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Comment organiser un événement professionnel avec brio ?

Deux réalités se présentent aux entrepreneurs lors de l’organisation d’un événement. L’inexpérience des événements ou au contraire la routine qui fait que l’on applique de manière systématique à tout événement une organisation stéréotypée qui ne lui correspond pas. Retrouvez ici les clés pour organiser un événement professionnel avec brio.

Organiser un événement : un challenge

Organiser un événement représente un véritable challenge pour celui ou celle qui n’en a jamais réalisé. Au-delà de la simple définition d’une idée ou d’un concept, c’est toute une organisation qui doit être mise en place pour le réussir. A défaut, vous pourriez oublier de nombreux éléments essentiels ou mal vous y prendre et vous retrouver dans une situation compliquée. 

Définir avec précision le public ciblé ainsi que votre objectif.

Avant de fixer la date, la nature de l’événement ou encore le lieu, cernez d’abord ce que vous attendez de cet événement. D’abord occupez-vous du plus simple : la cible.

  • Qui souhaitez-vous inviter à cet évènement ?
  • S’agit-il d’un événement à destination de vos salariés ? des prospects ? des clients ? des fournisseurs ou futurs partenaires ?

Posez-vous ensuite les questions relatives à votre/vos objectif(s).

  • S’agit-il de stimuler vos salariés ou de les remercier ?
  • De faire découvrir votre nouvelle offre à vos clients ou prospects ?
  • De trouver de nouveaux partenaires ? D’accroître la notoriété de l’entreprise ?

Il convient d’affiner au maximum vos réponses. Il vous faudra dans les exemples ci-dessus déterminer le message que vous souhaitez passer, l’offre que vous souhaitez mettre en avant, le type de partenariat que vous recherchez ou encore le message que vous souhaitez transmettre.

Organiser un événement sans en cerner réellement la raison précise peut entraîner une perte de temps considérable. Par ailleurs, cela vous empêchera de mettre des bons indicateurs de suivi et vous épuiser sans valeur ajoutée ainsi que vos équipes.

Choisir le type d’évènements à bon escient

Une fois conscient de vos objectifs et de votre cible, il vous faudra appréhender le type d’évènements qui correspond à cette cible et à vos objectifs. Si on pense intuitivement à une formule conférence, il existe pourtant de nombreuses variantes possédant leurs avantages et leurs inconvénients. Notamment, petit déjeuner, déjeuner, diner, soirée Networking, conférence, colloque ou encore séminaire, congrès, voyage et salon, vous aurez l’embarras du choix…

La nature de celui-ci doit s’accorder avec les disponibilités de votre public cible mais surtout à vos objectifs. Si le public ciblé est occupé, privilégiez des formats courts. Dans le cas inverse, il vous faudra évaluer le coût de l’événement par rapport à ce qu’il vous rapporte (directement ou indirectement) afin de ne pas tomber dans l’excès.

Dans le cas d’une conférence, n’oubliez pas que c’est souvent le thème qui déterminera l’attractivité de celle-ci. Il ne doit pas être choisi au hasard et doit répondre concrètement à une question que se pose votre cible. Vous pouvez demander à plusieurs personnes de votre entourage si elle trouve le thème pertinent. Plusieurs avis valent mieux qu’un ! Vérifiez également que ce type d’évènements n’est pas déjà prévu afin de vous démarquer de vos concurrents ou éviter de le faire le même jour qu’un partenaire. Le choix des intervenants intervient dans un second temps.

Fixer une date qui correspond à votre cible

Une fois vos objectifs, la cible ainsi le type d’évènements fixés, vous devrez fixer une date. Ne confondez pas vitesse et précipitation, les professionnels remplissent souvent leur calendrier un mois à l’avance. Une bonne date est une date qui convienne à un maximum de personnes. Prenez  en compte les vacances scolaires, les éventuels jours fériés. Vérifiez si un autre événement important n’a pas lieu ce jour-là qui empêcherait votre cible de se déplacer. Certains jours sont propices aux événements professionnels tels que le mardi et le jeudi.

Chercher le lieu idéal

Le lieu ne doit pas être choisi à la légère. Il fait partie intégrante du succès de votre événement. Déplacez-vous afin de vérifier son adéquation par rapport à votre cible et vos besoins. La capacité doit être suffisante pour accueillir votre public et pas trop importante pour ne pas donner une impression de vide. Vérifiez la présence du matériel nécessaire au bon déroulement de votre évènement. Y a-t-il des rétroprojecteurs à disposition ? Des micros ? Un pupitre ? … Chaque matériel doit être listé et vous devrez vérifier si il est véritablement à disposition ou non. A défaut, vous pourriez avoir une mauvaise surprise le jour de l’évènement.

Bien accueillir les participants

Dans les événements de grande ampleur (au-delà de 100 personnes), il vous sera nécessaire de bien prendre en compte que la vérification des personnes autorisées à entrer dans votre événement prend du temps. Utilisez des formules de e-billet telles que proposées par weezevent ou eventbrite et à vous doter de badgeuses afin de gagner du temps. Si l’événement s’avère une réussite, il pourra attirer de nombreuses personnes qui n’auront peut-être pas la patience d’attendre des heures avant de pouvoir y accéder. Dans les évènements de faible ampleur,  offrez  des  badges qui peuvent s’avérer très pratiques pour donner une atmosphère conviviale.

Établir un rétro-planning de relance

Il s’agit ici de l’une des grandes difficultés des évènements extérieurs. N’oubliez pas que les gens n’attendent pas seulement votre évènement et qu’il peut leur arriver de le « zapper » quand bien même ils auraient bien reçu l’invitation pour des raisons diverses (urgences au travail, emploi du temps inaccessible, autres évènements en confirmation, congés…). Faites des rappels à J-1 mois, J-1 semaine et J-1 jour. Ou mieux, à confirmer téléphoniquement la présence de vos participants. Certains n’hésitent pas à leur procurer des moyens de transport !

Créer votre check-list, votre compagne de route

Ce sont les détails qui font la réussite d’un évènement. Créez une liste des éléments que vous ne devrez pas oublier le jour J : slides de présentation, bouteilles d’eau pour les intervenants, mot d’introduction et de remerciements, rétroprojecteur, tee-shirts servant à faire la promotion, accessoires pour divertir l’assistance … Elle vous permettra d’éviter d’oublier le matériel essentiel à la réussite de l’événement ou de vous demander sans cesse si vous n’avez rien oublié. Le temps passant extrêmement vite dans ce genre de cas…

Maintenant vous savez, à vous d’agir !

Top 10 des idées pour améliorer le bien-être au travail

Vous venez de créer votre entreprise ou d’installer votre entreprise dans un coworking. Le bien-être des salariés n’est pas votre priorité et les conseils qui suivent ne vous concernent pas. Et pourtant, où que vous soyez, il faut inscrire cette valeur  du bien-être dans vos principes pour les appliquer au moment opportun.

Au sein des bureaux, le bien-être n’est pas toujours au rendez-vous. Améliorer la qualité de vie de vos salariés les rendra, non seulement, plus heureux mais aussi plus productifs. Voyons ensemble dix idées simples à mettre en œuvre pour faire de votre structure une entreprise où il fait bon travailler.

Agencer une salle « interdite » au travail

Si, au sein de vos locaux, vous possédez une salle inexploitée, faites-en une salle de détente où le travail est banni. Un espace « zen » composé de fauteuils et d’une machine à café suffit amplement. Une seule règle d’or à respecter : interdiction de parler travail.

