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Créez des publicités vidéo interactives pour engager davantage le public 

La publicité vidéo est devenue l’un des outils les plus puissants pour raconter des histoires. Il s’agit de susciter des émotions et de promouvoir des produits ou des services. Cependant, dans un paysage médiatique saturé de vidéos, comment pouvez-vous vous assurer que votre public non seulement regarde votre publicité, mais interagit également avec elle ? La réponse réside dans le marketing des publicités vidéo interactives.

L’évolution du marketing vidéo

La publicité vidéo a parcouru un long chemin depuis ses débuts. Autrefois, il s’agissait principalement de diffuser un message unilatéral aux téléspectateurs, en espérant qu’ils le remarqueraient. Avec l’avènement d’Internet et des médias sociaux, les choses ont évolué. Les spectateurs ont commencé à s’attendre à plus qu’une simple diffusion passive. Ils voulaient participer, interagir et influencer le contenu qu’ils consommaient. Le marketing de la publicité interactive en vidéo répond à cette demande en offrant une expérience utilisateur bien plus engageante. Il ne s’agit plus seulement de regarder une vidéo, mais de faire partie de l’histoire.

La puissance de l’interaction

Les publicités vidéo interactives permettent aux spectateurs de participer activement à l’expérience publicitaire. Au lieu de rester passif, l’utilisateur peut désormais cliquer, faire glisser, répondre à des questions, explorer des produits et prendre des décisions qui influencent le déroulement de la vidéo. Cette interaction crée un lien plus fort entre la marque et le public. 

Lorsque les utilisateurs sont impliqués dans le processus, ils sont plus susceptibles de se souvenir de la publicité, de développer un attachement émotionnel envers la marque et, potentiellement, de prendre des mesures telles que l’achat d’un produit ou le partage de la publicité avec leurs pairs.

Exemples concrets de publicités interactives en vidéo

Pour mieux comprendre l’impact de la publicité interactive en vidéo, voici quelques exemples concrets de ce que l’on peut réaliser :

  • Choix narratifs : Dans une publicité pour une compagnie d’assurance automobile, les spectateurs peuvent prendre des décisions pour influencer l’histoire. Par exemple, ils peuvent choisir le scénario de l’accident et voir comment les différentes décisions affectent le résultat.
  • Exploration de produits : Les publicités interactives permettent aux spectateurs d’explorer les caractéristiques des produits en cliquant sur des zones spécifiques de la vidéo. Cela fonctionne particulièrement bien pour les démonstrations de produits ou les publicités de mode.
  • Questionnaires interactifs : Les questionnaires intégrés à la vidéo permettent aux annonceurs de recueillir des informations sur les préférences des consommateurs tout en engageant le public. Les réponses peuvent ensuite être utilisées pour personnaliser davantage la publicité.
  • Jeux et défis : Intégrer des éléments de jeu dans la publicité peut créer un engagement significatif. Par exemple, une entreprise de restauration rapide pourrait défier les spectateurs à construire leur propre hamburger virtuel.

Les avantages du marketing de la publicité interactive en vidéo

Le marketing de la publicité interactive en vidéo présente de nombreux avantages pour les spécialistes du marketing et les annonceurs. Tout d’abord, il offre un engagement accru de la part du public, car les spectateurs passent plus de temps à interagir avec la marque. Cela renforce la connexion émotionnelle et l’impact de la publicité. De plus, les publicités interactives ont un meilleur taux de rétention. En effet, les utilisateurs sont plus susceptibles de se souvenir de ces expériences publicitaires dynamiques par rapport à des publicités passives. Cette mémorabilité renforce la notoriété de la marque, augmentant ainsi sa visibilité.

De plus, les publicités interactives permettent la collecte de données précieuses sur les préférences des consommateurs grâce aux interactions. Cela offre aux spécialistes du marketing des informations essentielles pour personnaliser davantage leurs campagnes. Enfin, les publicités interactives ont le potentiel d’améliorer la conversion. Elles incitent les spectateurs à passer à l’action plus rapidement. Cette réactivité se traduit par des taux de conversion plus élevés, ce qui en fait un outil puissant pour maximiser l’efficacité des campagnes publicitaires en ligne.

Comment mettre en œuvre une campagne de publicité interactive en vidéo

Pour mettre en œuvre une campagne de publicité interactive en vidéo, suivez ces étapes clés :

  • Définir vos objectifs : Commencez par définir clairement vos objectifs de campagne. Que souhaitez-vous accomplir avec votre publicité interactive ? Est-ce la sensibilisation, l’engagement, les ventes, ou autre chose ?
  • Créer un concept interactif : Concevez un concept qui exploite au mieux les fonctionnalités interactives de la vidéo. Réfléchissez à la manière dont l’interaction peut renforcer votre message.
  • Produire la vidéo : Produisez la vidéo en tenant compte des éléments interactifs. Il est essentiel de travailler avec une équipe de production qui comprend les spécificités de la publicité interactive en vidéo.
  • Intégrer l’interaction : Intégrez les éléments interactifs dans la vidéo à l’aide d’outils ou de logiciels appropriés.
  • Test et optimisation : Avant de lancer la campagne, testez la vidéo avec un groupe de test pour vous assurer que l’interaction fonctionne correctement. Recueillez des commentaires et ajustez la vidéo si nécessaire.
  • Lancement et promotion : Une fois la vidéo interactive prête, lancez-la sur les canaux appropriés et promouvez-la pour maximiser sa visibilité.

Un outil : WIREWAX

Si vous n’en connaissez pas, sachez que WIREWAX propose des outils en français pour créer des vidéos interactives avec des zones cliquables, des cartes de produits, etc.

Top 10 approches pour créer une culture d’apprentissage continu

Cette philosophie met l’accent sur le développement des compétences, la croissance personnelle et professionnelle, et l’adaptation constante aux nouvelles réalités. Il y a 10 principales approches pour créer une culture d’apprentissage continu au sein de votre entreprise.

1/ Leadership par l’exemple 

La culture d’apprentissage continu commence par le leadership. Les dirigeants doivent montrer l’exemple en poursuivant eux-mêmes l’apprentissage. Cela signifie participer à des formations, lire des livres pertinents, suivre des cours et partager leurs propres expériences d’apprentissage avec leurs équipes. Lorsque les employés voient leurs dirigeants s’engager activement dans un processus d’apprentissage, cela crée une culture qui valorise l’éducation continue.

