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Pourquoi l’impression n’est pas morte ?

Si certains prônaient la disparition des documents imprimés, il faut bien constater que ce n’est pas le cas. On serait même tenté de penser qu’il n’y a jamais eu autant de documents imprimés qu’aujourd’hui. Zoom sur les raisons qui poussent à conserver le format papier. 

Des formats impactants

Malgré les nombreuses applications qui ne font que progresser et offrir toujours plus de personnalisation, il reste que certaines habitudes ont la vie dure. L’imprimé publicitaire disponible dans les boîtes aux lettres n’a pas disparu. D’ailleurs la majorité des personnes admettent s’être rendues en magasin après avoir reçu ce type de communication. Nul ne doute aussi que dans de nombreux cas, l’impression a un impact nettement supérieur à d’autres formes de communication. Elles n’ont pas lieu dans le même temps et ne dégagent pas forcément une image intrusive comme le serait des campagnes de communication par email par exemple. 

Les habitudes en fer de lance

Nos habitudes jouent aussi dans le choix de ce type de format. De nombreuses nouvelles applications apparaissent …. Et disparaissent. Nous ne pouvons pas tout tester et il reste souvent difficile de se mettre à l’apprentissage de l’ensemble des nouveautés. Il s’agit parfois d’évoluer dans un cadre rassurant et qui dégage une certaine image de professionnalisme comme le fait d’avoir une carte de visite. 

Une question de rapidité.

L’imprimé possède encore une belle vie devant lui car il faut noter qu’il garde un côté pratique notamment quand il s’agit d’annoter rapidement des documents en toute situation. Le gain de temps est parfois précieux par exemple lorsque vous annotez des cartes de visites lors d’une soirée business où les contacts peuvent aller très vite. Certaines opérations demeurent plus longues à exécuter avec un smartphone par exemple qu’un simple stylo.

Les défauts du web ou de l’électronique en cause

Comme nous le notions plus haut, si l’impression a encore de beaux jours devant elle c’est d’abord parce que les nouvelles technologies possèdent des défauts qu’elles vont devoir combler dans les prochaines années. On pense d’abord au fait que parfois la connexion à internet n’est pas possible, ce qui rend différents objets inutilisables dans certaines conditions. Les batteries ont également leur lot de complexité et on a souvent l’impression de passer notre vie à recharger nos différents outils électroniques. 

D’autres éléments comme la capacité à rester concentré sur un écran ou encore l’impact sur notre santé et notre fatigue peuvent rapidement nous pousser à imprimer des documents. La nécessaire connexion à internet peut également jouer par exemple si vous êtes en déplacement et que celle-ci peut s’avérer instable. 

L’image de l’imprimé

On le sait quand on imprime une communication, celle-ci ne peut être corrigée comme le serait un article sur le web. La vigilance reste donc accrue avant toute impression et le nombre de contrôle est renforcé. Une belle plaquette ou encore des imprimés de tout format et de grande qualité continuent ainsi à renforcer l’image de professionnalisme d’une société. Les start-ups ne s’y trompent pas et continuent d’imprimer de nombreux éléments comme leurs valeurs qu’elles affichent encore partout dans leurs locaux. Pour cela, elles font appel à des sociétés comme Printoclock, spécialisées dans l’impression. 

Car cela ne pollue pas tant que ça

Si quand on évoque la déforestation, pollution, gaspillage… le papier semble être l’un des grands maux de la terre, la réalité est fort différente. L’industrie papetière en France a très nettement réduit son empreinte carbone. Elle n’utilise d’ailleurs que du bois provenant des sous-produits de la forêt A contrario l’élevage de bétail est en réalité, bien plus, négatif. Selon l’association Culture Papier, les investissements pour répondre aux besoins écologiques ont généré « une diminution de 80% des rejets dans l’eau, une réduction de plus de 30% des consommations d’énergie, ou encore une diminution de 50% des émissions de CO₂ fossiles par tonne produite ». Et puis contrairement à ce qu’on pense l’email pollue notamment du fait que les pièces jointes ont leur impact écologique.

Les tendances du e-commerce aujourd’hui

Le paysage de l’e-commerce s’est transformé en peu de temps et impose aux personnes qui souhaitent se lancer dans l’aventure de ne pas le faire avec amateurisme. Obtenir du trafic et gagner de l’argent sur internet demande des compétences et du temps. Certains pensent qu’il suffit de créer un bon site internet pour obtenir un trafic intense et qui ne cesse d’augmenter chaque jour. Si cela se révélait possible quand il n’y avait que peu de sites internet, il s’agit aujourd’hui de faire ressortir son site dans un environnement devenu concurrentiel. La face cachée du succès se trouve dans une connaissance pointue de la stratégie marketing web.

Connaître son client

Les sites e-commerces connaissent de mieux en mieux leurs clients. Ils utilisent de plus en plus les datas afin d’aider ces derniers à trouver ce qu’ils recherchent. Il ne s’agit pas d’une tâche aisée et il vous faudra respecter la réglementation, notamment le fameux RGPD. Qu’on le veuille ou non, il reste souvent nécessaire d’acquérir des connaissances par le biais de formations qui proposent des outils performants et des procédures à suivre, qui permettent de ne pas commettre d’erreurs qui font perdre du temps et de l’argent.

La connaissance de l’utilisateur fait partie des fondamentaux et demande par exemple de lui fournir les informations qui sont, pour lui, essentielles comme la livraison (en un jour ou plusieurs jours), les moyens de paiement (qui sont des facteurs de stress pour l’utilisateur), mais aussi et surtout la description des produits. Le prix n’est souvent pas l’élément déterminant et vous devez cerner vos points faibles et vos atouts pour être compétitif et défier la concurrence.

L’utilisation des réseaux sociaux

Pour avoir un nombre de prospects suffisant, il faut connaître aussi bien les réseaux sociaux que les arcanes du référencement naturel. Votre site devra être bâti en ce sens pour attirer du monde sans que le coût d’acquisition explose. Les réseaux sociaux se sont multipliés et il vous faudra déterminer le ou les plus pertinents par rapport à votre clientèle. Bâtir une véritable stratégie sur ces derniers afin qu’ils remplissent des objectifs définis à l’avance représente une bonne pratique. Si les réseaux sociaux peuvent contribuer à votre notoriété de marque, ils peuvent également avoir pour but de vous aider à vendre vos produits ou services en incitant les internautes à se rendre sur votre site internet, en mettant par exemple en avant une promotion.

