéos, qui sont plus vivantes et plus joyeuses et qui sont le reflet de votre savoir-faire. Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à utiliser ce support à leur avantage. La vidéo d`entreprise est le meilleur moyen de développer la notoriété de votre société.

Selon Wyzool en 2020,

  • 98 % des internautes déclarent avoir regardé une vidéo explicative pour en savoir plus sur un produit ou un service ;
  • 85 % des entreprises ont eu recours à la vidéo en 2020 contre 61 % en 2016 ;
  • YouTube représente 89 % des plateformes incluses par les spécialistes du marketing dans leur stratégie vidéo en 2021

 Mais d’autres réseaux sociaux sont dans le mouvement :

  • Facebook (70 %)
  • LinkedIn (64 %)
  • Instagram (58 %)
  • Twitter (31 %)
  • Facebook Live (28 %)
  • Instagram TV (27 %)
  • TikTok (20 %)

Que faut-il filmer ?

La vidéo doit montrer en images vos bureaux, vos employés et surtout vos compétences. Elle fait apparaître au grand jour l`atmosphère affective qui règne dans votre société. Essayez de filmer les personnes qui seront fières d’apparaître sur cette vidéo. Filmez des employés souriants, des gens motivés et compétents. Il se peut qu’ils deviennent les représentants de votre société. Une vidéo montre le visage humain de l’entreprise.

Monter un scénario ? Facile !

La vidéo de l`entreprise est un spot qui ne doit pas excéder 2 minutes. Les vidéos courtes ont généralement plus d’impact, car elles sont facilement compréhensibles. Dans le monde des affaires, on appelle cela le « teasing », à la manière des bandes-annonces de cinéma courtes et rythmées. Ce mode de diffusion est à privilégier si vous souhaitez valoriser une nouveauté dans votre entreprise.

Des matériels adéquats pour votre montage vidéo

Pour réaliser votre vidéo de l`entreprise, il vous faut le matériel d’enregistrement numérique de base. Vous aurez le choix car ce matériel est devenu performant même à des prix défiant toute concurrence. Au cas où vous ne posséderiez pas de matériel, vous pouvez louer une caméra pour l’occasion. Vous pouvez éventuellement vous équiper d’un trépied pour une capture d’image plus stable. En outre, vous aurez également besoin d’un logiciel de montage vidéo. Vous pouvez en télécharger certains gratuitement sur internet ou acheter des versions plus abouties aux fournisseurs et l`installer sur votre PC. Ces logiciels vous permettent de traiter rapidement la vidéo enregistrée sur votre caméra. 

Un simple album photo peut parfois suffire 

Si vous vous sentez encore incapable de monter la vidéo de votre entreprise ou si vous manquez de temps ou d’inspiration, vous pouvez toujours réaliser un « album photo ». Le principe est simple. Il vous suffit d’une série de photos en fondu enchaîné qui illustrent les activités de votre entreprise. Convertissez les diaporamas en format vidéo à l`aide d`un logiciel adéquat avant de le publier.

Animez votre vidéo !

Pour un film de 1 min 30, le contenu et la forme doivent être pertinents. Le thème de votre vidéo doit être précis. Le choix du thème se porte par exemple sur les produits et les services, sur l`innovation, sur les locaux de votre entreprise, sur les méthodes de recrutements ou encore sur les qualités de votre personnel. If faut éviter les vidéos trop généralistes. Pour animez la vidéo votre entreprise il faut connaître tout d`abord la cible visée, puis les sujets et lieux du tournage et enfin les participants et les partenaires.

Publiez votre vidéo

Vous pouvez enfin diffuser votre vidéo sur les plateformes populaires comme YouTube ou Dailymotion. Profitez aussi des réseaux sociaux particuliers (Facebook, Twitter) et professionnels (LinkedIn) pour la relayer auprès de votre communauté. Repérez les blogs ou forums de discussions liés à votre domaine d’activité ou les plus visités. Et bien sûr, mettez votre vidéo en ligne sur votre site web professionnel !

Commerce : comment débuter dans les métiers de la vente ?

La vente constitue une activité essentielle dans n’importe quelle entreprise. Les métiers de la vente sont très variés et peuvent offrir de belles opportunités de carrière. Pour être un vendeur efficace, il est crucial de maîtriser certaines compétences clés.

La force de vente constitue un aspect stratégique pour une entreprise. Les salariés chargés de cette tâche doivent maîtriser les bases des méthodes de vente et de marketing, ainsi que les outils de communication et de gestion de clientèle. Un bon commercial doit trouver des moyens pour attirer des clients et les encourager à acheter. Sur le marché du travail, les opportunités sont assez importantes. Dans le maquis des offres, pas simple de se positionner. Avis sur les entreprises : bien se renseigner avant de postuler est important notamment en regardant sur les sites spécialisés.

De nombreuses compétences à maîtriser

Un commercial doit maîtriser les outils marketing, tenir à jour des fichiers, lister les prospects et respecter les objectifs fixés par la direction. Un bon vendeur doit pouvoir convaincre, devra être à l’aise dans les échanges à l’oral et montrer sa capacité à trouver les bons arguments pour convaincre. Pas simple aujourd’hui, d’autant plus que les clients sont souvent très sollicités. Il faut avoir une bonne compréhension des produits et services proposés, et être en mesure de répondre aux questions des clients.

