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Les Français impliqués dans la transition alimentaire

Selon un baromètre de la transition alimentaire 2019 – Sondage Opinion Way pour Max Havelaar France réalisé auprès d’un échantillon de 2066 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, toutes les catégories de la population française seraient désormais sensibles à avoir une consommation alimentaire responsable.

Les secteurs touchés

L’alimentaire avec la prise de conscience de la protection de la planète, de la protection de la santé est devenu une préoccupation majeure. L’alimentaire demeure aujourd’hui le secteur privilégié pour les produits garantis « responsables ». 81% d’entre eux le citent et 68% en premier. Viennent ensuite le secteur hygiène, cosmétique, beauté pour 51% d’entre eux. Suivent les produits d’entretien et le secteur de l’habillement, du textile avec respectivement 44% et 36% des personnes interrogées. Cette préoccupation est d’autant plus forte que l’âge est élevé notamment pour l’alimentaire avec 86% des personnes âgées de 35 ans et plus et seulement 68% pour les moins âgées.

Les tendances de la consommation

Le premier constat est frappant : 98% des Français achètent des produits responsables même s’ils ne le font pas de manière systématique et simultanée et 77% d’entre eux achètent, plus ou moins souvent, tous les types de produits testés. Ce pourcentage s’élève à 90% d’entre eux au moins une fois par mois pour un type de produit et descend à 67% pour une fois par semaine, un rythme qui reste donc relativement élevé. Parmi les catégories de produits alimentaires responsables : les produits locaux, produits des régions, produits bio, produits limitants ou sans emballages, équitables. 

Les produits locaux arrivent en tête avec 82% des Français qui consomment des produits Made in France au moins une fois par mois. Ce pourcentage redescend cependant à 57% à la semaine. Suivent les produits régionaux pour 76% d’entre eux et 44%. Les produits bios ne sont pas en reste avec respectivement 58% et 30% au moins une fois par semaine. A noter que les produits sans ou limitant les emballages représentent tout de même 58% et 28%. Les produits issus du commerce équitable demeurent encore peu à la mode avec 46%. 

A noter qu’un quart des français (27%) achètent tous les types de produits (locaux, bio, zéro-déchet, équitable et bio-équitable) au moins une fois par mois même si ce pourcentage serait à 7% à la semaine. A noter que même si les catégories socio-professionnelles les plus aisées restent les plus consommatrices, tous les Français ont fait évoluer leurs pratiques d’achats et ce sont les catégories populaires qui ont le plus fait évoluer leur manière de consommer depuis un an. 

Les motivations des français

C’est avant tout pour les Français d’un soutien aux producteurs et agriculteurs puisqu’il s’agit de la première raison citée pour 59% d’entre eux. Ils le font aussi pour eux et leur santé pour 54% d’entre eux. Suivent de près les considérations environnementales (53%) afin de réduire le gaspillage et le suremballage et le même pourcentage pour agir et protéger la planète.

Ses motivations sont différentes selon l’âge puisque les personnes âgées de 35 ans et plus sont très sensibles aux producteurs et agriculteurs (64%) alors que les plus jeunes ne sont que 44%. La planète étant une priorité pour eux (55% contre 52%). Une nouvelle donne qui pourrait donc changer le fonctionnement des entreprises dans leur approche : utilisation du plastique, gaspillage, impact environnemental et bien-être animal devrait bientôt devenir une préoccupation majeure pour les entreprises. 

Les freins principaux à la consommation

Le prix est l’obstacle majeur puisque 69% des répondants le citent comme première raison. Viennent derrière une méfiance sur le respect des engagements pour 36% des Français et au même niveau l’indisponibilité de certains produits dans certaines gammes. Ceci est d’autant plus marquant que le prix reste le critère principal dans le cadre des courses alimentaires générales (63%) alors que la qualité gustative arrive loin derrière (40%). Suive de près la provenance (39%) et la composition du produit (39%). 

A noter que le manque d’informations reste un frein car seuls 52% des Français se considèrent bien informés avec seulement 7% pour les « très bien informés ». 

Le Mentorat, c’est quoi ?

Le mentorat, mot bien francisé pour remplacer les trop anglo-saxons « coaching » ou « mentoring », n’en dit pourtant pas très long sur ce qu’il désigne réellement.

L’idée de mentor pourrait sembler ne pas bien s’adapter dans le contexte de l’entreprise et du business. Le mentor est vu, de façon courante, comme le grand maître, vecteur de transmission de savoirs en tous genres pour ses disciples. Nous sommes donc loin de la vie de nos entreprises et de l’univers du business.

Pourtant, les années passant, les chefs d’entreprise et dirigeants, constatent que le mentorat prend une propension très importante. Cette notion s’inscrit d’ailleurs de plus en plus dans un registre professionnel proche de celui des affaires. Beaucoup de choses aujourd’hui dans la vie de tous les jours au sein de nos entreprises nous ramènent à l’idée de formation, de transmissions de savoirs et de connaissances entre les collaborateurs.