2/ Définir une vision claire 

Une culture d’apprentissage continu doit s’ancrer dans la vision et les valeurs de l’entreprise. Il est essentiel de définir une vision claire de ce que signifie l’apprentissage continu pour votre organisation. Cette vision doit être communiquée à tous les niveaux de l’entreprise, de manière à ce que chaque employé comprenne l’importance de l’apprentissage pour atteindre les objectifs de l’entreprise.

3/ Encourager la prise de risque 

L’apprentissage implique souvent de sortir de sa zone de confort. Pour créer une culture d’apprentissage continu, il faut encourager les employés à prendre des risques calculés. Cela signifie encourager l’expérimentation, la prise de décisions audacieuses et la possibilité de commettre des erreurs. Les échecs peuvent être des opportunités d’apprentissage précieuses, et les employés doivent se sentir soutenus pour prendre des risques dans le but de progresser.

4/ Favoriser la collaboration 

L’apprentissage est souvent plus efficace lorsqu’il est partagé. Les entreprises doivent encourager la collaboration entre les employés, les équipes et les départements. Mettez en place des espaces de travail et des plateformes de communication qui favorisent l’échange de connaissances et d’idées. Encouragez la formation de groupes de travail interfonctionnels pour résoudre des problèmes complexes et favoriser l’apprentissage mutuel.

5/ Offrir un accès facile à la formation 

Pour créer une culture d’apprentissage continu, les entreprises doivent mettre en place des programmes de formation accessibles à tous les employés. Cela peut inclure des cours en ligne, des sessions de formation en interne, des ateliers et des ressources éducatives telles que des livres, des vidéos et des podcasts. Assurez-vous que ces ressources sont facilement accessibles et adaptées aux besoins individuels des employés.

6/ Reconnaître et récompenser les efforts 

Pour encourager l’apprentissage continu, il est important de reconnaître et de récompenser les employés qui s’investissent dans cette démarche. La reconnaissance peut prendre de nombreuses formes, de la simple reconnaissance publique à des récompenses financières ou des opportunités de promotion. Cela montre aux employés que leur engagement envers l’apprentissage est valorisé et encouragé.

7/ Créer un environnement sûr pour l’apprentissage 

Les employés doivent se sentir en sécurité pour exprimer leurs idées, poser des questions et admettre leurs lacunes. Pour créer une culture d’apprentissage continu, il est essentiel de créer un environnement où l’apprentissage n’est pas lié à la peur de l’échec. Encouragez la communication ouverte, la curiosité intellectuelle et la tolérance envers les erreurs.

8/ Mettre en place des outils de suivi 

L’utilisation de la technologie est essentielle pour suivre et mesurer les progrès des employés dans leur parcours d’apprentissage. Les entreprises peuvent utiliser des systèmes de gestion de l’apprentissage (LMS) pour suivre les formations et les certifications, ainsi que des outils d’analyse pour évaluer les compétences et les lacunes individuelles. Ces données permettent de personnaliser davantage les formations et de suivre l’évolution des compétences au fil du temps.

9/ Établir des objectifs d’apprentissage individuels 

Chaque employé devrait être encouragé à définir des objectifs d’apprentissage spécifiques en fonction de son rôle et de ses ambitions professionnelles. Ces objectifs donnent un sens à l’apprentissage et permettent aux employés de travailler vers des réalisations concrètes. Les gestionnaires et les responsables des ressources humaines peuvent soutenir cet effort en identifiant les ressources nécessaires pour atteindre ces objectifs.

10/ Évaluer et réajuster régulièrement 

Une culture d’apprentissage continu ne peut pas rester figée. Il est essentiel d’évaluer régulièrement les progrès, les programmes de formation et les initiatives d’apprentissage, et de les adapter en fonction des besoins changeants de l’entreprise. Cela signifie recueillir des commentaires des employés, analyser les données de suivi et ajuster les stratégies en conséquence. Une culture d’apprentissage continu est en constante évolution, et elle doit s’adapter pour rester pertinente et efficace.

E-commerce : pas si rentable que ça…

Le seul fait de mettre en ligne un site e-commerce n’assure pas la rentabilité de l’investissement. La réalité d’un marché derrière les mythes qui lui sont souvent associés est souvent bien différente. Bien d’autres éléments doivent être travaillés pour permettre à votre site internet de décoller. 

La défaillance des sites marchands français pour atteindre la rentabilité n’est pas un mythe. De nombreuses études depuis des années montrent qu’il ne suffit pas d’avoir un site marchand pour que celui connaisse le succès. On pensera notamment à des études comme celle de Webloyalty qui révélait déjà en 2011 que seuls 14 % des sites avaient pu améliorer significativement leur rentabilité, quand dans le même temps, celle-ci baissait de 25 % pour la plupart des sites e-commerce. Depuis, bon nombre d’entreprises se sont mises sur internet et la concurrence fait rage. 

La rentabilité des sites e-commerce doit encore progresser

Il ne faut pas pour autant peindre un tableau noir du e-commerce en France car la majorité des e-marchands auraient désormais franchi le seuil de rentabilité. Cette réalité, parmi les grands sites e-commerce (CA dépassant 10 millions d’euros), est à nuancer. Environ un site sur quatre n’aurait pas encore atteint le « point mort »…   Après une croissance toujours significative pendant plusieurs années, les e-commerçants doivent donc regarder  avec précaution le moindre coût. 

Nous assistons ainsi à un véritable tournant marketing dans le cycle de vie de l’e-commerce : la nécessité d’optimiser le référencement, le taux de conversion et de faire appel aux techniques de fidélisation pour pérenniser un modèle de distribution maintenant installé. La baisse des marges commerciales est sans nul doute l’un des facteurs majeurs de manque de rentabilité. En effet, intervenir sur un marché concurrentiel est bien souvent associé à une guerre des prix ! C’est pourquoi, les e-marchands sont contraints de grignoter sur leurs marges afin de générer des ventes pour un trafic payant.

