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Comment sécuriser vos dépenses lors de voyages à l’étranger grâce à votre compte bancaire ?

Vous vous apprêtez à partir en voyage ? Avez-vous pensé à vous renseigner sur les moyens de paiement utilisés dans le pays visité ? Utilisation de votre carte bancaire, retrait d’argent, paiement en espèce ou en chèque : certains moyens de paiement sont plus sécurisés comparés aux autres. Voici tous nos conseils pour partir serein et sécuriser vos dépenses lors de votre voyage.

Prévenir son conseiller bancaire

Si vous partez à l’étranger, il peut être nécessaire de prévenir votre conseiller bancaire. Un message sur votre espace client ou un mail est suffisant. Indiquez-lui :

  • Votre destination ;
  • Les dates du voyage.

Vous vous assurez ainsi de ne pas voir votre carte bancaire bloquée pour soupçon d’utilisation frauduleuse.

Vous pouvez aussi lui demander un contact d’urgence à joindre si vous avez un problème à l’étranger.

S’assurer de la validité de sa carte bancaire

Avant de voyager à l’étranger, demandez à votre conseiller bancaire ou sur votre espace en ligne si votre carte fonctionne dans le pays visité. Vous pouvez d’ailleurs vous renseigner sur les tarifs d’utilisation de la carte bancaire dans un autre pays, ils peuvent notamment être différents si vous voyagez au sein ou en dehors de l’espace économique européen..

Conseil : Vérifier vos débits

Pendant vos vacances, il est conseillé de se connecter régulièrement à son compte pour vérifier les débits effectués. Avec les applications bancaires sur Smartphone, cette vérification prend très peu de temps. 

Payer en espèces

Dans certains pays, il est plus facile de payer en espèces. Vous devrez alors vous procurer la monnaie locale. Vous pouvez retirer des billets avant de partir pour vos premiers jours de vacances. Il est alors nécessaire de commander la somme désirée à votre conseiller bancaire deux semaines à l’avance.

Dans certains pays étranger, le retrait d’espèces engendre des frais. Ils sont fixés par chaque établissement bancaire. Il vaut mieux se renseigner sur les tarifs au préalable pour trouver le meilleur prix.

Conseil : Prenez uniquement sur vous ce dont vous avez besoin

Il est toujours conseillé de laisser une partie de son argent liquide là où vous logez, le mieux dans un coffre-fort s’il y en a un. Il vaut mieux se promener avec la somme nécessaire pour la journée.

Long séjour à l’étranger ? Pensez aux virements internationaux

Les virements internationaux peuvent sécuriser les personnes passant un séjour long à l’étranger. Si vous manquez de liquidités pendant votre voyage à l’étranger, vous pouvez transférer de l’argent de votre compte bancaire français à votre compte ouvert dans le pays de résidence. Les virements internationaux peuvent s’effectuer depuis l’espace client en ligne de votre banque.

Utiliser les chèques de voyage

Le chèque voyage est délivré par votre établissement bancaire. Il vous permet d’obtenir de la monnaie locale en arrivant dans le pays étranger. D’un montant fixe, il limite les risques en cas de perte ou de vol.

Se renseigner sur les garanties et les assurances bancaires

En voyage, une carte bancaire ne sert pas uniquement à effectuer des paiements ou à retirer des espèces. En effet, des garanties d’assistance et d’assurance voyages sont souvent incluses. Ces garanties varient en fonction de la gamme de la carte, qu’elle soit classique ou premium. Elles sont généralement limitées à une période de séjour de 90 jours. Si vous avez prévu de partir à l’étranger, pensez à vérifier que vous bénéficiez de ces garanties ou à demander l’ouverture d’un compte bancaire proposant ces avantages.

En ce qui concerne la protection de vos achats à l’étranger, il existe également des garanties spécifiques. Votre banque prévoit certainement des garanties et des assurances bancaires pour vos paiements à l’étranger. Par exemple au Crédit Agricole il existe une solution permettant de garantir tous les achats effectués à l’étranger de plus de 75 €. Pendant 60 jours, ils sont protégés de toute détérioration accidentelle ou vol avec effraction ou avec agression (sous conditions).  

L’ouverture d’un compte et la souscription aux offres groupées de services du Crédit Agricole sont réalisées sous réserve d’étude et d’acceptation de votre dossier par les Caisses régionales. Rendez-vous sur https://www.credit-agricole.fr/particulier/ouvrir-un-compte.html pour connaître les tarifs en vigueur et les conditions de souscription.

Pâques et le marché du chocolat

Pâques représente la saison la plus importante pour l’industrie chocolatière de France. Avec un calendrier favorable et une météo clémente qui évite que le chocolat fonde trop vite, les professionnels se démènent pour attirer les consommateurs. Zoom sur le marché du chocolat, le marché plus qu’attrayant en cette période.

 La tonne de cacao a dépassé le seuil historique de 10.000 dollars. En un mois, le cours de la fève a bondi de 45% et sur un an il s’envole de près de 238%. Les prix des œufs, lapins et poules en chocolat subissent une hausse significative par rapport à l’année dernière. Alors que l’inflation alimentaire globale avoisine les 3% en mars 2024, celle des chocolats de Pâques atteint en moyenne 5%, avec des pics à 11%.

Le cacao à 10 000 dollars la tonne juste avant Pâques. C’est ce qu’a coûté, le 26 mars 2024 à la bourse de New-York, cette matière première essentielle pour produire du chocolat, soit trois fois le prix de 2023.

Les Français, de grands consommateurs de chocolat

Les Français consomment chaque année plus de sept kilos de chocolat, dont un kilo à Pâques et un autre à Noël – les deux temps forts du secteur !  Ce chiffre témoigne de l’attrait gourmand des Français pour le chocolat et les français gardent la sixième place … mondiale. Dans notre pays, le chocolat sous toutes ses formes est indissociable des moments festifs que sont les fêtes de fin d’année et Pâques : dans ce cas, le chocolat devient synonyme de convivialité. Il est également une douceur que s’offrent les personnes dans leur journée de labeur. Bref, c’est une source de plaisir.

