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Guillaume Tostivint : Curiocités

J’ai décidé de démissionner de ma boite pour créer ma propre entreprise la semaine où j’ai su que j’allais être père. Et de jumeaux en plus ! » 

Une réaction différente des autres

Face à un tel évènement, la plupart des gens auraient réagi en choisissant la voie de la plus grande sécurité. Guillaume Tostivint, lui, en a profité pour sortir de sa zone de confort et se lancer dans la voie de son épanouissement professionnel. Aujourd’hui Guillaume développe Curiocités, une entreprise spécialisée dans les visites guidées de Paris, ludiques et conviviales.

Un statut d’auto-entrepreneur comme marchepied

Cette société, Guillaume a commencé par la développer sous le régime d’auto-entrepreneur. Dès le départ son objectif était de transformer son auto-entreprise en structure traditionnelle. Le statut d’auto-entrepreneur représentait pour lui un marchepied vers la création classique, une occasion de tester son idée, mais aussi de se tester lui-même en tant qu’entrepreneur. « Créer son entreprise est comme courir un marathon de 42 km. Avec le statut d’auto-entrepreneur, je pouvais voir si, déjà, j’étais capable de courir 5 km ! ». Les résultats de ce test « grandeur nature » ont été concluants car de grands groupes ont fait appel à ses services. Les clients étaient au rendez-vous et, après avoir réalisé un sérieux business plan aidé de son expert comptable, Guillaume s’est lancé et a créé en décembre sa SASU. 

Une période d’alignement des planètes

Guillaume a une théorie : il croit en ce qu’il nomme « l’alignement des planètes », ce moment où toutes les conditions sont rassemblées pour pouvoir se lancer dans la création d’entreprise. Cette période d’alignement des planètes est intervenue pour Guillaume après qu’il ait pu travailler pendant sept ans au sein d’un grand groupe, puis une autre année dans une petite start-up. Ces deux expériences complémentaires lui ont apporté le bagage nécessaire pour créer et pour, enfin, vivre de ses passions pour l’histoire et la ville de Paris. Espérons que les planètes se soient bien alignées pour que ce « raconteur d’histoires » professionnel connaisse le succès entrepreneurial !

Tirez profit du contrat de professionnalisation

La relance du contrat de professionnalisation s’impose comme une priorité nationale dans le contexte économique actuel. Issu des mesures gouvernementales en faveur de l’emploi des jeunes, ce contrat permet aux TPE et PME de recruter en bénéficiant d’avantages. 

Recruter en minimisant ses risques

Comment tenir face à la concurrence ? Nombre de PME se trouve aujourd’hui face à un dilemme. Elles ont besoin de compétences pour renforcer leur développement commercial, valoriser leur image ou toute autre action pour se différencier dans leur secteur d’activité. à cela s’ajoute des besoins persistants non couverts, dans les secteurs du bâtiment, de la restauration-hôtellerie ou des services à la personne. Peuvent-elles se permettre de recruter ? Le contrat de professionnalisation apporte une réponse à ces entreprises, tout en minimisant la prise de risque pour le chef d’entreprise.

« Professionnalisation » signifie adaptation mutuelle

La spécificité du contrat de professionnalisation est d’alterner périodes de formation dans ou en dehors de l’entreprise, et périodes de travail en lien avec la qualification recherchée. C’est tout l’intérêt de ce contrat – sous forme de CDI ou de CDD –, qui s’adapte à chaque situation d’entreprise. L’entreprise recrute en fonction de ses besoins pour combler des faiblesses, et participe à la formation du salarié. Plus généralement, ce contrat est aussi un moyen d’accompagner l’évolution démographique des entreprises, en facilitant le passage de relais entre un senior partant à la retraite et un jeune. La transmission de compétences se fait plus progressivement, ainsi que le partage de ce qui constitue, de façon plus informelle, la culture de chaque entreprise.

Participer à la relance de l’emploi

Ce contrat concerne les jeunes de 16 à 25 ans révolus, afin de compléter leur formation initiale. Peuvent également être recrutés les demandeurs d’emploi de 26 ans et plus, inscrits auprès de Pôle Emploi. En associant plus étroitement formation et expérience professionnelle, on permet également aux jeunes de mieux s’orienter pour répondre aux besoins réels du marché du travail. On évite des désillusions à la sortie des études. En période de tensions du marché du travail, ils trouvent ainsi le moyen de se démarquer.