Des meilleurs profils très courtisés

Les meilleurs profils de commerciaux sont souvent courtisés par d’autres entreprises. Le site GoWork.fr permet aux demandeurs d’emploi et aux salariés de de découvrir des avis sur les entreprises. C’est un outil précieux pour se faire une idée d’une société avant de postuler. Il faut opter pour les avis d’entreprises renommées. A noter que le site est entièrement gratuit et offre une variété d’options pour les utilisateurs. Les métiers de la vente sont variés : il peut s’agir de travailler dans une boutique de détail ou une entreprise de vente en ligne. Un bon vendeur doit être capable de gérer son temps et son énergie. Les métiers de la vente peuvent souvent être très stressants.

Réseaux sociaux : piège des RH !

De plus en plus de recruteurs se tournent vers les réseaux sociaux pour trouver leurs futurs collaborateurs. Mais se contenter de chercher sur les réseaux sociaux ne donnera pas de très bons résultats. Il faut coupler tous les moyens existants pour faire de bons recrutements.

Un nouveau moyen de recruter des salariés

Les réseaux sociaux représentent un bon outil de prise de référence et d’e-réputation. Il permet à tous – recruteurs et candidats – de se faire une première impression. On peut chercher tout type de profil sur les réseaux sociaux. Ceux-ci attirent aujourd’hui de nombreux candidats pour de multiples raisons… Tous les profils sont représentés. Les internautes inscrits sur ces réseaux ne sont pas différents de ceux présents sur les jobboards. Ils cherchent seulement à y travailler leur e-réputation. Mais il n’y a pas un seul mais plusieurs moyens de recruter des salariés. En effet, 9 recruteurs sur 10 utilisent divers moyens pour dénicher leur futur collaborateur. 

Selon l’Apec, près de 7 entreprises sur 10 privilégient les réseaux sociaux

L’édition 2022 du baromètre des pratiques de recrutement de cadres repose sur une enquête téléphonique réalisée du 14 janvier au 14 février 2022 auprès de 1 150 entreprises de 10 salariés et plus du secteur privé ayant recruté au moins un cadre au cours de l’année 2021.

« 50 % des entreprises considèrent que leurs recrutements de cadres ont été difficiles en 2021 (+13 points vs 2020), en particulier dans les grandes entreprises (62 % vs 41 % en 2020). Quelle que soit leur taille, elles expliquent ces difficultés par l’insuffisance de candidatures, un manque de profils disponibles plus important en région (73 %) qu’en Ile-de-France (62 %) mais aussi par le décalage entre les candidatures reçues et leurs besoins. Dans ce contexte, les entreprises deviennent plus proactives et ont tendance à multiplier les canaux pour mener à bien une embauche. »

Et elle confirme

Le rôle majeur des réseaux sociaux dans leur stratégie de sourcing est bien intégré. 

Entre 2008 et 2018, l’usage des réseaux sociaux avait été multiplié par 4, pour atteindre 53 % en 2018 (vs 12 % en 2008)(3). En 2021, quelle que soit la taille de l’entreprise, 69 % des recruteurs ont utilisé les réseaux sociaux dans au moins un de leur recrutement. Ainsi, Il s’agit d’ un niveau record depuis 2008(4). Et pour les ETI et grandes entreprises, les réseaux sociaux représentent le 2e canal le plus utilisé en 2021 (alors qu’ils n’étaient que le 4e en 2019).

Un moyen qui a ses limites dans le processus de recrutement

Dans la pratique, l’usage des réseaux sociaux constitue surtout une prise de références. Ils ne représentent que 2 % des recrutements. La recherche sur les réseaux sociaux peut en effet devenir chronophage. Elle nécessite que les informations mises à disposition sur Internet soient cohérentes. Toutes les informations disponibles dans un CV ne figurent pas nécessairement sur les réseaux sociaux. Bon nombre d’internautes sont réticents à rendre publiques leurs coordonnées téléphoniques. Or, cela constitue justement le moyen le plus direct pour les recruteurs de contacter un candidat. De plus en plus de candidats éditent des CV qui contiennent des liens vers leurs comptes Facebook, Twitter, Viadeo ou LinkedIn. Sur une seule page, toutes les informations les concernant sont disponibles. Cela apporte cohérence, maîtrise et visibilité tant pour les candidats que pour les recruteurs.

Articuler tous les moyens existants pour réaliser une recherche efficace de candidats

Le premier moyen de réaliser une recherche efficace de candidats reste l’offre d’emploi. 50 % des recrutements effectués le sont via cette source. Puis viennent le réseau personnel du recruteur « non virtuel » et la cooptation. Enfin, l’usage croissant des CVthèques donne lieu à près de 10 % des recrutements effectifs. Ceux-ci permettent de pallier un recrutement urgent de façon anonyme et discrète.

Attention aux pièges !

Il faut savoir respecter la vie privée du cadre. Le recruteur ne doit pas mélanger les critères objectifs liés aux compétences du cadre avec les critères subjectifs ayant trait à sa vie personnelle.

