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Le travail collaboratif, la panacée

Le travail collaboratif s’est imposé avec les nouveaux outils numériques mettant au pilori certaines fonctions de l’entreprise liées à la hiérarchie traditionnelle. Il se révèle un véritable enjeu pour les équipes et possède ses exigences qui ne sont guère à sous-évaluer comme celle d’une organisation rigoureuse mais aussi d’un management des équipes qui met l’humain au centre. Le développement du télétravail qui trouve sa source dans de multiples raisons (bien-être, transport, familial…) a fait du travail collaboratif un pilier d’un nouveau mode de fonctionnement.  

En 2024, le travail collaboratif est devenu une évidence. D’après une étude de McKinsey, l’utilisation efficace des outils collaboratifs peut augmenter la productivité des employés de 20 à 25%. Par ailleurs , le développement des plateformes tout-en-un, qui offrent une intégration de multiples  fonctionnalités comme les communications, la gestion de projet et le partage de fichiers.

Quels sont les enjeux du travail collaboratif ?

Gagner du temps en éliminant les réunions

D’après une étude d’Opinionway effectuée en 2017, les réunions sont trop nombreuses et loin d’être toujours productives. En effet, les salariés assistent en moyenne à plus de 2 réunions par semaine, pour une durée totale cumulée de 4 heures et demie. Une moyenne qui varie très fortement selon le statut (4,3 réunions / semaine pour les cadres) et le type d’organisation (4,1 réunions pour les organisations matricielles). Au total, ce sont donc 3 semaines par an que les salariés passent en réunion et plus du double pour les cadres. A peine la moitié (52%) d’entre elles sont pourtant considérées comme productives.  Le travail collaboratif grâce à sa centralisation des données permet de faciliter la communication des informations, les mises à jour d’état par l’intermédiaire d’un outil informatique efficace et les réunions consacrées au dispatching des tâches deviennent alors obsolètes.

Partager sans rétention les informations

Partager  des informations et des idées est la clef pour un travail efficace. Pour que ce partage soit effectif , il est nécessaire de  développer la transparence c’est-à-dire savoir, en temps réel, qui travaille sur quoi. Non pas dans un objectif de contrôle et surveillance  mais afin que l’information circule et que les projets avancent. Mais aussi pour permettre à chacun d’être responsable en cas de difficultés et donc de s’impliquer pour résoudre le problème..

Gagner du temps en supprimant le fléau des e-mails

Le nombre d’emails en interne dans une entreprise est considérable, une plateforme collaborative permet de supprimer les e-mails puisque tout se trouve sur la plateforme et simplifie le travail d’équipe.

Développer le partage des savoirs

Un travail collaboratif permet aux équipes de développer de nouvelles idées et de les faire partager et donc à chacun d’être force de proposition. Il permet le partage des savoirs, la coopération et la capacité à décloisonner les modes de fonctionnement, l’implication de chaque collaborateur dans les équipes constituées autour d’un projet.

Travailler à distance sans frontières

Les équipes dispersées sur plusieurs sites et même dans un autre pays ont besoin d’échanger sur divers projets. La web-conférence réduit les déplacements des collaborateurs et supprime les distances et permet une mise en relation directe sans nécessiter la mise en place d’une infrastructure complexe. Les ressources de l’entreprise doivent être accessibles depuis n’importe quel terminal, à tout moment et quel que soit le fuseau horaire.  Le Cloud a permis la mise en place de solutions de traitement de fichiers ou de prise de notes collaboratives qui offrent l’opportunité aux salariés de travailler ensemble sur un même fichier et de prendre connaissance en temps réel des modifications de leurs collègues.

Quel est selon vous l’avantage le plus pertinent du travail collaboratif en entreprise ? (Source Mindjet)

  •  Mieux contribuer aux objectifs de l’entreprise 24.9%
  • Meilleure compréhension de la stratégie et des processus 13.7%
  • Accroissement des performances 21.9 %
  • Stimulation de l’innovation 12.9%
  • Partage des savoirs 35.7%
  • Meilleure qualité du travail au quotidien 25.3%
  • Meilleur relationnel avec ses collègues 20.7%.
  • Les réponses permettent de constater que l’humain est mis au centre.

Une limite aux outils collaboratifs ?

Mais des précautions sont à prendre pour sécuriser l’infrastructure informatique. Le travail collaboratif peut devenir une source d’erreur (suppression accidentelle d’un fichier ou de certaines modifications, etc.). Les entreprises qui ont dû affronter ce genre d’erreurs savent combien elles sont chronophages et qu’elles peuvent mettre en péril l’entreprise. Des sauvegardes automatiques fréquentes sont à préconiser. L’utilisateur doit toujours pouvoir récupérer une version antérieure de son document qui permet de limiter les pertes. Cependant, la principale inquiétude se situe au niveau de la sécurisation des données, et particulièrement pour les outils collaboratifs en ligne et la protection contre les éventuels piratages est une priorité. Il ne faut pas non plus omettre les pannes de réseau informatique ou des sites internet qui se révèlent une vraie nuisance dans le travail puisqu’elles empêchent l’accès aux données et donc empêchent le travail des collaborateurs.

Exemple d’un espace de travail collaboratif

http://www.digne.cci.fr/IMG/pdf/Fiche_47_-_Technos-Les_outils_du_travail_collaboratif.pdf

Exemple de portail regroupant des espaces de travail collaboratif

http://www.digne.cci.fr/IMG/pdf/Fiche_47_-_Technos-Les_outils_du_travail_collaboratif.pdf

Comment s’autodiscipliner en télétravail ?

Qu’on se le dise, si le télétravail s’est généralisé dans les entreprises ou est déjà une pratique bien ancrée chez les indépendants, et l’autodiscipline joue un rôle majeur. Il est fréquent de subir une baisse de motivation au fil du temps. Aussi, il vous faudra acquérir les réflexes adéquats si vous souhaitez ne pas vous retrouver confronté à un ralentissement néfaste de productivité. Zoom sur quelques bonnes pratiques pour s’autodiscipliner en télétravail.

Le télétravail c’est ne plus avoir un cadre imposé par la vie en entreprise mais un cadre que l’on va s’imposer même si pour le salariés, il existe des contraintes, des horaires. Cependant, les tentations sont nombreuses et donc pour être performant, il va falloir jouer d’ingéniosité pour ne pas tomber dans des pièges, qu’il est facile de contourner.

Créer un espace de travail

Pour commencer, vous pouvez vous créer un espace dédié au travail dans votre maison/appartement. Le but est de disposer de tout le matériel nécessaire à votre activité et que vous puissiez rapidement accéder au matériel indispensable pour exécuter vos tâches. Pour cela, commencez par faire une liste de tout ce dont vous avez besoin et stockez-les le plus rapidement possible pour ne pas vous retrouver bloqué par un matériel manquant. N’hésitez pas à avoir vos consommables à l’avance pour ne pas vous confronter à une rupture de stock ou à devoir interrompre vos tâches pour acheter ce qui vous manquerait. 