Une distinction nécessaire entre tutorat et mentorat

Première distinction, pourtant importante à faire et à considérer, celle entre le tutorat et le mentorat. Le tutorat ne s’applique que dans un cadre de formation pure. Il met en relation un tuteur, plus largement considéré comme professeur, et des « tutorés », finalement étudiants. Le tutorat s’inscrit donc dans un cadre plutôt scolaire là où le mentorat est une version bien plus professionnalisante de l’apprentissage. Cette distinction s’avère nécessaire pour bien comprendre le cadre d’application du mentorat et l’objectif du mentor envers ses mentorés, ses apprentis.

L’objectif du mentorat

Le mentorat a donc une visée professionnelle. Visant la transmission entre collaborateurs d’une même entreprise, il s’inscrit dans une volonté d’entraîner et de développer les rapports en interne. Les contrats de génération en sont une illustration parfaite. Le senior désirant partir en retraire prend sous son aile un nouvel employé junior. Il lui transmet l’ensemble des savoirs nécessaires ainsi que les bénéfices de son expérience.

On s’aperçoit donc aisément que le mentorat, ou coaching, s’immisce bien plus que l’on ne le pense dans la vie de nos entreprises. Nombre d’initiatives sont lancées pour développer ce type d’initiatives visant à la transmission et la formation en interne.

Le mentorat semble donc une notion à prendre très au sérieux pour les dirigeants. Les avantages sont nombreux, tant en termes de gains de temps de formation qu’en termes d’économies de coûts de formation également. Il est nécessaire que tous les dirigeants désireux de développer la transmission de savoir dans le but d’assurer la compétence et la productivité des employés, se penche avec sérieux sur le mentorat pour en tirer un maximum de bénéfices pour l’avenir de leur entreprise.

Période de crise : les erreurs à éviter en management

Toute période de crise chamboule les prévisions de l’entreprise oblige à remettre en cause le fonctionnement habituel. Si la crise perdure il devient parfois difficile de continuer à payer les salariés et là le management du dirigeant est essentiel car il doit prendre des décisions et il ne doit regretter aucune d’entre elles afin que ce moment ne soit pas synonyme de régression mais de pérennité de l’entreprise.

En temps normal, une tâche essentielle reste de manager votre équipe, pour qu’elle soit performante, réactive et productive.
Avec la crise économique et sociale qui sévit actuellement, il devient de plus en plus dur de diriger une équipe. 

Aussi, en temps de crise, bon nombre d’entreprises ont tendance à réduire leurs effectifs et n’atteignent pas leurs objectifs. Pourtant, pour que l’entreprise reste concurrentielle, les équipes doivent rester motivées. Dans ce cas, comment faire pour gérer la crise et surtout, comment faire pour éviter des erreurs de management ?

Réduire ses effectifs trop rapidement

En ces périodes incertaines, il est vrai que l’entreprise est en mauvaise passe et traverse une période particulièrement difficile. Le plus souvent des cas, l’entreprise s’empresse de réduire ses effectifs, en pensant réduire certaines charges dans l’espoir d’un équilibre financier. Cette décision peut s’avérer fatale pour une entreprise et peut représenter une erreur grossière si mal exécutée. Réduire son effectif mène à également à réduire la production et ne représente pas une solution pérenne dans la mesure où l’entreprise espère en tirer des profits. Un bon manager cherchera d’autres solutions.

Fidéliser et motiver ses collaborateurs

Il est vrai qu’en période de crise, il est difficile d’envisager de fidéliser et de motiver ses salariés. Pourtant, c’est l’un des gestes à faire. Face à l’absence de perspectives, il se pourrait que les salariés trouvent des avantages ailleurs qu’au sein de votre entreprise et décident de la quitter. Ce serait une perte pour l’entreprise qui pourrait perdre en productivité. Aussi, le manager se doit de ne pas considérer ses collaborateurs comme acquis et il reste indispensable de motiver et de fidéliser ses employés, mais surtout, de communiquer avec eux afin d’empêcher les frustrations et les conflits.

Rester productif

Surtout en période de crise, l’entreprise doit rester productive. Pour ce faire, proposer des formations aux employés pour qu’ils soient plus compétents et qu’ils développent leurs atouts peut représenter un bon moyen d’améliorer le rendement de chacun. Il reste souvent inutile de limiter le budget de formation, car ce sont elles qui permettent à une entreprise d’être efficace, productive et très concurrentielle. Aussi, évitez aux collaborateurs le surmenage qui pourrait avoir un effet inverse à celui désiré en ne surchargeant pas vos employés. Dans une situation critique, et si vous ne savez pas de quoi demain sera fait, n’hésitez pas à faire appel à l’intérim. 

Prôner le développement

En toutes circonstances, le stress ne doit jamais prendre le dessus sur la qualité de service. Le cas échéant, il se pourrait que cela se retourne contre votre entreprise, dès que la crise économique sera terminée. La meilleure chose à faire reste de vous intéresser à vos salariés qui sont continuellement en contact avec vos clients et aux solutions qu’ils pourraient vous apporter. Ainsi, en tant que manager, offrez à votre équipe les moyens nécessaires pour prendre des décisions et développer de nouveaux projets qui seront peut-être la porte de la sortie de crise. Cela pourrait les inciter à davantage s’impliquer et représente pour eux une grande marque de considération et un geste qui sera sûrement vraiment apprécié.

En quoi le respect est-il une valeur essentielle à tout bon chef d’entreprise ?