Un week-end situé sous le signe du chocolat

Cette année encore, le lundi de Pâques reste une tradition. Les professionnels du secteur réalisent une part importante de leur chiffre d’affaires durant cette période. Les fêtes de fin d’années représentent 10% de la consommation annuelle de chocolat en France mais Pâques apporte 5% voire souvent plus. Cette année, les Français quand même prévoient d’acheter des œufs, des cloches et des lapins au chocolat.

Chocolat noir ou chocolat au lait ?

Comme toujours, les œufs, les « cocottes », les lapins et les cloches auront la faveur des amateurs de chocolat. Très consommé en France, le chocolat noir représente tout de même 30% de la consommation de chocolat tandis que nos voisins européens n’en consomment que 5%. Malgré son succès, le chocolat noir cèdera sa place au chocolat au lait lors de la célébration de Pâques ! En réalité, cette période cible particulièrement les enfants. En effet, suivant une étude du Syndicat du chocolat, les enfants préféreraient le chocolat au lait, moins cacaoté et plus sucré.

Un budget qui n’entraînera pas de crise de foie

Au niveau budgétaire, les Français n’ont pas prévu d’excès. En France, la somme dépensée par un ménage ne dépasse pas 20€ pour ses achats de chocolats à Pâques, ce qui représente environ 22% de ses dépenses totales annuelles en matière de chocolat. Si les Français sont réputés pour être de fins gourmets, ce sont vers les supermarchés qu’ils se tourneront majoritairement. D’après le Syndicat du chocolat, 85% du chocolat consommé en France est acheté en grandes surfaces et seulement 15% chez les détaillants spécialisés. On y trouve une large gamme de produits et de prix qui permet à chacun de s’offrir ce petit plaisir qui reste abordable.

Pour tenter de détourner la clientèle des supermarchés vers leurs boutiques, les chocolatiers s’efforcent d’adapter leurs offres à toutes les bourses. Il est donc possible d’émoustiller ses papilles gustatives avec du chocolat de qualité. Et vous, quelle option avez-vous choisi, chocolat noir ou chocolat au lait ? Achat en supermarché ou chez de grands chocolatiers ?

Et si vous le fêtiez en entreprise ?

Si bon nombre de salariés ne seront pas présents pour la fameuse fête, rien ne vous empêche de fêter l’évènement. Vous pourriez même vous faire appeler « mon lapin » par vos collaborateurs (rien de sexuel mais une marque d’amitié). Pâques reste l’occasion de surprendre vos salariés et d’organiser des évènements ludiques alors pourquoi vous en passer ? Il ne vous coûtera pas grand-chose (sauf si vous avez des centaines de milliers de salariés) mais vous avez l’occasion de vous démarquer, ne serait-ce que par une chasse aux œufs. Quelques mois avant un travail intense, ne s’agit-il pas du break nécessaire pour vos salariés ?

Vente : la règle des 4C

La vente est avant tout l’art de convaincre les clients. Pour être plus productif, un commercial doit connaître la règle des 4C (contact, connaître, convaincre, conclure) de la vente. Cette règle est essentielle, car les éléments qui la constituent sont complémentaires et ne peuvent pas être séparés. 

Pour vendre avec brio , il est toujours fondamental d’avoir une méthode qui sert de guide pour mieux conquérir et fidéliser le client. Sans client, pas d’entreprise. Alors !

“La vente commence quand le client dit : Non.”

Joseph Schumpeter

1C. Contact, le premier est le cœur de la vente

Le premier contact avec le client est très important pour un vendeur. C’est pour cela que l’on a tendance à croire que les deux premières minutes d’une visite commerciale sont capitales. Pour convaincre votre client que vous êtes une personne sérieuse, il est important de bien miser sur votre apparence. La tenue doit être présentable, vous devez sourire et regarder le client. Sans oublier d’être toujours naturel. Une fois que le client vous accueille, il est important de saluer la personne qui vous reçoit et de vous présenter. Remerciez-le également du temps qu’elle vous accorde.

Vous devez ensuite présenter le but de la visite et demander la permission de prendre des notes. N’abusez jamais du temps de votre interlocuteur. Vous devez donc vous mettre en accord sur la durée de votre entretien.

2C. Connaître le besoin du client

C’est l’étape la plus importante dans la vente. Connaître le besoin des clients ne doit pas se faire d’une manière précipitée. Il faut bien prendre le temps de découvrir le client et de le laisser se détendre. De cette manière, il peut se confier plus facilement. Il est donc important d’attraper la chance. Cette étape permet d’amoindrir les répliques pouvant venir du client. 

Cette phase doit occuper les 40 % du temps de l’entretien avec le client. Si vous n’êtes pas encore habitué à poser des questions, vous devez vous entraîner. Pour éviter les questions pièges, vous devez vous intéresser à la personne, à l’environnement de la société. Pour être sûr que la personne a compris l’entretien, vous pouvez lui poser une question. Par exemple : « Si j’ai bien compris, votre montée en gamme de produits de beauté vous oblige à avoir une distribution plus large ? »

3C. Convaincre avec des arguments pertinents

Dans cette phase, vous devez avancer les arguments. Elle représente aussi 40 % du temps de l’entretien. Votre argumentation doit pouvoir convaincre le client que le produit satisfait leur besoin au mieux de ses intérêts. N’oubliez pas que vous cherchez aussi votre intérêt. Les arguments que vous devez avancer doivent être forts et adaptés à la situation. Avancez-les avec un vocabulaire simple et compréhensible pour le client. En ce qui concerne le prix, vous devez le présenter avec un argument qui convainc le client de la qualité de la prestation. 

4C. Conclure par un engagement du client

Avant de conclure, vous devez être sûr d’avoir convaincu le client. Comment savoir s’il est intéressé par votre produit ou service ? Si le client commence à répondre par des phrases comme : « Si je me décidais, je l’aurais quand ? À quoi est-ce que je m’engage si je résilie le contrat ? », vous avez déjà fait une belle avancée ! La façon la plus facile de conclure votre vente est de solliciter votre client à s’engager. 

