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A quoi ressemble le kit de survie de l’entrepreneur ?

Tous les jours des innovations inondent le marché pour permettre de devenir le plus performant possible. Certains entrepreneurs sont récalcitrants et se contentent d’un outil et dédaignent les autres en raison de leurs idées préconçues ou de leur attachement à leurs habitudes. A l’heure du numérique, un dirigeant doit disposer d’un kit de survie composé de certains outils ou matériels de base. Cela lui permettra de travailler en toute mobilité, et de continuer à développer sa start-up où qu’il soit. Voici un petit guide de ces outils indispensables à l’entrepreneur. 

L’ordinateur portable et la tablette tactile

Ces deux outils numériques sont synonymes de mobilité et de séances de travail efficaces partout, y compris en itinérance. L’entrepreneur optimise ainsi ses temps de trajets ou d’attente grâce à une connexion Internet de plus en plus accessible dans les lieux publics (les gares, les restaurants sont équipés de Wifi). L’entrepreneur peut emporter son ordinateur partout, notamment car les appareils sont de plus en plus légers (certains pèsent moins d’un kilo), et de plus en plus puissants grâce à un microprocesseur et à une mémoire conséquente. Il peut y associer une connexion internet où qu’il soit. Il peut se connecter à internet et retrouver à tout moment son environnement de travail sur sa tablette ou son ordinateur portable au fin fond de votre province dans sa maison de campagne, dans les îles grâce à un forfait data en 4G grâce aux réseaux 4G d’Orange.

La tablette tactile, elle, est encore moins encombrante, équipée de webcam et d’applications adaptées, et devient un outil utile pour travailler en toutes circonstances. L’ordinateur ou la tablette représentent les outils les plus indispensables puisqu’ils permettent :

  • de rester connecté avec ses clients,
  • de gérer ses e-mails sur un écran confortable,
  • de surfer sur Internet et
  • de suivre les dernières statistiques concernant sa structure.

Le Smartphone

Le téléphone mobile semble, aujourd’hui, un outil nécessaire pour un entrepreneur moderne. Ce dernier aura même tout intérêt à opter pour un Smartphone de dernière génération. L’appareil permet de rester en contact avec ses équipes, ses clients, et de gérer ses rendez-vous au fil de la journée, où qu’il se trouve. Les Smartphones permettent de recevoir ses e-mails, de communiquer par message (ce qui est moins intrusif qu’un appel audio), et télécharger des applications très utiles en tant qu’entrepreneur.

Le GPS et les outils de géolocalisation permettent de trouver aisément son chemin pour se rendre chez un client, un prospect ou un fournisseur. Le Smartphone permet également de maintenir une présence sur les réseaux sociaux, en publiant des messages sur Twitter et des commentaires sur Facebook, de n’importe où. Pensez à télécharger toutes les applications dont vous pensez avoir besoin dès l’acquisition du Smartphone. Bien souvent, les Google Play store et autres App store proposent une rubrique « productivité ». Celle-ci vous fournit une liste d’applications utiles. Pensez-y !

Les logiciels adaptés

Si le matériel moderne de l’entrepreneur s’articule autour d’outils numériques. Ces derniers ne seront efficaces que s’ils sont équipés de logiciels adaptés. Un ordinateur portable, aussi puissant soit-il, sans logiciel et sans application métier, ne représente qu’une coquille vide.
L’ordinateur portable doit idéalement être équipé d’un logiciel de CRM (acronyme de l’expression Customer Relationship Management) permettant de gérer intelligemment son fichier client. Le logiciel, au-delà du simple enregistrement des fiches clients, permet une analyse fine des échanges, les canaux de communication privilégiés, le scoring évolutif de chaque client et des préconisations d’actions commerciales automatisées. 

L’ordinateur portable d’un entrepreneur moderne doit également être équipé d’une suite de logiciels de bureau efficiente, comprenant un éditeur de document, un outil de traitement de texte et un tableur. L’entrepreneur pourra ainsi travailler ses présentations partout, sans déperdition de productivité.
Un logiciel anti-virus efficace pour protéger les données professionnelles et parer l’invasion des logiciels malveillants est également indispensable.

Des ouvrages de référence

L’entrepreneur peut avoir besoin d’ouvrages de référence liés à son activité, ou liés au domaine du développement numérique d’une structure. Ces ouvrages répertorient par exemple les bases de la communication numérique, le Ba- Ba du marketing Web ou encore les personnalités à suivre sur les réseaux sociaux et classées selon les domaines d’activités. Ces ouvrages constituent les bibles des différents entrepreneurs dans leurs secteurs respectifs. Il paraît primordial de les avoir dans sa sacoche au même titre que l’ordinateur portable et la tablette. Bien sûr, en tant qu’entrepreneur, ne vous limitez pas aux ouvrages traitant de stratégie. N’hésitez pas à garder sur vous les livres qui vous inspirent à titre personnel !

TOP 5 des inventeurs de génie

L’invention des inventeurs de génie est tellement géniale qu’ils disparaissent derrière leurs inventions qui deviennent planétaires et que tout le monde utilise sans modération.

Parfois farfelus mais dont l’imagination débordante a contribué à bouleverser les nouvelles technologies, les inventeurs de génie ont toujours su faire preuve d’audace. Quels sont ces 5 inventeurs souvent peu connus mais dont les inventions sont pourtant plébiscitées de tous ?

L’inventeur d’Internet

Que serait aujourd’hui le monde sans Internet ? Véritable révolution, son inventeur n’est pas sur le devant de la scène. Tim Berners-Lee né à Londres en 1955 est en effet un précurseur lorsqu’il propose en 1989 à son supérieur du Conseil européen pour la recherche nucléaire un projet informatique visant à gérer et partager en réseau de l’information. Celui-ci a alors l’idée géniale d’associer de l’hypertexte au réseau informatique interne en imaginant le Word Wide Web. Véritable révolution, les principes de base de l’Internet étaient nés et quelques années plus tard en 1990 les adresses web, le HTTP et le HTML ont fait d’Internet ce qu’il est encore aujourd’hui.