Faire un to do List

Pour bien travailler à la maison et exécuter toutes vos tâches, rien de mieux que de faire une to do List que vous pourrez prendre dans l’ordre. Pour éviter de vous disperser, vous pouvez même associer des horaires devant chaque tâche pour être sûr de ne pas céder à la tentation d’allumer votre télévision par exemple. Plus votre to do List sera précise, plus vous enchaînerez les tâches sans prendre des pauses superflues. La grande difficulté de travailler chez soi reste de résister à la tentation et de se mettre dans le bain sans tergiverser. N’hésitez pas à prévoir vos temps de repos dans votre to do List et de bien délimiter vos temps de pause. Vous devrez vous mettre la pression car personne ne le fera pour vous. 

Adopter des horaires de bureau

Ce n’est pas parce que vous bosser de chez vous que vous ne devez pas adopter des horaires de bureau. Mieux vous pouvez profiter des horaires dans lesquels vous êtes habituellement dans les transports pour gagner quelques heures et ainsi devenir plus productif. Vous pouvez aussi rajouter quelques moments de détente étant donné que vous gagnez en amplitude horaire ou décider tout simplement de raccourcir vos horaires. Dans tous les cas, évitez de trop décaler vos horaires car si vous n’êtes plus contraint par ceux-ci, les autres entreprises ont, elles, des heures où vous pouvez les joindre et d’autres où ils ne seront pas présents ou mettront du temps à vous répondre.

Avoir des rappels à l’ordre

Vous pouvez vous imprimer des messages motivants qui vous rappellent que ce n’est pas parce que vous êtes chez vous que vous devez faire n’importe quoi. Quelques petits messages comme « Les horaires sont les horaires » par exemple peuvent vous remettre le pied à l’étrier. Vous pouvez également programmer des alertes pour vous inciter à vous concentrer si nécessaire. N’hésitez pas à installer des alertes afin de ne pas vous disperser trop longtemps lors de vos pauses. 

Vous isoler phoniquement

Il est parfois tentant lorsque vous avez vos proches à la maison de lancer une discussion qui n’a rien à voir avec le travail donc autant ne pas vous disperser. Une bonne solution si vous avez quelqu’un de bavard à la maison ou si vous êtes trop tenté de lui parler reste l’isolation phonique. Vous pouvez écouter de la musique ou avoir un casque isolant. L’idéal comme nous l’avons vu plus haut reste d’avoir une pièce séparée dédiée au travail. Des fonds sonores spécifiques existent et qui n’affectent pas la concentration et que vous pourrez trouver sur la toile. 

Vous lancer des défis

Corollaire de la to do List, le fait de vous lancer des défis de vitesse ou de performance peut contribuer à améliorer votre concentration. Plus vous avancerez rapidement, plus vous aurez un sentiment de satisfaction qui peut vite booster votre productivité. Evitez de vous interrompre trop souvent et lancez-vous rapidement dans vos tâches afin de ne pas céder à la tentation. Plus vos défis seront élevés (mais atteignables) plus vous aurez tendance à ne pas céder à la tentation. Alors n’hésitez pas à imposer des objectifs ambitieux qui vous porteront toute la journée et vous forceront à ne pas perdre trop de temps. 

Avoir quelqu’un qui vous motive

Si vous n’arrivez pas à rester concentré ou que vous savez que vous aurez tendance à vous disperser, rien ne vous empêche d’avoir un ami ou un membre de votre famille qui vous régule et vous motive à vous lancer dans une tâche. Si la personne est dans les mêmes conditions vous pourriez bien avoir une interaction positive et réciproque. Elle constitue un garde-fou et pourra d’ailleurs vous inciter à faire plus car vous pourrez vous fixer de faire au moins autant qu’elle. Evidemment, il s’agit de s’adresser à une personne de préférence elle-même rigoureuse afin de bénéficier de sa motivation dans vos temps mous et non l’inverse. 

Les geeks salariés : qui sont-ils et qu’attendent-ils ?

Il est facile de dresser un portrait empli de préjugés et d’idées préconçues sur les geeks salariés, leur comportement, mais aussi en fait leurs convictions et visions de l’entreprise et de l’avenir. On les imagine souvent réfractaires à l’entreprise et à leurs collègues et vivants dans un monde détaché du réel ou en parfaite opposition à la société.

Les nouveaux outils numériques et leur diktat favorisent certains talents qui dans le contexte précédent des entreprises n’auraient pas trouvé leur place. L’intelligence artificielle nous fait percevoir une autre approche du travail et surtout des tâches à réaliser. Zoom sur ces geeks qui nous interpellent.

BCG Platinion a réalisé avec Viavoice une étude « dans la tête d’un geek », sur les liens des geeks avec l’entreprise. Qu’en attendent-ils ? Que pensent-ils du management ? Pour réaliser cette étude, 732 personnes du monde entier ont été interrogées de septembre à octobre 2018 : ingénieur data, scientific data, coordinateur IT, ingénieur en machine learning, architecte analytics… c’est-à-dire des « personnes travaillant dans les secteurs de l’IT et du digital ».

Quelle est la vision des geeks sur l’entreprise ?

Les geeks ont une image positive du monde de leur société et de l’entreprise en général. En effet, 69% des geeks ont non seulement une image positive du monde de l’entreprise mais aussi 86% ont une image positive de leur firme. Cette idée est bien loin des images stéréotypées qui les montraient en rupture avec l’entreprise.

Pourquoi les geeks aiment-ils leur boîte ?

En fait, les spécialistes du recrutement les recherchent en raison de leurs compétences spécifiques, contrairement aux préjugés. Ils apparaissent comme de perles rares. En quelques mots, s’ils restent dans une entreprise, c’est parce qu’elle correspond à leurs attentes car quitter l’entreprise ne les laissera pas au chômage. Bien au contraire.

Quelles sont les entreprises qui les attirent ?

Les geeks ont des goûts plutôt classiques en matière d’employeur idéal. Comme l’ensemble des actifs, ils veulent travailler dans une entreprise privée (44%) normale, 15 % deviendraient volontiers indépendants et 14% rejoindraient une start-up. Ils ne sont que 4% à exprimer le désir travailler pour un géant du numérique de type GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Mais pour corroborer cette idée, l’étude du BCG Platinion indique aussi que 37% des geeks souhaiteraient décrocher un CDI dans une entreprise (la proportion est de 57% pour l’ensemble des actifs âgés de 18 à 30 ans), 22% rêvent de diriger leur entreprise. Ils sont 20% à souhaiter travailler ponctuellement sur des missions et 18 % à vouloir être indépendants. Les chiffres sont éloquents de leur souhait de vivre en conformité avec la dimension sociale.

Le binôme gagnant : la mission et les collègues

Pour les geeks ce qui est essentiel dans leur travail, c’est le binôme, l’intérêt de la mission et les collègues. Seulement 7% trouvent important de se connecter à une communauté relative à leurs compétences dans l’entreprise et 2%de se connecter à une communauté relative à leurs compétences hors de l’entreprise.

