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Les avantages à être entrepreneur

Nombreux sont ceux qui chaque année empruntent la voie de l’entrepreneuriat. La fonction d’entrepreneur attire et possède des avantages notables mais elle est assortie de certains inconvénients également. Zoom sur ce qui pourrait pousser à devenir dirigeant d’entreprise.

Vous touchez à tout

Un dirigeant au début de l’entreprise touche vraiment à tout. S’il peut continuer à le faire par la suite, il cherchera à déléguer les fonctions qui lui plaisent le moins et ou il est le moins performant. Si vous décidez de vous lancer dans l’aventure seul et que vous ne prenez pas de salariés dès le début, vous serez amené à occuper à toutes les fonctions : communication, commercial, produit, gestion… Rien ne vous échappera même le fait de sortir les poubelles. C’est d’ailleurs une bonne pratique car vous cernez chaque fonction de l’entreprise et vous appréhendez tous ses rouages et vous êtes à même de comprendre le métier de chacun. Vous pourrez ainsi mieux considérer les difficultés de chaque fonction et mettre en place des correctifs. Toucher à tout, permet de connaître le temps que prend chaque action et éventuellement d’instaurer des processus pour diminuer la perte de temps. 

Vous êtes libre de votre emploi du temps

Ceci est vrai et faux ! Au début de l’entreprise, vous êtes au four et au moulin et vous passez énormément de temps au travail. Il n’est pas rare que vos horaires dépassent les horaires de bureau habituels aussi bien le matin que le soir. Il est certes vrai que vous êtes libre de vous absenter sans rendre de compte aussi bien à titre personnel que professionnel mais en moyenne les dirigeants sont présents aux heures de bureau, ne serait-ce que pour aider les équipes ou encore répondre à la demande des clients.

Vous pouvez cependant vous organiser et faire en sorte de sortir de cette nécessité si votre entreprise se développe. Cependant, il faut bien considérer que vous serez parfois contraint d’être présent à l’ouverture et à la fermeture de l’entreprise et que cela s’avère parfois difficile. La présence d’un associé peut vous aider en ce sens notamment quand il s’agit de partir en vacances car il peut vous relayer dans vos fonctions. Vos collaborateurs peuvent également vous suppléer mais vous devez préparer en amont de leur déléguer des tâches afin qu’ils soient autonomes. 

Vous décidez de votre salaire. 

En réalité, c’est plus le développement de l’entreprise qui en décide. Souvent, vous ne pouvez pas vous payer les premières années le temps que votre entreprise décolle. Par la suite, votre salaire sera le premier à être restreint en cas de difficultés de l’entreprise. On imagine souvent que l’entrepreneuriat rime avec richesse alors que dans la plupart des cas, il reste difficile de se payer. Reste que si votre entreprise fonctionne, vous pourrez fixer le salaire lié à votre investissement. Attention tout de même à prévoir que les charges sont très coûteuses et à vous rappeler la très grande différence entre le brut et le net si vous décidez de vous verser un salaire. Il serait peut-être judicieux de vous payer sur les bénéfices afin de ne pas mettre en péril votre trésorerie. 

Vous êtes libre de venir ou non

Si vous organisez votre entreprise en télétravail et que l’activité le permet, vous pouvez bien entendu décider de travailler de chez vous notamment si vous êtes seul pendant la journée à votre domicile. Cependant, diriger une entreprise ne se fait pas forcément à distance car vous êtes le pivot de l’entreprise et que vous devez informer vos équipes, montrer l’exemple, préserver la culture de l’entreprise ou encore pour garder une dynamique de travail. Travailler de la maison peut rapidement entraîner une lassitude ou encore une confusion entre vie professionnelle/vie personnelle. Il est recommandé dans ce cas de créer une pièce à part qui fasse office de bureau de travail et dans lequel vous n’êtes pas perturbé. Certes personne ne vous reprochera (à part vos éventuels associés) de venir ou non au bureau même si cela peut parfois être source de ralentissement pour vos équipes. 

Vous décidez des orientations stratégiques

Pour une fois, vous ne pourrez pas critiquer votre patron sur ses choix stratégiques car c’est vous qui décidez. Vous prendrez souvent vos décisions en fonction de votre connaissance du marché. Certains les prennent en fonction d’indicateurs précis qu’ils mettent en place et qui guident leur choix. La plupart du temps, c’est le marché qui vous dictera naturellement vos choix. C’est vous qui décidez et cela se révèle être un des éléments qui attirent le plus les entrepreneurs à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. Il vous faudra parfois expliquer vos décisions afin de motiver vos collaborateurs et leur faire comprendre le sens de votre action. 

Vous insufflez la culture de l’entreprise

Même s’il s’agit d’un des éléments les moins maîtrisés par les chefs d’entreprise, c’est bien vous qui insufflez la culture de l’entreprise. D’abord, parce que c’est vous qui décidez des valeurs et de l’esprit qui règne au sein de vos équipes. Vous sélectionnez vos collaborateurs et, par votre attitude, vous montrez ce que vous attendez d’eux. Si vous êtes avenant, jovial ou encore disponible, vos collaborateurs auront tendance à faire de même car vous servez d’exemple. Vous dictez la marche à suivre et il ne faut pas hésiter à mettre en avant ce qui vous tient à cœur. Attention tout de même car l’ambiance ou encore la culture sont des éléments qui peuvent vous échapper rapidement au fur et à mesure que l’entreprise grandit. 

Vous pouvez tout mettre en place

Dans la limite de la légalité, vous pouvez mettre tout ce que voulez en place. Cependant, il reste que votre liberté se limite là où celle des autres commencent. Il ne s’agit pas de faire tout et n’importe quoi. Vous devrez souvent décider en fonction du bon sens et du fait que cela ne nuise pas à votre entreprise ou à vos collaborateurs. A noter que certaines de vos décisions seront irréversibles comme, par exemple, le fait de donner des avantages sociaux comme les tickets restaurants et que vous ne pourrez faire selon votre bon vouloir car vous devez respecter des principes de légalité, d’égalité ou de non-discrimination, par exemple. 

La fonction de dirigeant est finalement une fonction où règle une liberté relative. Ce qui reste le plus apprécié par les entrepreneurs est souvent la capacité de pouvoir faire sans demander l’avis des autres même si dans la plupart des cas, vous ferez ce qui va dans le sens du bon fonctionnement de l’entreprise. 

Les conseils pour attirer l’attention des journalistes

Les journalistes sont fort souvent sollicités car chacun sait qu’ils offrent une audience qu’il est difficile d’obtenir en dehors d’une campagne publicitaire onéreuse. Aujourd’hui l’icône partage permet en un clic de partager et donc de faire boule de neige et de développer sa notoriété. C’est pourquoi avant tout quelle que soit la communication (interview ou article), il est nécessaire de bien préparer en amont les questions et les réponses. Ils sont légions à avoir été pris au piège d’une question et ne pas avoir su mettre en valeur leur entreprise et obtenir le résultat contraire à celui escompté. Voici quelques conseils pratiques pour attirer l’attention des journalistes.