De nombreuses entreprises se dotent d’un community manager dédié à leur animation. Attention tout de même à garder à l’esprit que si les réseaux sociaux peuvent vous aider à faire le buzz, vous ne pouvez pas publier tout et n’importe quoi. À défaut, vous pourriez en subir les conséquences.

La tendance du dropshipping

À l’inverse de la tendance consistant à vendre ses produits en direct, le dropshipping s’est également fortement développé. Ce terme est souvent traduit par « livraison directe » ou l’« expédition directe ». Contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, il s’agit d’un système de vente tripartite où le client (le consommateur) passe commande sur le site internet du distributeur (le revendeur), lequel transmet la commande au fournisseur (le grossiste) pour que celui-ci assure la livraison et gère les stocks. Ce concept induit de vendre ce que vous ne possédez pas et de vous positionner comme un intermédiaire entre le client et le fournisseur. Dans le cadre de la vente en dropshipping, vous pouvez également utiliser des marketplaces pour vendre vos objets. Il vous faudra choisir les plateformes les plus pertinentes pour vendre votre produit, ainsi que votre stratégie pour attirer un maximum de visiteurs, tant la concurrence y est rude. Les places de marché étant toutefois de plus en plus visitées par les internautes, il serait dommage de passer à côté d’un tel potentiel de vente.

À noter qu’il existe plusieurs possibilités : le distributeur reçoit les commandes et c’est lui qui fixera la quantité à fournir par le fournisseur et qui supportera les coûts de surstocks (système de flux tirés ou du juste à temps) ou bien c’est le fournisseur qui reçoit les commandes passées par les internautes d’un site web marchand, qui décide des quantités à traiter et qui supporte les coûts liés à un surplus de stocks (système de flux poussés).

L’affiliation, une baguette magique ?

Penser gagner de l’argent sans difficulté grâce à l’affiliation se relève de la gageure. Il ne suffit pas de poser un lien vers votre produit ou service pour que les internautes se ruent vers votre produit. Il vous faudra créer une véritable stratégie et convaincre les plateformes ou sites internet qui fédèrent un très large nombre d’internautes. Pour chaque campagne, il s’agira de mesurer l’impact de votre choix, que ce soit le CPA (coût par achat), le CPL (coût par lead), ou le CPC (coût par clic).

Un programme d’affiliation ne s’improvise pas, il exige de connaître les différentes manières de le mettre en oeuvre : e-mailing, bannières, boutons, jeux-concours, formulaires de recherche de produits ou encore liens commerciaux qui renvoient vers le site de l’annonceur. Vous devrez souvent faire des choix drastiques pour vous assurer de ne pas perdre d’argent.

Vendre ses produits en direct

Vendre des produits que l’on fabrique demande de connaître les circuits, mais aussi d’avoir les connaissances réglementaires qui s’imposent à toute entreprise. Rappelons que ce n’est pas parce que vous êtes sur internet que vous êtes affranchi de toute règle. Si les plateformes se sont multipliées pour vous permettre de vendre vos produits/services, l’une des grandes tendances est de le faire sans passer par un intermédiaire.

Créer un site e-commerce est devenu relativement aisé, mais il faut prendre en compte de nombreux facteurs avant de se lancer dans sa conception. Le taux de conversion reste par exemple déterminant sur tous les sites internet, ainsi que la stratégie pour acquérir du trafic. Il vous faudra ainsi avoir un catalogue détaillé qui permet au client de choisir et de trouver rapidement ce qu’il recherche. Vous devrez aussi prendre en compte le fait qu’ils puissent payer et choisir le mode de livraison en toute sérénité et en quelques clics. Rien ne sert de créer un site internet marchand si personne ne vient ou que vous n’arrivez pas à transformer vos visiteurs en clients. Il peut parfois se révéler plus pertinent de ne pas créer son site internet si vous ne souhaitez pas y mettre de moyens.

En conclusion, s’il peut paraître évident de créer un site de vente en ligne, il vous faudra acquérir le savoir-faire nécessaire pour attirer et transformer les internautes en clients. Vous devrez prendre garde à ne pas vous fourvoyer et perdre du temps. Sous-estimer la valeur d’une formation pour acquérir les fondamentaux est souvent une erreur, qui a conduit plus d’une entreprise à regretter de ne pas avoir sollicité d’experts en la matière.

La défiance des Français envers l’alimentation

L’alimentation est devenue une vraie préoccupation pour la majorité des Français et le nombre de scandales alimentaires qui concernent tous les secteurs et qui font la une de la presse les ont conduits à avoir une attitude de défiance dans leurs achats et à adopter de nouveaux comportements. Focus sur ces changements imparables.

L’alimentation est devenue une vraie préoccupation pour la majorité des Français. Selon une étude Opinion Way/ French Food Capital, ils sont 86 % à faire attention à leur alimentation dont 21 % très attention (sondage réalisé en ligne le 26 et 27 septembre auprès de 1 044 personnes représentatives de la population française). 

Qu’est-ce que donc la qualité pour les Français ?

L’alimentation de qualité pour 48 %, c’est avant tout la qualité des produits, notamment le bio et le naturel, l’origine des produits 34 %, le local  22 % . Ils forment un ensemble qui met en exergue leur volonté de manger sain.  Ils souhaiteraient à 46 % la diversité et le choix des produits alimentaires, à 45 % la traçabilité et à 34 % la facilité à se procurer les produits alimentaires. Mais ils sont très critiques à l’égard de la qualité gustative des produits 46%, des conditions de production 44% et les effets des produits alimentaires sur la santé.43 %. Ce mécontentement est donc à prendre en compte par la grande distribution qui ne peut plus faire la sourde oreille.

En conséquence, les petits producteurs sont plébiscités, ainsi que les labels de qualité, les produits d’origine France, les ingrédients d’origine naturelle et enfin mais contrairement à ce que l’on pourrait penser les produits bio sont en dernière position. Ce qui fait la différence, c’est selon eux, la qualité gustative des produits. La perception de la qualité gustative des aliments varie aussi selon les types de commerce : les marchés apparaissent comme le lieu privilégié à 74 % puis les ventes directes aux producteurs et enfin seulement à 51 % la grande distribution. Il n’est désormais plus question de se nourrir prêter attention à la qualité des produits, à leur origine géographique, à leur composition ainsi qu’à leurs apports nutritionnels quotidiens

Que pensent-ils des informations diffusées par les marques ?

