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Carte grise : comment en obtenir le duplicata ?

Les dirigeants (ou leurs salariés) sont souvent amenés à se déplacer avec leur véhicule personnel ou professionnel. Or, tout propriétaire d’un véhicule immatriculé en France doit être en possession d’une carte grise. Que faire si votre carte grise est perdue, volée, ou encore détériorée et que vous voulez obtenir son duplicata ? Cet article vous dit quoi faire dans ce cadre.

Duplicata de carte grise : comment s’en procurer ?

Il s’agit d’un document essentiel qui permet de circuler librement sur la voie publique avec son véhicule et d’être identifiable par les autorités compétentes. Cela dit, il arrive parfois que ce document soit égaré, volé ou détérioré au point de ne plus être recevable. Le propriétaire du véhicule doit alors faire une demande de duplicata afin d’éviter d’être en faute lors d’un contrôle routier. Mais quelles sont les démarches à mener pour obtenir le double de son titre ? C’est ce que nous verrons de ce pas !

Dans quel cas demande-t-on un duplicata de carte grise ?

Lors d’un déménagement ou pour toute autre raison, il peut arriver que l’on perde sa carte grise. Comme évoqué précédemment, il faut faire une demande de duplicata pour être en règle lors d’un contrôle routier. Cette démarche doit être menée par le propriétaire du véhicule, mais pour les véhicules en leasing, lorsque le titre est au nom du loueur. En cas de location, le locataire effectue les démarches sur procuration donné par l’organisme de financement.

Attention cependant, en cas de vol, il faut d’abord signaler la situation à la gendarmerie ou au commissariat de police de son domicile ou du lieu du vol. Bien évidemment, il ne faut pas oublier de se munir (de la déclaration de perte ou vol) du formulaire Cerfa n°13753*03 4 rempli. La police ou la gendarmerie y apposera un cachet, et en cas de contrôle routier, cela servira de justificatif en l’absence de la carte grise pour une durée d’un mois. Ce document est obligatoire pour l’obtention d’un duplicata pour une carte grise perdue ou volée.

Le troisième cas exigeant de faire une demande de duplicata pour le certificat d’immatriculation concerne les personnes dont le titre d’origine a été abîmé ou détérioré au point de rendre illisibles certaines informations qui y sont présentes. En réalité, tout automobiliste doit présenter un titre de circulation en bon état et parfaitement lisible lors des contrôles de police ou de gendarmerie. De fait, il faudra obtenir un duplicata en remplacement du titre détérioré pour éviter une amende de 4e catégorie.

Trois possibilités s’offrent au choix à l’usager qui souhaite obtenir un duplicata en cas de perte, de vol, ou de détérioration de sa carte grise. Déjà, il y a le site de l’Agence Nationale des titres sécurisés (ANTS), qui, faut-il le rappeler est la solution d’immatriculation de l’État. Aussi, il y a les prestataires privés habilités et agréés par le Ministère de l’Intérieur, qui sont présents sur la toile. La procédure en ligne est à la fois simple et rapide ; en quelques clics la demande peut être envoyée, notamment au niveau des prestataires privés. Plus de détails à ce sujet sur entreprise-et-compagnie.fr/.

Quel est le coût du duplicata ?

Le prix du duplicata dépend de l’immatriculation du véhicule. En effet, si le véhicule est encore immatriculé dans l’ancien système (FNI) avec d’anciennes plaques, la demande de duplicata de carte grise est exonérée de la taxe régionale. Seuls la redevance d’acheminement (2,76 €) et les frais du traitement du dossier sont à payer, si la démarche se fait auprès d’un professionnel habilité.

Par contre, si le véhicule est déjà immatriculé dans le nouveau système (SIV) avec un numéro d’immatriculation du type AA-123-BB, le duplicata demandé coûtera le prix d’un cheval fiscal plus 6,76€ (frais de gestion + redevance d’acheminement). C’est le lieu de préciser que le prix du cheval fiscal varie selon la région. Pour ce faire, il est important de se renseigner au préalable pour connaitre la tarification du cheval fiscal dans son département de résidence.

Enfin, le duplicata a exactement la même valeur légale que la carte grise. De fait, il peut être utilisé pour circuler de façon illimitée dans le temps. Sa validité dure tant qu’il n’y a pas de modification (changement de titulaire ou des caractéristiques du véhicule).

Le référencement payant, une solution de plus en plus usitée

Souvent désigné sous l’acronyme SEA (Search Engine Advertising), le référencement payant représente une solution pour gagner en visibilité auprès de vos prospects. La plupart du temps il se fait par l’intermédiaire de liens sponsorisés présents sur les moteurs de recherche à l’aide de régies publicitaires comme Google ADS (anciennement Google AdWords) ou de Bing Ads.

Le SEA en lui-même.

Il est souvent opposé au SEO ou référencement naturel qui consiste à adopter les bonnes pratiques pour que votre site soit mieux référencé. La plupart des internautes distinguent ce contenu qui est signalé comme étant « sponsorisé » ou « annonce » dans les moteurs de recherche. S’il est onéreux et difficile d’apparaître à partir de mots-clés généralistes, l’utilisation du SEA permet elle d’apparaître sur des requêtes précises et d’atteindre ainsi de nouveaux prospects.

