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Avoir recours à une agence web pour donner de la visibilité à son site internet

Avoir un site internet professionnel est un atout considérable en termes de communication digitale pour une entreprise. En revanche, pour bénéficier d’un site web responsive design qui soit performant à la fois en termes de visibilité, de trafic ou de prises de contact (voire même retour sur investissement), une certaine mobilisation va être nécessaire. 

Quels sont les investissements à réaliser pour un site internet ?

Faire le choix de la création d’un site internet d’entreprise peut-être le fruit de différentes réflexions : vendre ses produits sur le web, bénéficier d’une vitrine en ligne, ou encore affirmer sa présence sur le marché du digital. Mettre en place un projet web peut permettre de conquérir de nouveaux clients. C’est pourquoi la création de site web (voire la refonte du site existant) va alors entraîner des investissements en termes de gestion, de mise à jour, ou encore de maintenance technique.
En effet, le développement d’un site internet va demander une expertise en ce qui concerne différents domaines du webmarketing. La construction du site autrement dit le développement web, le travail de l’ergonomie, la prise en compte de l’expérience utilisateur ainsi que d’autres paramètres essentiels assurent la création de sites internet adaptés pour la navigation. Le site internet, dans la lignée de tous les supports de communication (quels qu’ils soient) va également demander une réflexion en termes de ligne éditoriale avec la définition d’un plan de publication, de l’arborescence du site, tout en tenant compte des exigences qu’impose le référencement naturel.

En ce sens, l’investissement en termes de temps et de compétences peut nécessiter l’externalisation de la création et de la gestion de son site web auprès d’une agence digitale spécialisée dans la communication web.

Travailler en collaboration avec une agence web

Avant de s’engager auprès d’une agence web, il faut savoir qu’il en existe un très grand nombre et que le fonctionnement peut différer selon la composition de l’agence. De manière générale, lorsqu’il est question de collaborer avec une agence web, la définition des besoins, la mise en place du projet et le suivi de performances sont effectués en relation avec une seule et même personne qui est le ou la chef(fe) de projet.

Chaque agence web est composée de divers services. D’une part, un service développement composé de développeurs web « back-end » ou « front-end », de webdesigners, et/ou intégrateurs. D’autre part, un service référencement est composé de SEO manager, référenceurs SEO, rédacteurs web ou Community Manager chargés de produire des contenus web optimisés, d’appliquer les bonnes pratiques de référencement naturel sur un site internet et enfin, de faire progresser la visibilité du site sur des mots-clés pertinents.

Selon l’agence web, les rôles peuvent varier et d’autres postes ou services peuvent s’intercaler entre le métier de référenceur et celui de développeur, ou tout simplement encadrer les deux à l’image du métier de consultant. En définitive, la composition de l’équipe en charge du projet est précisée dès le début de la collaboration.

Bien choisir son agence web pour une stratégie digitale qui vous correspond 

Vous l’aurez compris : face à l’immensité du nombre d’agences et de la diversité qu’elles présentent, il peut-être difficile de faire son choix pour être certain d’obtenir un site à votre image. Pour bien choisir l’agence web avec laquelle travailler, il est intéressant de les classer selon certains critères. 

Tout d’abord, souhaitez-vous augmenter votre visibilité localement ? Une agence web locale sera plus à même de répondre de façon qualitative à vos besoins, bénéficiant d’une certaine connaissance de l’environnement. Cette opportunité peut être intéressante si vous êtes situé dans une métropole, comme par exemple Toulouse, composée de différents secteurs proches géographiquement (comme Blagnac, ou Colomiers encadrant la ville Rose) et qui présentent un certain potentiel. Si ce n’est pas le cas, il peut être intéressant de ne pas fermer la porte aux agences nationales. 

Par ailleurs, le cahier des charges du projet a-t-il bien été défini ? Êtes-vous sûr que la moindre modification apportée à votre site ne sera pas facturée ? 

En effet, le fonctionnement des agences digitales varie. Certaines agences web comme Linkweb, agence web à Toulouse, emploient un mode de fonctionnement par forfait : la rémunération du forfait correspond à un nombre fixe d’heures passées sur le site internet. Les mises à jour et modifications sont prises en compte dans le forfait. Elles n’engendrent donc pas de surcoût, sauf cas exceptionnel. S’assurer qu’un service de maintenance existe en cas de panne du site est également conseillé pour se prémunir d’une situation qui pourrait devenir embarrassante, notamment si votre renommée est appuyée dans une ville comme Toulouse.

Enfin, pour bien choisir son agence web, il est important de prioriser une bonne relation avec son interlocuteur. Celle-ci est essentielle pour un déroulement optimal du projet. La création d’un site internet demande un certain investissement, c’est pourquoi la collaboration avec les équipes de l’agence ne doit pas être négligée et doit nécessairement être positive pour maximiser les chances de réussite du projet.

Communiquer…encore et toujours !

Un projet réussi peut donner lieu à de très bonnes surprises en termes de communication sur internet : développement de son image de marque, optimisation de sa visibilité sur les moteurs de recherche, augmentation de la notoriété de la marque.

Toutefois, cela demande certaines conditions. Un projet qui fonctionne est un projet dans lequel il est nécessaire de s’investir et donner de son temps. Ceci est indispensable pour faire de son site web une réelle opportunité de croissance et de développement pour son entreprise. En revanche, mettre en place un site internet seulement identifié par votre identité visuelle définie par votre charte graphique n’est pas un critère suffisant pour obtenir un site web performant.

Il est important, pour développer sa stratégie de communication digitale, de faire preuve de réactivité et d’implication de façon à favoriser la mise à jour régulière de ses contenus pour assurer l’activité de son site web, qui se traduira par un impact dans le cadre du référencement naturel auprès de Google.

En ce sens, la bonne communication avec ces interlocuteurs, spécialisés dans le conseil en communication, est une des conditions incessibles qui accompagne la mise en œuvre du projet web et doit pouvoir favoriser sa réussite.

Le trafic de mon site Internet ne décolle pas !

Chaque dirigeant a le regard dirigé vers on trafic car il le sait de l’augmentation de son trafic dépend sa notoriété et sa croissance. Dans un premier temps, il faut bien observer le chemin parcouru par les internautes et à quel moment ceux-ci quittent votre site. Vous pouvez prendre un groupe de personnes pour tester leur aventure sur votre site et à quel moment non satisfait de la rapidité ou de la réponse, ils décrochent et se dirigent spontanément chez vote concurrent.