Dans ce contexte, le désir d’informations se fait toujours plus fort. 86 % souhaitent obtenir plus d’informations dont 28 % toutes informations possibles. Ils considèrent à 65 % que les informations actuelles des marques comme « peu complètes », 62 % « peu claires », 58 % « peu compréhensibles et 57 % « peu fiables ». Ce qui les intéressent le plus, dans l’ordre, le prix, la provenance et l’origine géographique et la composition des produits (liste d’ingrédients). Il ressort de cette étude que les grandes marques de l’alimentaire ne sont plus la référence …Seulement 37% des Français leur font encore confiance.

La raison en due au manque d’informations sur la composition et l’origine des produits, l’absence de qualité gustative, la méfiance envers les modes de production et de distribution…L’étude a demandé aux Français quelles sont selon eux les solutions pour améliorer la qualité gustative des produits alimentaires. Ainsi, ils sont 60 % à souhaiter une agriculture plus raisonnée et plus vertueuse, 45 % pour des contrôles sanitaires plus systématiques et rigoureux, 41 % pour une vérification plus organisée et précise des produits auxquels on attribue des labels, 37 % pour un étiquetage plus compréhensible sur les produits alimentaires et 20 % des audits plus réguliers et approfondis des lieux de distribution.    

LA RATP EST PRIS PAR LA FOLIE DES GAULOIS

Afin de célébrer les 60 ans des irréductibles Gaulois et la sortie du 38e album d’Astérix et Obélix le 24 octobre, la RATP a renommé dans la nuit de mardi à mercredi des stations de métro, en partenariat avec les éditions Albert René.

https://www.ratp.fr/sites/default/files/styles/article_couverture_m/public/2019-10/bd_actu.jpg?h=dc5593e4&itok=tGkitwl7

Les Gaulois, les Romains, les Egyptiens, les merveilleux personnages des aventures d’Astérix ont mis le sourire aux lèvres des voyageurs. A peine réveillés, ils se trouvaient plongés dans ce monde qui ne cesse jamais de les enchanter. En réalité, ce mercredi à Paris, la RATP, en partenariat avec les éditions Albert René, a souhaité de manière fort ludique un joyeux anniversaire aux célèbres héros de bande dessinée inventés en 1959 par Albert Uderzo et René Goscinny. 

L’opération ludique de communication a consisté à rebaptiser douze stations de métro (sur les quais de certaines lignes) en hommage aux irréductibles Gaulois. Ainsi, es équipes techniques ont été mobilisées toute la nuit précédant l’événement, pour modifier le nom des stations à la mode gauloise : 

  • Ourcq rebaptisée Abraracourcqcix
  • Cité devenue Lutèce 
  • Ménilmontant transformée en Menhir montant 
  • Ecole Militaire devenue Ecole légionnaire 
  • Place de Clichy, un joli jeu de mots, PlacedeClichix   
  • Bourse appelée Sesterce comme l’ancienne monnaie romaine

Mais aussi les stations Alésia, Poissonnière, Opéra, Pyramides    mises en valeur grâce à des illustrations évocatrices sans toutefois changer de nom. La Ratp ne manque guère d’imagination ! 

Quant à la station Rome, « Ils sont fous ces romains » pour la journée, entièrement relookée avec des planches de BD aux emplacements des panneaux publicitaires. En fait, un joli clin d’œil pour les fans. Impossible de s’ennuyer dans les wagons. Mais aussi de nombreux clins d’œil à Astérix étaient visibles dans certaines rames où l’on a pu retrouver des extraits de BD en affichage et des scènes mémorables. 

Mais pas que, le chaudron magique était là !!!

Dans l’après-midi, Astérix, Obélix et Panoramix sont venus à la rencontre des voyageurs, « Gare de Lugdunum » (Gare de Lyon). Des agents les ont accompagnés pour distribuer de la potion magique (jus de fruit) et quelques souvenirs gaulois.
Par ailleurs, un concours organisé sur Twitter a sollicité la créativité des participants pour inventer de nouvelles stations du réseau aux consonances de la BD. A cette occasion les Editions Albert René ont mis en jeu 60 exemplaires de l’album anniversaire. 

Et les voyageurs ont pu suivre les différentes animations sur les réseaux sociaux avec le hashtag #AsterixDansLeMetro

Voir l'image sur Twitter
L'anniversaire d'Astérix et Obélix dans le métro - Aucun(e)

La RATP nous avait habitué aux poissons d’avril que l’on attend chaque année avec impatience.

Dans cette période d’entrée dans l’hiver cette idée est la bienvenue !

Ouvrir une franchise dans le secteur des services à la personne

S’il peut être courant d’ouvrir une filiale pour aborder un nouveau marché, la franchise représente une bonne alternative si vous souhaitez bénéficier d’un savoir-faire et diminuer vos risques.  

Une entreprise franchisée est une entreprise indépendante qui se fond dans la communication du franchiseur et prend son apparence. Si vous voulez ouvrir un magasin de cosmétiques, en devenant franchisé d’une marque célèbre, vous profiterez de sa notoriété, de son réseau, de son expérience et de son savoir-faire. Vous restez indépendant même si vous en recevez les bénéfices financiers indirectement. Quant à l’entreprise filiale, il s’agit d’une entité juridique créée par une maison mère dans l’objectif de développer une nouvelle activité. Vous pouvez également créer une filiale pour vous aventurer dans une autre zone géographique ou pour diminuer vos risques.

Une franchise : un concept pour bénéficier d’une expertise

Ouvrir une franchise dans le secteur du service à la personne représente une pratique courante car il apparaît par expérience qu’il vaut mieux s’appuyer sur un réseau déjà en place, qui a déjà fait ses preuves pour éviter de se retrouver noyé par les difficultés administratives ou financières. Même si l’on est séduit par le secteur, il est indispensable d’acquérir des compétences et des connaissances que le franchisé possède. Sur le site Rassemblons Nos Talents, vous pourrez obtenir des renseignements intéressants sur la création d’une franchise qui met en exergue le fait qu’être accompagné est un atout majeur et, vous pouvez profiter des services : service juridique, RH, marketing et communication, comptabilité, paies et des logiciels sans avoir à investir davantage alors que vous êtes aux prémices de votre création.

Ainsi en tant que dirigeant, vous pouvez vous consacrer pleinement au développement de la croissance, du recrutement de personnes qualifiées et impliquées qui vous permettront de développer une clientèle fidèle et qui de plus vous donnera comme référence.

