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Décorez votre entreprise intelligemment !

Les locaux constituent la première image que les clients gardent d’une entreprise et ceux-ci décideront rapidement si l’atmosphère qui s’en dégage leur plaît ou non. Afin de les attirer et de leur renvoyer une vision positive de votre société, il convient de soigner votre espace d’accueil en le décorant un minimum. Vous pouvez surtout le faire pour vous et vos collaborateurs car avoir des locaux agréables participent à l’envie de se rendre au travail, y rester et augmenter la productivité. 

Rendre l’entrée de vos bureaux accueillante

La décoration des locaux s’avère souvent négligée par bon nombre d’entrepreneurs jugent cette étape superficielle. Le lieu où vous recevez vos clients, prospects et salariés reflète pourtant la personnalité et les valeurs de votre société. Il demeure ainsi primordial de lui conférer une âme pour ne pas en renvoyer une image terne et impersonnelle. Une entrée dotée de canapés et fauteuils invite le visiteur à s’installer confortablement en attendant d’être pris en charge. 

L’espace d’accueil constitue l’endroit le plus stratégique. Si le client ouvre la porte sur une salle d’attente de cabinet médical pourvue de trois chaises pliantes, l’envie pourrait bien lui prendre de partir en courant ! Pour rendre votre salle d’accueil plus chaleureuse, il suffit de disposer quelques sofas confortables, voire quelques poufs pour les entreprises les plus décontractées, dans des coloris coordonnés plus ou moins flashy en fonction de la société. Une table basse présentant des magazines sur des thèmes proches de votre business constitue un élément complémentaire et indispensable pour donner au visiteur de quoi s’informer et s’occuper. Les canapés associés à une table basse, agencés avec un luminaire et une plante, reconstituent une ambiance salon sympathique et agréable. 

Les plantes donnent, quant à elles, une dimension rassurante et naturelle qui apaise. Des accessoires comme un porte-manteaux se révèlent également d’une grande utilité : ils débarrassent le visiteur de ses sacs et vêtements chauds et le mettent plus à l’aise. Évidemment, le logo de votre entreprise doit figurer à divers endroits sur les murs de vos locaux. En plus de décorer, il rappelle au client l’identité de votre entreprise.

Afficher son logo pour se mettre en valeur

Ce détail revêt une importance cruciale : il permet aux clients, aux prospects, aux visiteurs en général, de savoir où ils se trouvent. Une seconde d’inattention et ceux-ci peuvent vite oublier, pendant un court instant, le nom de l’entreprise. Si celui-ci n’est indiqué nulle part, ils pourraient, une fois sortis, ne plus s’en rappeler. Le logo ne doit pas nécessairement agresser le public avec une taille immense ou des couleurs criardes mais peut tout simplement être peint ou collé sur les murs ou sur des goodies comme des stylos ou des badges mis à disposition. 

Plusieurs sites internet proposent des services de conception et impression de stickers ou pochoirs muraux. Il s’avère également possible de faire construire un logo en bois. Il existe pour cela des entreprises spécialisées dans la création d’objets et notamment de logos d’entreprise en bois telles que Kollori.com. Un logo aide par ailleurs les salariés à s’identifier à une firme. Il convient donc de ne pas le rendre trop agressif et envahissant mais de le maintenir bien en vue. Un simple logo affiché sur un mur peut conférer une certaine pression. Pour l’éviter, quelques éléments de décoration annexes s’avèrent utiles afin d’enthousiasmer davantage vos collaborateurs.

Quelques éléments de détails pour personnaliser ses locaux

Les détails attirent l’œil et marquent l’esprit d’un visiteur plus que tout le reste ! Ils retranscrivent une certaine méticulosité, une attention portée aux personnes présentes et rendent le cadre de vie plus agréable. Des cadres contenant des illustrations amusantes ou modernes peuvent habiller vos murs ou vos étagères de rangement. Les grands murs blancs confèrent souvent un sentiment d’angoisse : n’ayez pas peur d’investir dans les couleurs ! Une pièce en noir et blanc au style design affiche une volonté de sobriété et de modernité peuvent convenir mais une société de développement photo aura tout intérêt à utiliser des couleurs flash et des autocollants muraux. L’impact des couleurs sur le cerveau et la prise de décision fait l’objet de nombreuses études scientifiques qui établissent des liens entre l’atmosphère ambiante d’une pièce et le sentiment éprouvé par ses occupants. Il serait ainsi dommage de négliger leur importance. 

De petits objets tels que des vases ou des pots à crayons originaux contribuent aussi à la personnalisation des lieux et donnent davantage l’impression aux salariés que leur entreprise pense à eux. Au niveau du sol, si celui-ci présente une apparence terne ou mal finie, un tapis de fausse pelouse peut se révéler une bonne astuce. Le décor naturel inspire un sentiment de sérénité, autant l’utiliser ! Ceci dit, chaque élément de décoration doit conserver une certaine cohérence avec les valeurs de votre entreprise, qui demeurent essentielles ! Il peut également s’avérer intéressant d’agencer ses locaux en fonction du design de son site internet et inversement afin de donner un certain effet de continuité.

Coordonnez votre décoration avec celle de votre site

À l’ère du numérique, de nombreuses entreprises privilégient la beauté et l’ergonomie de leur site web à celle de leurs bureaux. Les salariés se croisent et travaillent pourtant davantage dans l’espace physique de l’entreprise qu’au sein de sa dimension virtuelle. Pourquoi ne pas assortir les couleurs et le design de votre site web avec votre décoration d’intérieur

La cohérence entre vos idées et vos actes n’en sera que plus forte aux yeux de vos clients, qui feront immédiatement le lien entre l’interface visitée et la pièce dans laquelle ils viennent de pénétrer. Attribuer les mêmes couleurs aux sites virtuels et physiques montre que vous concrétisez vos propositions et crée une continuité dans l’esprit du visiteur. Il s’agit d’un détail important qui renforce l’identité de la société. L’image de marque induite par cette méthode conduit également à une meilleure mémorisation de l’entreprise auprès des visiteurs. À titre d’exemple, la stratégie de la marque Orange repose sur la présence récurrente de cette couleur, qui confère son identité à la firme.