Vous savez sûrement que le référencement permet d’améliorer la position de votre site web sur les moteurs de recherche. Mais comment faire pour l’améliorer ?

Il faut comprendre le principe des moteurs de recherche : leur but est de vous proposer des sites Internet de qualité en rapport avec ce que vous cherchez. Pour cela, un robot (ou programme) se balade sur Internet, analyse la qualité de votre site et détermine s’il est en rapport avec tel ou tel sujet. Étant donné qu’il n’est pas humain, ce robot ne peut pas juger la nature d’une page comme vous et moi. Il va donc se servir de divers indices pour en déterminer la qualité et la pertinence. Pour être en première page, nous devons donc montrer à ce robot que notre site Internet est le meilleur et qu’il correspond à notre thématique. Pour cela, voici les 5 points essentiels à suivre par tous les moyens pour un référencement naturel de qualité.

Créez du contenu attractif 

Publier du nouveau contenu régulièrement est une façon exceptionnelle d’améliorer son référencement et d’attirer plus de trafic. Chaque nouvelle page est une nouvelle porte d’entrée pour votre site et accroît sa notoriété. Proposez des informations qui intéressent votre audience (par exemple : des comparatifs, des essais de produit(s), des actualités de votre secteur, des conseils pour vos clients, des tutoriaux vidéo, des galeries photo/vidéo, des études de cas, des interviews, etc.) écrivez un contenu unique, pertinent et donnez le maximum d’informations possible.

Faites toujours des liens depuis les nouvelles pages vers les anciennes. Par exemple, si vous faites un test d’un nouveau vélo, faites un lien vers la page catégorie « vélos » (ou une page semblable).

Optimisez votre site web

Votre site doit également répondre à des exigences techniques pour bien se positionner. Inscrivez-vous sur Google Webmaster Tools (www.google.com/webmasters/tools/) et prenez en compte toutes les préconisations qu’ils vous donnent. La réécriture d’URL, le sitemap.xml, les balises alternatives des images et la bonne utilisation des balises HTML (h1, h2, strong, etc.) sont des points indispensables. Si ces termes ne vous parlent pas, renseignez-vous sur ce sujet. Les titres et les descriptions meta de chaque page doivent être accrocheurs et uniques. Le titre sera tronqué après 66 caractères environ et la description après 156 caractères quand vous ferez vos recherches sur Google. Ces données améliorent non seulement le positionnement mais aussi le taux de clics (plus de clics pour un même nombre de pages vues). Pour les titres meta, mettre la 1re lettre des mots importants en majuscule augmente sensiblement le taux de clics.

Augmentez le nombre de liens entrants

Les moteurs de recherche analysent les liens externes qui pointent vers vos pages pour déterminer leur notoriété. En gros, plus vous avez de liens qui pointent vers votre site Internet, et plus ces liens proviennent de sites Internet respectés, mieux vous serez positionné. Il faut donc faire en sorte que des sites Internet importants fassent des liens hypertexte vers le vôtre. Demandez à vos partenaires de parler de vous, proposez du contenu intéressant (les visiteurs vous feront des liens d’eux-mêmes), faites du guest-posting (écrivez des articles sur des blogs en échange d’un lien retour), cherchez des répertoires d’entreprises, soyez actif dans d’autres communautés (forums, blogs, etc), créez un blog, soumettez votre site dans des annuaires de qualité (à utiliser avec modération), etc.

Copiez vos concurrents ! Avec un outil de recherche de liens comme Ahrefs (ahrefs.com), tapez l’adresse URL de vos concurrents pour voir quels sites ont des liens qui pointent vers eux. S’ils ont réussi à avoir ces liens, vous pouvez peut-être en faire de même et vous en inspirer !

Travaillez vos mots-clefs

Concentrez-vous sur la rédaction d’un texte agréable en utilisant le vocabulaire de votre audience. Vous écrivez avant tout pour les humains, pas pour les moteurs de recherche. Employez souvent les mots-clés ainsi que leurs synonymes. Un article sur les start-ups devrait contenir les mots : start-up, start-ups, startup, jeune entreprise, entrepreneur, etc. Vos mots-clés doivent apparaître dans vos titres. Attention à ne pas sur-optimiser. Le générateur de mots-clés de Google Adwords (https://adwords.google.com/o/KeywordTool) vous indiquera si une requête est populaire ou non, et vous conseillera des mots-clés similaires. Les moteurs de recherche accordent plus d’importance aux mots-clés en début de page. Placez vos principaux mots-clés dans les premières phrases de la page ou chapo.

Utilisez les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont un indicateur de qualité idéal pour les moteurs de recherche : vos publications sont-elles partagées ou ignorées ? Soyez présent et partagez des informations et vos nouvelles publications pour les faire connaître. Incitez le partage depuis votre site Internet : boutons de partage pour les articles et propositions « suivez-nous sur… » contribueront à vous faire connaître auprès de la communauté. Soyez au minimum sur Facebook, Twitter et Google+. Vous avez une adresse ? Créez des comptes sur les réseaux sociaux de proximité : Google Adresses, FourSquare et Yelp (pour les magasins). Google propose de plus en plus de résultats « locaux » proches du visiteur. Pour en faire partie, il doit voir que vous êtes un acteur important dans votre ville.

Créez un compte Google+ Auteur et associez-le à vos articles. Vous verrez votre photo dans les résultats, cela augmente le taux de clics d’environ 20 % !

Article par BRUNO PEREZ Fondateur de Buddyweb

La stratégie de netlinking, un incontournable

Le netlinking est devenu un terme à la mode et la plupart des entreprises font aujourd’hui appel à cette technique. Il s’agit avant tout d’une stratégie qui vous permet d’augmenter le positionnement de votre site internet sur les moteurs de recherche. Pour ces derniers, les liens reçus par les pages d’un site internet lui octroient de la valeur, car ils mettent en exergue que d’autres sites s’intéressent à son contenu, et qu’ils estiment positif d’y faire référence. La popularité des sites internet reste liée de manière intrinsèque au référencement naturel, même si le netlinking joue un rôle de plus en plus important dans la stratégie de développement des entreprises.