Une aide financière pour recruter

Une prime temporaire à l’embauche est toujours accessible aux entreprises. Si elles embauchent un jeune de moins de 26 ans en contrat de professionnalisation entre le 24 avril 2009 et le 30 juin 2010, elles peuvent bénéficier d’une aide exceptionnelle de 1 000 euros. Cette aide est portée à 2 000 euros pour l’embauche d’un jeune n’ayant pas le niveau bac. La demande doit être faite auprès de Pôle Emploi. L’embauche en contrat de professionnalisation ouvre également droit à la réduction générale de cotisations, dite « Réduction Fillon ». Cette réduction des cotisations patronales de Sécurité sociale s’applique aux rémunérations allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC. Des exonérations spécifiques sont également possibles pour l’embauche d’un demandeur d’emploi de 45 ans et plus.

Rencontrez les Développeurs de l’Alternance pour être informé et accompagné dans la mise en place d’un contrat de professionnalisation

La CGPME Ile-de-France et AGEFOS PME Ile-de-France mettent à la disposition des entreprise un réseau de Relanceurs/Développeurs de l’Alternance pour toute l’Ile-de-France. Avec cette action, les deux organisations visent la signature de 11 000 contrats en 2010 dans la région.

Des conseils de proximité, disponibles gratuitement

Les conseillers de la CGPME Ile-de-France s’appuient sur une bonne connaissance du tissu économique local, afin de mieux rapprocher demandeurs d’emplois et entreprises. Leur mission : entrer en contact avec les entreprises pour recenser les besoins de recrutement et les informer sur les dispositifs existants. Ils apportent ainsi plus de souplesse au marché de l’emploi, en étant de bons intermédiaires entre les différents acteurs du contrat de professionnalisation.

Mettre en place le contrat dans l’entreprise

AGEFOS PME Ile-de-France accompagne le dirigeant qui souhaite embaucher en contrat de professionnalisation : aide au montage à la prise en charge du dossier, mise en relation avec un centre de formation spécialisé, interface avec la Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle. Pour renforcer l’accompagnement et sécuriser les contrats de professionnalisation, AGEFOS PME propose également une nouvelle plate-forme internet de Formation à distance à destination des tuteurs et aussi des jeunes

Article par AGEFOS

L’effet du petit monde de Milgram : pour en finir avec un mythe

Devons-nous souscrire à l’hypothèse largement répandue du psycho-sociologue Milgram et à son « expérience du petit monde » tendant à prouver que chacun est relié à n’importe quel individu par une courte chaîne de relations sociales (« 6 degrés de séparation en moyenne »)  ? Certes, c’est une belle idée. Mais elle est fausse. Explications. 

Le mythe de Milgram

Le mythe est né de 3 expériences, dites « expériences du petit monde », menées en 1967 par le psychologue social américain Stanley Milgram, sur une population restreinte de 217 individus. La consigne était de faire parvenir un pli de la main à la main. Ceci, jusqu’à un destinataire final clairement identifié mais qui leur était inconnu. Chaque pli était donc remis à une connaissance, qui le transmettait elle-même à une autre, susceptible de connaître quelqu’un étant en relation avec le destinataire final. L’objectif était de faire parvenir ce paquet avec le moins d’intermédiaires possibles.

Les résultats de l’expérience

L’expérience a montré que les plis arrivés à destination ont utilisé en moyenne entre 5 et 6 intermédiaires (5,2). Cette moyenne cache en fait les extrêmes, car la majorité se situait dans une fourchette de 2 à 10 contacts. Et surtout, la plupart des plis -tests n’atteignirent jamais leur but. Seuls 29 % d’entre eux parvinrent au destinataire. Cette expérience qui a donné naissance au « phénomène du petit monde » est donc fausse. Nous ne sommes pas tous connectés aux autres par un maximum de 6 degrés de séparation. Pourquoi une telle prise de position alors que la plupart des professionnels du Networking font du « phénomène du petit monde » leur cheval de bataille ?

Les raisons de la déformation

Deux raisons à cela : La première est que cette théorie entraîne une sorte de complaisance et un sentiment de facilité. Elle crée des attentes et certains pensent vraiment qu’il leur suffit de 6 intermédiaires pour toucher n’importe qui sur terre ! La seconde raison – et c’est le point le plus important -, les résultats simplifiés de cette étude font l’impasse sur une autre conclusion. En effet, certaines personnes sont bien mieux connectées que d’autres.

Ce qui veut dire que le « Networking » est un savoir-faire qui peut se développer. En lisant, en se formant, en étant « coaché », le tissu de contacts peut s’améliorer. C’est ainsi que nous pouvons progressivement faire partie des 29 % de personnes les mieux reliées et nous serons effectivement dans ce cas, connectés au reste du monde par seulement 6 degrés.

La bonne nouvelle est qu’il est possible à chacun de réussir à bien gérer son réseau et de gagner en efficacité. Savoir que l’on peut renforcer ses connections avec n’importe qui, grâce au potentiel et la force du Networking permet de se placer dans la compétition.

France initiative – Le microcrédit, fer de lance de la relance ?