Prendre de l’avance vous paraît impossible ?

Il semble parfois impossible d’effectuer toutes les tâches à faire et parfois on ne semble plus sortir la tête du guidon. Et pour cause les tâches en retard s’accumulent et vous êtes de plus en plus débordé. Résultats : votre charge de travail s’accumule et vous ne savez plus où donner de la tête. Comment sortir de cette situation et prendre de l’avance ? 

Revisiter à la baisse vos objectifs

Il s’agit parfois simplement de revoir à la baisse vos attentes, peut-être parce qu’on réalise que ces objectifs étaient trop ambitieux ou qu’on a rencontré des obstacles imprévus qui rendent la réalisation de ces objectifs plus difficile. Dans de telles situations, il peut être sage de réévaluer les objectifs et de les ajuster pour qu’ils soient plus réalisables, en tenant compte des contraintes actuelles et des ressources disponibles. Cela peut également aider à réduire la pression et le stress, ainsi qu’à créer des attentes plus réalistes et atteignables.

Trouver la force de travailler plus

Trouver la force de travailler plus peut être difficile, surtout si l’on est déjà épuisé ou démotivé. Il faut généralement réfléchir pour en cerner les contours  : identifiez les raisons pour lesquelles vous voulez travailler davantage. Qu’est-ce que vous espérez accomplir ? Comment cela peut-il vous aider à réaliser vos objectifs à long terme ?

Gardez cela à l’esprit lorsque vous vous sentez démotivé. Si vous ne le faites pas, vous devez peut-être établir un plan d’action ou une to do list dans laquelle vous écrirez les étapes à suivre et les tâches à réaliser pour atteindre vos objectifs. Cela peut vous aider à rester organisé et à savoir exactement ce que vous devez faire pour progresser. N’oubliez pas que travailler plus, ne signifie pas que vous ne devez plus prendre de pauses. Il est important de prendre des pauses régulières pour éviter la fatigue et le stress excessifs. Faites des pauses courtes toutes les heures ou deux pour vous détendre et vous ressourcer.

Faire appel à du soutien

Trouvez des personnes qui peuvent vous soutenir dans votre parcours. Cela peut être des collègues, des amis, ou des membres de votre famille à qui vous pouvez demander de l’aide ou à qui vous pouvez déléguer certaines tâches voire demander de produire plus. Même si personne n’aime demander de l’aide, faire appel à du soutien peut être une excellente option lorsque l’on se sent dépassé, stressé ou confronté à des défis importants, reste la meilleure solution. Vous vous sentirez peut-être redevable mais au moins vous pourrez sortir la tête du guidon, ne serait-ce que s’il vous décharge un peu de votre travail. Faire appel à du soutien peut être difficile, mais cela peut être une étape importante pour surmonter les défis et retrouver votre bien-être émotionnel et surtout un peu de temps.

Perdre du temps pour en gagner : automatiser

Il faut parfois savoir perdre du temps pour en gagner. Si vous passez quelques minutes à réfléchir vous avez sûrement des tâches que vous pouvez automatiser dans votre entreprise. Qu’il s’agisse des vôtres ou de celles des autres, cela implique que quelqu’un va gagner du temps. Vous aurez plus de temps par la suite et vous pourrez enfin déléguer certaines de vos tâches. Même si l’automatisation peut être chronophage, elle contribuera largement à vous faire gagner du temps dans un futur proche. De plus, vous gagnerez en bien-être car vous n’aurez plus à faire ces tâches redondantes. 

Prendre du temps pour réfléchir et savoir renoncer !

Prenez quelques minutes pour mettre à plat vos développements dans votre tête et réfléchissez à ce qui se passerait si vous renonciez à certains développements. Cela peut être nécessaire dans certaines situations, notamment lorsque les ressources sont limitées, lorsque les priorités ont changé ou lorsque les résultats ne sont pas conformes aux attentes.

Il vous faut donc évaluer la situation et la mettre à plat pour évaluer si le projet en question est viable ou s’il y a des signes qu’il est temps de renoncer. Parfois, une analyse honnête de la situation peut montrer que celui-ci n’est pas viable. Vous pouvez aussi identifier vos priorités et vous recentrer sur les priorités essentielles. Si les ressources sont limitées, identifiez les projets qui vont vous permettre d’atteindre les objectifs à long terme de l’entreprise. Concentrez-vous sur ces projets et mettez de côté les autres. Vous pouvez ainsi avoir à refuser certains contrats car vous n’avez tout simplement pas le temps de les honorer. 

Penser à sous-traiter

Rien ne vous empêche de faire appel à la sous-traitance pour augmenter votre capacité de production et parfois même réduire vos coûts ou accéder à une expertise spécialisée. Même si elle peut avoir un certain coût, la sous-traitance peut parfois vous permettre de dégager du temps pour aller trouver de l’argent ailleurs. Le temps de votre équipe et le vôtre est précieux alors autant ne pas le gâcher pour des tâches qui n’ont aucune valeur ajoutée. Ce n’est pas parce que vous pouvez faire quelque chose qu’il est forcément rentable de la faire par vous-même. Perdre 5 heures à exécuter une tâche alors que vous pourriez aisément faire des ventes en passant quelques coups de fils mais que vous n’avez jamais le temps de faire peut vite vous coûter beaucoup. 

Comment vérifier l’état de forme de vos collaborateurs

Si vous pouvez très bien effectuer des entretiens individuels pour discuter avec vos collaborateurs de leur état de santé général, de leur niveau de stress, de leur motivation et de leur satisfaction au travail, Il existe de nombreuses manières de vérifier l’état de forme de vos collaborateurs. Oui, mais comment faire ? 