Le référencement naturel avant tout

Si vous produisez du contenu de qualité et qui intéresse les internautes, vous aurez naturellement des liens qui devraient conduire vers votre site internet. Il est en général courant que le lien hypertexte (backlink) ait pour origine une page web dont le contenu textuel est dans une thématique identique à votre page. L’inverse reste rare et il vous faut prendre en compte que plus la page est populaire, ce qui est souvent appelé PageRank ou PR, plus la page cible aura tendance à remonter dans les moteurs de recherche. Le PageRank demeure un algorithme d’analyse des liens qui permet au système de réaliser un classement des pages web, pour calculer sa popularité.

Autrement dit, les moteurs de recherche relient l’intérêt de votre site à sa popularité. Ils la déterminent grâce au trafic généré par la page, mais ils prennent également en compte le nombre de liens qui pointent vers lui, ainsi que la qualité des personnes ou sites qui y font référence. À noter que l’ancre du lien garde une importance certaine. Vous l’aurez compris, il est préférable d’avoir une acquisition de backlinks étendue dans le temps, avec des liens issus de domaines à fort trafic.

Contrairement aux idées reçues, les ancres textuelles du type « en savoir plus, cliquez ici,… » ou encore la multiplication de liens entrants sur une période courte, ne sont pas forcément bénéfiques pour votre page.

Comment faire du netlinking ?

Vous pouvez bien entendu signaler la présence d’un contenu que vous produisez aux éditeurs de site internet à fort trafic. Il s’agira de les sélectionner en fonction de l’intérêt que votre publication a pour eux. Vous pouvez leur proposer de mettre un lien vers votre page, afin qu’ils redirigent le flux vers celle-ci. À noter qu’ils demeurent souvent peu enclins à ajouter des liens et qu’il peut s’avérer difficile de faire des partenariats.

Si vous avez décidé d’opter pour cette stratégie, il vous faudra sélectionner les sites les plus pertinents et étudier leur trafic. Vous devez donc avoir une très bonne connaissance des différents acteurs dans votre domaine. Vous devez prendre en compte que le netlinking est souvent payant et donc savoir choisir les sites de référence dans le domaine ou faire appel à une agence spécialisée dans le domaine, telle que la plateforme de netlinking SEMJuice.com.

Il vous faut également veiller, au-delà de la qualité du site qui vous redirige, à la qualité du contenu, qui a un impact important en termes de SEO (champ sémantique riche, phrases bien construites, pertinence des propos, contenu informatif). Il s’agit de produire un contenu à forte valeur ajoutée, afin que les moteurs de recherche apprécient la réelle valeur de la page.

De nombreux éléments entrent également en ligne de compte, comme la longueur du texte ou encore la présence d’intertitres incluant des mots-clés pertinents, sans suroptimisation. Il ne s’agit pas d’avoir un contenu trop optimisé pour les moteurs de recherche, mais un contenu aussi qualitatif qu’informatif.

Comment mener une stratégie de netlinking ?

Dans le cas où vous auriez opté pour une stratégie non payante, vous pouvez bâtir votre stratégie sur la production d’un contenu qui puisse créer le buzz avec du contenu original et pertinent, suscitant un grand nombre de backlinks spontanés (c’est ce que l’on appelle le linkbaiting). Les partenariats peuvent être une bonne source en matière d’échange de liens. Il faut cependant que votre site génère lui aussi un trafic susceptible d’intéresser le site visé, avec des thématiques proches.

Si vous avez opté pour une stratégie payante (ce que l’on appelle le linkbuilding), tous les professionnels sérieux du secteur vous recommanderont d’éviter un contenu trop promotionnel. Vous devez veiller à fournir une information utile et pertinente, qui ait un véritable intérêt pour l’internaute, tout en faisant un glissement sémantique de votre ancre, au sein d’un contenu au champ sémantique approprié. Vous devrez donc veiller à choisir une plateforme de netlinking qui vous assure un contenu de qualité autour de votre lien. Il reste courant que l’éditeur crée le texte lui-même, afin de s’assurer de la qualité du contenu et de sa pertinence vis-à-vis de son lectorat, ainsi qu’une cohérence dans le ton employé d’ordinaire dans ses autres articles. Notez que vous devrez également établir des campagnes sur les médias sociaux, qui inciteront les internautes à se diriger vers votre site ou à démultiplier l’impact du contenu.

Il est peu recommandé de se lancer soi-même dans le netlinking, tant les subtilités du métier sont nombreuses. Une agence sera en mesure d’établir un audit de votre profil de liens, et de vous proposer une stratégie cohérente en fonction de cela. Elle connaît également les exigences de Google et les pièges à éviter, pour ne vous faire courir aucun risque SEO.

C’est pour cela que de nombreuses agences de référencement naturel comme SEMJuice ont vu le jour. Il s’agit de faire appel à une expertise en netlinking, car force est de constater, que c’est un véritable métier et que la tâche peut vite se révéler chronophage si vous n’êtes pas spécialisé dans le domaine.

Il suffit de se connecter sur la plateforme, et de passer commande via le dashboard annonceur mis à disposition de tous. Toutes les actions y sont identifiables : les campagnes en cours, les relectures à effectuer, les liens posés, ainsi que des statistiques sur l’évolution de votre référencement. Rien de compliqué, puisque chaque étape est logique et bien amenée, permettant même de créer des briefs réutilisables pour les prochaines campagnes de liens. Pour les personnes peu à l’aise avec le système, l’avantage d’une agence SEO aussi proche de ses clients, c’est l’accompagnement qu’elle peut mettre au service des annonceurs, afin de les guider vers la stratégie la plus adéquate avec leurs besoins.

Quels résultats espérer avec le netlinking ?

Vous pourrez constater une augmentation de votre trafic suite à votre campagne de netlinking. Votre positionnement sur les moteurs de recherche se trouvera amélioré, et ce de manière pérenne, contrairement aux effets du SEA. Au-delà, d’une augmentation de trafic et de positionnement sur les moteurs de recherche, c’est votre notoriété qui se trouvera améliorée.

Il ne s’agit donc pas que de mesurer le nombre de nouvelles visites générées, mais bien de prendre en compte également les impacts indirects, comme la création d’un trafic direct sur votre home page.

Le netlinking représente l’une des techniques majeures utilisées pour sortir de la masse et améliorer sa notoriété et visibilité. N’oubliez pas de privilégier la qualité à la quantité !