Les avantages du SEA

Le positionnement dans les premières pages des moteurs de recherche et la présence lors de requête précise demeurent les deux premiers avantages du SEA. Grâce à lui vous pouvez positionner votre lien sponsorisé au meilleur moment sur le moteur de recherche. Avant de procéder à l’achat de lien, n’oubliez pas que vos internautes ont des habitudes et qu’il pourrait être utile d’analyser.

Le SEA possède également un autre avantage : celui de vous rendre visible immédiatement à l’inverse du SEO dont les impacts sont à prendre en compte sur le temps. Dès le lancement de votre campagne, vous pouvez voir les effets bénéfiques. Attention à bien prendre en compte les habitudes de vos internautes qui auront tendance à cliquer à certaines heures, certains jours ou dans des périodes particulières. Vous devez aussi prendre en considération la nature de votre produit notamment s’il est saisonnier afin de déterminer la période d’achat par exemple.

Quelques conseils avant de vous lancer

Tout d’abord, retenez qu’il reste conseillé de mettre en place une complémentarité entre votre SEO et votre SEA.

Attention tout de même à bien prendre en compte les bonnes pratiques avant de vous lancer dans ce type de campagne puisque si l’utilisation de cette technique demeure efficace, elle a un coût. Ainsi, n’hésitez pas à penser à votre ROI quand vous y faites appel. Il ne s’agit pas d’avoir des clics payants qui mangeront toute votre marge.

Commencez par optimiser votre Landing Page (ou page où arrive les internautes) car votre internaute pourrait rapidement ressortir de votre page si elle n’est pas optimisée. Il est souvent conseillé de penser en termes de conversion et de rendre facile l’acte d’achat grâce à un formulaire de contact, un bouton facilement cliquable ou tout simplement que votre design soit en responsive.

Bien choisir ses mots clés représente une seconde bonne pratique. Il ne s’agit pas de toucher tout le monde mais vos futurs clients. Plus vos mots clés seront précis, plus votre campagne sera efficace. N’hésitez pas à exclure des mots clés trop génériques et sur lesquels  vous serez mis en concurrence. Pensez également en termes de double sens afin de ne pas toucher des personnes qui feraient des requêtes similaires. Mettez-vous à la place de l’internaute et pensez aux mots clés que vous taperiez si vous deviez vous-même acheter votre produit.

Suivez le résultat de vos campagnes afin de les réadapter et de voir celles qui sont les plus efficaces. N’hésitez pas à les comparer tant en termes de clics qu’en termes de transformation finale. Soyez aussi attentif à la géolocalisation lors de vos campagnes notamment si vous disposez d’un point de vente physique.

Soignez vos annonces textuelles. Les moteurs de recherche vous offre la possibilité d’afficher certes votre URL mais surtout un titre et une description qui se devra d’être la plus réussie possible afin d’inciter les internautes à cliquer sur votre annonce. N’oubliez pas également que votre site doit être mobile friendly car le nombre de recherches via les smartphones a explosé.

Si vous n’êtes pas formé au SEA, vous pouvez faire appel à une agence de référencement payant qui pourra vous guider et vous aider à ne pas tomber dans les pièges du référencement payant et bâtir une véritable stratégie de référencement.

Les principaux avantages de l’assurance vie

L’entrepreneuriat fait partie des métiers où le stress occupe une place prépondérante. Votre santé risque d’être mise à rude épreuve, surtout si vous êtes sensible aux montées d’adrénaline. Si l’assurance vie permet de transmettre votre capital à vos proches (ou autres destinataires) en cas de décès, elle se révèle être avant tout un produit d’épargne qui ne doit pas être confondu avec l’assurance décès.

L’assurance vie sert principalement trois objectifs : valoriser vos capitaux, recevoir des revenus complémentaires peu fiscalisés, immédiatement ou lors de votre retraite, ou encore à optimiser la transmission de votre patrimoine. Concrètement, vous signez un contrat avec un assureur dont vous définissez la durée, le montant de ce que vous souhaitez verser et la récurrence (ou non). Ce dernier prévoit les événements qui entraînent le versement du capital (départ à la retraite par exemple).

1/ Elle s’adapte à votre manière d’investir

L’assurance vie permet d’investir autant sur des obligations que des actions ou encore des valeurs refuges comme l’or ou l’immobilier. Vous pouvez choisir le niveau de risque que vous souhaitez prendre et placer l’intégralité de votre argent sur un fonds sécurisé et garanti dit « fonds euros ». Autrement dit, si vous souhaitez opter pour la sécurité, l’assurance vie possède un énorme atout : vous pouvez décider de vous positionner sur un investissement totalement garanti.

Notons toutefois que plus le risque pris est faible, plus le rendement l’est également. Si vous avez un profil d’investissement plus risqué, vous pouvez aussi décider de le placer sur des fonds équilibrés ou encore plus risqués.

2/ L’assurance vie dispose d’une fiscalité avantageuse

La fiscalité représente un avantage non négligeable notamment si vous souhaitez investir sur le long terme, puisqu’elle est dégressive dans le cadre d’un rachat de contrat d’assurance vie et ne porte pas sur le capital, mais sur les gains. On comprend mieux que cette assurance soit la préférée des Français. De manière concrète, vous êtes taxé les 4 premières années à hauteur de 35% des intérêts, puis de 15% jusqu’à 8 ans. À partir de 8 ans, la fiscalité est nulle en dessous d’un certain seuil et ne représente que 7,5% au-dessus de ce même seuil. Vous pouvez donc être complètement exonéré d’impôt.