La bonne utilisation des réseaux sociaux

Une charte éthique régulant l’utilisation des réseaux sociaux dans le processus de recrutement a été signée en janvier 2010 par de nombreux acteurs du monde de l’entreprise. Lancée par l’association à compétence égale, cette charte édicte des règles. Celles-ci visent à encadrer l’usage des réseaux sociaux et à respecter la vie privée des candidats lors d’un recrutement. Des règles qui peuvent inspirer toute entreprise en phase de recrutement… Voici des extraits de cette charte :

  1. Limiter le recours aux réseaux personnels du type Facebook ou Copains d’avant à la seule diffusion d’offres d’emploi à des utilisateurs ayant manifesté leur intérêt pour de telles informations et ne pas solliciter de contact dans un but professionnel sans leur consentement (laisser aux utilisateurs de ces réseaux l’initiative de devenir membres de groupes gérés par les recruteurs.)
  2. Privilégier l’utilisation des réseaux professionnels du type LinkedIn, conçus spécifiquement pour générer des liens professionnels, afin de diffuser des offres et de prendre connaissance d’informations publiques sur leur situation professionnelle.
  3. Ne pas utiliser les moteurs de recherche ni les réseaux sociaux comme outil d’enquête pour collecter des informations d’ordre personnel, voire intime, même si elles sont rendues accessibles par les utilisateurs eux-mêmes. Cela serait constitutif d’une intrusion dans leur sphère privée et d’une source potentielle de discrimination.
  4. Sensibiliser et former les recruteurs sur la nécessité de ne pas collecter ni tenir compte de telles informations.
  5. Alerter les utilisateurs de réseaux sociaux sur la nécessité de veiller à la nature des informations qu’ils diffusent et au choix des personnes à qui ils souhaitent y donner accès.

Les prévisions financières ? Facile !

Vous avez de multiples compétences, la communication vous en faites votre affaire, la clientèle est votre centre d’intérêt et vous n’hésiterez pas à aller au-devant d’elle. Le management des équipes est, vous le savez, la source de l’implication et de motivation du personnel. Lorsque vous réalisez votre business plan, la partie des prévisions financières est habituellement celle qui vous terrorise le plus. Vous trouverez ici quelques points clés pour vous aider à la réaliser en douceur.

Les prévisions financières sont la traduction chiffrée de tous les éléments stratégiques déjà mis en avant dans la partie rédigée du business plan. Ainsi, il s’agit d’évaluer votre chiffre d’affaires, de quantifier l’impact de votre stratégie marketing, de votre plan de recrutement et plus généralement de votre structure de coût, etc. L’objectif est de transcrire la perception que vous vous faîtes de votre produit et de votre marché.

Si les prévisions financières sont avant tout faites pour vous, elles vont être essentielles afin de présenter aux investisseurs ou banquiers votre business plan de manière réaliste et atteignable. Ainsi, on vous demandera de répondre à trois questions dont les réponses sont apportées par trois tableaux indispensables : mon projet est-il rentable ? (le compte de résultat), mon projet est-il solvable ? (le plan de trésorerie) et mon projet est-il suffisamment financé ? (le plan de financement)

Le compte de résultat (à 3 ou à 5 ans)

Il s’agit ici de faire la soustraction : recettes – dépenses. Les recettes c’est votre chiffre d’affaires… c’est le plus dur à prévoir car le plus incertain ! Cet élément va extrêmement intéresser l’investisseur. À cela, on soustrait les dépenses qui se classent en deux catégories : les charges variables directement liées au chiffre d’affaires et les charges fixes. On ne prend donc pas en compte les investissements, comme l’achat d’ordinateurs, puisqu’ils n’impactent pas la rentabilité du projet. Le chiffre d’affaires et les dépenses sont à indiquer en hors taxes. Le calcul aboutit à la détermination de la rentabilité par l’obtention du résultat net. Celui-ci est très rarement positif les premières années de la création de l’entreprise.

Attention donc à ne pas être trop optimiste afin de ne pas perdre la confiance de votre lecteur. Pour une représentation plus claire, précisez les pourcentages d’évolution des dépenses d’une année sur l’autre… l’idée est de réussir à montrer que le chiffre d’affaires augmente plus que la globalité des dépenses !

Montrez aussi la part que représente chaque dépense par rapport au chiffre d’affaires afin de pouvoir rapidement faire ressortir visuellement les charges les plus lourdes. N’hésitez pas aussi à utiliser les soldes intermédiaires de gestion (SIG) pour faciliter la lecture avec des indicateurs classiques pour un investisseur comme la valeur ajoutée ou l’EBITDA (en pourcentage du chiffre d’affaires) qui lui permettent de se faire une idée rapide sur la rentabilité de votre projet.

Le plan de trésorerie (à 1 an)

Il s’agit ici de faire la soustraction : encaissements – décaissements. Le plan de trésorerie est le compte en banque mensuel de l’entreprise. Ainsi, il met en avant votre capacité à pallier les décalages temporels entre l’encaissement du chiffre d’affaires (et les apports financiers) avec les décaissements liés aux charges et aux investissements. Étant au plus proche de la réalité, le plan de trésorerie prend aussi en compte l’impact de la TVA. Pour les encaissements du chiffre d’affaires, on ne s’intéresse pas au moment où l’entreprise signe un contrat mais au moment où elle encaisse l’argent TTC lié à la signature de ce contrat.

Attention également : les encaissements ne se réduisent pas au chiffre d’affaires mais à tout l’argent qui est encaissé comme le capital, le compte courant ou encore les subventions. De la même façon, pour les décaissements, on prend en compte le moment où l’entreprise paye ses prestataires et non le moment où ils la facturent. On classe les décaissements en deux catégories : décaissements d’exploitation (les charges mais aussi la TVA) et décaissements hors exploitation (les investissements). Le calcul aboutit à la détermination du solde bancaire de votre projet. Contrairement à la rentabilité qu’on n’attend pas immédiatement, vous devez montrer que vous n’êtes jamais « dans le rouge » même les premiers mois car cela implique un découvert bancaire et donc un risque d’insolvabilité (= faillite).