Conseils aux entreprises pour réussir la transition numérique

Dans un monde qui se transforme à la vitesse de l’éclair, le numérique est l’allié de de toute entreprise pour poursuivre son développement. Pour pouvoir faire face à la concurrence et pour aussi consacrer son énergie aux innovations, l’industrie -en particulier l’industrie automobile et l’industrie métallurgique– a amorcé déjà depuis un certain temps sa transition numérique. Voici quelques conseils pour les entreprises qui seraient encore frileuses pour prendre ce tournant et le réussir.

Sortir des tâches opérationnelles chronophages

La transition numérique est loin d’être évidente pour nombre d’entreprises. Pourtant envahies et submergées par les tâches opérationnelles, elles sont toutes conscientes de l’enjeu, de l’impact et des effets positifs qu’apporterait cette transition numérique à leur développement mais aussi à la pérennité de leur entreprise. De nombreuses tâches peuvent être automatisées grâce au numérique et il représente une bonne solution en l’espèce.

Répondre aux clients, tel est l’enjeu de la transition numérique

Avant d’aborder toute transformation numérique, il vous faut connaître vos clients, leurs besoins mais aussi anticiper leurs futures attentes dans ce monde en perpétuel changement. Il est évident qu’il faut aussi réfléchir au fait que vos clients seront conduits, eux aussi, à transformer leurs habitudes par les innovations qui ne cessent de s’imposer à eux. Vous devez demeurer à l’écoute de vos clients afin de répondre non seulement à leurs attentes mais aussi afin de leur permettre de se projeter dans l’avenir. Conscients des mutations de leur propre business, ils pourront ainsi vous donner des pistes pour que vous puissiez anticiper les changements et vous ouvrir de nouvelles perspectives.

Analyser les données actuelles de l’entreprise

Les données doivent servir de matières premières. Or les entreprises ont accumulé au cours de leur parcours de multiples données, véritables trésors, qui ne sont pas utilisées à bon escient. Si les entreprises cumulent des données aujourd’hui, elles restent cependant encore très peu voire pas du tout utilisées. Il est souvent indispensable d’être accompagné car il est souvent difficile de se retrouver dans la quantité de données accumulées et de leur donner parfois une nouvelle vie.

Le big data représente une source de données précieuses en transformation digitale. La transformation numérique permet aux entreprises d’accéder à une infinité de données sur leurs clients.  Ces données peuvent être récupérées en interne ou bien être achetées à des spécialistes de la data.

La transformation digitale : l’humain d’abord

Tous les bouleversements, qui se sont imposés depuis 1990 avec l’arrivée des ordinateurs dans les entreprises, ont amené les collaborateurs à s’adapter aux nouveaux outils et à quitter les anciens, souvent délaissés à regret. La transition en termes d’outils demande de bien préparer le changement en amont afin d’éviter des difficultés relationnelles et humaines qui risquent d’entacher votre notoriété si cette transformation se transforme en revendications.

Alors, communiquer et communiquer encore avec les collaborateurs

Pour les collaborateurs, la transformation digitale induit des conséquences qui ne doivent pas être prises à la légère comme la perte de leur expertise pour un certain nombre d’entre eux qui faisait leur reconnaissance et leur niveau hiérarchique au sein de l’entreprise, comme le fait de devoir s’adapter mais aussi de devenir performant dans les nouvelles habitudes. Une telle transformation entraîne la peur et l’incertitude si elle n’est pas préparée en amont et risque de devenir un frein. Il existe un risque d’entraîner découragement et non implication des collaborateurs.

Il faut communiquer avant de se lancer dans le chantier de la transformation digitale de l’entreprise. Les relations humaines ont un rôle essentiel dans cette transition et l’entreprise, les ressources humaines ont la charge d’accompagner le personnel et de répondre à ses besoins et inquiétudes qui peuvent être dissipées grâce aux échanges qui se révèlent toujours fructueux.

Ce n’est pas une opération aisée, mais une transformation rapide et efficace doit tout centrer sur l’humain et la cohésion en interne. Il ne faut pas croire que tout est résolu par les formations. Au moment du passage à internet, il y avait ceux et celles qui ont profité de l’opportunité pour se lancer des défis qui leur ouvrait une porte dans leur carrière figée et les autres qui l’ont vécu comme une remise en question personnelle qui les ont conduits parfois à baisser les bras et à créer une ambiance délétère.

Si la formation ne fait pas tout, elle reste nécessaire pour aborder le digital en entreprise. Elle doit être bien préparée en amont pour rendre opérationnel l’ensemble des collaborateurs. Il faudra donc sélectionner des formations bien adaptées à votre entreprise.

La transformation digitale : restructurer l’entreprise, un défi

La transformation digitale s’accompagne du bouleversement des structures et des services et donc comme tout remaniement, ‘ce mot’ qui fait si peur à tant de collaborateurs doit être mis en place avec la conscience que le plus important c’est l’humain.

Faire émerger des idées, des compétences est primordial dans le cadre d’une transformation digitale. La transformation digitale inclut un travail collaboratif mais aussi un travail depuis n’importe où et parfois avec collaborateurs implantés dans des pays éloignés aussi bien géographiquement que par leur langue et culture. Elle demande à chacun des collaborateurs une vision nouvelle.

S’équiper d’outils performants

Il est essentiel de s’équiper d’outils digitaux nécessaires au recueil, au décryptage et à la gestion de la data générée par vos clients et partenaires (avis, habitudes, attentes…). Il ne suffit pas seulement d’acheter les machines mais véritablement de créer des outils qui vous permettront de digitaliser votre activité.

Si vous ne savez pas par où commencer, vous faire accompagner pour réussir votre transition digitale vous permettra d’obtenir des résultats sur lesquels vous pourrez miser pour la croissance de votre entreprise.

Attention ! Opportunités ! Voici les nouvelles tendances

Votre entreprise commence à développer sa croissance, vos clignotants sont au vert ! Enfin ! Votre campagne de publicité est déjà signée et va paraître dans quelques jours pour promouvoir votre concept ? Mais voilà qu’une nouvelle tendance met à mal votre tranquillité et remet en cause toutes vos prévisions ! 