Pour conserver leur motivation et ne pas succomber au stress et à la pression, il est important que vos salariés (au même titre que vous) puissent se libérer l’esprit et penser à autre chose le temps d’une pause.

Inviter les plantes dans les locaux

La nature demeure un élément apaisant, source de relaxation. Des locaux grisonnants et trop peu décorés ne donneront pas envie à vos salariés d’y venir travailler. Pour agrémenter vos bureaux, quelques plantes restent les bienvenues. Attention toutefois à sélectionner celles qui ne nécessitent pas d’entretien particulier (surtout si vous n’avez pas la main verte !). Les orchidées refleurissent périodiquement…

Mettre en place une salle de jeux

Très souvent établies dans les espaces de coworking, les salles de jeux permettent aux salariés de se détendre et de se divertir durant une courte pause. En plus de se distraire, ils joueront ensemble, un bon moyen de renforcer la cohésion d’équipe. Des jeux vidéo aux jeux de cartes, en passant par ceux dits de société, ce sont autant d’activités qui favorisent le bien-être en entreprise.

Faire des ateliers régulièrement

Pour améliorer l’ambiance au sein de votre espace de travail et rassembler vos salariés, des ateliers restent l’occasion de détendre vos équipes. Et le choix est large en matière d’ateliers. Ceux de méditation, de cuisine ou encore d’œnologie s’avèrent souvent très appréciés des salariés. En organiser régulièrement, à raison d’une fois par mois, par exemple, selon votre budget, est à placer dans les bonnes idées à adopter.

Engager un masseur

Proposer des massages à vos salariés peut, à première vue, paraître un peu étrange. Pourtant, dans les entreprises où il fait bon travailler, il est de plus en plus fréquent qu’un masseur se rende dans leurs locaux pour le plus grand plaisir des salariés. Moins crispés, ces derniers pourront ainsi reprendre le travail en étant complètement relaxés et détendus. Compte tenu du coût, organiser ce type de séance une fois par mois voire par an, selon vos moyens, reste d’ores et déjà une bonne chose.

Installer une salle de sieste

Dans le bien-être, le sommeil compte pour beaucoup. Et il est fréquent qu’après une matinée difficile ou même une soirée de la veille festive, certains salariés ne se sentent pas productifs, faute d’avoir pu bénéficier du repos nécessaire. La salle de sieste peut alors combler tout ou partie de ce manque de sommeil. Si y passer une journée entière n’est pas à envisager, s’y reposer un quart d’heure à la manière d’une micro-sieste peut se révéler bénéfique.

Proposer des activités sportives

Bon pour la santé, le sport est connu pour être une activité procurant des endorphines. Il permet avant tout de se détendre en évacuant le surplus de stress. En entreprise, il est d’ailleurs tout à fait possible d’organiser des activités de ce type à l’aide d’une salle dédiée, en engageant un coach pour encourager vos salariés à aller courir ou encore en proposant des matchs de foot, par exemple. En plus de renforcer la cohésion et l’esprit d’équipe, ils auront tendance à rebooster le moral de vos troupes.

Organiser des évènements

« Après l’effort, le réconfort. » Quoi de mieux que proposer à ses salariés de prendre un verre après le travail pour se détendre après une dure journée de travail ? Afterworks, déjeuners, petits-déjeuners, séminaires… Autant de formats d’évènement possibles pour que vos équipes passent un moment agréable. À vous de choisir ceux les plus adaptés et leur fréquence, en fonction de votre budget.

Créer un potager au bureau

En plus d’être tendance et amusant, un petit potager amènera de la verdure dans vos bureaux, de quoi satisfaire les salariés ayant la main verte et leur faire profiter d’un moment d’évasion. Une activité commune de plus à partager entre les différents membres qui composent vos équipes !

Laisser les salariés amener leurs animaux

Récemment, il a été prouvé que la présence d’un animal de compagnie dans vos locaux contribue à l’amélioration du bien-être des salariés. Bien entendu, une telle décision se doit d’être encadrée. Si chacun amène son animal, la situation pourrait vite devenir ingérable. Programmer des jours où de tels salariés pourront ramener leur compagnon se place comme une bonne idée. Avant de vous lancer, assurez-vous également qu’aucun salarié n’est allergique aux chiens ou aux chats.

Comment choisir une franchise ?

Selon l’observatoire de la franchise, chaque année, environ 300.000 entreprises se créent, dont 200.000 créations pures, 40.000 reprises et 50.000 réactivations. Avec la franchise, 90 % des entreprises encore en activité après 5 ans ! Cependant, devenir franchisé représente un investissement financier et personnel et exige de prendre toutes les précautions liées à la création d’entreprise.

L’envie d’entreprendre n’a pas faibli en France en dépit de la crise sanitaire.

 28% des Français ambitionnent de créer leur entreprise, notamment les plus jeunes. Près de la moitié des moins de 35 ans (47%) souhaiteraient se mettre à leur compte. Une envie d’entreprendre également plus forte chez les femmes avec un tiers d’entre elles (33%) qui souhaitent créer leur propre entreprise (vs 22% pour les hommes). Le modèle de la franchise a toujours le vent en poupe chez les futurs créateurs d’entreprise. Ils sont en effet 43% à l’envisager

L’IMPACT ÉCONOMIQUE DES ENTREPRISES FRANCHISÉES

  • Les 79 134 magasins franchisés des 1 965 réseaux génèrent à eux seuls un chiffre d’affaires de 68,79 milliards d’euros, sans tenir compte de la tête de réseau. Ils emploient 447 711 salariés.
  • Ces franchisés créent une valeur ajoutée de près de 19,08 milliards d’euros, consacrée pour plus de la moitié à la masse salariale, soit 10,43 milliards d’euros.

Quel est le profil des franchisés ?

Le groupe Banque Populaire et la Fédération française de la franchise ont réalisé comme chaque année et es principaux constats sont que :

  • 66% des franchisés sont des hommes
  • Age moyen du franchisé : 47 ans et 36 ans à l’ouverture du premier point de vente
  • 57% des franchisés ont un BAC+2 et plus
  • 74% des franchisés : anciens salariés
  • Chaque franchisé emploie en moyenne 7,3 salariés (en équivalent temps plein)
  • 35% des réseaux ont des points de vente à l’étranger
  • 67% des franchisés s’impliquent dans leur vie locale (association, mécénat, sponsoring, etc.)

Pourquoi choisir de devenir franchisé ?

Devenir franchisé peut constituer une bonne première expérience de création d’entreprise car on bénéficie d’une formation et on limite les risques . Cela représente un excellent moyen de se lancer dans l’entrepreneuriat. Le franchiseur apporte au franchisé sa marque, soit de la notoriété, un appui marketing, une clientèle, un savoir-faire. Cet appui facilitele développement de la franchise. Beaucoup de franchisés, après avoir investi dans un premier point de vente, se lancent dans la création ou reprise de franchises de la même enseigne ou bien d’un tout autre secteur et deviennent ainsi « multi-franchisés ».

Comment choisir sa franchise ?

Le choix de l’enseigne se fait à travers plusieurs critères : la rentabilité, l’investissement initial à apporter, le secteur d’activité, la pérennité de l’enseigne, le potentiel de développement de la marque, la région dans laquelle l’enseigne souhaite se développer, la taille du réseau, le type d’accompagnement à chaque profil de franchisé potentiel correspond une enseigne.

Comment choisir le secteur dans lequel on va investir ?