L’inventeur de Linux

Le projet GNU et du logiciel libre est l’un des projets les plus ambitieux de ces dernières décennies. Le système Linux existe en effet depuis 1984 et doit être mis au crédit de l’américain Richard Stallman. Personnage iconoclaste et hacker à ses débuts, le père du logiciel libre de droits et ancien étudiant du prestigieux MIT continue de narguer le mastodonte Microsoft en développant des systèmes tout-en-un pour les ordinateurs personnels. Entièrement gratuits les systèmes d’exploitation sous base Linux sont encore utilisés par des millions d’informaticiens et de développeurs à travers le monde.

L’inventeur de Megaupload

Pirate et délinquant ou génie d’Internet, Kim « Dotcom » Schmitz ne laisse personne indifférent. Le créateur de la plateforme de téléchargement la plus utilisée au monde, Megaupload, reste en tout cas un redoutable homme d’affaires. Cet ancien spécialiste de la sécurité informatique est à l’origine en 2005 de la création du site qui fleurte avec la légalité, ce qui lui a valu de nombreux déboires judiciaires. Aujourd’hui multimillionnaire et défrayant la chronique, Chris Schmitz est à l’origine de l’un des modèles économiques les plus rentables de tous les temps avec plus de 50 millions de visiteurs uniques par jour.

L’inventeur du MP3

Véritable révolution musicale ayant entraîné la chute du format CD, le format MP3 doit son succès à son inventeur, l’allemand Bernhard Grill. Inconnu du grand public, celui-ci a en effet participé au sein de l’Institut des circuits intégrés d’Erlangen à l’élaboration d’un format de compression audio unique en son genre. Le succès du MP3, aujourd’hui propriétaire de l’institut, rapporte alors à l’inventeur des royalties qui se chiffrent à plus de 30 millions de dollars annuels. Pourtant boudée à ses débuts par de nombreuses sociétés dont Philips et Bosch, la technologie MP3 s’est aujourd’hui imposée comme un standard adopté par des millions d’utilisateurs.

L’inventeur du Peer to Peer

Autre informaticien de génie à l’instar de son comparse de ses débuts Mark Zuckerberg, Shawn Fanning n’a pourtant pas connu la même notoriété. Celui-ci est pourtant le créateur du principe du P2P et de Napster, à l’origine plus grandes plateformes de téléchargement comme eMule et autres Kazaa, Gnutella ou Limewire des années après. Véritable succès planétaire sans précédent, Napster et le Per to Peer visaient les internautes du monde entier en établissant un échange des fichiers entre tous les utilisateurs connectés à la plateforme. Échange de fichiers audio mais aussi aujourd’hui de vidéos et de tout autre contenu multimédia, Napster est le précurseur de tous les sites de P2P.

Participer à des événements, une perte de temps ?

Vous êtes tellement occupé par vos urgences que vous oubliez que la communication est essentielle à la notoriété et à la crédibilité de votre entreprise, vous la reportez au moment où vous aurez le temps. Mais Participer à des événements, cette tâche vous ne pouvez y échapper car elle passe aussi par vous que vous le vouliez ou non. Vous, en tant qu’entrepreneur, ce qui vous intéresse peut-être c’est l’action, le management de vos équipes. Vous associez les rencontres comme simplement des rapports mondains. Eh bien changez votre conception : vous rencontrez des humains et la rencontre permet le dialogue avec d’autres qui peuvent vous ouvrir le champ des possibles.

En écoutant les autres, vous pouvez découvrir de nouvelles idées, trouver des talents pour votre entreprise et de multiples opportunités.

On vous l’a dit et redit, participer à des rencontres constitue une priorité dans toute stratégie de réseautage. Vous n’en avez pas toujours le temps mais si vous souhaitez entretenir et agrandir votre cercle de relations, vous devrez, sans doute, passer par là ! Au cas où serrer des mains et arborer un grand sourire pendant plus d’une minute vous semble au-dessus de vos forces, revoyons ensemble quelques-unes des raisons pour lesquelles cette démarche demeure primordiale.

Sorties et réseautage : deux notions indissociables

Eh oui, au final, que vous sortiez entre amis ou entre collègues, un tel acte présente toujours au moins un intérêt en commun : dans les deux cas, vous entretenez des relations. L’une de ces deux excursions s’avère peut-être plus agréable que l’autre mais l’Homme demeure un être sociable. Par définition, nous sommes programmés pour échanger avec les autres et, par extension, pour réseauter ! Vous réseautez dès que vous quittez votre domicile, ne serait-ce qu’en saluant votre voisin.

La solitude conserve une importance indéniable mais qui, en dehors de Robinson Crusoé, supporterait de vivre seul sur une île déserte ? Le besoin de rencontrer d’autres personnes demeure naturel et ancré en nous. La société fonctionne sur ce modèle, tout comme le monde entrepreneurial. Même le plus asocial des entrepreneurs se trouve dans l’obligation de contacter des tiers s’il veut faire prospérer son affaire. Alors même si le terme de soirée networking suffit à vous faire soupirer, rappelez-vous que, de toute manière, vous participez déjà à d’autres réunions, professionnelles ou pas, et que celles-ci restent indispensables pour faire des affaires !

Trouver celui qui va faire décoller votre activité

Les soirées et événements networking servent, de manière générale, à vous faire connaître et à lier de nouveaux contacts. Ces rencontres s’organisent de façon à vous permettre d’échanger avec un maximum de personnes. Elles peuvent se diviser en plusieurs temps, par exemple : une conférence sur un thème donné en début de soirée, suivie d’un dîner pour échanger avec vos pairs sur les propos tenus plus tôt notamment. Le moment idéal pour distribuer des cartes de visite et présenter votre entreprise ! Il va de soi que, plus vous participez à ce type d’événements, plus vous gagnez en notoriété et les gens parlent de vous. De futurs associés, clients, partenaires ou collaborateurs peuvent alors s’intéresser à votre cas de plus près.

Vous pourriez tout à fait rencontrer l’investisseur qui va croire en vous et financer votre projet voire même l’améliorer. Si cette idée ne vous attire toujours pas, vous pouvez limiter vos apparitions aux soirées qui vous paraissent essentielles : intervenants experts dans votre secteur, invités prestigieux et généreux… Ciblez les personnes susceptibles de vous rapporter, de quelque manière que ce soit et les événements auxquels elles participent pour les y retrouver. Il reste, toutefois, plus avisé d’assister à un maximum de rencontres afin de tisser des liens avec un maximum de professionnels qui pourraient, tôt ou tard, vous aider.

