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La technique de L’offre de garantie : offrir une garantie de satisfaction ou une politique de retour facile !

Les entreprises rivalisent d’imagination pour attirer l’attention des clients et les inciter à effectuer des achats. L’une des stratégies les plus efficaces et les plus appréciées est celle de « l’offre de garantie ». Cette approche consiste à offrir une garantie de satisfaction ou une politique de retour facile, rassurant ainsi les clients et les encourageant à acheter en toute confiance, sachant qu’ils peuvent annuler ou retourner le produit si la satisfaction n’est pas au rendez-vous. Regardons cette technique et son impact sur les comportements d’achat.

La confiance client : un atout majeur

Lorsqu’il s’agit de faire des achats en ligne, la confiance est un élément clé. Les clients veulent être sûrs que leur argent est bien investi, que le produit correspond à leurs attentes et que l’entreprise est digne de confiance. C’est là que la technique entre en jeu. En offrant une garantie de satisfaction ou une politique de retour simple et transparente, les entreprises envoient un message clair : « Nous croyons en nos produits, et nous voulons que vous soyez satisfait ». Cette assurance crée un sentiment de confiance chez les clients, réduisant la peur de faire un mauvais choix. Savoir qu’ils ont la possibilité de retourner ou d’annuler un produit les encourage à passer à l’achat.

La garantie de satisfaction : Un argument puissant

Les avantages de la garantie de satisfaction sont multiples. Tout d’abord, elle rassure les clients potentiels en leur offrant une « sortie de secours » en cas de déception. Cela réduit l’incertitude liée à l’achat en ligne, où les clients ne peuvent pas voir ou toucher le produit avant de l’acheter. De plus, cette garantie souligne la confiance que l’entreprise a en la qualité de ses produits. Les entreprises qui proposent ce type de garantie sont souvent perçues comme plus fiables et soucieuses de la satisfaction client. Cela peut se traduire par une meilleure réputation et des relations client durables.

La politique de retour facile : l’avantage concurrentiel

Une politique de retour facile est une autre variation qui peut avoir un impact significatif sur les achats. Les clients apprécient la flexibilité de pouvoir retourner un produit sans tracas en cas de problème ou de changement d’avis. Une telle politique peut également constituer un avantage concurrentiel majeur. Dans un marché concurrentiel, les entreprises qui rendent le processus de retour simple et sans coût ajouté peuvent se démarquer de leurs concurrents et attirer plus de clients.

Exemples Concrets

Plusieurs entreprises ont adopté avec succès la technique pour renforcer la confiance client et stimuler les ventes. Amazon, par exemple, est connu pour sa politique de retour flexible, ce qui renforce la confiance des acheteurs en ligne. Les entreprises de matériel électronique comme Apple offrent également des garanties de satisfaction. Elles permettent ainsi aux clients de tester les produits en toute tranquillité. Ces garanties de satisfaction varient en termes de durée, de conditions et de détails, mais elles partagent toutes un objectif commun : rassurer les clients et créer un climat de confiance propice aux achats.

Pour bien la mettre en pratique

Voici quelques outils et astuces pour bien la mettre en œuvre :

1/ Politique de retour bien définie

Élaborez une politique de retour claire et facile à comprendre, en précisant les délais, les conditions et les coûts éventuels pour le client. Assurez-vous que cette politique soit facilement accessible sur votre site web.

2/ Systèmes de gestion des retours

Mettez en place des systèmes de gestion des retours efficaces. Utilisez des logiciels de suivi des retours pour simplifier le processus tant pour le client que pour votre équipe.

3/ Service client réactif

Ayez une équipe de service client réactive et bien informée pour répondre rapidement aux questions et préoccupations des clients concernant les retours ou les garanties.

4/ Garantie de satisfaction claire

Si vous offrez une garantie de satisfaction, assurez-vous que les termes et les conditions sont bien expliqués. Soyez transparent sur la durée de la garantie et les modalités de retour.

5/ Communication proactive

Communiquez activement sur votre politique de garantie et de retour, en mettant en avant les avantages pour les clients. Utilisez des newsletters, des bannières sur le site web et des médias sociaux pour informer vos clients.

6/ Recueil de commentaires

Encouragez les clients à laisser des commentaires et des avis sur leurs expériences avec votre politique de garantie et de retour. Les témoignages positifs peuvent renforcer la confiance des nouveaux acheteurs.

7/ Analyse des données

Utilisez des outils d’analyse pour suivre les retours et les réclamations des clients. Identifiez les tendances et les problèmes récurrents pour améliorer continuellement votre politique de garantie et de retour.

8/ Formation du personnel

Assurez-vous de la formation de votre personnel à gérer les retours et les garanties. La compréhension des politiques et la communication efficace avec les clients sont essentielles.

Goodvest, une entreprise d’excellence pour vos placements et pour la planète !

Interview de Joseph Choueifaty, CEO et fondateur de Goodvest qui nous partage son envie de changer le monde et retrace avec nous les clés du décollage réussi de leur entreprise.

Quand et comment vous est venue l’idée de créer votre entreprise ?

L’idée m’est venue pendant le premier confinement. J’étais en master HEC Entrepreneurs et je cherchais à placer une partie de mon épargne de manière durable. Je me suis heurté à un vrai problème : même s’il y avait énormément de fonds labellisés ISR (Investissement Socialement Responsable, ndlr), il n’y avait aucun moyen d’avoir la preuve irréfutable que ces fonds n’investissaient pas dans les énergies fossiles ou bien respectaient l’Accord de Paris. Or, je voulais avoir la certitude que je ne finançais pas les énergies fossiles et que les investissements étaient vraiment durables. C’est pour cela que nous avons décidé de créer Goodvest. L’objectif, c’est de démocratiser un investissement responsable qui est transparent pour être certain que ce n’est pas du greenwashing. Nous avons construit notre propre méthodologie maison, qui, par exemple, est la première à être 100 % compatible avec l’Accord de Paris. Il s’agit d’une entreprise à mission.

Il me semble que vous avez un coassocié ?

Nous sommes deux cofondateurs. Mon associé, Antoine Bénéteau, est cofondateur CTO et s’occupe de toute la partie tech et produits. Quant à moi, je suis le CEO et je m’occupe principalement de toute la partie business.

Quand vous est venue l’idée ?

L’idée nous est venue en mars 2020 et le lancement a eu lieu en septembre 2021. Il a fallu un peu plus d’un an pour nouer les partenariats stratégiques avec notamment Carbon4 Finance qui nous accompagne sur l’empreinte carbone, Generali qui est l’assureur de nos enveloppes d’investissement. Notre activité demande un capital de départ important. Aussi, nous avons mis près d’un an pour définir la méthodologie, concevoir le produit d’investissement et le lancer.

Justement, quelles ont été les grandes étapes jusqu’à aujourd’hui ?

Les grandes étapes, cela a été d’abord le lancement du produit. Puis, nous avons, environ huit mois après le lancement, sorti notre onglet Impact, qui est unique sur le marché. Il permet aux épargnants de visualiser l’impact de leur épargne, connaître l’empreinte carbone de leur placement, les émissions de CO2 évitées et réduites ainsi que la trajectoire carbone directement depuis leur compte client. Cela a été une étape essentielle. Ensuite, quelques mois plus tard, nous avons lancé en fin 2022-début 2023, Goodvest Kids, qui est un deuxième produit qui permet aux parents d’investir pour leurs enfants. Et la nouvelle étape, c’est que nous avons lancé le Plan d’épargne retraite qui est donc notre troisième produit.