Le management ?

La question portant sur les contraintes de l’entreprise, « un management inadapté ou illégitime » arrive en tête avec 47% des réponses. Suivent ensuite la lourdeur des process et du reporting (38%) et l’organisation (29%). Juste derrière arrive le manque de sens, cité par 24% des répondants. Pour garder sur le long terme les talents des geeks, il faudra que les entreprises leur proposent un management adapté.

Leurs souhaits et leur vision de l’avenir

59% souhaitent un meilleur équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle, avoir l’opportunité d’innover et d’être force de proposition selon 42% des geeks tandis que 35% veulent davantage d’autonomie dans le travail.  Certes ils possèdent les compétences, mais en ce qui concerne l’avenir, 47 % se disent pessimistes quant à l’avenir de la société et du monde, 50% sont donc optimistes. Cette vision est bien sûr liée à l’obsolescence des compétences qui les obligent à sans cesse s’adapter et il apparaît évident que dans leur choix d’intégrer une entreprise la possibilité de développer leurs compétences sera un atout clef.

Recruter des atypiques : la nouvelle tendance des entreprises !

Frédéric Vezon, président et cofondateur d’ASPertise est un serial entrepreneur porteur du syndrome d’asperger. Il remet en cause les préjugés et nous montre que les atypiques peuvent se révéler une véritable force pour les entreprises. Pourquoi ne pas se mettre à penser différemment ?

Selon le dirigeant « la plupart des équipes ont des biais cognitifs communs, une même structure mentale. Pour enrichir le groupe, il faut intégrer des gens câblés différemment, qui voit ce qu’on ne voit pas. ». Elément qui serait d’autant plus vrai en termes de « cyber-sécurité où l’on sait que la plupart des hackers pensent autrement ». Autre atout selon le dirigeant : « En termes de concentration, un atypique est capable de se concentrer beaucoup plus intensément qu’une personne ordinaire sur certains sujets ! ».

Il nous confie ainsi « les atypiques ont une relation intime avec l’informatique, les chiffres, une facilité. L’hypothèse est que l’informatique a été créée par des Aspergers pour des Aspergers. Plus on va vers les langages de première génération, plus ils sont forts et s’éclatent ! ». Mais c’est surtout dans la capacité à innover dans ce domaine que résiderait leur apport : « la différence cognitive permet d’avoir une approche différente des problèmes et des solutions innovantes. Microsoft fait tous les ans des recrutements auprès des Aspergers. il se dit que la SiliconValley a été bâtie par des atypiques ».

Bien connaître ses concurrents

Les entrepreneurs se concentrent, en général, sur leur produit plus que sur celui de leurs concurrents. Mais étudier la concurrence reste essentiel pour les entrepreneurs. Pourtant un entrepreneur lorsqu’il crée son entreprise est souvent inspiré par la réussite  des leaders de son marché. Connaître ses concurrents fait partie intégrante de l’ADN de l’entrepreneur, qu’il soit en train de créer son entreprise ou dirigeant d’une entreprise en plein développement de son activité. Découvrez les raisons qui font que vous devez scruter ces derniers.

Les concurrents ce n’est pas seulement ceux qui sont visibles parce qu’ils proposent les mêmes produits ou services que vous. Parfois, un consommateur peut changer d’avis et choisir d’autres produits ou services selon leur budget. Prenez attention à tous les détails

Connaître les prix des concurrents

Avoir étudié la grille des prix proposés par la concurrence vous permet de définir le meilleur prix pour votre produit/service. Vous pouvez ensuite adopter différents types de stratégies concernant le prix : plus cher que vos concurrents pour faire valoir la qualité de votre offre ou plutôt moins cher afin d’attirer des clients dont le porte-monnaie fait grise mine ? A vous de voir mais n’oubliez pas que si vous pouvez faire moins cher, votre concurrent aussi…

Proposer  un positionnement inédit

Si vous souhaitez vous faire remarquer des clients, pourquoi faire comme tous vos concurrents et risquer, ainsi, de vous noyer dans la masse ? Vous gagnerez souvent à proposer un positionnement inédit sur le marché, sans toutefois en faire trop et ainsi vous décrédibiliser auprès des clients. Parfois, apporter une simple touche originale peut vous permettre de présenter un positionnement très différenciant sur le marché. Et ainsi conquérir les clients !

Savoir répondre à la question essentielle

« pourquoi devrais-je choisir votre produit/service plutôt qu’un autre ? ».

Que ferez-vous si vous ne savez pas précisément quoi répondre ? Observer la concurrence peut vous apporter une précieuse mine d’éléments qui vous permettront de construire une argumentation solide et convaincante en faveur de votre produit/service. Un benchmark approfondi n’est pas une perte de temps car il sera dans bien des cas l’élément qui vous permettra de toucher de nouveaux clients.

Savoir défendre son projet face aux investisseurs.

Tout investisseur a besoin qu’on le rassure et qu’on lui explique pourquoi il ne risque rien – et à tout à gagner- en investissant dans votre projet. Pour cela, montrez-lui que vous maîtrisez parfaitement l’offre proposée par la concurrence et que, grâce à cela, vous êtes en mesure de vendre un produit/service qui a tout pour réussir à s’imposer sur le marché.

Proposer un produit/service meilleur que celui de vos concurrents.

Il n’y a pas de secrets, ce qui attire les clients et provoque les ventes reste la qualité de l’offre proposée. Bien connaître les produits/services des concurrents vous permet de définir les améliorations qui sont possibles afin de surprendre le client par un niveau d’offre supérieur et, ainsi, de le fidéliser. Vous-même, à prix égal, ne préférez-vous pas acheter le meilleur produit proposé ? Connaître ses concurrents, leurs atouts et leurs  talons d’Achille, est primordial pour s’adapter à leur stratégie et aux changements économiques actuels et aux imprévus qui sont de toute nature. L’entrepreneur peut utiliser des logiciels de questionnements pour trouver ses concurrents, réaliser une étude de marché et mettre en place une veille concurrentielle car  l’entreprise évolue sur un marché qui ne cesse d’évoluer même pour celles qui avaient pignon sur rue depuis plusieurs décennies. Fait partie intégrante

E-commerce : les méthodes de fidélisation

Dans ce monde de grands bouleversements, toutes les stratégies élaborées soigneusement par les services de communication et de marketing ne semblent ne plus avoir le même impact. Il faut donc cesser de croire que le client est figé dans des idées préconçues. Par ailleurs, qu’il est impossible de lui demander de s’adapter. L’exemple le plus flagrant se trouve dans le confinement mondial accepté par les populations et qui a modifié leurs habitudes par exemple d’achat.

Investir dans une relation client de qualité, ce n’est pas seulement pour se différencier des concurrents, c’est surtout pour développer sa croissance !

Le marché du commerce électronique montre l’importance que la qualité de la relation client doit être optimum. Le prix n’est pas le seul facteur déterminant. La qualité des produits et des services joue un rôle majeur dans le processus de décision d’achat. Tous les cybermarchands qui ont développé une activité rentable ont mis la relation client au centre de leur préoccupation.