Il faut savoir qu’un franchisé n’a pas toujours besoin d’être spécialiste du secteur du franchiseur pour se lancer dans la création d’un point de vente. Par exemple, l’enseigne de fleuristes Monceau Fleur insiste beaucoup dans sa communication sur le fait qu’il n’y a pas besoin de bien connaître le monde de l’horticulture pour devenir franchisé. Ils cherchent avant tout un entrepreneur, quelqu’un qui soit capable d’investir, de gérer sa franchise ou de manager son personnel.

Les franchiseurs recherchent avant tout des personnes qui savent porter un business. Bien sûr, les candidats à la franchise peuvent s’orienter vers un secteur d’activité qui leur plaît. Une autre clé d’entrée pour trouver le franchiseur qui correspond à ses envies se trouve dans les grandes thématiques d’enseignes : entreprendre au féminin, entreprendre dans le bio, entreprendre dans un jeune réseau. Par exemple, dans le domaine du bio, on trouve des enseignes de l’alimentation, du prêt-à-porter, de l’habitat, de la beauté ou encore des services.

L’autre critère de choix important est le droit d’entrée ?

La première question que le futur franchisé doit se poser est « combien je peux investir ? ». La somme que le candidat peut apporter est le premier critère filtrant pour le choix d’une enseigne. Certaines franchises peuvent être accessibles pour moins de 10 000 euros, tandis que d’autres, comme dans le secteur de la restauration, requièrent un droit d’entrée de 500 000 euros, voire même de plus de 750 000 euros ! Le taux de rentabilité est souvent lié à cet apport de départ du franchisé.

Comment définir la rentabilité d’une enseigne ?

Les réseaux dont le droit d’entrée est élevé ont généralement un retour sur investissement important mais parfois à plus long terme. Les franchises accessibles pour une somme d’investissement initiale moins élevée, sur des activités de services par exemple où il n’y a pas de stocks à gérer, offrent une rentabilité plus faible, mais bénéficient beaucoup plus rapidement au franchisé. Le taux de rentabilité d’une franchise est également relatif au secteur.

Dans le domaine des services, secteur qui connaît un développement considérable et qui n’est pas encore bien encadré, on ne peut pas encore bien définir le taux de retour sur investissement qu’il pourrait apporter au franchisé. Pour ce qui est de la restauration ou de l’hôtellerie, l’investissement de départ est colossal (locaux, stocks alimentaires, personnel) et prend parfois quelques années avant de devenir très rentables. La notion de rentabilité est également à mettre en rapport avec la pérennité de l’enseigne. Certaines marques jeunes sont très rentables donc séduisantes pour les candidats à la franchise mais il n’est pas avéré qu’elles soient pérennes.

Quels autres critères le candidat à la franchise doit-il analyser ?

Un des éléments à observer est le type d’accompagnement que propose le franchiseur. Certaines enseignes vendent un concept et laissent ensuite le franchisé se débrouiller seul, d’autres proposent un accompagnement complet et sur le long terme. Enfin, bien sûr, un des facteurs naturels du choix de l’Enseigne par le franchisé est la ville où le franchiseur souhaite s’implanter. Le choix se fait, dans ce cas, à travers un critère géographique plutôt que sectoriel.

Comment se porte le marché de la franchise en France ?

Un marché bien encadré ?

La particularité du marché français de la franchise est qu’il est très bien structuré et encadré juridiquement, depuis la loi Doubin. La loi n°89-1008 du 31 décembre 1989 relative au développement des entreprises commerciales et à l’amélioration de leur environnement économique, juridique et social stipule :

« Toute personne qui met à la disposition d’une autre personne un nom commercial, une marque ou une enseigne, en exigeant d’elle un engagement d’exclusivité ou de quasi-exclusivité pour l’exercice de son activité, est tenue préalablement à la signature de tout contrat conclu dans l’intérêt commun des deux parties, de fournir à l’autre partie un document donnant des informations sincères, qui lui permettent de s’engager en connaissance de cause. »

Cette loi aujourd’hui inscrite au Code de Commerce L330-3 impose aux entreprises qui développent un réseau (franchise, concession, commission affiliation et autres formes de partenariat) de fournir un « Document d’information Précontractuel » (DIP) contenant les informations suivantes concernant : l’entreprise (informations légales, bancaires, propriété de la marque…),la nature de ses activités, l’identité des dirigeants et leur parcours professionnel ainsi que toutes indications permettant d’apprécier l’expérience professionnelle acquise par l’exploitant ou par les dirigeants, l’état général et local du marché des produits ou services concernés et ses perspectives de développement, la liste de franchisés en activité ainsi que ceux ayant quitté le réseau depuis 12 mois.

Quel est le délai ?

Après la réception du DIP par le candidat à la franchise, la loi impose un délai de 20 jours à respecter avant la signature du contrat définitif.

Une fois le délai de 20 jours respecté, et avant la signature du contrat de franchise, le franchiseur peut demander au candidat le versement d’une somme d’argent, souvent dans le cadre d’un contrat de réservation de zone. Celui-ci devra préciser les prestations et les obligations réciproques des parties.

Cet encadrement du marché l’a rendu très attractif, car rassurant, et s’en est suivi un fort développement du monde de la franchise. En Europe, certains pays comme l’Italie ou la Belgique offrent de belles opportunités de développement pour le marché de la franchise qui y est peu développé. Beaucoup d’enseignes françaises, du fait de leur saturation sur le territoire national, vont tenter leur chance à l’étranger.

Sources : www.franchise-fff.com et www.observatoiredelafranchise.fr. 

Les risques en entreprise

Les catastrophes et les sinistres qui  impactent la France et donc les entreprises, depuis plusieurs années, ont permis aux entreprises entre autres de se rendre compte de la difficulté à gérer les problèmes climatiques et les cyber-incidents (cyber-attaques, pannes/pannes informatiques, violation des données, etc.), entre autres. 

Appréhender les risques en amont

Appréhender les risques en amont pour l’entreprise et anticiper des solutions pour affronter les difficultés devient un enjeu primordial. Les risques majeurs pour les entreprises concernent les catastrophes naturelles ou les sinistres accompagnés de conséquences imprévues et qui peuvent même interrompre son activité.

Le baromètre 2022 des risques  d’ Allianz Global Corporate 

Comme chaque année, Allianz Global Corporate publie son Baromètre des risques 2022 dans lequel sont classés selon chaque pays les risques pour les entreprises. En France, l’interruption d’activité, les cyber-incidents et les catastrophes naturelles sont référencés parmi les trois risques les plus importants. 

L’arrêt d’activité, n°1 du classement en France

Les entreprises ont été confrontées à la pandémie ainsi qu’à une situation économique due  parfois aux difficultés d’approvisionnement ayant pour principale conséquence l’interruption d’activité pour beaucoup de secteurs. En France, l’arrêt d’activité se situe en tête du classement pour 51% des sondés, et second dans le classement mondial.

Les cyber-incidents, des risques majeurs

Le rapport d’Allianz Global Corporate révèle également que les cyber-incidents (cyber-attaques, pannes/pannes informatiques, violation des données, etc.) constituent aussi une des premières causes de risque pour les entreprises selon 48% des experts. Et ce, compte tenu de l’augmentation des attaques, mais aussi de la dépendance au numérique et du télétravail, rendant ces secteurs d’activité de plus en plus fragiles.

Les catastrophes naturelles et les changements dus à de multiples facteurs 

 En troisième place en France, on retrouve les catastrophes naturelles (tempête, inondation, événement météorologique, etc.) avec 28% des avis. Suivies de près par les risques d’incendie et d’explosion, ainsi que les changements législatifs, politiques et économiques respectivement à la quatrième et cinquième place.