Sortir pour attirer de nouveaux clients

La réciproque est vraie : les autres proposent peut-être ce qu’il vous manque, mais certains pourraient faire appel à vos services en tant que tels et pour leur particularité. Ces rencontres rassemblent, en effet, des personnes aux spécialités variées. Celles-ci pourraient constituer de bons associés, partenaires, porteurs d’idées… et clients ! Les événements de réseautage vous permettent d’étendre votre visibilité aux autres professionnels capables de vous aider mais aussi de croiser des clients potentiels. Montrez-vous convaincant (sans trop insister) et ils pourraient même vous recommander auprès de leurs propres relations. Le réseautage fonctionne dans les deux sens.

Recevoir de précieux conseils de pros

Les rencontres de professionnels rassemblent plusieurs personnes ayant, de fait, des parcours différents. Outre l’opportunité de vous faire connaître des autres et d’étendre votre visibilité, il s’avère tout à fait possible de tomber nez à nez avec celui qui deviendra votre mentor dans l’aventure entrepreneuriale. Un vieux loup de mer qui connaît tous les trucs et astuces pour éviter les erreurs classiques des débutants et qui saura vous aiguiller et vous guider sur le bon chemin. Imaginez que vous faisiez fausse route car un détail vous a échappé ou que vous ne sachiez pas comment résoudre tel ou tel problème. Certains professionnels au rendez-vous détiennent peut-être les réponses à vos interrogations. Les personnes présentes n’échangent pas nécessairement dans le but de dénicher l’investisseur de leurs rêves. Certains aiment conseiller la nouvelle génération d’entrepreneurs qui prend la relève !

Des rencontres pour s’amuser, tout simplement !

De nombreuses structures peuvent se trouver à l’origine de ces événements networking. CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie, ndlr) (à préciser), clubs d’entrepreneurs, associations… Il ne s’agit pas toujours de regroupements de professionnels expliquant leurs difficultés autour d’une table ou de réunions pour échanger des cartes de visite. Certaines sorties se révèlent tout simplement amusantes et sont destinées à faire plaisir aux participants. Des clubs d’entrepreneurs, par exemple, peuvent prévoir des retrouvailles dans des endroits de loisirs tels que des escape game ou autre. Chaque événement poursuit un objectif différent, sachez donc identifier vos besoins et attentes avant de participer à une rencontre.

Classement mondial 2022 des entreprises françaises « female-friendly »

Les femmes depuis une décennie s’imposent dans le monde de l’entrepreneuriat et es affaires et elles s’imposent d’ailleurs dans des entreprises qui ont une renommée internationale. Focus sur 8 d’entre elles les plus « female-friendly ».

1 – MAIF :

Société d’assurance mutuelle française, créée en 1934 dont le siège est situé à Niort, dans les Deux-Sèvres.
Classement mondial : 3ème rang
Nbre. de salariés : 8 000 personnes.

2 – bioMerieux :

Fondée en 1963, elle est située à Marcy-L’étoile près de Lyon. Présente dans plus de 160 pays au travers de 44 sites, elle est leader dans le domaine du diagnostic et arrive en deuxième position dans le secteur après les États-Unis.
Classement mondial : 14ème rang
Nbre. de salariés : 13 000 personnes.

3 – Naval Group :

Un groupe industriel français, fondé en 1631 à Paris et devient Naval Group en 2017. Le groupe spécialisé dans la construction navale de défense est présent dans 18 pays.
Classement mondial : 22ème rang
Nbre. de salariés : 17 373 personnes.

4 – Hermès International :

Fondée à Paris en 1837 par Thierry Hermès, il s’agit d’une société française œuvrant dans la maroquinerie, des vêtements, du parfum, des bijoux ainsi que des objets « art de vivre ».
Classement mondial : 28ème rang
Nbre. de salariés : 17 595 personnes.

5 – LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton :

Un groupe français d’entreprises, fondé en 1987 par Alain Chevalier et Henry Racamier, aujourd’hui chef de file mondial de l’industrie du luxe et leader mondial dans le domaine.
Classement mondial : 37ème rang
Nbre. de salariés : 175 000 personnes.

6 – SNCF :

Créée par convention entre l’état et les compagnies de chemin de fer préexistantes en 1937. En 2020, la SNCF est devenue une société anonyme dont le capital est détenu par l’État français.
Classement mondial : 46ème rang
Nbre. de salariés : 62 189 personnes.

7 – AFP :

Fondée en août 1944, l’Agence France Presse est une agence de presse généraliste française. L’AFP est implantée dans 151 pays avec 201 bureaux.
Classement mondial : 46ème rang
Nbre. de salariés : 2 400 personnes.

8 – L’Oréal :

Un groupe international, numéro un mondial de l’industrie cosmétique. créé par Eugene Schueller le 30 juillet 1909.
Classement mondial : 69ème rang
Nbre. de salariés : 85 252 personnes.

Infographie sur les femmes et le leadership

Gardez le contact avec l’extérieur

Établir des réseaux est une chose, les rendre pérennes en est une autre. Gardez le contact avec l’extérieur se fait au travers de multiples facettes. L’entrepreneur ne doit jamais se focaliser sur des a priori et doit ouvrir sa capacité à construire des échanges fructueux.

Une étude de l’Insee en 2019 met en exergue les caractéristiques des entreprises qui survivent mieux que les autres :

  • L’expérience du porteur de projet dans le secteur d’activité,
  • Les moyens financiers investis lors du lancement de l’activité,
  • Le statut juridique choisi pour l’entreprise,
  • La taille de la commune d’implantation,
  • Et le secteur d’activité de l’entreprise.

Cernez bien votre marché.

Comprendre son marché et ses tendances reste fondamental pour tout entrepreneur qui souhaite développer son entreprise. Si de nombreuses décisions se font à l’instinct, connaître sa concurrence, savoir l’état de santé économique de son marché, les us et coutumes d’un secteur d’activité, est nécessaire pour se positionner tant en termes de prix que de qualité. Mais ce n’est pas tout, avoir le maximum d’informations qualifiées influent sur vos décisions.