Les journalistes sont les meilleurs alliés des sociétés pour faire parler d’elle. Ils se révèlent être un atout pour le développement de l’activité de l’entreprise. Il est pourtant difficile d’obtenir une interview d’un dirigeant tellement ils sont sollicités par les relations presse. Voici quelques conseils pratiques pour attirer l’attention des journalistes.

Bien choisir la publication à convaincre

Faire parler de son activité dans la presse est un bon moyen pour attirer l’attention du public cible. Il est dans ce cas indispensable de bien choisir la publication pour faire passer le message rapidement. Elle doit en effet être en adéquation avec l’activité. Pour la vente d’ustensiles de cuisine par exemple, il serait plus judicieux de se tourner vers une presse spécialisée dans la restauration. La communication est dans ce cas plus pertinente parce que le média en question s’adresse directement au public cible et concerné par l’information.

Savoir se démarquer

Il est plus facile d’attirer l’attention d’un journaliste en se démarquant des autres. Plusieurs moyens peuvent être mis en œuvre pour atteindre cet objectif. La participation à un événement en particulier est un bon moyen pour se faire connaître par la presse. Il va donc falloir mettre tout en œuvre pour se distinguer des autres par des rencontres. Le but est de susciter la curiosité. Certains utilisent les grands moyens de communication et d’autres se basent sur des astuces par manque de trésorerie. La proposition d’un produit novateur ou une présentation originale a toujours des effets positifs. Il ne faut pas hésiter à demander l’aide d’un professionnel si nécessaire.

Utiliser les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont aujourd’hui devenus des outils de communication incontournables. De nombreux journalistes les utilisent pour repérer les nouveaux talents et trouver leurs sujets de rédaction. La présence sur ces réseaux est d’une importance primordiale. Il est ainsi nécessaire de bien rédiger son profil professionnel et les activités de l’entreprise pour attirer un grand nombre de visiteurs. La proposition de sujets pertinents et les réactions sur la publication des autres sont d’excellents moyens pour se faire remarquer sur ces plateformes. Il faut également assurer un contact permanent avec les journalistes afin qu’ils se souviennent de vous au moment opportun.

Contacter les journalistes au bon moment

Attirer l’attention des journalistes ne se fait pas à la légère. Il faut attendre le bon moment pour tenter sa chance. Une bonne préparation est nécessaire afin d’avoir le temps de travailler sur les idées et de s’organiser. Le contenu du communiqué de presse doit en effet être préparé à l’avance. Il doit être à la fois attractif et concis afin de susciter l’intérêt des lecteurs. Il est ainsi nécessaire de prendre son temps pour avoir un contenu qui ne risque pas de disparaître sous une pile de documents. Le communiqué de presse est envoyé par mail et donc il faut prendre soin de choisir un objet clair et explicite pour attirer l’attention du journaliste. 

Les idées mentionnées dans ces conseils ne sont que quelques-unes des astuces pouvant être utilisées pour attirer l’attention des journalistes. Il est tout à fait possible d’utiliser d’autres techniques, seulement elle doit être adaptée à chaque cas. Chacun peut donc appliquer le conseil qui lui correspond le mieux.

Comment se lever de bonne humeur ?

Vous vous êtes levé ce matin et vous vous êtes aperçu que vous êtes chaque jour de plus en plus de mauvaise humeur. Vous ne savez pas trop à quoi attribuer ce sentiment mais vous avez remarqué que vous étiez moins réceptif ou que vos réactions étaient plus vives que d’ordinaire. Petit zoom sur ces éléments qui peuvent contribuer à vous lever du bon pied et à créer l’harmonie pour vous et pour votre entourage. 

1 – Dormir suffisamment

La première cause de mauvaise humeur se révèle naturellement dans le manque de sommeil. Pour vous réveiller de bonne humeur, il vous faut commencer par respecter les 8 heures de sommeil généralement recommandées et donc vous coucher suffisamment tôt pour vous réveiller frais et disponible. Bonne humeur rime avec sommeil donc vous devez chercher à vous discipliner pour bien dormir et profiter de ces heures de récupération. En effet, lutter dès le matin contre le sommeil demande un effort inutile au cerveau. N’hésitez pas à vous coucher tôt car les heures de sommeil avant minuit seraient plus qualitatives selon les experts. Pour plus d’informations comment arriver à des matins légers, vous pouvez consulter ce guide du sommeil gratuit – entre autre avec des conseils de l’Allemand Dr Hans Günter Weeß, chercheur en sommeil.

2 – Vous organiser la veille

Vous pouvez bien entendu préparer vos affaires la veille ou faire en sorte que tout soit prêt à votre réveil. Une bonne organisation vous permet dès le matin de jouir de ce que vous avez fait la veille. Rien de plus agréable que de voir ses affaires prêtes et de n’avoir plus qu’à tendre la main pour les récupérer. Cela vous évite de chercher le matin et éventuellement de vous mettre de mauvaise humeur si vous ne trouvez pas votre deuxième chaussette manquante. Vous pouvez également organiser votre journée et votre to do list afin de savoir exactement ce que vous ferez et quand. Cela vous évitera de vous tracasser et de devoir vous remuer les méninges pour savoir ce qu’il vous reste à faire et d’être envahi par des détails de la vie quotidienne qui génèrent du stress. 

3 – Avoir une bonne hygiène de vie

Il est sûr qu’il est plus difficile d’être de bonne humeur si vous avez des mots d’estomac ou encore des effluves de votre soirée trop arrosée la veille. Pour vous lever du bon pied, il s’agit souvent d’avoir une hygiène de vie. Votre corps vous dicte souvent votre comportement sans que vous vous en rendiez compte. Il y aurait d’ailleurs l’équivalent d’un deuxième cerveau dans le ventre. N’hésitez pas à manger équilibré et à limiter les excès. Pensez également au sport qui libère des hormones du bonheur et qui pourrait vous apporter plus de bien être que vous ne pensez. Certains dirigeants considèrent le sport comme faisant partie de leur fonction. Dans tous les cas, cela vous permettra de relâcher la pression. 

4 – Commencer la journée par du positif

Vous pouvez commencer votre journée par la lecture d’une phrase inspirante ou encore par une musique qui vous égaye. Cela vous changera des « informations » qui représentent souvent une myriade de mauvaises nouvelles et qui rendent pessimistes. Cherchez le positif et à vous dire par exemple : « quelle belle journée s’annonce encore ! » ou encore « Hier, j’ai réussi à … ». Vous pouvez ainsi noter l’ensemble des réalisations de la veille et vous montrer que vous avez avancer dans la réalisation de vos objectifs. Une source de bonne humeur dès le matin. Ne vous dénigrez pas c’est la source de dépression : j’aurais dû » est à écarter de votre vocabulaire !