Où en êtes-vous aujourd’hui et qu’est-ce qui explique votre succès ?

Nous avons depuis le lancement de Goodvest convaincu un peu plus de 4 000 clients en 18 mois, ce qui fait que nous avons réalisé le meilleur lancement aujourd’hui sur les solutions d’épargne en ligne en France avec plus de 30 millions d’euros de collecte. Désormais, nous sommes très proches des 40 millions désormais. Nous avons connu un très beau lancement qui s’explique par notre différenciation. Aujourd’hui, des solutions d’investissement responsables sur le marché, il y en a quand même beaucoup. Des pure players, il n’y en a pas, mais des offres, il y en a beaucoup. Ce qui fait notre différence et que nous avons connu un tel succès, comme je le disais, c’est qu’aujourd’hui, nous sommes les seuls à avoir une vraie méthodologie qui ne va pas s’appuyer uniquement sur les labels.

Globalement aujourd’hui, la majorité des offres dites durables font du greenwashing. Il faut dire que notre méthodologie exclut intégralement ce qu’il y a de néfaste, notamment toutes les énergies fossiles. Quand quelqu’un investit sur Goodvest, il est certain qu’il n’y a pas un euro qui les finance et que cet investissement respecte l’Accord de Paris. Autrement dit que la trajectoire de deux degrés maximums de réchauffement climatique est respectée. Ceci est possible notamment grâce au partenariat que nous avons noué avec Carbon4 Finance qui donne une transparence complète sur l’impact des investissements des épargnants. C’est vraiment cela aujourd’hui qui explique notre succès commercial.

Qu’est-ce que fait Goodvest Kids ?

Goodvest Kids, c’est tout simplement la même offre que Goodvest, mais pour les parents qui souhaitent investir pour leurs enfants. Il s’agit de commencer à leur constituer un capital qui va servir pour financer les études ou bien un apport pour l’achat d’une résidence principale. L’idée de Goodvest Kids, c’est de proposer un produit d’épargne qui aura un rendement qui va être plus intéressant sur le long terme que les épargnes réglementées. Nous savons que le livret A aujourd’hui est à 3 % et qu’il est plafonné. L’inflation tourne autour de 6-7 % donc ce n’est pas très rentable surtout sur le long terme.

Quand nous parlons d’un placement de ce type, si vous l’ouvrez quand l’enfant est né et qu’il ne commence à utiliser cette épargne qu’au début de ses études ou même à la fin de ses études, il y a 18 ou 25 ans qui peuvent s’écouler. Et 18 ou 25 ans fois la différence qu’il y a entre le rendement des épargnes réglementées et l’inflation, cela peut coûter très cher sur le long terme ! Il y a un véritable enjeu à proposer un produit qui est plus adapté que les livrets aux mineurs.

Y a-t-il un autre enjeu ?

Le deuxième enjeu, qui est encore plus important, c’est de proposer un produit qui ne va pas détruire leur futur. Parce que les mineurs, qui naissent aujourd’hui, vont vivre en 2050 et pour la majorité, nous l’espérons, jusqu’à 2 100 voire au-delà. Ils vont connaître vraiment les conséquences du réchauffement climatique. Aujourd’hui, cela ne fait pas de sens de constituer l’épargne de ces enfants en finançant par exemple les énergies fossiles qui vont détruire leur avenir. Cela est le cas, aujourd’hui, de la majorité des produits d’épargne et également le cas des livrets. Du moins, on constate une très grosse opacité et des financements qui sont complètement désalignés avec les enjeux climatiques.

A quoi correspond la troisième activité que vous allez lancer ?

Le troisième, c’est le Plan d’épargne retraite. Il vient tout juste d’être lancé officiement. Le Plan d’épargne retraite, c’est un projet d’épargne de retraite complémentaire qui fonctionne de la même manière que nos deux premiers produits. Nous savons aujourd’hui qu’il y a un certain nombre de Françaises et de Français qui ne comptent pas uniquement sur les pensions de retraite qui seront versées par l’État et qui souhaitent dès maintenant commencer à préparer leurs retraites de leur côté.

Le Plan d’épargne retraite, c’est un produit qui est fait dans cet objectif. Il a des avantages fiscaux « classiques » qui ne sont pas négligeables. Vous pouvez déduire une partie des versements sur votre fiche d’impôts, selon des conditions qui sont bien précises, mais qui sont assez avantageuses. L’objectif du PER de Goodvest, c’est de permettre de préparer sa retraite, de bénéficier bien sûr d’une déduction fiscale mais surtout de le faire en investissant dans des entreprises et des projets qui vont permettre de lutter contre le réchauffement climatique.

« Aujourd’hui, cela ne fait pas de sens de constituer l’épargne de ces enfants en finançant par exemple les énergies fossiles qui vont détruire leur avenir. »

Quelle est votre méthodologie d’investissement ?

La méthodologie d’investissement est la même, que ce soit sur Goodvest, Goodvest Kids ou le PER. Ce qui va changer, c’est l’objectif du produit. Goodvest est une assurance-vie et ce sont des projets à moyen-long terme. L’assurance-vie est un investissement pour quelques années, généralement jusqu’à une dizaine d’années. Le Plan d’épargne retraite, c’est sur une durée qui est plus longue. Goodvest Kids, quant à lui, est un placement qui est plus adapté pour les mineurs.
L’objectif reste le même : ne pas financer les énergies fossiles, respecter l’Accord de Paris, donner de la transparence aux épargnants et aussi un niveau de personnalisation. En effet, nous donnons l’opportunité aux épargnants de choisir leurs thématiques d’investissement avec un portefeuille qui correspond vraiment à leurs valeurs. Nous allons proposer la thématique transition écologique qui est présente par défaut et des thématiques en plus qui sont optionnelles comme les forêts, l’accès à l’eau, les solutions climatiques, etc.

Vous parliez de 30, 35 millions récoltés. Est-ce que vous avez eu besoin de lever des fonds pour votre structure ?

Tout à fait. Nous avons déjà levé des fonds pour Goodvest. Nous avons effectué une levée de 2 millions d’euros l’année dernière et nous allons probablement lever à nouveau des fonds d’ici la fin de l’année. En pratique, nous nous sommes financés aujourd’hui à la fois par des Business Angels, des VCs et de la dette.

Pourquoi souhaitez-vous lever des fonds à nouveau ? Pour accélérer votre développement ?

Tout à fait. Il y a une problématique qui est primordiale, qui est celle de l’impact de l’épargne. Aujourd’hui, même si nous avons fait une levée au montant très élevé et que nous avons collecté près de 35 millions d’euros, c’est très peu par rapport à l’ensemble de l’épargne des Français et encore moins par rapport à celle des Européens. Si nous voulons vraiment accélérer les choses, il faut aller encore plus loin, plus vite, lancer de nouveaux produits, développer de nouveaux partenariats stratégiques et tout cela, forcément, demande du capital.

Comment est-ce que vous avez fait pour vous faire connaître, pour que l’offre marche tout de suite ?

