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Trois bonnes raisons de se lancer à l’international !

Avec une demande intérieure parfois atone, il est important pour les entreprises françaises et européennes de s’ouvrir pour chercher de nouveaux débouchés. Dans cette conquête des marchés internationaux vous n’êtes pas seuls, nombreux sont les dispositifs mis en place en France pour vous accompagner dans votre internationalisation. Nombreux sont également les pays offrant des conditions favorables aux échanges commerciaux. 

1/ Un marché international favorable

A l’heure où nos économies française et européenne sont en bernes, les entreprises sont parfois réticentes à l’internationalisation par manque de budget, de main d’œuvre, de connaissances du terrain, mais aussi du fait d’une trop grande frilosité face à l’inconnu !

Pourtant, de nombreuses études démontrent qu’aujourd’hui plus que jamais, il est nécessaire de sortir de sa zone confort pour une meilleure croissance. Dans cette conjoncture, et en tout temps, votre entreprise a besoin d’être compétitive pour survivre, gagner des parts de marché, trouver des partenaires technologiques, commerciaux et institutionnels en France, ou à l’étranger.

Ainsi, découvrir ce que les marchés extérieurs ont à vous offrir vous servira à optimiser votre activité et donc votre chiffre d’affaires ! Dans ce grand pays qu’est le monde, chacun avance à son rythme, et il existe bien des pays où l’on a besoin de vos compétences, de vos services ou de vos produits.

Une petite piste : Pensez « pays émergents » ! En effet, au moment où le monde industrialisé est en récession, les pays émergents sont en plein essor économique, technologique et financier. Ce marché ouvert est accessible à tous, que l’on soit un consultant indépendant ou une entreprise !

2/ Facilités à disposition et outils disponibles

Exporter ou bien aller chercher la réussite au-delà de l’hexagone ne signifie pas s’enfuir ! Bien au contraire ! En effet, de nombreux dispositifs sont mis à disposition des entreprises pour aller à la conquête de l’étranger, et cela en toute sécurité ! Et oui, il existe des aides et dispositifs en abondance pour bien envisager ses projets d’externalisation, et ce pour les entreprises de toutes tailles et tous secteurs confondus ! Ne vous mettez pas de barrières inutiles ! Je vous propose de détailler ces dispositifs ainsi que les étapes de l’internationalisation par catégories dans un prochain article, en attendant, en voici quelques-uns :

– La BPIFrance… Cela vous dit quelque chose ?

La Banque Publique d’Investissement met à votre disposition de nombreuses solutions vous permettant de mettre en place vos projets d’internationalisation. Cependant, un certain nombre de conditions est à réunir afin de pouvoir bénéficier de ce service. Il est donc nécessaire de bien se renseigner au préalable.

– Pensez export, pensez COFACE !

La Coface est un dispositif qui accompagne les entreprises (quelle que soit leur taille !) dans leur développement à l’international ! Cette institution vous permet ainsi d’aller découvrir les marchés qui vous intéressent, découvrir les potentiels et le climat des affaires, effectuer votre prospection en toute sécurité et en vous offrant des garanties. En plus de la trésorerie nécessaire à votre projet, la Coface met à votre disposition une série d’études et son réseau d’experts de l’international pour vous permettre d’évaluer et ainsi de limiter les risques liés à votre projet !

– Le réseau des experts, Chambres de commerce et ambassades : et oui, le monde est un grand PAYS !

Au-delà de l’aspect financier, la relation publique et le bon réseau est déterminant pour mener à bien ses projets de développement international. L’impasse est souvent faite sur ces réseaux d’experts qui sont là pour nous faciliter l’accès à des études de marché par exemple, ou encore, pour nous mettre en contact avec les institutions adéquates pour faciliter les demandes de visa. Autrement dit, il est primordial d’exploiter toutes ces pistes, d’établir son réseau et de profiter de tous ces dispositifs mis en place pour nous faciliter la découverte de l’étranger pour le développement de ses affaires !

3/ Contribuer à la compétitivité des entreprises françaises

La compétitivité c’est l’innovation et la recherche. Le monde économique est modifié tous les jours et il faut rester vigilant. La France demeure l’une des économies les plus attractives au monde. Néanmoins, le pays subit des mutations importantes entraînant un recul de l’emploi industriel et une internationalisation des entreprises.

Des études ont mis en évidence les faiblesses de la structure industrielle nationale et révélé notamment une trop grande faiblesse face à la concurrence internationale, l’insuffisance de l’effort de recherche et développement mais aussi la frilosité de nos entrepreneurs à s’exporter, se mettant des barrières souvent bien trop théoriques et abstraites. La réalité du terrain est toute autre ! De nouvelles stratégies de développement ont donc été préconisées et mises en œuvre pour renforcer la compétitivité française et sont fortement encouragées par le gouvernement, qui incite au renforcement de l’internationalisation et donc de l’innovation, et qui souligne l’importance des PME dans le dynamisme économique de notre pays.

ET POUR LA ROUTE – Développer ses activités à l’étranger, c’est développer un atout culturel : moteur pour l’innovation et la CROISSANCE !

Cela va sans dire, la découverte de marchés extérieurs est un moteur pour l’innovation et pour la croissance chez soi ! Prenez-soin également de découvrir et de vous adapter aux coutumes et cultures avant de vous exporter, ce qui dans bien des pays, est décisif dans le climat des affaires !

L’entrepreneur et ses amis imaginaires 

Être entrepreneur, c’est un peu comme jouer aux échecs avec soi-même dans une pièce pleine de miroirs déformants. C’est un parcours solitaire parsemé de hauts et de bas, mais cela ne signifie pas que vous êtes seul. Non, en tant qu’entrepreneur, vous avez un allié formidable que vous pouvez emmener partout avec vous, même lors des réunions ennuyeuses : votre cerveau qui compose un conseil d’administration.