Les leviers d’augmentation de la rentabilité

Dans ce contexte difficile, les recettes du succès peuvent s’avérer simples. Si les incontournables outils de conquête – marketing et publicité – permettent de générer du trafic, il est important pour l’e-commerçant de se concentrer aussi sur : 

  • le taux de conversion 
  • les axes de « post-achat »

C’est d’ailleurs sur ce dernier point que la moitié des sites aurait travaillé pendant plusieurs années afin d’augmenter leur rentabilité, grâce notamment à l’amélioration de leur taux de fidélité…. 

La diversification des sources de revenus serait aussi un levier de rentabilité des sites marchands. Beaucoup d’entre eux ont pris ce choix en mettant en place par exemple la commercialisation d’espaces publicitaires ou de partenariats avec des tiers comme les programmes de cash back. 

Comprendre les forces et les faiblesses de l’e-commerce

Les « retailers » (entreprises qui vendent leurs produits dans des magasins physiques) et les « purs players » (entreprises uniquement présentes sur la toile) ont des problématiques très distinctes. 

Les premiers ont un gros avantage en matière de « sourcing ». Par exemple, les grandes marques de la grande distribution, (Auchan, Leclerc…), peuvent acheter leurs stocks dans des conditions plus avantageuses que Pixmania, RueduCommerce et bien d’autres purs players. Cependant, ils ne disposent pas de la réactivité et de la culture Web de ces sites qui peuvent affiner leurs offres en permanence et même faire varier les prix toutes les heures. 

Ceux qui s’imposeront demain sont ceux qui auront surmonté leur défaut : les retailers doivent gagner en culture Web, les pure players en volumétrie d’achats. Dans les deux cas, après le prix, les services, la qualité des contenus et leur volumétrie sur Internet permettront aux e-commerçants de gagner en visibilité et en « branding »

Une solution ? Soigner l’expérience clients

Les e-commerçants ne pourront bientôt plus compter seulement sur le recrutement de nouveaux consommateurs en ligne pour assurer leur développement. Il est désormais nécessaire de soigner davantage : 

  • la qualité de l’expérience
  • l’aide aux choix 
  • la fidélité de leurs clients en ligne. 

Aussi , le client est désormais « omni canal » : il parcourt les canaux les plus pratiques selon le lieu et le type d’information recherché. Il faut donc prévoir tous les cas pour que l’expérience d’achat soit la plus cohérente et la plus facile pour lui. Il faut donc prendre en compte que le consommateur est devenu « Social, Mobile et Local ». 

Mélangez les ingrédients du succès sans brûler la poêle !

L’entrepreneuriat, c’est un peu comme cuisiner un plat exquis. Vous avez besoin des bons ingrédients du succès, de la bonne recette, et surtout, de la patience pour que tout se marie parfaitement. Mais attention, si vous n’êtes pas prudent, vous pourriez bien brûler la poêle ! Voici une métaphore culinaire de l’entrepreneuriat avec une bonne dose d’humour.

L’Idée – L’ingrédient clé

Tout commence par une idée, l’ingrédient de base de votre entreprise. C’est comme choisir le plat que vous allez cuisiner. Vous pourriez opter pour une idée exotique qui vous transporte dans un monde de saveurs inexplorées, ou peut-être préférez-vous une idée classique et réconfortante. Peu importe, l’essentiel est de choisir une idée qui vous fait saliver.

Imaginez un chef cuisinier devant une armoire remplie d’ingrédients. Il se gratte la tête, se demande si le curry va bien se marier avec la vanille, et finalement, il a une illumination : pourquoi ne pas tenter un plat fusionnant le sucré et le salé, l’exotique et le classique ? C’est ainsi que naît l’idée entrepreneuriale.

Le plan d’affaires – La recette secrète

Une bonne idée seule ne suffit pas. Vous avez besoin d’un plan d’affaires solide, votre recette secrète pour la réussite. Imaginez que vous êtes un chef étoilé en train de préparer un plat complexe. Vous devez avoir tous les détails en main : les ingrédients, les étapes, le timing, tout doit être parfaitement orchestré pour que votre entreprise soit un régal pour vos clients.

Le plan d’affaires, c’est comme l’étape où le chef écrit la recette. Il doit déterminer combien de temps chaque ingrédient doit cuire, quelles sont les étapes cruciales, et comment servir le plat à la perfection. Bien sûr, il y a toujours place à l’improvisation en cuisine, tout comme dans le monde entrepreneurial, mais avoir une recette de base solide est essentiel.

Le financement – Les épices et les assaisonnements

Le financement, c’est comme les épices et les assaisonnements dans une recette. Vous pouvez avoir une base solide, mais c’est ce petit supplément qui fait toute la différence. Vous pourriez avoir besoin d’une pincée d’investissement initial, une cuillère de prêt bancaire, ou même une touche d’investisseurs providentiels. N’ayez pas peur d’expérimenter avec les différentes combinaisons pour trouver le bon goût financier.

Imaginez un chef en train de fouiller dans son garde-manger rempli d’épices exotiques. Il en sort du safran, du piment, et un peu de cannelle. Il les mélange avec soin pour créer un mélange unique qui transformera son plat en une expérience mémorable. De la même manière, les entrepreneurs doivent jongler avec différentes sources de financement pour donner à leur entreprise le goût du succès.

L’équipe – Les chefs de cuisine

Votre équipe, ce sont les chefs de cuisine de votre entreprise. Chacun apporte sa propre expertise à la table, comme un chef étoilé préparant un festin gastronomique. Choisissez des membres d’équipe qui sont complémentaires, comme les ingrédients d’un plat parfait. Laissez les compétences de chacun s’exprimer et collaborez comme une équipe bien huilée.

Si vous êtes un restaurant étoilé où chaque chef de cuisine est un expert dans sa spécialité. Il y a le chef pâtissier, le chef grilladin, le sommelier, et même le maître des cocktails. Ils travaillent tous ensemble pour créer une expérience culinaire inoubliable pour les clients. De la même manière, une équipe diversifiée et talentueuse est essentielle pour réussir dans le monde entrepreneurial.

Le marché – Les convives affamés

Votre marché, ce sont les convives affamés qui attendent avec impatience votre plat. Ils ont des attentes et des préférences, tout comme les clients potentiels de votre entreprise. Prenez le temps de comprendre leurs besoins et leurs désirs, tout comme un chef qui adapte son menu en fonction des préférences de ses clients.