Avec une relation client de qualité, le client satisfait sera fidèle et la rentabilité augmentera.

8 bonnes pratiques pour développer une relation client de qualité

1. Réduire au maximum les barrières avec le client potentiel.

Par exemple, les vendeurs de chaussures en ligne comme Sarenza ou Zalando donnent à leurs clients la possibilité de renvoyer la marchandise sans frais dans les 100 jours. Des vendeurs en ligne comme Microsoft Store, Pixum ou Topdeq se démarquent par la qualité et rassurent leurs clients avec un label de qualité et des garanties de remboursement.

2. Diversifier vos produits

Se contenter d’avoir un seul produit ne permet pas de conserver la clientèle. N’hésitez pas à ses services et les accessoires afin de mettre en valeur votre créativité.

3. Prendre en compte la customisation des produits.

Vos produits doivent toujours attirer l’œil par leur packaging et donc susciter l’envie de commander. Réunissez vos équipes pour y réfléchir et peut être apporter des modifications.

4. Mettre en place une interactivité du contact

Celle-ci peut se révéler un élément fort dans une relation client. Simplicité et accessibilité sont les maîtres mots. Le client veut pouvoir naviguer sur le site simplement et pouvoir poser des questions facilement. La convivialité et la simplicité d’utilisation sont indispensables. Si le site est peu clair, la navigation compliquée et trop longue, le consommateur n’y reviendra jamais.

5. Connaître et comprendre la culture de ses clients.

Les sites récupèrent des informations sur les consommateurs lors de leurs précédents achats pour réaliser des pushs à leur attention correspondant à leur intérêt.
Attention, en plus de l’achat, il faut impérativement travailler sur le « post-achat », et être à l’écoute du client, l’aider, l’orienter, pour augmenter sa loyauté et sa confiance.

6. Prêter une attention particulière à la communauté.

Avec la montée en puissance des réseaux sociaux, la communauté est incontournable. Par exemple, Facebook ou X constituent des canaux privilégiés pour pouvoir informer les consommateurs sur leurs nouveaux produits, les sonder,… et pour se démarquer de la concurrence afin de transformer ses clients en fans. Cette base peut vite se transformer en réseau avec une interactivité créant une grande base loyale.

7. Proposer de multiples moyens de paiement et avantages

Ainsi, les cartes et chèques cadeaux, points de fidélité, réductions et avantages, wallets, etc rencontrent toujours l’adhésion des clients. Pour rester performants, il est indispensable de proposer un véritable choix de moyens de paiement afin que chaque client puisse payer avec facilité au moment où il conclut un achat. Au moment du paiement, moment incontournable pour l’acheteur, si on l’accompagne de s’accompagne de réduction, cash back, cash front, avantages ciblés…), la confiance est gagnée et a des répercussions sur la relation client.

8. Développer sa notoriété, visibilité et crédibilité

Votre communication doit se révéler performante. Le caractère d’une société reste le point fort d’une relation client efficace. Il faut marquer les esprits avec son image, la marque, le graphisme et le logo de la société. Mais aussi n’hésitez pas à participer à des conférences, à proposer votre expertise aux journalistes, à multiplier les contacts.

Comment rendre vos salariés fans de votre entreprise ?

S’il existe bien une source de promotion de l’entreprise, ce sont bien vos salariés. Oui mais voilà, vous vous demandez peut-être comment faire en sorte qu’ils le deviennent car, bien évidemment, vous ne pouvez pas les forcer à devenir de vrais fans. Certaines entreprises ont réussi ce challenge et disposent d’un esprit d’entreprise hors du commun. Zoom sur ces bonnes pratiques qui peuvent vous permettre de faire de vos salariés des fans de votre entreprise.

Il apparaît que certains produits ou services récoltent plus facilement l’adhésion de salariés et que d’autres sont moins funs. Ainsi, votre entreprise doit devenir une entreprise où il fait bon vivre et travailler. Vous devez donc bien réfléchir tant sur le plan des horaires que des avantages à ce qui leur donnerait envie de devenir des fans et qui contribueront spontanément à votre notoriété.

Recruter des personnes déjà fans

Cela peut paraître tout simple mais si vous souhaitez avoir des fans, vous pouvez recruter parmi ceux qui vous suivent et aiment particulièrement ce que vous faites. Vous pouvez ainsi utiliser vos réseaux sociaux pour lancer vos annonces d’emplois ou encore mettre au défi ceux qui postulent afin de voir si leur motivation est hors du commun pour votre entreprise.

Parmi les pratiques remarquées, celles d’envoyer des vidéos mettant en scène vos fans avec vos produits pour postuler ou encore de faire dans l’originalité notamment pour tous les postes créatifs. Vous pourrez ainsi faire un tri entre les personnes qui ne sont pas motivées et celles qui le sont vraiment. Plus une personne passe de temps à vous créer une candidature spécifique, plus cela signifie qu’elle a un véritable intérêt pour votre entreprise. Lors de l’entretien, n’hésitez pas à vérifier ses connaissances sur votre société ou vos produits ainsi que sur les raisons   qui la motivent à vous rejoindre.

Cultiver un esprit d’équipe à tout prix

Pour que vos salariés deviennent fans de votre entreprise, encore faut-il qu’ils l’apprécient réellement. L’esprit d’équipe joue un rôle fondamental dans le bien-être des salariés. Personne n’aura envie de promouvoir une entreprise où il n’est pas heureux de venir ou des produits qu’il déteste. Vous devez faire en sorte que votre équipe soit le plus soudée possible et que l’entente soit la plus cordiale. Chacun doit venir avec le baume au cœur le matin au travail même si ce n’est pas toujours facile et pour cela pas de doute, vous devez faire en sorte que vos managers soient motivants et bien formés.

N’oubliez pas de mettre du sens et des valeurs

Pour qu’une personne devienne fan de votre entreprise, il faudrait déjà qu’elle ait envie que celle-ci atteigne ses objectifs et pas seulement accomplir son travail. Pour cela vous devez clairement indiquer quelle est la mission de l’entreprise c’est-à-dire le but qui va au-delà de faire tout simplement toujours plus de ventes et qui est enviable par chacun.

Si votre but est de faire en sorte de mettre du bonheur dans la vie de chacun par le biais de vos prestations ou encore de réduire la pauvreté dans le monde, c’est cela qu’il faut mettre en avant. Chacun doit vouloir que la mission de l’entreprise se réalise. De préférence, elle doit également adhérer aux valeurs de l’entreprise car celles-ci doivent lui parler au quotidien lors de la réalisation de ses différentes missions. Mettre en adéquation valeurs de la personne et missions de l’entreprise représente un des facteurs qui peuvent la rendre fan.

Faire dans la qualité

On peut dire tout ce que l’on veut mais rendre des personnes fans de votre entreprise, c’est également les rendre fans de vos produits/services. S’ils peuvent ne pas tout aimer, ils auront du mal à faire la promotion de ceux-ci s’ils les trouvent complètement nuls. Pas de doute, il vous faut miser sur la qualité et qu’ils soient fiers de pouvoir parler de vous à leurs amis ou à leurs familles.