Présentation des membres du conseil

  1. Monsieur optimisme : c’est le président du conseil. Il voit des opportunités partout, même là où il n’y en a pas. Lorsque tout s’effondre, il est là pour dire : « c’est une chance de rebondir ! »
  2. Madame pragmatique : elle porte un costume strict et fait preuve de réalisme. Elle est là pour rappeler à l’entrepreneur que « l’idée de vendre des chapeaux pour chiens peut sembler amusante, mais nous avons besoin de chiffres concrets. »
  3. Sir procrastination : un membre très actif du conseil. Il propose régulièrement des idées géniales pour remettre à plus tard les tâches importantes. « pourquoi travailler aujourd’hui quand on peut le faire demain ? »
  4. Le visionnaire : il a toujours une vision grandiose pour l’avenir. « imaginez, une ferme de poneys volants ! C’est l’avenir de l’agriculture. »
  5. Madame caféine : elle est là pour donner ce coup de fouet d’énergie lors des longues nuits de travail. « qui a besoin de sommeil quand on peut conquérir le monde avec une autre tasse de café ? »

Réunions du conseil

Les réunions du conseil d’administration du cerveau sont légendaires. Monsieur optimisme propose des plans fous, madame pragmatique les modère, sir procrastination suggère de reporter la mise en œuvre, le visionnaire ajoute des éléments futuristes, et madame caféine distribue des tasses de café comme s’il s’agissait de récompenses olympiques.

Les défis

Bien sûr, il y a des défis. Parfois, les membres du conseil ne sont pas d’accord. « pourquoi ne pas vendre des chapeaux pour chiens volants au lieu de poneys? » suggère le visionnaire. Madame pragmatique fronce les sourcils. « les chiens ne volent pas, c’est impossible. »

Les résultats

Malgré les désaccords, le conseil d’administration du cerveau fonctionne étrangement bien. Les idées farfelues peuvent mener à des innovations réelles. Les échecs sont des leçons apprises, et les succès sont dignes d’une célébration (avec une tasse de café, bien sûr).

Même si être entrepreneur peut être une aventure solitaire, avec un conseil d’administration du cerveau aussi excentrique, chaque journée sera pleine de rebondissements. 

Comment créer une page de destination qui convertit ?

Une page de destination convaincante peut faire la différence entre un simple visiteur et un client fidèle. La création d’une page de destination qui convertit nécessite une compréhension approfondie du comportement en ligne des utilisateurs et une conception stratégique. Voyons ensemble les éléments essentiels pour créer une page de destination qui convertit efficace et propice à la conversion.

Une proposition de valeur clair et convaincante

La première impression compte énormément lorsqu’un visiteur atterrit sur votre page de destination. Pour capter leur attention dès le départ, une proposition de valeur claire et convaincante est essentielle. Cette déclaration doit être positionnée de manière stratégique. En effet, elle doit mettre en avant les avantages distinctifs de votre offre de manière concise et persuasive. Optez pour un langage simple mais percutant, mettant en lumière les solutions que vous offrez à leurs besoins ou problèmes. Vous incitez ainsi les visiteurs à poursuivre leur exploration et à s’engager davantage avec votre contenu.

Utilisation de visuels impactants

Les visuels sont des éléments clés pour captiver l’attention des visiteurs et les immerger dans votre univers de marque. Optez pour des images ou des vidéos de haute qualité qui illustrent efficacement les caractéristiques et les avantages de votre produit ou service. Les visuels doivent être non seulement esthétiquement attrayants, mais aussi en cohérence avec l’identité visuelle de votre marque

Hiérarchie d’information cohérente

Une organisation claire et cohérente de l’information est essentielle pour guider les visiteurs à travers votre page de destination. Utilisez une hiérarchie visuelle efficace pour mettre en évidence les éléments les plus importants, tels que les fonctionnalités du produit, les témoignages clients ou les offres spéciales. Assurez-vous que les visiteurs peuvent facilement trouver les informations cruciales en balayant rapidement la page. Vous augmentez ainsi les chances de conversion et d’engagement.

Appels à l’action (CTA) convaincants et visibles

Les appels à l’action sont le moteur de l’interaction sur votre page de destination. Ils doivent être clairs, visibles et incitatifs pour encourager les visiteurs à passer à l’action souhaitée, que ce soit télécharger un ebook, s’inscrire à une newsletter, ou effectuer un achat. Utilisez des boutons CTA attrayants et bien positionnés, accompagnés d’un langage persuasif et incitatif. Veillez à ce que les CTA se démarquent visuellement sur la page, en utilisant des couleurs contrastées et des tailles de police appropriées. 

Formulaires simplifiés

Lorsque vous incorporez un formulaire sur votre page de destination, la simplicité est la clé. Limitez-vous aux informations essentielles afin de ne pas décourager les visiteurs potentiels. Des formulaires courts et concis ont tendance à générer un taux de conversion plus élevé, car ils réduisent la friction et facilitent le processus d’inscription ou de demande. En demandant uniquement les informations vitales, vous maximisez les chances que les visiteurs remplissent le formulaire et poursuivent leur parcours sur votre site.

Témoignages et preuves sociales

L’ajout de témoignages et de preuves sociales sur votre page de destination renforce instantanément la crédibilité de votre offre. Intégrez des avis authentiques de clients satisfaits, des études de cas démontrant le succès de votre produit ou service, ou même des mentions dans les médias. La présence de ces éléments rassure les visiteurs quant à la valeur de ce que vous proposez.