Un chef qui se promène dans la salle du restaurant, peut discuter avec chaque convive pour savoir ce qu’ils aiment et ce qu’ils n’aiment pas. Il prend des notes mentales et s’efforce de personnaliser chaque plat en fonction des goûts de chaque client. C’est un peu comme faire des études de marché pour mieux comprendre votre public et offrir des produits ou des services qui correspondent à leurs besoins.

L’exécution – La cuisson parfaite

Lorsque vous lancez votre entreprise, c’est comme mettre votre plat sur le feu. Vous devez surveiller attentivement la cuisson pour éviter de brûler la poêle. Soyez prêt à ajuster la température, à retourner les ingrédients si nécessaire, et à garder un œil vigilant sur tout ce qui se passe. L’entrepreneuriat est une cuisine délicate, mais avec la bonne attention, vous pouvez obtenir une délicieuse réussite.

Imaginez un chef qui jongle entre les différents brûleurs de sa cuisine, surveillant chaque plat avec une attention méticuleuse. Il ajuste la température, ajoute un peu d’huile ici, tourne un steak là-bas, et sait exactement quand chaque élément est prêt à être servi. De la même manière, un entrepreneur doit être prêt à jongler avec les défis, à ajuster sa stratégie et à garder un œil sur l’évolution de son entreprise.

Les échecs – Les ratés en cuisine

Dans la cuisine comme dans les affaires, il y aura des ratés. Vous pourriez brûler une sauce, rater une cuisson, ou même faire tomber un plat complet. C’est normal. Les échecs sont comme les erreurs entrepreneuriales, ils font partie du processus d’apprentissage. Ne vous découragez pas, chaque grand chef a connu des déconvenues en cuisine avant de réussir.

Le succès – Le plat Principal

Enfin, lorsque tout se déroule parfaitement, vous obtenez le plat principal, le succès de votre entreprise. C’est le moment où les clients savourent vos efforts et en redemandent. C’est la récompense ultime pour votre travail acharné en cuisine.

Imaginez un chef qui sort fièrement de la cuisine avec un plat magnifiquement présenté. Les clients applaudissent, prennent des photos pour les réseaux sociaux, et dégustent chaque bouchée avec délice. C’est comme l’entrepreneur qui voit son entreprise prospérer, attirant des clients satisfaits et récoltant les fruits de son travail acharné.

L’évolution – La nouvelle carte

Mais l’histoire de l’entrepreneuriat ne s’arrête pas là. Comme dans un restaurant étoilé, vous devez continuellement innover et évoluer. Vous ne pouvez pas vous reposer sur vos lauriers et servir le même plat à l’infini. Les goûts changent, les tendances évoluent, et vous devez suivre le rythme.

Le conseil du chef  

L’entrepreneuriat peut être comparé à une aventure culinaire passionnante. Vous commencez par une idée alléchante, ajoutez un plan d’affaires bien élaboré, mélangez avec du financement, garnissez de talents d’équipe, servez à un marché affamé, surveillez la cuisson avec soin, faites face aux échecs avec grâce, et enfin, savourez le succès. Alors, n’ayez pas peur de mettre votre toque d’entrepreneur et de vous lancer dans cette aventure culinaire qu’est l’entrepreneuriat ! 

Comment créer une équipe performante et motivée ?

Une équipe qui fonctionne harmonieusement, qui est engagée dans ses tâches et qui partage une vision commune peut accomplir des réalisations remarquables. Cependant, créer et maintenir une telle équipe n’est pas facile. Cela demande du temps, de la planification et un leadership efficace. Voici les étapes essentielles pour créer une équipe performante et motivée qui excelle dans ses missions.

1/ Définissez une vision et des objectifs clair

La première étape pour créer une équipe performante est de définir une vision claire et des objectifs précis. La vision représente l’avenir vers lequel l’entreprise se dirige, tandis que les objectifs sont les jalons concrets qui la guident vers cette vision. Assurez-vous que chaque membre de l’équipe comprend la mission de l’entreprise, sa place dans cette mission et les objectifs spécifiques à atteindre. Les objectifs doivent être réalistes, mesurables et alignés avec la mission de l’entreprise.

3/ Recrutez avec soin

Le recrutement est une étape cruciale pour créer une équipe performante. Recherchez des candidats dont les compétences, l’expérience et les valeurs sont en harmonie avec la culture de l’entreprise. La diversité des compétences et des perspectives peut également enrichir l’équipe. Lors du recrutement, assurez-vous de bien communiquer la mission et la vision de l’entreprise pour attirer des candidats qui partagent ces valeurs.

3/ Favorisez la communication et la collaboration

La communication ouverte et la collaboration sont essentielles pour une équipe performante. Encouragez les membres de l’équipe à partager leurs idées, à poser des questions et à travailler ensemble. Créez un environnement où chacun se sent en confiance pour s’exprimer. Organisez des réunions régulières pour discuter des progrès, des défis et des opportunités.

4/ Créez un environnement de travail positif

Un environnement de travail positif est propice à la motivation. Assurez-vous que les membres de l’équipe se sentent appréciés, respectés et soutenus. Cela peut passer par des récompenses, des opportunités de développement professionnel et une culture de reconnaissance. Créez un espace de travail agréable et encourageant.

5/ Développez les compétences

Investissez dans le développement des compétences de votre équipe. Offrez des formations et des opportunités d’apprentissage pour aider les membres de l’équipe à progresser dans leur carrière. Le développement des compétences montre que vous croyez en leur potentiel et que vous investissez dans leur avenir.

6/ Donnez des responsabilités

Accordez aux membres de l’équipe une certaine autonomie et des responsabilités. Lorsqu’ils ont un sentiment de propriété sur leur travail, ils sont plus susceptibles de se sentir investis et motivés pour réussir. Encouragez la prise d’initiative et la responsabilisation.

7/ Fixez des attentes claires

Définissez des attentes claires en ce qui concerne les rôles et les responsabilités de chaque membre de l’équipe. Assurez-vous que tous comprennent ce qui est attendu d’eux et que les objectifs sont atteignables. Lorsque les attentes sont définies avec précision, les membres de l’équipe savent ce qu’on attend d’eux et sont plus susceptibles de réussir.

8/ Encouragez l’innovation

Favorisez un environnement qui encourage l’innovation. Encouragez les membres de l’équipe à penser en dehors de la boîte et à proposer des idées nouvelles et créatives. L’innovation peut stimuler la performance de l’équipe et aider à résoudre les problèmes de manière plus efficace.