Plus votre notoriété de marque sera forte et ce que vous vendez de qualité, plus ils pourront y adhérer. Même s’ils rencontrent des personnes qui dénigrent vos produits, certains n’hésiteront pas à se faire l’avocat de votre entreprise et pas seulement parce qu’ils y travaillent. Faites toujours en sorte que votre rapport qualité/prix soit optimal si vous voulez les rendre fans. Pas besoin de faire du luxe, il faut juste que ce dernier soit excellent ou que ce qui est à côté, le soit.

Créer une ambiance hors du commun

C’est bien ici la partie la plus difficile si vous souhaitez rendre vos salariés fans de votre entreprise. Il s’agit de créer une ambiance qui ne soit pas comme les autres avec une émulation sans pareille. Si vous pouvez bien sur travailler sur l’ambiance de vos locaux, les team-buildings et tout ce qui touche à la fédération, il s’agit de créer une véritable âme qui va au-delà de la normalité. Michel et Augustin ont su maîtriser presque parfaitement cet art et ils représentent un bon exemple de bonnes pratiques. Si tout n’est jamais parfait, vous pouvez en tout cas grandement vous en inspirer sur de nombreux points.

Que chacun y mette sa patte

Plus importants même que cette ambiance qui peut régner au sein de l’entreprise, vous pouvez également travailler sur l’appropriation de la société par chacun. Il ne suffit pas de vous contenter de faire en sorte que le but final soit désirable ou encore que chacun se retrouve dans les valeurs mais d’aller encore plus loin en faisant en sorte que la société soit une partie d’eux. Pour cela, rien de mieux que de confier des projets, de mettre en avant le droit à l’échec et de laisser chacun être force de proposition ou d’inviter à ce qu’ils en fassent.

Chacun doit contribuer à la réussite à sa manière en s’appropriant celle-ci si vous souhaitez pousser l’exercice plus loin. Ce travail peut aller de choisir tout simplement la décoration de l’entreprise ou certains objets jusqu’à en décider en partie la direction. Pour récompenser cette participation, rien ne vous empêche de donner des parts, de mettre en place de l’intéressement ou encore d’essayer de partager le bénéfice avec tous ceux qui sont véritablement impliqués.

Vous l’aurez compris, pour faire en sorte que vos salariés deviennent fans de votre entreprise, il ne suffit pas qu’ils cliquent sur le bouton « like » de Facebook mais véritablement qu’ils adhèrent à celles-ci et à ce que vous réalisez. Au-delà ils doivent se sentir bien dans l’entreprise et qu’elle soit un peu d’eux-mêmes. N’oubliez pas de partager avec vos fans 😉

Comment sortir de l’anxiété ?

L’anxiété arrive parfois, notamment avec bon nombre de soucis, surtout ceux que l’on ne sait pas régler. Il s’agit alors souvent de la dépasser afin qu’elle ne devienne pas contre-productive et de céder à l’inertie. Votre esprit se focalise alors sur des sujets et vous pouvez inconsciemment être amené à ne plus arriver à travailler, à ralentir ou à faire le strict minimum. Zoom sur les manières de procéder si vous souhaitez en sortir de l’anxiété. 

“Ça se vit, l’anxiété. Ça vous rentre de partout, ça vous pénètre, et plus on se démène, plus ça fait mal.”

Victor Hugo / Les Travailleurs de la mer

Les circonstances actuelles développent une anxiété qui nous envahit sans qu’on y prenne garde. Parfois, même nous la transmettons à notre environnement et cela fait l’effet boule de neige.

Rationalisez votre anxiété

Avant de commencer, il faut souvent rationaliser. L’anxiété ou la peur sont souvent des sentiments irrationnels qui ne s’appuient sur rien ou pas grand-chose. Pour aller de l’avant, une bonne pratique consiste à relativiser ce qui vous fait peur et à comprendre votre mécanisme intérieur. Il peut s’agir de la peur qu’une situation se reproduise ou qu’une autre arrive. Passer quelques minutes à comprendre les motifs qui vous poussent à éprouver ce sentiment ne représente pas une perte de temps. Prenez donc ce moment pour faire un autodiagnostic pour éviter de céder à une panique qui s’avèrera souvent contre-productive. N’hésitez pas à souffler un bon coup et à faire des exercices de relaxation si besoin. Vous devriez vite redevenir calme et pouvoir dominer votre anxiété. 

Accordez-vous un délai fixe

Si vous êtes totalement à l’arrêt, vous pouvez avoir besoin de repos surtout après une longue période d’efforts et si de nouvelles difficultés surgissent. Votre corps vous commande indirectement de vous reposer ce qui est parfaitement normal. Le premier réflexe est de ne pas culpabiliser même si vous avez laissé quelques tâches s’accumuler. Rien ne vous empêchera de les régler dès que vous aurez repris des forces à condition de gérer ce qui doit l’être afin d’éviter d’autres conséquences plus fâcheuses. Accordez-vous du temps et ne faites que réaliser les missions nécessaires pendant ce délai. Rien ne sert de trop forcer car vous allez vous dénigrer. Il s’agit de vous fixer une nouvelle date de départ pour un nouveau cycle qui vous mènera vers la réussite. 

Garder vos routines

Même lorsque vous vous reposez, ne négligez pas toutes vos routines, surtout celles que vous estimez positives. Il ne s’agit pas d’avoir le sentiment que vous êtes en train de régresser mais d’accumuler de la force pour repartir. Un peu comme un lion qui fait quelques pas en arrière avant de bondir, abordez cette période comme une prise d’élan et non comme une manière de reculer. Pour cela, rien de mieux que de garder l’essentiel comme les routines, notamment celles qui vous font du bien et qui vous sont utiles comme le fait de prendre soin de vous ou de votre intérieur. Lorsque vous atteignez la date fixée, il faudra vous y tenir car vous devrez redémarrer et avancer toujours plus loin afin d’atteindre les sommets que vous n’auriez pas même pas oser penser pouvoir atteindre. La préparation mentale avant un effort demeure fondamentale. 

Vous déculpabiliser

Surtout, il s’agit de vous déculpabiliser. Dans bon nombre de situations vous n’avez pas la maîtrise de tout et il est normal que vous ayez des coups de mou. Tout le monde en a et vous n’êtes pas une machine. Il ne s’agit pas de passer le temps que vous avez décidé pour vous ressourcer à culpabiliser sur ce que vous n’êtes pas en train de faire mais à la limite d’organiser le nouveau chemin que vous allez prendre. Les épreuves ne durent pas éternellement même si elles semblent parfois sans limites et vous allez bientôt entrevoir le bout du tunnel après ces derniers efforts.

Ce sont souvent les plus difficiles à réaliser et il faut dire que bien des obstacles semblent se dresser au moment où vous vous rapprochez en général du but. Alors préparez-vous mentalement à réussir à nouveau plutôt qu’à vous mettre des raisons de culpabiliser en plus. 

