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Trois exemples de boîtes qui ont su gérer une communication de crise

Aujourd’hui l’heure est, pour nombre d’entrepreneurs, de se trouver en face d’une communication de crise. Aussi, l’inquiétude s’empare d’eux car cette crise n’est pas seulement financière. Celle-ci est humaine et touche le cœur de l’entreprise car sans salariés l’entreprise se meurt. L’entrepreneur est déjà aguerri aux difficultés. Par ailleurs, il est un expert à rechercher des solutions lorsque les difficultés surgissent. Pour ne pas se laisser aller à la panique ni au découragement, l’entrepreneur a souvent comme devise ‘le courage c’est de ne pas perdre espoir.

Comme toute entité vivante, une entreprise est soumise à une crise aiguë et inattendue. En outre, l’hypermédiatisation entraîne une crise médiatique qui peut s’avérer dévastatrice. L’expérience montre que préparée en amont, la communication de crise, peut permettre de sortir par le haut de ces périodes difficiles. Trois exemples de boîtes qui s’en sont plutôt bien sorties !

Aéroport de Paris : le terminal 2E s’effondre

Mai 2004, le nouveau terminal 2E de Roissy-Charles-de-Gaulle s’effondre. Six personnes trouvent la mort et de nombreuses autres sont blessées. La direction d’Aéroport de Paris doit gérer les interrogations légitimes des médias et la pression des autorités politiques. Celle-ci prend le taureau par les cornes. La direction ne se dérobe pas face à la pression médiatique et se présente à la presse pour répondre aux questions. 

Il est d’emblée, annoncé que la sécurité est l’absolue priorité de l’entreprise, le terminal sera si nécessaire rasé ! Cependant, l’entreprise n’émet aucune contre-vérité et ne livre aux médias que des éléments vérifiés sans aucune conjecture. Les points presse ont une forte orientation pédagogique. Pourtant, l’entreprise se mobilise auprès des familles concernées pour assurer la continuité du service public. De fait, cette stratégie de transparence, de mobilisation et de compassion affichée permet à la société parisienne de limiter les dégâts en termes d’image.

Leclerc : la crise du steak haché

Fin octobre 2005, un lot de steaks hachés, de la marque Chantegrill, vendu par les supermarchés Leclerc, déclenche une vague d’intoxication alimentaire causée par la bactérie Escherichia coli. En effet, une quinzaine d’enfants sont dans un état grave. Les médias s’emparent massivement de l’affaire et le distributeur est sur la sellette. Très vite, la direction de Leclerc constitue une cellule de crise. Elle réunit le responsable qualité, l’acheteur produit, le chef de marché, le docteur vétérinaire conseil, la spécialiste logistique industrielle, le service de communication interne et externe. Cette dernière se met en relation directe avec les administrations concernées (santé et agriculture). 

Sans tarder, ils décident le retrait de tous les produits potentiellement incriminés des points de vente. Parallèlement, toute l’entreprise se mobilise sans compter pour tracer précisément l’origine du problème et retrouver les clients victimes des lots suspects. Leclerc, sans se défausser, définit le périmètre de responsabilité, la faute revient au fournisseur dont il se sépare automatiquement.

 La réactivité de Leclerc et sa pro-activité auprès des pouvoirs publics face à cette situation fournissent des réponses concrètes et argumentées aux médias. Plus encore, l’enseigne ne minimise pas ses responsabilités et affiche son empathie pour les victimes. L’efficacité de sa cellule de crise est mise en avant grâce à la rapidité de l’identification des lots infectés et par le retrait immédiat des produits de même origine. La stratégie de communication s’avère payante et l’enseigne préserve l’image de son label.

Toyota : 16 millions de voitures rappelées !

Été 2009, un tragique accident décime une famille en Californie. Le tapis de sol et le système de freinage de sa Lexus est mis en cause. La firme japonaise décide de rappeler 16 millions de véhicules dans le monde entre novembre 2009 et février 2011. Dans cette crise de longue haleine, la communication du constructeur automobile est, la première année, désastreuse. Silence et rejet des responsabilités sur ses fournisseurs lui attirent les foudres médiatiques. 

Courant 2010, changement radical de stratégie. Un slogan publicitaire spécifique est lancé : « une bonne entreprise répare ses erreurs, une grande entreprise en tire les leçons «. Transparence et expertise des équipes sont alors mises en avant. Toyota ouvre ses portes aux médias pour prouver que tout son talent de constructeur est mis au service de la résolution des problèmes, dans un souci de sécurité optimale de ses clients. Un changement de stratégie payant qui sauve la réputation de la marque.

Si ces boîtes ont su répondre efficacement aux difficultés, c’est bien parce qu’elles avaient, en amont, une idée précise de leur organisation en temps de crise. Réactivité, transparence et empathie avec d’éventuelles victimes sont les piliers de ces communications de crise réussies. Néanmoins, il convient de rappeler qu’une communication efficace ne peut s’appuyer que sur des décisions opérationnelles cohérentes !

Comment animer son site internet pour le rendre attractif ?

Le site internet, comme pour n’importe quelle communication, répond d’abord à notre propre vision qui est qu’on le veuille ou non limitée. Il est important de se relier à tous les internautes qui vont le consulter et donc de penser à la diversité des personnes (clients, journalistes, étudiants, concurrents, personnes en recherche d’emploi…) pour que chaque internaute ait envie d’y rester.

Internet étant devenu un outil de communication indispensable, toute entreprise se doit d’avoir son propre site sur la toile pour pouvoir communiquer sur ses produits, offres, services, et ainsi faire sa propre promotion auprès du public. Si posséder un site internet représente une première étape, encore faut-il l’animer et le rendre attractif auprès des internautes. Voici quelques pistes à suivre.