9/ Faites preuve de leadership inspirant

Le leadership joue un rôle déterminant dans la motivation de l’équipe. Soyez un leader inspirant, capable de montrer l’exemple, de donner des orientations claires et de soutenir les membres de l’équipe dans leurs efforts. Soyez à l’écoute de leurs préoccupations et de leurs idées, et montrez-leur que vous êtes là pour les soutenir.

10// Récompensez et célébrez les réussites

Reconnaître et récompenser les réalisations de l’équipe est un puissant moteur de motivation. Célébrez les victoires, grandes ou petites, pour renforcer le sentiment d’accomplissement. Les récompenses peuvent être financières, mais aussi sous forme de reconnaissance publique, de développement de carrière ou de possibilités de formation.

Tour du monde : les actualités internationales à ne pas manquer

Les innovations ne cessent de nous apporter un nouveau souffle. Les finances sont au cœur des évolutions mondiales et ne cessent de nous donner le tournis. Focus sur les dernières actualités internationales.

Arm : valorisation proche des 52 milliards de dollars !

Arm, le concepteur britannique de puces électroniques dont les processeurs sont présents dans 99 % des smartphones, vise une valorisation d’environ 52 milliards de dollars pour son introduction en Bourse à la Bourse de New York. Cette introduction en Bourse est la plus importante depuis près de deux ans, depuis l’arrivée de Rivian à Wall Street, ainsi le prix de l’action d’Arm a été fixé au niveau le plus élevé de la fourchette initiale, soit entre 47 et 51 dollars par action. L’opération, lancée par SoftBank Group, l’actionnaire majoritaire d’Arm, qui vendra environ 10 % des actions de la société technologique basée à Cambridge, en Angleterre. La valorisation d’Arm dépasse largement les 32 milliards de dollars dépensés par SoftBank pour acquérir la société en 2016, mais reste en deçà des 60 à 70 milliards de dollars visés par SoftBank il y a quelques semaines.

Révision nécessaire de 600 à 700 avions pour Airbus

Pratt & Whitney, le motoriste américain, a identifié un défaut sur les moteurs équipant l’A320neo d’Airbus. En fait, cette découverte nécessite le rappel et la révision de 600 à 700 avions, les immobilisant pendant un certain temps. Le coût de cette situation se situe entre 3 et 3,5 milliards de dollars sur les « prochaines années » par RTX, la société mère de Pratt & Whitney. Environ 1 200 avions pourraient être affectés, dont 3 000  équipés de ce moteur PW1100 GTF.

Ces dépenses incluront des indemnisations aux compagnies aériennes propriétaires d’A320neo, une période critique alors que le trafic aérien se redresse après la pandémie de Covid-19. Le problème découle d’un défaut dans une poudre de métal utilisée pour fabriquer des disques de turbine haute pression. Ce défaut ne représente pas de danger immédiat mais il peut entraîner une usure prématurée. Airbus indique qu’elle ne prévoit pas de perturbation dans ses livraisons pour 2023 ni dans son plan de montée en cadence en 2024.

Le câble USB type C s’impose et sera obligatoire dès 2024

La directive européenne du 4 octobre 2022 impose l’obligation d’intégrer le port USB-C sur tous les appareils électroniques à partir du 28 décembre 2024. Notamment, Il faudra l’intégrer sur les téléphones mobiles, tablettes, liseuses, casques, enceintes, écouteurs, appareils photo numériques et consoles de jeux portables. Les ordinateurs suivront cette obligation en 2026. En outre, cette mesure vise à réduire les déchets liés aux nouvelles technologies et à faire économiser chaque année 250 millions d’euros aux consommateurs européens. Pour rappel, l’USB-C est un connecteur standard de 24 broches, plus fin et plus performant que ses prédécesseurs. Par exemple, il s’utilise couramment sur les smartphones Android. Il peut fournir une tension de charge allant jusqu’à 240 Watts. A noter : Apple a intégré le port USB-C à sa nouvelle gamme d’iPhone.

Birkenstock a déposé une demande d’introduction à la bourse de New-York

Cette démarche vise à poursuivre la croissance de l’entreprise qui a gagné en popularité ces dernières années, grâce à une stratégie marketing audacieuse et à des collaborations de luxe. Le document déposé est préliminaire. Il ne précise pas le nombre d’actions offertes aux investisseurs. Les actionnaires, dont L Catterton, associé à LVMH et dirigé par Bernard Arnault, visent une valorisation de plus de 7 milliards de dollars pour Birkenstock. L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 1,24 milliard d’euros lors de son année fiscale se terminant en septembre 2022, avec un bénéfice net de 187 millions d’euros. Au cours des six premiers mois d’octobre 2022 à mars 2023, les revenus ont augmenté de 18 % pour atteindre 644 millions d’euros. 

Paris 8ème meilleure ville pour télétravailler

Le leader mondial des espaces de co-working, IWG, a publié un classement des 25 villes les plus propices à des « workations ». Barcelone a été classée en première position pour son dynamisme et son climat méditerranéen. Toronto au Canada est en deuxième place, suivie de Pékin en Chine. IWG a utilisé neuf critères pour évaluer ces destinations, notamment le climat, la culture, l’accès aux transports, la cuisine, le niveau de bonheur, la vitesse de l’Internet haut débit et la disponibilité d’espaces de travail flexibles. D’autres villes telles que Milan en Italie, New York aux États-Unis, Rio de Janeiro au Brésil, et Amsterdam aux Pays-Bas figurent également dans le classement. Paris se classe en huitième position, mais obtient des notes basses en raison du coût de la nourriture et des boissons.

Fermeture des magasins Wilko

La chaîne en faillite Wilko prévoit de fermer tous ses magasins d’ici début octobre. Ces fermetures entraîneront le licenciement de 9 100 employés supplémentaires, selon PwC, le cabinet de conseil administrateur de la faillite. Il est devenu évident qu’aucune partie significative de l’activité de Wilko ne peut être maintenue dans sa forme actuelle. Ces licenciements s’ajoutent aux plus de 1 600 suppressions d’emplois annoncées ces dernières semaines.