Repartez d’une page vierge

Si vous avez énormément progressé jusqu’à présent, c’est peut-être le moment de repartir sur une page blanche. Vous pouvez évidemment garder en mémoire ou quelque part toutes les réalisations que vous avez accomplies jusqu’à maintenant. Elles représentent déjà en soi souvent un bon facteur d’autosatisfaction. Désormais, vous allez aborder une nouvelle phase qui va vous faire aller un peu plus loin et donc à trop regarder le passé, on peut en oublier le présent et l’avenir. Il s’agit donc pour vous de considérer qu’il s’agit d’un nouveau départ vers de nouvelles réussites même si vous les avez déjà entamées.

Renouvelez avant tout votre détermination et remettre à plat ce qui vous donne envie d’atteindre ce but et faites table rase du passé et des jours que vous vous accordez. Vous êtes dans une nouvelle phase donc autant passer à autre chose qu’à vous torturer l’esprit sur ce que vous n’avez pas fait. Cela ne sert à rien et ne résoudra pas vos problèmes. 

Vous relancer dans l’action

Le jour J, commencez par ce que vous faites dans vos habitudes positives. Il s’agit avant tout de réaliser ce que vous faites de bien et d’aller un peu plus loin. Pour cela rien de plus simple puisqu’il vous suffit de commencer une tâche puis d’avancer progressivement jusqu’à sa réalisation. Plus vous avancerez et plus vous aurez la sensation qu’un poids s’enlève et que vous pouvez encore continuer. Les tâches diminueront sûrement à vue d’œil et au bout de quelque temps, vous ne tarderez pas à rattraper votre retard puis à dépasser le stade que vous aviez atteint. Il s’agit d’être organisé et d’avancer méthodiquement pour éviter l’effet de panique. Ne regardez pas toute la masse de travail accumulée mais visualiser chaque tâche les unes après les autres. Vous aurez tout le loisir de méditer sur l’ensemble une fois votre journée terminée ou votre planning des premiers jours réalisés. 

Réseaux sociaux : que peuvent-ils apporter à votre business ?

Si Facebook avait créé un véritable engouement à sa sortie parce que d’un seul coup le monde fermé et limité de chacun se trouvait enrichi d’amis que l’on avait oublié et d’amis d’amis parce que c’est bien connu les amis d’amis sont nos amis, les internautes le gèrent aujourd’hui différemment afin de ne pas être envahi par les messages des uns et des autres. LinkedIn a révélé ses atouts et s’est conforté dans l’image des relations d’affaires. 

Si les réseaux sociaux permettent de donner une visibilité supplémentaire à une activité ou un événement, encore faut-il savoir bien les utiliser et avoir les bons réflexes pour entretenir sa communauté.

La plupart des entreprises et des marques sont aujourd’hui actives sur les réseaux sociaux et ont compris l’importance d’être présentes aussi bien sur Facebook que sur X, Google+ et les autres. Ces réseaux sont l’occasion pour elles de fédérer des fans et des followers, de faire parler d’elles, de valoriser leurs offres, de promouvoir leurs opérations commerciales, de soigner leur communication et de renforcer le lien avec leurs clients/utilisateurs.

Un ROI intéressant

Les réseaux sociaux sont en train de devenir des outils de communication au même titre que les médias traditionnels (journaux, télés, radios, sites Web, etc.), à la différence qu’ils ont l’avantage d’être gratuits (ou peu onéreux) et d’offrir un retour sur investissement plus intéressant. Ils sont donc devenus des incontournables aux côtés des médias traditionnels qui permettent l’acquisition de fans.

Une présence large pour toucher clients et partenaires

Que vous soyez indépendant ou responsable de TPE/PME, il est donc important d’être présent sur ces réseaux sociaux. Et « tous » de préférence. Sur Facebook avec une page au nom de la société, mais aussi sur X pour pouvoir partager l’information en temps réel avec des messages courts agrémentés de photos ou de visuels sur vos promotions, lancements de nouveautés, opérations évènementielles, etc. LinkedIn compte actuellement En France, LinkedIn enregistre plus de 29 millions de membres début 2024. En novembre 2022, LinkedIn franchissait le chiffre de 25 millions  d’utilisateurs en France . LinkedIn rassemble désormais plus d’un milliard membres, répartis dans 200 pays et régions dans le monde, selon les dernières statistiques de LinkedIn et permet de développer votre carnet d’adresses à l’échelon national et international, nouer des relations professionnelles, des partenariats et générer du business.

Facebook, plus d’un milliard de prospects

Facebook est le réseau social le plus utilisé dans le monde avec 2,989 milliards d’utilisateurs actifs mensuels en 2023 et 2,037 milliards d’utilisateurs actifs journaliers en avril 2023.  En France, Facebook totalise 40 millions d’utilisateurs actifs mensuels. Facebook c’est aussi 48,012 millions de visiteurs uniques par mois, 26,6 millions par jour en 2023 en France. Or, comme elle est gratuite, c’est évidemment par là qu’il vous faudra commencer. En créant une page aux couleurs de votre entreprise répertoriant les informations essentielles sur votre activité (nom, descriptif, zone d’activité, contacts, etc.) avec un lien vers votre site Web officiel (s’il existe) afin de générer davantage de trafic. Prenez le temps de définir et d’utiliser les bons mots-clés afin d’être correctement référencé par les moteurs de recherche. Quant à 1 milliard de personnes utilisent Instagram chaque mois dans le monde.

Créez de l’interactivité 

Mais cette visibilité sur les réseaux sociaux ne vaut rien si vous n’animez pas votre communauté. Voilà pourquoi il convient, sur X comme sur Facebook, de faire vivre votre compte et votre page avec des publications régulières, des jeux-concours, des offres réservées aux membres, des opérations spéciales, des invitations à des évènements, etc. N’hésitez pas à publier tout ce qui fait la vie de l’entreprise et à créer de l’interactivité. Comment ? En posant des questions, en créant des évènements, en envoyant des invitations et en incitant les utilisateurs à réagir à chaque publication, à les partager et à donner leur avis. Ceci permet bien souvent d’avoir des retours d’expérience utilisateurs pertinents sans faire appel à des enquêtes ou des panels coûteux et compliqués à mettre en place.

Identifiez les « influenceurs »

L’objectif de cette communication sociale est évidemment d’augmenter le nombre de prospects, d’accroître votre fichier clients et de fidéliser les clients existants. Pour cela, il est aussi important de bien identifier les « influenceurs » et de fédérer les fans en fonction de votre champ d’action. Inutile de déployer les grands moyens si votre clientèle est locale. En dernier recours, pour certaines opérations ponctuelles, il est toujours possible de créer des publicités payantes et ciblées sur les réseaux sociaux.