Création d’urgence ou de rareté

Pour stimuler l’action des visiteurs, rien de tel que la création d’un sentiment d’urgence ou de rareté. Utilisez des tactiques telles que des offres limitées dans le temps, des promotions spéciales pour une durée déterminée, ou encore la mise en avant de quantités limitées de produits. Ces stratégies incitent les visiteurs à agir rapidement, craignant de manquer une opportunité précieuse. En jouant sur le désir de posséder quelque chose d’unique ou d’exclusif, vous motivez les visiteurs à passer à l’action sans tarder.

Responsive design et test A/B

Assurez-vous que votre page de destination est accessible et fonctionnelle sur tous les appareils en adoptant un design responsive. La compatibilité mobile est devenue essentielle étant donné la prédominance des utilisateurs sur les smartphones et tablettes. En outre, menez des tests A/B pour évaluer différentes variations de votre page et déterminer celle qui génère le meilleur taux de conversion. Les tests A/B fournissent des données précieuses pour comprendre le comportement des utilisateurs et optimiser constamment la performance de votre page.

Le bilan comptable : une équation universelle

Les entreprises multinationales comme la plus petite société locale partagent la même équation comptable : c’est le bilan. Une bonne raison pour que tous les entrepreneurs s’intéressent à leurs comptes ? Parmi les nombreux dirigeants de PME/TPE d’aujourd’hui se cachent certains entrepreneurs vedettes de demain.

La situation financière de toute entreprise se mesure, à un instant « t », par trois indicateurs comptables fondamentaux, qui se résument à une égalité, que les comptables nomment « la balance » et sous sa forme la plus synthétique, « le bilan » : Total de l’Actif = Capitaux Propres + Total des Engagements (ou dettes)

L’Actif : ce que l’entreprise possède.

En d’autres mots, l’Actif du bilan se compose des biens matériels et immatériels que l’entreprise a acquis au fil du temps. Les liquidités, les créances sur des clients, les stocks, les machines, les immeubles et la valeur d’un pas-de-porte sont des exemples de ce qu’on nomme les actifs d’une entreprise.

La valeur des actifs correspond à la somme des moyens mis à la disposition de l’entreprise pour être employés par elle. Ces moyens étant limités aux Capitaux Propres et aux Engagements de l’entreprise, voici notre équation vérifiée une première fois.

Les Engagements (ou dettes) : ce que l’entreprise doit à des tiers.

C’est assez simple : pour pouvoir exploiter des actifs, l’entreprise doit les acquérir. Elle doit donc de l’argent aux tiers qui lui procurent les ressources nécessaires au financement des actifs. Par exemple, les dettes de l’entreprise seront des loyers, des salaires à payer, des intérêts payés aux prêteurs, des impôts et taxes, etc.

Les Capitaux Propres : la mise par les propriétaires de l’entreprise

A un instant, « t », les capitaux propres sont ce qu’il reste de la mise des propriétaires de l’entreprise, par différence entre la valeur des actifs et la valeur des dettes.
Comme la somme des actifs ne peut logiquement pas dépasser la valeur des ressources (que l’entreprise trouve en faisant des dettes qui viennent compléter l’apport des propriétaires), on peut aussi vérifier l’équation comptable fondamentale ainsi : Actif – Dettes (ou Engagements) = Capitaux Propres

Les Capitaux Propres sont, in fine, la somme des investissements risqués par les propriétaires de l’entreprise, soit qu’ils aient versé des fonds pour acquérir des titres de propriétés de l’entreprise (actions ou parts sociales), soit qu’ils aient décidé de réinvestir leurs bénéfices acquis dans l’entreprise (au lieu de se les attribuer en les prélevant sur les liquidités disponibles).

Ensemble, les dettes ou engagements additionnés aux Capitaux Propres forment donc les ressources de l’entreprise :

  • La somme de ces deux types de ressources constitue le Passif du bilan, selon la terminologie comptable.

En conséquence, on peut aussi exprimer notre équation tout simplement par : Actif = Passif

Le Passif se définit aussi comme l’ensemble des ressources financières disponibles. On l’a vu, le Passif se compose, d’une part, des dettes contractées par l’entreprise auprès de tiers et, d’autre part, des fonds laissés par les propriétaires (ou actionnaires) à la disposition de celle-ci.

Le Bilan : présente la balance ou égalité entre Actif et Passif

Les profanes disent que le total de la colonne de gauche du bilan est égal au total de la colonne de droite. En effet, par convention, l’Actif (ou Emplois) est présenté à droite et le Passif (ou Ressources) à gauche dans la représentation d’un bilan.
En tenant compte des principes comptables de base et des quelques mots de vocabulaire explicités ci-dessus, l’entrepreneur averti se montrera plus à son avantage en expliquant que l’Actif de son bilan est égal ou « balancé » avec le Passif.

La vérification de cette balance est la clé de voûte de toute comptabilité en partie double. L’absence d’équité en la matière rend une comptabilité caduque et « à refaire ». En effet, l’équilibre entre Actif et Passif est maintenu en permanence parce que chaque opération commerciale ou patrimoniale affecte systématiquement au moins deux postes comptables de l’entreprise.

Exemples d’écritures comptables en partie double

  • Quand l’entreprise emprunte à la banque, les liquidités disponibles (donc l’Actif) vont augmenter dans la même proportion que la dette contractée envers la banque (donc le Passif).
  • Quand l’entreprise achète un stock de marchandises, payables à crédit, l’Actif augmente de la valeur des achats, tandis qu’une dette envers un fournisseur vient augmenter également le Passif.
  • Astuce : qu’une entreprise achète des marchandises et les paie « cash », le poste « Stocks » de l’Actif augmente tandis que le poste « Liquidités » également, à l’Actif, diminue d’autant, préservant l’équilibre du bilan sans toutefois modifier aucune valeur du Passif.