Bernard Brunhes, président de France Initiative réaffirme le rôle que peut jouer dans la sortie de crise le microcrédit professionnel.

Plus de 900 millions injectés dans les territoires

L’objectif du microcrédit, fait par France initiative, est de permettre aux créateurs qui veulent démarrer une activité de disposer des fonds propres nécessaires à ce démarrage (sous forme de prêts gratuits et sans exigence de garantie), de gagner la confiance des banques qui, une fois acquis le label France Initiative, n’hésitent pas à prêter des sommes beaucoup plus importantes.

133 millions d’euros de prêts d’honneur ont ainsi été accordés en 2009, dont 109 M euros sur les fonds de prêts des plateformes et 24 M euros au titre du nouveau dispositif Nacre, mis en place par l’état et la Caisse des Dépôts au bénéfice des chômeurs créateurs. L’ensemble de ces prêts à taux zéro ont enclenché 800 millions d’euros de prêts bancaires.

L’impact de France Initiative

En tout, l’action de France Initiative a ainsi permis l’injection dans les nouvelles entreprises de plus de 900 millions d’euros de crédit en 2009, qui ont bénéficié aux économies locales. C’est ainsi que se sont créés ou maintenus 33 450 emplois dans l’immédiat et que plusieurs dizaines de milliers ont pu être créés dans la foulée.

Bernard Brunhes, à l’occasion de la sortie des chiffres retraçant l’activité du réseau en 2009, réaffirme l’utilité du microcrédit pour la création d’entreprise. « Le microcrédit professionnel est plus utile que jamais. Premier acteur français dans ce domaine, le réseau France Initiative a, par ses prêts d’honneur et par l’accompagnement des nouveaux entrepreneurs, permis la création ou la reprise de 15 000 entreprises cette année ! Plus de 65 000 au cours des cinq dernières années, soit une croissance de 38 % en cinq ans et de 10 % cette année. ». Il ajoute : « En cette période de crise, notre mouvement joue un rôle important, parfois décisif, dans le maintien et le développement de l’activité économique. Nos 246 associations locales, sur l’ensemble du territoire, ont su répondre aux besoins de ceux qui veulent créer une entreprise, une vraie entreprise, en marche pour le développement. »

Un moteur de l’entrepreneuriat

Pour Bernard Brunhes, le microcrédit est un moteur pour l’entrepreneuriat. Il déclare en ce sens « le microcrédit se veut un moteur de l’entrepreneuriat, dans une période où il ne suffit pas de créer son propre emploi – objet par exemple de la législation sur les auto-entrepreneurs – mais où il faut aussi que la très petite entreprise développe les nouvelles activités dont a besoin l’économie nationale, dont ont besoin les économies locales : nos efforts vont de plus en plus vers les activités qui relèvent du développement durable, de l’environnement, de la croissance verte, des économies d’énergie, et aussi vers les entreprises qui mettent en œuvre des technologies innovantes, enfin vers les services aux particuliers trop absents dans les banlieues ou les zones rurales. »

Les plateformes France Initiative se sont mobilisées pour les entreprises d’outre-mer atteintes par les évènements de 2009. Elles se mobilisent aujourd’hui pour apporter leur aide aux petites entreprises touchées par la catastrophe qui vient de frapper la Vendée au mois de février dernier.

La confiance au cœur de l’intervention des organismes de microcrédit

46 000 entrepreneurs accompagnés par les plateformes France Initiative et de plus en plus parrainés par un chef d’entreprise expérimenté. « 14 200 bénévoles, peut-être même plus aujourd’hui, sont mobilisés. Leur apport dans les comités d’agrément ou dans le suivi des entrepreneurs expliquent le très bon taux de pérennité des entreprises soutenues qui est de 87 % en troisième année, très largement supérieur à la moyenne nationale », explique Bernard Brunhes.

« Ce qui fait la force de France initiative, c’est la confiance que lui valent son organisation et ses valeurs : confiance accordée par les bénévoles et notamment les parrains à leurs filleuls créateurs, confiance accordée par les banques à un mouvement qui prouve sans relâche sa fiabilité, confiance des collectivités territoriales et des autres financeurs qui savent l’usage que le réseau fait des fonds mis à disposition, fonds prêtés et reprêtés, plusieurs fois recyclés pour autant de nouveaux entrepreneurs. » poursuit-il.

Chacun connaît les chiffres qui montrent que les petites entreprises deviennent trop rarement des entreprises moyennes. Celles aidées par les organismes de microcrédit tels que France Initiative se développent en moyenne plus que les autres. Mais le réseau veut aller plus loin et mettre en place de nouveaux prêts d’honneur, toujours modestes, toujours dans les limites du microcrédit, pour faciliter le développement des très petites entreprises qui veulent aller plus loin : des prêts d’honneur de croissance.