Rester à l’écoute de votre marché vous permet de suivre les évolutions et de mettre rapidement en place les innovations nécessaires pour préserver votre compétitivité. Si vous l’observez de manière locale rien ne vous empêche de jeter un œil aux pays qui pourraient s’avérer porteurs pour votre activité. Ce n’est pas parce que cette dernière connaît un ralentissement dans l’hexagone qu’elle n’est pas en plein essor à l’étranger. Certains marchés saturés à un endroit de la planète connaissent une belle croissance dans d’autres pays. La crise dont nous entendons si souvent parler n’est pas une réalité pour tout le monde.

Faites-vous accompagner.

Les dirigeants qui ont décidé de se lancer seuls dans l’entrepreneuriat sont légions et pour ne rien cacher ils demeurent une majorité à ne pas se faire accompagner. Si seulement 40 % des chefs d’entreprise se font accompagner, les raisons de l’être ne sont pourtant pas en reste. Déjà, en entrant dans un réseau d’accompagnement vous multipliez vos chances de réussite et 9 dirigeants sur 10 y ayant fait appel se disent satisfaits, une statistique qui pourrait en séduire plus d’un.

Construire votre projet, valider sa pertinence, anticiper les obstacles, vous tenir informé, … On ne compte plus les raisons de faire appel à l’accompagnement. Au-delà de la question financière, c’est avant tout grâce à l’apport humain qui vous permettra une prise de recul, qu’il est intéressant de rejoindre ce type de structure. Et votre arrivée peut se faire à tous les stades avec des réseaux qui s’adaptent au degré de maturité de votre projet.

La plus grande difficulté restera pour vous d’identifier dans l’offre pléthorique, celle qui vous correspond. Les organismes comme les chambres de commerce et d’industrie, les chambres de métiers et de l’artisanat, les Réseau BGE, le réseau associatif d’experts-comptables CER, le Réseau Entreprendre ou France Active, demeurent plus connus. D’autant que si votre entreprise est éligible au dispositif Nacre, l’accompagnement est gratuit. à ne pas négliger, faire appel à l’accompagnement renforcera souvent votre crédibilité que ce soit auprès des banques mais conforte aussi  vos probabilités de survie.

Multipliez les canaux de vente.

S’il est tentant de penser de manière traditionnelle son business et de se dire qu’une boutique serait l’idéal pour commencer, les canaux de vente se sont démultipliés depuis l’arrivée d’internet, ce dernier ayant complètement aboli les frontières et les habitudes. Pourquoi se contenter d’un espace physique alors que vous pouvez avoir une boutique géante où des millions de personnes peuvent passer ? Certes, il ne faut pas négliger l’impact de points de vente physiques, qui restent hautement recommandés dans de nombreux cas. Mais internet a permis à de nombreuses entreprises de se développer que ce soit de manière locale, régionale ou encore internationale et les réseaux sociaux sont passés de lieux de copinage à des lieux de vente. Et ceci peu importe le support : tablette, téléphone ou ordinateur (portable ou non). Multiplier vos canaux de ventes, c’est d’abord vous assurer que vous touchez le plus grand nombre de personnes possibles. 

Optimisez votre relation client. 

Les chefs d’entreprise ont souvent tendance à ne rien structurer avant que la surcharge soit telle que la mise en place de process et logiciels ne deviennent absolument nécessaires. Paradoxalement, ils sont nombreux à être conscients de la situation mais ne disposent que de peu de temps pour s’y intéresser. Qui n’a pas connu de dirigeant fonctionnant seulement avec son tableur Excel que ce soit pour éditer un devis, faire une facture mais également prendre ses rendez-vous et suivre sa clientèle ? Si cet outil demeure un outil intéressant pour de nombreuses raisons, d’autres logiciels tels que les CRM et autres technologies vous permettent de mieux suivre l’évolution de votre relation avec les clients.

S’ils sont utiles dès la phase de prospection afin de suivre l’évolution de votre relation et de garder en mémoire ce que vous avez dit à votre client la première fois que vous l’avez eu au téléphone, ils peuvent également vous servir pour vous rappeler vos rendez-vous, faire des statistiques de transformation. Autant d’éléments qui vous serviront au moment où votre entreprise décollera. Si certaines opérations sont certes fastidieuses, l’acquisition rapide d’un logiciel vous permettant de structurer votre démarche est indispensable quand votre entreprise se développe car contrairement à ce que l’on croit souvent, vous n’aurez pas plus de temps par la suite. 

Ayez une politique d’ouverture à l’international.

Vous pouvez penser dès le départ votre business model à l’international. À l’heure d’internet rien de plus facile que d’engranger les premières ventes à l’étranger grâce aux solutions de vente en ligne ou encore via votre site internet. Si votre produit s’y prête, vous pouvez dès le début penser votre entreprise comme internationale en optant par exemple pour l’achat d’un nom de domaine en .com ou .net. Traduire votre site en plusieurs langues et notamment les plus parlées s’avère incontournable surtout si vous comptez dans des délais courts vous lancer dans d’autres pays que vous aurez préalablement ciblé. Mais la réussite à l’international reste avant tout liée à un état d’esprit et si vous ne souhaitez pas vraiment vous y investir, il est fort probable que vous n’y arriviez pas. N’oubliez pas qu’il est souvent recommandé lors de l’expansion en dehors des frontières que l’un des fondateurs s’expatrie.

Choisissez la méthode de prospection la mieux adaptée à votre activité.

La prospection demeure l’un des enjeux primordiaux pour la majorité des entreprises. Avant de vous lancer immédiatement dans le bain, posez-vous quelques questions au préalable : Pourquoi est-ce que je cherche à faire de la prospection ? Quels sont mes objectifs ? Quels sont les résultats attendus ? Comment vais-je analyser les résultats de mes actions commerciales ? Pour déterminer la méthode la plus adaptée, intéressez-vous à votre clientèle car c’est elle qui déterminera la pertinence d’un outil par rapport à un autre. Bien entendu, connaître son client ne signifie pas avoir simplement ses coordonnées et l’historique de ses achats.