Nous voici arrivés au bout de la démonstration de ce qu’est la comptabilité en partie double (ou à double entrée). Le respect de cette norme comptable légale (en France et dans la plupart des pays) s’appuie sur un plan de comptes comptables normalisé, pour permettre l’analyse et la comparaison des entreprises entre elles, selon des critères unifiés.

Marketing de la publicité contextuelle : ce qu’il faut savoir

L’importance de diffuser des publicités pertinentes n’a jamais été aussi recherchée. Les consommateurs modernes sont de plus en plus exigeants, recherchant des expériences personnalisées et des messages qui résonnent avec leur réalité quotidienne. C’est là que le marketing de la publicité contextuelle entre en jeu. En effet, ils offrent une approche ciblée et adaptée au contenu qui entoure l’annonce.

Qu’est-ce que la publicité contextuelle ?

La publicité contextuelle repose sur le principe fondamental de diffuser des annonces qui correspondent étroitement au contenu sur lequel elles apparaissent. Plutôt que de suivre une approche généralisée, cette stratégie se concentre sur la compréhension du contexte de la publication pour fournir des annonces plus pertinentes et plus engageantes.

Comment cela fonctionne ?

Les algorithmes sophistiqués utilisés dans le marketing de la publicité contextuelle analysent le contenu de la page web ou de l’application où l’annonce sera affichée. Ils tiennent compte de facteurs tels que les mots-clés, le ton général, et même le public cible de la plateforme pour déterminer le message publicitaire le plus approprié. Cela permet aux annonceurs de créer des connexions plus authentiques avec leur public, en s’assurant que les publicités ne sont pas seulement vues, mais également appréciées.

L’avantage de la pertinence

Un avantage majeur de la publicité contextuelle est la pertinence accrue. Les consommateurs sont plus susceptibles de répondre positivement à des publicités qui correspondent à leurs intérêts ou besoins du moment. Par exemple, un amateur de fitness visitant un site web axé sur la santé pourrait voir des publicités pour des équipements de sport ou des compléments alimentaires.

Pour les entreprises, cela se traduit par un meilleur retour sur investissement. Aussi, en diffusant des publicités contextuelles, les annonceurs optimisent leurs budgets en ciblant spécifiquement les utilisateurs les plus susceptibles d’être intéressés par leurs produits ou services. Cela évite le gaspillage de ressources sur des audiences non pertinentes.

Défis et éthique

Cependant, le marketing de la publicité contextuelle n’est pas sans défis. Des questions éthiques concernant la vie privée et la collecte de données se posent régulièrement. Il est vital que les annonceurs adoptent des pratiques transparentes et respectueuses de la vie privée pour garantir la confiance des consommateurs.

Outils et astuces utiles 

Outils d’analyse de contenu :

Utilisez des outils d’analyse de contenu pour comprendre en profondeur le contexte des pages où vos publicités seront affichées. Des plateformes comme Google Analytics, SEMrush, ou encore des outils spécifiques au suivi des médias sociaux peuvent fournir des informations cruciales sur le contenu et les tendances.

Utilisation de cookies et données utilisateur :

Tout en respectant les réglementations sur la vie privée, l’utilisation de cookies et d’autres données utilisateur peut permettre une personnalisation plus fine des publicités. Cela inclut le suivi du comportement de navigation pour mieux comprendre les préférences individuelles.

Tests A/B :

Menez des tests A/B pour évaluer différentes approches publicitaires contextuelles. Cela pourrait impliquer des variations dans le langage, les images, ou même le placement des annonces. Les tests A/B aident à identifier ce qui fonctionne le mieux pour votre public cible.

Intégration de l’IA :

L’intelligence artificielle (IA) peut être un atout majeur. Les algorithmes d’apprentissage automatique peuvent analyser les données en temps réel, ajustant automatiquement les campagnes publicitaires pour maximiser leur pertinence.

Suivi des tendances et événements :

Restez à l’affût des tendances et des événements en temps réel. La publicité contextuelle qui s’aligne sur des sujets d’actualité peut être particulièrement puissante. Cependant, soyez conscient des sensibilités entourant certains événements pour éviter des associations inappropriées.

Personnalisation dynamique :

Optez pour des publicités avec une personnalisation dynamique. Cela permet d’ajuster automatiquement le contenu de l’annonce en fonction du comportement passé de l’utilisateur ou des données en temps réel, améliorant ainsi la pertinence.

Utilisation de plateformes publicitaires avancées :

Si votre budget le permet, explorez des plateformes publicitaires avancées qui offrent des fonctionnalités spécifiques à la publicité contextuelle. Certaines plateformes offrent des options de ciblage très détaillées et des outils pour mesurer l’efficacité de manière granulaire.

Sécurité de marque :

Utilisez des outils de sécurité de marque pour vous assurer que vos publicités n’apparaissent pas à côté de contenu inapproprié. Cela peut protéger la réputation de votre entreprise et garantir que votre message est diffusé dans un contexte positif.

Collaboration avec des créateurs de contenu :

Collaborez avec des créateurs de contenu influents dans votre domaine. Leur audience est souvent hautement engagée, et des publicités contextuelles intégrées dans leur contenu peuvent être particulièrement efficaces.