5 – Réaliser une petite tâche dès le matin

Bon bien commencer la journée et vous mettre dans le bain, vous pouvez commencer par une tâche qui ne vous prend pas beaucoup de temps et que vous aimez bien faire. Vous aurez ainsi déjà accompli une tâche dès votre réveil. Vous aurez l’impression de partir du bon pied et que vous avez déjà commencé à produire quelque chose d’utile. Certains n’hésitent pas à faire la vaisselle ou encore à faire un tri rapide de leurs emails. Une action même symbolique vous permet de vous féliciter et de vivre la journée dans le même élan !

6 – Voir vos amis / votre famille

Rencontrer ses amis ou encore voir votre famille vous permet de vous sentir dans une zone de confort. D’autant plus, si vous partez dans un fou rire ! Vous libérez alors des hormones du bien-être et pouvez créer des souvenirs agréables. Rien ne vous empêche de vous remémorer le matin ou tout au long de la journée ses souvenirs qui vous boostent. Votre humeur n’en sera que meilleure ! De la même manière toute activité qui vous détend peut contribuer à votre bonne humeur. 

7 – Éliminer les facteurs de stress / mauvaise ambiance

Il existe des choses qui nous stressent ou encore des personnes qui vous mettent dès le matin de mauvaise humeur. Pour vous sentir de bonne humeur, il est peut-être temps d’écarter les nuisibles qui plombent l’ambiance dans votre entreprise ou dans votre entourage. S’entourer de personnes positives contribuera également à vous sentir mieux dès le matin et à vous rendre joyeusement au bureau pour rencontrer des personnes qui vous mettent de bonne humeur. N’hésitez pas également à vous débarrasser de ce qui vous stresse afin de ne plus avoir à y passer. Inutile de mettre ce dossier sous le bas de la pile car il reviendra inexorablement vous hanter. Une fois ce facteur de stress traité, vous ressentirez de la satisfaction et il se pourrait bien qu’il ne revienne jamais. 

8 – Faites vous des petits cadeaux dès le matin

Vous raffolez des petits déjeuners bien copieux dès le matin et qui ravivent vos papilles ? Pourquoi ne pas vous faire plaisir et préparer la veille ce dont vous rêverez sûrement le lendemain. Recevoir (même si c’est de vous) quelque chose dès le matin peut contribuer à votre bonne humeur toute la journée. Rien que savoir que vous en disposerez en vous levant devrait vous permettre de commencer la journée de manière positive. N’hésitez donc pas tout simplement à vous faire plaisir ! 

7 façons de réduire le stress en entreprise

Aujourd’hui le stress s’est infiltré sans que l’on s’en rende compte dans notre vie quotidienne professionnelle : embouteillages avant d’arriver au bureau, transports bondés, texto et e-mail d’urgence même si vous n’êtes pas encore arrivé au travail, immédiateté…. Pour un dirigeant, les situations stressantes font partie de son quotidien. Lorsqu’elles sont mal gérées, elles peuvent, à terme, avoir des répercussions négatives sur le fonctionnement de son entreprise. Pour éviter cela, découvrez sept manières efficaces pour réduire le stress en entreprise.

Relaxez-vous

Cela peut paraître évident de prime abord, mais l’une des manières les plus efficaces pour réduire le stress demeure de se relaxer. Il existe une multitude d’exercices de méditation et de relaxation qu’il vous est possible de réaliser seul en quelques minutes à peine. L’un d’entre eux consiste simplement à écouter une musique relaxante, à fermer les yeux, puis à vous imaginer à l’endroit de vos rêves. Laissez voguer votre esprit quelques instants avant de revenir doucement à la réalité. L’effet est immédiat. Vous vous sentirez tout de suite mieux. Des exercices de respiration extrêmement simples existent également pour se sortir d’un état de stress. À vous de trouver la formule qui vous conviendra le mieux !

N’abusez pas du café !

La consommation excessive de café s’avère vivement déconseillée aux personnes sujettes au stress. Connu pour être un excitant, il rend d’autant plus difficile le retour à l’équilibre en cas de situations stressantes. Alors, si vous faites partie de ceux qui boivent dix expressos dans la journée, réduisez votre consommation. Ce type de boisson favorisant les problèmes cardiaques, il est recommandé de la remplacer par d’autres sources d’énergie plus saines. Peu de gens le savent mais manger une pomme le matin se révèle plus efficace que boire un café, et contrairement à celui-ci, elle vous apportera des vitamines qui agiront sur la durée. Il existe la technique ayurvédique qui est de boire un verre d’au chaude le matin au réveil afin de dissoudre et d‘évacuer les déchets toxiques L’eau chaude agit comme une douche intérieure qui nettoie l’estomac, draine le foie et provoque un mouvement intestinal d’élimination.

Faites du sport

On ne vous le répètera jamais assez, mais pratiquer une activité physique régulière s’avère essentiel pour rester en forme. En plus d’éliminer les toxines de votre organisme, faire du sport permet de se vider la tête. Les effets anxiolytiques et antidépresseurs de l’effort physique sont bien connus. Bien évidemment, cela ne résoudra pas vos problèmes, mais cela vous permettra de vous sentir mieux.

N’hésitez donc pas à prendre une petite heure durant votre pause déjeuner ou après votre travail pour aller courir, nager ou faire un match de tennis, par exemple. Votre corps et votre tête vous remercieront. Il est une technique qui est source de bien être est celle de la gymnastique proposée dans les avions pour se détendre. Elle ne vous demande pas de quitter votre bureau mais tout simplement d’offrir à votre cops un moment de pause et à votre esprit un moment ludique que vous pouvez lier à une musique qui vous éloigne de votre quotidien.

Ne procrastinez pas

Pour rappel, la procrastination consiste, dans les grandes lignes, à repousser au lendemain ce qu’on peut faire le jour même. Une tendance qui s’accentue à mesure que vous êtes confronté à des situations stressantes. Mieux vaut gérer les problèmes progressivement lorsque ceux-ci surviennent plutôt que les laisser trainer et risquer qu’ils ne prennent de l’ampleur. Pour cela, fixez-vous des objectifs. Si vous travaillez sur un gros dossier, n’hésitez pas à le fractionner en plusieurs étapes afin de le rendre plus abordable pour vous. Un dossier de 100 pages à rédiger, à titre d’exemple, se révélera bien moins effrayant à réaliser si vous le décomposez en 10 étapes de 10 pages. Encore une fois, il reste à votre charge de trouver l’organisation la mieux adaptée à votre manière de fonctionner. 

Prenez des pauses

Au travail, les pauses s’imposent. Que ce soit pour discuter avec vos collaborateurs ou même salariés, aller déjeuner ou simplement vous reposer un peu. Il demeure indéniable que les pauses s’avèrent essentielles afin de préserver la qualité de votre environnement professionnel. Lorsqu’on se trouve exposé au stress sur son lieu de travail, on a tendance à réagir de façon à insister sur les tâches qu’on doit accomplir. Or, il est avéré que cette attitude se révèle, au final, contre-productive. Si vous voulez rester performant et alerte pendant votre travail, les temps de pause demeurent un passage obligé.