C’est ainsi que ce mouvement, né il y a 25 ans, remplira mieux encore sa mission d’encouragement à la création d’entreprise et son rôle dans le développement local.

Contrat de professionnalisation : cultivez aujourd’hui vos talents de demain.

Conscient de l’enjeu du contrat de professionnalisation au niveau de l’emploi dans les PME, AGEFOS PME Ile-de-France s’implique activement auprès des entreprises de la région pour les accompagner et leur apporter son soutien. Information, outils opérationnels, présence renforcée, tous les leviers sont exploités pour permettre à chacun de bénéficier des avantages de ce contrat.

Le recrutement en contrat de professionnalisation permet de favoriser l’insertion ou la réinsertion des jeunes et des demandeurs d’emploi en leur permettant d’acquérir une qualification reconnue. Cela permet également de renforcer l’entreprise avec des collaborateurs qualifiés et d’agir pour l’emploi.

Le contrat en 5 principes

– Un collaborateur connaissant les besoins et maîtrisant les méthodes de votre entreprise.
– Une rémunération selon son niveau de formation et son âge, entre 55 et 100 % du SMIC.
– Des démarches administratives assurées par AGEFOS PME Ile de France.
– Aucune incidence sur le calcul de l’effectif de votre entreprise.
– Une possibilité de choisir un tuteur chargé d’accompagner le salarié pendant sa formation. Une aide pour le tutorat peut être accordée par AGEFOS PME Ile-de-France.

Le contrat en 5 aides

– Des aides incitatives à l’embauche versées par Pôle emploi pour :
* un jeune de moins de 26 ans : 1 000 euros ou 2 000 euros si le jeune n’a pas le niveau bac,
* un demandeur d’emploi de 26 ans et plus : 200 euros par mois dans la limite de 2 000 euros.
( Une exonération des cotisations patronales selon votre situation (TPE, public spécifique, réduction «Fillon»).
– Des coûts de financement pris en charge par AGEFOS PME Ile de France.
– Une dispense de versement de la prime de précarité (CDD).
– Des aides complémentaires de l’Agefiph pour l’embauche d’une personne handicapée

Comment améliorer sa retraite ?

Le problème des retraites vous concerne directement. Chef d’entreprise, votre pouvoir d’achat sera bien souvent diminué de moitié. Pour améliorer votre retraite, vous pouvez faire financer votre retraite par votre entreprise et aussi par votre capacité d’épargne à titre personnel.

Quelques conseils avant tout

Aujourd’hui, les solutions pour améliorer sa retraite sont nombreuses. Elles consistent à obtenir des revenus complémentaires (à partir d’un capital ou d’une rente) disponibles à l’âge de la retraite.

  • Pensez-y le plus tôt possible pour que l’acte de dépense soit le moins difficile possible.
  • Pensez à diversifier les solutions pour limiter les risques que vous seriez éventuellement amenés à prendre dans vos choix.
  • N’oubliez pas les conditions de sortie « de la solution choisie, les moins pénalisantes et contraignantes, afin de disposer de vos revenus complémentaires au moment de votre retraite ».

Il s’agit, pour une somme épargnée au départ, d’obtenir les capitaux ou revenus maximum à l’arrivée, mais en toute sécurité.

Les différentes solutions

Il peut s’agir :

  • De revenus fonciers ou d’une plus-value sur la vente, grâce à un investissement dans l’immobilier (ancien ou neuf défiscalisé)
  • D’un capital ou d’une rente obtenus par le versement mensuel dans le cadre d’un contrat d’assurance vie
  • D’un capital ou d’une rente sur des produits bancaires (Loi Madelin, PEE+PERCO) ou des produits boursiers sécurisés grâce aux stops loss (PEA).

Les solutions dépendent de votre situation patrimoniale, de vos besoins et de vos motivations. Votre taux d’épargne (qui est de 14,9 % en France) doit s’adapter à vos besoins et à vos contraintes. Vous pouvez estimer le montant de votre retraite (uniquement pour les salariés, commerçant et artisans) en allant sur le site internet www.marel.fr.

Une aberration de décalage

A 55 ans au plus tard, regrouper les justificatifs validant ses cotisations de retraite (salaires, relevés annuels des caisses de retraite) et pointer année par année si des périodes n’ont pas été oubliées (trimestres cotisés et/ou points), surtout si vous avez changé de société, de lieu ou de régime.

  • A partir de 55 ans, demander à ses régimes de retraite de base et complémentaire une reconstitution de carrière.
  • Croiser les documents reçus par les caisses avec tous vos éléments
  • S’il y a des manques ou des erreurs, envoyer à vos caisses les justificatifs des périodes erronées
  • Un an avant le départ en retraite, envoyer à vos caisses de base et complémentaires une demande de liquidation

La retraite est une partie de votre patrimoine. Pour une retraite de 2 500 euros par mois vous allez toucher sur 25 ans une somme de 750 000 euros.