Ne jamais avoir la crainte de conclure parce que cela risque de tout gâcher. Vous pouvez être sûr que si vous avez suivi les étapes, vous réussirez toutes vos ventes.

6 conseils pour apprendre à bien s’organiser

Pour optimiser le plus possible votre temps, vous devez apprendre à bien vous organiser. Vos journées ne doivent pas se décider le matin même en arrivant au bureau. Connaître au préalable ce qui vous attend vous permet d’éviter le plus possible de composer avec l’imprévu. Prenez le temps nécessaire à la mise en place de votre emploi du temps. Voici 6 conseils pour bien vous organiser.

L’organisation ne se limite pas à un planning à respecter à la lettre. Elle doit inclure les imprévus et donc permettre d’avoir la capacité de s’y adapter. Ainsi, les absences, les grèves, les ruptures de stock… et tout ce que nous ont appris les différentes crises depuis 5 ans, nous obligent à devenir flexibles et encore davantage organisés.

1/ Planifier les activités

Vous ne pouvez pas réussir à conserver tous vos rendez-vous et autres activités en mémoire. Tout planifier dans un agenda peut vous faciliter grandement la vie. Il s’agit même d’un point indispensable qui réduira votre stress. Laissez le moins de place possible à l’imprévu pour maîtriser totalement vos journées. Ne vous contentez pas de prévoir uniquement la journée qui arrive. Planifiez les différents moments de la semaine voire du mois pour conserver une vision à long terme de ce qui vous attend. En optant pour une telle durée, vous garderez la possibilité de modifier ou d’aménager votre emploi du temps comme vous le désirez. Profitez-en également pour inclure des moments de loisir et des moments pour gérer les imprévus. L’occasion idéale pour allier vos différentes activités, et le tout, sans aucune pression !

2/ Prévoir des ajustements

Prévoir à l’avance vos journées vous offre une possibilité que vous n’auriez pas si vous ne le faisiez pas : pouvoir ajuster votre emploi du temps de façon efficace. Organisez chaque semaine un bilan de ce que vous avez fait pour vérifier l’avancée de vos projets, ou encore la bonne tenue de vos rendez-vous. Vous pourrez alors prévoir les changements nécessaires. Un autre bénéfice s’offre à vous grâce à cette organisation : finaliser le planning de la semaine qui arrive avant le week-end vous permet de profiter pleinement de vos jours de repos. Pour optimiser au maximum votre agenda, demandez-vous quelles sont les raisons qui vous ont poussé à changer votre emploi du temps afin de pallier ce type de situation à l’avenir. Devenez prévoyant !

3/ Etablir des priorités

Vous devez accepter que vous ne réussirez pas forcément à tout faire dans la journée. Pour rester le plus efficace possible, établissez des priorités. Lorsque vous réalisez votre agenda, pensez toujours à réaliser cette étape au préalable pour ne pas les oublier. N’hésitez pas à rendre bien plus visible ce qui demeure prioritaire dans votre planning. Dans le cas contraire, vous vous retrouverez à devoir vous en occuper à la dernière minute, le tout, accompagné d’une montée d’adrénaline et d’une diminution de la qualité de votre travail. Prévoyez toujours un délai un peu plus large pour la réalisation de ces tâches afin de pallier n’importe quelle sorte d’imprévu.

4/ Aménager des plages de disponibilité

Pour rester organisé toute la journée, il vous faut penser à chaque détail. Que pouvez-vous prévoir de plus ? Pour éviter de vous faire déranger toutes les minutes, prévoyez d’établir des plages horaires libres. Communiquez-les à tous vos salariés afin que ces derniers ne vous dérangent pas en dehors des périodes prévues à cet effet. Mettez-les à des moments stratégiques. Rappelez-vous que votre concentration ne peut pas demeurer optimale toute la journée. Trouvez les instants où votre efficacité diminue de façon conséquente pour placer les créneaux horaires où l’on peut vous déranger. Pour obtenir de l’ordre même durant cette période, n’hésitez pas à instaurer un système pour réserver un rendez-vous à l’avance. Vous pourrez ainsi prendre plus de temps pour préparer la rencontre. Organisez-vous en toutes circonstances !

5/ Ne pas organiser trop de réunions

Organiser des réunions demeure nécessaire pour le bon fonctionnement de votre entreprise. Il ne faut tout de même pas en prévoir trop. Elles peuvent vite tourner à la réunionite et représenter une perte de temps. L’organisation peut devenir plus difficile si le nombre de réunions est trop important. Une diminution de la motivation des participants peut également se faire ressentir. Prévoyez un rassemblement uniquement quand la situation le demande et de façon à pouvoir tout préparer. Avant de mettre en place quoi que ce soit, demandez-vous si le message que vous souhaitez faire passer peut se faire à l’aide d’un simple mail ou d’un mémo. Si cela s’avère suffisant, ne perdez pas de temps dans une réunion inutile. Interrogez-vous à chaque fois sur son utilité.

6/ Eviter de trop parler  

Peu importe la situation dans laquelle vous vous trouvez, lorsque vous faites face à des interlocuteurs, ne perdez pas de temps inutilement en vous attardant dans la discussion. Vous risquez de sortir de votre emploi du temps et de ne pas respecter le temps alloué à ce moment. Contentez-vous d’aller uniquement à l’essentiel. Ne monopolisez pas non plus le temps de parole. De cette façon, vous ferez preuve de respect envers les personnes présentes, et vous leur laisserez plus de temps pour s’exprimer et partager leur avis. Cherchez toujours le moyen le plus rapide de transmettre votre message et de prendre l’opinion des autres. Votre agenda ne se modifiera plus à cause de discours interminables. Devenez un maître en la matière !

Dans la vie d’un entrepreneur, une des clés de la réussite demeure dans l’organisation. Garder une maîtrise totale sur votre temps vous permet de ne pas vous laisser surprendre par des imprévus et de ne laisser aucune place au stress. Prévoyez toutes vos activités futures avec soin. Profitez-en également pour tenter d’harmoniser au mieux votre vie professionnelle et privée. Ajoutez dans votre emploi du temps des activités personnelles pour bâtir vos journées autour et accorder-vous des moments. Vous pourrez ainsi conserver votre efficacité. A vos agendas !