Top 10 des attitudes pour favoriser l’humilité en tant que dirigeant

Dans l’arène exigeante du leadership, l’humilité émerge souvent comme un superpouvoir méconnu. Découvrons les 10 attitudes qui permettent aux dirigeants de favoriser l’humilité, une qualité essentielle pour inspirer et mobiliser les équipes dans la quête du succès commun.

1/ Reconnaissance des forces de l’équipe

Un leader humble comprend profondément que la réussite d’une entreprise repose sur la force collective de son équipe. Plutôt que de se focaliser uniquement sur ses propres capacités, il valorise sincèrement les compétences et les contributions individuelles de chaque membre de son équipe. Cette reconnaissance authentique crée un environnement de travail où chacun se sent apprécié et motivé à donner le meilleur de lui-même.

2/ Acceptation des conseils et critiques :

L’humilité se manifeste pleinement dans la volonté d’un leader à accepter les conseils et les critiques, quelle que soit leur provenance. En embrassant activement les retours d’information, le dirigeant démontre non seulement son ouverture d’esprit, mais aussi son engagement envers l’amélioration continue. Cette capacité à écouter et à apprendre des autres enrichit son propre savoir-faire et favorise un climat de confiance et de collaboration au sein de l’organisation.

3/ Partage des succès collectifs

Les leaders humbles reconnaissent que le succès d’une entreprise est le fruit du travail d’équipe, et non pas seulement de leurs propres efforts. Plutôt que de s’attribuer tout le mérite, ils choisissent de partager les succès avec l’ensemble de l’équipe. Ce partage renforce le sentiment d’appartenance et de fierté collective, inspirant ainsi les membres de l’équipe à persévérer dans leurs efforts et à viser l’excellence ensemble.

4/ Prise de responsabilité en cas d’échec

L’humilité se révèle également dans la capacité d’un leader à assumer la responsabilité en cas d’échec. Plutôt que de chercher des excuses ou de blâmer les autres, un dirigeant humble admet ses propres erreurs et cherche activement à en tirer des leçons. Cette attitude non seulement favorise un climat de confiance et de transparence au sein de l’organisation, mais elle montre également que le leader valorise l’intégrité et la responsabilité, des qualités essentielles pour inspirer la confiance et le respect de son équipe.

5/ Cultivation d’un environnement inclusif

Les leaders humbles comprennent l’importance de créer un environnement de travail inclusif où chaque voix est entendue et valorisée. En effet, ils reconnaissent la richesse de la diversité des perspectives et des idées, et encouragent activement la participation de tous les membres de l’équipe. 

6/ Écoute active et empathie 

Pour un leader humble, l’écoute active et l’empathie ne sont pas seulement des compétences, mais des valeurs fondamentales. Ils sont attentifs aux préoccupations et aux besoins de leur équipe, créant ainsi un environnement où chacun se sent écouté et compris. En comprenant les défis et les aspirations de leurs collaborateurs, ils établissent des liens authentiques et durables.

7/ Reconnaissance des limites personnelles 

La véritable humilité réside dans la reconnaissance sincère de ses propres limites. Les leaders humbles admettent ouvertement qu’ils ne sont pas infaillibles et qu’ils ont besoin de l’expertise et du soutien de leur équipe pour réussir. 

8/ Formation continue et croissance personnelle

Cultiver l’humilité implique un engagement envers la croissance personnelle continue. Les dirigeants humbles reconnaissent qu’ils ont toujours quelque chose à apprendre et investissent activement dans leur propre développement. En cherchant constamment à élargir leurs compétences et leurs connaissances, ils montrent l’exemple et inspirent leur équipe à poursuivre l’excellence.

9/ Priorité à la réussite collective 

L’humilité se manifeste dans la priorité accordée à la réussite collective plutôt qu’à la reconnaissance personnelle. Les leaders humbles mettent l’intérêt de l’équipe avant le leur, cherchant à créer un environnement où chacun peut s’épanouir et réussir. 

10/ Mise en valeur des contributions de tous

Enfin, l’humilité se manifeste dans la capacité à reconnaître et à célébrer les contributions de chaque membre de l’équipe. Les dirigeants humbles comprennent que chaque individu apporte une valeur unique à l’organisation et veillent à ce que toutes les voix soient entendues et respectées. 

Être aux petits soins avec son recrutement

Être entrepreneur rime souvent avec aimer travailler seul. Surtout, cela implique cela souvent que personne ne vous donne des ordres. Mais, pour réussir, il faut travailler en équipe, diriger, déléguer, savoir à qui faire confiance. Autant bien commencer en soignant son recrutement. 

Même si vous débutez, même si le siège de votre petite entreprise est chez vous, vous pouvez recruter de manière professionnelle.

Connaître votre secteur

Chaque secteur est un petit monde, les réputations se font vite et les réseaux s’entrecroisent. Il faut donc savoir où l’on met les pieds et maîtriser l’essentiel : les diplômes actuels dans votre secteur, les universités ou écoles qui forment au métier recherché, leurs côtes, et bien sûr les concurrents. « Lui a travaillé chez untel. Ah d’accord ! Cela veut dire qu’il est bien formé, cela veut dire qu’il connaît telle ou telle méthode. Je le sais parce que j’ai travaillé chez cette personne, ou parce que ma copine Lola y travaille. Tout ceci aide à parcourir un CV facilement »

Choisir le bon canal pour recruter

Les sites spécialisés existent, autant les utiliser, comme vos concurrents. Il s’agit de ne pas chercher dans l’urgence ou d’éviter de recevoir trop de candidatures parce que vous êtes sûrement occupé. Or, un coup de fil à Lola, une question posée sur LinkedIn ou lors d’un dîner, un œil sur les candidatures déjà reçues, et souvent on a déjà des pistes pour trouver les personnes avec qui on travaillera bien.