Nous avons, dès le début, travaillé sur une méthodologie qui est très stricte. Elle fait qu’aujourd’hui, notre marque est reconnue par les experts de la finance comme la référence pour l’investissement et l’épargne engagés pour l’environnement. Cela fait que nous avons un bouche-à-oreille qui est très fort et qui vient de leaders d’opinion. Ils ont une audience importante et cela a été un gros levier.
Un autre levier réside dans la création de contenus. Nous faisons énormément de pédagogie, que ce soit sur l’investissement et notamment sur l’investissement à impact. En effet, nous produisons énormément de contenus, que ce soit sur les réseaux sociaux ou sur notre blog. Nous avons aussi un forum qui est dédié à l’investissement responsable où les gens peuvent poser des questions, échanger. Aujourd’hui, nous essayons de toucher un maximum de monde en produisant un contenu de qualité et en montrant vraiment « pattes blanches ». Nous donnons un maximum de transparence et c’est cela vraiment qui explique le démarrage rapide de notre entreprise, tout simplement.

Quels vont être les challenges à venir, les défis ?

Le challenge, c’est de passer au barreau de l’échelle supérieur ! Aujourd’hui, nous avons 4 000 clients. Nous en visons à peu près 10 000 à la fin de l’année et nous sommes plutôt en bonne voie pour les atteindre. Nous avons déjà doublé le nombre de clients depuis le début de l’année donc les 10 000 devraient sans trop de doute être atteints. Le challenge c’est de passer de 10 000 clients à 50 000. C’est ce que nous préparons déjà en construisant une offre vraiment à 360 degrés sur un investissement Impact. Nous avons l’assurance-vie, l’assurance-vie mineur et le Plan épargne retraite. Demain, nous voulons également proposer d’autres classes d’actifs comme par exemple l’immobilier, en private Equity. C’est tout cela nos défis. Il y a enfin un défi à créer de nouveaux partenariats qui représente un bel axe de développement avec beaucoup de potentiel.

Quelle a été la plus grande difficulté que vous avez rencontrée et surtout comment vous l’avez surmontée ?

La plus grande difficulté a été de construire un produit qui possède vraiment une méthodologie solide et transparente. Nous avons beaucoup travaillé pour la réaliser. Nous nous sommes appuyés sur des partenaires solides comme Carbon4 Finance et nous avons dû, dès le début, recruter quelqu’un pour prendre en charge la partie investissement socialement responsable et l’analyse des portefeuilles. Aujourd’hui, c’est déjà deux personnes qui sont à plein temps juste sur cet aspect. Nous nous sommes vraiment concentrés dès le début sur le fait d’apporter de la transparence.

Aujourd’hui, « on ne fait que ce que l’on dit et on dit uniquement ce que l’on fait », ce qui est une preuve qu’il n’y a pas de greenwashing. En fait, il n’y a pas de surprise. La méthodologie est disponible sur notre site et accessible à tous. Vous savez exactement pourquoi vous investissez quand vous le faites chez Goodvest. Nous essayons de garder une approche qui est humble et uniquement sur des placements écoresponsables.

Pourquoi était-ce si difficile ?

C’était difficile à mettre en place au début car il y a peu de transparence dans l’industrie financière. C’est de la transparence que nous sommes allés chercher en signant des clauses de confidentialité avec les sociétés de gestion pour récupérer tous leurs inventaires, en nouant des partenariats avec Carbon4 Finance ou encore en développant un onglet Impact sur notre compte client. Aujourd’hui, je pense que nous avons fait une bonne partie du chemin, mais il reste encore beaucoup à faire pour améliorer la méthodologie. Il faut donner toujours plus de transparence aux clients. Et c’est un chemin qui n’est pas près de s’arrêter !

3 Conseils de Joseph Choueifaty

  1. Prendre en compte le réchauffement climatique quelle que soit l’entreprise que les entrepreneurs vont lancer. Il y a deux raisons. Je pense que la double matérialité du réchauffement climatique, c’est crucial. Il faut se poser la question suivante : « Comment est-ce que mon entreprise et mon projet vont impacter le climat ? » Aujourd’hui, il est difficile de trouver des clients et des financements. Et cela va l’être de plus en plus. Il y a des normes qui sont en train de se mettre en place et vous ne pourrez les contourner si vous ne respectez pas cela.
  2. Prendre en compte la double matérialité. Il s’agit de se poser la question de « comment est-ce que le réchauffement climatique va impacter mon activité ». Peu importe le type de projet finalement car pour un projet immobilier, par exemple, il faut prendre en compte le réchauffement climatique. On ne va pas construire une maison à 50 centimètres au-dessus du niveau de la mer. C’est pareil dans toutes les entreprises.
  3. Il est important, aujourd’hui, d’avoir un objectif de développement économique et de chercher à atteindre d’autres objectifs. L’entreprise doit avoir une véritable mission. Cela ne s’adapte pas à toutes les entreprises, mais à beaucoup, quand même ! En tout cas, il faut définir des objectifs qui ne sont pas uniquement financiers. Je pense qu’aujourd’hui, cela peut aider dans beaucoup de choses. En plus d’avoir un impact positif moralement, cela aide dans le recrutement ou dans le financement. Même si, pour certains entrepreneurs, le climat n’est pas forcément leur tasse de thé, il y a d’autres enjeux sociaux et sociétaux qui existent.

« Nous avons, dès le début, travaillé sur une méthodologie qui est très stricte. Elle fait qu’aujourd’hui, notre marque est reconnue par les experts de la finance comme la référence pour l’investissement et l’épargne engagés pour l’environnement. Cela fait que nous avons un bouche-à-oreille qui est très fort et qui vient de leaders d’opinion. »

Top 10 des techniques de prise de décision stratégique pour les cadres supérieurs

La prise de décision stratégique est l’un des aspects les plus fondamentaux de la gestion pour les cadres supérieurs. Les décisions qu’ils prennent ont un impact significatif sur la direction et le succès à long terme de leur entreprise. Cependant, la prise de décision stratégique est loin d’être simple, car elle implique souvent de jongler avec des informations complexes, des incertitudes et des conséquences de grande envergure. Pour aider les cadres supérieurs à naviguer dans ce domaine délicat, voici les dix techniques essentielles qui peuvent les guider vers des décisions stratégiques éclairées.

1/ La planification stratégique

La planification stratégique est le point de départ de toute prise de décision stratégique efficace. Les cadres supérieurs doivent commencer par définir une vision claire de la direction que l’entreprise doit prendre. La planification stratégique établit les objectifs à long terme, les priorités et les ressources nécessaires pour les atteindre. Elle crée une feuille de route qui guide toutes les futures décisions.

2/ L’analyse SWOT

L’analyse SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces) est un outil puissant pour évaluer la situation actuelle de l’entreprise. En identifiant les forces et les faiblesses internes de l’entreprise, ainsi que les opportunités et les menaces externes, les cadres supérieurs peuvent mieux comprendre l’environnement dans lequel ils évoluent. Cela leur permet d’ajuster leur prise de décision en conséquence.

3/ La collecte de données

La collecte de données est une étape déterminante pour étayer les décisions stratégiques. Les cadres supérieurs doivent s’appuyer sur des informations précises et actuelles pour évaluer les options disponibles. Cela peut inclure des données financières, des données de marché, des rapports de performance, des retours d’expérience des clients, des études de cas, des indicateurs clés de performance (KPI), etc. Plus les données sont complètes et fiables, plus les décisions peuvent être éclairées.

4/ L’analyse coûts-avantages

L’analyse coûts-avantages est une technique essentielle pour évaluer la viabilité économique d’une décision stratégique. Elle consiste à comparer les avantages potentiels aux coûts associés à une décision donnée. Les cadres supérieurs doivent examiner les coûts à court et à long terme ainsi que les avantages tangibles et intangibles. Cela les aide à déterminer si une action stratégique est justifiée du point de vue économique.