La tendance du native advertising pour les marques

Les moyens de communication ont tellement évolué en une décennie que capter l’attention des consommateurs est devenu fort complexe pour les marques quel que soit leur secteur d’activité. Elles sont passées d’une publicité traditionnelle (affichage, publicité à la radio et à la télévision et dans les journaux dans des emplacements précis et parfois dans des espaces temps limités comme pour la télévision) à une publicité sur les réseaux sociaux, sur internet, dans les blogs… à tout moment mais surtout en utilisant des moyens de plus en plus sophistiqués comme la vidéo par exemple.

Le SRI et l’UDECAM viennent de publier le 31ème Observatoire de l’e-pub, réalisé par le cabinet Oliver Wyman. Cette étude, initiée par le SRI en 2009, analyse l’évolution et la répartition du chiffre d’affaires de la publicité digitale en France.  L’année 2023 montre une accélération de la croissance de la publicité digitale au second semestre. Le marché global enregistre une croissance de 9% sur l’année, légèrement en baisse par rapport à 2022 (+10%) pour représenter 9,3 Md€. Les leviers sont : le Search (4 100 M€) ; le Social (2 470 M€) ; le Display (1 780 M€) ; l’Affiliation, l’Emailing et les Comparateurs (970 M€).

Tout comme l’indique son nom anglophone, le native advertising est un nouveau concept publicitaire tout droit venu des Etats-Unis. Fort de son succès Outre Atlantique, le modèle se développe peu à peu en Europe. Il devrait devenir la tendance de demain pour les marques françaises. Qu’appelle-t-on native advertising ? Quels intérêts se cachent derrière ce phénomène ? Explications.

Native advertising, kesako ?

Le native advertising est un nouveau mode de publicité comportementale sur internet, moins intrusif et plus subtil. Celui-ci se décline sous plusieurs formes. Il s’agit principalement de liens sponsorisés par les marques, qui apparaissent sur les pages de résultats des moteurs de recherche comme Google ou Yahoo par exemple. Ils sont intégrés à des articles de fond sur un sujet donné, ou encore sont affichés sous forme de suggestions sur les pages personnelles des utilisateurs de réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter.

Une nouvelle manière de communiquer

Si les publicitaires ont développé ce concept du native advertising, c’est qu’ils devaient trouver un nouveau moyen de toucher les internautes. En effet, ceux-ci délaissent de plus en plus les campagnes classiques du web. Ainsi, les taux de clics générés par les bannières commerciales habituelles sont en perte de vitesse ces dernières années. Elles n’attirent plus autant l’œil des consommateurs qui les ignorent et qui les considèrent souvent comme intempestives.

L’objectif du native advertising est donc de ressusciter l’intérêt des internautes et de manière plus discrète.

Démocratisé aux Etats-Unis, le modèle a fait ses preuves et convaincu. Certains sites ont d’ailleurs même développé des rubriques spécialement dédiées pour ces publicités. Fort de cet exemple, les magazines Public, Le Monde ou encore 20 minutes sont les premiers à s’en être emparés en France.

Intérêts du modèle

A la différence donc de la bannière classique, le native advertising se veut moins intrusif auprès des internautes tout en captant au mieux leur attention. Pour ce faire, les liens des marques sont incorporés à des articles dont le sujet est en corrélation avec les intérêts du consommateur. Par exemple, une marque de voiture pourra sponsoriser un contenu sur les dernières innovations en matière de sécurité au volant ou de développement durable, qui naturellement et discrètement pourra citer la marque ou renvoyer vers son site.

Aussi, le modèle a pour avantage certain que la majorité des internautes ne supposent pas qu’il s’agit de publicités, selon les résultats d’une étude par l’Ifop auprès de 1000 consommateurs. De plus, une fois identifiées, celles-ci se révèlent plus modernes, intéressantes et enrichissantes que les bannières, ce qui s’en ressent donc sur le taux de clics généré estimé à 42% contre 29%.

Outre les clics, un autre point fort de ce mode de publicité est de pouvoir être largement diffusé par les internautes eux-mêmes, qui peuvent partager les articles sponsorisés sur les réseaux sociaux.

Enfin, le native advertising permet de parer à un des inconvénients majeurs des bannières, en permettant un meilleur ciblage des consommateurs. En effet, ces derniers ont accès aux publicités parce qu’ils auront démontré un intérêt particulier sur un sujet donné. La mesure d’audience et de retours sur investissement des marques s’en retrouvent donc renforcer.

Avenir difficile à prévoir dans ce contexte

Néanmoins, la mode du native advertising peut poser quelques questions sur le long terme.

Encore peu connu du grand public, que se passera-t-il quand les internautes auront compris cette nouvelle méthode de communication ? Seront-ils plus méfiants ? Accorderont-ils toujours autant de sens aux informations données et de crédit aux marques ?

Outre l’effet de mode et le manque de recul sur le native advertising, les Etats-Unis viennent cependant d’ouvrir le débat, pour déterminer si ce concept ne serait finalement pas moins favorable au marque et au contraire préjudiciable avec le temps.

L’avenir prometteur de l’entrepreneuriat dans le secteur du Bitcoin

Le Bitcoin continue de dominer les conversations en tant que pionnier de la révolution numérique. Mais quelles sont les perspectives d’avenir pour les entrepreneurs dans ce domaine passionnant ? Alors que de nouvelles opportunités émergent, telles que la finance décentralisée et les NFT (jetons non fongibles), il est temps d’explorer le potentiel de croissance et d’innovation qui attend ceux qui osent s’aventurer dans l’écosystème du Bitcoin.

Décentralisation et finances (DeFi)

La DeFi est bien plus qu’une simple tendance. C’est une révolution en marche qui redéfinit la façon dont nous envisageons les services financiers. En éliminant les intermédiaires traditionnels, elle permet un accès plus large aux services financiers, notamment les prêts, les échanges et les produits d’épargne, tout en offrant une transparence accrue et une autonomie totale sur les actifs. Pour les entrepreneurs, cela ouvre un vaste terrain de jeu pour l’innovation. Créer de nouveaux protocoles DeFi, développer des plateformes d’échange décentralisées telles qu’immediate core et concevoir des solutions de gestion d’actifs automatisées ne sont que quelques-unes des nombreuses opportunités qui se présentent.