Le plan de financement (à 3 ou à 5 ans)

Il s’agit ici de faire la soustraction : ressources – besoins. Le plan de financement sert essentiellement à mettre en avant annuellement les ressources financières mises à disposition pour l’entreprise par rapport aux besoins. Les ressources financières sont par exemple le capital social (ou l’augmentation de capital !), le compte courant, ou encore les subventions.

Les besoins quant à eux peuvent être classés en trois catégories : les besoins en investissement, le besoin en fonds de roulement (le BFR, le « fonds » d’argent à mettre de côté pour financer les décalages de paiement), les besoins d’exploitation (= résultat net + dotations aux amortissements).

Le calcul aboutit à la détermination de la solidité financière de votre projet. Vous allez devoir montrer que vous avez de quoi financer l’activité pendant 3 ans (ou 5 ans) mais surtout que la solidité financière de votre entreprise s’améliore au fil du temps grâce aux différents financements possibles.

Quelques conseils

  • Toujours pouvoir justifier les hypothèses derrière le calcul du CA.
  • Avoir à disposition des back-up (comme des études de marché) pour les hypothèses.
  • Mettre en avant le point mort avec un graphique.
  • Ne pas oublier les amortissements dans le compte de résultat, mais pas dans le tableau de trésorerie.
  • Mettre en avant quelques ratios comme le ratio Résultat / CA.
  • Ne pas sous-estimer les coûts marketing et surestimer votre CA.

Les bons plans shopping pour commencer l’année

Il vous reste encore quelques économies et si vous en profitiez pour vous acheter la dernière innovations. Elles sont si alléchantes que vous aurez du mal à choisir. Mais pourquoi pas faire une folie.

Mania, la première enceinte nomade de Devialet

Devialet sort sa première enceinte nomade avec un design toujours aussi  travaillé

Devialet lance sa première enceinte nomade sur batterie, utilisable en extérieur, avec son nouveau modèle d’enceinte connectée, la Mania. Devialet, qui depuis longtemps, n’avait réalisé que des déclinaisons de son enceinte Phantom et sortis des écouteurs Gemini ainsi que plus récemment sa barre de son Dione, s’attaque donc aux enceintes nomades. Celle-ci, présentée le 7 novembre, compatible à la fois Bluetooth et Wi-Fi, possède un gabarit plutôt petit (176 x 193 x 139 mm) et un poids relativement léger (2,3 kilogrammes). Son autonomie avec une batterie de 3 200 mAh est relativement longue. En effet, elle propose jusqu’à 10 heures d’autonomie et se recharge en USB-C à 30 W en 3 heures.

L’enceinte continue de disposer de basses jusqu’à 30 HZ grâce à ses quatre haut-parleurs larges de 25 W et deux woofers de 38 W. De plus, elle possède une amplitude large en partant de 20 000 Hz dans les aigus. Une connexion Bluetooth 5.0 (compatible avec les codecs AAC et SBC uniquement), est proposée ainsi qu’une Wi-Fi et donc compatible avec AirPlay et Spotify Connect. A noter qu’elle possède également des microphones désactivables manuellement lui permettant d’utiliser Alexa, pour lancer des titres en Wi-Fi. L’enceinte Devialet Mania est déjà disponible en deux versions suivant la couleur. Gris/noir à 790 euros, et dorée Opéra de Paris, à 990 euros. 

Honor lance son nouveau smartphone pliable : Honor Magic Vs

Honor Magic Vs confirmé: nous avons la date officielle - GizChina.it

Le 23 novembre a eu lieu une conférence où Honor a révélé son nouveau smartphone pliable. Le Honor Magic Vs qui sera également commercialisé en France. Or, le précédent modèle n’était pas disponible en Europe (sauf importation). Pour cette version, elle sera donc disponible pour les européens, comme annoncé lors de l’IFA de Berlin, en septembre dernier. Ce nouveau modèle dispose d’un processeur Snapdragon 8+ Gen 1, une batterie de 5 000 mAh, avec charge rapide de 66 W.

Son poids est très léger puisqu’il ne pèse que 260 grammes et donc est l’un des smartphone pliable les plus léger du marché et l’un des plus fins avec une épaisseur de 14,33 mm. Le lancement commercial aura lieu dans le courant du premier semestre 2023. La date exacte n’est pas encore fixée. Et le prix du smartphone devrait avoisiner les 1 500 euros. 

Les écouteurs Nothing Ear 2 dévoilés !

Nothing Ear (stick) : les nouveaux écouteurs seront dévoilés le 26 octobre

La nouvelle génération d’écouteurs sans fil haut de gamme devrait prochainement sortir comme nous le montre déjà certaines images. Si on a attendu plus d’un an (sortie à l’été 2021) après la sortie des Nothing Ear 1, le fabricant anglais nous a dévoilé quelques images et à un prix faisant une concurrence redoutable aux Airpods pour la première version qui était à 99 euros. Ce tarif devrait cependant augmenter à 150 euros, comme l’avait annoncé le PDG de l’entreprise, Carl Pei. Ce dernier évoquait l’inflation ainsi qu’une augmentation du nombre de collaborateurs dans l’entreprise. Le design de cette nouvelle version ressemble fortement aux modèles précédents et les différences ne sont pas évidentes en image.

La seule évidente est l’apparition de petites bandes blanches sur la tige. Elles pourraient servir de microphones ou à réduire le bruit extérieur. De plus, cela devrait améliorer la qualité sonore. Les caractéristiques techniques ne sont pas encore connues mais devrait être dévoilées prochainement, sûrement avant les fêtes de fin d’année. 