Pour les carrières mouvementées ou les gens qui terminent leur carrière en tant que chef d’entreprises, travailleur indépendant (TNS), faire un Bilan Retraite permet de pouvoir optimiser le montant de la rente et surtout d’éviter les oublis des nombreuses caisses de retraites.

Aritcle par Aymeric BINET – Financière Guizot

Management au féminin : Qu’ont-elles de plus que les hommes ?

Les femmes sont généralement des bons managers car elles sont dotées d’une fibre humaine, tout en restant rigoureuses et volontaires. En effet une femme manager saura bien souvent jouer de son empathie sans en faire trop, afin de garder la distance et la clairvoyance nécessaires. Faire la distinction entre les qualités qui relèvent de l’acquis, de l’apprentissage et celles relevant de l’inné, de la génétique est un exercice difficile ! En effet, beaucoup de qualités s’acquièrent puisqu’au départ nous ne sommes pas formatées. Ce sont les conditions dans lesquelles nous allons évoluer qui forgent notre caractère de manager aux multiples ressources.

Les atouts des femmes managers

L’arme première : la polyvalence

La polyvalence est un élément clé du management. La femme qui endosse a minima trois rôles, menant de front une vie de mère, de femme et une vie professionnelle, excelle dans le mode « multitâches ». En effet, à la maison, elle répond au téléphone, signe les cahiers des enfants, fait le chèque de la cantine, écoute attentivement la poésie du petit dernier, surveille la cuisson du rôti… et cache la télécommande de la Wii pour appliquer les punitions ! Au bureau, elle peut donc se retrouver à faire de même. Lire ses mails, animer une réunion, appeler un client et commenter les reporting.

Le sens de l’organisation

Cette qualité est requise chez la femme manager qui doit se trouver à plusieurs endroits à la fois en même temps : on lui attribue une forte rigueur dans la gestion des agendas et des listes de « to do », une aisance avec les chiffres, les budgets, les outils de gestion et de communication. Pour ce faire, le PDA est l’un de ses meilleurs alliés !

L’empathie

Ainsi, la manager évite de caler des réunions tôt le matin ou tard le soir et choisit davantage l’heure du déjeuner. Elle propose des aménagements de temps de travail ou optimise le télétravail en assurant les équipements nécessaires. La femme manager est ainsi plus sensible aux conditions de vie personnelles. Elle prête une grande attention à la bonne couverture d’une mutuelle et d’un régime de prévoyance. Elle favorise l’accès privilégié aux services à la personne ou à tout ce qui peut contribuer aux bonnes pratiques de la charte de la parentalité.

L’art de fédérer

La femme manager est fédératrice, toujours la première à penser à l’organisation d’une réunion de concertation, d’un arbre de Noël, ou dans un autre registre à faire circuler une enveloppe pour les pots d’anniversaire, les mariages ou les naissances. Elle a le goût du partage et n’hésite pas à associer conjoints et enfants à la vie de l’entreprise.

Être courageuse

Force est de constater que la femme prend des décisions, les assume et les applique. Au bureau, il faut savoir faire face aux situations humaines difficiles, à l’exigence auprès de ses premières lignes managériales pour relayer les décisions de la direction et ne pas hésiter le cas échéant à recadrer certains salariés. La franchise et la transparence qui s’apparentent au courage sont également des qualités plus souvent attribuées aux manageuses. Ces qualités génèrent la confiance des collaborateurs et des partenaires qui ont ainsi moins de risques d’être déçus, surpris ou victimes de coups bas.

La recherche de l’adhésion

La femme s’applique davantage à faire adhérer pour motiver les troupes plutôt que d’imposer ou de convaincre. Cette force facilite la cohésion dans les équipes et caractérise bien souvent les femmes managers.

Le pouvoir de séduction

Soigner son image, sourire, regarder les gens en face, et adopter une attitude ouverte sont autant d’arguments dont la femme manager sait user.

Management au féminin : Les points qui constituent bien souvent des axes de progrès pour les femmes managers

L’importance du réseau

Selon la théorie de la cour d’école, la cloche sonne, les filles remontent, ouvrent leur trousse et révisent une dernière fois leur leçon ; les garçons continuent leur discussion dans la cour, jouent au ballon et attendent le 2e coup de cloche et les remontrances du directeur. Pendant ce temps, ils ont entretenu leur réseau de premier niveau et ce temps non mesurable génèrera par la suite dans les grandes entreprises ce que l’on appelle le « réseau » ou « relations couloir » de la machine à café.