Les NFT : révolutionner la propriété numérique

Les NFT, ou jetons non fongibles, ont pris d’assaut le monde de l’art, du divertissement et même des jeux vidéo. Ces « tokens » uniques, qui représentent la propriété numérique de biens tangibles et intangibles, offrent un potentiel énorme pour les entrepreneurs créatifs. Des plateformes de marché aux outils de création, les possibilités sont infinies pour ceux qui cherchent à tirer parti de cette tendance croissante. De la musique aux œuvres d’art en passant par les biens immobiliers virtuels, les NFT ouvrent de nouvelles avenues pour la monétisation et l’échange de biens numériques.

Blockchain : Au-delà du Bitcoin

Alors que le Bitcoin a été le premier cas d’utilisation réussi de la technologie blockchain, de nombreuses autres applications émergent dans divers domaines. Des contrats intelligents à la traçabilité des chaînes d’approvisionnement en passant par la gouvernance décentralisée, la blockchain offre un potentiel révolutionnaire pour transformer les industries traditionnelles. Pour les entrepreneurs, cela signifie la possibilité de créer des solutions innovantes qui vont au-delà de la simple crypto-monnaie, en utilisant la blockchain comme fondement pour construire un avenir plus transparent, sécurisé et efficace.

L’éducation et la sensibilisation : un pilier à explorer ?

Avec l’émergence rapide de nouvelles technologies et concepts dans le domaine du Bitcoin et de la blockchain, l’éducation et la sensibilisation deviennent des éléments cruciaux pour l’avenir de l’entrepreneuriat dans ce secteur. Les entrepreneurs ont un rôle essentiel à jouer dans la diffusion des connaissances sur les avantages et les risques associés à ces technologies. La création de programmes de sensibilisation, de formations et de ressources éducatives peut aider à démystifier le domaine pour les entrepreneurs potentiels et à favoriser une adoption plus large et plus informée.

Une question de durabilité et d’éthique et la durabilité 

Si le monde du Bitcoin et de la blockchain continue de croître, les questions d’éthique et de durabilité deviennent de plus en plus importantes. Les entrepreneurs ont la responsabilité de s’assurer que leurs activités et leurs innovations sont éthiques et durables à long terme. Cela inclut la prise en compte des implications sociales, environnementales et économiques de leurs projets, ainsi que l’adoption de pratiques commerciales responsables. En intégrant ces considérations dès le début, les entrepreneurs peuvent contribuer à façonner un écosystème Bitcoin plus éthique et durable pour l’avenir.

Dans cette quête vers l’avant, une chose est claire : l’avenir de l’entrepreneuriat dans le secteur du Bitcoin est aussi passionnant que prometteur. La DeFi, les NFT et les autres innovations technologiques liées à la blockchain ouvrent de nouvelles voies pour la création de valeur et la perturbation des modèles économiques existants. Pour les entrepreneurs visionnaires, c’est un appel à l’action pour saisir ces opportunités…


Devenir Steve Jobs ? Non merci !

Steve Jobs est présenté comme le modèle de l’entrepreneur. Cependant, il est souvent critiqué pour avoir oublié de placer l’humain au centre de ses préoccupations. Faut-il à tout prix vouloir révolutionner son secteur ou changer le monde pour entreprendre ? Certains entrepreneurs arrivent très bien à se faire une place sur leur marché sans afficher une ambition démesurée.

Les pensées de Steve Jobs

Pour parler de Steve Jobs, nous avons choisi de vous proposer des citations extraites de différentes conférences ou de ses écrits.

« L’innovation, c’est une situation qu’on choisit parce qu’on a une passion brûlante pour quelque chose. »

Steve Jobs

« Soyez insatiables. Soyez fous. »

Steve Jobs

« Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire. »

Steve Jobs

« Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure. »

Steve Jobs

« Voulez-vous passer le reste de votre vie à vendre de l’eau sucrée, ou voulez-vous changer le monde ?. »

Steve Jobs

« Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d’autrui. »

Steve Jobs

« Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre. »

Steve Jobs

« Je suis convaincu que la moitié qui sépare les entrepreneurs qui réussissent de ceux qui échouent est purement la persévérance. »

Steve Jobs

« Être l’homme le plus riche du cimetière ne m’intéresse pas. Aller coucher le soir en me disant que j’ai fait des choses extraordinaires aujourd’hui, voilà ce qui compte. »

Steve Jobs

Insatiable sur l’innovation

« Innover, c’est savoir abandonner des milliers de bonnes idées. »

Steve Jobs

« Si vous vivez chaque jour comme si c’était le dernier, un jour viendra qui vous donnera raison. »

Steve Jobs

« Souvent, les gens savent que c’est le produit qu’ils veulent seulement une fois qu’on le leur a présenté. »

Steve Jobs

« J’échangerai toute ma technologie pour un après-midi avec Socrate. »

Steve Jobs

« Parfois, quand vous innovez, vous faites des erreurs. Il est préférable de les admettre rapidement, et se concentrer sur l’amélioration de vos autres innovations. »

Steve Jobs

 « L’innovation, c’est ce qui distingue un leader d’un suiveur. »

Steve Jobs

Être un repère

« Cela a été un de mes mantras – Focus et simplicité. Faire simple peut être plus difficile que de faire complexe car vous devez travailler dur pour épurer votre façon de penser, et concevoir un produit simple. »

Steve Jobs

« Soyez un repère de qualité. Certaines personnes ne sont pas habituées à un environnement où on s’attend à l’excellence. »

Steve Jobs

 « Me faire virer d’Apple a été la meilleure chose qui pouvait jamais m’arriver. Le poids du succès a été remplacé par la légèreté d’être à nouveau un débutant. Cela m’a libéré pour entrer dans l’une des périodes les plus créatives de ma vie. »