Une inquiétude qui ne cesse de grandir

Ce qui inquiète d’autant plus ces dernières années et en tête du baromètre reste donc l’interruption d’activité. Les risques évoqués sont pléthoriques et une prévention accrue reste nécessaire dans les entreprises pour éviter de mettre la clef sous la porte. Ainsi, les problèmes climatiques ont pris le devant de la scène avec la neige, les inondations, les sécheresses, les vents violents….

Les crues ont forcé certaines entreprises à interrompre leurs activités ou encore à ne pas pouvoir utiliser leurs locaux. À Paris, les entreprises de bateaux-mouches ont dû arrêter leur activité sur une longue période, générant une perte de 100 000 euros par jour. La neige, quant à elle, a forcé les entreprises à fonctionner au ralenti. Les salariés bloqués sur les routes et les transports à l’arrêt ont engendré des pertes massives pour de nombreuses entreprises et les salariés ont dû aussi résoudre les conséquences familiales (garde des enfants, écoles fermées…).

Les catastrophes naturelles 

Pour une entreprise, faire face à des risques liés aux catastrophes naturelles s’avère compliqué. Si les locaux sont touchés que ce soit par une inondation, un tremblement de terre ou encore une tempête, l’activité doit généralement être interrompue. Cela crée une perte de profit et engendre des difficultés à poursuivre le bon déroulement au sein de l’entreprise. Les assurances existent aussi pour les entreprises, mais permettent juste de réparer une partie des dégâts causés, il faut donc anticiper avec sa compagnie d’assurances et trouver des solutions avant la catastrophe et toujours prévoir un plan communément appelé le plan B. 

Des éléments fondamentaux restent à prendre en compte. 

Lors de nombreuses catastrophes, comme un incendie ou une inondation, les documents importants deviennent inutilisables. Pour prévenir ce type de situation, il s’agit de conserver des copies numériques de chaque document mais aussi dans un serveur approprié. Instaurer un cloud protégé pour votre entreprise permettra de sauvegarder vos documents et y avoir accès quel que soit le sinistre. Dans le cadre d’une prévention, se renseigner sur l’emplacement de l’entreprise et des risques environnementaux fait partie intégrante des mesures à mettre en place. Il est important de recenser tout le matériel de l’entreprise avec leur incidence en cas de situation délicate. Pour une entreprise qui fabriquent ou stockent des produits chimiques, un protocole doit être défini pour les sécuriser en cas d’incendies, d’inondations ou de tempêtes. La négligence est à écarter dans tous les cas et ce qui permet de le faire c’est la prévoyance.

Les risques en rapport avec Internet 

Au fil des années, Internet évolue et les entreprises se préoccupent de plus en plus des impacts causés par celui-ci. Appelés les « cyber-risques »,. Ils relatent de différents impacts sur l’entreprise comme la violation des données, la défaillance des réseaux, des attaques de hackers, etc. L’innovation engendre de plus grandes préoccupations au sein des entreprises. La cybercriminalité devient elle aussi très présente sur Internet. En 2017, un ransomware intitulé WannaCry volait les données des entreprises pour ensuite leur demander une rançon pour récupérer les informations extorquées. Celle-ci a réussi à piéger beaucoup d’entreprises créant d’importantes pertes de capital pour certaines. Les hackers et les failles deviennent courantes particulièrement dans les entreprises qui n’ont pas pris conscience que les accidents n’arrivent pas qu’aux autres.

Comment agir ?

Pour contrer ces attaques ou ces défaillances, il s’agit par exemple d’avoir au sein de son équipe, un DSI (un directeur du système informatique). Il s’occupera de trouver les failles et les possibles menaces pour votre entreprise. Ces problèmes nouvelle génération ne sont pas à prendre à la légère. L’obtention d’informations confidentielles par un employé ou un hacker risque d’engendrer la faillite de l’entreprise. Au niveau de la sécurité informatique, les entreprises nécessitent régulièrement des mises à jour d’OS et de logiciels pour éviter les infiltrations extérieures. Lors de l’apparition des ransomware le problème récurrent et constaté était que les entreprises avaient des ordinateurs peu protégés permettant aux hackers de se fournir toutes les informations possibles.

Les risques liés aux nouvelles technologies

L’une des plus grandes progressions au sein du baromètre concerne les risques liés aux technologies. Dans la liste des risques à long terme, ils se placent en seconde position. L’automatisation des machines est devenue un incontournable dans toutes les entreprises et fait gagner un temps considérable. Si elles connaissent des défaillances, les résultats pourraient se révéler catastrophiques sur le rendement et l’activité en général. 

L’intelligence artificielle, une réelle préoccupation

Les risques liés aux nouvelles technologies préoccupent les entreprises pour les transmissions d’informations de l’homme à la machine, l’intelligence de celles-ci et leur évolution sur le long terme. De grandes entreprises américaines ont évoqué le risque des intelligences artificielles concernant une possible destruction massive de l’humain et de son travail. Pour les entreprises, ces préoccupations deviennent majeures et de nombreux gouvernements et think tank penchent sur la mise en place d’une éthique précise pour éviter les débordements sur le long terme. Les difficultés pour les entreprises travaillant à l’aide de machines reposent sur la sécurité et l’évolution contrôlée de celles-ci. 

Personne n’est à l’abri

Au sein du baromètre d’Allianz, de nombreux risques sont mis en perspective et les entreprises se sentent d’autant plus concernées à la suite de toutes les évolutions tant climatiques que technologiques. Les entreprises doivent prendre le temps et les moyens de se protéger afin de protéger leur croissance. Personne n’est à l’abri et aujourd’hui tout le monde en a pris conscience.

Comment bien préparer une conférence ?

C’est le retour au présentiel dont on connaît aujourd’hui la valeur pour créer la cohésion des équipes ou pour entretenir les relations humaines que ce soit les clients, les partenaires qui sont si riches d’opportunités… Si vous désirez mettre sur pied une conférence qui aura d’excellentes retombées, prenez garde de ne pas cumuler les maladresses et les erreurs. Le succès de votre conférence établira votre crédibilité dans votre secteur et vous donnera l’image d’un leader d’opinion mais aussi d’une référence. N’hésitez donc pas à bien préparer une conférence en amont.

Trouver un conférencier

La qualité de votre conférence repose certes sur le contenu que vous voulez communiquer à un public, mais également sur la personne investie du rôle de conférencier. En effet, le conférencier peut être un véritable vecteur de sens et un atout majeur pour le caractère inoubliable de l’événement dont vous êtes l’instigateur.

Les propos du conférencier seront d’autant plus écoutés et appréciés si celui-ci a la faculté d’apporter à la fois de la nouveauté, de la connaissance du sens et du vécu.

Qui choisir comme conférencier ?

Obtenir de grands noms et professionnels établis sera également une grande « drawcard » aux participants, mais qui peut générer des frais importants.

L’avantage d’un conférencier inconnu des salariés/auditeurs est qu’ils ne seront au moins pas chargés d’a priori négatif. Les premières secondes s’avèrent dans ce cas cruciales pour se faire accepter du public ; il est donc nécessaire pour le conférencier de savoir s’adapter rapidement et de jouer un rôle de médiateur afin de connecter ce qui doit l’être.