Il s’agit de vous faire une idée précise de ses besoins et des motivations qui le poussent à acheter votre produit plutôt qu’un autre. Car bien prospecter passe souvent par un excellent ciblage avec des groupes distincts par profils types, l’adaptation de votre produit, la concentration sur votre cœur de cible et par la réponse à ses attentes. Ensuite, collectez les informations sur vos prospects. Puis choisissez, les techniques qui correspondent le mieux en regardant ce qui relève de la prospection directe (que ce soit par acquisition de base de données par l’achat ou en location, par des actions terrains ou par l’utilisation d’internet) ou indirecte (par le renforcement de votre image, par l’événementiel comme collecteur de données, par la création d’un partenariat durable…). Enfin contactez votre future clientèle en cernant bien les messages que vous souhaitez lui transmettre et l’outil (mailing papier, faxmailing, emailing, SMS, téléphone…)

Communiquez efficacement avec les médias.

Certains pensent que les médias n’attendent qu’eux et que la pertinence d’une information suffit à faire en sorte qu’elle soit relayée dans la plupart des médias. La réalité est pourtant bien différente car il faut le constater : les médias existaient avant votre arrivée et ils ont donc appris depuis bien longtemps à trouver de l’information de qualité.

Si l’email peut constituer une bonne première approche, prenez en considération que certains médias en reçoivent des centaines voire des milliers par jour et qu’ils n’auront pas forcément pris en compte le vôtre plus qu’un autre. Communiquer avec les médias consiste d’abord à convaincre le/la journaliste en charge de la rubrique dans laquelle vous souhaitez paraître car il/elle devra faire un choix entre votre sujet ou un autre. Commencez par éviter de lui envoyer une information qu’il n’est pas susceptible de relayer car il pourrait rapidement vous identifier comme un spam. Rien ne sert de gaspiller votre temps, ni de lui faire perdre le sien. Choisissez ensuite un titre accrocheur afin que le média s’intéresse à votre email.

Facilitez-lui la tâche en lui donnant les rubriques dans lesquelles il serait susceptible de vous utiliser, voire proposez-lui des angles porteurs. De nombreux journalistes utilisent des systèmes de tris et stockent les emails jusqu’à ce qu’un sujet devienne l’actualité, ne pensez donc pas que ce n’est pas parce qu’on ne vous a pas rappelé que votre email n’est jamais arrivé à destination, même si un appel peut vous permettre de vous assurer qu’il est bien arrivé pour vous assurer de la bonne réception. Mais attention, n’oubliez pas que les journalistes sont toujours très sollicités. 

Ouvrez votre capital à des investisseurs extérieurs.

Si les jeunes pousses ont bien souvent l’envie de s’autofinancer, soit par orgueil, soit pour rester indépendant, n’en oubliez pas pour autant qu’une croissance et une rentabilité rapides passent par une ouverture du capital à l’extérieur. Ouvrir les vannes permet à chaque dirigeant de développer des projets ambitieux et de gagner en crédibilité. Pourtant, les chefs d’entreprise ne semblent pas encore très sensibles à cet argument. En 2012, selon une étude, seules 17 % des ETI ayant procédé à une opération de croissance externe ont ouvert leur capital à des investisseurs extérieurs. Un conseil néanmoins, si vous désirez vous ouvrir aux autres : attention aux divergences de point de vue !

Transparence et dialogue resteront vos meilleurs atouts pour bien sélectionner vos investisseurs et ainsi éviter les divorces prématurés avec vos jeunes partenaires. Selon une étude de l’Insee, le taux de pérennité à cinq ans des entreprises de 2014 augmente avec les moyens financiers investis au démarrage. Ainsi, 72 % des entreprises de 2014 ayant investi au moins 80 000 euros à la création sont encore actives cinq ans après, contre seulement 55 % pour celles ayant investi moins de 2 000 euros. Certains secteurs d’activité nécessitent plus de moyens pour démarrer.

Cigarette électronique : la France, 1er pays consommateur en Europe

La cigarette constitue l’une des addictions les plus fréquentes à travers la planète. Depuis l’arrivée de la version électronique, de nombreuses personnes l’ont adopté pour combler leur besoin en nicotine. Ainsi, la France arrive en tête de la consommation de ce produit en Europe. Explications.

Lorsque l’on se balade dans la rue ou que l’on s’installe en terrasse, impossible de ne pas les remarquer. Les fumeurs tenant une cigarette puff à la main sont légions. La cigarette électronique est devenue le nouvel accessoire de nombreux fumeurs.

Près de 4 millions d’utilisateurs de cigarette électronique

Le nombre de personnes qui vapotent n’a cessé de progresser depuis l’arrivée de la cigarette électronique dans l’hexagone en 2005. Le nombre de consommateurs est passé de quelques milliers à près de 4 millions aujourd’hui. En 2017, l’Eurobaromètre de la Commission Européenne estimait le nombre de vapoteurs en France à 3 millions. Cinq ans plus tard, en 2022, il est probable que ce chiffre ait atteint les 3,5 millions.

1.7 millions de personnes ont réduit leur consommation de tabac en passant à la cigarette électronique. Si vous souhaitez arrêter de fumer, acheter une cigarette électronique peut vous aider à vous sevrer facilement. La demande croissante fait que les magasins vendant des e-cigarettes et des accessoires soient de plus en plus nombreux. La France se classe 4ème à l’échelle mondiale pour la cigarette électronique, derrière l’Indonésie, l’Italie et le Royaume-Uni.

De multiples raisons expliquent cet engouement

Mais alors pourquoi assiste-t-on à un tel engouement ? Les raisons sont nombreuses. Premièrement, les consommateurs peuvent sélectionner le niveau de nicotine qu’ils souhaitent inhaler.

De 0 à 20mg/ml, vous avez le choix selon vos objectifs et consommation. La vapeur est semblable à la fumée de la cigarette classique, mais sans combustion, ce qui rend l’usage plus sûr. Vous pourrez également sélectionner le parfum qui vous convient le mieux, allant des classiques tabac aux saveurs fruitées.

Ce produit séduit aussi beaucoup les fumeurs occasionnels qui peuvent garder facilement cet accessoire au fond d’une poche ou d’un sac. On a pu le voir avec le formidable essor des puffs. Avec leur design étonnant et leurs déclinaisons de couleur, les puffs se vendent très bien en ce moment. Pour finir, adopter la cigarette électronique permet aussi de réaliser de belles économies.

Ecouter, un outil marketing ?