Prenez soin de votre sommeil

Question de logique, plus vous stressez, moins vous dormez. Les troubles du sommeil s’expliquent généralement par une forte exposition au stress et à l’anxiété. Et s’en suit un cercle vicieux. En dormant peu ou mal, vous ne récupérez pas. Vous êtes ainsi plus fatigué, plus irritable et d’autant plus sujet au stress. Pour y remédier, prenez des mesures qui visent à vous faire passer une bonne nuit : avant de vous coucher, évitez les efforts, ne consommez pas d’excitant et efforcez-vous de vous plonger dans une ambiance propice au sommeil.

Acceptez de ne pas être parfait

Dans le monde de l’entreprise, pour les salariés au même titre que pour les dirigeants, le perfectionnisme est souvent considéré comme un gage de qualité. Malheureusement, personne n’est parfait et courir en permanence à la recherche de la perfection peut s’avérer à double tranchant. Si vous vous fixez des objectifs irréalisables et que vous n’acceptez pas vos erreurs, vous ne ferez qu’exacerber votre état d’anxiété. Acceptez vos faiblesses et, concentrez-vous sur vos forces.

La vente en ligne, une nouvelle manière d’acheter

Sur nos postes de travail comme dans nos maisons, dans les transports et dans l’ensemble de nos lieux de vie, force est de constater qu’Internet est omniprésent. Un ordinateur, un téléphone, une tablette, tous les moyens sont bons pour profiter des innombrables services sur la Toile et être en relation avec une personne à l’autre bout de la Planète. De nos jours, presque toutes les transactions sont réalisables 24h sur 24. Commander son dîner, choisir ses vacances, chercher du travail, … 

Selon la Fevad, le chiffre d’affaires des ventes sur internet continue à enregistrer des progressions à 2 chiffres. Le cap des 100 milliards d’€ a été atteint en 2019. Le canal mobile poursuit son développement. Il représente aujourd’hui 22% du chiffre d’affaires des sites e-commerce et 35% pour les sites leaders. L’Europe représente aujourd’hui 30% du chiffre d’affaires e-commerce mondial. La France est le 2e marché e-commerce d’Europe après le Royaume-Uni.  Les Européens sont, chaque année, plus nombreux à acheter en ligne à l’international (en Europe ou hors Europe). Plus de la moitié des sites marchands, petits ou gros marchands vendent à l’international. En Europe c’est 547 milliards d’€ en 2018 et dans le monde 2131 milliards d’$ en 2018, chiffres qui sont déjà en forte augmentation en 2019.

Autant d’actions possibles en quelques clics, de presque n’importe où, notamment depuis l’arrivée des Smartphones qui intègrent la mobilité. Nous pouvons nous connecter en permanence, partout et selon nos disponibilités. De nombreux secteurs ont profité du développement rapide d’internet depuis une dizaine d’années environ. Mais que représente aujourd’hui la vente en ligne ? Quelles sont les évolutions à venir et vont-elles continuer de simplifier et de moderniser la vie du consommateur ? 

La vente en ligne : le magasin 2.0 et des chiffres qui s’envolent 

Les sites de vente en ligne se sont multipliés de façon exponentielle et le temps des magasins physiques dans lesquels nous nous sentions obligés de nous rendre pour réaliser l’ensemble de nos emplettes, pour répondre à des besoins liés à notre vie quotidienne (un voyage, la rentrée scolaire…) ou même pour profiter des soldes, semble loin.

En restant chez nous, confortablement assis, nous pouvons profiter des meilleurs prix possibles sur le marché, en un rien de temps, et avec des délais de livraison qui ne cessent de se réduire grâce aux nombreuses innovations. Des chaussures, des vêtements, de l’alimentation générale, des voitures… presque tout s’achète sur Internet, très facilement et très rapidement.

Il suffit de jeter un regard attentif aux chiffres qui nous parviennent pour se rendre compte du développement ininterrompu du marché de la vente en ligne : la croissance est exponentielle, presque à deux chiffres tous les ans, le chiffre d’affaires réalisé est purement incroyable. L’impact des sites web sur les magasins physiques sont de 79% augmentation de la fréquentation en magasin physique, de 63% en ce qui concerne l’augmentation du chiffre d’affaires en magasin physique. Sur le marché mondial, les données obtenues demeurent à couper le souffle. Et si l’on s’attarde sur les marchés nationaux, dans des pays comme la France ou les États-Unis, on retrouve des chiffres presque identiques, une tendance qui se vérifie donc également à l’échelle nationale. Les sites de vente en ligne font aujourd’hui partie des plus grandes entreprises du monde. 

Vers une expérience d’achat 3.0 

L’expérience client a complètement changé. Cette marche en avant n’est pas au bout de sa progression et les innovations seront encore nombreuses au cours des mois et les années à venir. Il est facile de deviner que prochainement, l’expérience d’achat sera modernisée à base de réalité virtuelle augmentée, d’hologrammes, avec des livraisons qui seront peut-être réalisées par des drones afin d’en raccourcir les délais. Il est déjà possible, par exemple, de choisir des lunettes de vue ou de soleil directement sur Internet, grâce à un petit logiciel qui rend les lunettes virtuelles et vous permet de les essayer grâce à votre webcam. Un principe de réalité virtuelle augmentée qui n’en est pourtant qu’à ses balbutiements. Cet exemple nous montre que des utilisations similaires devraient voir le jour dans tous les secteurs, pour l’achat d’autres articles, d’autres objets. 

Une livraison immédiate ?

C’est d’ailleurs sur la livraison que les innovations devraient se concentrer dans un premier temps. Sur l’année 2019, ce sont plus de 87 milliards de colis petits ou gros qui ont été envoyés d’un bout à l’autre du monde. Des livraisons qui ne cessent de s’accélérer et qui vont continuer à être de plus en plus rapides. Avec l’arrivée des drones, des sociétés commencent, depuis quelques années, à étudier la possibilité de livrer les colis directement pour améliorer le temps de livraison. Le géant américain Amazon ne s’est d’ailleurs pas privé d’une petite vidéo où l’on peut apercevoir un drone en train d’effectuer une livraison, preuve que le projet est déjà très avancé.

Si la livraison est à l’honneur, un autre point demeure au cœur de la modernisation de la vente en ligne, c’est l’émergence de l’imprimante 3D. Développée depuis quelques années maintenant, cette machine est en train de connaître un véritable succès et son utilisation se démocratise dans les entreprises comme chez les particuliers. Bien que l’investissement reste encore conséquent, il y a fort à parier que l’accès à celle-ci sera bientôt largement facilité et qu’elle devrait prochainement être présente dans bon nombre de foyers. L’avenir nous le dira. 

Pourquoi certains entrepreneurs décalent leurs horaires ?