Favorisez les actualités

Il est judicieux de mettre en place un sous-menu « Actualités » au sein de votre site internet. A l’intérieur de ce menu, vous pourrez publier de nombreux contenus toujours en lien avec votre entreprise : vous êtes présents sur un salon, vous vous implantez dans une nouvelle région ? Faites-le savoir !
Certaines entreprises plus « familiales » vont même jusqu’à présenter leurs nouveaux collaborateurs, publier des photos des équipes, etc. Les contenus sont à choisir en fonction de l’image que vous voulez donner, le tout en ayant toujours l’accord des personnes présentes sur les photos. N’hésitez pas non plus à publier des articles sur vos nouveaux produits, vos promotions en cours, ou encore à mettre en valeur vos nouveaux clients avec l’autorisation de ceux-ci. Toute nouveauté est bonne à partager pour rendre votre site actif et plus proche des internautes. Vous pouvez également choisir de réagir à des actualités plus générales en lien avec votre profession.

Utilisez les réseaux sociaux

Ils sont désormais indissociables de votre site internet. Bien utilisés, ils peuvent vous rapporter de l’audience, et prouvent que vous êtes à la page en partageant toutes vos actualités. Si certaines nouveautés ne valent pas la peine de publier tout un article, un petit tweet peut faire l’affaire. Il faut donc intégrer ces réseaux sociaux directement à votre site internet pour que chaque visiteur puisse y voir votre activité en direct.

Relayez des événements

Pourquoi ne pas organiser de temps à autre des événements dont vous ferez publicité sur votre site ? Vous pouvez notamment organiser des petits jeux concours pour vos clients, salariés et prospects, ou encore des repas, apéritifs dînatoires, etc. Prouvez ainsi que vous êtes une société dynamique et proche de votre clientèle.

Publiez un contenu actualisé

Animer un site internet, ce n’est pas publier à tort et à travers. Il faut savoir se renouveler occasionnellement. Pourquoi ne pas changer le design de votre site régulièrement ? Publier de nouvelles photos en page d’accueil ?
Actualisez également vos contenus en fonction des évolutions de votre société : nouvelle gamme de produits, mise en place de nouveaux services, etc. En fonction de l’activité de votre entreprise, il peut être judicieux de mettre en place un petit « tchat » de support en ligne. Les internautes peuvent ainsi communiquer directement avec une personne dédiée de votre entreprise et votre image s’en verra améliorée.

A vous de mettre régulièrement à jour votre site internet en fonction de la ligne éditoriale que vous aurez choisie. Le but est d’éveiller la curiosité des internautes, de les solliciter et de les faire réagir. Vous pouvez ainsi être sûr d’obtenir des retours positifs.

Les secrets de 3 entrepreneurs à succès

Dynamique vous dévoile 3 secrets d’entrepreneurs à succès : Olivier Denis Du Péage, président de Quies, Sébastien Bequart, CEO et co-fondateur de Gymlib et Isabelle Weil, cofondatrice de La Cour Au Jardin « Immobilier de charme et Art de Vivre – Mandataires indépendants » et associée de hunted.com. Cofondatrice de « CCM Benchmark ».

5 Clés de la réussite d’Olivier Denis Du Péage, président de Quies.

1 – Une fabrication « Made in France ».

Quies est passée d’une fabrication artisanale à un procédé ainsi qu’à un conditionnement complètement automatisés pour accompagner le développement en masse d’un produit plébiscité par les consommateurs.

2 – Un produit transmis de génération en génération.

La boule Quies® est indémodable et les produits de la gamme auditive s’adressent à tous : hommes, femmes, enfants, seniors, étudiants… Utilisés au moins une fois par semaine, ils sont présents dans la sphère intime (chambre, salle de bain).

3 – Une entreprise familiale.

Les cycles de décision sont courts, la gestion n’est pas ostentatoire et la vision porte sur le long terme. En plus d’un service R&D, chaque membre de la famille participe à la réflexion stratégique. L’investissement, la confiance et l’enthousiasme sont les clés de notre longévité !

4 – L’international.

Quies, c’est le « Made in France » qui s’exporte. 25 % du chiffre d’affaires est généré en export, dans 25 pays d’Europe, en Proche-Orient et au Maghreb. Un axe de stratégie essentiel pour l’entreprise.

5 – La proximité.

Avec nos clients via une stratégie de sensibilisation au bruit, une démarche de communication autour du produit et par une disponibilité dans un double circuit : en pharmacies (plus de 6 000 points de vente) et parapharmacies, et en grande distribution. On trouve les produits Quies® partout près de chez soi !

5 Clés de la réussite de Sébastien Bequart, CEO et co-fondateur de Gymlib.

1 – L’association.

Trouver des associés s’est révélé un élément fondamental dans l’aventure de Gymlib. Nous sommes trois fondateurs qui ont la même vision et des compétences complémentaires.

2 – La persévérance.

Un entrepreneur, c’est quelqu’un qui doit croire dans son entreprise tous les jours, persévérer même lorsque les mauvaises nouvelles arrivent dans le fonctionnement de son entreprise.

3 – L’ambition.

C’est l’une des valeurs qui nous tient à cœur chez Gymlib, que nous essayons de transmettre à toute l’équipe et qui parfois est mal perçue dans d’autres entreprises.

4 – L’esprit d’équipe.

Notre ADN est centré sur le sport dans lequel l’esprit d’équipe est capital et il se révèle être une valeur essentielle pour l’entreprise.

5 – Rencontrer et échanger.

Je recommande aux entrepreneurs de rencontrer d’autres entrepreneurs pour échanger sur leur entreprise afin de récolter des conseils fructueux et de discuter ensemble des risques. Il ne faut pas hésiter à rencontrer ses clients également.

5 Clés de la réussite d’Isabelle Weil, cofondatrice de La Cour Au Jardin « Immobilier de charme et Art de Vivre – Mandataires indépendants » et associée de hunted.com. Cofondatrice de « CCM Benchmark ».