Une bonne communication dépend des liens avec notre interlocuteur et des raisons de notre communication et exige de parler et d’écouter. Écouter ne veut pas dire tout simplement se taire. Pour savoir comment bien communiquer auprès de vos clients et prospects, développez votre écoute… cela peut faire toute la différence !

Qu’est-ce qui qui intéresse le plus votre client ?

Primo : LUI / ELLE
Secundo : LUI / ELLE
Tertio : LUI / ELLE…

L’écoute est l’une des clés de la confiance et donc du cœur.
Plus vous savez écouter votre client (et agir en conséquence, bien entendu), plus il a confiance en vous. Écouter c’est agir.

Amusez-vous à répondre aux questions suivantes pour savoir si votre écoute est à la hauteur de ce que vous le souhaiteriez… ou à la hauteur de ce que souhaiterait votre client.

1. Écouter, c’est prêter attention. 

Quand j’écoute quelqu’un, je me focalise sur lui. Je le regarde et me concentre sur ce qu’il dit.

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

2. Écouter, c’est accueillir. 

Quand j’écoute quelqu’un, j’entends ce qu’il dit et j’accepte son point de vue sans jugement. Je reconnais ce qu’il dit sans mettre d’étiquette « vrai » ou « faux », « bon » ou « mauvais », « judicieux » ou « idiot »

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

3. Écouter, c’est s’intéresser. 

Quand j’écoute quelqu’un, je l’invite à exposer son besoin, exprimer son avis et son ressenti. Je lui pose des questions pour qu’il puisse m’en dire un peu plus sur sa problématique et ce qu’elle implique pour lui. (Souvenez-vous que ce intéresse le client c’est lui)

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

4. Écouter, c’est s’assurer d’avoir bien compris.

Quand j’écoute quelqu’un, je peux reformuler et demander confirmation d’avoir bien compris le sens profond, les implications de ce qu’il me dit.

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

5. Écouter, c’est faire preuve d’empathie. 

Quand j’écoute quelqu’un et que je commence à être impatient ou sur la défensive, ou en colère, je tente de me mettre à sa place. Je fais mentalement un demi-tour et vois les choses de son point de vue. ’empathie est la capacité à ressentir ce que ressent l’autre.

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

6. Écouter, c’est lâcher prise. 

Quand j’écoute quelqu’un, je ne présente pas ma solution tout de suite… je ne cherche pas à garder la maîtrise du temps de parole. (Il est bon de savoir que : c’est celui qui pose les questions qui oriente la conversation. Invitation : Restez toujours dans un état d’écoute et de mise en valeur de l’autre)

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

7. Écouter, c’est être sensible à l’ensemble du message. 

Quand j’écoute quelqu’un, je prête attention à ses réactions, ses expressions faciales, sa posture, le ton de sa voix. Attention, je ne le mets pas dans des cases… je suis tout simplement sensible à son message non verbal afin de mieux le comprendre.

  1. Toujours
  2. Souvent
  3. Quelquefois
  4. Jamais

Écouter est une compétence

Nous sommes nés avec 2 oreilles.  Cela n’implique pas automatiquement que nous sachions écouter. Écouter est une compétence que nous apprenons, et comme toutes les autres compétences, il nous faut la pratiquer pour la développer. Écouter est un cadeau que nous pouvons donner à nos clients. Montrer à quelqu’un qu’il ou elle a réellement été entendu(e) permet à la confiance de s’installer. Et dans la relation au client, la confiance est une clé précieuse.

Alors osez prouver à vos clients et prospects que vous êtes à leur écoute !
Votre marketing et votre communication seront d’autant plus crédibles et authentiques. La relation que vous créez s’en trouvera renforcée. Votre solution sera d’autant plus appréciée et recherchée…

L’écoute fait partie intégrante de votre marketing… Rappelez-vous ceci : VOUS êtes votre premier outil marketing ! Votre communication aura d’autant plus d’impact que vous savez écouter votre clientèle idéale.

Détecter des talents sur le web !

La consultation gratuite de millions de CV, compétences, expériences professionnelles, parcours universitaires est à la portée de tous. Les techniques de recherche de candidats sur la toile évoluent et se professionnalisent et les candidats savent choisir les sites où ils ont des chances d’être recrutés et qui sélectionnent les meilleures opportunités. Comment repérer efficacement les profils recherchés et quelle solution utiliser ? Voici quelques pistes de réflexion pour détecter des talents sur le web.

La révolution du recrutement sur le web

Il est multi-canal, interactif et personnalisé pour trouver la perle rare !

L’offre d’emploi sur des sites leaders n’est plus forcément la seule source de connexion avec des candidats potentiels. On trouve des CV, des compétences, des expériences professionnelles, des parcours universitaires partout sur le web en accès libre. Les entreprises n’hésitent pas d’ailleurs à insérer des offres d’emploi sur leur site.

Qui devient alors la première source de CV aujourd’hui ?

Google 1ère CVthèque mondiale ! Elle remet en cause les techniques de recherche, la confidentialité du CV et donc sa monétisation dans les bases d’emploi payantes. Mais comment faire pour détecter des profils le plus efficacement possible sans perdre de temps ?

Où trouver le candidat ?

Sur tous les sites libres d’accès sur le web via Google, c’est-à-dire non protégés par des mots de passe : les réseaux sociaux professionnels et personnels, les bases de CV gratuites et les hébergeurs de CV, les méta moteurs et les agrégateurs de contenus, les blogs et les pages personnelles, les sites associatifs (sites de fédérations professionnelles, écoles…), les forums de discussion, les hubs et globalement tous les sites sur lesquels s’expriment des candidats potentiels… Il faut donc bien cerner leurs centres d’intérêt.

Comment trouver le candidat : une approche chirurgicale

La recherche de talents sur la toile nécessite une technique d’approche très précise, voire chirurgicale. Google permet de dénicher des perles rares mais il faut maîtriser les accès qui changent en fonction de l’évolution de chaque outil.

Avoir du temps pour le faire ou avoir le personnel formé

La question importante que doit se poser le recruteur est celle du juste ratio :

Temps / Investissement. Avez-vous le temps de faire la recherche ou avez-vous du personnel dédié ? Savez-vous utiliser les codes du web 2.0 pour solliciter la cible, connaissez-vous les médias cibles ?

Une formation courte est possible pour acquérir les techniques de recherches et créer des requêtes sur Google afin de trouver rapidement les CV, profils, compétences ou expertises recherchés.