Il est courant de voir des entrepreneurs qui décident de décaler leur planning et de travailler la nuit par exemple. On pourrait se dire que c’est parce qu’ils souhaitent agrandir leur temps de travail mais pas seulement. Zoom sur ces raisons sous-jacentes qui incitent des dirigeants à modifier leurs horaires habituels.

Pour ne pas être trop sollicité 

Il est clair que pendant les horaires de bureaux les sollicitations sont bien plus nombreuses que lorsque vous travaillez la nuit par exemple. La tentation est grande d’aller jeter régulièrement un coup d’œil sur ses emails et les perturbations tels que les coups de fils peuvent vite vous ralentir dans votre activité. La nuit ou tôt le matin, tout est plus calme et on vous contacte beaucoup moins. Vous avez donc moins tendance à consulter votre boite email pour une urgence et à vous distraire. On se concentre plus facilement lorsqu’on sait que rien ne viendra nous perturber. Prenez en compte qu’à termes, cela peut tout de même avoir des effets néfastes sur votre organisme. 

Pour gagner du temps

Commencer plus tôt ou finir plus tard entraîne de nombreuses conséquences. Déjà votre temps de trajet est en général diminué : les routes circulent mieux et les trains/transports plus rapidement même s’ils sont moins nombreux. Ils s’arrêtent moins longtemps aux stations car il y a moins de personnes présentes et les perturbations demeurent souvent moins nombreuses. Le gain de temps est particulièrement conséquent si vous allez dans une zone fortement fréquentée et que vous prenez votre voiture par exemple. Certaines entreprises ne s’y trompent pas et décalent volontairement les heures d’arrivées pour éviter à leurs salariés des ralentissements liés à la circulation. 

Pour diminuer le stress 

Il est clair que les embouteillages ou encore la présence de monde sur les quais du métro par exemple demeurent des facteurs de stress. Ne pas savoir si vous allez pouvoir prendre votre rame, se faire « écraser » ou encore subir le bruit urbain reste très désagréable. Toute cette agitation stresse et rien que de penser au trajet cela peut devenir désagréable. En horaires décalés, non seulement les nuisances sonores sont moins nombreuses mais en plus vous pouvez vous asseoir et parfois même choisir votre place, ce qui permet de vivre des déplacements plus sereins. Vous pouvez en profiter pour vous lire ou regarder une série ce qui ne serait guère possible en heures de pointe. 

Pour éviter les tentations

Si vous travaillez toute la nuit jusqu’à la fin de l’après-midi, il est clair que votre organisme vous réclamera du sommeil à partir de 18 heures. Autrement dit, au moment de la sortie de bureau et où les invitations/tentations peuvent pleuvoir, vous êtes en train de dormir… Décaler ses horaires rythment donc différemment vos journées et vous aurez moins tendance à sortir. Une bonne idée si vous avez tendance à vous éparpiller et à vouloir un peu trop profiter des longues soirées entre amis. Attention tout de même à ne pas trop vous isoler car il faut tout de même se détendre un peu. 

Car ils sont plus du soir ou du matin.

Bien que les études scientifiques tendent à démontrer que nous serions tous plus du matin, de nombreuses personnes se sentent plus à l’aise tôt le matin ou tard le soir. Il est courant que leur organisme ait pris le pli et qu’ils se sentent davantage en forme pour évoluer à des horaires différents de la majorité des personnes. Il s’agit donc parfois simplement d’une préférence. Les insomniaques ou ceux qui sont fortement stressés et qui peinent à s’endormir, privilégient parfois ce mode de vie qui leur permet de dormir au moment où ils ressentent une fatigue trop intense. 

La surinformation : une info à ne pas manquer !

La surinformation est devenue un fléau qu’il est difficile d’endiguer. Si l’ignorance est la base des illusions, de idées préconçues, celle de la surinformation demande aussi de ne pas être à la merci de l’information et de croire les informations qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux. Les fakenews peuvent malheureusement avoir un impact sur le business de toute entreprise. C’est pourquoi il faut établir une veille systématique pour ne pas être pris au piège dans leurs filets dont on ne sort jamais totalement indemnes.

La quantité d’informations produite n’a jamais été aussi grande. Il suffit de deux jours désormais pour produire autant de données que depuis l’invention de l’écriture. C’est pourquoi on peut réellement parler de déluge tant la quantité d’informations que nous recevons chaque jour est importante. Comment alors ne pas se laisser submerger ? Comment ne pas se noyer sous les flots de données pour ne retenir que l’essentiel et l’utile ? Quel rôle va jouer le big data dans les années à venir ? Autant de questions auxquelles nous allons essayer d’apporter des réponses.

Un océan de données

On parle souvent d’un océan de données pour désigner toutes les informations produites chaque jour, et il n’y a réellement aucune exagération dans cette appellation. Ainsi, tous les deux jours, la quantité de données produite est équivalente à celle produite depuis de début de l’Internet. Dans moins de dix ans, elle sera cinquante fois plus importante à ce qu’elle est aujourd’hui. Depuis vingt ans, les usages n’ont cessé d’évoluer.

À l’époque, une disquette contenant 1,4 Mo permettant d’échanger nos fichiers, des disques durs de quelques dizaines de Mo suffisaient à stocker toutes les possessions numériques d’une entreprise. Les nouveaux usages ont induit de nouveaux besoins. Nous partageons des images en haute résolution, sauvegardons des films, publions des informations sur des réseaux sociaux à partir d’ordinateurs, de tablettes, de Smartphones, où que nous soyons et à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Des centaines de milliers de messages sont publiés sur X(Twitter), des millions de SMS sont envoyés, des centaines de millions de courriers électroniques parcourent chaque jour le réseau.

Toutes ces informations doivent être déplacées, traitées, stockées. L’essentiel des données est encore produit par des humains. Elles seront de plus en plus dans l’avenir générées par des capteurs et des automates. Un grand nombre de données issues de caméras, de stations météo ou encore de réseaux de transports urbains laissés en libre accès (open data) ou non viendront grossir chaque jour le flux des données générées par des humains.

Le big data pour traiter le flot de données

Pouvoir accéder à des volumes inimaginables de données est une chose, en faire quelque chose d’utile en est une autre. Analyser de telles quantités de données représente un défi inédit dans l’histoire du traitement de l’information. C’est de ce besoin qu’est née la nouvelle discipline du big data. Elle consiste à analyser les immenses bases de données en utilisant des algorithmes spécifiques. L’objectif est d’établir le lien entre tous les éléments enregistrés afin de mettre en exergue des informations exploitables. Mais pour être efficace, le big data doit être en mesure de délivrer le résultat des traitements très rapidement.

Pour effectuer ces opérations en quelques dixièmes de secondes, il faut naturellement déployer une puissance de calcul suffisante. Google a été précurseur dans le domaine avec les énormes quantités de données traitées par le moteur de recherche. Cependant, d’autres sociétés lui emboîtent le pas. Les débouchés sont nombreux. Ainsi la prévision d’audience pour les chaînes de télévision à la définition précise de cibles marketing en passant par le suivi et la prévention des épidémies ou même la prédiction des crimes pour mieux les empêcher, nos données intéressent tout le monde. Nos données intéressent tout le monde… y compris les pirates. Se pose donc maintenant la question ultra-sensible de la sécurité des données.