Le fait d’être le dirigeant demande de prendre en compte la dignité des personnes comme critère essentiel de management. Avoir pour idée que les personnes doivent vous être reconnaissants parce que vous leur offrez un travail et des conditions de travail agréables doit être absolument écarté de votre esprit. Ce genre de pensée conduit de manière inéluctable à manquer de respect envers la personne puisqu’elle vous est redevable . Vous pouvez ainsi franchir des frontières qui ne sont pas acceptables. A contrario avoir la pensée légitime qu’ensemble vous construisez l’avenir d l’entreprise, votre propre avenir et celui de votre collaborateur engendrent un respect mutuel. Chacun est reconnaissant à l’autre de ce qu’il apporte.

Un bon chef d’entreprise est une personne qui a une forte capacité d’écoute des partenaires, des clients ou encore des salariés. Le respect reste une des premières valeurs dont tout chef d’entreprise doit faire preuve envers son entourage direct et indirect. Mais pourquoi ? 

Le respect, une valeur indispensable à tout chef d’entreprise 

On dit toujours que bien manager consiste à se faire respecter tout en respectant les autres. Le respect qu’un chef d’entreprise doit montrer vis-à-vis de ses clients, ses fournisseurs, et même ses collaborateurs ne se résume plus qu’à un simple « bonjour », « s’il ne vous plaît » ni « l’écoute ».
D’après une enquête effectuée par la société Regus, 68 % des collaborateurs français trouvent que leurs supérieurs directs leur manquent de respect. Si vous pensez que reconnaître la valeur de vos employés par des bonus va encore plus motiver vos employés, sachez qu’ils attendent bien plus. Pour le bon fonctionnement de votre entreprise, il est important de pouvoir accepter les différences, que ce soit au niveau des personnes, des moyens ou des conditions. Le respect demeure donc plus que votre politesse. 

Le respect, un élément-clé de la fidélisation

Que ce soit pour la fidélisation de vos clients ou des collaborateurs, des employés et des fournisseurs, le respect demeure essentiel. La plupart des démissions restent dues aux comportements des managers et supérieurs hiérarchiques. En général, les salariés partent parce qu’ils se sentent dévalorisés. Lorsque les employés se sentent respectés à l’inverse, ils s’impliquent davantage et fournissent un travail de meilleure qualité. Pour les clients et les fournisseurs, en les respectant, vous aurez plus de chances d’obtenir leur confiance. Un client qui se sent mal reçu par un chef d’entreprise ou qui n’est pas satisfait de votre service n’hésitera pas à le quitter définitivement. 

Le respect, pour le développement de votre entreprise

Le respect est un pilier pour le développement de votre entreprise. Plus vous respectez les collaborateurs et les employés, plus ils auront envie de travailler pour votre entreprise. C’est pour cette raison que vous devez à tout moment leur prouver votre considération. Il est primordial de leur montrer le respect de la personne qu’elles sont. Surtout face à leurs collègues. Éviter de les critiquer devant les autres employés si vous avez des reproches à leur faire. Et surtout, faites-leur sentir que la critique n’est pas personnelle. N’oubliez pas de faire preuve de politesse et de courtoisie. Le comportement d’un chef d’entreprise reste un facteur qui impacte la motivation des employés. N’oubliez pas que cette dernière demeure essentielle au bon fonctionnement de l’entreprise. 

De cette manière, les employés et les collaborateurs produiront plus pour les clients ou les fournisseurs qui sont satisfaits de la collaboration et feront preuve de plus de respect à leur égard. La réputation de votre entreprise augmentera et les clients satisfaits qui parleront en bien votre entreprise se multiplieront. Vous hésitez encore ?

Les primes de participation et d’intéressement, des outils pour motiver

Si donner du sens et clarifier la vision de l’entreprise peut motiver vos salariés, d’autres outils peuvent servir à les booster. Parmi ceux-ci les primes de participation et d’intéressement représentent une pratique intéressante. Elles demeurent loin de se limiter à n’être qu’une source de motivation financière. Zoom sur ces deux méthodes.

Les primes de participation et d’intéressement sont avant tout un système d’épargne salarial collectif au sein des entreprises. Elles peuvent prendre deux formes celle d’une prime en fonction de la performance de l’entreprise, l’intéressement, ou une participation aux bénéfices. Elles sont soit versées directement, soit déposées sur un plan d’épargne salariale, suivant le choix pour lequel le salarié opte.

Quelles différences entre l’intéressement et la participation ?

La participation représente une manière de redistribuer les bénéfices de l’entreprise. Contrairement à l’intéressement, elle est obligatoire dans les entreprises de 50 salariés ou plus, à condition que celle-ci le soit effectivement depuis les 5 dernières années. Elle a pour base un accord de participation qui précise les modalités de placement, de calcul et de gestion de la participation ainsi que sa durée. Sauf condition plus favorable, la formule de calcul est fixée par la loi.

Si le salarié demande leur placement en épargne, elles deviennent indisponibles pendant 5 ans mais reste toutefois déblocables dans certaines conditions. L’avantage restant qu’elles seront alors exonérées d’impôt sur le revenu dans ce cas.

L’intéressement représente une prime qui est proportionnelle aux résultats et performances de l’entreprise. Comme pour la participation, un accord est conclu entre l’entreprise et les salariés ou leurs représentants. Il fixe les règles et mode de calcul de celui-ci. Celui-ci demeure facultatif et s’applique à l’ensemble des salariés. La prime demeure soumise à l’impôt sur le revenu sauf quelques cas exceptionnels.