Un exemple de franchise réussie : Azaé 

Depuis 2005, Azaé propose des services d’aide à domicile et a ainsi développé une panoplie de services destinée à répondre aux besoins spécifiques des familles dans leur vie quotidienne. Elle se révèle être un soutien pour les femmes qui travaillent : ménage/repassage, garde d’enfants. Pour les personnes âgées, elle permet le maintien à domicile. Azaé afin de répondre à des demandes particulières a ouvert le secteur du jardinage et du nettoyage d’espaces professionnel. Grâce à son savoir-faire, elle a su acquérir une clientèle qui lui fait confiance et donc devenir une filiale d’Azaé est une valeur sûre pour le développement de votre filiale. A l’heure actuelle, le réseau compte aujourd’hui plus de 120 agences de proximité, c’est dire que le succès est au rendez-vous.

De même, par exemple, Domaliance demeure un partenaire performant. Depuis 2000, l’entreprise accompagne le quotidien de ses clients avec plus de 30 agences de proximité. Le réseau a développé une gamme de services destinée à répondre également aux besoins spécifiques des familles. : ménage/repassage, garde d’enfants. Elle accompagne le maintien à domicile (aide aux personnes âgées, dépendantes et handicapées).  Les agences sont agréées par l’état, elles proposent donc aux familles de profiter d’avantages fiscaux qui séduisent les particuliers.

Quant à lui, le groupe A2micile est composé de plus de 150 agences sous deux marques phares : Azaé et Domaliance et connaît une croissance exponentielle depuis sa création. Devenir une filiale de ces deux entités ne peut que vous permettre de réussir.

Le pouvoir d’achat, la préoccupation majeure des français

Le pouvoir d’achat suscite de nombreuses inquiétudes de la part des français qui ont l’impression que les prix ne cessent de grimper. Les augmentations consécutives des loyers, des transports, des dépenses énergétiques et les annonces qui se multiplient dans la presse depuis quelques mois influencent leur optimisme. Pourtant, le gouvernement n’a cessé de proposer des allègements dans divers domaines et qui semblent ne pas être négligeables.

Cofidis, un des principaux acteurs du crédit à la consommation en France, vient de diffuser les résultats de la 8ème édition de son Baromètre annuel « Les Français et leur pouvoir d’achat », réalisé avec l’institut CSA, par questionnaire auto-administré du 19 au 26 juin 2019 auprès d’un échantillon de 1005 Français représentatifs de la population française âgés de 18 ans et plus. Cette année afin que son analyse soit plus complète et en rapport avec l’actualité gouvernementale, ils ont interrogé les français sur l’impact des mesures prises par le Gouvernement pour favoriser le pouvoir d’achat (revalorisation et extension de la prime d’activité, baisse des charges sociales sur les salaires, …) et sur la confiance des Français envers le Gouvernement sur la question du pouvoir d’achat, à mi-mandat. 

Le résultat de l’enquête est révélateur de la préoccupation majeure des français : le pouvoir d’achat (pour 42% d’entre eux) qui se situe devant la santé (37%) et l’environnement (35%). Cette 8ème édition met en exergue le constat d’une légère amélioration du pouvoir d’achat des Français en 2019 et que celle-ci peut être attribuée aux mesures prises par le Gouvernement en début d’année. En effet, les indicateurs montrent que la somme qui manque aux français en moyenne chaque mois pour vivre confortablement ne cesse de diminuer (427€ ; -18€ par rapport à 2018 et -57€ par rapport à 2017) de même que le montant moyen du découvert bancaire (340€ contre 370€ en 2018 et 394€ en 2017). La part des Français à découvert au moins une fois tous les 3 mois se stabilise (33% contre 32% l’an dernier). Cette légère augmentation du pouvoir d’achat est corroborée par les projections de la Banque de France qui prévoit une hausse de 2,1% du pouvoir d’achat par habitant en 2019. 

Les français ne perçoivent pas le changement

Près de 2 Français sur 3 (66%) déclarent avoir bénéficié de mesures prises par le Gouvernement. Or, seul 1 Français sur 2 (48%) juge que ces mesures vont améliorer le pouvoir d’achat des Français. A contrario, ils sont plus nombreux à être persuadés que celui-ci ne cesse de se dégrader : la part d’entre eux qui jugent leur pouvoir d’achat faible a augmenté (31% contre 28% en 2018). La part des Français qui jugent leur pouvoir d’achat « correct mais sans plus » a baissé (54% contre 56% en 2018) tout comme la part des Français qui jugent leur pouvoir d’achat élevé (13% contre 15% en 2018). Quant à celle qui déclare être « en difficulté », elle a augmenté (30% contre 28% en 2018). 

Comment expliquer cette différence ?

Les français ont l’impression que ce que le gouvernement leur donne d’une main est repris par une autre main en raison des prix des dépenses de premières nécessités qui ne cessent d’augmenter : 61% des Français estiment qu’elles ont augmenté ces 5 dernières années, notamment les dépenses énergétiques (pour 72% d’entre eux), celles liées aux transports (pour 70% d’entre eux) et à la santé et aux assurances (pour 65% d’entre eux).

Les français obligés de se serrer la ceinture sur des postes vitaux

De plus en plus de Français et de nombreuses enquêtes et sondages le montrent sont contraints de diminuer leurs dépenses de première nécessité pour faire des économies : 22% déclarent avoir réduit leurs dépenses alimentaires au cours des 12 derniers mois (contre 18% en 2018), 14% déclarent avoir réduit leurs dépenses énergétiques (gaz, électricité, … ; contre 10% en 2018) et 11% déclarent avoir réduit leurs dépenses liées aux transports (contre 8% l’an dernier). Or, il est bien évident que ces diminutions ne peuvent l’être que par obligation et non par choix.

Et s’ils avaient un budget plus élevé, que feraient les français

Le constat est qu’ils souhaiteraient vivre plus confortablement, et donc 45% à déclarer aux loisirs mais ce qui est plus significatif des restrictions qu’ils vivent c’est que 43% le consacreraient à l’alimentation (contre 29% en 2018). 

Ils ne sont pas optimistes pour autant sur leur pouvoir d’achat à l’avenir. 53% des Français estiment que leur pouvoir d’achat va augmenter ou rester stable ces 12 prochains mois (contre 56% en 2018) et seul 1 Français sur 4 (25%) est confiant quant à l’amélioration de celui-ci dans les 5 prochaines années (contre 28% en 2018). 