Le manque d’esprit « politique »

Vous l’aurez bien compris, les femmes sont en général moins politiques que les hommes. Elles ont une attitude plus directe, transparente, franche peut parfois heurter dans un contexte managérial. La femme en effet ne calcule pas son coup comme au billard mais va droit au but. Cela peut parfois la desservir.

Le manque de confiance en soi

La femme a du mal à parler d’elle, à se mettre en valeur pour faire ressortir ses atouts et faire prévaloir ses réussites professionnelles. Elle imagine trop souvent que l’on viendra la chercher alors qu’il est bien connu qu’il faut savoir se rendre visible. En effet, il faut être acteur de son évolution professionnelle.

Le fait de ne pas savoir modérer sa générosité et sa disponibilité

Ne pas savoir dire non, donner beaucoup de son temps lorsque l’on doit manager est un problème pour grand nombre de femmes managers et peut perturber la gestion de leurs priorités. Elles préfèrent souvent dire oui, quitte à culpabiliser ensuite au regard de leurs choix.

Les émotions à maîtriser

La femme empathique, sensible et compréhensive prend souvent les choses à cœur. Si elles ne sont pas un défaut, les émotions doivent être contrôlées. Pour bien manager il faut donc apprendre à les anticiper et à les maîtriser. Si l’on prend quelques exemples, il est recommandé de contenir la colère au niveau de l’irritation, l’euphorie au niveau de la joie, le désespoir au niveau de la tristesse.

Article par Sandra LE GRAND

Entrepreneurs : les éditeurs informatiques en font beaucoup pour vous… séduire !

Lorsqu’il débute son projet d’entreprise, lorsqu’il veut moderniser ses habitudes administratives et de gestion, le chef d’entreprise se risque à rechercher une solution logiciel qui répondrait parfaitement à ses besoins. Le chef d’entreprise recherche une certaine autonomie.

Quelques réflexes à avoir

Le premier des réflexes est sans doute de se retourner vers son expert-comptable qui pourra utilement le conseiller, d’autant que lorsqu’on crée son entreprise, recourir aux services d’un expert comptable est un facteur de sécurité et de longévité de son projet. D’autres réflexes seront de surfer sur le net et d’exploiter des bases de référencement comme COMPANEO qui proposent dans beaucoup de domaines une possibilité de devis sous 48 heures auprès de plusieurs milliers de fournisseurs.

Enfin, le chef d’entreprise avec son conseil privilégié pourra étudier de manière comparative les logiciels qu’il pourrait utiliser. Les besoins sont en général résumés sur les questions suivantes, qui constituent dès lors le cahier des charges simplifiés de l’entreprise :

  • Comment puis-je constituer ma base client ?
  • Puis-je, à partir de cette base, établir mes devis, mes factures ?
  • Puis-je tenir « simplement » ma comptabilité ?
  • Puis-je récupérer mes opérations bancaires à partir de mon compte professionnel pour les transférer dans ma comptabilité ?
  • Puis-je faire la paye de mon salarié ?
  • Puis-je transmettre mes fichiers à mon expert-comptable ? Ou peut-il travailler avec moi sur ma base entreprise ?

L’utilité de faire appel à son expert-comptable

C’est en qualité d’expert-comptable et répondant de manière régulière à des clients ou des prospects que nous nous sommes livrés à une rapide étude pouvant intéresser les créateurs et les petites entreprises. Nous nous sommes attachés aux principaux acteurs du marché que sont : SAGE/CIEL, EBP, CEGID, FIDUCIAL INFORMATIQUE et IBIZA SOFTWARE. Bien entendu d’autres éditeurs de logiciels existent sur le marché, mais à eux cinq ils constituent à ce jour la majeure partie de l’équipement des auto-entrepreneurs, des créateurs et des TPE. Pour compléter notre expérience, nous avons eu l’occasion de contacter chaque éditeur qui, de manière tout à fait spontanée, a pu nous confirmer ses objectifs et nous faire part de ses fiches produits.

Les principaux enseignements à retenir

Tout d’abord, il convient de rappeler que tous les éditeurs partagent la même volonté, celle de simplifier la vie du chef d’entreprise ! Grâce à Internet, tous aussi vous proposent une solution en mode SaaS (Software as a Service) ou équivalent.

Le mode SaaS permet d’utiliser un ou des logiciels à distance, de faire héberger ses données sur le serveur de l’éditeur à distance et de bénéficier d’une mise à jour et d’une assistance permanente. Les produits se nomment Yourcegid-Entrepreneurs & TPE chez CEGID, WINFIC.net chez Fiducial Informatique ou Open Line Technology ou ITOOL chez EBP. Dans ce registre, IBIZA offre une formule innovante d’une comptabilité « full net » qui est totalement partagée avec son expert comptable.