Suivre les indicateurs du bien-être au travail 

Le taux d’absentéisme et le taux de roulement représentent deux premiers indicateurs. Un taux élevé (plus que celui de la moyenne dans votre profession) signifie généralement dans ces deux cas que vos employés ne sont pas satisfaits de leur travail ou de leur environnement de travail.  Si vous constatez une augmentation soudaine, il peut être urgent de traiter le mal et de vérifier ce qui fait que vos salariés vous quittent ou sont aux abonnés absents. Vous pouvez également regarder le niveau d’engagement qui peut se traduire par une productivité accrue. Si vous remarquez une baisse de la productivité ou de la qualité du travail de certains collaborateurs, cela peut être le signe qu’ils ne sont pas en bonne forme.

Faire des enquêtes de satisfaction au travail

Utiliser des questionnaires de santé et de bien-être peut vous donner une idée plus précise de la santé physique et mentale de vos collaborateurs. Il existe de nombreux questionnaires disponibles en ligne, comme le questionnaire de santé SF-12 ou le questionnaire de bien-être au travail. A défaut, vous pouvez très bien commencer par définir les objectifs de l’enquête en vous demandant : « Qu’espérez-vous apprendre ? ». En fonction des objectifs définis, il est temps de concevoir les questions pour l’enquête. Les questions doivent être claires, précises et pertinentes pour les employés. Les méthodes pour mener votre enquête de bien-être au travail peuvent se faire, par exemple, par le biais d’un questionnaire en ligne, un questionnaire papier ou une entrevue individuelle. Il s’agit également d’en assurer la confidentialité ! 

Observer vos collaborateurs ou leur parler informellement

Rien ne vous empêche de prendre un café avec vos salariés pour discuter informellement et prendre la température. Vous pouvez également très bien vous mettre au café en face de votre travail pour observer leur attitude avant d’entrer dans vos bureaux. Si vous avez établi une relation de confiance avec vos salariés, vous pouvez encourager une communication plus ouverte et honnête. Les employés peuvent se sentir plus à l’aise pour partager leurs opinions, leurs préoccupations ou leurs idées informellement, ce qui peut être précieux pour votre entreprise. Un environnement de travail plus détendu contribue à pouvoir discuter de manière informelle. Cependant, il est important de mener les conversations informelles avec prudence et respect. Il est important de respecter la vie privée des employés et de ne pas aborder de sujets inappropriés ou de ne pas favoriser certains employés par rapport à d’autres.

Lancer une grande réunion thématique sur le sujet

Si vous voulez savoir si vos salariés sont en forme et surtout s’ils apprécient votre entreprise, il est peut-être temps de lancer une réunion tout simplement sur la thématique du bien-être au travail. Vous pourrez ainsi mesurer les réactions et obtenir des pistes d’amélioration en connaissant exactement leurs attentes et les pistes d’amélioration pour vos salariés. Il s’agit parfois simplement de modifier certains éléments comme d’instaurer le travail hybride pour que le moral de vos salariés augmente rapidement. Une des questions peut-être simplement : que feriez-vous pour améliorer le bien-être au travail ? 

La difficulté de l’exercice : les limites de la vie privée

Les employeurs doivent se limiter dans les questions qu’ils peuvent poser à leurs employés afin de protéger la vie privée et les droits de ces derniers. Même si l’esprit de l’entreprise est à la bonne camaraderie, vous ne pouvez pas poser de questions qui pourraient s’avérer discriminatoires, sauf si ces informations sont nécessaires pour le travail. Les questions sur la vie privée, telles que la religion, l’orientation sexuelle, l’état de santé ou les opinions politiques, sont particulièrement sensibles et sont protégées par la loi en matière de vie privée et de non-discrimination. Le dirigeant doit donc être particulièrement prudent lorsqu’il pose des questions qui touchent à la vie privée de ses salariés. 

6 profils de clients que vous avez déjà rencontrés

Des clients, vous en voyez tous les jours…cela fait partie de votre travail ! Des clients, vous en avez des tas, des hommes comme des femmes, tous aussi différents les uns que les autres. Malgré leurs distinctions, vous avez constaté 6 profils de clients.

Le joyeux luron

C’est le plus agréable ! Toujours joyeux, il a l’esprit ouvert.

  • Il est radieux et jamais aucun nuage ne plane au-dessus de votre tête lorsqu’il est présent.
  • Il est toujours disposé à vous écouter, à échanger, à discuter, etc.
  • Il vous garantit des circonstances exceptionnelles en comparaison de la majorité de vos clients.

Chaque fois, vous êtes ravi de le revoir et de faire des affaires avec lui. Grâce à lui, votre travail devient un plaisir. Il peut cependant rapidement devenir envahissant. Il vous faut donc bien le cadrer pour éviter que sa présence ne vous accapare trop de temps. 

Le « saint-je » savant

C’est aujourd’hui ! L’heure approche et votre client sera bientôt là devant vous. Vous savez, ce client qui sait tout sur tout ? Mais siiiiiii ! Il connaît mieux votre entreprise que vous, quant à vos produits, vos concurrents, le marché, etc… Inutile de tenter de détourner la conversation, quel que soit le sujet, il en connaîtra toujours un rayon. Au lieu de vous énerver intérieurement, flattez-le, sollicitez son intelligence et son savoir…en prenant soin d’orienter vos questions. L’objectif, après tout, est qu’il connaisse la manière dont s’utilise un stylo…pour signer le contrat, bien évidemment !