1 – Bien s’entourer et recruter.

Recruter c’est vraiment le premier secret. Déléguer et toujours se demander si la personne possède le potentiel pour vous remplacer, ne pas avoir peur de prendre des candidats de grande valeur car ils seront source de créativité. Les erreurs de recrutement coûtent très cher en temps et en énergie.

2 – Suivre son intuition.

Je dis toujours que les plus grosses erreurs que j’ai faites, c’est quand je n’ai pas écouté mon intuition. Il faut essayer de ne pas trop rationaliser notamment en recrutement. Il faut s’écouter quand on ne sent pas quelque chose.

3 – Aimer le risque et voir grand.

Si vous avez une aversion totale à la prise de risque, vous ne pouvez pas réussir en tant qu’entrepreneur. Cela fait partie du jeu de savoir que l’on peut éventuellement perdre sa mise. Voir au-delà de ses propres limites et avoir un plan de développement ambitieux mais réaliste.

4 – Savoir dire non.

Il faut savoir trancher mais être factuel dans ses décisions et ne pas entrer dans l’émotion, expliquer la raison d’une prise de décision mais ne pas être dans le compromis. il faut avoir le courage d’imposer son opinion même si elle ne correspond pas à la tendance du moment.

5 – La santé.

Il est important d’avoir un bon équilibre. Être entrepreneur c’est une course de fond et le sport permet de décharger son trop plein d’énergie ou de stress. L’équilibre vie pro / vie perso est fondamental car, sans la santé (physique ou mentale), on ne peut plus rien faire.

Le dirigeant face à la crise

La nouvelle est tombée sans appel : la fermeture de toute l’éducation, crèches, écoles, collèges, lycées et université mais également de la formation professionnelle et l’annulation de tous les événements entre autres. Comme un effet de dominos, les entrepreneurs voient les conséquences et commencent à « gamberger » et cherchent à trouver des solutions pour compenser les pertes éventuelles, le management des salariés contraints de rester chez eux.

Déjà incontournable dans l’entreprise au quotidien, le dirigeant est vraiment l’homme clé lorsque son organisation fait face à cette crise brutale et potentiellement destructrice. Malheureusement, les analyses diverses sur les crises passées montrent que les chefs d’entreprise sont majoritairement à l’origine de l’amplification de celles-ci. Il semble, qu’entre autres attitudes, ils dénient la réalité, bloquent toute information ou réfléchissent seuls à des scenarii parfois fantasmagoriques. Quels devraient être les principales ressources de ce leader pour affronter, simultanément et souvent dans la durée, l’inconnu, l’adversité et le stress ? Il doit posséder des qualités naturelles, maîtriser des savoir-faire et des savoir-être et se positionner en gestionnaire d’équipe hors-pair. Autant d’armes qu’il aura su faire prospérer au quotidien. « La force du baobab est dans ses racines » (proverbe africain).

Des qualités naturelles 

Dans la crise, le dirigeant est d’abord apte à affronter l’ambigu et le complexe. Son réalisme teinté d’optimisme s’allie à son audace pour définir un futur possible et « sentir » les opportunités de rebond qui se présentent.
Il sait aussi naturellement développer au sein de son équipe la confiance et l’adhésion. Il s’agit là de courage pour affronter l’incertitude et contrer le sentiment d’insécurité, de charisme pour entraîner son équipe à se remettre en cause, à éviter le déni de situation, à imaginer et, enfin, à créer le chemin de sortie de crise.

Celui-ci reste honnête et crédible. Il concocte immédiatement les axes stratégiques de gestion et de communication de crise. Il prend spontanément la charge des relations extérieures les plus lourdes afin de protéger les conditions de travail des membres de sa cellule de crise. Ses collaborateurs le lui rendront par un respect spontané et un travail soigné.

Il est solide physiquement et moralement pour tenir et décider dans la durée et sous la pression insidieuse, tant interne qu’externe. 

Des savoir-faire et des savoir-être  

Le bon chef n’est jamais seul dans la réflexion. Il accepte d’être dépendant de ses collaborateurs pour chercher, trier, évaluer les différents paramètres. Par ailleurs, il en discute avec eux. Il échange tout simplement pour se nourrir de ces différentes approches.

Dès l’apparition de la crise, il gère le cadre espace – temps de l’analyse. Il favorise à la fois les échanges sur ces informations et l’imagination sur leurs conséquences. En outre, il réfute le déni de situation, souvent destructeur de pensées et d’actions. Il évite de remplacer l’inconnu par ses certitudes habituelles. 
Ainsi, le leader incite chacun à s’investir dans l’analyse complète et sereine des risques. L’ouverture d’esprit doit l’emporter sur l’arrogance. 

Négociateur, il sait cependant décider, c’est-à-dire arbitrer, en heure et dans la solitude.

Une excellente gestion de sa personne et de son équipe 

En gestion de crise, le leader est naturellement visible. Il est le phare qui éclaire le combat de l’entreprise et rassure son personnel. Son aptitude à surmonter le stress continu ne l’empêche pas de se préserver régulièrement tout en protégeant son équipe.

Il est à l’aise dans sa communication en période de tensions : de belles images ou des croquis clairs valent mieux que des longs discours.

Il possède un bon sens de l’organisation et n’hésite pas à déléguer diverses tâches et responsabilités dans un pilotage souple de ses actions. Ses objectifs sont a priori toujours réalisables, ce qui permet à ses collaborateurs de conserver leur confiance propre comme leur motivation.
Enfin, il entretient l’ambiance positive de son équipe par une certaine ritualisation de son management, incluant des briefings et des débriefings réguliers. Cette gestion humaine du groupe écarte les comportements en impasse.

La crise est une occasion de remise en question des pratiques habituelles de gestion. Elle est une opportunité de réforme organisationnelle et de réflexion sur les valeurs et les ambitions de l’entreprise. Elle est aussi un vecteur de solidarité, d’entraide et de cohésion pour le personnel.