Peu de confiance envers dans les annonces gouvernementales

3 Français sur 4 (76%) déclarent ne pas avoir confiance dans l’action du Gouvernement pour améliorer leur pouvoir d’achat d’ici la fin du quinquennat en 2022. Les retraités sont particulièrement critiques : même si 34% d’entre eux déclarent avoir bénéficié de la baisse de la CSG sur les retraites de moins de 2000 euros par mois, seule la moitié des retraités concernés déclarent que cette mesure a amélioré leur pouvoir d’achat.  La conséquence en est que la part des français qui envisagent de réaliser des projets sur les 12 prochains mois a diminué de 3 points par rapport à l’an dernier (62% contre 65% en 2018) alors qu’a l’inverse elle avait progressé régulièrement ces dernières années et s’était stabilisée l’an dernier.

Les mesures gouvernementales ont été nombreuses : augmentation des plafonds pour la prime à la conversion, revalorisation et extension de la prime d’activité, heures supplémentaires désocialisées (pas imposables), reste à charge zéro pour les soins dentaires mis en place depuis quelques mois, prime exceptionnelle de fin d’année 2018 défiscalisée, revalorisation du chèque énergie, diminution et à terme la suppression de la taxe d’habitation, baisse des charges sociales sur les salaires, baisse de la CSG sur les retraites de moins de 2 000 euros par mois : ainsi 33% des retraités déclarent en avoir bénéficié et seule la moitié d’entre eux estime que cette mesure a amélioré son pouvoir d’achat Il semble que ces mesures n’ont pas l’effet escompté auprès des français.

Le crédit à la consommation et le rachat de crédits, des aides précieuses 

Pour réaliser leurs projets, les Français dans toutes les catégories de la population souscrivent de plus en plus un crédit à la consommation : 37% (contre 28% l’an dernier). En ce sens, les chiffres de la Banque de France corroborent le fait d’une croissance soutenue des crédits à la consommation aux particuliers (+5,6 % en mars 2019 après +6,1 % en décembre 2018).

Mathieu Escarpit, Directeur Marketing de Cofidis, souligne à ce propos : « On observe une légère amélioration du pouvoir d’achat des Français en 2019. La somme moyenne qui leur manque chaque mois pour vivre confortablement continue de baisser, tout comme le montant moyen du découvert bancaire. Néanmoins, les Français ont le sentiment que leur pouvoir d’achat se dégrade, ce qui engendre une baisse des aspirations à conduire des projets dans les douze prochains mois. Pour financer ces projets, on observe que le crédit à la consommation devient une solution de financement privilégiée. Alors que leur budget se tend, le crédit permet en effet aux Français de mener à bien des projets tout en épargnant s’ils en ont la possibilité. » 

Les rachats de crédits présentent une opportunité pour les français qui peuvent diminuer leur taux d’intérêts et souvent étaler sur un temps plus long leurs dettes. De plus, n’avoir qu’une seule banque comme partenaire a un effet bénéfique sur le moral des emprunteurs et évite des pressions inutiles dues à la multiplications des banques. Ainsi Cofidis présente des solutions alternatives qui permettent de réaliser des projets en suivant un bon timing.

L’épargne reste un bas de laine à protéger, particulièrement chez les Français les plus modestes : les CSP- déclarent par exemple moins utiliser leur épargne pour financer leurs projets (46% contre 58% en 2018) Cette tendance confirme les informations de la Banque de France : le taux d’épargne des Français a atteint 15,3% en 2019, en forte progression par rapport à 2018. Ils préfèrent utiliser le crédit à la consommation (41% contre 29% en 2018) pour réaliser leurs projets.

Le crédit, une solution courante pour les entrepreneurs

La vie d’une entreprise est liée de manière intrinsèque aux finances. La disponibilité de cash pour l’entrepreneur est souvent surnommée le nerf de la guerre au même titre que le commercial. Il faut dire que l’entrepreneuriat n’est pas un long fleuve tranquille et il faut traverser des périodes fastes et d’autres dans lesquelles les difficultés s’amoncellent. 

Et c’est dès le début de l’aventure que peut se poser la question du financement. Un entrepreneur qui veut créer son entreprise se retrouve devant la nécessité de se constituer une trésorerie mais aussi de faire face à des retards de paiements qui l’obligent à trouver des finances pour pouvoir poursuivre son projet et atteindre le point mort. Souvent contraint par l’urgence de résoudre les problèmes financiers, il a comme alternative intéressante d’utiliser le crédit pour lui apporter la trésorerie qui lui fait défaut. Or, il a peu de temps à consacrer à la demande car il doit faire face par ailleurs à d’autres urgences qui sont celles par exemple de répondre aux commandes des clients.

Les solutions traditionnelles 

Le premier réflexe reste de se rendre dans sa propre banque pour obtenir un crédit. Le conseiller n’est pas toujours disponible et un certain nombre de jours vont s’écouler avant que vous puissiez le voir. Il va falloir fournir, dès la demande, pour constituer le dossier, des justificatifs. La difficulté réside dans le fait que vous devez le faire sans avoir la certitude que le crédit va vous être accordé. 

De plus, l’entrepreneur a besoin de visibilité et doit connaître si les tarifs pratiqués par sa banque sont compétitifs. Difficile de le savoir face à un conseiller dont l’objectif reste de passer par lui quels que soient les taux pratiqués par sa banque. Dans la plupart des cas, il n’a pas le dernier mot et aura la plupart du temps besoin de l’aval de sa hiérarchie pour vous confirmer le prêt et cela aussi ajoute du temps.

Les solutions du crédit en ligne

L’entrepreneur est aujourd’hui habitué à puiser les informations sur la toile mais aussi effectue de nombreuses opérations bancaires en ligne. Se tourner vers les crédits en ligne représente pour lui une véritable une aubaine : plus besoin d’un rendez-vous chronophage surtout lorsqu’il est en période de rush. Il suffit de se connecter et de simuler le montant de votre prêt et d’indiquer la cadence des remboursements souhaités. Vous pouvez avoir une réponse de principe immédiate sur la faisabilité du prêt et des conditions à mettre en place. Contrairement à une agence qui vous demande d’apporter tout de suite les justificatifs, le crédit en ligne regarde d’abord votre capacité à rembourser. 

Certains sites comme cnasea.fr proposent des comparateurs de crédit qui vous permettent de ne plus choisir un crédit à l’aveuglette parce que vous avez un besoin urgent mais selon des avantages qui correspondent à votre projet ou besoin. Trouver le meilleur taux est également possible du fait des comparateurs. Une panoplie de banques vous est proposée, ce qui vous donne l’opportunité de choisir celle qui correspond le mieux à votre situation.