3/ Elle est très flexible

Quand on est entrepreneur, on sait rarement de quoi l’avenir sera fait. Si vous êtes capable de vous rémunérer en ce moment, vous êtes fort conscient que les entreprises connaissent des hauts et des bas. Vous pouvez vous retrouver contraint de couper votre rémunération ou avoir besoin des fonds épargnés. Avec l’assurance vie, vos fonds ne sont pas bloqués. En cas de besoin, vous pouvez donc parfaitement faire des retraits, même s’ils seront imposés. Vous pouvez aussi procéder à un rachat partiel si vous ne souhaitez disposer que d’une partie de l’argent, mais celui-ci n’entraînera pas la fermeture du contrat.

Finalement, vous l’aurez compris, l’assurance vie ne représente pas qu’un outil d’épargne à long terme ou une fiscalité avantageuse en cas de décès, elle demeure aussi un capital de secours dont vous pourrez faire usage en cas de coup dur. Vous pourrez ainsi bénéficier d’une réserve de liquidités qui pourrait vous être bien utile dans ces moments difficiles, puisque vous pouvez la débloquer à tout moment. Pour bénéficier des avantages fiscaux, il vous suffira d’attendre la durée de 4 ans. En revanche, si vous avez déjà prévu d’utiliser cet argent avant ce délai, d’autres solutions d’épargne peuvent s’avérer plus adaptées.

Autre élément de flexibilité : vous choisissez comment vous souhaitez verser l’argent sur ce compte : à la souscription, de manière ponctuelle ou encore de manière régulière. Vous pouvez ainsi alimenter le compte quand vous le pouvez et ne plus le faire quand vous ne pouvez plus !

4/ L’assurance vie vous permet d’optimiser votre transmission du patrimoine

L’assurance vie est avantageuse en termes de  transmission et ses
avantages dépendront de votre âge. Avant 70 ans, vous bénéficiez ainsi d’un abattement de 152 500 € par bénéficiaire sur le capital versé au décès, d’une taxation de 20% après abattement et jusqu’à 700 000 € et de 31.25% au-delà de 852 500€. Au-delà de 70 ans, vous aurez des droits de succession sur la fraction des primes supérieures à 30 500€ et une exonération de droits de succession sur les plus-values. À noter que si votre bénéficiaire est votre conjoint ou que vous êtes liés par un PACS, ils en seront totalement exonérés.

L’utilisation pour la société

L’assurance vie peut avoir une utilité toute particulière pour l’entreprise. Tout d’abord, elle peut permettre en cas de décès de financer le passif d’impôt et de répartir équitablement la valeur entre les bénéficiaires. Ensuite, elle est souvent utilisée pour les prêts car il reste fréquent que les prêteurs l’exigent, notamment pour les personnes clés de l’entreprise.

Il reste toutefois intéressant d’y souscrire soi-même pour protéger les finances de l’entreprise, en mettant en place une assurance sur ces dernières. Vous pourrez ainsi disposer de la trésorerie nécessaire en cas de décès pour pallier une absence. Enfin, elle reste utilisée pour financer les transactions d’achat et de vente en cas de décès d’un des actionnaires/associés, notamment si vous souhaitez que les parts ne soient pas léguées à la famille de ces derniers. Des clauses sont d’ailleurs souvent prévues à cet effet dans le pacte d’actionnaire, afin de ne pas se retrouver avec des personnes indésirables aux commandes de l’entreprise.

L’utilisation de l’assurance vie pour vous

L’assurance vie pour votre compte peut être utilisée finalement avec différents objectifs : en premier lieu pour constituer un complément de revenu lorsque vous serez à la retraite. Il vous suffit de demander une sortie en rente viagère. Ensuite, comme « retraite chapeau » puisque seuls les gains seront imposés, et enfin comme outil de transmission pour vos proches avec une fiscalité très alléchante.

Flexible, adaptable et avec une fiscalité avantageuse, l’assurance vie reste un bon moyen pour les chefs d’entreprise d’assurer leur avenir financier, la transmission de leur patrimoine ou tout simplement pour valoriser leurs capitaux.

Faire une facture au 21ème siècle

Si hier les outils du pack office étaient utilisés pour générer ses devis et factures et entraînaient un travail chronophage et fastidieux, aujourd’hui les logiciels dans le Cloud simplifient les tâches des petites entreprises. Disponibilité à tout moment, capacité à générer vos factures même sur un autre ordinateur que le vôtre, sauvegarde des données assurée ne sont que les quelques raisons de faire autrement lors de ce nouveau siècle.