De plus, de nombreux employés ont choisi de quitter l’entreprise par anticipation. En fin de compte, presque tous les 12 500 emplois que comptait l’enseigne avant sa faillite disparaîtront. L’investisseur Doug Putman, propriétaire des magasins de musique HMV, a renoncé à sa tentative de reprise des magasins Wilko. En effet, en raison de l’incapacité à réduire les coûts de l’infrastructure centrale suffisamment rapidement, la transaction n’a pu être finalisée. Wilko avait déposé le bilan début août compte tenu de la crise du coût de la vie et de l’inflation au Royaume-Uni.

Nintendo va ouvrir son propre musée

Un musée dédié à Nintendo devrait ouvrir ses portes en 2024 dans une ancienne usine de l’entreprise au Japon. Cette entreprise, spécialisée dans la création de consoles et de jeux vidéo depuis 1977, a une histoire de plus en plus riche à partager. Lors d’une conférence Nintendo Direct, le PDG de la société, Shinya Takahashi, a donné des détails sur le projet en cours du Nintendo Museum, anciennement connu sous le nom de « Nintendo Gallery ».

La date exacte d’ouverture du musée reste un secret, mais Nintendo assure qu’il proposera une vaste gamme d’éléments liés à l’histoire de Nintendo, y compris des objets historiques et potentiellement des jeux oubliés, méconnus ou extrêmement rares aujourd’hui. Ces dernières années, Nintendo a cherché à offrir une expérience plus immersive aux fans et aux joueurs, en ouvrant notamment deux parcs à thème basés sur ses univers au Japon et aux États-Unis. En France, une initiative similaire serait en préparation.

Interdiction des vêtements qui « heurtent les sentiments »

La Chine envisage d’interdire les vêtements jugés offensants pour les sentiments de la population. Les autorités de Pékin ont élaboré un projet de loi visant à sanctionner les vêtements considérés comme nuisibles à l’esprit du peuple chinois, pouvant entraîner des amendes voire des peines d’emprisonnement. Cette réforme fait suite à plusieurs incidents liés au port de vêtements japonais dans des lieux historiques ou lors de journées commémoratives. En 2021, un tabloïd d’État, le Global Times, avait rapporté qu’une femme avait été vivement critiquée pour avoir porté un kimono en public le 13 décembre, journée nationale de commémoration des victimes des crimes de guerre commis par le Japon en 1937. 

Réussir son premier contact avec un capital-risqueur

Vous êtes à la tête d’une jeune entreprise et vous avez décidé de partir à la quête de fonds propres ? Vous avez l’annuaire du capital-risque en mains et vous êtes prêts à dégainer votre téléphone ? 7 conseils rapides avant de passer à l’action et contacter un capital-risqueur.

1/ Ne pas envoyer de Business Plan par la poste ou sur info@…

Ayez en tête qu’un fonds de capital-risque reçoit de nombreux projets chaque jour et n’en financera qu’une petite dizaine par an. Vos chances de passer toutes les étapes en partant de tout en bas sont faibles. Il faut absolument trouver un angle pour attaquer votre potentiel futur actionnaire. Essayez, par exemple, de trouver une relation commune avant de passer à l’action. Vous pourrez ainsi passer par elle pour connaître la bonne manière de déposer votre dossier. 

2/ Pas d’e-mailing de masse !

Cela peut paraître évident, mais il est assez fréquent en tant qu’investisseur de recevoir un business plan par email alors que d’autres investisseurs sont en CCI (Copie Cachée Invisible) ou pire en CC avec l’ensemble de nos confrères ! Comme pour un CV, faites un effort sur la personnalisation… Il ne faut pas hésiter à changer quelques phrases pour montrer que ce fonds ou ce Business Angel en particulier a fait l’objet de vos faveurs. Et ceci pour de bonnes raisons.

3/ Renseignez-vous sur l’investisseur et le capital-risqueur

Avant de contacter un investisseur, visitez son site internet. Regardez ses participations et cherchez si vous avez des connaissances communes. Rien ne sert de prendre contact avec un fonds qui n’investit pas dans votre secteur ou, au contraire, a déjà financé votre concurrent. Plus votre projet collera avec son expertise ou des domaines qui l’intéressent, plus vous aurez de chance que votre dossier soit traité.

4/ Rien à moins de 1M€

Les fonds professionnels ont rarement des tickets d’investissement inférieurs à 1M€. Si vous cherchez 100.000€ à 500.000€, tournez-vous plutôt vers des Business Angels ou vers les seuls fonds spécialisés dans l’amorçage. 

5/ Éviter la paranoïa

Votre projet est sûrement prometteur, mais n’exigez pas la signature d’un accord de confidentialité avant même la transmission d’un résumé de votre projet. Il est logique de se protéger mais à partir du moment où vous livrez des informations sensibles.  Vous devez donner un minimum de détails afin d’attirer votre investisseurs même si vous souhaitez garder quelques informations confidentielles. 

6/ Laissez la parole…

Vous avez enfin réussi à décrocher un RV. Bravo ! Vous êtes sûrement très excité. Mais n’oubliez pas d’être à l’écoute du capital-risqueur ! Faites-le parler sur ses critères d’investissement et adaptez votre discours.

7/ Ayez la bonne attitude

Il faut vous attendre à rencontrer des investisseurs qui adorent jouer les « avocats du diable ». Acceptez de jouer le jeu et ne perdez jamais votre sens de la répartie et de l’humour.

Aussi, votre investisseur rencontre des entrepreneurs d’univers variés. Il ne connaît pas votre secteur aussi bien que vous. Ne le perdez pas avec votre jargon et n’essayez donc pas de le prendre de haut. De la même manière, il est important de montrer que vous connaissez du monde, mais rien ne sert de faire étalage de tout votre carnet d’adresses…

Enfin, les investisseurs savent que créer une entreprise n’est pas simple et que vous avez des challenges plus difficiles que d’autres à relever. Ne balayez pas les difficultés d’un revers de main… Vendre, ne veut pas dire mentir.

Créativité Individuelle : Encouragez chaque employé à apporter des idées créatives !

L’innovation est devenue le maître-mot pour les entreprises. Traditionnellement, elle était souvent associée à des équipes de recherche et développement ou à des spécialistes en technologie. Cependant, il est temps de reconnaître une ressource créative souvent négligée en interne : les employés. La gestion de la créativité individuelle est aujourd’hui un élément clé du leadership moderne. En effet, elle permet aux entreprises de libérer le potentiel créatif de chaque membre de leur équipe.