Le crédit en ligne et son conseiller

Dès la demande de crédit faite en ligne, un conseiller prend contact avec vous par téléphone ou par email. Il vous propose, en général, d’échanger avec lui pour finaliser le prêt et vous donner les renseignements indispensables (assurance, début des remboursements, taux de crédit fixe ou variable…). L’avantage du crédit en ligne reste l’anonymat des demandes, leur gratuité et l’absence d’engagement. Vous pouvez donc réfléchir sereinement avant toute décision. Il s’avère une opportunité pour les entrepreneurs qui ne s’engagent pas dans une opération de financement sans comparer. 

Le rachat de crédit en ligne

Il arrive qu’au moment du lancement de l’entreprise, vous ayez fait un crédit. N’hésitez pas à penser au rachat pour regrouper ses crédits en un pour ne payer qu’une seule mensualité moins élevée que la totalité des crédits en cours. Le regroupement est souvent avantageux tant au niveau de la gestion de votre trésorerie que du coût. 

D’autres solutions existent pour amplifier votre trésorerie comme l’affacturage mais le crédit reste souvent plébiscité par les entrepreneurs.

Quand Game of Thrones nous en apprend plus sur l’entrepreneuriat

Adaptée de la collection de romans fantasy de George R. R. Martin, la série télévisée américaine de David Benioff et D. B. Weiss, Game of Thrones, a pris fin en mai dernier, au terme de huit saisons. Véritable phénomène, elle aura réussi à captiver des millions de téléspectateurs autour de la planète. Si nous regardons de plus près, la série médiévale-fantastique offre de nombreuses leçons sur l’entrepreneuriat et nous propose une palette de personnes aux qualités propres à l’entrepreneur. En voici les différents exemples. 

Depuis quelques années, les séries TV sont devenues d’authentiques phénomènes sociologiques. Elles font aujourd’hui pratiquement partie du quotidien de la majorité des téléspectateurs de la planète, grâce notamment au développement des sites de streaming inégal et des plateformes de vidéo à la demande comme Netflix ou Amazon Prime Video. Ces œuvres de fictions télévisuelles ont marqué profondément des générations, en reléguant au second plan, les téléfilms et le cinéma.

De par leur format, qui offre aux spectateurs un rendez-vous régulier, elles mettent en scène des histoires et aventures variées avec une multitude de personnages aux aspirations et aux objectifs divers. Game of Thrones en fait partie et nombreux sont ceux à remarquer des similitudes entre les protagonistes de la série et les entrepreneurs, au travers de leurs qualités et actions. Philippe Laval, fondateur de la start-up Evercontact en a même fait un livre en 2016, « Winter is not coming: managers, osez entreprendre! » où il présente les grands profils de leaders et les enseignements de la saga culte sur l’univers de l’entrepreneuriat. Découvrons-en quelques-uns. 

La nécessité de former une bonne équipe et de la fédérer

Avoir une bonne équipe est l’un des aspects primordiaux pour l’entrepreneur, tant sa constitution et sa solidité peuvent engendrer des bénéfices importants et un développement rapide de son entreprise. Si réunir des personnes compétentes reste important pour créer une équipe performante, c’est surtout la mise en place d’un esprit d’équipe et d’un projet commun qui se trouve être indispensable. Cela passe ainsi par des règles claires, une confiance réciproque, une vision collective et la sélection de collaborateurs soudés, disposant chacun et chacune de qualités professionnelles diverses.

Des règles claires

Grands leaders de l’univers Game of Thrones, Jon Snow ou Daenerys Targaryen ont pu atteindre plusieurs de leurs objectifs, grâce à la constitution d’une équipe. La Reine des Dragons, Daenerys est parti de presque rien : à l’origine exilée et fragilisée, elle s’est transformée en véritable dirigeante, avec pour objectif final, la conquête du Trône de Fer et du Royaume des Sept Couronnes et pour idéal, l’établissement d’une société et un royaume juste.

Même si celle-ci a échoué sur la dernière marche par orgueil et par l’enchaînement de mauvaises décisions, l’aide de son équipe de fidèles qui partage sa vision, lui a permis d’aller loin. À l’aide de Jorah Mormont, son conseiller et plus proche fidèle, elle a pu se protéger de ses ennemis comme les riches marchands de Quarth ou les guerriers Dothraki Khals. Elle a pu compter aussi sur ses lieutenants, la jeune Missandeï et l’ Immaculé Ver Gris, pour constituer une armée et libérer les cités libres, de l’esclavage. Quant à Jon Snow, avec ses talents de guerrier stratège, sa capacité à créer de la cohésion dans son équipe et à reconnaître ses erreurs, il disposait lui aussi d’une vision claire, celle de protéger ses compatriotes face à la menace d’êtres surnaturels, les Marcheurs Blancs.

Pour arriver à cette fin, de nombreuses personnes s’associeront avec lui : son fidèle ami, Samwell Tarly, lui donnera la solution pour tuer les Marcheurs Blancs, ses compagnes de la Garde de Nuit et du groupe des Sauvageons comme Tormund lui permettront de former une armée ou encore ses sœurs Arya et Sansa de fidéliser et unir les bannerets de la maison Stark pour la bataille finale, conduisant à la victoire. 

L’importance de se constituer un réseautage 

Le réseautage d’affaires est un élément incontournable pour développer son entreprise. D’après une enquête d’Opinion Way, 25% du chiffre d’affaires d’une PME vient directement du réseau de son dirigeant tandis que le pourcentage atteint 70 % dans le cas d’un indépendant.

Se créer un réseau

Se créer un réseau avec de multiples contacts professionnels qui deviendront plus tard des partenaires commerciaux, des fournisseurs, des clients apparaît comme déterminant pour favoriser le prestige de son entreprise et sa réputation. Les personnages de Petyr Baelish et de Varys l’ont bien compris. Leurs vastes réseaux leur ont permis de franchir les marches du pouvoir et de se sauver d’une multitude d’épreuves dangereuses.

Par exemple

Propriétaire d’une maison close, membre du conseil restreint en tant que Grand Argentier ou encore Lord Protecteur du Val, Baelish utilise son sens de l’anticipation, son intelligence et son réseau, adopte de nouvelles pratiques ou change de voie, avec pour but principal, maintenir son activité à flot et son emprise sur le trône de fer. Quant à Varys, surnommé l’Araignée, du fait de son réseau constitué d’espions dispersés sur les continents de Westeros et Essos, il dispose d’une longueur d’avance sur ses ennemis. Un avantage pour ceux qu’il vient en aide comme Tyrion, lors de son évasion de Port-Réal ou Daenerys, lorsqu’elle souhaite rassembler les maisons ennemies des Lannister. Attention cependant à ne pas jouer un double-jeu ou utiliser sans cesse le mensonge et la manipulation auprès de votre réseautage: c’est ce qui causera le destin funeste des deux personnages dans la série. 