Le grand timide

Il arrive toujours au moins 30 minutes à l’avance, se tient terré dans un coin sombre que la lumière n’atteint pas. Les yeux rivés sur le sol et ses mains ne cessant de tripoter la poignée de sa sacoche, votre client a demandé à votre secrétaire de ne pas vous annoncer afin de ne pas vous déranger avant l’heure fixée. Et vous, et bien vous l’aviez oublié ! Le pauvre petit client n’a pas osé frapper à votre porte. En même temps, il aurait mieux fait de ne pas venir tant il a peur d’acheter… 

Il n’ose pas faire confiance aux matériaux, aux personnes qui les tiennent entre leurs mains, aux réponses que vous donnez aux questions qu’il vous pose, etc. Il a besoin de réfléchir. Et fragile comme il paraît, il a besoin d’être rassuré. Faites-le parler en lui arrachant ses éventuelles objections, ses craintes, ses demandes d’explications non formulées, etc. Montrez-lui que vous êtes prêts à lui donner toutes les explications demandées « Y a-t-il des points sur lesquels vous souhaiteriez que je revienne ? Devant son hésitation à acheter, demandez-lui ce qui l’empêche de passer commande aujourd’hui.

Quand « Atchoum » vous tombe dans les bras

Ce ne sont pas des doutes que vous avez, mais des certitudes. Il existe deux possibilités à vos rendez-vous manqués avec ce client. Soit il est malade et vous demande chaque fois de reporter le rendez-vous. Soit il est allergique à vous, à vos manières, à votre timbre vocal ou à votre eau de toilette, etc. Pour le vacciner, administrez à ce client un traitement de fond grâce auquel il sera immunisé. Il faut qu’il s’habitue à vous car il est hors de question de le laisser filer de nouveau. Pour cela, n’hésitez pas à confirmer vos rendez-vous bien amont et à le relancer.

Le mécontent…par principe

Ce client n’est jamais mais alors jamais content ! Il y a toujours quelque chose qui ne lui convient pas. Soit il vous reproche d’être en retard de deux minutes, soit il vous fait part de son manque de temps, soit le prix de votre produit est trop élevé…et puis, soit il fait trop chaud, soit il fait trop froid, bref, un personnage insupportable avec qui rien ne va jamais. 

Ne prenez pas cet excès de mauvaise humeur pour vous. Inutile de vous faire des films en vous demandant ce que vous lui avez fait pour qu’il se montre aussi désagréable avec vous. En réalité, il se comporte de la sorte avec tout le monde. Tentez de lui faire prendre conscience de son attitude, avec politesse et compassion (c’est mieux !). Peut-être cela permettra-t-il de faire retomber la tension et avec un peu de bon sens, vous pourrez l’apprivoiser. Mais il faut également envisager la possibilité qu’il ait effectivement un grief contre vous mais qu’il ne parvienne pas à l’exprimer clairement. Dans ce cas, c’est à vous de crever l’abcès. Certes, vous entendrez peut-être quelque chose de désagréable à vos oreilles. Mais vous offrez surtout l’opportunité à votre client de s’exprimer. Vous l’écoutez… à vous de prendre en compte ses remarques pour repartir sur de bonnes bases humaines et professionnelles dans votre relation commerciale !

Il ne fait pas la moue, IL EST mou

Avec lui, c’est clair comme de l’eau de roche… Soit vous êtes ennuyeux à mourir et vous devez vous reprendre rapidement avant que votre client ne s’endorme (il commence déjà à bailler !). Si votre client lui-même ne se montre pas très dynamique de nature voire semble en perpétuelle léthargie, soyez énergique, impliquez-le, amenez-le à réagir. Mettez du cœur à l’ouvrage, mais surtout du rythme dans votre argumentation. Variez votre débit de parole, forcez les intonations, surprenez-le ! Attention d’interpréter avec justesse l’attitude de votre client. Qui vous dit qu’il n’est pas fatigué parce qu’il a fait la fête toute la soirée ? Ou bien que son nouveau-né ne fait pas encore ses nuits entièrement ?

Top des 10 entreprises préférées des Français

L’Ifop a réalisé un classement des entreprises préférées des Français. L’institut a interrogé plus de 3 011 personnes, sur une base de 77 grandes entreprises, en se basant sur un échantillon représentatif de la population hexagonale qui ont dû les noter selon 7 critères : la performance, l’innovation, la marque employeur, la contribution au quotidien des Français, la capacité à donner une bonne image de la France, la RSE.

Chaque entreprise obtient une note sur 20 dans le classement général, mais aussi dans les sous-classements thématiques. L’Ifop précise cependant que le classement « est transparent et participatif. Le poids respectif de chacune des dimensions dans le palmarès général est déterminé par les interviewés eux-mêmes au moyen d’une note de 0 à 20. Elle leur permet de pondérer les six dimensions en fonction du rôle qu’elles jouent dans leur appréciation de chaque entreprise. ». Dynamique a retenu le top des 10 premières entreprises.

Décathlon demeure l’entreprise préférée des Français et conserve sa 1ère place du classement pour la quatrième année consécutive.

Elle obtient une note de 12,27 (contre 12,18 en 2021) devant Peugeot à la deuxième place du podium. Les fondamentaux de cette bonne image sont la capacité à proposer des produits ou des services innovants et l’engouement qu’elle suscite d’y travailler, l’entreprise arrivant en tête sur ces deux critères, et sur trois autres dimensions (performance, responsabilité environnementale et utilité au quotidien). Ce qui apparait significatif c’est le fait que Décathlon arrive en première position aussi bien auprès des moins de 35 ans que de leurs aînés, des habitants d’Ile-de-France que de ceux de province, et des actifs que des inactifs.