Pour autant, chacun des éditeurs tente de vous faciliter l’approche informatique. CIEL attaque le marché avec CIEL COMPTA FACILE avec une originalité : « INTUICIEL » qui permet une navigation facile pour l’utilisateur. EBP n’est pas en reste non plus avec sa collection PRATIC : Comptabilité, Facturation, Gestion de contacts, etc.

Comment choisir son logiciel ?

Pour choisir le logiciel qu’il vous faut, il s’agit de savoir lequel peut répondre au cahier des charges simplifié exprimé plus haut. Chacun des éditeurs a éprouvé sur ses marchés une réponse adaptée à la taille des entreprises, partant de l’auto entrepreneur à la PME. Dès lors chacun vous offre la sécurité que vous demandez et répond à ce cahier des charges minimum, à l’exception d’IBIZA qui se place résolument dans une relation partagée expert comptable-client sur le net exclusivement.

Il reste que l’ergonomie, la facilité de prise en main sont particulières à chaque éditeur et font parfois la différence. Cela fera partie du ressenti du chef d’entreprise lors du choix. Enfin il est à noter que plusieurs éditeurs ont spécialisé certains de leurs produits en fonction de filières : Bâtiments, Automobile, Commerce de Détail, etc. Chaque chef d’entreprise de TPE peut retrouver sa demande !

Pensez à vous rendre sur leur site

Une recommandation seulement : n’hésitez pas à aller sur le site de chacun des éditeurs, comparez leur notice technique, faite un essai lorsqu’il est proposé (c’est souvent le cas), et regardez les prix proposés. Les sites sont faciles de navigation et très complets :

  • www.ciel.com
  • www.fiducial.biz
  • www.itool.com
  • www.ebp.com
  • www.cegid.fr/tpe
  • www.ibizasoftware.com

Et n’oubliez pas : votre expert comptable demeure à votre disposition pour votre choix !

Article par André-Paul BAHUON

Recruter sur internet

Décider de recruter est un acte important. Souvent dans l’urgence, il faut trouver la perle rare qui sera disponible. Et là se posent les questions : Où trouver rapidement de bons candidats ? Comment utiliser internet pour recruter ? Ai-je le temps de gérer les CV ?… Autant de questions sans réponse facile. Voici quelques clés pour optimiser ses recrutements et gagner du temps.

Depuis plus de 10 ans, utiliser internet pour recruter, est devenu un outil incontournable du recrutement. Les méthodes de recherche et les relations avec les candidats ont profondément changé. Le e-recrutement se structure et évolue. Ainsi voit-on émerger les réseaux sociaux, et les blogs, qui occupent aujourd’hui une large place dans les pratiques de recrutement.

Internet est un média puissant. Il offre à l’entreprise, quelle que soit sa taille, un potentiel important de candidats qui apportent au recruteur : ciblage pertinent, rapidité, coûts maitrisés et ouverture sur le monde, pour des recrutements ponctuels, récurrents ou de masse tant en France qu’à l’international. De nombreux sites emploi sont, aujourd’hui, la première source de CV qualifiés.

Pourquoi recruter sur internet ?

L’offre d’emploi sur internet est le mode de recrutement le plus utilisé des recruteurs. En quelques clics les candidats peuvent postuler aux annonces qu’ils sélectionnent. Le recruteur doit être présent au bon moment et savoir capter les meilleurs talents. Cet outil magique permet de mettre en adéquation les critères de sélection d’un recruteur avec ceux d’un candidat. Il faut pour cela savoir quels sites utiliser pour quel profil, mais aussi se mettre à la place du candidat en recherche de poste. Cela déterminera la pertinence des résultats obtenus. Il convient, en amont, de définir son projet de recrutement. Un descriptif de poste bien établi doit tenir compte du contexte de l’entreprise. C’est la base d’une recherche efficace et d’une intégration réussie d’un collaborateur.

Où chercher la perle rare sur la toile ?

Des sites emploi leaders généralistes pour tous types de postes, tous niveaux de qualification, sont toujours à la pointe de l’innovation. Ils investissent pour proposer des services et des solutions en accord avec la demande des recruteurs et les attentes des candidats.

Comment choisir parmi des centaines de sites ?

Tout dépend du profil recherché. Vous positionnerez une offre d’emploi sur un site généraliste, spécialisé métiers, secteur d’activité ou régional. Les TPE/PME peuvent être présentes et se démarquer sans complexe sur la toile, au même titre qu’un grand groupe. L’attractivité des sites généralistes consultés par un grand nombre de candidats fait ressortir la candidature idéale. En revanche, publier une offre sur un site spécialisé vous apportera moins de candidatures, mais celles-ci seront plus ciblées. Une multidiffusion astucieuse sur des sites emplois complémentaires, est alors nécessaire.