Les bracelets métalliques de Samsung en 2 couleurs

Bracelet en métal Just in Case Samsung Galaxy Watch Active 2 - Or rose |  bol.com

Samsung vient de lancer deux quatuors de bracelets pour ses Galaxy Watch 5. Disponibles en deux couleurs (argent et noir) et deux tailles (40 et 44 mm), ces bracelets s’avèrent relativement très onéreux malgré une élégance certaine. Plus esthétiques que ceux en plastique, fournis de base sur ses montres connectées, avec bracelet à maillon, le « Link Bracelet », compatible avec la Galaxy Watch 5 Pro et le milanais plus classique, ressemble fortement à celui des Apple Watch. Ce dernier est compatible avec les Galaxy Watch 5 classiques, même si système de fermeture est différent. Vendu à l’unité mais aussi en bundle avec l’achat d’une nouvelle Galaxy Watch 5/5 Pro, ils sont loin d’être à la portée de toutes les bourses. Ainsi, en Corée le « Link Bracelet » à 253 000 wons (environ 180 euros) et le milanais à 100 000 wons (environ 70 euros HT).

Les prix ne sont pas encore fixés pour l’Europe. En effet, il n’a pas été confirmé s’il serait commercialisé dans la zone même si quelques indices comme la présence sur le store français semble indiquer une disponibilité prochaine. A l’heure actuelle, la version bundles Watch Pro 5 + bracelet à maillon est à 599 000 wons (435 euros HT), tandis que la Watch 5 classique + bracelet milanais est à 339 000 wons (243 euros HT) et légèrement moins cher en version 40 mm. 

7 choses à connaître avant d’entreprendre

Entreprendre est depuis 2008 une opportunité ouverte à toutes et tous et à l’aube de 2023 cette tendance ne faiblit pas. Les circonstances et l’évolution des nouveaux moyens technologiques ont permis d’investir dans un projet sans être nantis et de créer des entreprises qui gardent le cap malgré les bouleversements incessants. Voici 7 choses à connaître avant d’entreprendre.

Une chance pour toutes et tous ?

Le monde de l’entrepreneuriat donne sa chance à chacun, peu importe son origine sociale, son âge, son parcours ou son sexe. Mais il n’en reste pas moins risqué pour autant et certaines choses demeurent indispensables à connaître, si l’on souhaite se frayer un chemin vers la réussite. Les risques, les stratégies ou encore les partenaires représentent un ensemble d’éléments à bien appréhender avant de se lancer.

1. Le risque, bel et bien présent

L’entrepreneuriat a toujours été une vocation pour certains. Pour d’autres, il représente, tout simplement, le moyen de créer son propre emploi à travers sa passion. Une forme d’indépendance professionnelle ainsi qu’une liberté, qui attirent de nombreux créateurs d’entreprise. Il demeure, néanmoins, nécessaire de ne pas fermer les yeux devant les risques qui se présentent. Ce sont plus de 50 % des nouvelles entreprises qui ne passent pas le seuil de leur sixième année d’existence, tant les obstacles et les possibilités d’échecs sont nombreux. Une réalité qui se doit d’être prise en compte dans votre choix de vous lancer ou non. Bien des concepts prometteurs ont vu le jour pour, au bout de quelques années, retourner dans l’oubli par faute de stratégie.

2. Toujours garder un œil sur l’avenir

Vous voilà muni d’une idée prometteuse pour vous lancer dans l’univers périlleux et pourtant si attrayant de l’entrepreneuriat. Mais une idée ne suffit pas. Elle doit rapidement être transformée en un concept opérationnel pour s’insérer sur le marché. Un business plan, une équipe complémentaire, des tests et des produits finis font partie des éléments essentiels lorsque l’on souhaite démarrer du bon pied. Si vous êtes prêt, n’oubliez pas de conserver une vision sur l’avenir. Votre première idée peut, certes, lancer votre boîte et la faire se développer dans les premiers temps mais elle ne suffira pas à lui faire maintenir sa place sur le long terme. Il est nécessaire de, constamment, penser à innover ou à améliorer son offre afin de répondre aux besoins des clients en constante évolution. Ainsi, gardez l’esprit créatif !

3. L’entourage, à choisir judicieusement

Se lancer seul ? Un pari risqué lorsqu’on ne connaît rien au monde entrepreneurial. Une astuce appuyée par de nombreux entrepreneurs qui ont réussi reste de se lancer aux côtés d’un associé. Mais prenez garde, se lancer aux côtés de la mauvaise personne risquerait de faire rapidement tomber à l’eau votre projet. Votre partenaire doit partager la même ambition et la même envie que vous, si vous souhaitez réussir côte à côte. Choisir n’importe qui et se rendre compte que l’aventure ne l’attire, au final, pas plus que cela ou que vos visions divergent, risquerait bien de vous mettre dans l’embarras. Le choix de vos salariés entre également en ligne de compte. Privilégiez, en plus des compétences, la motivation : elle représente le moteur d’une entreprise et contribue, en grande partie, à la cohésion d’une équipe.

4. Un bon ciblage marketing

Vous souhaitez que votre produit se vende de manière conséquente ? Alors ne commettez pas l’erreur de penser que, pour arriver à ce résultat, il faut absolument que tout type de personnes le consomme. Il demeure essentiel de segmenter son marché et définir la cible que vous souhaitez atteindre. En utilisant un marketing de masse, vous risquez de ne pas attirer la catégorie de consommateurs souhaitée, qui ne se reconnaîtra pas à travers votre offre. Privilégiez, au contraire, leurs besoins. À titre d’exemple, si vous vous lancez dans les cosmétiques, proposez différentes gammes pour les différents types de peau.