Le classement 2023 des entreprises préférées des Français : le top 10

1 – Decathlon

Ce que les Français aiment : leurs produits et services innovants, le management de l’entreprise et ses efforts écoresponsables.
La note obtenue : 12,27/20

2 – Peugeot

Ce que les Français aiment : son rapport qualité/prix et la satisfaction des utilisateurs.
La note obtenue : 11,55/20

3 – Leclerc

Ce que les Français aiment : le bouclier anti-inflation, et ses prix attractifs sur de nombreux produits.
La note obtenue : 11,42/20

4 – Leroy Merlin

Ce que les Français aiment : le développement de ses outils digitaux permettant de réduire la consommation énergétique des foyers.
La note obtenue : 11,42/20

5 – Renault

Ce que les Français aiment : son impact sur l’économie française et sa capacité à donner une bonne image du pays.
La note obtenue : 11,33/20

6 – EDF

Ce que les Français aiment malgré la crise énergétique actuelle, EDF a réussi à maintenir sa 6ème place au classement grâce à son gel du prix.
La note obtenue : 11,26/20

7 – Yves Rocher

Ce que les Français aiment : son implication dans la protection de l’environnement.
La note obtenue : 11,20/20

8 – Michelin

Ce que les Français aiment : ses produits ou des services innovants.
La note obtenue : 11,16/20

9 – Citroën

Ce que les Français aiment : son implication en matière environnementale.
La note obtenue : 11,03/20

10 – Airbus

Ce que les Français aiment : malgré la crise et la baisse de commandes, Airbus continue d’attirer les talents.
La note obtenue : 10,88/20

Comment ouvrir un site e-commerce ?

La création d’un site e-commerce devient souvent incontournable pour nombre d’entreprises. Si elles savent souvent comment le réaliser et à qui s’adresser pour le mettre en place sur la toile, elles se doivent aussi d’appréhender les obligations qui leur permettront d’éviter les écueils juridiques et à comprendre les bonnes pratiques.

Le vaste marché des e-commerce

La France comptait plus de 200 000 sites marchands actifs en 2021 avec un volume de chiffre d’affaires s’élevant à 146.7 milliards d’euros selon la Fevad. En fait, en large hausse quand on sait qu’il ne pesait « que » 81,7 milliards en 2018. Un vaste marché qui propose de nombreuses opportunités d’affaires. Leurs particularités attractives demeurent qu’ils touchent une large clientèle, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, avec des prix compétitifs par rapport aux magasins physiques

Comment créer votre site e-commerce ?

Pour ouvrir un site e-commerce, vous n’avez pas forcément besoin de coder votre site. Vous pouvez très bien penser à passer par une plateforme de vente ou une marketplace où il est possible d’ouvrir un compte professionnel, comme eBay, Amazon Marketplace ou PriceMinister. Autre solution si vous ne souhaitez pas recruter de développeurs, celui de louer une solution e-commerce hébergée « clé en main », appelée également « SaaS » (« software as a service »), auprès d’un prestataire spécialisé.

Créer votre site e-commerce de A à Z, entièrement personnalisé, réalisé par un développeur ou une agence web ou de créer votre site avec un système de gestion de contenu (ou CMS) open source (dont le code source est à la disposition du public). Mais ce choix n’est pas le plus aisé. En effet, il demande de posséder des connaissances techniques et de plus de gérer l’hébergement de votre site.

Quel nom de domaine donner à votre site ?

Lors de la création d’un site e-commerce, il faut choisir un nom spécifique ou une marque au site. Cependant, avant toute démarche, il faut vérifier que le nom n’est pas déjà utilisé. Par ailleurs, l’achat d’un nom de domaine se fait par le biais d’un bureau d’enregistrement. Vous pouvez également consulter l’outil de recherche de disponibilité de nom de domaine proposé par l’Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic).

La DGCCRF met en garde sur le fait de bien vérifier que le contact est associé à votre nom de domaine, notamment si celui-ci a été acheté pour vous par un prestataire. « A défaut, le nom de domaine ne vous appartiendrait pas » … » Pire encore, le prestataire pourrait vous réclamer de l’argent pour vous revendre votre propre nom de domaine. »

Quelles mentions obligatoires, visibles sur votre site e-commerce ?

Les mentions légales à faire apparaître sur votre site sont :

  • la raison sociale, la forme juridique, l’adresse de l’établissement ou du siège social et le montant du capital social pour une société ou bien votre nom, votre prénom et votre domicile si vous êtes entrepreneur individuel ;
  • Une adresse mail et un numéro de téléphone ;
  • Le nom du responsable de la publication ;
  • Le numéro d’inscription au registre et du commerce et des sociétés (RCS) et le numéro de TVA intracommunautaire ;
  • Les coordonnées de l’hébergeur du site ;
  • Les conditions générales de vente (CGV) : prix en euros TTC, frais et délais de livraison, modalités de paiement, droit de rétractation… ;
  • Le numéro de déclaration simplifiée CNIL ;
  • Les éventuels éléments spécifiques selon votre statut (numéro d’inscription au répertoire des métiers pour une activité artisanale, règles professionnelles pour les professions réglementées…).

Le droit de rétractation ?

A noter : l’acheteur a un droit de rétractation de 14 jours. Bien sûr, il existe des limites en ce qui concerne les rétractations. En effet, les produits périssables, hygiéniques, cosmétiques ou les fichiers en téléchargement ne peuvent être réexpédiés au commerçant. Le remboursement du client doit se faire dans les 14 jours qui suivent la décision du consommateur de faire son retour. En cas de retard, une majoration de 10% peut être appliquée au commerçant. Le remboursement doit s’effectuer par le même moyen que celui utilisé par le client au moment de l’achat. Dans le cas contraire, le commerçant doit avoir l’accord de son client.

Faut-il déclarer le site internet à la CNIL ?

Les sites de e-commerce doivent généralement faire une déclaration auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), en raison du traitement de données personnelles liées au fichier clients. De même, si votre site dépose ou lit des « cookies » (des « traceurs » déposés et / ou lus lors de la consultation d’un site) sur l’ordinateur des internautes, vous devez informer les clients de la finalité des cookies, d’obtenir leur consentement et de leur fournir un moyen de les refuser. La durée de validité de ce consentement est de 13 mois maximum.

Attention !

La CNIL recommande que le consentement préalable ou le droit d’opposition soit recueilli par le biais d’une case à cocher. L’utilisation d’une case pré-cochée est à proscrire car contraire à la loi.