Steve Jobs

 « Mon modèle pour le business, ce sont les Beatles. C’était quatre gars qui  maintenaient les tendances négatives des uns des autres sous contrôle. Ils s’équilibraient les uns les autres, en quelque sorte. Et le total était plus grand que la somme des individualités. Les grandes choses dans le business ne sont jamais réalisées par une seule personne. Elles sont accomplies par une équipe. »

Steve Jobs

« Les choses les plus précieuses dans ma vie ne coûtent pas d’argent. Et il est évident que la ressource la plus précieuse que nous avons c’est le temps. Inventons demain plutôt que de passer notre temps à nous soucier de ce qui s’est passé hier.“

Steve Jobs

« Si vous êtes charpentier et que vous fabriquez une magnifique commode, vous n’allez pas utiliser un morceau de contre-plaqué pour l’arrière du meuble, même si il est contre le mur et personne ne va le voir. Vous saurez que ce sera là. Donc, vous allez utiliser une magnifique pièce de bois. Pour que vous dormiez bien la nuit, l’esthétique, la qualité doivent être des impératifs de bout en bout. »

Steve Jobs

« Si vous êtes obnubilé par le profit, vous allez négliger le produit. Mais si vous vous préoccupez avant tout de faire des produits vraiment bons, les profits vont suivre. »

Steve Jobs

D’autres moteurs à l’entrepreneuriat.

Selon l’INSEE, les motivations pour créer une entreprise sont principalement : la volonté d’être indépendant, le goût du challenge ou la nécessité de créer son propre emploi. 

Pour Steve Jobs, la première raison d’entreprendre semblait provenir de la volonté de changer le monde. Pourtant, cela ne paraît pas constituer une généralité pour nombre de ses congénères. Vouloir changer le monde n’apparaît pas comme une fin en soi ni comme la première motivation pour la grande majorité des porteurs de projets. Une étude de l’INSEE  mettait en exergue le fait que la première raison qui pousse les entrepreneurs (hommes et femmes confondus) à créer leur entreprise en France est de devenir indépendant pour 60,7 % d’entre eux. La seconde raison, qui pousse 44,2 % des interrogés à lancer leur business, est d’affronter de nouveaux défis. Viennent ensuite l’augmentation des revenus, qui est une raison valable de lancer sa boîte pour 27 % des interrogés, la volonté de créer son propre emploi (24 %) et la simple opportunité de créer une entreprise (22 %).

Les personnes interrogées ne sont que 14 % à lancer leur business parce qu’elles ont une idée nouvelle de produit, de service ou de marché. Preuve que malgré l’aspect révolutionnaire et disruptif qu’incarnent les grands entrepreneurs du 21e siècle, Steve Jobs y compris, les motivations des créateurs semblent en grande partie encore se situer ailleurs.

Partir simplement d’un besoin ou d’une passion.

Loin des réussites entrepreneuriales exponentielles obtenues à coup d’idées novatrices et copieusement décrites par les médias, l’univers micro-économique regorge d’histoires d’entrepreneurs à succès qui n’ont pas spécialement établi de révolution ou de rupture de modèle. C’est le cas d’Alain Coumont, fondateur de l’entreprise Le Pain Quotidien, qui a suivi un parcours similaire. Fils et petit-fils d’épiciers, l’entrepreneur belge étudie à l’école hôtelière de Namur de 1977 à 1981 et travaille pendant une petite dizaine d’années au service de restaurants étoilés.

Restaurateur de métier et de passion, il décide de retourner à Bruxelles en 1987 et de lancer son affaire. Il ouvre « le Café du Dôme » mais fait rapidement face à la difficulté de trouver du bon pain à Bruxelles. Faut-il l’importer de France ? Trop cher ! L’entrepreneur décide d’acheter un four et de le fabriquer lui-même. Progressivement, il finit par servir la plupart des restaurants des environs. La marque Le Pain Quotidien voit le jour en octobre 1990. En 2014, l’enseigne comptait 215 boulangeries-restaurants répartis dans 17 pays, pour un chiffre d’affaires de 250 millions d’euros au total.

Ne pas se retrouver obsédé par son projet.

« Devenir Steve Jobs » n’est sans doute pas un moteur pour tous les entrepreneurs. D’autant qu’en ce qui concernait le gérant de la marque à la pomme, l’entrepreneuriat ne constituait plus un métier ou une vocation, mais relevait presque d’une obsession. À ce stade, il devient difficile d’avoir une vie professionnelle qui n’empiète pas sur la vie personnelle. Vie de famille, vacances, week-end deviennent rares voire inexistants. Bill Gates, principal « ennemi » du PDG d’Apple avouait ne pas avoir eu de journée « off » depuis 20 ans.

Quant à Mark Zuckerberg, il confiait travailler 50 à 60 heures par semaine. Pour devenir de tels géants de l’entrepreneuriat, inutile de préciser que de nombreux sacrifices demeurent nécessaires. Jusqu’à son dernier souffle, même sur un lit d’hôpital, Steve Jobs réfléchira à la manière dont il pouvait encore changer le monde, même s’il l’avait déjà accompli en modifiant profondément notre rapport à la technologie. S’ils doivent rester conscients de l’implication nécessaire à tout projet d’entreprise, pas sûr que tous les entrepreneurs en herbe aient réellement envie d’en arriver là… 

Les points de vigilance pour nouer des partenariats commerciaux efficaces

Un partenariat réussi permet de développer crédibilité, visibilité et notoriété. Chaque partenaire devient  l’ambassadeur de l’autre partenaire comme des vases communicants. Mais un partenaire déçu en fait fuir dix et dix satisfaits en font venir un. La difficulté de nouer des partenariats efficaces et pérennes est résumée dans cette phrase. Quels sont les points de vigilance à connaître en amont pour que ce partenariat devienne fructueux ?

Nouer des partenariats apparaît comme la panacée. Mais l’expérience montre que si ceux -ci n’ont pas été mûrement réfléchis, ils risquent de produire l’effet contraire à celui escompté. Il faut mener une analyse objective.

Pour développer une entreprise, il est parfois judicieux d’établir des partenariats commerciaux. « Partenariat » signifie que les 2 parties vont mettre en commun leurs ressources et forces afin d’atteindre un objectif commun qui est le développement de leur business, de leur visibilité et de leur notoriété.