5. Privilégier la fidélisation à l’acquisition

Ne passez pas à côté de certains principes marketing, qui s’appliquent à tous les secteurs d’activité. Un nouveau client coûte bien plus cher à acquérir que de fidéliser ceux qui sont déjà à vos côtés. Rappelez-vous également que, selon la règle des 20/80, les 20 % des clients (les plus fidèles) représentent 80 % de votre chiffre d’affaires. Des chiffres qui prouvent la nécessité de bien fidéliser ses clients. Pour y parvenir, employez un marketing relationnel afin d’individualiser votre relation avec ces derniers, organisez des jeux concours ou proposez-leur des offres promotionnelles en fonction du montant de leurs achats. Souvenez-vous, la satisfaction client doit rester votre mot d’ordre tout au long de votre aventure entrepreneuriale.

6. L’argent ne vient pas tout de suite

Prenez garde si vous pensez qu’entreprendre vous fera rapidement devenir riche, à l’image de Mark Zuckerberg ou Daniel Marhely. Ces réussites fulgurantes se travaillent énormément et n’arrivent pas à tous les coups. Lancer sa boîte demande souvent d’investir ses économies personnelles, de rembourser des dettes bancaires, de supporter les charges de ses salariés, le paiement des fournisseurs…, tout en générant un chiffre d’affaires suffisant pour vivre. Autant dire que les premières années sont, rarement, synonymes de richesse, bien au contraire. Vous gagnerez, en principe, sûrement moins que lorsque vous étiez salarié à vos débuts. Mais avec de la motivation, du travail intensif ainsi qu’une bonne dose de talent, vous pourrez, bien évidemment, changer la donne !

7. Un changement de vie conséquent

En dehors des données professionnelles, n’oubliez pas qu’entreprendre impacte grandement sur votre vie personnelle ! Les nombreuses heures de travail (parfois deux fois les 35 heures hebdomadaires) et le rythme de vie effréné (rendez-vous, management, évènements…) risquent de mettre, rapidement, à mal votre vie sociale, si vous n’apprenez pas à la gérer. Les premières années demandent une présence constante et, dans tous les cas, il s’avère nécessaire d’aménager son agenda au fil du temps et d’y intégrer des activités qui vous permettront d’oublier quelques instants votre sphère professionnelle. Un excellent moyen de décompresser et qui n’est pas à négliger, si vous ne souhaitez pas succomber au stress et à la pression qui accompagnent la vie d’un dirigeant.

La majorité des entrepreneurs entreprennent-ils car ils n’ont pas trouvé d’activité salariale qui leur convient ?

Ils consultent les articles pour dénicher la bonne idée et sont séduits par ceux qui ont réussi en partant de rien. Ils se disent qu’ils pourront mettre à profit leurs compétences et trouver un objectif qui leur donnera un nouvel élan. Et ne peuvent plus rester dans l’inertie. Créer son entreprise pour fuir le chômage ou éviter une activité salariale qui ne vous convient pas, est-ce une bonne idée ? Comment et pourquoi se lancer dans entrepreneuriat lorsque votre situation professionnelle actuelle n’est plus satisfaisante ?

Devenir entrepreneur comme réponse au chômage

Des statistiques montrent qu’un tiers des créateurs d’entreprises étaient préalablement au chômage. Sachant que plus de 10% des demandeurs d’emploi sont dans cette situation, il n’est pas étonnant de les voir s’orienter vers la création d’entreprise : c’est une manière de démarrer dans l’univers professionnel lorsque les portes de l’emploi peinent à s’ouvrir devant eux.

Mais il est important de distinguer les nouveaux entrepreneurs qui peinent à trouver un emploi et ceux qui ne trouvent pas un travail qui convient à leurs attentes et à leurs compétences. En réalité, de plus en plus de jeunes deviennent sélectifs dans leur choix professionnels, surtout les plus diplômés d’entre eux. Ce qui paraît logique ! Alors, plutôt que de choisir un emploi qui correspond moyennement à leurs besoins, ils préfèrent se tourner vers une activité libre qui délie leur créativité.

Dans ce cas, « créer son entreprise, c’est créer son emploi ». Un emploi sur-mesure que vous modulez à votre guise, un emploi qui vous permet de mettre vos compétences et vos meilleurs atouts en avant. Plutôt que d’accepter un job qui limite votre génie et vous enferme dans un schéma redondant.

Les atouts nécessaires pour devenir entrepreneur plutôt que salarié

Il est vrai que lorsque vous êtes dans une structure salariale, vous devez avoir certaines compétences. Devenir entrepreneur vous dispense parfois de ces impératifs. Néanmoins, sachez que pour mettre toutes les chances de votre côté, vous devez présenter un certain profil professionnel :

  • des diplômes ou des compétences dans votre domaine : Même si vous êtes votre propre patron (ce qui signifie que vous êtes votre propre recruteur), vous ne pouvez pas prétendre à certains secteurs d’activité sans diplômes ou sans compétences. C’est une erreur que beaucoup de start-up commettent sans penser aux conséquences.
  • l’expérience professionnelle : 10% des jeunes diplômés entament une activité professionnelle dès leur sortie d’école/université. L’expérience est généralement un atout fort recommandé pour la réussite de votre entreprise.

Être salarié et monter son entreprise : comment faire ?

En règle générale, monter une entreprise dans le même secteur de travail que votre emploi actuel est loin de correspondre à une éthique professionnelle. Cependant, si vous respectez un certain code de conduite (comme ne pas solliciter les clients de votre employeur), rien ne vous empêche de le faire. Lisez bien les clauses de votre contrat avant de vous lancer sous peine de faire l’objet de poursuites judiciaires !