Des nouvelles tendances qui font un carton

Les ongleries se retrouvent à tous les coins de rue et ne désemplissent pas. De plus, avec l’été qui a perduré, les ongles dans les sandalettes en séduisent plus d’une et plus d’un. Le rouge et le rose traditionnels ont été remplacés par mille fantaisies originales qui en ont fait un marché florissant. La pose de faux ongles en résine est devenue une nouvelle habitude. La beauté des mains et des pieds en arrive même à devancer l’attrait des coiffeurs qui ont été en concurrence avec les nouvelles teintures performantes à poser soi-même et par les très efficaces.

Dès la rentrée, à l’école ou au bureau, avec le rafraîchissement de la température les consommateurs se précipitaient pour s’équiper afin d’affronter la saison hivernale.  Mais, cette année, l’été qui perdure a détourné les clients de leurs habitudes … Ce qui fait le bonheur des ongleries est une véritable remise en cause pour les commerçants de vêtements et de chaussures. Quelle idée trouver ?

Le tatouage est devenu une nouvelle tendance.

Le Mondial du tatouage avec plus de 30.000 visiteurs chaque année accueille pendant trois jours des visiteurs amateurs ou curieux à la rencontre de plusieurs centaines de tatoueurs, venus pour l’événement d’une quarantaine de pays, sous la Grande Halle de la Villette. Le tatouage est devenu un réel phénomène de masse. Selon une étude de l’Ifop (auprès de 1.002 personnes) pour le Snat, en novembre 2016, 16 % des sondés déclaraient qu’ils étaient tatoués alors qu’ils n’étaient que 10 % en 2010. De plus 16 % des sondés avouaient leur désir de se faire tatouer dans les prochains mois. La mode est apparue dans les années 70-80 et seulement une vingtaine de studios de tatouage étaient présents. Aujourd’hui, on en compte entre 3500 et 4000. Le prix qui va de 50 euros à 150, voire 300 euros ne semblent rebuter personne.

La barbe, une mode internationale

La barbe est devenue une tendance mondiale au cours des cinq dernières années.  En 2015 les barbes commencent à devenir un phénomène de plus en plus fréquent et la barbe est restée très à la mode et ce même quatre ans plus tard. La barbe n’était pourtant, au début, pas toujours très bien perçu, notamment dans le monde de l’entreprise. Il était de rigueur d’être rasé de près. Aujourd’hui, elle est devenue tendance et rentrée dans les mœurs. Cette mode a entraîné des pertes considérables pour les vendeurs de rasoirs.

Au quatrième trimestre 2018-2019, Procter & Gamble, propriétaire de Gillette, a enregistré 5,24 milliards de dollars de pertes. Cette baisse des ventes serait due entre autres et surtout à la mode des barbes longues. Aujourd’hui, les hommes ne sont pas jugés négativement lorsqu’ils ne se rasent pas – cela n’est pas considéré comme paresseux ou irrespectueux », déclarait en 2018 à CNN un vice-président de Gillette.

Les robes de mariée en forte baisse

En 2017, 228 000 mariages ont été célébrés en France contre près de 298 000 en 2000, selon l’Insee. Le mariage n’est plus la panacée et donc les robes de mariée en font les frais. Ainsi Pronuptia est en train de vivre une passe difficile.  De plus avec internet qui propose des robes à des prix plus qu’attractifs. La robe de mariée issue de magasins spécialisées ne trouve plus la même clientèle et il est devenu très difficile de percer dans le secteur.

La mode en matière de restauration est capricieuse

En France, on trouvait à tous les coins de rue des restaurants de coucous, remplacés par la nouvelle tendance Pizza puis par la nouvelle tendance chinoise puis par la tendance japonaise… Aujourd’hui, c’est la livraison de repas qui à la part belle. Elles utilisent toutes ces modes pour venir contenter les consommateurs. Les restaurateurs proposent donc de livrer leurs mets au travers de ces plateformes et il faut prendre en compte ce nouveau mode de consommation. On ne cherche plus forcément à sortir de chez soi.

Ces entreprises françaises où il fait bon travailler

Être dans le palmarès Workplace® demandent aux entreprises candidates de montrer des preuves de leur excellence sur le bien-être de ses collaborateurs. Focus sur 5 entreprises qui se sont distinguées : Ey, Norauto, leboncoin, Novencia group, Hays.

Palmarès Best Workplaces France 2019 – + de 5000

EY France a été labellisé Great Place To Work et occupe la première place dans le classement 2019 pour les entreprises de plus de 5000 salariés en France.

Cette récompense est le fruit d’un travail collectif dans la proximité avec les collaborateurs et les associés pour améliorer au quotidien la qualité de vie au travail et le management.

« Nous souhaitons que chaque collaborateur puisse s’épanouir dans notre entreprise et qu’il devienne un véritable entrepreneur de sa carrière et de son temps. Il reste beaucoup de chemin à parcourir pour changer les comportements. Cependant, les premières actions engagées commencent à porter leurs fruits. Nous devons donc continuer dans cette direction » déclare Jean-Pierre Letartre, managing partner d’EY en France.

Quelles sont les actions mises en place ?

L’écoute de tous les collaborateurs grâce à un « Talent Transformation Committee » comprenant de jeunes collaborateurs et le Managing Partner de la France se réunit tous les mois. Son but est de transformer les comportements managériaux et déployer des innovations RH.

L’évolution des comportements par une communication quotidienne entre les collaborateurs. Les collaborateurs d’EY sont invités à communiquer sur leur quotidien au sein de l’entreprise. A travers le #TellmEY, ils ont pu exprimer sur les réseaux sociaux leur vie de tous les jours. EY a également mis en place une hotline éthique. Celle-ci permet à tous les collaborateurs de faire remonter des comportements problématiques.

Le collaborateur, entrepreneur de sa carrière et de son temps.

La gestion des carrières mise en place permet aux collaborateurs d’avancer au rythme qu’ils souhaitent, en fonction de leurs aspirations professionnelles. Un programme d’accompagnement de jeunes collaborateurs à la création de leur entreprise tout en exerçant leur activité professionnelle au sein de l’entreprise (« Jumpstart ») a également été mis en place. EY s’est engagé à aller plus loin que le simple télétravail, en introduisant le « flexible working », qui permet de travailler « où l’on veut, quand on veut ». Les collaborateurs peuvent travailler à distance, notamment depuis leur domicile, sans contrainte administrative en s’organisant avec leurs équipes.