Analyser les raisons d’un partenariat

Un bon partenaire doit être utile. Si vous vous associez avec une entreprise qui dispose des mêmes compétences que vous et n’apporte aucune plus-value, vous risquez d’y perdre. Votre partenaire peut-il vous apporter un réel bénéfice ? Lequel ? Avec un grand groupe, il est avantageux de s’associer, mais que pouvez-vous leur apporter qu’ils n’aient déjà ? Quels sont les risques que vous courrez ? Les bénéfices en valent-ils la peine ? Autant de questions que vous devez vous poser au préalable !

Dans les premiers temps, c’est le sérieux qui prime

Lors des premiers entretiens avec un partenaire, c’est le sérieux des deux parties qui est analysé. L’entreprise avec laquelle je souhaite m’associer est-elle capable de gérer son activité correctement, de répondre au téléphone régulièrement et de transmettre dans les temps indiqués les documents demandés ? L’organisation de la structure, son sérieux, son accueil sont des atouts de séduction. Si votre partenaire ne peut répondre à des questions simples d’organisation, c’est qu’il n’est pas fiable.

Crédibiliser son offre commerciale commune

Avec un nouveau partenaire, vous allez pouvoir conquérir de nouveaux marchés. Encore faut-il accepter quelques remises dans vos prix, histoire de graver dans le marbre cette collaboration. Si d’emblée vous êtes trop cher, même en étant très compétent et recherché, il y a de bonnes chances pour que vous perdiez des marchés et que l’essai en reste là. Bien entendu, votre partenaire devra en faire de même. Même si ce n’est pas une règle absolue, il faut que, sur le plan commercial, vos prix groupés soient au moins égaux si ce n’est inférieurs à vos prix isolés. Cela permet de crédibiliser votre offre commune auprès du marché et de montrer au consommateur que votre partenariat débouche sur un avantage.

Apprendre à travailler ensemble

Avec le temps, vous pourrez progressivement adapter votre façon de travailler ensemble, voire imposer votre vision sur certains points. La qualité qui est particulièrement appréciée d’un partenaire sont l’anticipation. Si vous savez déjà quel interlocuteur et collaborateur il pourra dédier à vos activités en commun, si vous voyez qu’il a déjà pensé à téléphoner au client que vous prospectez et à demander des informations, si vous observez qu’il commence à répondre à des appels d’offres et qu’il n’attend plus spécialement votre aval pour entériner des contrats ou prendre des initiatives, c’est déjà bon signe.

Le top est le moment où vos employés et ceux de la structure partenaire commencent à nouer des liens privilégiés. Cela prouve que le partenariat fonctionne bien au niveau opérationnel, et que vous tenez là un partenaire à la culture d’entreprise similaire à la vôtre. Lors d’une réunion groupée, vous devrez être en synergie, avoir la même vision du projet ou des demandes du client. Si ce n’est pas le cas, parlez-en en privé. Ne remettez jamais en cause le travail de votre partenaire en public.

Évoluer vers une forme de solidarité

Un partenariat s’entretient, il se cultive. Avec le temps, des attentions toutes particulières peuvent être apportées entre partenaires. Dans une situation délicate, il appréciera que vous lui tiriez une épine du pied ou preniez le relais pour montrer qu’il n’est pas seul (remplacement d’urgence pour une réunion alors que vous n’avez pas le mandat, construction de la réponse à un appel d’offre s’il n’a pas de temps…). La plupart du temps, dans un partenariat qui fonctionne, chacun demande le minimum de travail à l’autre et l’exécution des tâches coule de source !

Les signes avant-coureurs de la démission d’un collaborateur

Croire que les menaces incessantes de licenciement vont fidéliser davantage vos collaborateurs est loin de la réalité. Aujourd’hui à portée de clics, les entreprises de recrutement proposent des postes et vos concurrents lorgnent sur vos collaborateurs d’autant  plus que si ces collaborateurs possèdent des compétences, ils peuvent constater que leur profil est recherché.

Le premier réflexe est de se pencher sur les statistiques de chômage. Si votre salarié est un profil recherché par les recruteurs, en raison de ses compétences spécifiques, vous devez en être conscient. La formation d’un salarié est chronophage et donc entraînera pour vous ou vos collaborateurs une surcharge de travail. Vous ne devez jamais sous-estimer ce fait.

Croire que les avantages que vous offrez à votre collaborateur vont l’inciter à ne pas vous quitter est un leurre et de plus si vous imaginez que ces avantages sont liés à sa vie familiale, à son temps de transport… et donc que vous ne pensez pas une minute que votre collaborateur regarde les opportunités qui pourraient se présenter ailleurs est un manque de perspicacité ou de naïveté. Pourtant, il existe des signes avant-coureurs qui doivent vous alerter sur son projet de vous donner sa démission. Quelques conseils de dynamique.

Une observation et une analyse s’imposent !

Dans un premier temps, il vous faut vous reporter à vous-même et vous demander quel a été votre comportement, lorsque vous avez souhaité partir vers une autre société ou même lorsque vous avez eu le projet de créer votre entreprise. Vous pouvez ainsi établir établir une liste de questions qui vous servira de référentiel. Comme tous les salariés n’adoptent pas le même comportement que vous, la deuxième phase sera d’interroger votre entourage et de leur demander ce qu’ils ont eu comme comportement quand ils ont quitté leur société. Attention, il vous faudra choisir des personnes de sexe, d’d’âge et d’environnement professionnel différents. Avec cette base, vous allez pouvoir observer le comportement de vos salariés et par votre observation, évitez de perdre un salarié clef de votre entreprise.

Et puis, il faudra vous pencher sur les entretiens d’évaluation qui sont souvent révélateurs du manque de satisfaction ou des desideratas des salariés : le salarié a-t ’il manifesté quelque souhait que vous n’avez pas pris en compte, le salarié lors de la dernière évaluation n’avait pas de souhait pour son évolution de carrière dans votre entreprise ? à sa demande d’augmentation de salaire ?  De prime alors que vous l’avez donné à d’autres ? lui avez-vous imposé des dates de vacances ? ….