Toutefois, cette posture positive ne sera transcendée que par l’action du « dirigeant de crise » dont les qualités essentielles, entretenues et développées au fil du temps, seront spontanément exacerbées dès l’alerte. Elles se nomment audace et humilité, courage et crédibilité, charisme et leadership, solidité et communication. Ne parlerions-nous pas de véritables relations humaines ?

En quoi le théâtre d’improvisation peut vous aider ?

Vous n’y avez peut-être jamais pensé mais le théâtre représente une excellente manière de gagner en compétences pour vous ou pour vos équipes. Surtout l’improvisation possède de nombreux avantages qui peuvent vous permettre de progresser rapidement en compétences.

1 – Un entraînement à la prise de parole

Si vous avez du mal à prendre la parole en public et que vous ressentez un stress, le théâtre d’improvisation devrait rapidement vous habituez à mieux gérer celui-ci. Il vous force à aller sur scène et vous apprend le droit à l’erreur. Il vous aide globalement à oser et à ne plus vous soucier des apparences, ce qui pourra vous être utile autant si vous faites des conférences que si vous devez animer des réunions d’équipe. Vous prenez l’habitude de prendre la parole et banalisez l’exercice. Vous apprenez à oser ! Mieux il vous entraîne également à prendre des choix rapidement car vous n’avez que quelques secondes pour vous lancer dans une voie ou dans une autre. A vous d’oser ! 

2 – Le développement de l’écoute active

Le théâtre d’improvisation recèle cet avantage qu’il développe votre écoute active. Vous devez écouter très attentivement ce qui se passe lorsque vous êtes sur scène car vous devez rebondir sur un scénario totalement imprévu. Vos facultés d’écoute devraient rapidement augmenter et vous apprenez à laisser à chacun sa place et son temps de parole. Il ne s’agit pas d’occuper tout le temps de disponible mais bien de laisser à chacun le temps de s’exprimer.

3 – La prise de parole et la diction

Dans l’improvisation, vous devez être clair et bien vous faire comprendre. Vous devez donc rapidement améliorer votre diction et faire comprendre, par exemple, quel rôle vous jouez en quelques secondes. Vous transmettez mieux vos messages et vous apprenez à utiliser les mots essentiels et les plus percutants pour faire comprendre la situation à vos partenaires de jeux. D’autre part, vous apprenez à mieux capter l’attention.

4 – Le développement de l’esprit d’équipe

Quand vous êtes sur scène, il s’agit avant tout de faire avancer le collectif que ce soit par des propositions intéressantes mais également par le fait que vous devez parfois vous entraider les uns les autres. Si vous souhaitez souder une équipe, il s’agit donc d’un excellent moyen pour qu’ils se retrouvent ensemble et de plus à devoir participer à un but commun. Vous pouvez ainsi renforcer l’esprit d’équipe et le faire avec la vôtre.

5 – Apprendre à se servir de son corps

Le théâtre d’improvisation vous fait beaucoup jouer avec votre corps afin de mimer une situation. Vous pouvez apprendre à mieux vous servir de votre langage corporel qui d’ailleurs passe bien plus de message que votre voix. Vous prendrez donc plus en compte celui-ci lorsque vous passez un message et apprenez à mieux occuper l’espace en conférence par exemple. Plutôt que de rester statique, vous aurez tendance à mieux vous déplacer sur la scène afin de garder l’attention de vos auditeurs

6 – Être plus drôle

Bon cela peut paraître évident mais le fait d’être dans l’improvisation entraîne souvent qu’elle se dirige vers des situations plutôt rocambolesques et drôles. Vous apprenez à maîtriser des personnages que vous pourrez même jouer sur scène devant un auditoire comme une conférence surtout si vous êtes maître de cérémonie. Vous intégrez ce qui fait rire grâce à vos partenaires et pouvez même tester des formes d’humour et voir l’impact sur un public.

7 – Le développement de la créativité

Si sortir du cadre de travail de l’entreprise est évidemment bénéfique pour la créativité, faire de l’improvisation vous permet de davantage développer votre créativité. Les nombreuses situations créées que ce soit lors des entraînements ou des joutes vous incitent à libérer votre créativité. Certaines situations font d’ailleurs penser à un brainstorming comme le fait qu’il ne faille jamais rejeter une idée mais bien toutes les accepter. 

8 – Un exercice bénéfique pour vos équipes

Bien entendu ce qui s’applique à vous s’applique également à vos équipes. Si l’esprit d’équipe peut être renforcé, comme nous l’avons vu plus tôt, vous pouvez permettre ainsi au plus timide d’oser mais également mettre vos salariés dans des situations inhabituelles qui vous permettront de détecter des compétences que vous n’aviez pas perçues. Certains timides peuvent s’avérer d’excellents orateurs ou peuvent rapidement prendre des décisions qui vous mettront sur la bonne voie par exemple. 

Quelques règles pour bien utiliser les hashtags

L’hashtag est devenu un phénomène de mode qui regroupe souvent nombre de personnes autour d’une cause. Depuis quelques mois, un hastag porte la bannière de la révolte des femmes. Les hashtags se centralisent sur des thèmes qui peuvent nous servir de guide pour nos centres d’intérêt.

Outil tendance sur les réseaux sociaux, le hashtag se soumet à certaines règles d’usage que plusieurs d’entre nous ignorent. En voici donc 7 recommandations essentielles.

Règle 1 : Soyez précis

Veillez à ce que le terme que vous utilisez soit aussi précis que possible. Par exemple, si vous utilisez le terme #Photo pour vos photos de vacances, sachez que votre hashtag sera noyé dans une infinité de photos qui n’ont rien à voir avec votre thème : photos de mariage, d’animaux, de nature morte, etc. Pour cela, vous devez être aussi précis que possible #PhotoVacances. Vous pouvez même l’être davantage en donnant plus de détails descriptifs sur vos photos : #PhotoVacancesSoleil.