Dans les deux cas, le montant maximum de la prime qui peut leur être versée est de 30 852 € pour 2020. Deux conditions d’ancienneté peuvent être requise comme 3 ans d’ancienneté pour la première et 3 mois pour la seconde.

Intéressement, participation : des primes pour motiver ses salariés

L’accord d’intéressement et la prime de participation dans les TPE-PME représentent avant tout des dispositifs qui servent à motiver les salariés. Dans les deux cas, elles restent globalement liées à la performance de l’entreprise même si un supplément d’intéressement est possible dans le cas où la prime serait inférieure au plafond annuel qui ne peut être dépassé. Dans les deux cas, si l’entreprise performe soit en augmentant ses bénéfices, soit par ses résultats, les salariés reçoivent la prime, qui se révèle être un bon facteur de motivation.

L’intéressement est particulièrement une donnée sensible car il est facultatif et il peut donc être perçu comme une volonté de partager les fruits de l’entreprise. Il peut également être inégalitaire puisqu’il peut être décidé qu’elle soit proportionnelle au salaire ou au temps de présence ou les deux. Il reste donc à manier avec prudence notamment si vous souhaitez vous en servir comme une technique de motivation pour les cadres. La participation prend le même sens dans le cadre où l’entreprise compte moins de 50 salariés.  A défaut, elle reste souvent perçue comme un droit.

Des pratiques bien encadrées

Sachez tout de même que vous avez un devoir d’information dans les deux cas. Il vous ainsi prévoir un livret d’épargne salariale qui présente les dispositifs d’épargne salariale dans le cadre de l’accord d’intéressement ou de participation et vous devez produire des documents lors des versements ou encore en cas de départ d’un de vos salariés. L’accord de participation demande en plus d’être affiché sauf autre moyen d’information prévu. Quelques documents restent donc à produire dans les deux cas.

La pergola bioclimatique : l’avis d’Usine Online

La pergola bioclimatique est tendance et en pleine expansion dans le monde. Cette petite construction demeure utilisée comme support aux plantes grimpantes et séduit de plus en plus de propriétaires. Elle rencontre un véritable succès car elle permet d’ombrager les terrasses et de créer des espaces de vie conviviaux.

Un marché favorisé par le changement climatique

Les dernières chaleurs estivales, qui sont de plus en plus longues et de plus en plus intenses, incitent les Français à vouloir créer des espaces qui offrent de nouveaux ombrages et leur apportent un bien-être. La prise de conscience du changement climatique a conduit de nombreux propriétaires à anticiper et transformer leur maison afin de ne pas revivre les mêmes difficultés. La pergola bioclimatique connaît naturellement un succès du fait de son adaptabilité à tous types de météos. Elle permet en effet de protéger les enfants et les personnes âgées, particulièrement sensibles aux effets de la chaleur, tout comme de s’abriter de la pluie. Elle sert également de coupe-vent et permet de régler le taux d’ensoleillement. Un succès logique dans le contexte actuel. 

Usine Online, le choix d’une gamme étendue de produit

USINE ONLINE

L’entreprise Usine Online, Leader européen, propose notamment des pergolas sur mesure avec une des gammes les plus complètes du marché. Elle vend autant de pergolas bioclimatiques adossées, qu’autoportées ou entre mur, lames parallèles ou perpendiculaires à la façade. De la même manière elle offre la possibilité d’en acquérir des motorisées comme manuelles, avec des options lumière Led, capteur pluie, vent ou température.

Avec déjà plusieurs milliers de clients livrés et satisfaits, cette entreprise qui s’adresse aux particuliers comme aux professionnels, se positionne cependant sur un produit haut de gamme et met en avant la haute qualité de ses produits, made in France. « Aujourd’hui les particuliers se rendent en magasin de bricolage ou vont sur les sites de bricoleur mais cela reste des produits d’entrée de gamme qui ne durent pas forcément dans le temps. En règle générale les usines ne savent pas vendre directement aux particuliers, elles livrent aux professionnels car ils ont un espace de stockage important et un accès poids lourds, elles ne sont pas enclines à le faire avec des particuliers. Sur l’ensembles des usines rencontrées, seulement quelques-unes ont répondu favorablement à notre cahier des charges afin de livrer directement chez le particulier ces produits de qualité » nous confie M Hémon, fondateur d’Usine Online.

… Mais à petits prix

Parmi les produits phares de l’enseigne, la pergola bioclimatique, est en train de connaître un essor particulier dans les ventes de l’entreprise. Usine Online a su diminuer le nombre d’intermédiaires et propose des prix directs fabricant. Le dirigeant de la marque nous explique ainsi : « Les entreprises dans ce domaine affichent des tarifs plus élevés car elles ont une politique différente et utilisent une chaîne complexe :  le particulier achète en général à un professionnel qui va l’acheter à un négoce qui va l’acheter à un assembleur qui va acheter à l’extrudeur. Ce système augmente considérablement les coûts. Nous réduisons le nombre d’intermédiaires, ce qui fait que nos clients sont surpris par la différence de prix. Surtout, notre catalogue est issu de la fabrication française haut de gamme avec une garantie de 5 ans et accessoires 2 ans. La gamme de pergolas bioclimatiques a été testée par le (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) (CSTB) de Nantes où elle a résisté à des tempêtes dépassant 200 km/h ainsi qu’aux tests de pluie tropicale, les vidéos sont disponibles sur le site, ce qui rassure notre clientèle des Dom Tom. »