Qu’entend-t-on vraiment par (IA) ?

Une intelligence artificielle (IA) est un système informatique conçu pour effectuer des tâches qui normalement nécessitent l’intelligence humaine, telles que la reconnaissance des formes, la prise de décision, le raisonnement et l’apprentissage. Les systèmes d’IA peuvent utiliser des algorithmes, des modèles mathématiques et des données pour simuler l’intelligence humaine et améliorer leurs performances au fil du temps. Mais est-ce qu’elle est vraiment en train d’arriver ? 

L’intelligence artificielle à quoi cela sert ? 

Les applications de l’IA sont vastes, allant de la reconnaissance vocale et de la vision par ordinateur aux véhicules autonomes et à la surveillance de la cybersécurité.  L’IA peut s’utiliser dans de nombreuses applications pour résoudre des problèmes complexes et effectuer des tâches qui nécessitent normalement l’intelligence humaine. Voici quelques exemples :

  • Reconnaissance vocale et traitement du langage naturel. Les systèmes d’IA peuvent s’utiliser pour comprendre et interpréter la parole humaine, et pour répondre à des questions posées dans un langage naturel. Elle est notamment utilisée pour les chatbot par les entreprises. 
  • Vision par ordinateur. Les systèmes d’IA peuvent s’utiliser pour analyser des images et des vidéos, identifier des objets et des personnes, et détecter des anomalies.
  • Véhicules autonomes. L’IA peut s’utiliser pour créer des voitures, des drones et d’autres véhicules autonomes capables de naviguer dans des environnements complexes et d’interagir avec d’autres véhicules et des piétons.
  • Surveillance de la cybersécurité. Les systèmes d’IA peuvent s’utiliser pour détecter les attaques de pirates informatiques et les comportements suspects sur les réseaux informatiques. Elle peut également servir à découvrir les failles des sites internet
  • Robotique. Les systèmes d’IA peuvent s’utiliser pour contrôler des robots et des drones, et pour effectuer des tâches telles que la collecte d’informations, la construction et la maintenance.
  • Assistance médicale. L’IA peut s’utiliser pour aider les médecins à diagnostiquer les maladies, à concevoir des plans de traitement personnalisés et à suivre la progression des patients.

Une intelligence artificielle qui n’est pas encore « vraie »

Si on parle d’intelligence artificielle, à ce jour, il n’existe pas d’intelligence artificielle qui puisse égaler ou surpasser l’intelligence humaine dans tous les domaines. Cela dit, les systèmes d’IA modernes peuvent être très performants dans des tâches spécifiques telles que la reconnaissance vocale, la vision par ordinateur, la traduction automatique, l’analyse de données, etc. De plus, certaines approches de l’IA, telles que l’apprentissage profond, ont permis des avancées significatives dans la compréhension et la modélisation de la cognition humaine.

Il est important de noter que l’IA est un domaine en constante évolution. D’ailleurs, les avancées continuent à être réalisées à un rythme rapide. Il est donc possible que des progrès significatifs soient réalisés dans le futur pour développer des systèmes d’IA plus « intelligents » et capables de raisonnement plus complexe. Cependant, pour l’instant, il est plus juste de considérer l’IA comme une simulation de l’intelligence humaine plutôt qu’une « vraie » intelligence artificielle.

Des tâches encore limitées et spécifiques

L’IA est conçue pour effectuer des tâches spécifiques en utilisant des algorithmes et des modèles mathématiques, tandis que l’intelligence humaine est un ensemble de capacités cognitives et mentales qui permettent aux êtres humains de penser, de résoudre des problèmes, de raisonner, de communiquer, d’apprendre et d’interagir avec leur environnement. Bien que les systèmes d’IA puissent être très performants dans des tâches spécifiques, ils sont limités dans leur capacité à généraliser et à résoudre des problèmes qui nécessitent une compréhension plus large du contexte et de la signification. Les êtres humains, en revanche, sont capables de s’adapter à de nouveaux défis et de résoudre des problèmes complexes en utilisant leur compréhension du monde et de l’expérience.

Enfin, il convient de noter que l’IA ne possède ni conscience ni sentiments. Or, l’intelligence humaine est liée à la conscience de soi, aux émotions et à la capacité à éprouver des sensations subjectives telles que la douleur, le plaisir, la faim, etc.

Les défis de l’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle (IA) est un domaine en constante évolution qui présente de nombreux défis à relever. La transparence dans son fonctionnement en est le premier : les systèmes d’IA modernes sont souvent très complexes, et il peut être difficile de comprendre comment ils prennent leurs décisions. Il est donc important de développer des approches pour rendre les systèmes d’IA plus transparents et explicables, afin de pouvoir vérifier leur fonctionnement et leur justesse.

Surtout, elle pose et un problème d’éthique et de responsabilité : l’IA peut avoir des implications éthiques et sociales importantes, notamment en ce qui concerne la vie privée, la discrimination, la sécurité, etc. Il est donc important de développer des pratiques éthiques et de responsabilité pour assurer que les systèmes d’IA s’utilisent de manière responsable et bénéfique pour la société.

La sécurité des systèmes posent également des soucis, notamment elles sont particulièrement vulnérables par rapport aux attaques de pirates informatiques et aux manipulations malveillantes. Il est donc important de développer des approches pour renforcer la sécurité des systèmes d’IA et prévenir les attaques. L’apprentissage continu n’est également pas encore au rendez-vous. : les systèmes d’IA doivent être capables d’apprendre en continu et de s’adapter à des changements dans leur environnement. Il est donc important de développer des approches pour permettre aux systèmes d’IA d’apprendre en continu à partir de nouvelles données et de nouvelles expériences.