Règle 2 : Choisir un hashtag efficace et concis

Avant de créer votre hashtag, pensez à vérifier s’il est déjà pris ou pas. Si vous être en train de le faire sur Twitter, vous pouvez utiliser « Topsy ». Ce logiciel vous permet d’obtenir la liste des tweets qui utilisent votre hashtag. Pour un hashtag efficace, faites preuve de concision. Une règle d’or à suivre : pas plus de 140 caractères. Autrement vous risquez de tomber sur d’autres hashtags qui n’ont rien à voir avec le vôtre. Ce qui peut constituer une réelle contrainte surtout si vous faites la promotion d’un produit ou d’un événement.

Règle 3 : Bannir la ponctuation et les espaces

Cela peut sembler banal pour certains, mais beaucoup de novices ignorent toujours cette règle assez basique. En effet, un hashtag ne doit contenir aucun espace ni signe de ponctuation. Si vous ne respectez pas cette règle votre statut ou photo ne seront pas regroupés dans la catégorie qui les représente.

Règle 4 : La majuscule

Même si le hashtag est constitué d’un groupe de mots écrits sans espacement, il est important de savoir que la première lettre de chaque mot doit être en majuscule. Autrement votre hashtag ne sera ni reconnu ni considéré comme tel. Nous ne dirons pas que vous ne pouvez pas créer un hashtag de cette manière, mais vous risquez de passer pour un novice sur les réseaux sociaux.

Règle 5 : Un nombre limité de hashtag

Qui d’entre nous n’a pas un ami sur Facebook par exemple qui termine ses statuts par une infinité de hashtag. Le comble, c’est qu’il suffit d’un coup d’œil pour vous rendre compte que tous ces hashtags (ou la plupart) illustrent la même idée. Ainsi, pour passer pour un pro des réseaux sociaux, vous devez savoir que vous ne devez pas dépasser les 3 hashtags. Ceci concerne spécialement Twitter et Facebook.

Règle 6 : Mesurer la popularité de votre hashtag

Il ne suffit de créer un hashtag intéressant, vous devez également mesurer son succès sur la toile mais surtout sur les réseaux sociaux. Pour cela, vous pouvez utiliser « Hashtagify ». Ce logiciel vous permet de tracer tout le réseau de mots autour de votre hashtag à savoir les mots clés qui y sont liés, les tweets correspondants, les langues d’influence, etc. D’autres logiciels proposent le même service, mais celui-là a l’avantage d’être gratuit !

Règle 7 : Répondre instantanément

Surtout si vous êtes en train de créer un événement, pensez à répondre aux messages instantanément. Sur les réseaux sociaux, les gens sont de plus en plus pressés. Ne leur laissez pas le temps de passer à autre chose. Répondre vite est la garantie de retenir leur attention.

Les secrets de 3 entrepreneurs à succès

Dynamique vous dévoile 3 secrets d’entrepreneurs à succès : Guillaume Varobieff, cofondateur de Repar’stores, Éric Mignot, fondateur de +Simple et Thierry Logre, dirigeant de PHYT’s.

5 Clés de la réussite de Guillaume Varobieff, cofondateur de Repar’store.

1 – La création d’un métier nouveau.

Nous avons créé un métier, plus écologique, sur un marché inexploité : réparer les volets roulants et les stores alors que les 10 000 entreprises nationales installatrices ne faisaient que les changer. Ce marché est estimé à plus de 600 millions d’euros annuels pour plus de 63 millions d’unités de volets roulants.

2 – L’accès à la création d’entreprise.

Sous la forme de franchises, l’accès à la création d’entreprise se fait à partir de 5 000 euros d’apport et pour 45 000 euros HT maximum. Aucune expérience n’est nécessaire, Repar’stores se voit désormais composé de cadres en reconversion professionnelle, qui n’ont jamais exercé de métier manuel.

3 – Notre process d’intervention.

Les artisans renvoient une image opaque. Nous avons donc repensé l’organisation du marché à l’aide de devis en temps réel sur une tablette tactile. Ainsi, ils bénéficient d’une transparence tarifaire, du respect d’une charte qualité ainsi que d’une immédiateté pour les devis et les interventions.

4 – La communication.

Si nous nous plaçons comme les leaders de la réparation et modernisation de volets roulants et de stores, nous ambitionnons de devenir une référence en la matière. Nous réalisons, depuis 2014, des campagnes TV. En 2016 et 2017, nous avons communiqué pendant plusieurs mois sur TF1, France Télévision et BFMTV.

5 – Les valeurs.

Nos valeurs se résument dans les « 3E » : l’éthique, en rendant accessible la création et la passion d’entreprendre ; l’équité, en étant une franchise participative grâce à nos franchisés, acteurs de notre développement ; et l’esthétique, avec une reconversion et un épanouissement pour nos futurs franchisés.

5 Clés de la réussite d’Éric Mignot, fondateur de +Simple.

1 – Savoir faire preuve d’ambition mais aussi d’humilité.

« Si tu penses que tu es arrivé, c’est que tu n’allais pas bien loin.  »

2 – S’entourer des meilleur(e)s et leur donner le meilleur.

« Il n’est de richesse que de femmes (et d’hommes). »

3 – Ne jamais rien lâcher et tracer inlassablement son chemin, un pas après l’autre.

« L’opiniâtreté est la mère de toutes les vertus. »

4 – Garder un œil en permanence sur la jauge du carburant et bâtir un modèle économiquement viable au plus vite.

« Cash is king. »

5 – Quand on s’appelle +Simple, c’est plus qu’une promesse, c’est une raison d’être.

« Simplifie la vie de tes clients. »

5 Clés de la réussite de Thierry Logre, dirigeant de PHYT’s.

1 – La différenciation.