5/ La prise en compte des parties prenantes

Les cadres supérieurs doivent tenir compte des parties prenantes internes et externes lors de la prise de décision. Cela inclut les employés, les actionnaires, les clients, les fournisseurs, les partenaires et d’autres acteurs clés. Comprendre leurs besoins, leurs attentes et leurs préoccupations peut guider la prise de décision et contribuer à un soutien plus large pour la décision finale.

6/ L’analyse des scénarios

L’analyse des scénarios est une approche stratégique qui consiste à envisager différentes situations possibles en fonction des décisions prises. Les cadres supérieurs peuvent explorer les conséquences de chaque scénario, anticiper les risques et les opportunités, et prévoir des mesures d’atténuation des risques. Cette technique les aide à prendre des décisions plus éclairées et à être mieux préparés pour l’avenir.

7/ La consultation d’experts

Dans de nombreuses situations complexes, il peut être bénéfique de consulter des experts ou de solliciter des avis externes. Les cadres supérieurs peuvent bénéficier de l’expertise de conseillers, de consultants, d’un comité consultatif ou d’autres professionnels pour obtenir des informations spécialisées et des recommandations pertinentes. Cette consultation peut apporter un nouvel éclairage et des perspectives fraîches aux décisions stratégiques.

8/ L’alignement sur la vision

Les décisions stratégiques doivent être alignées sur la vision et les objectifs à long terme de l’entreprise. Les cadres supérieurs doivent s’assurer que chaque décision contribue à la réalisation de cette vision. Cela garantit que les actions de l’entreprise sont cohérentes et orientées vers un objectif commun.

9/ L’évaluation des risques

Toute décision stratégique comporte des risques. Les cadres supérieurs doivent évaluer ces risques de manière proactive et systématique. Ils doivent identifier les risques potentiels, évaluer leur probabilité et leur impact, et élaborer des plans d’atténuation pour faire face à d’éventuelles complications. Cette approche permet de réduire les surprises et d’assurer une meilleure préparation à la gestion des risques.

10/ L’agilité

L’agilité est devenue de plus en plus nécessaire. Les cadres supérieurs doivent être prêts à ajuster leurs décisions stratégiques en fonction des changements rapides de l’environnement commercial. Ils doivent anticiper des ajustements et des révisions périodiques pour rester alignés sur les objectifs stratégiques et réagir rapidement aux nouvelles opportunités ou aux menaces émergentes.

La prise de décision stratégique est un art complexe. Elle nécessite à la fois une planification minutieuse, une analyse approfondie et une compréhension des besoins des parties prenantes.

La stratégie de la pénalité : « je préfère payer des pénalités de retard »

Lorsqu’il s’agit de gérer son temps, les entrepreneurs audacieux ont toujours une longueur d’avance. Ils ont une approche unique pour jongler avec les priorités, les réunions, et les échéances. Une de ces stratégies peu orthodoxes, c’est ce que j’aime appeler la « stratégie du ‘je préfère payer des pénalités de retard ». Si vous êtes prêt à embrasser votre côté intrépide, voici comment vous pouvez gérer votre temps à la manière d’un entrepreneur audacieux.

Le déclic de la dernière minute

La première étape de la stratégie consiste à admettre que vous êtes un procrastinateur invétéré. Ne craignez pas la procrastination, embrassez-la ! Laissez-vous bercer par le doux chant de la procrastination, en vous disant que les pénalités de retard ne sont que des frais d’inscription pour le spectacle extraordinaire de la procrastination. Pour devenir un vrai professionnel de la procrastination, commencez par ignorer toutes les alarmes de votre calendrier. Les rappels ? Qui en a besoin ? Au lieu de cela, attendez toujours la dernière minute pour tout. Les réunions, les tâches, les réservations, vous les planifiez dans votre tête, mais le moment venu, vous êtes ailleurs. Les entrepreneurs audacieux ne se laissent pas encombrer par le « tout de suite » ou le « immédiatement. » Ils ont un style de vie plus détendu  pour ainsi dire.

La course contre la montre

Maintenant, vous avez atteint le point où vous avez une échéance imminente et plusieurs tâches à accomplir. Il est temps d’entrer en mode « course contre la montre. » Les entrepreneurs audacieux aiment se sentir poussés dans leurs retranchements, car c’est là qu’ils estiment être le plus créatifs.

Astuce supplémentaire : si vous travaillez dans un bureau, assurez-vous de soupirer bruyamment, de taper frénétiquement sur le clavier, et de jeter des regards paniqués à votre collègue le plus proche. Cela créera un environnement stimulant pour tout le monde. Si vous travaillez à domicile, assurez-vous que votre animal de compagnie vous observe avec un mélange de confusion et d’inquiétude.

Les pénalités de retard, vos amies

Les pénalités de retard sont le pain quotidien de l’entrepreneur audacieux. Ils ne les considèrent pas comme des amendes, mais comme des investissements dans la maîtrise de la gestion du temps. Vous payez un petit supplément pour savourer la douce victoire de la procrastination. N’hésitez pas à expliquer à vos collègues que les pénalités de retard font partie intégrante de votre stratégie de gestion du temps. « Pourquoi faire quelque chose à l’heure quand je peux le faire en payant un petit extra plus tard ? » est une phrase que vous devriez avoir sous la main pour expliquer votre philosophie.

Aussi, préparez une présentation PowerPoint sur le « rendement des pénalités de retard » et organisez une réunion improvisée pour en discuter avec vos collègues. Cela montrera que vous êtes un penseur stratégique qui comprend l’économie du temps.

L’excuse créative

Les entrepreneurs audacieux sont des maîtres de l’excuse créative. Après tout, quand vous choisissez de procrastiner, il faut être prêt à justifier vos actions (ou l’absence d’actions). Voici quelques excuses pour votre boîte à outils :

  • « J’ai eu une révélation créative de dernière minute qui a complètement changé ma vision du projet. »
  • « Le délai était trop court pour un travail de qualité, donc j’ai choisi la qualité. »
  • « La procrastination est ma forme d’art préférée. »
  • « Je préparais un café, et la cafetière a fait exploser. Je me suis retrouvé dans une crise de caféine. »

Pour ajouter une couche de crédibilité à vos excuses, assurez-vous de garder un calepin avec vous en permanence pour noter ces moments « d’inspiration de dernière minute. »

La victoire au bout de la ligne

Cette stratégie peut sembler risquée, mais pour les entrepreneurs audacieux, c’est un moyen de rester constamment en mouvement. La montée d’adrénaline lorsque la date limite approche est leur carburant.

La prochaine fois que quelqu’un vous critiquera pour vos pénalités de retard, répondez avec un sourire narquois : « Je suis un entrepreneur audacieux de la gestion du temps, et j’ai choisi de vivre au bord du précipice » Après tout, c’est ce qui fait de vous un professionnel de l’art de gérer son temps à la manière d’un entrepreneur audacieux.

Attention : article humoristique à ne surtout pas prendre au sérieux

Comment mettre en place une démarche de voice of customer ?