Caractéristiques communes de tous les TPEs

Aujourd’hui, on dénombre plus de 2 millions de très petites entreprises (TPE) en France dont plus d’un million sont des entreprises unipersonnelles sans salarié. La caractéristique commune de toutes les TPEs demeure dans le traitement des commandes : en tant qu’entrepreneur, vous acquérez des clients, leur faites une offre, recevez une commande et faites une facture une fois le service rendu. Le problème ? D’une part, les offres et les factures doivent être rédigées afin de gagner de l’argent. D’un autre côté, l’ensemble du processus prend beaucoup de temps, puisque vous rédigez vous-même les offres et les factures de votre TPE. Vous perdez ainsi un temps précieux à cause des devis et de la facturation alors que vous pourriez utiliser celui-ci de manière plus rentable pour votre entreprise. Un logiciel de facturation dans le cloud représente peut-être la solution à votre problème.

Qu’est-ce qu’un logiciel dans le cloud ?

Contrairement aux logiciels hors ligne qui sont installés, les logiciels en ligne basés sur le cloud peuvent être utilisés sur différents terminaux à partir de n’importe quel endroit. Ils ne sont, en effet, pas stockés sur votre disque dur. L’enregistrement unique suffit et les applications Web peuvent être utilisées à tout moment, les seules conditions préalables restent de disposer d’un terminal équipé d’un navigateur (ordinateur, tablette, …) et d’un accès à Internet.

Il existe 4 principaux avantages du logiciel dans le cloud :

  • pas de mises à jour nécessaires (le logiciel est toujours à jour)
  • des coûts moins élevés (généralement des frais d’utilisation mensuels au lieu de coûts d’acquisition uniques élevés pour les logiciels d’installation)
  • une collaboration simplifiée grâce à l’accès multi-utilisateurs lié à l’application Web
  • une prise en compte mobilité : vous pouvez utiliser votre logiciel sur différents terminaux (par exemple ordinateur portable et smartphone). Le fonctionnement reste donc indépendant du lieu de travail

Devis et factures du cloud

Au lieu de créer des offres et des factures manuellement avec des logiciels Office tels que Word ou Excel, le logiciel de facturation dans le cloud permet de générer des devis et des offres depuis le système en quelques clics. En tant qu’entrepreneur, vous évitez d’avoir à saisir les mêmes données tout le temps. Vous pouvez utiliser les modèles de texte pour les devis et factures récurrentes pour vous faciliter la vie. Les clients et les produits/services sont créés une seule fois dans le système de gestion de la relation client et de gestion des stocks et peuvent être sélectionnés à tout moment. Dès que les devis et les factures ont été créés, vous pouvez les envoyer depuis le système par e-mail ou par courrier. Avec un logiciel de facturation dans le cloud comme sevDesk, la création de devis et de facture ne prend pas plusieurs heures mais seulement quelques minutes…

Facturation et puis ?

Pour une petite entreprise, le travail n’est pas terminé une fois que la facture est écrite et envoyée au client. Ensuite, il doit vérifier que le client paie sa facture. Avec un logiciel moderne dans le cloud, le compte bancaire de l’entreprise peut être connecté avec le système. Les factures en cours d’acquittement sont automatiquement liées aux paiements correspondants et le logiciel vous indique quel client a déjà payé et quel client doit encore payer. Autre avantage : pour les retards de règlement, vous pouvez transformer une facture en un rappel de paiement / une relance et l’envoyer automatiquement au client. Vous n’avez donc plus à attendre le règlement de vos factures.

Combien coûte la création de factures dans le cloud ?

Il existe différents logiciels dans le cloud. Si vous êtes une petite entreprise et que vous éditez peu de factures, des logiciels de facturation dans le cloud tel que sevDesk sont gratuits jusqu’à 20 factures par an. Si vous avez besoin de faire plus de 20 factures ou si vous souhaitez lier votre compte bancaire avec le système, le logiciel est disponible à partir d’un prix modeste de 6,50€ par mois.

Le statut Scop, une opportunité ?

On observe dans l’hexagone la multiplication des Scop (Société coopérative et participative). Celles-ci permettent à leur entreprise de sortir d‘une impasse ou bien à des entrepreneurs de s’investir dans un marché propice qui utilisent le statut Scop. Quels sont les secrets du statut  ?

Une société coopérative de production (Scop) est gérée et dirigée collectivement par les salariés associés (créateurs ou repreneurs) qui détiennent la majorité du capital. Ainsi, une Scop peut être créée dans tous les secteurs d’activités : commerce, industrie, artisanat, services, même certaines professions libérales réglementées (architectes, géomètres-experts). Enfin, sa manière de fonctionner est liée à son statut : SA ou SARL.

Le principe de base de la Scop est le caractère impartageable de ses fonds propres. De surcroît, les réserves financières de l’entreprise se doivent d’être pérennes, et ne peuvent pas être distribuées ou incorporées dans le capital social.

Quel est l’intérêt de la Scop ?

Son intérêt se situe dans le fait de réunir les salariés autour d’un projet commun dans lequel tous s’impliquent. De surcroît, ces associés salariés, au nombre minimal de 2, doivent détenir au moins 51% des parts et 65% des voix au sein de la société. Pour que le système reste égalitaire, aucun ne peut posséder plus de 50% du capital de l’entreprise. Par ailleurs, des assemblées générales réunissant tous les salariés fixent les lignes directrices de l’action entrepreneuriale. Ce sont eux qui élisent le dirigeant. De fait, aucun associé ne peut détenir plus de la moitié du capital. Le dirigeant ou gérant est assimilé à un salarié s’il est rémunéré (droit aux allocations chômage). De plus, chaque nouvel employé peut devenir associé à son tour.