Si vous visez un autre secteur, cette situation sera plus confortable. Vous bénéficierez d’une stabilité financière (grâce à votre salaire) tout en construisant votre projet. A condition de pouvoir concilier les 2 activités ! Un conseil, pour réussir la transition vers entrepreneuriat, il faut maîtriser son emploi du temps. Consacrez vos weekends et jours de congés pour la création de votre entreprise. Le reste du temps doit être dédié à l’activité professionnelle qui vous procure un salaire stable.

Pour finir, même si vous trouvez un emploi qui ne vous plaît pas réellement, acceptez-le même à temps partiel. Et développez votre entreprise à côté !

Le marketing sensoriel au service de la relation client : un art à maîtriser ?

Les émotions sont à l’heure actuelle exacerbées car elles sont prisonnières d’une accumulation de mauvaises nouvelles qui prédisent un avenir sombre. Le marketing sensoriel doit pouvoir discerner leurs influences pour conquérir le client. 48 000 pensées négatives au quotidien ainsi que toutes émotions négatives ne cessent de nous envahir. Pour le marketing la sortie du labyrinthe est difficile à trouver. Capitaliser sur les émotions des clients est une démarche devenue indispensable pour les entreprises souhaitant affirmer leur positionnement, se différencier et surtout faire face au changement de comportement de leur clientèle. Désenchantée et confrontée à une offre de plus en plus standardisée et dématérialisée, cette clientèle privilégie désormais, dans ses décisions d’achat, les émotions et l’expérience vécue autant que la raison.

Innovant, original et rentable, le marketing sensoriel répond à la quête de sens de ces nouveaux clients, devenus plus hédonistes, exigeants et adeptes de l’immédiateté.

Vous avez dit marketing sensoriel ?

Son origine

Né du travail du professeur en stratégie marketing et inventeur des 4P’s, Philippe Kotler, puis popularisé en 2002, le marketing sensoriel se définit comme un ensemble de techniques visant à solliciter un ou plusieurs des 5 sens pour séduire et fidéliser un public visé. Il joue sur les émotions et les plaisirs des clients en faisant intervenir la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher, favorisant ainsi l’interaction et la création d’un lien intime entre la marque et son public.

A la différence du Canada où le ministère du Développement économique, de l’innovation et de l’exportation incite les entreprises à la croissance par le biais du marketing sensoriel, il reste à faire en France un travail d’éducation des marques, destiné à les informer sur cette pratique, génératrice d’image et de succès.

Son intérêt pour les entreprises

En effet, de nombreuses sociétés s’intéressent à cette démarche. Cependant, la plupart ne mette aucune action en place du fait d’un réel manque d’information et de temps.

Pourtant, tous les spécialistes reconnaissent aujourd’hui, au travers de nombreuses études universitaires et scientifiques, que le marketing sensoriel influence positivement et impacte directement le comportement des clients et leur intention d’achat. En effet, il engendre des réactions :

● cognitives. Certains stimuli sonores, olfactifs et visuels peuvent modifier positivement la perception du niveau de qualité d’un point de vente ou d’un établissement, de ses produits et de ses services. 59 % des clients mentionnent associer spontanément certaines musiques ou odeurs à une marque de produits ou de services ou à un établissement, et ce, même à l’extérieur de ce dernier.

● affectives. Adapté aux goûts de la cible, l’ensemble des stimuli mis en place a une influence positive sur l’humeur et intensifie le plaisir lié à l’expérience vécue. 64 % des visiteurs disent rester plus longtemps dans un magasin ou un lieu public dont l’odeur, la musique et l’ambiance générale leur plaisent.

● comportementales. Il s’agit ici de détendre ou au contraire de stimuler l’individu, pour l’immerger dans une dimension propice à la flânerie ou à l’achat d’impulsion. 38% d’achats d’impulsion en plus sont constatés au sein de points de vente ayant mis en place une stratégie sensorielle efficace.

Résultat, on relève jusqu’à 25% d’augmentation de chiffre d’affaires auprès de commerçants pratiquant le marketing sensoriel.

Mais comment réussir l’élaboration et la mise en place d’une stratégie sensorielle efficiente et en assurer le développement ?

Une entreprise qui souhaite intégrer une réflexion sensorielle dans sa stratégie de marque peut tout à fait gérer cette problématique en interne et confier les réalisations techniques à des partenaires spécialisés.

Cette solution est recommandée pour de grandes entreprises disposant d’un service marketing et d’un pôle R&D performants. L’inconvénient, toutefois, est qu’il est souvent périlleux d’orchestrer le travail de prestataires externes, chacun spécialisés dans un domaine technique précis. Le risque majeur est de ne pas obtenir un résultat homogène et optimal.

Dans la plupart des cas, afin de ne pas commettre d’erreurs qui pourraient compromettre l’impact sensoriel, son efficacité et sa pérennité, il est préférable de faire appel à une agence conseil spécialisée en marketing et en communication sensoriels. Cette agence offre un service externalisé, complet et clé en main.

L’entreprise accède aux puissants leviers de performance commerciale du marketing sensoriel, en s’appuyant sur l’expertise et le savoir-faire d’une équipe dédiée et spécialisée dans ce domaine.

Travailler avec une telle agence permet à la marque non seulement de garantir l’efficacité de sa démarche sensorielle, mais aussi de maximiser son impact sur le public et de viser un retour sur investissement optimal. En effet, le travail de professionnels ayant accès à des études scientifiques régulièrement mises à jour permet l’élaboration des stratégies sensorielles les mieux adaptées.