Dans la mesure où le conférencier aura des chances de se retrouver face à des interlocuteurs experts du domaine, il doit apporter une forte valeur ajoutée et cultiver sa différence en faisant preuve d’originalité tout en interpellant son public pour le faire réagir et le conquérir. Si le conférencier est pris par le temps pour préparer, proposez-lui un rendez-vous téléphonique ou une visioconférence. Mais cette étape ne doit jamais être sous-estimée.

Quels délais prévoir pour trouver les conférenciers ?

Pour une conférence vraiment réussie, compter un mois à un mois et demi de préparation. Même si l’organisation est assez simple, il faut avoir le temps d’obtenir l’autorisation d’utiliser la salle, de faire circuler l’information auprès des auditeurs, de pouvoir trouver un conférencier de remplacement en cas de difficulté avec le conférencier prévu (dans ce cas pensez à demander à celui qui annule de vous trouver un remplaçant : il est de la partie, et  » vous doit bien ça « ).

Ne jamais s’y prendre au dernier moment

Il est impératif de ne pas s’y prendre au dernier moment. En effet, il faut savoir que les salles sont souvent réservées en avance (parfois avec un an d’avance). Pour cette raison, il est crucial d’effectuer vos recherches de préférence plusieurs mois avant la date voulue, voire même plus d’un an avant pour certains événements. La recherche d’une salle peut être effectuée de plusieurs manières :

  • vous adresser auprès des mairies des différentes communes qui vous intéressent
  • demander des informations à des associations
  • vous rendre sur des sites internet spécialisées dans la location de salle qui proposent un annuaire de salles sur toute la France (exemple : http://www.salle-de-seminaire.com),
  • tout simplement dans un annuaire généraliste comme www.pagesjaunes.fr. Par conséquent, si vous avez un « coup de cœur », n’hésitez pas et réservez immédiatement.

Sachez de combien vous disposez financièrement

Pour savoir vers quel type de salle choisir, vous devez préalablement définir votre budget, car l’organisation d’un événement représente un poste de dépense important. Toutefois, nous vous invitons à prendre note de quelques idées pour payer la location d’une salle moins chère. Et puis, maintenant, avec internet, il est possible de les visualiser en amont de façon virtuelle qui vous permet d’écarter les salles qui ne conviendraient pas à votre conférence.

De plus, les espaces coworking disposent parfois de salles de conférences. Il ne faut pas hésiter à faire appel à eux.

Un lieu à la campagne ?

Vous pouvez aussi vous éloigner des grandes villes, car les locations sont moins chères dès que vous vous en écartez. Il est parfois préférable d’ajouter quelques kilomètres au compteur pour trouver le charme de la campagne et faire baisser la facture, ce qui n’est guère négligeable. Si vous êtes débrouillard, vous pouvez dénicher une auberge ou un petit château dans un cadre rural à des prix comparables à ceux d’une salle classique située en ville. Néanmoins, si vous optez pour un lieu atypique, vous devrez prendre en charge le coût de l’affrètement par navettes. Cependant, ne négligez pas l’hypothèse que le temps de transport peut s’avérer un facteur de découragement ou de démotivation pour certains participants potentiels. Anticipez ce risque en choisissant un lieu bien desservi.

Quelques idées à moindre coût

Organiser un événement hors saison permet de diminuer les coûts. Vous pouvez également réserver une salle municipale car les mairies mettent souvent des salles à louer à la disposition de leurs administrés. Vous pouvez aller par exemple sur le lien suivant

Enfin, vous pouvez aussi faire appel à vos connaissances. Même si vous n’y pensez pas, la solution se situe parfois juste à côté de vous. Vous pouvez effectivement demander à un membre de votre famille ou à un ami qui dispose d’une pièce d’une grande surface comme une grange aménageable, un grand salon, une terrasse avec abri, etc. Un dédommagement pour la mobilisation du lieu sera toujours moins élevé que la plus accessible des salles. 

Vous pouvez également penser à organiser votre événement dans un restaurant. Cette démarche, peu coûteuse, dans la mesure où le restaurateur, fournissant la nourriture et le service, ne demandera généralement que de payer ses prestations, lesquelles comprennent implicitement la location de la salle ; cette solution ne s’adapte cependant pas à toutes les situations.

Choisir la salle suivant le type de conférence

S’il est indispensable de prévoir du temps pour procéder à votre recherche à l’avance, il faut également compter le temps consacré à visiter les salles. Suivant le type de conférence que vous organisez, la salle la plus adaptée sera différente. Par exemple, s’il s’agit du lancement d’un produit, privilégiez des endroits séduisants, comme des salles de spectacle. En revanche, si vous préférez rester dans un cadre interne afin de renforcer la motivation de vos employés, visez un cadre plus sérieux et intimiste. Et si vous attendez des personnes plus rigoureuses sur le dress code, optez pour une salle quelque peu feutrée. Quel que soit votre choix, celui-ci se révèle crucial dans la mesure où le prestige du cadre marquera d’emblée les esprits tout en mettant les participants dans d’harmonieuses conditions pour la suite des événements.

Mieux encore si vous en avez l’opportunité, accordez le choix du lieu avec le thème de la conférence. Par exemple, si ce dernier concerne la présentation d’un produit de nature technologique, dirigez-vous vers des instituts officiant dans le domaine en question. Bien sûr, ce n’est pas indispensable, mais la nature spécifique du lieu permettra à votre conférence de retenir l’attention. Outre ces considérations d’images, vous devez choisir le lieu de votre conférence en fonction des possibilités de réaliser les diverses activités prévues.

La logistique vous fait peur ? Pensez « logique »

Suivant vos projets, vous avez tout intérêt à ce que la salle de conférence dispose du maximum de matériel nécessaire. Même si cela relève du bon sens, prévoyez une salle qui puisse s’adapter à un cocktail à l’issue de la conférence si vous en organisez un ; dans le cas où vous comptez sur une prise de notes de la part des participants, n’oubliez pas que la salle doit disposer de fauteuils suffisamment espacés pour permettre de poser un bloc note devant soi(version classique), voire de sièges équipés de tablettes rétractables (version moderne).

Dans tous les cas, pensez à la capacité de la salle afin que les gens ne se retrouvent pas à partager un siège : comptez environ 1,5 m2 par personne assise. Si la salle ne dispose pas de tout le matériel nécessaire, vous devrez l’apporter vous-même, ce qui peut nécessiter de faire appel à d’autres prestataires et par suite, de considérer ces dépenses en fonction du budget.

En conclusion, de la patience, de la motivation et de bonnes idées vous seront indispensables pour mener à bien votre projet. À présent, nous vous souhaitons bon courage !

5 bonnes et fausses raisons de ne pas partir en vacances ?

Une entreprise ne s’arrête pas parce que vous partez en vacances. Elle continue sa lancée. Si vous ne pouvez pas empêcher vos collaborateurs de prendre des vacances, vous êtes devant le dilemme de partir ou de rester. 

Partir ou rester ?

 Or, la neige a appelé vos collaborateurs à venir sur les pistes, les locaux de l’entreprise vont se vider et il sera bientôt peut-être  difficile d’avoir un client au téléphone. Par souci d’harmonie mais surtout par envie, des entrepreneurs se mettent au diapason, en préparant leurs valises et en prenant la route de vacances bien méritées. Mais il existe des entrepreneurs emplis de bravoure qui argumentent leur décision de ne pas partir en vacances.