Fonctionnement d’une Scop

Les associés salariés mettent en place un management participatif. Dans ce but, ils élisent des dirigeants (pour une durée de 4 ans renouvelables en SARL et en SAS, et de 6 ans en SA). Ils sont susceptibles d’être révoqués en assemblée générale. Leurs prérogatives sont les mêmes que dans n’importe quelle autre société. D’ailleurs, ceux-ci bénéficient du même statut social que les employés.

Les bénéfices se répartissent entre :

  • les salariés, sous forme de complément de salaire, d’intéressement ou de participation : au moins 25 % du bénéfice ;
  • les salariés associés, sous forme de dividendes : pour une part inférieure à celle des salariés ;
  • les réserves de l’entreprise (la dotation aux réserves alimente ses fonds propres) : 15 % minimum (réserve légale).

Tous les 5 ans, une révision coopérative, c’est-à-dire une analyse de la gestion administrative et financière de l’entreprise, est assurée par un commissaire aux comptes choisi par les associés. En termes d’engagement financier, le capital d’une Scop est variable selon la forme de société choisie. Pour une SA, le capital de départ est au moins de 18 500 euros. Or, il représente au minimum une part de 15 euros par associé pour une SARL ou une SAS.

La Scop d’amorçage

Le statut de Scop d’amorçage permet de faciliter la transformation d’une société en Scop. De plus, elle offre des avantages fiscaux aux salariés. En outre, les salariés peuvent reprendre une entreprise et détenir la majorité des voix à la constitution de la société tout en étant minoritaires au capital.

Les salariés disposent de sept ans pour rassembler la somme nécessaire afin d’obtenir une majorité du capital. Cette période de sept ans permet par ailleurs d’utiliser les réserves de la SCOP pour acquérir ou rembourser les parts sociales proposées à la vente par un associé non salarié. La demande de Scop se fait par une lettre recommandée adressée au ministère du Travail. Un suivi annuel se fait par la suite pour confirmer ce statut. Enfin, en cas de cession, le capital est restitué aux associés sans plus-value.

Les Scop (3177) représentent 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2017, un taux de pérennité à 5 ans : 67 % (contre 60 % pour les entreprises classiques) •

Quelques exemples de Scop qui sont leaders :

  • ACOME, leader européen des câbles automobile à haute technicité, tubes, fibre optique et câbles télécoms à très haut débit, 1 700 salariés
  • Scopelec, construction d’infrastructures de télécommunications, 80 implantations en France et à l’étranger, plus de 3 800 salariés
  • Groupe Up, produits et services facilitant le quotidien de 25 millions de personnes dans le monde, 3 600 salariés
  • UTB, première Scop du second œuvre BTP en France, 1 000 collaborateurs
  • Titi Floris, transport routier de personnes, 900 salariés, 150 salariés RQTH
  • Ethiquable, produits alimentaires issus du commerce équitable, 85 salariés

Source de l’article : service public

La banque d’accueil : une vitrine de votre société

Bien plus qu’une simple salle d’attente, le hall d’accueil constitue une véritable vitrine pour l’entreprise. Élément prépondérant de l’espace de réception, la banque d’accueil conditionne en grande partie l’image que se font les visiteurs de la société, ainsi que leur première impression par rapport à cette dernière. D’où l’importance d’un aménagement soigné : du comptoir d’accueil aux connectiques, tout doit être choisi avec minutie, et non pas de manière hasardeuse.

L’importance de la banque d’accueil dans une entreprise

Selon un adage populaire, « on n’a jamais deux fois l’occasion de faire une bonne première impression ». Et faire bonne impression pour une entreprise, cela passe en grande partie par la réussite de l’aménagement de l’espace d’accueil, en ce qui concerne aussi bien l’architecture que les équipements (comptoirs d’accueil et autres meubles, connectiques, etc.).

La banque d’accueil est l’un des équipements qui impactent majoritairement l’allure d’une salle d’attente. Elle constitue la vitrine, la carte de visite de la société, et bien choisie, elle contribue à donner du cachet à l’espace d’accueil, endroit où se forme généralement la première opinion des personnes externes.

Pour la plupart, les visiteurs ou prospects ne garderont que l’impression laissée par la banque et la salle d’accueil en général comme souvenir, et pour l’image de marque et la visibilité de la société, il est important que cette première impression soit bonne. En plus de conditionner la première opinion des prospects, une banque d’accueil bien choisie permet de mieux gérer le flux de visiteurs, tout en améliorant la productivité des personnes qui y travaillent.

Bien choisir son comptoir

D’entrée de jeu, il faut garder à l’esprit qu’il existe des standards en termes de dimensions pour ces équipements. Un comptoir d’accueil doit normalement avoir une hauteur de 70 cm au moins et de 80 cm au plus, une profondeur minimale de 30 cm et une largeur d’au moins 60 cm. Par ailleurs, il faut savoir faire preuve de créativité pour décorer la banque d’accueil de sorte à rajouter une touche d’esthétique à la salle d’attente (en savoir plus sur Sweetyhome).