Le concept de Voice Of Customer (VOC), souvent traduit en français par « la voix du client », n’est pas qu’un simple buzzword du marketing moderne. Il représente une philosophie centrée sur le client, qui donne la priorité à ses besoins, attentes et expériences. Dans un monde dominé par la concurrence et l’innovation, les entreprises ne peuvent plus se contenter d’imaginer ce que veulent leurs clients. Elles doivent les écouter activement – et c’est là que le VOC entre en jeu.

Avant toute chose : pourquoi est-il capital de ne pas zapper le VOC ?

Le Voice Of Customer est plus qu’un outil méthodologique : c’est un levier stratégique. Il capte les feedbacks à des moments clés, co-construit avec les clients et valide la pertinence d’un marché. Par son intermédiaire, il permet de :

  • Tester de nouveaux concepts innovants avant lancement (évaluation risque/succès).
  • Saisir l’opinion sur des évolutions d’offres.
  • Collaborer avec la clientèle pour innover.
  • Mesurer la satisfaction sur des offres spécifiques.
  • Recueillir les retours pour garder un avantage concurrentiel.
  • Identifier des segments ou zones prioritaires, etc.

Contrairement aux méthodes traditionnelles, le VOC adopte une approche holistique, analysant chaque interaction du client avec la marque, des premiers contacts aux retours après-vente. En bref, le Voice Of Customer est un outil polyvalent qui permet de vérifier, calibrer, tester, questionner, et arbitrer sur des décisions stratégiques et des produits innovants à venir.

1ère étape : la sensibilisation

La première étape de tout programme VOC est fondamentale : la sensibilisation. Avant même de penser à la collecte d’avis ou à l’analyse des retours, il est essentiel d’ancrer profondément la vision customer-centric dans l’essence même de l’entreprise. Voir à travers les yeux du client exige empathie, écoute et un engagement transversal au sein de l’entreprise. Ne précipitez pas ce processus : sensibilisez et formez vos équipes. La VOC, c’est un marathon, non un sprint.

Le risque, cependant, est celui de ne pas voir la fin de cette étape. Il faut dire qu’une telle démarche implique une remise en question de l’entreprise et de son ADN : quel est son message ? Ses objectifs ? Ses envies pour l’avenir ?

Notre conseil : toujours prendre le temps d’explorer toutes les possibilités avec ses clients, tout en limitant dans le temps ces échanges. L’instauration d’une deadline est le meilleur moyen que l’étape de sensibilisation ne tombe pas ni dans la procrastination , ni dans des brainstormings contradictoires à n’en plus finir…

2nd étape : la collecte

L’état d’esprit étant établi, on s’attaque à la collecte. L’enjeu ? Englober l’ensemble des interfaces avec vos clients. Du feedback sur votre site à la conversation au SAV, en passant par les échanges sur les réseaux sociaux, l’éclectisme est de mise. Il faut adopter une démarche proactive, tout en restant à l’écoute des retours spontanés.

Pour obtenir un maximum d’avis de qualité, n’oubliez pas d’être à la fois actif en sollicitant des avis, ainsi que passif en analysant ceux déjà disponibles.

3e étape : l’analyse

Avec une mine d’avis collectés, vient la tâche colossale de les analyser. Les retours que vous obtiendrez seront variés, tant dans leur format que dans leur contenu. Utilisez des outils dédiés pour classer, analyser et redistribuer ces données. Ils vous aideront à dégager des tendances, des points d’amélioration ou encore des forces sur lesquelles capitaliser. Ils vous guideront vers des axes d’amélioration et des opportunités à saisir.

4e étape : l’action

L’analyse, si perspicace soit-elle, trouve sa véritable valeur dans l’action. Qu’il s’agisse d’une optimisation produit, d’une refonte UX ou d’un pivot stratégique, chaque décision doit émaner d’un retour client.

Eh oui : les insights tirés de l’étape d’analyse ne sont utiles que s’ils débouchent sur des actions concrètes ! Gardez toujours en tête que chaque action doit découler d’un feedback client. Cette étape est cruciale pour montrer à vos clients que leur voix compte et qu’elle engendre un changement positif.

5e étape : l’évaluation

Enfin, toute stratégie, aussi bien pensée soit-elle, doit être évaluée. Les indicateurs de Voice Of Customer les plus connus sont le Net Promoter Score, ou encore la croissance du panier moyen. Ces indicateurs scrutent à la loupe l’efficience de votre approche. Ils orientent, ajustent et peaufinent votre démarche en continu.

Ils vous aideront donc non seulement à quantifier le ROI de votre stratégie VOC, mais aussi à ajuster, affiner et améliorer continuellement votre approche.

En synthèse sur l’approche Voice Of Customer

Adopter une approche Voice of Customer ne se résume pas à une simple collecte d’avis. C’est un engagement stratégique profond qui requiert une sensibilisation intense, une collecte exhaustive, une analyse méticuleuse, une action ciblée et une évaluation rigoureuse.

Bien orchestré, le VOC est le levier qui propulse l’entreprise vers l’excellence et la différencie sur un marché concurrentiel.

Comment exploiter la réalité virtuelle pour des présentations et des démonstrations produits interactives ?

La réalité virtuelle (RV) a évolué bien au-delà du domaine du divertissement pour devenir une technologie révolutionnaire. Les entreprises découvrent que la RV peut être un outil puissant pour des présentations et des démonstrations produits interactives. Cette technologie immersive offre la possibilité de transporter les clients, partenaires et employés dans un environnement virtuel où ils peuvent explorer, interagir et découvrir des produits de manière inédite. Voici comment l’exploiter.

Les avantages de la réalité virtuelle

La réalité virtuelle est une technologie qui plonge l’utilisateur dans un environnement entièrement numérique et immersif. Grâce à un casque VR, les utilisateurs peuvent explorer des mondes virtuels, interagir avec des objets et des scénarios, et vivre des expériences comme s’ils étaient physiquement présents. Les entreprises intègrent de plus en plus cette technologie pour améliorer leurs présentations et leurs démonstrations produits.

Les avantages de la réalité virtuelle pour les présentations et les démonstrations produits

1/ Engagement accru

La RV suscite un niveau d’engagement inédit. Lorsque les clients et les partenaires sont immergés dans un environnement virtuel, ils sont plus susceptibles de se concentrer sur le contenu présenté. Les présentations deviennent plus mémorables, ce qui peut influencer les décisions d’achat. La capacité de plonger les participants dans un environnement virtuel immersif capte leur attention de manière plus efficace que les présentations traditionnelles.

2/ Exploration interactive

La RV permet aux utilisateurs d’explorer des produits de manière interactive. Vous pouvez afficher un produit sous tous les angles, l’ouvrir, le manipuler et même le personnaliser en temps réel. Cela offre une expérience d’achat plus proche de la réalité. Par exemple, dans le secteur de l’automobile, les clients peuvent s’asseoir virtuellement dans un véhicule, explorer l’intérieur, changer les options de couleur, et ressentir une expérience proche de celle de l’achat physique.

3/ Tests pratiques

Pour les produits complexes ou techniques, la RV permet aux clients de les tester virtuellement. Par exemple, un client peut tester un véhicule, un appareil électronique ou un équipement industriel dans un environnement virtuel avant de prendre une décision d’achat. Cela permet aux clients de se familiariser avec le produit et d’expérimenter son fonctionnement avant de passer à l’achat, réduisant ainsi le risque de retour.

4/ Économies de coûts

La RV peut réduire les coûts liés aux déplacements, à la logistique et aux échantillons physiques. Elle permet de présenter des produits dans un environnement virtuel sans avoir besoin de produire des prototypes physiques coûteux. Cela est particulièrement avantageux pour les entreprises qui proposent des produits coûteux à produire ou difficiles à transporter pour des démonstrations.