Une offre d’emploi bien construite pour dénicher vos futurs talents !

Comprendre l’attente d’un candidat en recherche d’emploi sur internet et connaître les mots clés qu’il tape pour sélectionner les postes qui l’intéressent, déterminera le texte de votre annonce. Soignez-en la rédaction et dites la vérité : structure de l’entreprise, culture, niveau de responsabilité, missions, profil, mobilité, évolution de carrière, international, formations…

Le candidat, souvent inscrit dans des cvthèques, reçoit directement dans sa boite mail les offres qui correspondent à sa sélection. Il lui est alors facile d’envoyer son CV à un recruteur.

Ne pas hésiter à indiquer son site internet aux candidats, pour leur donner plus d’informations sur votre entreprise. L’idée est que vous soyez accessible auprès de vos cibles rapidement, en quelques clics.

Réagissez vite, pensez à l’image de votre entreprise !

Internet raccourcit considérablement les délais de recrutement. En 24 heures vous pouvez obtenir des centaines de CV à traiter dans votre boite email. N’oubliez pas de répondre à tous les candidats : c’est le gage de votre crédibilité en tant qu’employeur.

Une annonce est en ligne entre 30 et 60 jours selon les sites emploi.

L’intérêt d’internet réside aussi dans la souplesse de son utilisation. Si le rendement de l’offre est insuffisant, l’outil permet de corriger le texte et les critères de sélection pour recadrer le ciblage.

La perle rare est aussi dans les cvthèques ou les réseaux sociaux professionnels !

Trouver son candidat par la recherche de CV dans les cvthèques, les réseaux sociaux, forums, blogs, hubs… vous donne l’opportunité de dénicher des profils pointus, experts métiers ou des candidats en veille sur le marché de l’emploi. L’approche du candidat est différente : vous devez le contacter, le séduire et lui donner envie de vous rejoindre. Les réseaux sociaux, sont la nouvelle tendance pour communiquer et recruter, même si l’offre d’emploi reste la première source de candidatures.

Les blogs : une rencontre virtuelle interactive et intuitive

Les candidats n’hésitent pas aujourd’hui à utiliser un blog pour se faire recruter. Tout comme les entreprises qui entretiennent des blogs professionnels, c’est encore un moyen pertinent d’entrer en contact avec de futurs collaborateurs.

Gérer le recrutement

Votre temps est précieux, il faut bien maîtriser vos priorités car la gestion d’un recrutement peut être vite chronophage.

Soyez attractifs, vous séduirez les candidats qui vous ressemblent !
Bons recrutements !

Article par Véronique RIVERA – Dirigeante de VERINIS

Réduisez vos charges sociales !

Saviez-vous qu’environ 9 PME sur 10 sur-cotisent ? Alors, pour faire des économies, une seule solution : un audit de vos charges sociales.

Les raisons de faire un audit

Face aux contraintes administratives et à un système législatif en constante évolution, les chefs d’entreprise se retrouvent face à un véritable casse-tête… qu’ils résolvent bien souvent en se trompant. Ces erreurs viennent alourdir de manière significative la note des charges sociales à régler. Par conséquent, elles impactent directement les résultats de l’entreprise. Réaliser un audit complet de vos fiches de paies, les économies peuvent se compter en dizaines de milliers d’euros pour les PME de plus de 20 salariés !

Altern&go : une proposition d’audit

Pour aider les entrepreneurs à se repérer dans ce labyrinthe législatif, Altern&go propose un audit sur trois ans. Mais pas de panique ! Il leur suffit juste de recueillir quelques pièces pour constituer rapidement l’essentiel de leur analyse. En effet, pour éviter que la mission représente une charge de travail supplémentaire pour l’entreprise, l’étude est effectuée au sein même d’Altern&go et est assurée par un comité d’experts composé d’anciens contrôleur URSSAF, responsable paie….

La démarche proposée par l’entreprise

Lors de la remise des conclusions, l’auditeur exposera une lecture exhaustive de la situation :

  • Si la société n’a pas versée suffisamment de charges sociales, en d’autres termes, si elle est en situation d’irrégularité, alors Altern&go alertera le dirigeant sur les risques encourus.
  • En revanche, si l’entreprise verse trop de charges sociales, alors Altern&Go présentera les pistes d’économie à réaliser et constituera les dossiers de demande remboursement.

Leur mission ne s’arrête pas là : les fiches de paie sont suivies pendant douze mois pour éviter les erreurs de calcul se reproduisent.

A noter : L’offre d’Altern&go est gratuite tant que les entreprises n’ont pas touché leur remboursement. En effet, la société d’audit n’est rémunérée qu’aux résultats. Une bonne solution pour les chefs d’entreprises qui sont toujours à l’affut de nouvelles formules pour faire des économies !

Article par Tony Fonseca