L’innovation ne peut attendre

Lors de la création d’un projet, chaque minute compte pour parvenir à sa réalisation. En plus, si vous êtes dans la phase critique caractéristique des 18 à 36 premiers mois d’une entreprise, ce n’est pas le moment de lever le pied. Au contraire, vous devez garder les pieds sur terre et accélérer la cadence. Sincèrement, vu le nombre de tâches à effectuer, il serait déraisonnable de prendre de longs congés. À la rigueur, vous pouvez envisager de prendre quelques week-ends de 3 jours au plus dans l’année, mais ne prétendez pas à davantage aux risques de vous stresser.

Ce sont les conditions idéales pour préparer la rentrée

Pendant que vos collaborateurs et salariés se jettent sur les pistes, les locaux de votre entreprise sont transformés en ville fantôme. Nul appel téléphonique pour briser le silence, les mails ne s’accumulent plus et plus de réunions. Ce sont donc des conditions optimales pour travailler sur des plans d’actions à plus ou moins long terme. Profitez de ces moments de calme et savourez cette tranquillité. En fait, n’est-ce pas une excellente forme de « vacances » pour un entrepreneur ? Le temps de réfléchir, le temps de prendre du recul, un vrai luxe  et de mettre tous les dossiers à jour !!!

Qu’y a-t-il de plus passionnant que de voir grandir votre entreprise ?

Vous pourrez même organiser une petite fête de rentrée pour vos collaborateurs afin de leur donner une nouvelle impulsion ! Pour quelles raisons voudriez-vous mettre votre travail entre parenthèses tandis que vous ne vivez que pour votre entreprise ? Même si vous prenez des vacances, vous savez que vous ne serez pas tranquille, soucieux de rater une affaire, un appel, etc. important. Vous ne vous imaginez pas une seconde en train de déguster un grog pour vous réchauffer. En plus, si vous partez dans un refuge où vous n’avez pas de réseau, comment vous assurer qu’un prospect qui tente de vous joindre vous rappellera ? Peut-être même qu’un de vos concurrents profitera de votre absence pour devenir leader sur le marché. Non, c’est décidé, vous restez !

Il suffit d’une fois pour céder à la tentation tous les ans

Prendre goût aux vacances n’est pas du tout une bonne chose. Il vous suffit de partir une seule fois (la mauvaise du coup !) pour que votre faiblesse humaine vous rattrape et que ces vacances deviennent une habitude (et pas la meilleure !). Pour ne prendre aucun risque, ne tentez pas le diable ! Les vacances sont comme la cigarette, l’alcool, la vitesse, l’iPhone, etc. elles deviennent une drogue… Alors ne commencez pas sinon vous recommencerez pour le bonheur de votre entourage ! ou alors partez en vacances, vos neurones reposés auront des idées innovantes, votre prospect lui aussi est parti en vacances et le monde ne cesse pas de tourner parce que l’on est absent… et peut être que vous rencontrerez votre prochain client sur les pistes !!!

Automatisation : une bonne pratique

L’automatisation possède plusieurs avantages : elle vous évite la lassitude des tâches répétitives, diminue souvent le risque d’erreur, peut vous faire gagner un temps considérable, réduire les coûts, améliorer le service client et peut largement augmenter votre réactivité. Oui mais comment vous y prendre ?

Une pratique courante

L’automatisation, même si on s’en rend peu compte, est présente un peu partout. Il suffit de voir le nombre de réponses automatiques que nous recevons pour constater à quel point les entreprises y font appel. Elle est largement visible lors des relances que ce soit pour les paiements, les renouvellements d’abonnements ou les rappels de rendez-vous. De manière générale, elle est omniprésente dans tout ce qui touche au web où les outils ont pullulé ces dernières années pour installer l’automatisation sans difficulté.

Quand la mettre en place ?

Sa mise en place intervient souvent lorsqu’une tâche est fortement répétitive. L’automatisation devient alors rentable par rapport au temps passé. La question essentielle à se poser pour choisir celles à automatiser ou non est : « quelles sont les tâches que j’effectue le plus souvent et qui me prennent le plus de temps ? ». Trois critères permettent généralement de déterminer si une tâche doit être automatisée : la répétition, la faible valeur ajoutée et l’ennui qu’elle procure. Pour être automatisées, elles ne doivent en général demander aucune (ou presque) intervention humaine pour que leur réalisation se fasse en bonne et due forme.

Des indices d’une tâche trop répétitive qui peuvent vous mettre la puce à l’oreille sont par exemple le fait que vous ayez tendance à vouloir faire des copier-coller avec des modifications mineures (comme des suppressions de TR) ou encore de devoir reporter une information d’un outil à un autre. Il s’agit ainsi parfois de déplacer des données d’une application à une autre. Si les applications le proposent de plus en plus, elles sont utiles pour limiter ce type d’opérations. Encore faut-il consacrer un peu de temps pour savoir comment faire. A noter que la quasi-totalité des tâches automatisables ne demandent pas un degré de réflexion élevé.

Les étapes pour automatiser une tâche ?

Ça y est ! Vous avez identifié les tâches que vous souhaitez automatiser mais vous ne savez pas comment vous y prendre. Il s’agit alors de déterminer ce que vous souhaitez vraiment faire en termes d’automatisation avant de vous renseigner au travers de quelques questions simples :

  • A quelle fréquence aura lieu cette automatisation ?
  • Qu’est-ce qui va déclencher une réponse automatique ?
  • Qui va pouvoir effectuer la réponse ?

Il s’agira ensuite de rechercher les outils qui vous permettent de gérer cette automatisation. Cela peut nécessiter un peu de temps mais vous en gagnerez largement par la suite. Une fois l’automatisation en place, votre mission n’est pas terminée puisqu’il vous faudra vérifier qu’il n’y a pas de bugs, ce qui donnera une image non professionnelle. C’est le cas, par exemple, quand vous recevez par exemple un email avec Madame à la place de Monsieur ou inversement.

Les limites de l’automatisation

Elles résident souvent dans la personnalisation ou plutôt la flexibilité que vous souhaitez avoir. Il ne s’agit pas de vous créer des problèmes supplémentaires par souci de gain de temps. Il faut donc parfois penser votre automatisation en semi-automatisation avec des étapes de validation manuelle ou encore déterminer des champs qui ne se rempliraient pas automatiquement. L’automatisation doit souvent s’effectuer étape par étape, tâche par tâche, plutôt que dans un ensemble car elle n’est souvent possible que partiellement. Il est assez rare de traiter un processus complet.

Quelques tâches simples à automatiser

1-La signature des emails

C’est peut-être la tâche la plus souvent automatisée en entreprise. Que ce soit pour la formule de politesse (Bien à vous, Cordialement) mais surtout pour votre nom, prénom, numéro de téléphone, logo, adresse. L’immense majorité des messageries propose une signature automatique donc prendre 10 minutes (si vous n’êtes pas doué en informatique) pour la mettre en place n’est pas une perte de temps étant donné le nombre d’emails que nous envoyons dans une journée. Sa présence dans votre email peut permettre à vos clients de ne pas avoir à chercher vos coordonnées et donc augmenter votre chiffre d’affaires.

2-La synchronisation entre appareils

Cela peut paraître rebutant à réaliser mais faire en sorte que vos appareils se synchronisent peut vous faire gagner un temps précieux. C’est notamment le cas pour les boites emails. Vous n’avez pas besoin de télécharger forcément l’email sur vos disques durs et vos données peuvent très bien être hébergées dans le cloud (sur le web). Si la synchronisation ne vous convient pas, rien ne vous empêche de faire une redirection vers une boite email unique. Ceci est également vrai pour les agendas qui peuvent se partager par exemple entre Outlook et votre téléphone.