5/ Personnalisation

Les présentations et les démonstrations en RV peuvent être adaptées à chaque client. Vous pouvez personnaliser l’expérience pour répondre aux besoins et aux préférences spécifiques de chaque partie prenante. Par exemple, un client peut voir une démonstration de produits qui met en évidence les fonctionnalités les plus pertinentes pour son utilisation spécifique.

Les étapes pour exploiter la réalité virtuelle efficacement

Avant de vous lancer dans l’univers de la réalité virtuelle, la première étape est de définir clairement vos objectifs. Il est essentiel de savoir ce que vous souhaitez accomplir avec vos présentations et démonstrations en RV, que ce soit pour augmenter les ventes, améliorer la compréhension du produit ou accroître l’engagement client. Un objectif bien défini vous servira de guide tout au long de ce processus.

Le choix de la technologie appropriée est une étape suivante importante. Sur le marché, vous trouverez une variété de casques VR, chacun avec ses caractéristiques spécifiques. Il est essentiel de sélectionner la technologie qui correspond le mieux à vos besoins. Assurez-vous également que votre contenu en RV est compatible avec les casques les plus couramment utilisés afin d’atteindre un public plus large. N’oubliez pas de prendre en compte l’infrastructure technique nécessaire pour garantir une expérience VR fluide.

Aussi, la qualité du contenu est fondamentale. Investissez dans la création de modèles 3D de haute qualité pour vos produits. Une expérience en RV convaincante dépend de la qualité et de l’interactivité du contenu. Collaborez avec des professionnels de la modélisation 3D et de la conception pour créer des environnements virtuels réalistes qui reflètent fidèlement la réalité, en incluant des rendus de produits, des animations interactives et même des scénarios pour guider l’expérience des utilisateurs.

Manager des managers

Il existe une vraie différence entre le management direct et le management de managers. Manager des managers, ce n’est pas du tout la même chose que d’animer une équipe. Même si bon nombre de concepts s’appliquent également aux managers en direct : le feed-back, l’écoute active, l’attitude positive ou la recherche de solutions par l’autre, l’impact des actions n’est pas le même. Il est forcément décuplé et démultiplié.

Les clés pour réussir

Voici quelques clés pour réussir dans ce très beau métier de manager de managers.

1/ La nécessité de donner du sens

Pour commencer, plus le manager donnera de sens à ses décisions, à ses actions et partagera sa vision avec eux, plus ils seront en capacité de le faire au sein de leurs propres équipes. Donner du sens et s’assurer que la vision est partagée représente un point essentiel dans le management de managers. On peut considérer que c’est la base même du management. I

Toutes les étapes de transmission de l’information ont leur importance : donner du sens, s’assurer qu’ils l’ont compris, qu’ils le partagent, qu’ils y adhérent et qu’ils sauront le faire partager à leur tour.

2/ La nécessité d’être un manager exemplaire

Évidemment vous devez également d’incarner cette volonté et cette stratégie. Nous allons donc parler ici de la puissance de l’exemplarité. Tel l’enfant qui préférera faire comme il voit faire plutôt que comme on lui dit de faire, les managers adopteront un comportement souvent similaire à celui de leur manager. La maxime : « avant de changer les autres, commence par te changer toi-même » trouve ici toute sa légitimité.

3/ Le manager coach, développeur de compétences

Le manager de managers est également plus un manager-coach. Il doit chercher à développer les compétences de ses collaborateurs et leur autonomie. En fonction du niveau de maturité de ses collaborateurs : nouveaux managers ou managers expérimentés, il ajustera les modalités.

Lorsque le sens est donné, la vision partagée, le manager veillera à les responsabiliser dans leurs actions. Par exemple, il pourra définir les objectifs et laisser toute latitude aux managers pour définir les moyens qu’ils jugent les plus appropriés.

4/ Le manager doit partager et échanger

La responsabilisation des managers passe évidemment par le fait que ce sont eux qui animent leurs équipes et chacun de leurs collaborateurs. Le manager intervient auprès de ses managers et non pas directement auprès des collaborateurs de ses collaborateurs.

Favoriser le partage et l’échange, le travail en équipe et l’interdépendance constitue un objectif à part entière du manager de managers. Là aussi l’exemplarité et les comportements du manager feront office de modèle pour ses collaborateurs.

L’exemple d’une action mise en place

Je partage avec vous ce que j’ai mis en place pour commencer chacun de mes comités de direction : « le tour de table de l’orpailleur ». Chacun des directeurs prend la parole pendant quelques minutes pour partager une action réussie, une fierté, un succès et en tirer un enseignement au niveau management. C’est l’occasion de valoriser une action, un comportement et aussi de co-construire des pratiques managériales communes.

J’avais initié une telle démarche après l’avoir vu faire dans une équipe commerciale où chaque vendeur partageait ses succès et son savoir-faire voire son savoir être. Au-delà de l’intérêt du contenu, c’est un processus qui favorise la coopération ou la coopétition renforçant la performance globale de la structure.

Les principes du management sourire à ne pas oublier

Les principes essentiels du management sourire restent vrais que l’on manage en direct ou que l’on manage des managers. En ce qui me concerne, je résume souvent l’équation du succès à : sens + plaisir = performance. Pour l’avoir expérimenté avec succès dans de grandes entreprises et dans une start-up, avec des collaborateurs marketing, commerciaux ou techniques, des directeurs ou des collaborateurs en direct, j’en déduis que c’est « universel »
Les principes clés du management sourire sont : donner du sens, positive attitude, confiance en soi, en l’autre, en la Vie, authenticité, reconnaissance et bien sûr écoute active.

Conclusion

Et pour conclure je vous invite à regarder ou à re-regarder « Invictus » qui illustre parfaitement tous les propos de cet article et où vous verrez comment Morgan Freeman alias Nelson Mandela remplit pleinement son rôle de manager de managers avec en particulier le capitaine de l’équipe de rugby, François Pienaar interprété par Matt Damon.

Have fun !

Gestion de portefeuille : maximisez les rendements tout en gérant les risques !

La recherche de rendements financiers optimaux tout en minimisant les risques est une quête pour bon nombre d’investisseurs. Pour atteindre cet équilibre délicat, la gestion de portefeuille se révèle être une technique à connaître. Elle est devenue une pièce maîtresse dans la boîte à outils de tout investisseur averti, permettant de maximiser les rendements tout en minimisant les risques potentiels. Explorons ensemble en détail la gestion de portefeuille et son rôle crucial dans la stratégie d’investissement.

L’art de la gestion de portefeuille

La gestion de portefeuille est une démarche méthodique, à la croisée des sciences économiques et de la finance. Elle consiste à sélectionner et à gérer un ensemble diversifié d’investissements dans le but de maximiser les rendements tout en contrôlant les risques. Elle s’appuie sur une analyse rigoureuse des actifs, de la répartition des actifs et des objectifs financiers de l’investisseur. Un de ses piliers fondamentaux la diversification. Cette stratégie repose sur la distribution des investissements sur différents actifs, classes d’actifs ou secteurs. Cette diversification stratégique vise à réduire l’exposition aux risques spécifiques liés à un investissement unique. En conséquence, si un actif connaît des performances décevantes, les autres actifs dans le portefeuille peuvent compenser les pertes. Ils réduisent ainsi le risque global.