Les limites actuelles de l’intelligence artificielle

Même si elle n’a toujours pas conscience d’elle-même et, malgré les avancées rapides dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), il y a encore des tâches que l’IA ne peut pas effectuer ou des limites qu’elle ne peut pas dépasser. Aujourd’hui, si quelques œuvres émanant de l’IA sont apparues, elle ne peut que générer quelques idées et des compositions artistiques, et  ne peut pas produire de véritables œuvres d’art ou de littérature créative.

Sa compréhension contextuelle reste limitée et ne peut pas comprendre les nuances de la langue, les blagues, l’ironie ou le sarcasme. De la même manière que la créativité en général, elle ne peut le faire dans la résolution de problèmes. L’IA peut certes résoudre des problèmes complexes en utilisant des algorithmes et des modèles mathématiques. Cependant, elle a encore des difficultés à innover et à trouver des solutions originales à de nouveaux problèmes.

Attention à ne pas se faire aveugler par le rêve américain

Dans le monde actuel, tout va très vite. La télévision, la radio, les journaux… tous les médias ont un jour ou l’autre expliqué comment une petite start-up a grossit pour finalement devenir un succès mondial. Ces aventures ont de quoi faire rêver n’importe quel entrepreneur. Mais le rêve américain est-il réellement à la portée de tous ? Nombreux sont les candidats qui veulent aller trop vite, qui se laissent dépasser par leurs rêves, et qui malheureusement sont rapidement rappelés à la réalité. Quels sont les pièges à éviter pour que le rêve américain ne se transforme pas en cauchemar ?

Construire des bases solides

Le créateur d’une start-up a naturellement pour objectif le développement de sa société. Il ne faut pas brûler trop vite les étapes et, par exemple, se lancer à l’international sans préparation. Beaucoup de start-ups rêvent d’aller à l’étranger, de se frotter au marché américain, dès leur création pour certaines, avant même d’avoir gagné le moindre centime ou pire, d’avoir prouvé la viabilité du concept sur lequel elle s’appuie. Or, pour se frotter à un marché étranger, il faut des arguments solides alors autant être bien se rôder localement d’abord. 

Si certaines entreprises n’hésitent pas à lever des fonds rapidement, l’âge d’or des start-ups a pris fin il y a longtemps. Il est loin le temps où n’importe qui pouvait obtenir des fonds sur la base d’un vague projet présenté comme l’innovation du siècle. Pour convaincre les investisseurs, il vaut mieux pousser un peu plus avant le concept, le développer, voire si possible, développer un prototype au moins partiellement fonctionnel à défaut d’être complet. Il faut pouvoir présenter quelque-chose de lisible et concret aux investisseurs afin de décrocher leur feu vert.

La présence d’une filiale locale

Avant d’ouvrir ses bureaux à San Francisco ou à New-York, il est indispensable de connaître le marché « local ». La prospection coûte cher. Il faut financer le voyage, les nuits d’hôtel, les transports… S’y rendre représente un coût important pour la société, mais cela évite de s’embarquer à l’aveugle. A noter que certains organismes proposent d’ailleurs des aides à la prospection lorsque vous souhaiterez vous pencher la question sur votre internationalisation. On remarquera que l’un des fondateurs est généralement missionné pour gérer sur place.  

La création d’une filiale locale

Il est souvent conseiller de créer une filiale (qui soit suffisamment capitalisée) pour rassurer les clients qui préfèreront généralement traiter avec une société implantée localement plutôt qu’avec une équipe lointaine. Des succès locaux de l’équipe dépendront la réputation de la société, et probablement les futurs contrats. De plus, l’existence d’une filiale locale permettra aux clients de payer plus rapidement et facilement, ce qui permettra de constituer un fond pour son développement. Qu’il s’agisse d’exportation de produit(s) ou de délocalisation, la qualité de l’équipe sera décisive. Elle devra impérativement être solide, soudée, équilibrée et dynamique et avoir une bonne connaissance de l’économie locale afin de pouvoir s’adapter au marché. 

En conclusion

Les histoires de start-ups montées trop vite et qui partent à l’étranger sans être prêtes sont légions. Si l’on parle beaucoup des réussites, les échecs sont bien plus nombreux. Il est donc indispensable de bien se préparer et de ne pas se précipiter, sinon le rêve américain pourrait bien faire long feu.

Pourquoi aller à une conférence

Si vous êtes invité en tant que dirigeant, professionnel, expert ou encore chercheur à partager votre expérience, les conférences reste un excellente opportunité pour présenter vos recherches, développer votre notoriété, notamment auprès d’un public intéressé et réceptif à votre offre, attirer de nouveaux talents…Il existe de multiples raisons pour lesquelles il peut vous être utile d’assister à une conférence.

Apprendre de nouvelles choses : la base

Les conférences vous offrent généralement une occasion unique d’apprendre des choses nouvelles dans votre domaine d’intérêt. Les conférenciers peuvent partager des recherches, des idées novatrices, des tendances et des pratiques actuelles qui peuvent vous aider à élargir votre expertise.

Effectivement, rester à la page en tant qu’entrepreneur est loin d’être superflu. Cela permet également de maintenir la compétitivité de votre entreprise, de cerner les besoins et attentes de vos clients, d’innover et de saisir les opportunités de croissance. 

Connaître les nouvelles tendances pour votre innover

Vous pouvez découvrir ainsi les dernières technologies et pratiques de l’industrie dans laquelle vous opérez et vous pouvez même élargir vos compétences à des thématiques novatrices.  Si vous restez sur vos acquis, vous risquez de perdre une longueur d’avance sur vos concurrents et de perdre des parts de marché.  Il est donc important de comprendre les tendances notamment afin de pouvoir innover en utilisant les dernières technologies du marché par exemple ou les pratiques actuelles de l’industrie. Les conférences peuvent ainsi vous offrir un aperçu des innovations dans votre domaine d’expertise. 