Une animation chronophage

Reste que tout cela exige du temps, beaucoup de temps même, pour que cela soit vraiment efficace et bénéfique à votre activité. Voilà pourquoi apparaît aujourd’hui dans certaines entreprises un nouveau poste en lien avec ces réseaux sociaux, celui de « Community Manager ». Son rôle est de gérer et d’animer la page Facebook de l’entreprise, de créer des opérations de promotion, de suivre les campagnes en cours, de superviser le twitter de l’enseigne et dans certains cas d’assurer le suivi de l’application mobile si elle existe. Pourquoi d’ailleurs ne pas utiliser les réseaux sociaux pour le recruter ?

TOP 7 des meilleurs slogans de marque

Un slogan représente, pour une marque, un moyen court et efficace de véhiculer ses idées ou ses valeurs et de forger son identité. Lorsqu’ils sont, finement, formulés, ils détiennent la capacité de marquer l’esprit des consommateurs. Retour sur les meilleurs slogans de marque.

L’observatoire des slogans a retenu des slogans qui mettent en exergue les aspirations du moment, avec l’humain, au centre de toutes les préoccupations :

  • BforBank – B for Beaucoup plus humaine
  • Courbevoie – Relier l’humain et l’urbain
  • Lucca – L’humain a de la ressource.
  • Un besoin de positif pour contrer la morosité ambiante :
  • Geo – Optimiste par nature
  • Leetchi – De l’élan à vos rêves
  • Un imaginaire de l’escapade, de l’échappée, de l’évasion :
  • TikTok – Une fenêtre sur le monde
  • Théâtre Mogador – Ici, vous êtes ailleurs
  • Nature & Découvertes – Évadons-nous dans le vrai monde

L’Oréal, « Parce que nous le valons bien »

La marque de cosmétiques l’Oréal se place comme leader du marché mondial et son slogan n’y est pas pour rien. En 1973, elle produit un spot publicitaire qui met en scène un jeune mannequin évoquant pour la première fois le fameux slogan : « Because i’m worth » (« parce que je le vaux », en français, ndlr).
L’idée émane, au départ, de l’un de leurs produits : « l’Oréal Préférence ».
Assez coûteux, la marque justifie son prix par sa qualité avec le fameux slogan rédigé par Ilon Specht. La jeune assistante en publicitéqui a décidé de créer un réel hymne à la femme :

« Mon état d’esprit quand j’ai écrit ce slogan ? J’étais révoltée par la vision traditionnelle de la femme véhiculée par les pubs, et je refusais d’écrire un énième spot sur le fait de plaire aux hommes […] J’ai rédigé le texte en cinq minutes. J’étais en colère et c’était très personnel. »

Une révolte qui a permis de concevoir un slogan qui rayonne, mondialement?. Celui-cia renforcé le lien entre la marque et ses consommateurs en devenant « Parce que nous le valons bien » (au lieu de « Parce que je le vaux bien »).

Nike, « Just Do It »

Vous pensiez que le slogan de la célèbre marque sportive Nike provient d’un état d’esprit ou d’un évènement sportif ? Détrompez-vous !
En fait, c’est le criminel américain Gary Gilmore. Il avait exigé lui-même sa condamnation à mort suite aux deux meurtres qu’il a commis dans l’Utah, qui a inspiré la marque. Les dernières paroles de ce dernier, « Lets do it » (« Faisons-le », en français, ndlr), ont suscité l’idée chez l’agence de publicité Wieden+Kennedy. Cette dernière les reformule en 1988 en « Just do It ». Le cofondateur de Nike, pas vraiment emballé par l’idée d’utiliser les dernières paroles d’un criminel pour représenter sa marque, s’est, tout de même, laissé convaincre. En outre, ce succès devenu mondial, qui accompagne le slogan et la petite virgule, n’avait, au départ, coûté que 35 dollars.

Nespresso, « What Else »

La filiale du groupe Nestlé a, elle aussi, produit un slogan connu de tous. Mis en place lors de l’une des premières publicités du groupe aux côtés de George Clooney en 2006, qui prononce à la fin de celle-ci :

« Vous parlez de Nespresso n’est-ce pas ? Oui quoi d’autre… ».

Le fameux « What Else » est né. Il a séduit le public en laissant place au mystère mais également, d’un point de vue cognitif, à sa composition de seulement deux mots. Un slogan efficace, court et séduisant : une réussite !

Air France : « Faire du ciel le plus bel endroit de la terre »

La célèbre compagnie aérienne française possède également un slogan iconique. Ce dernier n’a pourtant pas été adopté du premier coup. En effet, il y a eu de nombreux prédécesseurs : « J’y vole donc j’y suis », « Nous visons toujours plus haut » ou encore « La ponctualité est notre meilleure publicité ». En 1999, la marque s’associe avec l’agence BETC pour lancer le fameux slogan « Faire du ciel le plus bel endroit de la terre ». Enfin, adopté par les Français grâce à de nombreux spots publicitaires, il a permis à la compagnie de se défaire de son image arrogante.
Une réussite qui a tout de même laissé place, il y a trois ans, au nouveau slogan « France is in the air ».

Haribo, « c’est beau la vie, pour les grands et les petits »

La marque de confiserie allemande demeure la préférée des Français. D’ailleurs, son petit air enjoué devenu le slogan de la marque y contribue. Avant de devenir celui que nous connaissons tous, il voit d’abord le jour en 1960 :

« HARIBO fait la joie des enfants et aussi celle des grands ».

C’est le fils du fondateur, Hans Riegel Junior, lorsqu’il reprend les rênes de la société, qui décide de transformer le slogan en petite comptine « Haribo c’est beau la vie pour les grands et les petits », qui s’adaptera, par la suite, à de nombreux pays et reste l’une des plus connues de France.

 Mars, « et ça repart »

La marque de barre chocolatée a une relation assez spéciale avec son slogan. Ce dernier a subi de multiples changements dans le but de séduire les consommateurs. Si la marque cartonne dès son premier slogan, sorti en 1968, « Un coup de barre ? Mars et ça repart », deux ans plus tard, elle décide de changer pour « Travail, repos et loisir, un mars vous aide à soutenir » afin de contrer l’adage « métro, boulot, dodo ». Ce slogan restera plus de dix ans rattaché à la marque pour, finalement, revenir à son origine en étant raccourci : « Mars et ça repart ». La marque l’avait également transformé, en 2002, en « Que du bonheur » pour, au bout du compte, revenir, une nouvelle fois, au slogan initial. Des changements qui prouvent qu’un slogan n’a pas toujours besoin de s’adapter dans le temps si celui-ci se révèle suffisamment porteur de sens.

McDonald’s, « I’m Lovin’ It »

La célèbre marque de restauration rapide n’a pas suivi la tendance en créant elle-même son slogan mais en reprenant la chanson du célèbre Américain Justin Timberlake « I’m Lovin’ It ».  Ceci grâce à un contrat de plusieurs millions de dollars qui a été conclu, entre les deux parties, afin d’utiliser le slogan dans le monde entier. En attendant, le simple « J’aime ça » (en français, ndlr) se place comme l’un des ingrédients de la recette du succès mondial de McDonald’s.