Norauto France, leader de l’entretien et des solutions automobiles, a été labellisé Great Place To Work. Il occupe la seconde place dans le classement 2019 pour les entreprises de plus de 5000 salariés en France.

Quelles sont les actions mises en place ?

La formation, le dialogue, l’accompagnement et l’évolution de carrière pour tous font partie des enjeux prioritaires. Norauto propose en interne des formations pour répondre au mieux à la révolution du secteur : électrique, électronique, hybride etc. en développant les compétences et en accompagnant les changements en interne. Aujourd’hui l’entreprise se dimensionne en véritable école avec 30 sites de formation répartis en France, animés par 120 formateurs internes.

Les collaborateurs, des ambassadeurs

Norauto pratique le vélotaf (remboursement des frais kilométriques pour les collaborateurs se rendant en vélo au travail). C’est le 1er acteur à proposer la révision éco contrôle (analyse des gaz polluants du moteur) ainsi que l’installation du boitier bioéthanol dans ses centres. Norauto et ses ambassadeurs portent les innovations, qui sont chaque jour une véritable source d’inspiration.
L’entreprise est très engagée dans les domaines RSE/ Développement durable. Elle mène de nombreuses actions notamment avec sa Fondation sur des sujets liés à l’insertion, au handicap, à l’environnement, la sécurité routière et à l’éducation.

Palmarès Best Workplaces France 2019 – 500 à 5000

leboncoin, 6e site le plus consulté en France avec 27,1 millions de visiteurs uniques, leboncoin est aujourd’hui devenu un groupe de plus de 900 collaborateurs.

Depuis l’origine, l’entreprise a su garder valeurs : proximité, pragmatisme, engagement, créativité.

Quelles sont les actions mises en place ?

Selon Alexandre Colinet, Directeur Général Adjoint : « leboncoin a tout de suite compris que l’humain et des valeurs fortes, incarnées, doivent être placés au centre de la réalisation du projet d’entreprise, afin d’écrire une histoire collective. Nous sommes labellisés Great Place To Work depuis 2012, nous étions alors moins de 150. Aujourd’hui, nous sommes un Groupe réunissant leboncoin, les spécialistes agricoles et BTP Agriaffaires et MachineryZone, l’expert immobilier A Vendre A Louer et le site mode Videdressing. Autant de marques qui vivent ensemble grâce à 900 collaborateurs. Cette place de 4ème, encore en progression par rapport à l’an passé, est une grande fierté. En effet, elle valide le fait que nous avons su accompagner cette croissance forte et rapide en préservant le bien-être des équipes ».

Ces résultats sont aussi témoins de la cohérence entre l’image du site pour ses utilisateurs et pour ceux qui le font vivre. 90% des salariés sont fiers de la contribution citoyenne de l’entreprise.
HAYS À LA 8ème POSITION DU CLASSEMENT. Pour la 3ème année consécutive, Hays France, cabinet de recrutement spécialisé, figure dans le Top 10 des entreprises de plus de 500 employés récompensées par le Label Great Place To Work.

« Faire cette année encore partie des 10 meilleures entreprises « où il fait bon travailler » est pour nous une reconnaissance et une fierté ! Chez Hays France, nous sommes convaincus que pour répondre aux besoins de nos clients et accompagner au mieux les candidats dans leur projet professionnel, nous devons nous-mêmes être un vecteur des meilleures pratiques RH » se réjouit Nick Ling, Directeur général Paris et Directeur « People & Culture » du Groupe.

Quelles sont les actions mises en place ?

Créé en juillet 2018, le département « People & Culture » s’attache à renforcer la fidélisation des collaborateurs et l’attractivité́ de la marque Hays auprès de futurs talents, en plaçant la qualité de vie au travail au cœur de ses enjeux stratégiques. Dans un secteur très concurrentiel, Hays enregistre ainsi un turnover relativement faible (de 20 à 25% par an quand la moyenne du marché avoisine les 50%).

Si Hays figure cette année encore dans le peloton de tête du palmarès Great Place To Work, c’est grâce à une politique managériale propice à l’épanouissement de ses collaborateurs et à une culture d’entreprise forte qui prône la convivialité, la solidarité et le bien vivre ensemble. Parmi les initiatives phares chez Hays :
– Une transparence des salaires depuis bientôt 20 ans et une parité dans les salaires grâce à une politique de rémunération et d’évolution méritocratique.

– La diversité : ADN de Hays. La diversité fait partie intégrante de l’ADN de Hays, qui la perçoit à la fois comme un puissant levier de performance et comme la garantie d’un bon climat social dans l’entreprise.

– La promotion et l’intégration des travailleurs en situation de handicap via un partenariat avec Handicap.fr. En interne, de nombreuses mesures sont d’ailleurs prises afin de faciliter leur quotidien. Pour asseoir son engagement en faveur de la diversité, Hays est signataire de la Charte de la Diversité.

– Les congés maternité et paternité. Pour Hays, il est primordial d’accompagner au mieux ses collaborateurs dans cette étape clé de la vie qu’est l’arrivée d’un enfant.

– L’intégration des collaborateurs et la cohésion des équipes

– La relève en prenant soin des stagiaires. Hays a obtenu le label « Happy Trainees 2018 », qui atteste de l’engagement du Groupe en matière d’accueil et de formation des stagiaires et alternants.

Palmarès Best Workplaces France 2019 – 50 à 500

NOVENCIA, cabinet de conseil dédié à la performance opérationnelle, design, data et technologies monte sur la première marche du podium des entreprises où il fait bon travailler.

Le cabinet est classé pour la 4ème fois au palmarès. Après être entré directement à la 31ème en 2014, NOVENCIA est aujourd’hui numéro 1 du palmarès grâce à un projet d’entreprise basé sur le développement en continu des compétences et la complémentarité des talents.

Quelles sont les actions mises en place ?