Une société qui cherche à s’améliorer

Si la société possède un avantage concurrentiel, elle ne reste pourtant pas sur ses acquis. Chaque client reçoit ainsi une enquête de satisfaction quelques mois après avoir passé sa commande et peut donner son avis sur le produit, le site et la livraison. Pour l’entrepreneur, pas de secret : « Cela nous permet de nous remettre constamment en question et de voir ce que nous devons améliorer. Je suis ravi car nous avons un excellent taux de satisfaction mais nous pouvons encore nous améliorer ». L’entreprise a ainsi mis en place un configurateur afin que l’internaute puisse commander directement en ligne et ainsi comprendre sans faire appel à un professionnel. Cette visualisation lui permet de voir comment la pergola est posée et d’identifier rapidement « s’il peut l’installer par lui-même ou non. Nous faisons le maximum pour faciliter la vie de nos clients avec un service en ligne 24/24 et 7/7j avec des fiches complètes avec détails et caractéristiques. Les notices de montage sont ainsi téléchargeables et disponibles sur le site » 

Une entreprise qui se développe

Une livraison offerte demeure en France Métropolitaine mais Usine Online livre également à l’international. L’entreprise livre aujourd’hui dans le monde entier et se prépare à l’horizon 2021/2022 la sortie d’un site en anglais, espagnol et allemand. 

Pour se développer et faciliter encore plus le montage, Usine Online est en train d’établir des partenariats afin de faciliter également la pose. L’objectif ? Aider le client qui hésite à commander sa pergola bioclimatique car « cela peut lui paraître trop difficile de la monter ». Pour que le particulier puisse l’installer facilement, sa pergola bioclimatique est livrée en kit « prêt à monter », les moteurs sont déjà fixés et calibrés en usine, il ne reste plus que le branchement à effectuer.

L’entreprise peut même rajouter des rideaux latéraux et en façade (une fois que la pergola est installée pour les bonnes dimensions) avec de différents types de toile (micro-perforée, acrylique, cristal transparent).

Si vous souhaitez contacter Usine Online : cliquez ici

Récompenser ses salariés : mode d’emploi

Au mois de décembre et au mois de janvier, c’est le moment où les entreprises distribuent les primes et les récompenses de toutes natures. C’est un moment clef car il correspond aux mois où les cadeaux font partie de notre culture. Les primes et autres sont considérées le plus souvent comme une reconnaissance du travail effectué avec implication. Cependant, parfois le budget de l’entreprise s’avère trop serré, il se peut que les collaborateurs soient déçus.

C’est la fin de l’année. C’est le moment où les primes et récompenses entre guillemets sont distribués dans les entreprises.

Il est vrai que dans une même entreprise, chaque salarié ne produit pas toujours le même effort pour le bien de l’entreprise. Il existe ceux qui se donnent corps et âme et méritent amplement d’être récompensés. 

Cependant, comment récompenser ceux qui en ont le mérite ? Comment pousser ceux qui ont un potentiel à s’investir plus ? Ne pas les oublier évitera que les bons éléments qui sont souvent exigeants regardent si l’herbe est plus verte ailleurs dans le cas où la situation ne leur convient pas. Plusieurs solutions sont envisageables pour récompenser ses salariés.

Primes collectives et avantages sociaux

Les primes collectives
Constituent un moyen efficace pour encourager davantage la productivité. Il est souvent difficile pour le dirigeant d’entreprise de connaître à l’avance ce qu’elles représenteront. Elles dépendent souvent des résultats réalisés par l’entreprise. Ainsi, le versement d’une prime collective encouragera certains salariés à la surveillance d’autres si ces derniers sont contre-productifs mais peut créer une fracture au sein des différentes équipes. 

Les avantages sociaux
restent une rémunération facultative proposée aux employés, en dehors de leur salaire. Ils peuvent se présenter sous forme d’avantages non conventionnels et souples (congés payés supplémentaires, remboursement des droits de scolarité, voyages financés en partie, chèques-cadeaux, tickets-restaurants, régime retraite favorable ou mutuelle collective).

Droit du prince et commissions sur rendement

Recevoir une gratification ou une prime de façon systématique et régulière peut devenir un acquis social. La difficulté reste qu’une fois acquis, il devient une obligation que l’employeur doit verser au salarié. Pour y remédier, le chef d’entreprise peut récompenser ses employés par une prime aléatoire en périodicité et en montant. C’est ce qu’on appelle le droit du prince. Par ailleurs, les systèmes de primes et de commissions sur objectif conviennent en général mieux au salarié. Ils montrent l’objectif à atteindre. Dans ce cas, le salarié connaît à l’avance ce qu’il doit faire pour avoir sa récompense, puisque cette dernière a été préalablement négociée.