Favoriser une culture de créativité

La première étape pour encourager la créativité individuelle au sein de l’entreprise consiste à créer une culture qui la valorise. Les employés doivent se sentir en sécurité pour partager leurs idées, même les plus farfelues, sans craindre le ridicule ou le rejet. Une culture de créativité favorise un environnement où chaque employé se sent habilité à contribuer et à apporter une valeur ajoutée. Les dirigeants jouent un rôle essentiel dans la création de cette atmosphère positive en encourageant activement la participation. Ils doivent valoriser la diversité des idées et en récompensant les contributions créatives.

L’importance de l’écoute active

Pour que les employés se sentent valorisés et encouragés à contribuer, il est essentiel que les dirigeants pratiquent l’écoute active. Cela signifie écouter attentivement les idées et les préoccupations de chaque employé. Il est nécessaire de poser des questions pour approfondir leur réflexion et montrer la prise au sérieux de leurs contributions. L’écoute active renforce la confiance au sein de l’entreprise et stimule la créativité individuelle. Les dirigeants ne doivent pas seulement être des auditeurs passifs, mais également des facilitateurs actifs. Organiser des sessions de brainstorming, des réunions de partage d’idées ou même des ateliers de résolution de problèmes peut aider à encourager la créativité en fournissant un espace où les employés peuvent librement exprimer leurs idées et collaborer.

Donner du temps et de l’espace pour la réflexion créative

La créativité ne peut pas être forcée ni contrainte dans des délais stricts. Les dirigeants doivent donner à leurs employés le temps et l’espace nécessaires pour réfléchir de manière créative. Cela peut inclure la possibilité de travailler sur des projets personnels, des pauses créatives ou même des espaces de travail spécialement conçus pour inspirer l’imagination. Les moments de détente et de réflexion sont souvent les plus propices à la génération d’idées novatrices.

Il faut l’encourager en laissant aux employés une certaine marge de manœuvre dans la gestion de leur temps. Cette flexibilité permet aux employés de suivre leur propre rythme de travail et d’explorer de nouvelles idées sans être constamment sous pression.

Récompenser et reconnaître la créativité

Pour stimuler davantage la créativité individuelle, il est important de reconnaître et de récompenser les contributions créatives des employés. Cela peut se faire par le biais de récompenses financières, de reconnaissances publiques ou de possibilités de développement professionnel. Lorsque les employés voient que leurs idées sont valorisées et récompensées, ils sont plus susceptibles de continuer à contribuer de manière créative à l’entreprise. Certaines entreprises vont même jusqu’à mettre en place des programmes de récompenses spécifiques pour l’innovation. Elles offrent des primes ou des avantages aux employés dont les idées sont mises en œuvre avec succès. Cela crée une incitation supplémentaire à participer activement au processus créatif.

Favoriser la diversité des idées

La gestion de la créativité individuelle ne se limite pas à encourager chaque employé à apporter des idées, elle doit également favoriser la diversité des idées. Les équipes hétérogènes sont souvent plus créatives car elles apportent différentes perspectives et expériences. Les dirigeants doivent donc veiller à ce que la créativité individuelle soit encouragée dans tous les domaines de l’entreprise, et pas seulement dans certaines équipes ou départements. Cela peut également se faire pour la diversité des idées en créant un environnement exposé à des sources d’inspiration variées. Cela peut inclure des voyages, la participation à des conférences ou la promotion de la collaboration avec des organisations externes.

Quelques outils ou astuces

Voici les 2 méthodes les plus couramment utilisées :

1/ Brainstorming et sessions de réflexion :

  • Séances de brainstorming : Organisez des sessions de brainstorming régulières où les employés sont encouragés à partager leurs idées, même les plus folles. Utilisez des techniques de brainstorming structurées telles que la méthode des 6 chapeaux pour stimuler la créativité
  • Mind mapping : Encouragez l’utilisation de logiciels de mind mapping pour visualiser et développer des idées. Des outils comme MindMeister ou XMind peuvent être très utiles pour organiser des concepts complexes.

2/ Plateformes de gestion de l’innovation :

Logiciels de gestion de l’innovation : Utilisez des outils de gestion de l’innovation tels que IdeaScale, Spigit, ou Brightidea pour recueillir, suivre et évaluer les idées des employés. Ces plateformes permettent également de collaborer sur des projets innovants.

Top 10 avantages de la gestion axée sur les données

La gestion axée sur les données, également connue sous le nom de gestion des données, est devenue une priorité absolue pour les entreprises de toutes tailles. Elle offre un avantage concurrentiel considérable en permettant aux organisations de tirer parti de leurs données. Elles peuvent grâce à elle prendre des décisions éclairées, optimiser leurs opérations et améliorer la satisfaction de leurs clients. Voici les 10 principaux avantages de la gestion axée sur les données et comment elle peut transformer votre entreprise.

1/ Prise de décision éclairée 

L’un des avantages les plus évidents de la gestion axée sur les données est la capacité à prendre des décisions éclairées. Les entreprises collectent une multitude de données, des ventes aux données opérationnelles. Or, l’analyse de ces données offre des informations cruciales pour la prise de décisions stratégiques. En examinant les tendances passées et actuelles, les dirigeants peuvent anticiper les évolutions du marché, identifier les opportunités de croissance et atténuer les risques potentiels.

2/ Amélioration de l’efficacité opérationnelle 

Grâce à l’analyse de données, les entreprises peuvent optimiser leurs processus opérationnels. Par exemple, l’analyse des données de production peut révéler des inefficacités et des goulots d’étranglement, permettant ainsi des ajustements pour une utilisation plus efficace des ressources. De plus, la gestion des stocks peut être améliorée en utilisant des données en temps réel pour éviter les surstocks ou les ruptures de stock.

3/ Personnalisation des services 

Les données clients sont précieuses pour personnaliser les services et les offres. En analysant les préférences et les habitudes d’achat des clients, les entreprises peuvent créer des expériences plus personnalisées. Par exemple, un site de commerce électronique peut recommander des produits basés sur les achats précédents, améliorant ainsi la satisfaction et la fidélité des clients.