– Le bien-être au travail est avant tout créateur de valeur ! C’est pourquoi NOVENCIA, n’a de cesse d’améliorer ses pratiques afin de créer un environnement de travail propice à l’épanouissement personnel. « Dire que toute pratique mise en place est un véritable succès, serait un mensonge. » souligne Arnaud ZILLIOX, Président fondateur de NOVENCIA.
– Le champ libre à toute la créativité d’un collaborateur afin de lui donner la possibilité de faire avancer le projet d’entreprise.
– Les communautés. En animant les communautés, les TechLeads assurent la cohésion de groupe. Les réunions de communautés, qui ont lieu une fois par mois, sont de forts moments de convivialité. Tous les sujets peuvent y être abordés et une idée transformée en projet. Aujourd’hui NOVENCIA compte 7 communautés dont le fonctionnement est indépendant et sont dotés de leur propre budget. Elles ont vocation à être de véritables start-up internes.
– Être acteur de sa carrière. Choix de la mission, réorientation professionnelle, validation des compétences, formation interne. Animés par la volonté commune de faire progresser chaque membre de l’organisation, les managers aident les collaborateurs dans l’évolution de leur carrière.

Ecrit ou oral… Comment transmettre mon message de la façon la plus efficace ?

L’écrit et l’oral sont les deux moyens que nous avons à notre disposition pour communiquer. S’il y a encore peu de temps, le téléphone était notre principal moyen de communication entre les services et avec les clients, il a laissé sa place en grande partie aux e-mails mais aussi à de nouveaux moyens de communication qui peuvent réunir plusieurs collaborateur grâce à la visioconférence. Pour le bon fonctionnement d’une entreprise, il est important pour son dirigeant de savoir bien maîtriser la communication et transmettre mon message de la façon la plus efficace. Tous les messages à partager en interne doivent être clairs, courts ou précis et bien réfléchi en amont pour ne pas laisser la place prépondérante aux émotions. Mais comment faire pour communiquer efficacement ? Lequel est le plus efficace : l’écrit ou l’oral ?

Construire un message pertinent

Avant d’envoyer un quelconque message, il faut d’abord définir son objectif et déterminer le ou les destinataire(s). Lorsque cette première phase mise en place, il est indispensable de choisir le moyen de communication efficace qui est capable d’atteindre toutes les personnes visées : la communication verbale ou non verbale. Ces deux modes de communication possèdent chacun leurs particularités, et le choix repose sur le type de message à envoyer ainsi que les destinataires. Pour éviter la perte d’information en cours de route, il demeure essentiel de formuler le message à envoyer de manière claire, précise et concise pour qu’il soit facilement assimilé par les destinataires que ce soit à l’écrit ou à l’oral.

Une communication écrite efficace

La clé d’une bonne communication écrite reste la clarté et la lisibilité. Avant de partager une information, il faut bien structurer le message et employer les mots justes et percutants pour attirer et convaincre votre lecteur mais aussi d’utiliser la phrase courte. Si vous utilisez la communication écrite, les interlocuteurs n’ont pas besoin d’être proches physiquement. Ce mode de communication se caractérise par la virtualité du destinataire, il est donc possible que vous n’obteniez pas de réponse immédiate.

À l’écrit, vous avez la possibilité de bien réfléchir aux informations à envoyer pour élaborer ensuite un message bien construit. Pour être efficace, il faut également jouer sur les supports. Toutefois, les messages écrits demeurent plus longs à produire, ils demandent plus de délais d’interaction et sont dépourvus d’émotions directes et de contacts humains.

Une communication orale opérationnelle

Directe, interactive et rapide… Voilà des qualificatifs qui pourraient très bien convenir à la communication orale. Ce mode de communication demande une proximité géographique. Le locuteur et l’auditeur sont présents physiquement, ce qui favorise l’échange immédiat. Le contenu est riche en émotions à travers la voix, la posture, les attitudes des interlocuteurs. Parler clairement et avec conviction est la seule manière de réussir à faire passer un message.

La base d’une bonne communication orale est la reformulation. Il est indispensable de bien reformuler le message pour renforcer son efficacité et de rester toujours attentif à la gestuelle. Mais l’essentiel est de savoir gérer à la perfection le temps de parole et de rester concentré sur les points importants de votre message.

Vu son aspect spontané, la communication orale peut être difficile à maîtriser en cas de conflit. Pensez à bien vous exprimer, même dans ces situations, pour ne pas déformer le message. La communication orale est riche et indispensable. Si elle se déroule sans problème, elle favorise l’échange.

Écouter ou prendre des notes !

Selon les spécialistes, la communication orale est plus efficace que celle qui a trait à l’écrit. Vous vous demandez sûrement comment c’est possible puisque vous passez le plus clair de votre temps à écrire des e-mails, à envoyer des SMS ou à prendre des notes.

Néanmoins, communiquer à l’oral directement avec votre interlocuteur facilite grandement la réactivité des deux parties. Quand on discute face à face, on est présent physiquement et on a tendance à réagir rapidement et de façon naturelle. C’est pour cela que les grandes entreprises utilisent beaucoup les vidéo-conférences.

L’écrit, qui est plus distant, nécessite une formulation précise du message et des sentiments que l’on souhaite faire passer. Toutefois, c’est le moyen adéquat pour envoyer un maximum d’informations. D’autant qu’en communiquant à l’écrit, les destinataires peuvent prendre du temps pour répondre, ce qui implique un retour mûr et réfléchi.

Que vous choisissiez l’une ou l’autre des méthodes pour faire passer un message, n’oubliez pas qu’une communication efficace entre deux êtres humains repose sur le bon choix des mots et sur le respect de l’autre.

Le BA-Ba des activités réglementées

Pour protéger la santé, la sécurité mais aussi pour protéger les personnes qui ont obtenu leurs diplômes au travers de longues et coûteuses études, les activités sont réglementées. Fréquemment visées par les mouvements de réforme, les activités « réglementées » renvoient aux professions qu’il n’est possible d’exercer qu’après avoir franchi des conditions sine qua non à leur accès, et en demeurant astreint à un régime spécifique. En France, le terme renvoie à un certain nombre d’activités, qu’il réunit sous une même appellation et des principes communs. 

De nombreuses activités sont en train d’évoluer dans leur réglementation en raison par exemple pour l’optique de la pénurie d’ophtalmologues.  Aujourd’hui, lors d’un renouvellement de lunettes, l’opticien-lunetier peut adapter les prescriptions médicales initiales de moins de 3 ans des verres correcteurs et les montures correspondantes sauf pour les moins de 16 ans et sous conditions indiquées par l’ophtalmologue lors de la première ordonnance à condition que le prescripteur n’ait pas exclu la possibilité d’adaptation par une mention expresse portée sur l’ordonnance.