3-Les messages d’absences/de réponse

Bon certes, cela n’arrive pas tout le temps et vous ne souhaitez peut-être pas montrer que vous êtes absent mais cela peut vous permettre de mieux profiter de vos vacances sans observer sans arrêt votre messagerie avec des clients qui se demandent pourquoi vous mettez du temps à répondre. Surtout cette automatisation, vous permet de déléguer à une autre personne et informer votre correspondant sans avoir à faire la moindre intervention.

4-Le tri automatique des emails

Nous passons énormément de temps à consulter nos emails, parfois pour ne pas rater d’opportunités. Pourtant en prenant quelques minutes, vous pouvez facilement créer des règles de tri qui vous permettent que vos emails se classent dans certains dossiers. Vous n’avez alors plus forcément à consulter tous vos emails mais certains dossiers spécifiques. Cela offre également la possibilité de gagner du temps en ne consultant certaines catégories qu’au moment opportun. De la même manière, les notifications sont parfois personnalisables suivant le dossier concerné, ce qui peut vous éviter d’être dérangé par ce qui n’est pas urgent

5-Créez des liens entre vos fichiers.

Cela ne prend parfois que quelques minutes, mais vous pouvez parfois automatiser certains fichiers pour que ceux-ci remplissent d’autres fichiers. C’est notamment vrai lorsque vous utilisez une même application. Plutôt que de vous amuser à faire des copier-coller, vous aurez ainsi une mise à jour automatique, ce qui peut fortement diminuer aussi le risque d’erreurs ou le manque d’actualisation. La modification du fichier mère modifie tous les autres fichiers.

6-La mise en place de favoris.

Il s’agit d’une évidence : on se rend toujours sur les mêmes sites, par exemple ceux de la banque, de votre comptabilité, des sites d’information ou encore ceux liés à des outils utiles à votre business. Plutôt que devoir sans arrêt retaper l’adresse dans la barre de recherche ou sur les moteurs de recherche, vous pouvez en un clic y accéder. Alors certes, il faut passer quelques minutes à comprendre comment faire mais le gain de temps est plus que considérable.

7-Les cookies pour les identifiants et mots de passe

Plutôt que de consacrer du temps à rechercher vos identifiants, il est peut-être temps de les mémoriser. Si vous avez peur de vous faire hacker, rien ne vous empêche de ne pas mémoriser le mot de passe (c’est d’ailleurs souvent le cas) et de simplement enregistrer ce premier en gardant à l’esprit que vous devrez à chaque fois mettre le bon mot de passe. 

Trouver la bonne entreprise à racheter

Découvrir la pépite et racheter celle qui sera demain votre entreprise ne constitue pas une tâche aussi facile qu’il n’y paraît. Zoom sur les éléments à vérifier avant de procéder à une acquisition.

Déterminez si la reprise correspond à votre projet

Selon un rapport du Sénat, “la démographie des chefs d’entreprise est alarmante : 25 % des dirigeants ont plus de 60 ans et 11 % ont plus de 66 ans. L’estimation du nombre d’entreprises à céder dans les 10 prochaines années varie de 250 000 (direction générale des entreprises) à 700 000 (CPME, CCI France, CMA-France, CRA-Cédants et repreneurs d’affaires, etc.).”

Avant de vous lancer dans la reprise, vous devez réfléchir à vos motivations et vos compétences. Est-ce que l’activité de l’entreprise vous plaît ? Êtes-vous prêt à vous investir totalement ? Vérifiez que vos motivations sont bonnes car le chemin vers la réussite est souvent long. N’oubliez pas qu’une bonne boîte à racheter est d’abord une société qui vous correspond. Est-ce que la taille de l’entreprise et le rôle que vous y jouerez vous conviennent ? Possédez-vous toutes les habilitations nécessaires à l’exercice de la profession concernée ? La cohérence entre l’homme et le projet reste fondamentale. Récoltez un maximum d’éléments sur l’entreprise : taille, fonctionnement, contraintes…

Sélectionnez un métier ou un secteur que vous connaissez

Entreprendre représente une activité nouvelle. Contrairement aux idées reçues, il ne s’agit pas simplement de faire un métier et de manager les équipes. Vous allez devoir comprendre l’ensemble des activités de l’entreprise et acquérir des compétences en comptabilité, vente, communication, achat… Alors autant opter pour un secteur d’activité dans lequel vous avez déjà travaillé. Ce choix est d’autant plus judicieux dans la cas d’un rachat d’une entreprise comportant peu de salariés.

Reprenez au bon moment

On l’oublie souvent mais une entreprise à racheter, tout comme celle que l’on souhaite créer, doit  l’être au bon moment. Inutile de vous lancer dans un secteur en pleine crise même si le prix de l’entreprise a baissé. N’oubliez pas que vous devrez dans ce cas y faire face et que vous aurez à tenir compte des difficultés. Votre trésorerie pourrait ne pas suffire à dépasser ce cap difficile.

Décortiquez le fonctionnement de l’entreprise

Avant de reprendre une entreprise, un diagnostic rigoureux reste de mise. Il existe de nombreuses méthodes telles que PESTEL, SWOT (…) qui vous permettent d’analyser votre entreprise et de déterminer sa place dans son environnement. Analysez l’adéquation du produit au marché, les éléments comptables, les contraintes réglementaires, les encours clients et fournisseurs, les contrats à venir avant de vous lancer dans le rachat. N’oubliez pas que l’ensemble des éléments reste à prendre en compte afin de déterminer le prix d’acquisition. La rentabilité demeure primordiale et constitue l’un des premiers facteurs permettant de fixer le prix mais ce n’est pas tout. Appuyez-vous sur les bilans et comptes de résultats des trois dernières années.

Allez sur le terrain

Si les éléments comptables sont importants, ce type d’analyse ne suffit pas. Allez à la rencontre de vos futures équipes afin de bien comprendre l’état d’esprit et les problématiques qu’ils rencontrent. Vous pourrez ainsi mieux percevoir les défis qui vous attendent à l’avenir et les difficultés que vous allez rencontrer, notamment en termes de management.

La reprise est avant tout une histoire d’Homme

De nombreuses acquisitions échouent à cause d’une mauvaise relation entre le cédant et le repreneur. Il s’agit d’une relation de séduction et vous pouvez vous retrouver en compétition avec d’autres acheteurs potentiels. Pour remporter la mise, l’humain constitue souvent l’élément clé. Intéressez-vous d’abord à l’entreprise, son activité et ses produits sans agresser votre vendeur en lui demandant des millions d’informations dès le début. Il n’aura peut-être pas le temps de vous les fournir et sera souvent occupé par son activité. Vous devrez savoir l’écouter et prendre en compte son attachement à l’entreprise. 

Analysez les raisons qui ont poussé le cédant à vendre

N’oubliez pas qu’une bonne transmission est une action qui se déroule en douceur et au cours de laquelle vous pourrez garder les clients de l’entreprise (au moins les bons). Vous devez établir une véritable relation de confiance avec votre vendeur afin qu’il vous aide dans cette période de transition. Elle dure en général plusieurs mois et vous ne devrez pas tomber dans l’excès de demande pour ne pas dissuader le cédant de vous vendre son entreprise. Laissez-vous accompagner afin de renforcer votre entente avec le vendeur. Cette étape reste souvent déterminante dans la réussite de la reprise et de nombreuses cessions échouent à la dernière minute. La période d’accompagnement ne doit cependant pas être trop longue et ne dépasse généralement pas six mois. Dans le cas contraire, cela pourrait entraîner des difficultés liées à la transition de management pour les équipes.