En 2011, pas moins de 24 millions de comptes ont été piratés chez Sony. De nombreuses informations personnelles et confidentielles (comptes bancaires) ont ainsi été obtenues. On ne compte plus les exemples de ce type, de plus ou moins grande ampleur, qui sont relayés régulièrement par les médias. Toutes les sociétés manipulant ces énormes quantités de données sont donc des cibles potentielles.

Ne pas se laisser submerger

S’il peut être intéressant de disposer d’un grand nombre d’informations, est-ce toujours utile, pertinent et efficace ? Nous sommes parfois dépassés par la quantité d’informations que nous recevons en permanence. Hyper-connectés, addicts aux nouvelles technologies, cet afflux de données peut finir par désorganiser notre vie, personnelle et/ou professionnelle. Au final, la quantité d’informations que nous recevons chaque jour nous rend-elle plus performants ? Est-ce réellement une aide, un atout ? Rien ne prouve à l’heure actuelle que plus de données signifie plus d’efficacité et de rentabilité. En revanche, ce qui est sûr, c’est que le traitement, l’analyse et l’utilisation de ces données demande de plus en plus de temps dans la journée.

Pour être sûr que le rapport entre le temps passé à décortiquer les informations reçues chaque jour et le bénéfice qui en découle reste positif, il est impératif de se concentrer sur ce qui est réellement nécessaire et d’éliminer le bruit, les données parasites. Ainsi, faire le tri très régulièrement dans ses abonnements à des listes de diffusion est un bon réflexe, voire un réflexe de survie. Ne conservez que les abonnements en lien direct avec votre activité. Au pire, si vous souhaitez conserver tout de même certains abonnements mais que vous savez qu’ils risquent de vous faire perdre du temps, ou qu’il s’agit d’informations secondaires en termes de priorité, utilisez une adresse email secondaire que vous ne consulterez qu’occasionnellement, lorsque votre emploi du temps vous en donnera la possibilité. Utilisez également les filtres proposés dans la plupart des logiciels de messageries ou d’agrégation de nouvelles.

Rester à l’état de l’art

De la même façon, il est important pour une entreprise de mettre à jour régulièrement ses outils de marketing et de communication. S’il est aisé de toucher de plus en plus de monde par des campagnes marketing grâce aux nombreuses données recueillies, c’est plus compliqué de cibler correctement les personnes les plus susceptibles d’être intéressées par un produit ou par un service. Trier les informations, supprimer les redondances, effectuer des recoupements et filtrer les données pour en extirper uniquement celles qui sont nécessaires, autant de fonctions indispensables à un outil opérationnel. Des outils régulièrement mis à jour en lien avec des applications de traitement big data performantes permettront de cibler vos campagnes de communication de façon parfaitement efficace.

Des comportements qui évoluent

Auparavant, il nous fallait raisonner avec moins d’informations, faire preuve de déduction, anticiper. L’abondance d’informations facilement accessibles a profondément modifié les comportements. Avec moins de données, il fallait réfléchir en amont, chercher l’information manquante ou la solution, voire, faire sans. Désormais, le flot de données étant permanent, nous avons plutôt tendance à réagir en aval, une fois l’information reçue. Cela pourrait bien à terme nous priver d’une partie de notre libre-arbitre.

La peur de manquer fait partie de l’être humain, et elle existe même pour les informations. Certaines personnes se sentent rassurées en recevant de grandes quantités d’informations. Mais est-ce une bonne chose ? Sans temps suffisant pour filtrer et assimiler les informations, elles sont acceptées telles quelles. Couper les communications, faire taire parfois le bruit permanent engendré par les différents flux ne peut qu’être bénéfique. À condition naturellement de le faire avec discernement. Tout savoir n’est pas forcément souhaitable. Il vaut donc mieux prendre le risque de rater des informations plutôt que d’être submergé et de pas pouvoir de toute façon tout exploiter.

Développez votre réseau et entretenez-le !

Difficile aujourd’hui d’exister et de trouver de nouveaux débouchés dans son activité sans un véritable réseau physique et virtuel. Un capital relationnel qu’il convient de développer et surtout d’entretenir.

Pour développer son réseau, il est sage de procéder étapes par étapes. La première consiste à faire le point sur son réseau actuel. Nous avons tous un réseau. Parfois, sans le savoir. Qu’il se soit construit à partir d’une activité sportive ou culturelle, ou qu’il se soit forgé à force d’implication dans la vie politique ou associative, ce réseau est généralement plus large et plus étoffé que vous ne le croyez. Recensez toutes les personnes que vous avez croisées autour de centres d’intérêt commun et celles avec lesquelles vous avez travaillées, vous constaterez alors qu’un réseau se constitue très facilement.

Un réseau multicouches

Faites d’abord le point sur votre réseau « personnel » qui inclut les parents, l’entourage (voisins, amis, cercles familiaux, etc.) et les relations de proximité (commerçants locaux, médecins, pharmaciens, etc.). Ajoutez à cela votre réseau « professionnel » qui comprend les personnes rencontrées pendant les études et la vie active (collègues, fournisseurs, sous-traitants, clients, partenaires, etc.). Terminez par le réseau « extra-professionnel » qui intègre les partenaires sportifs, associatifs et autres. Enfin, vérifiez que vous n’avez oublié personne en listant vos contacts sur les réseaux sociaux, qu’ils s’agissent de réseaux généralistes, professionnels ou plus ciblés. Vous pourrez dès lors vous constituer un répertoire complet avec une classification des contacts en fonction des liens que vous avez tissés avec eux et de leur domaine d’activités. Certaines relations auront certainement besoin d’être solidifiées avant d’être sollicitées.

Définir un objectif 

La seconde étape consiste à définir un objectif ? Á quoi pourra bien vous servir ce réseau ? Comment l’utiliser au mieux et à quelles fins ? S’agit-il d’obtenir des informations sur un secteur d’activités bien précis ? Sur une entreprise à laquelle vous envisagez de vous adresser ? D’avoir des conseils de la part d’un expert ? D’entrer en contact avec des futurs partenaires ? Une fois l’objectif clairement défini, vous saurez vers quels contacts vous orienter. Les parents et les proches peuvent servir, mais ce sont souvent les personnes auxquelles vous ne pensez pas, qui seront les plus à mêmes de vous aider dans votre projet ou votre activité.

Faire de ses contacts des prescripteurs

N’oubliez que si votre réseau peut vous apporter beaucoup, vous aussi vous disposez d’une expertise qui peut leur être utile. Voilà pourquoi il convient d’entretenir ce réseau, de maintenir des relations constantes, mais aussi de les développer en faisant de vos contacts des prescripteurs auprès des membres de leurs propres réseaux. Pour cela, répondez avec professionnalisme à leurs sollicitations, même si dans un premier temps, elles semblent peu rentables et chronophages. En apportant vos connaissances et faisant plaisir à une personne inconnue qu’un membre de votre réseau vous a présentée, vous en ferez un prescripteur auprès des membres de son réseau. Reste à cibler les bons interlocuteurs pour ne pas perdre trop de temps.