Maximiser les rendements

La gestion de portefeuille ne se limite pas à la minimisation des risques. Elle vise également à maximiser les rendements. Les gestionnaires de portefeuille, experts en analyse financière, examinent attentivement les performances passées. Ils le dont également pour les perspectives futures de chaque actif ou classe d’actifs. Ils recherchent constamment des opportunités pour obtenir un rendement optimal tout en maintenant un niveau de risque acceptable.

Pour atteindre cet objectif, la gestion de portefeuille peut inclure des stratégies sophistiquées telles que l’allocation d’actifs, la sélection d’actions ou d’obligations individuelles, l’ajustement des pondérations dans le portefeuille en fonction des conditions du marché, et la gestion active des investissements. Les gestionnaires de portefeuille surveillent en permanence les tendances du marché. Ils apportent des ajustements en fonction des évolutions économiques, politiques et sectorielles.

Gérer les risques

Bien que la recherche de rendements soit primordiale, gérer les risques est tout aussi crucial. La volatilité des marchés financiers peut entraîner des pertes importantes. La gestion de portefeuille vise à minimiser ces pertes potentielles. Les gestionnaires de portefeuille utilisent divers outils et techniques pour contrôler les risques. Ceci que l’on parle de diversification, de fixation de limites de risque, de couverture, de répartition des actifs, et de sélection d’investissements adaptés au profil de risque de l’investisseur.

De plus, la gestion de portefeuille implique souvent une évaluation continue de la performance du portefeuille par rapport aux objectifs financiers définis. Si les rendements ne correspondent pas aux attentes ou si le niveau de risque devient inacceptable, des ajustements sont apportés pour recentrer le portefeuille.

L’Importance de la gestion de portefeuille

La gestion de portefeuille représente un outil incontournable pour les investisseurs cherchant à équilibrer rendements et risques. Elle permet de prendre des décisions éclairées en matière d’investissement. Ceci, en tenant compte des objectifs financiers, du profil de risque et des conditions du marché. Elle offre également une perspective à long terme. En effet, elle aide les investisseurs à résister à la tentation de réagir de manière excessive aux fluctuations du marché. Les professionnels de la finance, tels que les gestionnaires de fonds, les conseillers financiers, les analystes et les économistes, jouent un rôle crucial dans la mise en œuvre de la gestion de portefeuille. Leur expertise et leur expérience sont précieuses pour créer et gérer des portefeuilles diversifiés et optimisés.

Quelques outils & astuces

Voici quelques outils et astuces qui peuvent vous aider à bien pratiquer la gestion de portefeuille :

1/ Outils de gestion de portefeuille

  • Plateformes de trading en ligne : Des plateformes telles que E*TRADE, Interactive Brokers, ou Charles Schwab offrent des fonctionnalités avancées pour la gestion de portefeuille. Elles permettent de surveiller et de gérer vos investissements, d’accéder à des analyses de marché en temps réel, et d’exécuter des transactions.
  • Logiciels de gestion de portefeuille : Des logiciels tels que Morningstar Direct, eFront, ou Bloomberg AIM fournissent des outils de gestion de portefeuille professionnels. Ils aident à analyser la performance de votre portefeuille, à effectuer des simulations et à suivre la conformité aux objectifs d’investissement.
  • Plateformes de gestion de portefeuille en ligne : Des plateformes comme Wealthfront, Betterment et Personal Capital offrent des solutions de gestion de portefeuille automatisées. Elles utilisent des algorithmes pour gérer votre portefeuille en fonction de vos objectifs et de votre tolérance au risque.

2/ Astuces pour une gestion de portefeuille efficace

  • Établissez des objectifs clairs : Avant de commencer, déterminez vos objectifs financiers à court et à long terme. Cela vous aidera à définir la stratégie de votre portefeuille.
  • Diversifiez votre portefeuille : Répartissez vos investissements entre différentes classes d’actifs. On pensera notamment aux actions, obligations, matières premières et immobilier, pour réduire le risque global.
  • Surveillez et rééquilibrez régulièrement : Il est essentiel de surveiller la performance de votre portefeuille et de le rééquilibrer périodiquement. Vous pouvez ainsi maintenir votre allocation d’actifs cible
  • Gardez un œil sur les coûts : Les frais de gestion peuvent avoir un impact significatif sur vos rendements à long terme. Recherchez des investissements à faibles frais pour optimiser vos gains.
  • Évitez la sur-réaction aux nouvelles : Les marchés peuvent être volatils. Il est essentiel de rester discipliné et de ne pas réagir impulsivement aux nouvelles économiques ou aux fluctuations du marché
  • Construisez un portefeuille adapté à votre tolérance au risque : Assurez-vous que votre portefeuille correspond à votre capacité et à votre disposition à prendre des risques. Cela vous aidera à éviter les décisions impulsives en période de volatilité.

Et surtout : éduquez-vous constamment ! Les marchés évoluent, et il est important de continuer à vous former sur les nouvelles tendances, les opportunités d’investissement et les stratégies de gestion de portefeuille.

Les smileys : une pratique à maîtriser !

La communication écrite est aujourd’hui incontournable. Les sms, les emails, les messages instantanés et les plateformes de travail collaboratif sont devenus les canaux privilégiés pour échanger des informations. Au fil du temps, une pratique s’est développée : l’utilisation des smileys ou émoticônes pour exprimer des émotions et des nuances dans nos messages.

Cette pratique soulève cependant des questions quant à son utilisation appropriée et à son impact sur la communication professionnelle.

Les smileys : une forme d’expression émotionnelle

Les smileys, représentés par des combinaisons de caractères tels que 🙂 ou :-D, sont utilisés pour exprimer des émotions dans la communication en ligne. Ils permettent d’ajouter une touche personnelle et de transmettre des sentiments tels que la joie, l’humour, l’ironie ou la tristesse. Dans un contexte professionnel, les smileys peuvent aider à créer une atmosphère conviviale et à établir une relation de travail positive entre collègues, partenaires commerciaux et clients. Surtout, ils permettent de donner un ton à votre message. Ils peuvent vous éviter bien des quiproquos ou bien… en créer. Il faut donc en maîtriser l’usage pour n’en faire ni trop ni pas assez. Le but n’étant pas évidemment que vos messages ressemblent à une charade à décrypter.

L’importance de la maîtrise des smileys

Bien que ils puissent être utiles pour ajouter de l’expression émotionnelle à nos messages, il est crucial de les manier avec prudence et de les utiliser à bon escient dans un contexte professionnel. Ils permettent notamment d’être plus précis dans vos communications : les smileys ajoutent une nuance émotionnelle à nos messages. Cependant, ils ne remplacent pas la communication explicite et précise que les mots possèdent. Parfois, les émoticônes sont mal interprétés, créant ainsi des malentendus. Il est essentiel de s’assurer que nos messages expriment clairement notre intention, en évitant de compter uniquement sur les smileys pour transmettre notre message. Le ton professionnel reste de rigueur dans bon nombre d’échanges. Adopter un ton professionnel est primordial.