Les perspectives et les champs d’application du marketing sensoriel sont presque infinis. Ne vous privez pas de l’expertise de spécialistes. Ils vous permettront d’atteindre des résultats probants et d’étonner votre public grâce à des mises en place sensorielles révolutionnaires et innovantes.

« Rien n’existe dans notre intelligence qui ne soit passé par nos sens »

Aristote

Faire une liste de vos résolutions pour 2023 !

Si on parle dune liste de vos résolutions pour la nouvelle année, force est de constater que rien ne vous empêche d’y réfléchir en amont. Celles-ci peuvent être encore plus fortes et représenter des décisions personnelles autant que professionnelles, la frontière n’étant parfois pas forcément stricte.

Le principe des résolutions

Il existe plusieurs types de résolutions : travail, santé, relationnelles, personnelles… Elles peuvent toucher tous les aspects de notre vie mais notamment le travail. Elles sont particulièrement difficiles à prendre car elles représentent, en général, un changement dans notre existant et nous obligent à quitter le carcan des mauvaises habitudes ou des idées préconçues. Les résolutions ouvrent de nouvelles opportunités et sont rarement issues d’une situation déjà acquise et rodée. Elles nous demandent de dépasser nos limites.

Changer mais après avoir bien réfléchi

Même si la tendance est souvent de vouloir tout changer d’un coup en vue d’une amélioration immédiate, il faut considérer que certaines d’entre elles peuvent prendre du temps et qu’il n’est pas nécessaire de tout bouleverser en un claquement de doigts aux risques de déstabiliser l’organisation de votre entreprise. Rome ne s’est pas fait en un jour mais il a bien fallu par poser la première brique, ce que vous pouvez, vous aussi, réaliser. Celle-ci étant en l’occurrence d’avoir fait le plan et, dans votre cas, de prendre des résolutions qui vont peut-être complètement transformer et améliorer votre quotidien professionnel ou personnel. En voici quelques exemples :

Des améliorations personnelles :

Le développement de l’écoute

  • L’écoute : on a souvent tendance à vouloir parler plus que d’écouter. Pourtant l’écoute est fondamentale à bien des niveaux. Elle vous permet de mieux répondre à la demande de vos clients et de mieux structurer votre argumentaire commercial, à avoir des idées de développements utiles pour eux, à prendre en compte les difficultés rencontrées par vos équipes ou les sources d’amélioration, à mieux motiver et manager vos équipes ou encore tout simplement à vous rendre plus novateur. Avez-vous déjà écouté quelqu’un qui ne fait que parler ? Rien de plus lassant ! Vous n’avez qu’une envie, c’est de fuir.

La procrastination

  • La procrastination : le pire des maux. Il s’agit d’une tendance qui nous fait perdre énormément de temps chaque jour. Notre productivité est très souvent affectée par elle et la perte de temps journalière est considérable juste parce que nous avons la flemme ou encore « pas envie ». Des techniques existent pour l’éviter. Vos moments de repos doivent être décidés et non pas la conséquence d’une inertie. Si vous avez cette tendance, mettez en place une to do list. Ce n’est pas suffisant ? Dites-vous que vous devez le faire maintenant ! Toujours pas ? Remémorez-vous les raisons profondes qui vous poussent à vouloir avancer sur cette tâche, ne serait-ce que pour être tranquille par la suite. Et pourquoi pas prendre un coach pour vous aider pour dépasser votre force flemmingite.

La santé et le sport

  • La santé et le sport avant tout : l’entrepreneuriat est plus un marathon qu’un sprint. Vous devez prendre le temps de prendre soin de vous et considérer le sport comme une tâche professionnelle et ne plus négliger votre santé. N’hésitez pas à prendre le temps de manger, de dormir et à avoir une consommation d’aliments plus sains. Les pauses ne sont pas non plus une option et participent à votre productivité et à votre créativité. Lorsqu’on tombe malade ou que l’on est aux prises d’un mal de dos, on se jure de prendre soin de sa santé. Alors au lieu d’attendre de vivre ces regrets, autant vous y prendre tout de suite.

La fin des mangeurs de temps

  • Les mangeurs de temps : ceux-ci sont nombreux. Le plus connu ? La télévision, même si aujourd’hui les réseaux sociaux et les fils d’actualité ont pris le pas. Les nouvelles qui se répètent en boucle pour dire la même chose pendant plusieurs jours et qui n’ont aucun intérêt pour votre entreprise, sont à éliminer…. Les mangeurs de temps sont partout : les notifications incessantes de votre boite email qu’il vous faut apprendre à fermer ne sont qu’un autre exemple. Tout le monde peut attendre généralement une heure votre réponse donc arrêtez de vous déconcentrer pour rien. N’hésitez pas à les identifier et à prendre de bonnes résolutions à leur sujet !

Comment choisir vos résolutions

Pour choisir vos résolutions, vous devez vous connaître et être un minimum objectif. Il faut donc cerner vos points faibles et forts puis les classer.
Vous pouvez également vous poser certaines questions telles que : « qu’est-ce que j’ai voulu faire l’année dernière et qu’est-ce que je n’ai pas fait ? ». Il est généralement conseillé de choisir des résolutions de nature différente avec une majeure et prioritaire dans l’année et donc que vous ne lâcherez absolument pas, des résolutions faciles à atteindre car elles vous encouragent dans le processus et des secondaires. A noter que rien ne vous empêche de planifier vos résolutions.