L’outsourcing du recrutement et la qualification des candidats : une vraie valeur ajoutée

L’externalisation d’une partie du processus de recrutement est un gain de temps considérable pour celui qui recrute dont la préoccupation est de développer le business de son entreprise, rechercher des clients et les fidéliser, négocier avec des fournisseurs, mobiliser ses troupes, …

La phase amont du recrutement est la phase la plus chronophage. Confier cette phase à un professionnel est une vraie valeur ajoutée pour la qualité du sourcing apportée. Mais c’est aussi la maîtrise de son budget au juste coût.

A vous ensuite de décider si vous souhaitez rencontrer des candidats et d’embaucher les compétences opérationnelles recherchées. 

Top 10 des CVthèques gratuites pour trouver votre candidat idéal

 Les CVthèques généralistes

  1. Pôle Emploi
  2. Google CSE
  3. Recruitem
  4. Les extensions Chrome
  5. Emploi Libre

 Les réseaux sociaux

6. Les réseaux sociaux autres que LinkedIn. Twitter, Facebook ou Instagram peuvent également être de bonnes sources pour trouver des candidats

Les CVthèques pour les emplois cadres

7. Apec

Les CVthèques pour les candidats en situation de handicap

8. AGEFIPH

9. Handicap-Job

10. Hanploi

Extrait du petit déjeuner « Les rencontres créatives RH de VERINIS / Racont’ARTS A la croisée des talents » du 26/03/13 – lntervention de Benoit Bliard, consultant formateur, Search&Go.

Terminer sereinement son année !

Pour bien finir son année, rien de plus utile que de boucler ses dossiers, faire un bilan et préparer l’avenir.

Arriver à boucler les dossiers en cours

Cela peut paraître un poncif, mais il faut reconnaître que les humains ont naturellement tendance en fin d’année à lâcher prise. La motivation n’est plus au rendez-vous et d’autres préoccupations peuvent vous encombrer l’esprit comme le choix des cadeaux de noël ou le prix des trains qui ne facilitent pas vos retrouvailles avec la famille… Le réflexe naturel est de se dire que vous pouvez bien attendre le début d’année et que les clients ou fournisseurs comprendront.
Oui mais plusieurs éléments vont a contrario d’une telle analyse et d’un tel état d’esprit. Déjà, qui dit fin de mission, dit souvent facturation. Il peut donc être utile de boucler les dossiers en cours au plus vite, ne serait-ce que pour pouvoir émettre les factures sur la bonne année fiscale pour vos clients. Ensuite, votre client peut vouloir boucler ses dossiers, ce qui va engendrer des relances et donc du travail supplémentaire qui vont vous créer un stress inutile.

Vous pouvez vous retrouver à devoir travailler dans l’urgence au mauvais moment si par exemple un afflux de commandes arrive en début d’année alors autant s’en débarrasser. A noter que la satisfaction du devoir accompli fera place à un autre sentiment bien moins plaisant : celui d’avoir encore quelque chose à faire. Autre élément négatif du report : vous risquez bien de commencer votre année sur les chapeaux de roues alors que vous venez d’enchaîner les fêtes, ce qui ne représente presque jamais de bonnes conditions pour la performance. Cette liste de conséquences négatives liées au fait de procrastiner n’étant bien sûr pas exhaustive.

Faire le bilan des actions

Pour arriver à boucler vos dossiers, il faut déjà avoir une vision claire de ce qui n’a pas été fait et qui reste à faire. Avoir en tête la quantité exacte de travail restant n’est pas anodin et inutile. Le bilan peut vous montrer que reporter certaines actions n’est pas possible car vous vous retrouveriez, par exemple, débordé par la suite ou encore comme nous l’avons cité plus haut, avoir des conséquences peu désirables.
Même si vous décidez de reporter à plus tard, faire le bilan permet au moins d’organiser en amont le futur travail. Vos équipes (ou vous) pourront ainsi visualiser le travail qu’elles devront effectuer en début d’année, voire vouloir clôturer. Lister ce qui reste à effectuer permet également de ne pas avoir à mémoriser les tâches et peut vous permettre de prendre quelques notes qui seront utiles lors de votre reprise. Votre mémoire n’est pas infaillible et surtout il nous arrive de vouloir occulter certaines tâches rébarbatives, qui si elles sont inscrites dans votre agenda, ne pourront être oubliées. Toutes ces informations polluent votre cerveau alors autant vous en débarrasser et faciliter l’exécution future. Faire le bilan permet également de voir ce qui a marché ou non et n’est donc pas en soi inutile pour ne pas rééditer les mêmes mauvaises expériences.

Préparer votre facturation et comptabilité

Quoi de plus désagréable que de commencer l’année par des factures que vous auriez dû comptabiliser l’année précédente ou encore par une nécessité de mettre à jour votre comptabilité alors que vous auriez pu le faire avant ! L’exercice peut déjà se révéler pénible pour les derniers jours de l’année alors autant ne pas vous rajouter du travail en la matière. Il est sûr que cela sera loin d’être une source de satisfaction quand vous retrouverez les factures que vous avez mises de coté.

Pour bien finir votre année, il est donc essentiel d’avoir finalisé votre comptabilité (le plus possible) car elle vous permet d’avoir une vision à peu près exacte de ce qui s’est passé. A défaut de l’avoir fait, vous pourriez vite aussi avoir quelques factures qui passent à la trappe et qui serait un manque à gagner. S’occuper de sa facturation représente un élément de bonne gestion car plus vous le faites vite, plus vous serez payé rapidement. Même si ce n’est pas vrai dans tous les cas, il peut être agréable de recevoir de nombreux paiements pour commencer l’année plutôt que d’envoyer des factures et de vous demander si elles sont bien en bonne et due forme. Ce travail demande une rigueur qu’il peut être difficile d’avoir quand on revient à peine de congés.