L’utilisation excessive de smileys peut donner une impression de légèreté ou de manque de sérieux, ce qui peut nuire à notre crédibilité professionnelle. Il est important de trouver un équilibre entre l’expression émotionnelle et la réserve adéquate pour maintenir des interactions respectueuses et adaptées au contexte professionnel. Nous pouvons établir une analogie avec le tutoiement et le vouvoiement. Certaines personnes détestent la familiarité et donc il vaut mieux cerner les préférences de nos interlocuteurs. Cependant, leur utilisation dépend aussi de la culture d’entreprise : chaque entreprise a sa propre culture et ses normes de communication. Certaines organisations peuvent encourager l’utilisation de smileys pour favoriser une atmosphère détendue. D’autres peuvent préférer une communication plus formelle.

La signification des différents smileys

Il convient de noter que la signification des smileys peut varier en fonction du contexte et de la culture. Il est donc important de les utiliser avec discernement et de prendre en compte la personne à qui vous les adressez surtout dans la vie professionnelle.

Bonnes pratiques dans l’utilisation des smileys

Pour utiliser les smileys à bon escient dans le monde professionnel, voici quelques bonnes pratiques à suivre :

Connaissance du contexte

Avant d’utiliser des smileys, prenez en compte le contexte de la communication. Est-ce une conversation informelle avec des collègues proches ou une discussion formelle avec des partenaires commerciaux ? Adapter l’utilisation des smileys en fonction du contexte garantit une communication appropriée. Il est pertinent de ne pas imposer notre propre culture d’entreprise et d’adapter notre utilisation des smileys à notre destinataire que ce soit un collègue, un manager ou un client…

Modération

Utilisez les smileys avec modération. Évitez de les insérer à chaque phrase ou à chaque email, ce qui pourrait être perçu comme peu professionnel. Réservez-les pour des moments où l’expression émotionnelle est vraiment nécessaire ou pour ajouter une touche de convivialité à des conversations formelles. Ne les utilisez pas pour remplacer un mot dont vous ne connaîtriez pas l’orthographe ou pour éviter de chercher la formule de politesse adaptée au contexte. Un smiley doit se révéler être une valeur ajoutée dans la communication.

Compréhension des significations

Assurez-vous de connaître la signification des différents smileys que vous utilisez. Certains émoticônes peuvent avoir des connotations culturelles ou être interprétés différemment selon les personnes. Prêtez attention aux smileys ethniques qui peuvent susciter des malentendus. Évitez d’utiliser des smileys ambigus ou potentiellement offensants. Par ailleurs, nous avons tendance à les utiliser sans modération dans notre vie privée. Ne confondez pas vie professionnelle et personnelle. 

La signification des différents smileys

Il convient de noter que la signification des smileys peut varier en fonction du contexte et de la culture. Il est donc important de les utiliser avec discernement et de prendre en compte la personne à qui vous les adressez surtout dans la vie professionnelle.

  • 🙂 ou 🙂 Sourire, content, satisfaction.
  • 😀 Rire, joie extrême.
  • 🙁 ou 🙁  Tristesse, déception.
  • :-/ ou :/ Incertitude, perplexité.
  • 😉 ou 😉 Clin d’œil, complicité, plaisanterie.
  • 😛 ou 😛 Langue tirée, taquinerie.
  • :-O ou :O Surprise, étonnement.
  • 😐 ou 😐 Indifférence, ennui.
  • 😀 Rire, Grande joie.
  • :’) Rire aux larmes, émotion intense.
  • :-* ou :* Baiser, affection.
  • <3 Cœur, amour.

Top 10 stratégies pour gérer les conflits entre associés

Les conflits entre associés sont quasiment inévitables. Que vous dirigiez une petite startup, une entreprise familiale ou une grande société, la collaboration entre associés peut parfois être source de désaccords. Cependant, la manière dont ces conflits se gèrent peut faire toute la différence dans la réussite et la pérennité d’une entreprise. Voici les dix stratégies essentielles pour gérer les conflits entre associés.

1/ Établissez des bases solides dès le départ

La prévention est souvent la meilleure approche. Au moment de la création de l’entreprise, rédigez un accord d’associés clair et complet. Il doit définir les rôles, les responsabilités, les droits de vote et les règles de prise de décision. Incluez des clauses sur la résolution des conflits pour offrir un cadre de référence pour leur résolution. Cela peut réduire considérablement les sources potentielles de conflits.

2/ Favorisez la communication ouverte

La communication est la clé pour résoudre les conflits. Encouragez les associés à exprimer ouvertement leurs préoccupations, leurs idées et leurs opinions. Organisez des réunions régulières pour discuter des problèmes potentiels et assurez-vous que chaque associé a la possibilité de s’exprimer. Un climat de communication ouverte permet aux associés de se sentir entendus et respectés.

3/ Implémentez un processus de médiation

Lorsque les désaccords surviennent et que les discussions directes ne suffisent pas à les résoudre, envisagez d’impliquer un médiateur neutre pour faciliter les discussions et trouver des solutions mutuellement acceptables. Un tiers impartial peut aider à désamorcer les tensions, à encourager le dialogue et à éviter que les conflits ne s’enveniment.

4/ Identifiez les intérêts communs

Au lieu de vous concentrer sur les positions opposées, encouragez vos associés à explorer les intérêts communs qui sous-tendent leurs préoccupations. Identifier ce qui est bénéfique pour l’entreprise et pour chaque associé peut aider à réduire les conflits et à orienter la discussion vers des solutions gagnant-gagnant. Cette approche encourage la collaboration au lieu de la confrontation.

5/ Développez des compétences de résolution de conflits

La résolution de conflits est une compétence essentielle pour les dirigeants d’entreprise. Investissez dans la formation de vos associés pour développer leurs compétences en gestion de conflits. Les ateliers de formation et le coaching peuvent les aider à mieux gérer les désaccords, à améliorer leurs compétences en communication et à transformer les conflits en opportunités de croissance.

6/ Respectez les processus de prise de décision

Il est essentiel d’avoir des processus de prise de décision clairs et respectés. Cela garantit que chaque associé sait comment les décisions sont prises et comment elles peuvent influencer le résultat. Les décisions prises en suivant un processus défini sont plus susceptibles d’être acceptées par tous, car elles éliminent les ambiguïtés et les doutes.

7/ Équilibrez le pouvoir

Les conflits entre associés peuvent souvent découler d’un déséquilibre de pouvoir. Veillez à ce que chaque associé ait une influence équitable dans les décisions stratégiques. Cela peut être réalisé en définissant des droits de vote proportionnels ou en attribuant des responsabilités spécifiques en fonction des compétences et des intérêts de chaque associé.

8/ Évitez les conflits d’intérêts

Assurez-vous que les associés évitent les conflits d’intérêts en se montrant transparents sur leurs relations personnelles et financières en dehors de l’entreprise. La transparence peut aider à maintenir la confiance et à prévenir les conflits potentiels. Mettez en place des politiques pour identifier et gérer les conflits d’intérêts potentiels.

9/ Respectez les accords existants

Si un accord d’associés ou un contrat existe, il est essentiel que tous les associés le respectent. Ignorer ou violer ces accords peut entraîner des litiges et des conflits juridiques coûteux. Assurez-vous que les documents juridiques sont à jour et reflètent la réalité des opérations de l’entreprise.

10/ Cherchez un consensus

Lorsque des décisions importantes doivent être prises, recherchez un consensus autant que possible. Un consensus signifie que chaque associé est d’accord avec la décision, ce qui peut réduire la probabilité de conflits ultérieurs. Cependant, il est important de noter que dans certains cas, un consensus absolu peut être difficile à atteindre, et il peut être nécessaire de prendre des décisions majoritaires ou basées sur des critères prédéfinis.