Par ce terme, j’entends développer, fabriquer et proposer des cosmétiques innovants, différents de ceux traditionnels.

2 – La crédibilité.

Nous sommes bio depuis notre création en 1972, par conviction, et non par visée mercantile. Nous sommes d’ailleurs à l’origine de Cosmébio avec neuf autres laboratoires. Tout cela traduit un engagement réel, sincère et constant.

3 – La qualité émotionnelle des produits.

Textures, senteurs…, sont autant d’éléments qui procurent un plaisir sensoriel fort et original à l’usage.

4 – Une efficacité prouvée et ressentie.

Être bio et efficace, avec des preuves objectives, validées par des dermatologues, reste rare, en particulier dans l’univers qu’est celui de l’institut de beauté.

5- Une maîtrise de l’ensemble de la filière 100 % Made in  France.

Rechercher et développer tout ce que nous fabriquons et vendons demeure un gage de sécurité et de réassurance pour le consommateur. C’est aussi une motivation forte pour ceux qui œuvrent quotidiennement au développement des activités du groupe.

L’e-commerce ou commerce de proximité, quels sont les gagnants du COVID-19 ?

Les annonces répétées et les images dans les médias de rayons vides et de pénurie de denrées ou besoins de première nécessité ont créé un effet de panique aussi bien sur les familles avec des enfants ou chez les anciens qui en général n’aiment pas être pris au dépourvu.

Si la semaine du 2 au 8 mars a été exceptionnelle en magasin, elle a d’abord vu une accélération spectaculaire des ventes en e-commerce – livraison à domicile et drive selon Nielsen Holdings plc (NYSE: NLSN)

Il est évident que compte tenu des articles dans les médias à répétition sur les impacts du coronavirus sur la vie quotidienne en Chine et plus particulièrement l’Italie, notre voisin. 

Si la panique n’était pas au goût du jour au début, puisque les Français, dont on n’a pas arrêté de vanter le système de santé plus performant, ont jusque-là pensé pouvoir selon leurs préjugés ancestraux faire mieux que les Italiens. Sauf que désormais la donne a changé et les inquiétudes entraînent une augmentation des stocks. 

Ainsi, selon l’étude, le chiffre d’affaires de la grande consommation n’a connu qu’une augmentation de +10% en valeur et en volume. Les produits de grande consommation ont connu l’une de leurs meilleures semaines des dernières années, la palme revenant aux produits d’épicerie (détail des catégories disponible).

Pour Anne Haine, Directrice Générale de Nielsen France, “la fréquentation en semaine s’est développée fortement les lundi et mardi, suite sans doute aux ruptures constatées en magasin le week-end précédent.” La hausse a été ainsi proche des +20% le lundi, avant de se stabiliser du mercredi au vendredi à +9%, puis de redescendre à un rythme standard le samedi. Pourtant, le dimanche 8 mars, la progression reprend de plus belle, confirmant que la séquence d’achats de précaution continuait.

LE DRIVE plébiscité ?

Tous les circuits ont connu un afflux de consommateurs, venant en magasin ou commandant sur internet pour stocker en nombre produits alimentaires et d’hygiène. Le e-commerce a progressé 4 fois plus vite que les magasins physiques.

Pour Anne Haine, “le e-commerce bénéficie d’un contexte des plus favorables, qui après les gilets jaunes et les grèves de fin 2019, accélère l’adoption de ces circuits alternatifs sur l’alimentaire. Un phénomène que l’on constate dans de nombreux pays.”

La progression du drive

Encore davantage que la semaine précédente, le drive a vu sa progression largement accélérée (+29% de ventes en plus que l’an passé), battant ses records de chiffre d’affaires sur une semaine. Avec 164 millions d’euros réalisés, le drive dépasse même les 7% de part de marché hebdomadaire pour la première fois. Dans le détail, le drive a même flirté avec 9% de part de marché le lundi 2 mars.

Autre record, celui du plus fort chiffre d’affaires réalisé sur une seule journée : vendredi 6 mars.  Le drive a atteint un pic de ventes jamais atteint, dépassant 30 millions d’euros en 24 heures. Il faut quand même reconnaitre que le vendredi c’est normal puisqu’habituellement le pic des courses drive ont lieu en fin de semaine pour pouvoir passer un week-end serein pour compléter les courses dans les marchés ou les commerces de proximité.

Lors de cette semaine record, les ventes de plusieurs catégories ont même plus que doublé. On relève parmi les produits les plus recherchés tant des produits d’hygiène (gants de ménage, savons…) que de l’alimentaire non périssable (pâtes, conserves…). Mais une fois acheté ces produits dits de première nécessité, les consommateurs auront tout intérêt dans cette période d e confinement à s’adresser aux commerces d proximité qui deviendront des interlocuteurs d’échanges.

Dans ce contexte, la maîtrise du canal online devient plus que jamais incontournable pour industriels et distributeurs. Mais ne nous y trompons pas l’effet désastreux de la pénurie de masques et produits d’hygiène a éveillé la conscience des consommateurs de l’importance des liens de proximité. 

L’exemple d’un email d’invitation réussi

Dynamique a tenu à partager avec vous l’exemple d’une communication qu’il trouve réussi et qui pourrait en inspirer plus d’un. En l’occurrence, un email d’invitation qui s’adresse à des spectateurs pour voir un match d’improvisation qui a lieu dans le mois à venir.

Une fois n’est pas coutume, voici un email que la rédaction a trouvé particulièrement intéressant à décortiquer pour vous. La plupart des communications étant standardisée, il reflète bien l’esprit de communauté bien entretenu par l’association les Ateliers Comédie.