Le respect du personnel et la reconnaissance du travail accompli

Dans le monde professionnel, il est important de complimenter le travail d’un salarié si le contexte le permet. Il demeure important de prendre en compte que recevoir des félicitations suite à une mission effectuée avec succès peut être toute aussi efficace qu’une rémunération. Toute parole compte et plus les encouragements sont portés en public, plus le salarié se sentira important et valorisé. Une reconnaissance très importante aux yeux du salarié, mais qui ne coûte rien à l’employeur. N’oubliez pas également que fêter de temps en temps une réussite même autour d’un repas ou d’un pot offert par l’entreprise peut s’avérer peu coûteux mais très efficace.

Avantages en nature

Bon nombre d’entreprises proposent à leurs employés des outils de dernières technologies comme des Smartphones, des tablettes, des ordinateurs portables, ou encore un véhicule de fonction. Dès lors que ces avantages sont utilisés à titre privé, ils constituent un réel avantage pour le salarié. Ainsi, il peut gagner en efficacité et réaliser des économies sur certaines dépenses qu’il aurait pu personnellement supporter.

Tous ces avantages renforcent la motivation des employés mais n’oubliez pas de résumer chaque année ces avantages parfois invisibles.

Zoom sur le codéveloppement

Le codéveloppement utilise la richesse essentielle de l’être humain qui est celle du dialogue. Le dialogue qui est un partage et qui permet à chacun de s’exprimer et d’offrir à l’autre son expérience, et en contrepartie recevoir de l’autre des idées qui seront sources d’opportunités. Il ne s’agit pas forcément de proposer des solutions techniques, de stratégies financières mais d’évoquer les difficultés relationnelles qui tout entrepreneur rencontre, d’écouter le vécu d’un autre entrepreneur ses réussites et ses échecs pour mieux rebondir, prendre des décisions ou à adopter de nouvelles manières d’agir.

Le codéveloppement est une technique de partage de savoirs et de compétences créée par des Canadiens. Elle se résume par un développement participatif qui permet à chacun de profiter du savoir et des expériences des autres. Pour ce faire, une entreprise expose ses problèmes aux participants et ces derniers proposent leur solution. La dynamique des groupes, les compétences et le vécu personnel de chacun entre en jeu dans ce processus. 

Le mécanisme du codéveloppement

Il se manifeste par l’organisation d’une réunion avec quelques groupes de personnes. Le groupe est formé de 4 à 8 personnes. Selon leur convenance, les rencontres peuvent se passer toutes les deux semaines, toutes les six semaines ou tous les ans. La fréquence dépend des membres du groupe. Une rencontre dure entre 3 à 6 heures. Pour effectuer la réunion, il faut qu’il y ait un client, des consultants et une personne ressource. Le rôle de la personne ressource est de gérer la réunion. C’est une personne compétente pour la gestion de l’animation de la réunion, elle s’assure également que tous les objectifs soient atteints. Elle peut également donner des formations aux groupes en apportant des théories.
Concernant le client et les consultants : une personne expose ses problèmes et elle devient le client, le reste des participants fait office de consultants. À
tour de rôle, les participants deviennent un à un des clients.

Les étapes à suivre pendant chaque rencontre

La réunion se déroule en 6 étapes. Le client commence par exposer ses problèmes ou son projet aux consultants. Ensuite, les consultants posent des questions sur le projet pour plus de clarification et le client donne plus de détails. La troisième étape consiste à déterminer le contrat de consultation dans lequel le client partage ses attentes de la réunion. Il faut que tous les participants s’entendent sur le contrat. C’est seulement après que les consultants donnent leurs avis, leurs suggestions, leurs solutions. A la suite de cette étape, le client note ce qu’il pense lui convenir et élabore, avec l’encadrement des consultants, le nouveau plan d’action. Et pour terminer, tous les participants effectuent une évaluation de la réunion : les acquis et les leçons qu’ils peuvent tirer du cas exposé. 

Les atouts du codéveloppement

Ces réunions sont riches de sens et d’apports pour ses participants parce que même la personne la plus compétente ne détient pas toutes les solutions. Le dialogue lui est bénéfique. L’objectif fixé par les participants est de pouvoir se faire aider et également aider les autres. Les participants peuvent renfoncer leurs compétences en apprenant à partager, en travaillant dans un groupe et en recevant l’apprentissage de ce groupe en retour. Aussi, il permet aux participants d’avoir un groupe d’appartenance dans le milieu professionnel, auquel ils peuvent faire confiance et appeler à la solidarité parmi ses membres. Connaître les problèmes des autres permet également de comparer ses stratégies et de tirer des leçons des échecs ainsi que des réussites des autres.

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Depuis l’ouverture du marché à la concurrence en 2007, trouver le bon fournisseur d’énergie n’est pas toujours facile…Cependant, un bon contrat peut vous faire économiser jusqu’à 250 euros annuels ! Toute la difficulté réside donc dans le fait de savoir vers quel fournisseur d’énergie vous tourner pour pouvoir réaliser un maximum d’économies, car les tarifs et les modalités varient considérablement d’un contrat à l’autre et en souscrivant trop hâtivement, vous risqueriez de réaliser à posteriori que vous auriez pu trouver beaucoup mieux. Pour avoir la certitude de ne pas vous tromper, l’utilisation d’un comparateur d’énergie est une astuce très simple mais pourtant infaillible.

Des dizaines de possibilités

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De plus, depuis l’ouverture à la concurrence, l’internaute a le choix entre différents types de formules : certaines sont réglementées par l’EDF, d’autres indexées sur le tarif réglementaire, et d’autres encore proposent un prix fixe.