Mettre à jour les projections pour 2023

Maintenant que vous avez clairement connaissance de vos résultats 2022 et fait le bilan, vous pouvez faire des projections plus réalistes pour l’année 2023. Le fait de réaliser vos projections est également utile pour prendre vos décisions futures : vous pouvez vous demander si vos actions ont été pertinentes, reconduire certaines expériences, produits ou services que ce soit dans les achats ou les ventes. S’y prendre à l’avance permet également d’avoir le temps de chercher l’information ou de demander à vos collaborateurs, par exemple, s’il est utile de reconduire tel ou tel outil, voire d’en commander de nouveaux qui pourraient augmenter leur performance. Cela vous permet surtout de vous rassurer sur l’état de santé de l’entreprise voire de devancer des problèmes, par exemple de trésorerie, alors autant ne pas négliger l’exercice quitte à y passer quelques heures. 

LES PROFESSIONNELS ENVOIENT LEURS vœux À LEURS PRINCIPAUX CLIENTS LA PREMIÈRE SEMAINE DE JANVIER.

Toutefois, la tradition en France permet de les adresser du début décembre pour souhaiter de bonnes fêtes de fin d’année jusqu’à la fin du mois de janvier pour les vœux de nouvelle année. Dans beaucoup de pays européens, en particulier dans les pays anglo-saxons, on souhaite de joyeuses fêtes et donc, les cartes s’envoient avant Noël. Pour respecter la tradition en Europe, mais aussi aux États-Unis, en Nouvelle-Zélande, en Australie…, il est préférable d’envoyer vos vœux avant la mi-décembre. Au Japon, la tradition est d’envoyer ses vœux par courrier postal, avec des cartes appelées nengajo et qui doivent arriver le matin du 1er janvier. Elles doivent être postées avant le 28 décembre au plus tard. 

Être à l’affût des opportunités pour réussir

Certains pensent que la chance fait partie du destin mais si l’on étudie de plus près c’est celle ou celui qui regarde avec attention le monde qui l’entoure et essaie d’en déceler le meilleur pour créer un avenir prometteur.

« Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté ».

Winston Churchill

Que ce soit dans notre vie professionnelle ou personnelle, nous rencontrons tous les jours des opportunités. Il faut certes savoir saisir ces chances qui se présentent spontanément, mais il est aussi important d’aller les dénicher ! Cette manière de penser s’avère d’autant plus utile dans la sphère de entrepreneuriat, où dirigeants ou commerciaux, dans le cadre de leur démarche de prospection, sont toujours à la recherche pour trouver des clients et des affaires. Mode d’emploi pour mettre en place le contexte favorable et créer les conditions de la réussite !

Vivre opportunité, c’est ouvrir les yeux

Bien souvent, il arrive de regarder son voisin et de se dire qu’il a de la chance, que régulièrement se présentent à lui des opportunités, alors que vous de votre côté, tout est monocorde et rien ne se profile à l’horizon. Peut-être votre voisin a-t-il su adopter le comportement adéquat pour attirer la réussite, en observant les changements dans l’environnement de l’entreprise : changements politiques (les lois qui changent…), économiques (les opportunités internationales …), technologiques (les innovations…), sociologiques (la démographie…), changements dans les marchés (les clients, les concurrents, les fournisseurs) qui peuvent devenir une opportunité pour l’entreprise. Et là on peut dire que depuis l’apparition d’internet tout le monde a vu se multiplier les opportunités. Alors pourquoi pas vous !

En effet, l’opportunité tient principalement au mental et au caractère de chaque individu, c’est-à-dire à son volontarisme et son attitude au quotidien pour ne pas regarder avec regret le passé mais anticiper un avenir prometteur. Le fait d’avoir cette ouverture d’esprit permet de favoriser ce qui s’appelle l’opportunité indirecte, celle qui vient à vous sans que vous ayez réalisé une action concrète pour la susciter, hormis celle de rester vous-même. Il est donc essentiel d’adopter un comportement pour saisir parfois sans effort les opportunités naturelles. Cependant, il faut bien garder à l’esprit que la chance ne doit pas tout au hasard. Ouvrez les yeux !

Ecouter l’opportunité

Au-delà du comportement, il est également tout aussi important d’être à l’écoute pour pouvoir saisir les chances et les affaires qui se présentent. On parle alors d’écoute active. Bien souvent, de nombreuses personnes l’ont face à eux, mais ne savent pas la regarder et l’identifier. Il est donc essentiel de savoir observer et analyser ce qui vous entoure pour savoir quand, comment et auprès de qui vous pouvez être utile.

Dans le monde professionnel, on parle beaucoup de la veille dans ses différentes formes (commerciale, économique, environnementale, réglementaire, technologique…), ce qui permet de rester attentif à tout ce qui touche de près ou de loin l’entreprise. Il vous faudra donc développer une méthode pour évaluer, analyser et gérer les opportunités qui se présentent afin de prendre des décisions qui pourraient permettre à votre entreprise de devenir performante et aussi de gérer le changement qu’implique toute nouvelle idée. Il faut parfois peu de choses pour transformer la stagnation en réussite.

Rechercher l’opportunité

Enfin, créer l’opportunité est un savoir et un mouvement. La chance ne tombe malheureusement pas du ciel et tout entrepreneur vous dira qu’il est passé par l’action, et cela bien évidemment dans le cadre de sa démarche commerciale pour trouver des clients. Il s’agit de l’opportunité directe qu’il convient d’aller chercher.

Mais au préalable d’aller trouver les occasions, il est nécessaire d’en connaître les codes, qui s’attachent notamment aux cibles et aux territoires, et pour lesquels le discours ou l’argumentaire est bien spécifique. Outre des capacités personnelles plus ou moins innées selon les individus, cela passe par l’apprentissage, par la voie de la formation initiale (formation commerciale…) ou de la formation continue (module « développer la clientèle » …), ou encore d’un coaching personnel.

Pour un commercial, ou un chef d’entreprise seul, il existe des lieux de rencontres fondamentaux déclencheurs d’opportunités. Il s’agit par exemple de participer à des réunions d’informations, notamment si vous êtes en phase de création de votre structure, des networking et ne dites pas que vous êtes débordé et que vous n’avez pas le temps…aux risques de ne plus jamais l’être. Les opportunités se provoquent sur les salons professionnels, dans les réseaux d’entrepreneurs et autres lieux d’affaires. Vous pouvez y rencontrer homologues et/ou potentiels clients et créer des occasions, même en sous-traitance.

« Les opportunités d’entreprise sont comme les autobus, il y en toujours une autre qui s’en vient. »

Richard Branson

 Allez vers les autres est le secret !