Ainsi Game of Thrones nous offre de nombreuses leçons précieuses sur les affaires, sur le leadership, sur la stratégie d’entreprise ou l’importance de composer une bonne équipe pour atteindre ses objectifs. Au-delà de son côté instructif, elle est devenue en peu de temps, un véritable   business en or massif, avec un chiffre d’affaires annuel d’un milliard de dollars grâce aux produits dérivés, selon le New York Times. La chaîne payante américaine HBO, productrice de la série, a vraiment trouvé sa poule aux œufs d’or et elle n’est pas près de la laisser filer. Deux spins-off (série dérivée créée autour d’un personnage secondaire présent dans une autre série, ndlr) seraient en préparation, remontant aux origines de l’épopée fantastique et se centrant sur les Marcheurs Blancs ou encore la dynastie de la maison Targaryen. 

Sites d’annonces, un trésor d’informations fiables pour les internautes

Les sites d’annonces sont devenus les alliés d’une recherche optimisée et permettent aux internautes en quelques clics d’obtenir une pléthore d’informations sur l’objet de leur recherche que ce soit pour vendre ou acheter un objet, chercher un emploi ou offrir un emploi, louer ou vendre ou acheter un bien immobilier. Décryptage.

Des sites performants pour vendre ou acheter

Acheter ou vendre un meuble, un vêtement ou débarrasser les chambres des enfants des jouets dont on n’a plus l’usage est devenu possible en quelques clics. Pour celui qui achète, il acquiert un produit à petit prix et le plus souvent neuf. Pour celui qui vend, il n’a pas le regret de jeter un objet qu’il a souvent payé cher et il peut aussi gagner une somme non négligeable qu’il pourra investir dans d’autres souhaits. Par voie de conséquence, ce dernier protège la terre grâce à la réutilisation de l’objet vendu. La loi anti-gaspillage, votée au mois de septembre, conforte cette nouvelle manière de consommer. Des sites comme leboncoin, ebay… avec leurs millions d’annonces permettent d’acheter et de vendre dans des conditions optimum grâce à un moteur de recherches performant.

Les sites d’annonces, des conseils pertinents

Quels que soient les sites, ils proposent une rubrique qui contient des conseils pertinents pour éviter les arnaques en tous genres. Grâce à leurs conseils judicieux, les internautes apprennent à décrypter les annonces avec les points faibles et leurs points forts, à acheter par exemple un bien immobilier en connaissant leurs obligations et leurs droits, les procédures à suivre…. Ainsi, les sites d’offre ou de recherche d’emploi donnent des conseils pertinents souvent à l’appui de conseils juridiques.

Oui quelques clics suffisent mais aussi des informations fiables car il est toujours possible de recouper les informations.

Des recherches adaptées au rythme de vie de chaque personne

Se déplacer pour aller rencontrer des agences pour vendre ou acheter un bien est chronophage et ne correspond pas au rythme de celui qui part à la conquête du bien idéal. Les sites permettent de rechercher en dehors des heures de travail, au moment des pauses, aux heures en dehors du travail et le soir tard dans une ambiance sereine. De plus, nombre de sites sont parfaitement adaptés à une recherche sur le mobile qui permet d’optimiser par exemple le temps de transport ou d’attente lors d’un rendez-vous.

Des sites qui ont particulièrement évolué

Avec la technologie actuelle, le bien quel qu’il soit peut-être vu sous tous les angles et donc ne comportent généralement pas de surprise. Vous pouvez regarder un produit de face, de profil et de dos. Il en est de même pour un produit immobilier. Vous pouvez visualiser parmi multiples informations l’environnement mais aussi l’orientation, l’accès et la description des pièces et leur taille réelle. Ces sites sont réalisés par des professionnels qui sont capables d’analyser la diversité des souhaits et les besoins des clients pour leur répondre en un temps record. Certains possèdent des interfaces très performantes qui permettent d’éliminer les biens en quelques clics qui ne correspondent pas   à la recherche du client.

La particularité des sites d’annonces immobilières

On voit fleurir dans la capitale et les grandes villes des agences immobilières qui se font concurrence. 

On le sait les français sont propriétaires ou veulent le devenir. Les statistiques montrent l’engouement pour l’immobilier. Acheter de la pierre représente non seulement une sécurité pour l’avenir (l’image traditionnelle de garder une poire pour la soif est fort évocatrice) mais aussi parce que les biens acquièrent de la valeur avec le temps (l’image classique de la cigale et la fourmi). Au 1er janvier 2018, 58 % des ménages métropolitains sont propriétaires de leur résidence principale. D’après l’Insee, on compte 28,9 millions de résidences principales dans le pays en 2018 et 3,4 millions de résidences secondaires et logements occasionnels.

Quelques sites d’annonces immobilières recommandés

S’il s’agit d’achats d’anciens biens, des sites vous permettent de décrypter les embûches car leurs descriptions sont détaillées. Le travail essentiel de celui qui veut vendre est de prendre le temps de décrire le bien et de ne rien oublier afin de séduire le futur acquéreur et pour celui qui veut acheter de bien analyser les détails. Voici une liste des principaux sites :

Dans l’ancien :

Dans le neuf :

Impôts 2019 : après l’année blanche, comment défiscaliser avec le prélèvement à la source ?

L’été vient de se finir et les vacances sont désormais terminées ou sur le point de l’être pour les plus chanceux. Vous venez de recevoir votre avis d’imposition sur les revenus de 2018, exactement celui qui correspond à l’année blanche : sans revenus exceptionnels, vous ne paierez pas d’impôts, la somme indiquée sur l’avis étant théorique. Mieux encore, si vous avez eu la bonne idée d’investir dans une loi Scellier, Duflot ou Pinel, ou bien que vous avez bénéficié d’une réduction / crédit d’impôt, vous allez recevoir ou vous avez déjà reçu un nouveau remboursement de la part de Bercy. Une aubaine !