Sans l’aide d’un comparateur d’énergie, vous risquez de vite vous sentir perdu parmi cette déferlante de possibilités, car il n’est pas toujours évident de juger quel type d’offre est le mieux adapté à sa situation, ni quels sont les critères importants sur un devis…

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Vous l’aurez compris, utiliser un comparateur d’énergie entraîne uniquement un changement de fournisseur, vous bénéficiez toujours de la même qualité de service, et la seule différence à attendre se situe au niveau du prix de votre facture d’électricité.

Il convient donc d’agir astucieusement si vous voulez changer de fournisseur d’énergie car à service égal, vos économies annuelles sur vos factures peuvent atteindre un montant non négligeable. C’est pour cette raison qu’il est indispensable de mettre toutes les chances de votre côté en confiant vos recherches à un service d’experts, via la simple utilisation d’un comparateur d’énergie.

Les clés de la réussite 2019

Dynamique Entrepreneuriale fait pour vous, en cette fin d’année 2019, une rétrospective des clés de la réussite. 5 entrepreneurs vous livrent leurs secrets.

Isabelle Weil, cofondatrice de La Cour Au Jardin « Immobilier de charme et Art de Vivre – Mandataires indépendants » et associée de hunted.com. Cofondatrice de « CCM Benchmark ».

Bien s’entourer et recruter

Recruter c’est vraiment le premier secret. Déléguer et toujours se demander si la personne possède le potentiel pour vous remplacer, ne pas avoir peur de prendre des candidats de grande valeur car ils seront source de créativité. Les erreurs de recrutement coûtent très cher en temps et en énergie.

Suivre son intuition

Je dis toujours que les plus grosses erreurs que j’ai faites, c’est quand je n’ai pas écouté mon intuition. Il faut essayer de ne pas trop rationaliser notamment en recrutement. Il faut s’écouter quand on ne sent pas quelque chose.

Aimer le risque et voir grand

Si vous avez une aversion totale à la prise de risque, vous ne pouvez pas réussir en tant qu’entrepreneur. Cela fait partie du jeu de savoir que l’on peut éventuellement perdre sa mise. Voir au-delà de ses propres limites et avoir un plan de développement ambitieux mais réaliste.

Savoir dire non

Il faut savoir trancher mais être factuel dans ses décisions et ne pas entrer dans l’émotion, expliquer la raison d’une prise de décision mais ne pas être dans le compromis. il faut avoir le courage d’imposer son opinion même si elle ne correspond pas à la tendance du moment.

La santé

Il est important d’avoir un bon équilibre. Être entrepreneur c’est une course de fond et le sport permet de décharger son trop plein d’énergie ou de stress. L’équilibre vie pro / vie perso est fondamental car, sans la santé (physique ou mentale), on ne peut plus rien faire. l

Guillaume de Kergariou, ceo et co-fondateur de NeedHelp

Avoir un modèle économique clair

Dès le lancement de la plateforme, nous avons opté pour un modèle économique transactionnel. Celui-ci nous a permis d’accumuler de la vraie data sur nos membres grâce à la connaissance accumulée à la suite des transactions et interventions réussies ou non, et ainsi d’avoir des données vérifiées et non pas seulement déclaratives sur nos prestataires. Nous utilisons aujourd’hui cette data qualitative dans tous nos algorithmes de « dispatch » des missions.

Être capable d’accélérer notre croissance

Il s’agit d’avoir une idée réelle de comment accéder à notre marché et à nos clients (canal de distribution). Nous avons créé des partenariats stratégiques avec des enseignes de la grande distribution (Castorama, Brico Dépôt, IKEA…) qui nous permettent de toucher nos clients au bon moment, quand ils ont des travaux de rénovation. Ces partenariats nous donnent un accès unique à notre marché et sont gagnants-gagnants.

Pouvoir itérer rapidement

Il faut itérer son produit en se basant sur l’analyse de la data. Nous avons une approche très scientifique qui permet de définir notre roadmap produit et d’itérer notre parcours client en se basant sur des hypothèses vérifiées et non pas seulement intuitives. L’expérience nous a montré qu’on faisait souvent de mauvais choix en développant des fonctionnalités uniquement basées sur « une bonne idée ». A bas les idées reçues, vive la data !

Recruter pour les bonnes raisons

On confond trop souvent croissance et augmentation de ses effectifs. Dans une start-up technologique, il faut rendre les process scalables. Recruter n’est pas une fin en soi. Nous recrutons pour mieux automatiser, pour aller chercher de nouveaux prescripteurs, développer de nouveaux outils. Un recrutement doit répondre à un besoin opérationnel fort. Il faut aussi passer du temps à « Onboarder » les nouvelles recrues, sinon l’augmentation des effectifs mène à une dispersion et une perte d’efficacité.

Créer des écosystèmes de partenaires

NeedHelp n’est pas une simple plateforme de mise en relation. Grâce à de nombreux partenaires nous augmentons la valeur fournie par notre marketplace à la fois pour les demandeurs et les offreurs de services. Nous avons par exemple des partenaires qui nous permettent d’accompagner les jobbers dont le souhait est de changer de statut (autoentrepreneur…) ou d’assurer leurs activités.  l

Charles Thou, co-Fondateur d’Agorize

Faire quelque chose que l’on aime.