Dans ce cadre, en ce qui concerne les matériaux, il est recommandé d’opter pour du métal pour un rendu moderne et sophistiqué. Pour les couleurs, attention à la faute de goût. Il vaut mieux éviter les looks qui contrastent trop avec l’ambiance générale : l’idée est de marier la banque au reste de l’espace d’accueil et du bâtiment, pour transmettre l’identité de la société. Il existe de nombreux coloris possibles, et il ne faut pas hésiter à demander des échantillons avant de procéder à l’achat.

L’éclairage ne doit aucunement être négligé. En effet, rien de tel qu’un peu de mise en lumière pour faire sensation ! Opter pour une banque d’accueil avec LED intégrées garantira un rendu plus esthétique, au look audacieux et sophistiqué. Les connectiques ne doivent également pas être oubliés : pas question de laisser traîner les fils que ce soit sur le comptoir d’accueil, ou encore moins dans les pieds des visiteurs ! Pour éviter cela, mieux vaut préférer une banque astucieuse avec passe-câbles.

Il est aussi important de choisir son comptoir en fonction des piétements d’angle. Ceux en forme de « L »  sont pratiques, car ils offrent de l’intimité quand il faut s’isoler dans la banque d’accueil pour parler à un visiteur. Les piétements rectangulaires, simples et compacts, sont parfaits pour les petits espaces. Ceux en « O » par contre offrent un standing remarquable, et sont réservés aux grands espaces. Quant aux piétements en « C », ils sont plus indiqués pour l’accueil d’un grand nombre de visiteurs. Il ne faut pas hésiter à commander un meuble sur mesure, pour plus de possibilités de personnalisation.

Comment choisir son logiciel de gestion commerciale ?

Les logiciels de gestion se multiplient et les offres les plus alléchantes séduisent les entrepreneurs. Un logiciel de gestion commerciale pour être opérationnel doit répondre à un certain nombre de critères utiles au fonctionnement optimal de l’entreprise, répondre à plusieurs besoins en même temps et relier les services pour que les tâches se déroulent de façon harmonieuse.

Les préalables à la recherche

Avant d’effectuer une recherche pour trouver l’outil performant il faut :

  • Bien définir les besoins de l’entreprise

La gestion commerciale représente dans les entreprises un travail considérable et qui touche à de nombreux domaines et impliquent souvent plusieurs services et équipes. Elle concerne les devis, la facturation, les créances clients et la gestion des fournisseurs.

Les questions que doit se poser le dirigeant en amont ne doivent pas laisser de zones d’ombre et ne se focaliser que sur une des fonctionnalités du logiciel de gestion commerciale représenterait une erreur. Il doit donc identifier tous les besoins de l’entreprise mais aussi avoir conscience que plus les tâches sont facilitées plus les répercussions salariales peuvent être diminuées et donc en conséquence les charges de l’entreprise.

  • Bien connaître les fonctions du logiciel de gestion commerciale

Les logiciels de gestion commerciale permettent de gérer de manière unifiée des processus de vente tels que la gestion des factures et des bons de commande, des bons de livraison, des achats et des ventes, du suivi des paiements et des relances clients, des fournisseurs et des prix d’achat. Le réel intérêt de la gestion unifiée est d’offrir l’opportunité de partager une même base de données et donc de travailler continuellement sur des données à jour et de ne jamais faire d’import/export entre les différentes applications qui sont des actions chronophages.

Comment réaliser cette gestion unifiée ?

Selon vos besoins ou votre budget, vous pouvez souscrire à autant de modules que vous jugez nécessaire. Vous avez accès en ligne à une interface qui vous ouvre les portes des modules que vous avez choisis et qui vous permet de réaliser des tâches liées entre elles. Quelle simplification !

Ainsi le module de gestion des facturations par exemple permet à la fois de créer des devis et factures, de les envoyer au client et de les archiver. Tout cela en quelques clics. Le module de gestion de la relation client et fournisseur quant à lui permet à la fois de visualiser les créances clients et dettes fournisseurs, les contrats, envoyer des relances, etc.

En ce qui concerne le module de gestion des achats et des ventes il permet de   suivre les flux de production et de gérer les stocks en temps réel et en ligne.

Le module de gestion financière permet de suivre les flux financiers de votre organisation et d’interagir avec votre comptable / votre banque.

Qui utilise un logiciel de gestion commerciale ?

Les outils de gestion commerciale sont transversaux. Ils sont utilisés par les différentes fonctions tels que les commerciaux et assistants commerciaux pour réaliser les devis, factures, les responsables achats et logistique pour gérer les stocks de l’entreprise, les comptables pour enregistrer la comptabilité en ligne, les responsables financiers pour réaliser un diagnostic de l’entreprise…

Mais que cherche un dirigeant ?

Mais ce qui représente un plus c’est que le dirigeant de l’entreprise utilise l’outil pour élaborer le pilotage stratégique de son organisation et développer son activité.

  • Avoir un logiciel qui permet une gestion complète des clients quelle que soit l’étape du cycle de vente de la prise de contact au suivi des différentes demandes etc.
  • Générer facilement des devis et des factures afin de réduire considérablement le risque d’erreurs et de gagner du temps sur leur mise en forme et leur personnalisation.
  • Une meilleure gestion des ressources humaines avec l’administration automatique des absences et des fiches de salaire.
  • Gérer efficacement et simplement l’administration des notes de frais de tous types (frais de bouche, indemnités kilométriques,…).