Surtout, ne jamais se dire : « ahhhh j’ai besoin de quelqu’un pour la semaine prochaine, je ne trouverai jamais !!! » Le plus important reste d’honorer vos commandes, votre contrat avec votre client, donc mettez de côté le reste. 

Rencontrez vraiment ceux avec qui vous allez travailler

Le meilleur moment reste souvent celui de l’entretien. Avant, il faut essayer de bien lire ce que vous avez reçu, email, CV, même si c’est juste quelques phrases. Il faut s’intéresser aux détails et aux grandes lignes pour ne rien louper. 

Par téléphone ou email, choisissez alors un lieu et un créneau pratiques pour le candidat, rapidement, et tenez-y-vous. Vous devez vous consacrer entièrement au candidat quand vous le rencontrez. 

Essayez d’être au maximum attentif pendant l’entretien. Vous je susciterez l’attention et montrerez votre sérieux car vous devez inspirer envie et confiance. L’objectif reste souvent que l’entretien ne dure pas plus d’une heure car vous avez beaucoup de choses à faire et votre candidat aussi. 

N’hésitez pas à poser des questions d’usage (un petit questionnaire sur les compétences est indispensable, avec quelques cas pratiques), faire connaissance, passer un moment agréable certes, mais avoir tout dit (procédures, organisation, documents de travail…) et à parler d’argent très vite. N’oubliez pas de mettre votre téléphone en silencieux ou encore à proposer des avantages. 

Et si on s’est trompé ? Si le courant ne passe pas ? Dire tout de suite qu’on ne travaillera pas ensemble, ou pas maintenant ou pas sur ce type de service. Ne rien promettre, parce que ce n’est tout simplement pas sympa.

Les débuts du nouvel arrivant

Lorsque votre nouveau collaborateur commence, vérifiez si cela se passe bien. N’hésitez pas à poser des questions. Restez ouvert à ses exigences, mais si vous avez bien fait votre travail avant, cela devrait être facile. 

  • Il prévient qu’il ne pourra pas commencer le jour prévu ? A vous de gérer cela avec votre client adoré
  • Cela ne se passe pas bien ? Quand on fait de la prestation de services, on sait que le service est bon aussi quand le courant passe bien. Si cela coince entre le client et le nouveau venu, il est toujours possible d’assigner un autre client au nouveau, en restant bien sûr diplomate.
  • Cela se passe bien ? Tant mieux, parler régulièrement avec votre nouvelle recrue, suivre son travail, l’aider à se former, prévoir qu’il aura envie de vacances à un moment. Et surtout payer à l’heure. Là aussi, c’est à vous de gérer, votre trésorerie…

La dream team

Le nouveau doit rencontrer ses collègues. Pourquoi pas un petit verre tous ensemble ? Payons une tournée, c’est sympa. Choisissons un endroit pratique pour tous, proposons plusieurs créneaux, les sites d’organisation pour ça sont pléthore. Réservons si besoin est, arrivons en avance, soyons au top de notre forme. On aura le droit d’y parler boutique, mais on y sera détendu et on se sentira plus impliqué. On sera une dream team ! Et nous, on aura sans doute d’autres idées parce qu’on aura écouté les discussions et vu ce qu’il faut améliorer. L’objectif ? Entretenir une dynamique. Le moyen ? Être dynamique.

Que font les entrepreneurs pendant les vacances ? 

Ah, les vacances ! Ce moment béni où l’on peut enfin s’évader du tumulte du monde professionnel et se laisser bercer par le doux bruit des vagues… Enfin, en théorie du moins. Pour les entrepreneurs, les vacances sont une aventure unique, une combinaison de déconnexion, de réflexion stratégique et de selfies sur la plage avec un café à la main.

Acte 1 : La grande déconnexion… Ou pas

Pour la plupart des vacanciers, la déconnexion totale est un objectif sacré. Mais pour l’entrepreneur moderne, la déconnexion est souvent relative. Alors qu’ils se préparent pour une journée à la plage, un cocktail à la main, leur smartphone reste à portée de main, consultable à tout moment. Sous le parasol, décoré de coquillages et de palmiers, ils jonglent entre les rayons du soleil et les notifications incessantes de leur boîte de réception. Le sable entre les orteils devient un décor incongru pour la gestion de crises et la prise de décisions stratégiques, alors que le wifi flottant dans l’air offre une connexion fugace avec le monde des affaires.

Acte 2 : La réunion virtuelle sur la plage

La plage se métamorphose en lieu de travail improvisé, et le parasol devient le nouveau coin de réunion. L’entrepreneur, vêtu d’un maillot de bain et de lunettes de soleil, tient une réunion virtuelle avec son équipe, le bruit apaisant des vagues servant de toile de fond à leurs échanges professionnels. Dans cette scène surréaliste, les objectifs trimestriels se discutent tandis que les pieds s’enfoncent dans le sable. « Oui, nous pouvons certainement atteindre nos objectifs, même si je suis actuellement enterré jusqu’aux genoux », déclare-t-il avec assurance, mêlant la détente des vacances à l’urgence des affaires.

Acte 3 : Le selfie stratégique

Les réseaux sociaux deviennent le théâtre où se jouent les vacances de l’entrepreneur. Chaque selfie est minutieusement orchestré pour refléter une vie de luxe et de détente, tout en conservant une aura de productivité professionnelle. « Juste moi, mon ordinateur portable, et un coucher de soleil spectaculaire en arrière-plan. #workinghardorhardlyworking », légende-t-il avec ironie, partageant avec ses abonnés une version soigneusement éditée de son escapade estivale. Derrière chaque sourire enjoué se cache une réalité complexe où les affaires se mêlent aux loisirs, et où chaque moment de détente est potentiellement une opportunité de networking.