Date de l’envoi le 12/03 : 2 semaines et demi avant l’événement 

Il s’agit en l’occurrence d’une bonne idée car l’invitation se fait dans le bon timing. La plupart des inscriptions ont lieu sur un événement une ou deux semaines avant celui-ci. Bien entendu, vous pouvez prévenir un mois à l’avance voire plus mais une première communication à cette date vous permet d’optimiser le nombre d’envois pour un maximum d’efficacité. 

Les points que la rédaction a aimés

Tout d’abord, nous avons trouvé l’objet percutant et qui marque la rareté de l’événement. Il résume bien le contenu de l’email et vous incite à l’ouvrir. 

L’entame est très bonne avec un smiley qui annonce le ton de l’email et ce que l’on attend de ce type d’événement : rire et se détendre.  

Le message principal figure dès la première phrase mise en gras, ce qui constitue une bonne pratique. Elle résume le contenu essentiel à savoir date, heure et lieu ainsi que l’événement en question. L’utilisation du gras permet immédiatement à l’œil d’identifier que c’est l’information la plus importante. 

Le ton s’adapte ensuite parfaitement à un événement où l’on attend de la créativité. Il s’agit en l’occurrence d’un match d’improvisation. Les jeux de mots se succèdent avec une continuité de style « guerrières et guerriers », « combattront jusqu’à ce que », « Chevaliers », « gentes damoiselles et gentes damoiseaux » ou encore « couards ». 

Les jeux de mots drôles sont également légions tels que « Chevaliers du Prozac », « Maîtresse Jeudaille » … ce qui soutient que l’événement sera de cette nature. 

L’email en question : 

Objet : La Grande Joute d’improvisation du printemps 2020

Bonjour 😊

La Grande Joute d’improvisation du printemps 2020 des Ateliers Comédie, c’est le lundi 30 mars à partir de 20h au Café de Paris !


La Grande Joute, c’est un match d’improvisation made in Ateliers Comédie, lors duquel s’affronteront 2 équipes de guerrières et guerriers d’impro. 8 jouteuses / jouteurs combattront devant vous, jusqu’à ce que ridicule s’ensuive !

Les Boulistes affronteront les Chevaliers du Prozac !!!

Mais n’ayez crainte, gentes damoiselles et gentes damoiseaux
Ces neuf jouteurs là ne sont point des couards ! Ils craignent beaucoup plus les grands Mamamouchis, grands experts universels en matière d’improvisation qui distribueront à loisir, les bons et mauvais points pour les bonnes et les mauvaises impros.

Et si par malheur, ils n’étaient point d’accord entre eux, c’est vous public, qui voterez. Vous aurez alors le pouvoir de condamner ces gladiateurs de l’impro aux lions de l’opprobre et du ridicule !

On vous attend pour un show 100% improvisé avec des jouteuses et jouteurs endiablés !

Et grande première, nous aurons le plaisir d’accueillir Noam Lerville (musicien et ancien élève des Ateliers) sur scène pour accompagner les jouteuses et les jouteurs pendant les impros !!!

Vous découvrirez donc 2 équipes de 4 jouteurs :

Les Boulistes
Le capitaine : Jean-Philippe (prof d’impro aux Ateliers)
Les Jouteurs-Jouteuses : Sylvain (ancien élève de l’école), Emilien et Clara (Maitres Jeudailles).

Les Chevaliers du Prozac
Le capitaine : Rémy (prof d’impro aux Ateliers)
Les Jouteurs-Jouteuses : Jocelyn (ancien élève de l’école), Pierre (prof d’impro aux Ateliers) et Emeline (maitresse Jeudaille).

Ingrid (prof d’impro aux Ateliers) et Batiste (ancien prof d’impro aux Ateliers) seront grande prêtresse et grand prêtre : Mamamouchis des improvisations.

Sans oublier : Tom Delierville, notre directeur artistique, Grand Mamamouchi  suprême et Maitre de Cérémonie, animateur de la soirée et grand donneur de fautes !
Assisté de François (maitre Jeudaille), à ses pieds pour compter les points et les fautes qu’il distribuera avec générosité.

Cette Grande Joute d’impro scellera l’arrivée du printemps et nous espérons bien voir toute l’école à ce spectacle. Ce sera l’occasion de passer un super moment tous ensemble, de découvrir une joute d’impro pour les débutants et de soutenir les copains !

L’entrée est à 7€ en pré-vente sur BilletRéduc !


Attention, les billets seront à 10€ sur place.



Lien de réservation  : 

https://www.billetreduc.com/259320/evt.htm?nr=1

RDV Lundi 30 mars
Ouverture des portes : 20h
Début du spectacle : 20h30 pétantes
Au Café de Paris
158 Rue Oberkampf, 75011 Paris
Métro Ménilmontant 

Une fin qui sonne bien

Juste avant d’en venir à la conclusion l’email rappelle l’importance de l’événement et les raisons de s’y rendre tel que « passer un super moment ensemble », autrement dit le gain client.  

Pour finir, l’email donne les renseignements essentiels tels que le prix et l’adresse exacte de l’événement. Il incite par les préventes à se fournir immédiatement les places. 

Un exemple de communication dont vous pouvez vous inspirer ou tout simplement vous inscrire. 

Les secrets de 3 entrepreneurs à succès

Dynamique vous dévoile 3 secrets d’entrepreneurs à succès : Guillaume de Kergariou, CEO et co-fondateur de NeedHelp , Charles Thou, Co-Fondateur d’Agorize et Teddy Guilloteau, Cofondateur de Motard City, premier coffret cadeau 100 % moto en France et en Europe.

5 Clés de la réussite de Guillaume de Kergariou, CEO et co-fondateur de NeedHelp

1- Avoir un modèle économique clair

Dès le lancement de la plateforme, nous avons opté pour un modèle économique transactionnel. Celui-ci nous a permis d’accumuler de la vraie data sur nos membres grâce à la connaissance accumulée à la suite des transactions et interventions réussies ou non, et ainsi d’avoir des données vérifiées et non pas seulement déclaratives sur nos prestataires. Nous utilisons aujourd’hui cette data qualitative dans tous nos algorithmes de « dispatch » des missions.