Quelques astuces pour optimiser l’utilisation de l’e-mail au quotidien

Au sein de toute entreprise, l’utilisation de l’e-mail occupe une importance capitale au quotidien. Il n’est pas toujours simple de savoir comment tirer le meilleur parti de ce mode de communication. Cependant, certaines méthodes permettent d’en améliorer l’usage. Quelles sont les astuces simples et concrètes à appliquer pour optimiser l’utilisation de l’e-mail dans son entreprise ?

Les chiffres de l’utilisation de l’e-mail

Statista donne une prévision sur le nombre d’e-mails envoyés et reçus par jour dans le monde et donne une prévision pour le développement ultérieur de 2021 à 2025. Environ 319,6 milliards d’e-mails étaient envoyés et reçus chaque jour en 2021. Ce chiffre devrait dépasser 376,4 milliards en 2025.

L’e-mail professionnel

L’e-mail professionnel ne cesse de gagner du terrain dans le monde de l’entreprise, aussi bien en France qu’à l’étranger. On considère aujourd’hui que ce sont 100 milliards d’e-mails qui sont envoyés chaque jour dans le monde pour des motifs professionnels, ce chiffre devant encore augmenter d’au moins 5 % durant les cinq ans à venir. Il s’agit de l’outil le plus fréquemment utilisé dans les sociétés privées. Selon des études récentes, l’e-mail représenterait 78 % des échanges avec la clientèle, mais également 76 % des échanges entre collaborateurs d’une même entreprise. Faciliter l’exploitation des e-mails devient donc une nécessité.

Conseil 1 : Évitez de TOUT traiter

Pensez à utiliser des titres explicites et des messages clairs et synthétiques. Évitez aussi de répondre à tous les e-mails : un message dont on est destinataire demande en général une réponse, alors qu’une copie a seulement valeur d’information. Enfin, demander à vos collaborateurs un résumé des e-mails longs et importants permet de mieux appréhender la nature des différents échanges.

Conseil 2 : Organisez-vous, classez et archivez

Prévoyez des plages horaires dans votre emploi du temps pour la consultation des e-mails, en appliquant une action à chacun : réponse, suppression, marquage pour un traitement ultérieur ou envoi d’une copie à un collaborateur. Il est important de prendre l’habitude de trier ses e-mails dans des dossiers de classement. Une organisation structurée permet de retrouver rapidement ses e-mails, sans perte de temps inutile. Gardez-vous également de vouloir les imprimer de manière systématique : il s’agit d’un réflexe inutile le plus souvent qui nuira à votre productivité… et à la planète ! Enfin, il est bon de procéder à un archivage régulier de ses e-mails. Cela permet de conserver à sa messagerie une taille acceptable favorisant les recherches et la sauvegarde vous protège de toute perte impromptue due à un vol ou un virus informatique par exemple.

Conseil 3 : Ne recourez pas systématiquement à l’usage de l’e-mail

Si l’e-mail occupe une part importante des échanges dans l’entreprise, il se doit d’être utilisé avec une certaine mesure. Dans le cadre de conversations urgentes ou simples, on délaissera l’e-mail au profit de moyens de communication plus directs, tel le téléphone ou la messagerie instantanée. Pour des sujets qui réclament débat et concertation, rien ne vaut la réunion physique des membres de votre équipe : pouvoir échanger de vive voix avec ses collaborateurs permet de clarifier des positions et de faire évoluer les idées. De la même manière, il n’est jamais bon de chercher à résoudre des conflits par e-mail… Lors de vos envois, quelques mesures simples sont à prendre en compte : toujours se relire, ne pas précipiter ses réponses, vérifier les pièces jointes et ne pas ajouter trop de destinataires à sa liste d’envoi.

Conseil 4 : Programmez des réponses automatiques

Pendant vos réunions par exemple, programmez un message automatique d’absence. Informez vos clients ou toute personne désirant vous joindre leur permet de vous rappeler au moment qu’ils choisiront.

10 règles d’or pour se rendre visible sur les réseaux sociaux

Pour promouvoir votre nouvelle activité, votre nouveau produit ou travailler votre image, les réseaux sociaux représentent une solution efficace. Mais comment les rendre encore plus performants en jouant sur votre visibilité ?

Les  médias sociaux sont en évolution permanente et vous vous demandez comment  réaliser une communication réussie qui vous apporte des opportunités. Voici 10 règles d’or à suivre.

Soyez présents 

Votre présence sur les réseaux sociaux reste indissociable d’une vie professionnelle réussie. À savoir, les plus courants sont Facebook, Twitter, LinkedIn, Tik Tok, Instagram et Google+. Il faut tout de même mener une réflexion sur le contenu afin qu’il soit pertinent et adapté.

Soignez l’image de votre marque

Il ne suffit pas uniquement de s’inscrire, tenez toujours à jour votre profil afin qu’il reflète bien votre identité et image de marque. Qui dit soigner sa marque, dit soigner son e-réputation et son identité numérique. Maîtriser son e-réputation est souvent difficile, mais continuer à véhiculer une bonne image de soi sur les réseaux sociaux garantit un bon écho sur le web.

Ciblez vos « amis »

Comme toute forme de publicité, les réseaux sociaux facilitent la création d’un carnet d’adresses à travers des recherches par mot-clé. Avec eux, trouver des groupes qui traitent de votre thématique ou des influenceurs devient plus facile. Les rassembler dans votre cercle constitue un avantage et reste une bonne tactique pour monter en puissance sur les réseaux sociaux.

Demandez des recommandations

Demander une recommandation venant d’un client satisfait est une excellente pratique . Les réseaux sociaux offrent cette possibilité-là et représentent une opportunité à saisir pour rester influent. De même, si vous êtes satisfait d’un service d’un de vos fournisseurs, faites-le savoir sur ses réseaux. Cela jouera également en votre faveur.

Soyez dynamique

Publiez une actualité et rajoutez-y quelques avis, participez à un hub, créez un évènement et invitez votre entourage à y participer… Non seulement, vous animerez votre page, mais vous créerez à coup sûr du « buzz » autour de vous, favorable pour augmenter votre visibilité.

Utilisez des mots-clés

Pour chacune de vos publications, choisissez un ou quelques mots-clés pertinents. Un hashtag permet, lors d’une recherche, de trouver rapidement des personnes parlant du même sujet. Son utilisation vous mettra en relation avec ces personnes.

Humanisez votre présence

Être actif sur les réseaux sociaux est une chose, mais savoir cibler les informations à diffuser en est une autre. La présence sur ces réseaux est chronophage et demande de la patience, à l’instar du réseau physique. Triez les informations à partager de manière à viser vos cibles, et surtout parlez de ce qu’elles attendent de vous.

Soyez réactif

Une question qui se pose, des commentaires qui pourraient vous concerner, un message à votre intention ou des avis défavorables sur votre entreprise ? Réagissez dans la minute qui suit la publication. Vous gagnerez ainsi en présence, mais aussi en visibilité.

Gérez votre temps

Consacrez chaque jour un petit créneau pour « écouter » les autres. Cela peut se manifester par l’envoi d’un message privé, ou par un petit commentaire sur leur page, ou un partage de leur publication. Montrez-leur que vous êtes attentif à leur égard.

Choisissez le bon moment

Prenez le temps d’analyser les heures où les visites sont nombreuses (par le nombre de publications par exemple) et choisissez ce moment-là pour poster vos articles et commentaires. Cela ne sert à rien de communiquer tard le soir ou tôt le matin ! Privilégiez plutôt le milieu de la matinée.

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