Entretenir son réseau demande du temps

Dernière étape et non des moindres : l’entretien de votre réseau. Pour cela, il convient d’organiser et de favoriser les rencontres, de participer à des évènements (salons, foires, expositions, forums, conférences, etc.) ou des formations liées à votre secteur d’activité, de rejoindre des organisations professionnelles, des associations ou des réseaux déjà constitués, de prendre le temps d’échanger avec chaque membre, de vous impliquer dans certaines actions, voire de publier un profil spécifique sur les réseaux sociaux et en l’alimentant de manière active. Pourquoi ne pas créer un blog ou participer à des forums afin de démontrer votre expertise et de la valoriser. Encore faut-il bien planifier le temps à consacrer à ce « réseautage ».

Mais, sans développement et sans entretien, un réseau, aussi large soit-il, ne sert à rien.

WesJet, réalise le buzz pour le Noël

WesJet, une compagnie low cost canadienne est en train de créer le buzz grâce à une opération et une vidéo qui font le tour de la toile. Avec plus de 5 millions de vues en trois jours, elle réalise de nouveau un buzz. Zoom sur cette opération.

Une entreprise qui n’en est pas à son premier buzz

Si l’entreprise réussit une nouvelle fois à faire le buzz, on peut dire qu’elle est une habituée de la période de Noël. En effet, celle-ci avait déjà fait le buzz en 2012 avec un flashmob de Noël. Elle a donc décidé cette année d’en remettre une couche en allant beaucoup plus loin dans le concept avec pas moins de 106 collaborateurs volontaires. Ainsi, des employés déguisés en lutins ou en rêne, des chants de noël, des danseuses, un père noël distribuant des cadeaux… Vous trouverez l’ancienne vidéo ici.

Un nouveau buzz qui cartonne.

Si cette première vidéo était charmante, l’entreprise est allée beaucoup plus avant dans le concept cette année. Lors d’un vol entre Toronto et Hamilton (Ontorio), elle a réservé une surprise à ceux qui venaient prendre leur bagage à l’arrivée. Le concept était simple : les passagers conversaient avec un père noël dans le lounge de départ au travers d’un écran et lui disait ce qu’il désirait avant de monter dans le vol. Et on peut dire qu’elle leur a fait une sacrée surprise puisqu’ils ont eu le plaisir de découvrir leur désir réalisé à leur arrivée.

Il faut dire que les équipes y ont mis le maximum de volonté en courant (littéralement) pour aller acheter les cadeaux afin qu’ils soient présents à l’arrivée. Le personnel s’est évidemment mobilisé une nouvelle fois et montre son attachement au bonheur des clients de l’entreprise. Il n’y a qu’à regarder les réactions des passagers quand les cadeaux arrivent (par milliers) du tapis pour comprendre l’émotion ressentie. Une surprise qui aurait le mérite d’être de bon goût et qui pourrait fidéliser pour de longues années les clients de la compagnie. Comme quoi il peut y avoir du bon à transmettre ses désidératas au père noël.

Notre avis sur le buzz

Ce buzz est particulièrement réussi pour plusieurs raisons. Déjà parce qu’ils récompensent les clients de l’entreprise et qu’il prend en compte ce que les clients désirent. Ensuite, parce qu’il a lieu sur le quotidien de l’entreprise puisque les cadeaux étaient livrés en même temps que le service habituel de l’entreprise. Il s’agit donc une bonne manière de réussir une expérience client. La mobilisation des équipes est également magnifique puisqu’elle montre une forme de cohésion dans l’entreprise et pourrait donner envie de travailler dans l’entreprise à n’importe quel fan de l’esprit de Noël.

Enfin, l’effet de surprise est total car peu de gens pourraient imaginer ce qui trame pendant qu’ils sont tranquillement en train de faire leur vol. Si les cadeaux ont dû coûter une belle petite somme à l’entreprise, le retour en termes d’image et de communication en vaut largement la peine. On remarquera que dans le cadre des deux buzz ils ont allié : cadeaux, surprise, lieu de la prestation, collaborateurs, clients et bien sur l’esprit de Noël. Une belle leçon à retenir donc.

Les licornes, kezako ?

Dans le domaine de l’économie, le terme de licorne, traduction de unicorn en anglais, désignait initialement une start-up installée sur le sol américain, ayant moins de 10 ans d’existence et valorisée sur le marché avec une estimation dépassant le milliard de dollars, avant même sa cotation en bourse. Qu’en est-il aujourd’hui ?

Créé en 2013 pour désigner des start-up américaines au succès financier sans égal, le terme de licorne s’est désormais intégré au vocabulaire économique du monde entier et n’est plus seulement réservé aux entreprises américaines.

Il y a environ 300 Licornes dans le monde en 2019 et la très grande majorité se trouve en Chine et aux US. A ce jour, la France ne compte officiellement que six Licornes :  BlaBlaCar, OVH, Daitaku, Meero,  Ivalua et Doctolib depuis sa levée de fonds.

Les principes pour être une licorne

Il ne suffit pas de peser financièrement très lourd sur le marché pour intégrer le très prisé classement des licornes mondiales. L’origine du terme appliqué aux entreprises provient d’une étude économique réalisée en 2013 par Aileen Lee, fondatrice du fonds d’investissement Cowboy Ventures, qui avait réalisé un état des lieux des entreprises les plus prospères créées après 2013. Cette étude a conduit à démontrer que moins de 0,1 % des entreprises ayant bénéficié de financement par un capital risque atteignait une valorisation de plus d’un milliard de dollars dans la décennie suivante.

Pour souligner la rareté de ce phénomène, elle choisit le terme de « unicorn », en référence à l’animal fantastique, fascinant et mystérieux. à l’image des très talentueuses start-up américaines Airbnb, Dropbox ou encore Snapchat. Ces entreprises sont installées sur le sol américain (même si ce n’est pas forcément leur pays d’origine). Elles possèdent la particularité d’avoir moins de dix ans et une valorisation supérieure à un milliard de dollars. Enfin, toutes les entreprises classées comme licornes ne sont pas (ou pas encore) cotées en bourse. 

Les origines du succès

Mais comment ces toutes jeunes entreprises peuvent-elles alors connaître un tel succès financier sans même entrer en bourse ? Elles surfent sur deux tendances fortes de ces dix dernières années. La première ? Les nouvelles technologies. Par-dessus tout, les licornes profitent d’un contexte monétaire qui leur est très favorable, dans lequel les investisseurs ont choisi de miser massivement, après que de nombreux fonds en capital-risque aient fait le mauvais choix de ne pas investir dans l’entreprise alors naissante de Facebook.