2 – Être capable d’accélérer notre croissance

Il s’agit d’avoir une idée réelle de comment accéder à notre marché et à nos clients (canal de distribution). Nous avons créé des partenariats stratégiques avec des enseignes de la grande distribution (Castorama, Brico Dépôt, IKEA…) qui nous permettent de toucher nos clients au bon moment, quand ils ont des travaux de rénovation. Ces partenariats nous donnent un accès unique à notre marché et sont gagnants-gagnants.

3 – Pouvoir itérer rapidement

Il faut itérer son produit en se basant sur l’analyse de la data. Nous avons une approche très scientifique qui permet de définir notre roadmap produit et d’itérer notre parcours client en se basant sur des hypothèses vérifiées et non pas seulement intuitives. L’expérience nous a montré qu’on faisait souvent de mauvais choix en développant des fonctionnalités uniquement basées sur « une bonne idée ». A bas les idées reçues, vive la data !

4 – Recruter pour les bonnes raisons

On confond trop souvent croissance et augmentation de ses effectifs. Dans une start-up technologique, il faut rendre les process scalables. Recruter n’est pas une fin en soi. Nous recrutons pour mieux automatiser, pour aller chercher de nouveaux prescripteurs, développer de nouveaux outils. Un recrutement doit répondre à un besoin opérationnel fort. Il faut aussi passer du temps à « Onboarder » les nouvelles recrues, sinon l’augmentation des effectifs mène à une dispersion et une perte d’efficacité.

5 – Créer des écosystèmes de partenaires

NeedHelp n’est pas une simple plateforme de mise en relation. Grâce à de nombreux partenaires nous augmentons la valeur fournie par notre marketplace à la fois pour les demandeurs et les offreurs de services. Nous avons par exemple des partenaires qui nous permettent d’accompagner les jobbers dont le souhait est de changer de statut (autoentrepreneur…) ou d’assurer leurs activités.

5 Clés de la réussite de Charles Thou, Co-Fondateur d’Agorize

1 – Faire quelque chose que l’on aime.

Quand nous avons créé la société, nous nous sommes basés sur ce qui nous avait beaucoup plu à l’époque c’est-à-dire participer à des challenges, à des hackathons. C’est dans ces moments que nous avons compris que nous développions au maximum nos connaissances et compétences. Notre concept était issu de la jonction entre ce que nous apprenions en cours et la pratique de ce qui se passe dans les entreprises.

2 – L’équipe et la très grande complémentarité que nous avons les trois cofondateurs.

C’est ce que nous essayons de répliquer sur notre plateforme. Il faut des compétences complémentaires qu’ils s’agissent de hard skills ou de personnalités car la bonne entente est indispensable.

3 – Il faut un projet ambitieux.

Dès le départ, nous voulions organiser nos événements sans prendre en compte de zone géographique ou de type de participants. Notre objectif était d’attirer des personnes de toute la planète, ce qui a été le cas et très tôt finalement. Résultat, Agorize est déjà implantée partout dans le monde.

4 – Faire confiance.

Nous ne sommes pas excellents partout et nous ne pouvons pas tout maîtriser. Responsabiliser les équipes que nous recrutons sur le succès en leur proposant des objectifs clairs et définis, les laisser libres ensuite sur les moyens à mettre en place sans les micro-manager fait partie de nos enjeux.

5 – Work hard / play hard .

Les gens partagent en général plus que leur relation de travail. Pour animer l’esprit d’équipe nous sommes amenés à faire de nombreux événements et à lancer des challenges en interne. La performance est indissociable d’une bonne ambiance de travail, et nos équipes prennent plaisir à travailler aux côtés de personnes qu’elles apprécient et en qui elles ont confiance.

5 Clés de la réussite de Teddy Guilloteau, Cofondateur de Motard City, premier coffret cadeau 100 % moto en France et en Europe

1 – L’entourage que ce soit la famille ou les amis.

En ce qui me concerne, c’est surtout ma compagne qui m’a appuyé et me booste. Il faut se sentir entouré car la vie d’un entrepreneur est loin d’être évidente. Sentir que les personnes ont confiance dans notre projet, cela encourage à aller plus loin et dynamise.

2 – La passion et l’envie.

Il ne faut pas entreprendre par obligation car cela peut vite devenir rébarbatif. Le fait de réaliser avec passion, cela encourage à travailler tôt le matin, tard le soir ou encore le week-end. Joindre l’utile à l’agréable, c’est l’atout-maître de la vie de l’entrepreneur.

3 – La rigueur au cœur.

Il ne s’agit pas de travailler 24H sur 24. Car lorsqu’on crée sa société, il arrive de travailler dans sa salle à manger ou dans sa cave. Il peut vite être difficile de se lever le matin car on n’est pas astreint à des horaires mais on peut vite tomber dans de mauvaises habitudes. Il faut se fixer des amplitudes horaires de travail pour conserver un rythme performant.

4 – La patience et la persévérance.

Le parcours d’un entrepreneur, ce sont les montagnes russes. Une semaine on peut avoir envie de tout arrêter à la suite d’une mauvaise nouvelle, la semaine suivante, on peut avoir une bonne nouvelle qui nous stimule à tout dépasser. Des personnes qui m’avaient opposé un refus reviennent aujourd’hui spontanément sans que j’aie à les solliciter car ils ont vu que la société s’était développée.

5 – L’échange avec d’autres entrepreneurs.

Les entrepreneurs traversent les mêmes joies et les mêmes peines que vous. Ils vous apportent également des solutions car, au fond, les entrepreneurs sont confrontés aux les mêmes obstacles. Ils peuvent vous indiquer des solutions simples et efficaces sur des problèmes du quotidien qui peuvent paraître à un instant T, pour nous, insurmontables.