Acte 4 : Le carnet de notes inséparable

Pour l’entrepreneur, le carnet de notes est aussi essentiel que le soleil et le sable. Même en vacances, les idées brillantes peuvent surgir à tout moment, transformant la plage en un terrain fertile pour la créativité entrepreneuriale. Allongé à l’ombre d’un cocotier, le regard perdu dans l’horizon bleu, il saisit son carnet pour capturer chaque éclair de génie. « Idée pour une nouvelle startup : location de transats avec service de livraison de cocktails automatisé », note-t-il avec excitation, sachant que même les moments de détente peuvent être une source d’inspiration entrepreneuriale.

Acte 5 : La planification des prochaines conquêtes

Alors que certains rêvent de châteaux de sable, l’entrepreneur rêve de nouveaux défis, de marchés à conquérir et d’idées révolutionnaires. Étendu sur sa serviette, les yeux fixés sur l’horizon infini, il laisse son esprit vagabonder vers de nouveaux horizons professionnels. Entre deux sessions de baignade rafraîchissantes, il élabore mentalement la prochaine grande étape de sa carrière, se demandant s’il devrait investir dans des châteaux de sable automatisés ou plutôt se concentrer sur des projets plus ambitieux.

Finale : Le retour à la réalité

Les vacances touchent à leur fin, et l’entrepreneur se prépare à retrouver le tumulte du monde professionnel. Chargé de souvenirs, de nouveaux projets et d’un bronzage qui trahit subtilement son temps passé devant l’ordinateur portable, il quitte à regret le décor paradisiaque de la plage. Pour l’entrepreneur, les vacances sont bien plus qu’une simple pause : c’est une comédie entre sable et stratégie, une aventure où les vagues ne sont pas les seules à avoir du rythme. Alors, il rentre chez lui, prêt à transformer ses rêves de vacances en réalisations entrepreneuriales.

Comment optimiser la rentabilité en externalisant à l’étranger ?

L’externalisation à l’étranger est une stratégie courante pour de nombreuses entreprises cherchant à optimiser leur rentabilité. Cette pratique va bien au-delà de la simple réduction des coûts. Comment externaliser certains aspects de votre entreprise à l’étranger peut contribuer à maximiser la rentabilité ?

Réduction des coûts de main-d’œuvre

L’un des avantages les plus évidents de l’externalisation à l’étranger réside dans la réduction significative des coûts de main-d’œuvre. Dans de nombreux pays, les coûts salariaux peuvent être considérablement inférieurs à ceux des pays développés. Cela permet aux entreprises de réaliser des économies substantielles tout en maintenant la qualité des services. Cette optimisation des coûts contribue directement à l’amélioration de la rentabilité de l’entreprise. Elle permet de réinvestir ces économies dans d’autres domaines stratégiques de développement.

Accès à une main-d’œuvre qualifiée et spécialisée

Externaliser à l’étranger offre également la possibilité d’accéder à une main-d’œuvre qualifiée et spécialisée dans des domaines spécifiques. Des pays comme l’Inde, les Philippines et le Vietnam ont développé des compétences pointues dans des secteurs tels que l’informatique, la programmation et la gestion des processus métier. Cette disponibilité de talents hautement qualifiés permet aux entreprises de bénéficier d’une expertise de classe mondiale. Ceci, tout en réalisant des économies significatives par rapport au recrutement local.

Concentration sur le cœur de métier

En externalisant des aspects non essentiels de l’entreprise, les équipes internes peuvent se concentrer pleinement sur les activités centrales et stratégiques. Cette focalisation accrue sur le cœur de métier favorise une efficacité opérationnelle accrue et stimule l’innovation. Elle améliore ainsi la position concurrentielle de l’entreprise sur le marché. L’entreprise peut ainsi consacrer davantage d’attention au développement de produits, à l’expansion de son marché ou à l’amélioration de la qualité des services.

Gestion de la charge de travail variable

L’externalisation à l’étranger offre une flexibilité précieuse dans la gestion de la charge de travail. En fonction des fluctuations de la demande ou des besoins spécifiques de l’entreprise, il est possible d’ajuster rapidement le nombre de ressources externalisées. Cette capacité à adapter dynamiquement la capacité de production ou de prestation de services permet d’optimiser les coûts en fonction de la demande réelle. Vous évitez ainsi des charges fixes excessives en périodes de sous-utilisation des ressources. En résulte une gestion financière plus agile et une meilleure adaptation aux cycles économiques fluctuants.

Elargissement des horaires de travail

Collaborer avec des équipes situées dans des fuseaux horaires différents ouvre la porte à une extension significative des horaires de travail de votre entreprise. Cette diversification géographique permet de mettre en place des processus opérationnels qui fonctionnent pratiquement 24 heures sur 24. Vous assurez ainsi une continuité ininterrompue des activités. En exploitant les avantages des fuseaux horaires, les tâches et les projets peuvent être passés en relais d’une équipe à l’autre, permettant ainsi une utilisation optimale des ressources et une maximisation de la productivité. De plus, cette disponibilité étendue peut également améliorer la réactivité de l’entreprise face aux demandes des clients ou aux changements de marché.