Rencontrer des experts, des pairs ou des clients

Les conférences réunissent souvent des personnes partageant les mêmes centres d’intérêt, offrant ainsi la possibilité de rencontrer d’autres experts et professionnels. Vous pouvez échanger avec eux voire essayer d’établir des collaborations futures, des échanges d’idées et des opportunités professionnelles. Elles vous permettent également de rencontrer des professionnels et de développer ainsi votre réseau. Vous pouvez rencontrer de nouveaux clients, partenaires, mentors ou fournisseurs. Une bonne occasion donc d’allier une pierre deux coups. 

Quelques bonnes pratiques quand vous vous rendez à une conférence

Voici quelques bonnes pratiques à suivre lorsque vous assistez à une conférence :

  • Informez-vous sur le déroulé : consultez l’ordre du jour de la conférence pour identifier les sessions et les présentations qui vous intéressent. Prévoyez également votre emploi du temps et vos déplacements à l’avance pour éviter les retards ou les conflits d’horaire.
  • Habillez-vous de façon appropriée : vous devez l’être de manière professionnelle et confortable, en fonction du type de conférence à laquelle vous assistez. Si vous êtes incertain du code vestimentaire, il est préférable de se renseigner auprès des organisateurs de la conférence. Vous pouvez également essayer d’être original pour vous faire remarquer dans la limite du bon goût. 
  • Soyez ponctuel : arrivez à l’heure ou en avance pour ne pas manquer les présentations importantes. Cela vous donnera également l’occasion de vous installer confortablement et de rencontrer d’autres participants ou encore de ne rien rater et d’avoir des sujets de discussion avec les autres participants voire les intervenants.  
  • Soyez actif : n’hésitez pas à poser vos questions, en participant aux discussions et aux débats. Les conférences sont l’occasion de rencontrer des gens partageant les mêmes intérêts et de créer des liens professionnels mais également d’avoir enfin des réponses à vos questionnements. 
  • Prenez des notes : les présentations et les idées que vous avez trouvées performantes peuvent vous servir. Cela vous aidera à vous souvenir des points importants de la conférence et à les appliquer ultérieurement.
  • Réseautez : profitez de l’occasion pour rencontrer des professionnels de votre domaine et échanger des cartes de visite. Le réseautage est souvent l’une des principales raisons pour lesquelles les gens assistent à des conférences. N’oubliez donc pas de prendre vos cartes de visites et d’avoir préparé votre pitch. 

Vous savez tout, vous n’avez plus qu’à trouver des conférences qui vous intéressent. 

Les erreurs qui tuent le service client

Ce n’est pas au moment où un client qui nous quitte qu’il faut réfléchir à ce que l’on aurait dû faire. La concurrence est si rude qu’elle conduit à prêter attention à chaque client. L’adage « un de perdu dix de retrouvés » n’a aucun sens dans la relation des entreprises et de leurs clients. L’établissement et le développement de la relation clientèle commencent par la mise en place d’un service client irréprochable, d’où la nécessité de changer voire bannir certains comportements. Mais quels sont-ils ?

La gestion de la relation client est une composante essentielle au succès de l’entreprise. Elle consiste à établir la meilleure stratégie marketing possible en ciblant et attirant les clients potentiels clés mais il faut également savoir les fidéliser afin de garantir le développement de la société. Pour cela vous devez éviter certaines attitudes. 

Fuir et éviter les clients

Le service client sert à assister les clients dans le cas où ceux-ci auraient besoin d’aide ou de renseignements liés aux produits ou services fournis par l’entreprise. Il doit être à leur disposition et satisfaire leurs besoins. Il convient qu’il bannisse les réponses négatives et qu’il essaye de résoudre le problème en gardant le sourire. Si un agent présente des difficultés à satisfaire un client, il doit lui transmettre les coordonnées d’un responsable en mesure de répondre à sa demande.

Se montrer désagréable envers le client

Le rôle du service client consiste principalement à « servir les clients ». L’agent doté d’une telle responsabilité se doit d’éviter toute attitude désagréable. Il doit bannir toute expression ou attitude agressive qui pourrait énerver voire vexer les clients. Ce service doit permettre à l’entreprise d’assurer la fidélisation de ses clients. Ces derniers peuvent parfois se montrer désagréables. Évitez toutefois d’entrer dans leur jeu en les agressant à votre tour. La courtoisie est de rigueur. Le service client doit savoir traiter chaque cas avec sérénité et, surtout, professionnalisme.

Lancer des propos discriminatoires

Tous les clients méritent d’être considérés de la même manière. Quelle que soit la part apportée par un client quant au chiffre d’affaires de l’entreprise, il doit bénéficier d’un traitement identique et de services similaires à ceux dont disposent les autres clients. Le service client ne doit aucunement émettre certains préjugés concernant l’âge, la taille, la couleur de la peau, le niveau d’éducation du client, … La stratégie du service client adoptée se doit d’être neutre afin de faire profiter de mêmes services, tout autant agréables, à chacun des clients.

Des équipes débordées

Il faut, dans la mesure du possible, éviter de faire patienter ses clients trop longtemps ou trop régulièrement. Quoi de plus désagréable que d’attendre des dizaines de minutes à l’autre bout du fil en attendant la disponibilité d’un agent ? Le service client exige des agents dynamiques, réactifs, mais surtout, compétents qui peuvent apporter des réponses pertinentes, précises et explicites. Tomber fréquemment sur une boite vocale qui lui demande de rappeler ultérieurement décourage incontestablement le client. En cas de débordement, l’entreprise ne doit pas hésiter à recruter pour faire face aux demandes de ses clients.

Une piètre culture de l’écrit

Les services clients doivent effectuer leurs tâches de manière responsable et professionnelle. Particulièrement pour les réponses écrites, soignez vos écrits pour ne pas ternir l’image de l’entreprise. Dans ce cas, la relecture est de mise avant l’envoi de l’e-mail ou de la lettre de réponse.

Mais pour éviter de vous perdre dans les erreurs, nous joignons une infographie que vous inspirera pour avoir le meilleur comportement.