Et quelques autres slogans qui se sont inscrits dans nos mémoires, nos gestes pour acheter : à vous de trouver le meilleur slogan pour votre entreprise !

  • Panzani – Des pâtes oui mais des Panzani
  • Kinder Bueno – Le plaisir pour les petites faims.
  • Lion – Réveillez le lion qui est en vous.
  • CIC – Parce que le monde bouge
  • Cristaline – Ça coule de source !
  • Danette – Tout le monde se lève pour Danette !
  • Apple – Pensez différemment (Think different) 
  • Lacoste – Deviens ce que tu es 
  • Caprice Des Dieux – C’est si bon de faire un caprice. Caprice à deux, Caprice des Dieux.
  • Actimel – Actimel renforce vos défenses naturelles.
  • Alain Afflelou – Il est fou Afflelou, il est fou !
  • Twix – La pause Twix, c’est sacré
  • Yves Rocher – Se réinventer chaque jour..

La pratique du Cost Killer

Cost Killer, deux mots qui donnent le frisson à nombre de collaborateurs et qui voient leur quotidien professionnel se compliquer. Or l’objectif des cost killer n’est pas de transformer l’entreprise en une entreprise Picsou qui s’empêcherait d’être innovante parce qu’elle est dans la chasse perpétuelle aux économies.

Avec la crise de l’énergie qui a augmenté les coûts de façon exponentielle; les dirigeants se concentrent sur leur réduction pour éviter de mettre la clef sur la porte pour un certain nombre d’entre eux. ils cherchent à trouver de l’aide auprès d’experts compétents.

Les entreprises cherchent à réaliser des économies substantielles. Pour ce faire, ils font de façon récurrente appel à des Cost Killer (ou tueurs de coût en français). Ce sont des spécialistes de la réduction des coûts en entreprise. On fait appel à eux dans le but de limiter les dépenses comme les charges fiscales, sociales ou encore les frais supplémentaires. Mais qui sont-ils réellement et que font-ils exactement ?

Qu’est-ce que c’est ?

Ce concept de réduction des coûts est né à partir de l’hypothèse qu’il est possible de réduire les coûts sans pour autant empiéter sur la qualité du service. Son principe de base rejoint celui déjà en place des appels d’offres publics dont le premier critère de dépense est le coût.

Un métier ?

Le Cost killer ne peut être considéré comme un métier en tant que tel. Il s’assimile davantage à un cabinet de conseil en optimisation des coûts dans lequel travaille des gestionnaires, comptables, fiscalistes… avec pour but d’aider les entreprises à réduire leurs frais courants tels que les factures de téléphones, d’internet, d’électricité… et d’optimiser leur fiscalité. Les entreprises n’ont pas forcément les ressources en interne à leur dédier. Ils doivent donc trouver un moyen efficace pour répondre à cette problématique.

Les Cost killer ne sont pas spécialement spécialisés dans un seul domaine. En effet, ils peuvent être compétents dans plusieurs secteurs et ainsi répondre à différents besoins en même temps. Ils apportent généralement leur aide pour des tâches opérationnelles sans s’occuper pour autant de la stratégie de l’entreprise. Ils n’ont pas pour vocation d’être intrusifs : ils travaillent principalement sur les documents remis par l’entreprise et se rendent rarement au sein de l’entreprise. Toutes les dépenses sont analysées et passées ‘au peigne fin’ par les Cost killer et leurs conseils appliqués ont pour conséquence une grande réduction des coûts et une augmentation de la rentabilité. « Nos clients peuvent réaliser entre 20% et 70% d’économies. L’un d’entre eux a par exemple économisé 120 000 euros uniquement en réduisant ses frais de télécom ».

La crise économique ?

La crise économique a conduit ces cabinets à se développer et ainsi à se multiplier. L’intérêt, c’est que ces cabinets ne vous coûtent rien en investissement, aucune avance n’est à faire ! Leur rémunération se fait sur un pourcentage des économies réalisées (entre 20 et 50%). Ils ne perçoivent leur rémunération seulement qu’une fois que les économies ont été constatées dans l’entreprise. Il existe aussi la possibilité de les rémunérer sur la base d’un forfait journalier en fonction du temps qu’ils ont passé ou de faire un mix des deux approches si vous le souhaitez. A l’heure actuelle, faire appel aux Cost killer pour les aider à faire des économies est devenu fort rentable.

Bien préparer leur intervention

Vous devez cerner le contrat sur les résultats à obtenir au préalable afin qu’il n’y ait pas de malentendus ou d’abus irréversibles. Présentez un cahier des charges de vos attentes et de vos contraintes pour obtenir un résultat maximal et une stratégie payante.

Les Cost killers, avec leur méthode d’analyse, ne répondent pas forcément à toutes les attentes et problématiques actuelles des entreprises. Certes, ils permettent de faire des économies mais la question de la fidélisation de la clientèle par exemple n’est pas dans leurs domaines de compétences. Certains effets dus à la réduction des coûts ne sont pas visibles immédiatement tels qu’une sécurité moins efficace, une démotivation des salariés ou encore une augmentation des coûts cachés qui n’apparaissent pas dans une vision comptable. Ces cabinets proposent une amélioration immédiate de la marge opérationnelle de l’entreprise, mais celle-ci peut entraîner un effet négatif sur l’économie globale.

Comment s’organise le travail des Cost Killer ?

Pour exercer leur activité au mieux, leur travail se divise principalement en trois parties.
La première étape consiste à l’étude des comptes de l’entreprise, la structure des coûts ainsi que l’analyse de ses besoins. A la suite de cette étude approfondie de l’économie de l’entreprise, ils proposeront des solutions pour minimiser les dépenses.

La seconde étape, elle, est plus consacrée à l’étude des marchés pour repérer les meilleures opportunités et ainsi booster économiquement votre entreprise. Grâce à cette étude, les Cost Killer avec l’entreprise rédigeront un cahier des charges à respecter pour arriver à l’objectif recherché.

La dernière étape, quant à elle, se base sur la négociation de contrats ou à inciter l’entreprise à lancer de nouveaux appels d’offres pour optimiser les résultats.
Les Cost killer offrent généralement leurs services pour une durée minimale de trois mois, mais celle-ci peut varier suivant les différents besoins et la taille de l’entreprise.

Ce marché d’optimisation des coûts est en expansion de façon générale, et pas uniquement en France. Il est tout de même à noter que les Cost killers français se différencient dans leur pratique de leurs homologues anglo-saxons. Dans le modèle anglo-saxon, les Cost Killer peuvent modifier les effectifs et la structure de l’entreprise. Cette différence est donc notable si vous souhaitez faire appel à des Cost killer étrangers.

Les Cost killers ont généralement la réputation d’être destructeurs d’emplois et de réduire le bien-être des salariés, mais a contrario ils permettent de faire des économies et ainsi de rendre pérenne votre entreprise. Alors, réfléchissez bien afin de prendre le Cost Killer qui vous permettra de pérenniser votre entreprise mais aussi de respecter vos salariés.