Mais quels sont les signes avant-coureurs classiques ?

Le premier signe d’alerte : les absences

Un salarié a des absences qu’ils n’avaient pas auparavant, arrive plus tard au bureau ou part plus tôt du bureau ? C’est peut-être le signe qu’il se rend à des entretiens d’embauche. Certes, toute absence inhabituelle n’est pas un signe de départ, mais pour répondre à un entretien, il faut une demie journée ou une journée entière, comme vous le savez-bien. Et parfois, le fait de choisir de partir plus tôt est aussi associé à un entretien. Ce sont seulement des signes !

Le deuxième signe d’alerte :  le changement de comportement du salarié

  1. Son enthousiasme pour exécuter les tâches est en berne et sa productivité en quantité et en qualité n’en est plus le reflet.
  2. Le salarié se met en retrait, s’isole des conversations ou est peu expressif lors des réunions.
  3. Le salarié ne participe plus aux pauses ou aux déjeuners entre collègues.
  4. Le salarié se plaint régulièrement de sa charge de travail.
  5. Le salarié affiche sa mauvaise humeur envers son manager ou ses collègues.
  6. Le salarié sort pour passer des coups de fil.

Tous ces changements sont des signes de l’insatisfaction d’un salarié.

Le troisième signe : son engouement soudain pour les réseaux sociaux

Le salarié met à jour son profil sur les réseaux sociaux et particulièrement ceux qui sont liés aux entreprises (LinkedIn, Viadeo …), une augmentation des connexions soudaines est forcément le signe qu’il recherche à se mettre en valeur.

  • Et puis posez-vous les questions suivantes !
  • Est-il moins enclin à se porter volontaire pour des projets ?
  • Est-il moins enclin à participer aux réunions d’équipe ?
  • Ses relations avec son équipe se sont-elles dégradées ?
  • A-t-il des difficultés pour atteindre ses objectifs ?
  • N’est-il plus force de proposition ?
  • Est-il critique envers son travail ? envers son manager ? ses collègues ?
  • Autant de questions et d’autres qui vous permettront d’être attentif.

Que faire face aux signes annonciateurs du départ d’un salarié ?

Pour en savoir plus, engagez un dialogue avec lui, faites-lui part de vos observations puis écoutez-le. Soyez attentif, observez et dialoguez : vous éviterez peut-être de perdre un collaborateur qui est une des forces de votre entreprise.

IPhone 13 reconditionné, une seconde vie pour une technologie de pointe

L’arrivée d’un nouveau modèle d’iPhone suscite toujours excitation et enthousiasme, et l’iPhone 13 n’a pas dérogé à la règle lors de sa sortie en 2021 ! Avec ses avancées en termes de performances, de photographie et de design, il incarne l’innovation à sa manière. Cependant, au-delà de son éclat en termes de technologies, il faut désormais prendre en compte l’impact environnemental de celui-ci. Et comme voie alternative, le reconditionnement arrive en pôle position notamment avec Back Market le pionnier dans ce domaine, qui offre une plateforme mondiale pour l’achat et la revente d’appareils technologiques reconditionnés de haute qualité. 

Innovation et durabilité pour l’iPhone 13

L’iPhone 13, ce joyau de la technologie mobile, incarne une fusion entre l’innovation technologique et l’engagement envers la durabilité. Au cœur de cette prouesse se trouvent des caractéristiques techniques impressionnantes qui repoussent les limites de la performance. Son processeur puissant, issu d’une ingénierie de pointe, garantit une fluidité dans l’exécution des tâches les plus exigeantes. De même, l’amélioration de la caméra offre des capacités photographiques grandioses en capturant chaque instant avec une netteté et une précision remarquable.

Cependant, l’iPhone 13 intègre des avancées qui marquent un véritable tournant vers la durabilité. La marque à la pomme a désormais fait de la réduction de son empreinte environnementale une priorité, et cela se reflète dans la conception de l’iPhone 13. En utilisant des matériaux recyclés, tels que l’aluminium et le verre, dans sa construction, Apple réduit significativement la demande de ressources naturelles tout en minimisant les déchets associés à la production de ses appareils.

Mais ce n’est pas tout. L’iPhone 13 adopte aussi une approche modulaire, qui facilite ainsi la réparation et le remplacement des composants individuels. Cette conception intelligente prolonge la durée de vie utile du téléphone et évite le remplacement prématuré en cas de dysfonctionnement. Vous l’aurez compris, entre progrès technologiques et durabilité à long terme, l’iPhone 13 s’impose comme un choix judicieux. 

Optez pour une alternative responsable grâce au reconditionnement 

Alors que l’iPhone 13 continue de briller de mille feux sur le marché du neuf, certains préfèrent considérer les avantages économiques et environnementaux offerts par l’achat d’un iPhone reconditionné.

Back Market se positionne comme un acteur majeur dans ce domaine grâce à sa plateforme diversifiée et fiable pour l’achat d’iPhone 13 reconditionnés. Chaque appareil est soumis à un processus de vérification rigoureux, qui garantit son bon fonctionnement. Cela assure aux acheteurs une transaction sereine et sans souci, avec la certitude d’acquérir un produit de qualité à un prix souvent très compétitif.

Choisir un smartphone reconditionné présente plusieurs avantages. Tout d’abord, le choix d’un iPhone 13 reconditionné représente une option très avantageuse pour… votre portefeuille !  En effet, les produits reconditionnés bénéficient de prix souvent nettement inférieurs à ceux des appareils neufs, vous pouvez donc réaliser des économies conséquentes tout en ayant accès à des fonctionnalités haut de gamme, bien que sur Back Market vous pouvez acheter à des prix attractifs toute l’année ! 

De plus, cela permet de prolonger la durée de vie utile d’un appareil déjà existant, en réduisant ainsi la demande de nouveaux produits et donc en contribuant à freiner le cycle de surconsommation. Réutiliser des appareils déjà fabriqués permet d’éviter également le gaspillage de ressources précieuses et de limiter la quantité de déchets électroniques souvent envoyés dans les décharges, ce qui contribue à préserver notre environnement… et celui des générations futures.