Pourquoi utiliser un logiciel de gestion commerciale ?

Les meilleurs logiciels de gestion commerciale sont des outils indispensables pour piloter une entreprise, diminuer le coût de traitement des informations et de réduire le risque d’erreur. Ils centralisent les données des différentes divisions, permettent le partage inter-fonctionnel, proposent des espaces collaboratifs avec les fournisseurs/clients et de gérer des stocks en flux tendu.

Comment défiscaliser et réduire ses impôts en 2019 ?

Quand on parle de défiscalisation, il est souvent commun de se dire qu’elle est illégale. En réalité, il existe de nombreuses solutions légales pour réduire ses impôts. Les techniques s’adaptent à un profil particulier suivant le montant de la réduction mais également la durée de l’engagement et du montant investi.

La défiscalisation s’assimile à la notion de niche fiscale. Il s’agit d’une dérogation aux règles fiscales qui vous permet de diminuer vos impôts. Si parfois, elles ont pour origine un vide juridique, il s’agit pour la plupart d’entre elles d’un dispositif mis en place par l’Etat afin d’inciter à investir dans des domaines précis. Si vous ne savez pas par où commencer, des sites comme defiscalisation-france.fr vous renseignent de manière plus approfondie

Il existe deux principales manières de défiscaliser : la défiscalisation immobilière et financière

1/ La défiscalisation immobilière

Elle possède l’avantage principal de vous permettre de vous constituer un patrimoine et de vous permettre éventuellement d’amortir votre investissement grâce à des loyers. Si votre investissement est judicieux, une plus-value pourrait se greffer lors de la vente. Certains peuvent se cumuler comme avec le statut LMNP et la loi Censi Bouvard.

Loi Pinel : il s’agit d’acheter et de louer un bien neuf dans les zones éligibles. Vous devenez ainsi propriétaire. Vous pouvez défiscaliser jusqu’à 21% du montant investi. Il existe un plafond de 300 000€ mais qui offrirait tout de même jusqu’à 63 000 € de réduction d’impôt. Les avantages fiscaux restent en adéquation avec la durée de location.

LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) : Il s’agit de louer un bien immobilier neuf et meublé à titre de résidence principale à un particulier. Vous récupérez ainsi la TVA.  Une condition : les revenus annuels ne doivent pas excéder 23 000€.

Loi Censi Bouvard : il s’agit investir dans la location d’un logement neuf et meublé en résidence qu’elle soit étudiante, de tourisme ou pour les personnes âgées. Vous pouvez défiscaliser 11% du montant investi avec la même limite que la loi Pinel (300 000€).

Loi Malraux: il s’agit de rénover des biens anciens et de louer en tant que résidence principale pour une durée d’au moins 9 ans. Elle prend en compte un pourcentage du montant des travaux. Elle s’élève jusqu’à 30% selon les zones éligibles.

Loi Monuments Historiques : vous pouvez de déduire les charges de restauration, d’entretien et les intérêts d’emprunt. Vous devez louer un non meublé pendant 3 ans et le garder au moins 15 ans.

Déficit Foncier : vous imputez les revenus fiscaux des travaux de rénovation / réhabilitation à 100% et sans plafond. Il s’agit de moderniser les parcs immobiliers anciens. Le bien doit être ensuite loué pour une durée de 3 ans minimum.

Loi Girardin : il s’agit investir dans les DOM-TOM. La réduction d’impôt peut aller jusqu’à 130% de l’investissement et s’applique sur l’année de la souscription.

2/La défiscalisation financière

Assurance vie : l’assurance vie est un contrat de placement qui porte le maximum de ses fruits sur le long terme. Vous placez votre capital et désignez une personne comme bénéficiaire en cas de décès. L’avantage est que la taxation repose sur les gains et non le capital. Elle prend un maximum d’effet au bout de 8 ans même si votre argent peut encore être débloqué.

Placements immobiliers : il s’agit d’acheter d’un bien pour le louer ou le revendre. Vous pouvez passer par des sociétés agréées ou des fonds de placement. Ce sont les fameuses SCPI, OPCI et GFV.

Investir dans les entreprises : Il s’agit d’investir dans les entreprises notamment par le Plan d’Épargne en Actions (PEA), Fonds Commun de Placement dans l’Innovation (FCPI,) et le Fond d’Investissement de Proximité (FIP) et vous constituer un portefeuille d’actions d’entreprises européennes.

Épargne – retraite : il s’agit de faire un Plan d’Épargne Retraite Populaire (PERP). La loi Madelin vous permet ainsi d’épargner pour préparant votre retraite sous forme de rente.

Greffe de cheveux en Turquie

Le secteur médical est présent dans tous les pays du monde. Pour réaliser certaines opérations vitales ou qui leur tiennent à cœur, de nombreuses personnes se renseignent et consultent dans l’hexagone. Le prix en fait renoncer plus d’un. Des entrepreneurs ont su saisir l’occasion et proposent des services à l’étranger à prix réduit.

Se tourner vers l’étranger ?