Néanmoins, vous le savez déjà, vous payez au fur et à mesure vos impôts sur vos revenus 2019 ! En effet, si vous êtes salarié, vous percevez votre salaire net d’impôt sur le revenu ; votre employeur verse directement, comme si vous étiez mensualisé, votre impôt à l’Etat. Si vous êtes BNC/BIC, le système n’a quasiment pas changé pour vous. Vous versez un acompte et une régularisation intervient post déclaration. 

Si vous avez des revenus immobiliers, un acompte a été calculé et vous est prélevé chaque mois, comme une mensualisation.

La bonne nouvelle, vous pouvez agir dès à présent

La bonne nouvelle ? Vous pouvez encore agir sur votre fiscalité 2019, car ce n’est pas parce que vous sentez moins l’imposition qu’elle est moins importante, et la réalité montre qu’elle a toujours plus tendance à augmenter qu’à diminuer ! Vous avez, grosso-modo, jusqu’à mi-décembre pour agir.

Oui, mais comment ?  457 possibilités !

Spontanément, nous allons tous penser qu’il faut avoir recours à une « défisc ». C’est plutôt vrai, mais pas systématique. Plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez faire le choix de l’autonomie en cherchant seul votre solution. Des centaines de sites de vente en ligne de loi Pinel pullulent sur la toile et vous n’aurez aucun mal à trouver un produit d’investissement éligible à une défiscalisation.

Cependant, vous pouvez faire le choix de la prudence et faire appel à un professionnel compétent en la matière car il faut avoir conscience que la  défiscalisation est toujours une contrepartie offerte par l’Etat d’un investissement, un allègement fiscal sur un sujet qu’il devrait lui-même investir (logement, entreprises …), un encouragement à l’investissement sectoriel (régions, innovation, Silver age…).

Cette défiscalisation est plafonnée à 10 000 € par an et par foyer fiscal, et ce plafond concerne la quasi-totalité des  457 niches fiscales françaises. Oui, vous avez bien lu, 457 ! Alors pour s’y retrouver, votre intérêt est d’être accompagné par une personne compétente !

Le recours à un Consultant en Gestion de Patrimoine(CGP) 

Le recours à un Consultant en Gestion de Patrimoine(CGP) de confiance, diplômé en droit et spécialisé sur la matière fiscale du particulier et du chef d’entreprise, est le meilleur moyen pour vous aider à la prise de décision dans le choix de cet investissement.

A l’image du médecin généraliste, que vous consultez quand vous en ressentez le besoin, qui vous soigne et qui vous réoriente vers des spécialistes s’il en détecte la nécessité, le CGP, grâce à une phase bilan, va analyser avec précision votre situation (matrimoniale, budgétaire, fiscale, sociale, de vos investissements déjà réalisés, et surtout de vos projets), pour vous apporter un conseil objectif. Par objectivité il faut entendre sans vente d’un produit que son supérieur ou l’institution pour laquelle il travaille lui impose de vendre. 

Attention, il est judicieux de faire le choix d’un CGP indépendant, non lié à un grand groupe. Sinon autant aller directement voir son conseiller bancaire, qui lui aussi rentre de congés en septembre, et a sa collecte livret A, LDD et les produits maison de la banque à vendre…

Car avant même de vous conseiller d’effectuer un investissement qui comporte des frais, peut être avez-vous d’abord juste besoin d‘adapter votre situation matrimoniale, détacher un enfant du foyer fiscal et lui déclarer une pension, effectuer une donation temporaire d’usufruit, restructurer vos placements en arbitrant certaines positions…. Et ainsi réaliser des économies structurelles sans investir un euro, excepté évidemment ses honoraires de conseil.

Ainsi la phase de bilan, pierre angulaire de son métier, permettra de dégager des axes stratégiques, que vous déciderez ensemble de mettre en place. Le CGP a une mission de conseil, d’optimisation, d’accompagnement à l’investissement et de suivi dans la durée. Votre situation en 2019 va certainement être amenée à évoluer dans 8 ou 9 ans, et votre conseiller en prendra la mesure pour vous accompagner dans les changements et vous aider à faire le tri dans les bonne set mauvaises idées de la « défisc ».

Un conseiller qui maîtrise les investissements immobiliers

Avec sa casquette de courtier en investissements financiers et immobiliers (le CGP détient généralement la carte transaction immobilière, la même dont disposent les agents immobiliers), il sera à même de vous trouver, sur le marché, l’investissement qui vous correspond le mieux, que ce soit une maison ou  un appartement avec emplacement de 1er ordre, éligible à la loi Pinel, un investissement démembrement de propriété, Malraux, monument historique…).

Quel en est le coût ?

Combien ça coûte ? Entre 500 et 3000 € selon le temps passé en moyenne, la complexité du dossier pour les phases bilan et conseil. Certains appliquent un forfait et un pourcentage des gains réalisés, comme le pratique le cabinet ORA Conseil et Gestion Privée  à Marseille, pour valoriser une approche « gagnant-gagnant » avec ses clients.

Un exemple 

Sur son dernier dossier client, Eva Piednoël, directrice générale de la structure Ora Conseil et Gestion Privée à  Marseille et consultante en fiscalité, nous confie : « un couple d’entrepreneurs vient nous consulter pour un bilan patrimonial. Ils ont trois enfants communs, 2 entreprises depuis 10 ans dans lesquelles Monsieur détient respectivement 90% et 70%, madame le reste. Ils possèdent les murs de leur entreprise et le crédit est terminé. Ils se sentent submergés par un impôt sur les revenus annuels de 13 000 € en moyenne. Je remarque qu’ils ne sont ni mariés, ni pacsés, et devront financer les études de leur fille ainée sur Paris dans 1 an.Au terme du bilan, nous avons mis en exergue le risque quant à l’absence de protection entre eux  en cas de décès, le calcul des niches fiscales leur permettant une réduction de 5000€ maximum. A la suite de la présentation de notre stratégie, ils ont opté pour un mariage civil avec contrat, une donation temporaire d’usufruit pour leur ainée à partir de 2020 et un investissement dans un véhicule PME défiscalisant reposant sur de l’immobilier en viager. Ils ont économisé déjà 15000 € sur 5 ans grâce à la donation, sans utiliser leur plafonnement, et ont investi 15 000 € pour 3750 € de réduction d’impôts. Le recours au Pinel mobilisait trop de trésorerie mensuelle face à leurs dépenses à venir, nous avons fait le choix de se revoir plus tard pour réinvestir dans l’immobilier. Bilan de l’intervention : les conjoints sont héritiers l’un envers l’autre et le contrat protège l’entreprise. -18 000 € sur 5 ans et un impôt 2020 à 8250 € au lieu de 13000€.