Gestion des risques et résilience

L’externalisation à l’étranger joue un rôle dans la gestion des risques en offrant une diversification géographique des opérations de l’entreprise. En répartissant les activités dans plusieurs pays ou régions, vous créez une forme de résilience face à d’éventuels incidents locaux, tels que des catastrophes naturelles ou des perturbations politiques. En cas de crise dans une région spécifique, les opérations peuvent être transférées ou redirigées vers d’autres sites, minimisant ainsi l’impact sur les activités de l’entreprise. Cette approche stratégique permet de réduire la vulnérabilité aux risques géographiques et offre une assurance supplémentaire contre les interruptions majeures.

Le patrimoine immatériel de l’entreprise

Le patrimoine immatériel de l’entreprise s’illustre comme la différence entre la valeur comptable (somme de ses immobilisations, actifs, trésorerie…) et la valeur marché d’une entreprise (sa valeur de cession sur le marché qu’est prêt à payer un investisseur pour cette entreprise), avec tout son potentiel de développement au sens large.

La différence entre ces deux valeurs, le « goodwill », est constitué pour l’essentiel du patrimoine humain car comme la marque, le patrimoine humain est un actif essentiel, vital de la création de valeur de l’entreprise.

Regardons ici quelques éléments d’environnement liés au patrimoine humain :

  • La stabilité du personnel garantit un niveau de service fiable et pérenne, une bonne connaissance et appropriation des valeurs de l’entreprise, la bonne connaissance du marché et des clients.
  • La motivation des salariés permet un haut niveau de performance et de productivité, un engagement fort, nécessaire à la créativité et l’innovation.
  • La qualité du management assure la stabilité du personnel et rend possible l’engagement de chacun.
  • L’ambiance de travail permet de réduire l’entropie en favorisant la communication, la pluridisciplinarité et l’entraide.

C’est parce que ces éléments se retrouvent au final en bas de bilan que l’on peut estimer les impacts sur la productivité de la qualité de vie au travail et ainsi calculer les variations de la valeur de l’entreprise.

L‘importance du management de la qualité de vie 

Le management de la qualité de vie au travail devrait convaincre le gestionnaire d’entreprise car il permet, notamment :

  • Meilleure capacité à faire de la croissance externe
  • Accroissement de la capacité d’endettement de l’entreprise
  • Augmentation de la cote boursière pour les entreprises cotées

De nombreuses études en Europe et outre-Atlantique montrent le lien direct qu’il existe entre qualité de vie au travail et performance de l’entreprise. Or, travailler sur l’amélioration des conditions de travail permet de réduire l’absentéisme de moitié et le turnover de 7% selon ces dernières. Aussi, il est estimé que les employés heureux sont 30% plus productifs, leurs ventes sont supérieures de 37% et leur créativité est multipliée par 3 selon une étude de la Havard Business Reviews. Enfin selon l’association internationale de la sécurité sociale, instance européenne qui chapote les sécurités sociales des pays membres, le ROI des investissements de prévention en santé et sécurité au travail est de 2,2.

A l’opposé nous avons les chiffres des coûts de la non qualité de vie au travail. Une étude de Towers Watson réalisée au Canada a révélé depuis longtemps que le prix à payer pour ne pas s’être attaqué aux problèmes liés au stress en milieu de travail était d’environ 7,1% de la masse salariale. Surtout, 50 à 60% des journées de travail perdues en France seraient liées à des problèmes de stress.

Alors comment faire ?

  • Repérer et éliminer les situations dégradées liées soit à l’organisation du travail soit à l’humain
  • Développer le sens du travail, l’autonomie, la reconnaissance
  • Favoriser les collectifs de travail
  • Ouvrir un espace de dialogue et d’expression des controverses
  • Promouvoir la proximité et l’écoute dans les pratiques managériales
  • Egalité professionnelle et équilibre vie privée/vie pro

Sur le fonds

On nous a enseigné par le passé que pour augmenter la performance il fallait de la contrainte, de la pression et que sous la pression les collaborateurs travaillent plus vite. C’est faux ! Ils font autre chose plus vite.

L’erreur vient du fait que le manager à une vision théorique et standardisée du travail alors que le subordonné à une vision réaliste et personnelle. Pour réaliser le travail qui lui est prescrit il doit faire plus que ce qu’on lui demande, car il doit ajuster le prescrit au réel. En lui mettant la pression, d’une part on l’oblige à arbitrer, seul, ce qu’il doit continuer à faire et ce qu’il doit abandonner (notons que si de surcroît l’entreprise ne communique pas clairement sur ses valeurs, ses objectifs, sa notion de la qualité alors l’arbitrage se fait à partir des valeurs du salarié) et d’autre part on place sur ses épaules la résolution des dissonances cognitives de l’organisation du travail, comme par exemple entre des objectifs (qualitatifs) et leur évaluation (quantitative).

Sur la forme, deux options sont possibles

Première possibilité : entrer dans un processus de long terme avec une équipe projet pluridisciplinaire interne. A partir d’un audit, déployer des actions d’amélioration de la qualité de vie au travail avec des indicateurs de suivi. Puis des audits réguliers (tous les 2 ans) pour ajuster le tir.
Cela est intéressant car cela enracine l’action dans l’entreprise en lui permettant sur le long terme de faire des vrais gains, d’avoir une action pérenne et une forte appropriation par les collaborateurs.
Par contre c’est complexe et long, il faut gérer une équipe projet en interne avec des membres venant du management, des employés et des IRP.

Deuxième possibilité : pour les petites entreprises, viser une solution court-terme avec des actions ponctuelles type séminaire ou formation sur l’amélioration de la qualité de vie au travail.

En conclusion on peut dire qu’une bonne pratique de valorisation du patrimoine immatériel de l’entreprise consiste à améliorer la qualité de vie au travail pour réduire l’entropie et améliorer la performance des entreprises.