Il s’avère que depuis une décennie, les offres se sont multipliées à des prix défiant toute concurrence. La raison en est qu’à l’étranger, la monnaie à une valeur souvent inférieure à celle de l’euro, les prix y sont donc moins élevés. De plus, le coût salarial est souvent moindre puisque les salaires sont inférieurs à ceux de la France. Or, certaines opérations demandent des équipes médicales composées de 4 ou 5 personnes. Lorsque l’on approfondit son investigation, on rencontre des entreprises comme CapilClinic.fr, par exemple, qui proposent de faire votre greffe de cheveux en Turquie.  Mais comme on le sait tout ce qui touche à la santé suscite une certaine appréhension et donc la première question que se posent les patients est celle de la fiabilité du personnel et de la qualité des équipements. Il est bien évident que le patient devra rechercher en amont les garanties de fiabilité.

Comment les convaincre de venir en Turquie ?

En réalité, il suffit souvent d’avoir une entreprise intermédiaire qui possède une excellente connaissance de soins pratiqués, des personnes qui interviennent et des conditions sanitaires en France. Ils servent de garantie ou caution morale. Souvent, le relais passe par l’intermédiaire d’une entreprise française.

De nombreux entrepreneurs l’ont bien compris et n’hésitent pas à se lancer dans ces pays et à proposer des prestations de qualité car, après étude du marché, ils se rendent compte que la prestation proposée est irréprochable en raison de la qualité du matériel. Il arrive souvent que le personnel ait fait ses études dans de grandes écoles de médecine. Vous pouvez alors donner une garantie que vous serez entre de bonnes mains pour une intervention.

Quels sont les compétences à posséder pour installer une entreprise ?

S’installer à l’étranger n’est jamais une chose aisée. Il est évident que la base est de cerner toutes les contraintes juridiques et que rien ne doit être laissé au hasard. La langue aussi fait partie des points essentiels car elle représente une barrière et peut devenir un frein car rien n‘est plus angoissant que de s’établir dans un pays dont on ne maîtrise pas la langue.

SCT Télécom : Une société qui donne la parole à ses clients

Spécialisé dans l’accompagnement des TPE et PME pour leurs besoins en télécommunication, SCT Télécom propose des services innovants, au plus près des besoins de sa clientèle et donne une attention toute particulière aux retours de cette dernière en ce qui concerne ses services.

SCT Télécom, des avis qui en disent long

Quoi de mieux que les avis clients SCT Télécom pour se faire une idée sur un produit ou un service ? SCT Télécom le sait : de nos jours, la concurrence est telle que ce sont les retours clients qui constituent le meilleur témoignage pour attester de la qualité d’un service.

Sur SCT Télécom Avis, les potentiels futurs clients de l’entreprise peuvent en quelques clics se faire une idée de l’opinion générale sur le service en télécommunication fourni. En plus du contenu même des avis rédigés par les actuels clients de la marque, des notes sur la technique, le service client, le commercial et le prix sont également données de façon à pouvoir se faire une idée globale du service proposé en un simple coup d’œil.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’unanimité règne en ce qui concerne l’opinion sur SCT Télécom : « Des tarifs intéressants et un suivi commercial régulier. Je recommande donc la société SCT TELECOM ! », « Reprise en main efficace de nos contrats fixe et mobile en déshérence chez notre ancien opérateur. », « SCT TELECOM nous fournit une offre qui correspond tout à fait à notre besoin », « Rien à dire : tout va très bien et je suis très contente d’avoir signé toute ma téléphonie chez vous. ». Voici quelques exemples de ce que l’on peut lire sur les avis de SCT Télécom. Des retours positifs qui s’expliquent très certainement par la qualité des services proposés par l’opérateur, mais aussi certainement par la justesse de l’offre.

Des offres pensées pour les TPE et PME

Si de nombreux opérateurs préfèrent prendre tout particulièrement soin des grands groupes qui figurent dans leur clientèle, SCT Télécom a bien compris que les TPE et PME représentent une part capitale dans le paysage de l’entrepreneuriat français (plus d’informations sur les TPE et PME sur le blog entreprise-et-compagnie.fr). Depuis plus de vingt ans, l’entreprise a à cœur de proposer des offres qui soient adaptées à cette cible en prenant en considération leur secteur d’activité, mais aussi leur budget.

SCT Télécom propose ainsi des offres en téléphonie fixe et mobile, en data et internet, mais également de la création de télésecrétariat ou de numéros en 08, la possibilité de procéder à l’installation de vidéosurveillance, une offre antivirus et une sauvegarde externe pour davantage de sécurité. Un grand nombre de possibilités auxquelles les TPE et PME pourront souscrire auprès d’une même entreprise afin de faciliter le suivi des offres, mais aussi la gestion du budget alloué à ces services.

Enfin, la prise en charge proposée par SCT Télécom ira encore plus loin que le choix de l’offre et l’installation des services puisque l’opérateur met à votre disposition un service client particulièrement réactif et performant afin de répondre de façon rapide et efficace aux éventuelles demandes.

SCT Télécom travaille ainsi chaque jour à apporter une totale satisfaction à sa clientèle, mais aussi à prouver son investissement à ses potentiels nouveaux clients par le biais d’un site dédié aux avis. Si vous souhaitez en apprendre plus sur cette entreprise, découvrez un nouvel article ici.