4/ Prévision de la demande 

L’analyse des données permet de prévoir la demande future avec une précision accrue. Cette capacité est particulièrement utile dans les secteurs où la saisonnalité ou les tendances du marché sont des facteurs importants. Les entreprises peuvent ajuster leur production, leurs approvisionnements et leurs effectifs en fonction des prévisions, réduisant ainsi les pertes de revenus liées à une offre excédentaire ou à une demande insatisfaite.

5/ Découverte de nouvelles opportunités 

Les données révèlent souvent des opportunités inattendues. En analysant les données du marché, de la concurrence et des clients, les entreprises peuvent découvrir de nouveaux marchés à explorer, de nouveaux segments de clientèle à cibler ou de nouveaux produits à développer. Cette capacité à anticiper les besoins du marché est cruciale pour rester compétitif.

6/ Gestion proactive des risques 

La gestion axée sur les données permet de surveiller en temps réel les risques potentiels. Par exemple, les banques utilisent des analyses prédictives pour détecter les signaux d’alerte précoce de comportements frauduleux. De plus, les entreprises peuvent anticiper les risques liés à la chaîne d’approvisionnement, aux fluctuations des prix des matières premières et aux problèmes de qualité des produits, minimisant ainsi les perturbations potentielles.

7/ Meilleure fidélisation client 

Les données clients permettent de mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes. Les entreprises peuvent ainsi mettre en place des programmes de fidélisation plus efficaces. Des offres spéciales ciblées, un service client personnalisé et des réponses rapides aux problèmes des clients renforcent la relation client.

8/ Optimisation du marketing 

L’analyse des données est essentielle pour optimiser les efforts marketing. Les entreprises peuvent suivre l’efficacité de leurs campagnes publicitaires, identifier les canaux les plus performants et ajuster leurs messages en temps réel pour maximiser l’impact. Cela permet de réduire les dépenses marketing inutiles et d’améliorer le retour sur investissement.

9/ Conformité réglementaire améliorée 

Dans un environnement réglementaire en constante évolution, la gestion axée sur les données permet de suivre et de garantir la conformité aux normes et réglementations en vigueur. Les entreprises peuvent surveiller leurs pratiques et leurs opérations pour éviter les sanctions financières et les problèmes juridiques.

10/ Innovation continue 

Les données sont une source inestimable d’inspiration pour l’innovation. Elles fournissent des informations sur les tendances émergentes, les besoins du marché et les opportunités de développement de nouveaux produits et services. Les entreprises axées sur les données sont mieux positionnées pour innover constamment et rester compétitives à long terme.

RH : Avez-vous vraiment besoin de recruter ?

Le recrutement est une activité qui vise à associer des postes offerts et vacants dans une organisation. Le besoin en recrutement peut se faire sentir. Jusque-là rien d’anormal. Mais connaissez-vous réellement les compétences de vos équipes, présentes, pour certaines, depuis plusieurs années ? Avez-vous vraiment besoin de recruter ?

Les signes d’un besoin de recruter 

1/ Charge de travail excessive

L’un des signes les plus évidents qu’il est temps de recruter est lorsque vos employés actuels sont constamment submergés de travail. Une charge de travail excessive peut avoir des conséquences graves, telles que le burn-out, la baisse de la productivité et la démotivation. Si vous observez que vos collaborateurs ont du mal à respecter les délais, que les projets s’accumulent ou que la qualité du travail en souffre, il est probablement temps d’ajouter des mains supplémentaires. Assurez-vous de prendre en compte la charge de travail réelle et d’éviter la surcharge, car cela peut entraîner des problèmes à long terme.

2/ Croissance de l’entreprise

Si votre entreprise connaît une croissance constante, c’est un signe positif, mais cela peut également signifier que vous avez besoin de renforcer votre équipe. Lorsque vos ventes augmentent, que de nouveaux projets se profilent, ou que vous envisagez de pénétrer de nouveaux marchés, il est probable que votre effectif actuel ne puisse plus suivre la cadence. Une équipe surchargée risque de compromettre la qualité de vos produits ou services, ce qui peut nuire à votre réputation. Dans ce cas, recruter de nouveaux talents peut vous permettre de capitaliser sur ces opportunités de croissance tout en maintenant la qualité de votre travail.

3/ Fluctuations saisonnières

Certaines entreprises connaissent des fluctuations saisonnières dans leur activité. Par exemple, les commerces de détail peuvent avoir besoin de plus de personnel pendant la période des fêtes. Si votre entreprise est soumise à de telles variations, cela peut influencer vos besoins en personnel. Embaucher temporairement pendant les périodes de pointe peut être une solution efficace pour répondre à la demande sans alourdir les charges salariales pendant les périodes plus calmes. Assurez-vous de prévoir ces fluctuations dans votre planification des ressources humaines.

4/ Perte de compétences clés

La perte d’employés clés ou d’experts de votre secteur peut avoir un impact significatif sur votre entreprise. Ces individus apportent souvent une expertise unique et une connaissance approfondie de votre entreprise. Si vous constatez que des employés clés quittent l’entreprise, cela peut être un signe que vous avez besoin de recruter pour combler ces lacunes. Le remplacement de compétences essentielles est essentiel pour maintenir votre compétitivité et votre expertise dans le domaine.

Une démarche parfois inutile 

Le réflexe, par expérience, d’un chef ou d’une cheffe d’entreprise, lorsque le besoin de recruter d’un poste précis est nécessaire à l’efficacité de la structure, est de démarrer le processus classique de recrutement. À savoir : établissement d’un profil de poste, sourcing, tri et le décryptage des CV, entretiens. Ce processus peut s’avérer coûteux en termes de temps et de coûts. Toutes ces démarches pour, au final, peut-être ne pas dénicher la perle rare.

Cependant, avez-vous pensé que cette perle rare est peut-être dans vos locaux, avec en prime une connaissance parfaite de la culture de votre entreprise ?

Évaluez les compétences internes, peut avoir plusieurs buts : 

  • Motiver vos salariés en montrant qu’il est possible d’évoluer au sein de votre société
  • Diminuer la lassitude et le turn-over. Un salarié même compétent à son poste peut avoir l’envie de faire autre chose ou de monter en compétences. 
  • Recruter un poste moins coûteux.

N’oublions pas que les structures de recrutement basent, leur tarif sur le montant brut du salaire annuel. Alors, prenez le temps de, vraiment, connaître, vos équipes !