Si on prend souvent en compte la valorisation d’une entreprise pour définir s’il s’agit d’une licorne ou non, celle-ci reste cependant une donnée très subjective. Une start-up peut lever plusieurs millions de dollars de fonds, basculer ainsi au-delà du milliard de dollars de valorisation, mais ne pas être très rentable ou avoir une rentabilité forcée. Les investisseurs posent des conditions drastiques de retour sur investissement nullement prises en compte dans la valorisation utilisée pour l’établissement du classement. Il convient de regarder les chiffres parfois vertigineux de la valorisation avec une certaine mesure, pour bien appréhender le poids réel de ces entreprises.

Un phénomène pas si rare dans l’économie mondiale

Le phénomène est désormais en pleine expansion, puisque l’on comptait « seulement » 82 entreprises valorisées à plus d’un milliard de dollars en janvier 2015. Elles étaient 134 mi-septembre de la même année. Les dernières études économiques font état de près de 300 licornes dans le monde en 2019. BlaBlaCar, OVH, Daitaku, Meero,  Ivalua et Doctolib ont ainsi réussi à se hisser dans le très convoité classement des 300 start-up pesant plus d’un milliard de dollars. Les analystes ont désormais inventé un nouveau terme, pour désigner les entreprises remplissant les mêmes critères que les licornes, mais à la puissance 10 : les decacorn. Celles-ci suivent le même principe mais sont valorisées à plus de 10 milliards de dollars.

Le continent européen, terre potentielle ?

À l’échelle mondiale, les licornes sont au nombre de 300 dans le dernier classement émis par CB Insights, société de conseil et d’analyse dans le domaine de l’économie, dont quarante proviennent du continent européen. L’organisme GP Bullound, dans son étude « European Unicorns : Do The Have Legs ? » se penche sur le phénomène des licornes européennes, pour mieux cerner leur profil.

De Skype à Zalando, en passant par le français BlablaCar, l’étude a passé au crible les 40 entreprises européennes valorisées à plus d’un milliard de dollars. L’Europe n’a pas à rougir de ses entreprises, puisqu’en 2014, 13 nouvelles start-up intégraient le classement mondial des licornes, contre 22 la même année aux Etats-Unis.

Il convient de noter que la valorisation entre les deux continents est sans commune mesure, puisque l’ensemble des licornes européennes pèsent 120 milliards de dollars au total, alors que Facebook en pèse 230 milliards à lui seul. Ainsi, la valorisation moyenne des licornes européennes avoisine les 2,1 milliards de dollars, pour un âge moyen se situant autour de 8 ans. Les licornes européennes se sont essentiellement développées dans le domaine de la fintech (nouvelles technologies appliquées au domaine de la finance), de l’e-commerce, du software et du market place. En Europe, c’est le Royaume-Uni qui compte le plus de licornes en Europe, suivi par la Suède, l’Allemagne et la Russie. La France se positionne elle en 5e position avec six entreprises en course.

Un succès français à l’américaine

Le succès des six entreprises françaises au milieu de très grands noms de l’économie mondiale a de quoi surprendre au premier abord, et pourtant, il semblerait bien qu’il existe un modèle de succès économique en France. Les six entreprises, aujourd’hui considérées comme des licornes sur un plan international, se sont développées dans des domaines totalement différents, avec des méthodes bien distinctes. Alors quel est le secret commun de leur réussite ? Les six dirigeants s’accordent à dire que l’essentiel demeure de trouver le bon modèle économique et de s’y tenir, pour pouvoir se développer très vite et à l’international. Les marchés français et européens s’avèrent trop restreints et ne suffisent pas à réaliser une success story capable de faire rentrer l’entreprise dans le royaume des licornes.

Pour y parvenir, il reste donc nécessaire de trouver des créneaux novateurs encore inexploités dans ces pays. Un succès que Vente-privée a failli ne pas connaître sur le marché américain. Celui-ci ayant été freiné par un modèle de vente auquel les marques américaines n’adhéraient pas du tout. Le recrutement joue également un rôle prépondérant pour gravir rapidement les échelons des classements. Et à ce jeu-là, les Américains ont bien souvent un temps d’avance. Développeurs, webmasters,… sont autant de domaines dans lesquels il importe d’opérer un recrutement de choix pour pouvoir faciliter les levées de fonds.

Les futures licornes internationales, européennes et françaises

Les experts s’accordent tous à dire que les entreprises qui intégreront le classement très prisé des licornes représentent l’avenir pour les investisseurs de capitaux. Il est devenu indispensable de pouvoir prédire au plus juste quelles start-up émergeront dans les deux à six prochaines années. Elles sont ainsi scrutées à la loupe, pour suivre leur évolution. Des listes de noms d’entreprises très prometteuses émergent régulièrement, que ce soit sur le plan international, européen ou français. Ces pronostics sont susceptibles de conditionner fortement les levées de fonds futurs de ces start-up.

Au niveau international, une quinzaine d’entreprises sont pressenties pour atteindre le statut de licornes dans les mois à venir. Cette relative proximité fait quelque peu perdre son prestige au statut de licorne, mais il n’en reste pas moins que le cap du milliard de dollars demeure très attractif. En Europe, sans surprise, c’est le Royaume-Uni qui semble abriter le plus grand nombre de potentielles futures licornes, suivie par la Suède. 

Les licornes, phénomène de mode ?

Le phénomène a certes de quoi fasciner tous les chefs d’entreprise, mais de quoi inquiéter également. Rappelons que la valorisation de ces entreprises est sans lien avec la bourse, puisqu’une licorne n’y est pas encore par définition. La richesse de ces start-up provient quasi exclusivement des levées de fonds qu’elles peuvent réaliser. Mais c’est ici que le bât blesse puisque le niveau de valorisation des start-up classées comme des licornes est parfois sans commune mesure avec les profits réellement générés sur le marché. Ces dernières années, les investisseurs se sont montrés prêts à investir des sommes colossales, si le concept s’avérait être séduisant et prometteur, faisant penser à la création d’une nouvelle bulle. De peur de passer à côté d’un nouveau phénomène technologique comme ont pu l’être Facebook, Google ou Uber, les détenteurs de capitaux ont injecté des sommes folles dans des entreprises ayant peu d’années d’existence. 

Un ralentissement de l’investissement

Au cours du deuxième semestre 2015, on avait assisté à un ralentissement des levées de fonds, y compris par les plus importantes entreprises, telles qu’Airbnb. De même, un tel afflux de quantités d’argent dans des jeunes entreprises, qui pour certaines ne sont même pas encore rentables, a de quoi mettre en péril l’équilibre économique. Autre limite des licornes, elles se résument bien souvent à une valorisation, ce qui fait totalement oublier l’humain derrière, en ne mettant pas en lumière les salariés et leurs actions. Ce point faible des licornes pourrait aisément devenir leur talon d’Achille dans les années à venir. 

Infographie: D'où viennent les licornes ?  | Statista