Quand nous avons créé la société, nous nous sommes basés sur ce qui nous avait beaucoup plu à l’époque c’est-à-dire participer à des challenges, à des hackathons. C’est dans ces moments que nous avons compris que nous développions au maximum nos connaissances et compétences. Notre concept était issu de la jonction entre ce que nous apprenions en cours et la pratique de ce qui se passe dans les entreprises.

L’équipe et la très grande complémentarité que nous avons les trois cofondateurs.

C’est ce que nous essayons de répliquer sur notre plateforme. Il faut des compétences complémentaires qu’ils s’agissent de hard skills ou de personnalités car la bonne entente est indispensable.

Il faut un projet ambitieux.

Dès le départ, nous voulions organiser nos événements sans prendre en compte de zone géographique ou de type de participants. Notre objectif était d’attirer des personnes de toute la planète, ce qui a été le cas et très tôt finalement. Résultat, Agorize est déjà implantée partout dans le monde.

Faire confiance.

Nous ne sommes pas excellents partout et nous ne pouvons pas tout maîtriser. Responsabiliser les équipes que nous recrutons sur le succès en leur proposant des objectifs clairs et définis, les laisser libres ensuite sur les moyens à mettre en place sans les micro-manager fait partie de nos enjeux.

Work hard / play hard .

Les gens partagent en général plus que leur relation de travail. Pour animer l’esprit d’équipe nous sommes amenés à faire de nombreux événements et à lancer des challenges en interne. La performance est indissociable d’une bonne ambiance de travail, et nos équipes prennent plaisir à travailler aux côtés de personnes qu’elles apprécient et en qui elles ont confiance. l

Teddy Guilloteau, cofondateur de Motard City, premier coffret cadeau 100 % moto en France et en Europe

L’entourage que ce soit la famille ou les amis.

En ce qui me concerne, c’est surtout ma compagne qui m’a appuyé et me booste. Il faut se sentir entouré car la vie d’un entrepreneur est loin d’être évidente. Sentir que les personnes ont confiance dans notre projet, cela encourage à aller plus loin et dynamise.

La passion et l’envie.

Il ne faut pas entreprendre par obligation car cela peut vite devenir rébarbatif. Le fait de réaliser avec passion, cela encourage à travailler tôt le matin, tard le soir ou encore le week-end. Joindre l’utile à l’agréable, c’est l’atout-maître de la vie de l’entrepreneur.

La rigueur au cœur.

Il ne s’agit pas de travailler 24H sur 24. Car lorsqu’on crée sa société, il arrive de travailler dans sa salle à manger ou dans sa cave. Il peut vite être difficile de se lever le matin car on n’est pas astreint à des horaires mais on peut vite tomber dans de mauvaises habitudes. Il faut se fixer des amplitudes horaires de travail pour conserver un rythme performant.

La patience et la persévérance.

Le parcours d’un entrepreneur, ce sont les montagnes russes. Une semaine on peut avoir envie de tout arrêter à la suite d’une mauvaise nouvelle, la semaine suivante, on peut avoir une bonne nouvelle qui nous stimule à tout dépasser. Des personnes qui m’avaient opposé un refus reviennent aujourd’hui spontanément sans que j’aie à les solliciter car ils ont vu que la société s’était développée.

L’échange avec d’autres entrepreneurs.

Ils traversent les mêmes joies et les mêmes peines que vous. Ceux-ci vous apportent également des solutions car, au fond, les entrepreneurs sont confrontés aux les mêmes obstacles. Ils peuvent vous indiquer des solutions simples et efficaces sur des problèmes du quotidien qui peuvent paraître à un instant T, pour nous, insurmontables. 

Gaël Duval, président de JeChange

Les collaborateurs.

C’est la première clé de la réussite. Cela passe par la sélection des talents et par nos valeurs afin de constituer un groupe solide. Il n’y a pas de réussite sans capacité à créer un collectif.

L’ambition.

Nous avons une base line qui dit « work hard, play hard ». Elle correspond à notre envie de réaliser quelque chose qui soit plus grand que nous, qui soit capable de nous transcender. Il s’agit avant tout d’améliorer le quotidien des gens par la réduction des factures, mais son impact va bien au-delà des tâches quotidiennes puisque nous améliorons aussi le pouvoir d’achat des Français.

L’échange.

Il est très important de favoriser l’humain et d’encourager l’échange entre les collaborateurs et l’entreprise. L’entrepreneuriat nécessite de toujours valoriser le dialogue et la transparence afin que les relations entre les équipes soient fluides. Il faut donc communiquer pour mieux se comprendre.

Le vocabulaire.

Nous avons banni un certain nombre de mots dans l’entreprise comme l’expression « c’est compliqué ». Chez JeChange on considère que tout est possible et réalisable et l’on ne veut pas se freiner dans nos projets entrepreneuriaux. On veut être structuré dans une dimension qui soit basée sur notre capacité à innover et oser.

L’exigence.

Nous faisons en sorte que nos projets répondent à des exigences et ce, à tous les niveaux : que l’on parle de relations clients, de recrutements, d’ambiance, de qualité de travail… Pour garantir le succès de l’entreprise, il faut faire preuve de rigueur pour faire encore mieux et aller encore plus loin.