Qu’est-ce qu’une activité réglementée ?

Au premier abord, le terme de « profession réglementée » peut paraître vague, du fait qu’au fond, toute activité est soumise à un minimum de réglementation. Cela étant, certaines d’entre elles vont faire l’objet d’une appréhension particulière par la loi. Celle-ci va en limiter l’accès et leur attribuer un encadrement normatif spécifique. Ainsi, il ne sera possible d’accéder à la profession qu’après avoir obtenu un diplôme défini. Ce dernier justifiera la possession des compétences requises pour l’activité souhaitée.

L’accès à une profession réglementée

Une activité dite « réglementée » l’est autant dans son exercice que dans son accès. Cela signifie que pour y entrer ou pour créer son entreprise dans un secteur réglementé, il s’agira de passer par des procédures spécifiques. On en dénombre classiquement quatre :

  • Les agréments. Ils sont délivrés par une autorité spécifique après l’exercice d’un contrôle. Ils concernent par exemple les assistantes maternelles, les agents immobiliers ou les centres de contrôle technique automobile.
  • L’inscription à un ordre. La profession est gouvernée par des associations professionnelles qui valident ou refusent l’entrée des nouveaux arrivants. Les avocats, les architectes ou encore les chirurgiens-dentistes fonctionnent selon ce modèle.
  • Les certifications. Ce sont des diplômes inscrits dans le RNCP, c’est-à-dire le Répertoire National des Certifications professionnelles. Ce système couvre un large éventail d’activités, allant du secteur bancaire à la taxidermie.
  • Les habilitations. Leur délivrance tient lieu d’autorisation d’exercer. Elles concernent des branches diverses : habilitation funéraire, métier de maître-chien …

Quelles sont les principales activités réglementées ?

Bien qu’elles couvrent un très grand nombre de professions, les activités réglementées peuvent se regrouper sous un certain nombre de filières principales. Parmi elles, on compte par exemple le secteur juridique (avocats, huissiers, mandataires, notaires), ou celui des transports (taxis, véhicules avec chauffeur). D’une manière générale, les activités liées à un impératif de protection et de sécurité font l’objet d’un tel encadrement. Il en va ainsi de la santé, l’hygiène, l’alimentation, ou encore tout ce qui touche à l’esthétique corporelle. Enfin, l’enseignement se voit aussi concerné lorsqu’il s’agit de faire intégrer des pratiques au-delà de la transmission de connaissances (moniteurs de ski, auto-école, etc.).

Des professions « mises à part » ?

Les activités réglementées font souvent l’objet de débats et se retrouvent au centre de projets de réforme. La raison est simple. Ces professions, de par la fixation d’un cadre particulier qui leur est réservé, sont séparées des autres en ce qu’elles ne sont pas soumises au même jeu du marché. Parce que leur accès est rendu plus difficile, ou parce que leur nombre de places est limité et nécessite de payer le prix fort pour obtenir un droit d’exercer (on pense aux licences de taxis par exemple), les activités réglementées ne sont pas soumises aux effets de la libre concurrence. Ceci a souvent pour effet que l’appel à de tels professionnels nécessite une charge financière plus élevée.

Mais la séparation d’avec le marché ne suffit pas à expliquer l’importance des tarifs généralement pratiqués. En vérité, étant astreintes à un régime particulier, ces activités sont aussi soumises à des charges dérogatoires. Par exemple, l’avocature, si elle est pour beaucoup synonyme d’honoraires élevés, voit une part considérable de ses revenus retirées pour le financement des organes de la profession (ce sont les cotisations à l’ordre).

Cette mise à part n’a néanmoins pas que des effets négatifs,. En effet, elle contribue à la création d’une culture professionnelle, qui s’accompagne d’une éthique. D’autant qu’il faut garder à l’esprit que leur encadrement répond initialement au besoin de l’intérêt général. Par exemple, il touche des activités qui nécessitent par essence un contrôle accru des compétences. La sécurité des consommateurs s’en voit alors renforcée.

Mettre un point d’honneur à la personnalisation client

Mettre l’humain au centre. C’est devenu une phrase qui revient comme un leitmotiv dans la bouche de tout un chacun. Les entreprises aujourd’hui rivalisent à mettre un point d’honneur à réaliser ce souhait. Si les effets positifs de la mondialisation nous ont donné l’opportunité de nous ouvrir de nouveaux horizons, ils ont été simultanément en accompagné d’effets pervers comme celui de nous plonger dans un anonymat délétère. 

Les entreprises se lancent de plus en plus dans la personnalisation de leurs produits et services afin de développer leur business. Zoom sur cette technique utilisée par les entreprises. 

Avec l’arrivée des hypermarchés, le sentiment d’être avant tout considéré comme un consommateur et non un être humain s’est développé. L’essor d’Internet a amplifié ce phénomène du fait de l’absence d’interactions entre le vendeur d’un produit et l’acheteur. Véritable question sociétale, le manque de « reconnaissance » a entraîné un phénomène de rejet de la part des consommateurs. La résistance des commerces de quartier montre une véritable nécessité pour les acheteurs d’être considérés avant tout en tant qu’être humain.

De la personnalisation… 

Contrecarrer ce sentiment et faire en sorte que chaque client pense être unique représente un des grands enjeux actuels pour les marques. Pour permettre à chacun de se sentir reconnu (parfois de manière artificielle) et se démarquer de la concurrence, la personnalisation a pris une place importante dans toutes les entreprises. Courriers et mailing avec le nom et le prénom du client, offre réservée correspondant aux activités de consommation, carte de fidélité et réductions à la clef, produit sur lequel le nom figure… tous les moyens sont bons pour identifier le consommateur et lui faire comprendre qu’il n’est pas un client lambda et le fidéliser. Mais ce n’est pas tout.

…A l’appropriation 

par leur client. Véritable outil d’appropriation, la possibilité de mettre son nom, une image ou encore d’inscrire un message est désormais répandue parmi les plus grandes marques. Celles-ci souhaitent que leurs clients créent un lien avec leur produit. Cette possibilité, bien que coûteuse pour l’entreprise, permet notamment à des articles à faible coût de devenir de véritables « cadeaux » ou des objets de collection. Elle permet une nouvelle utilisation du produit et rapproche la société des clients. Ces derniers peuvent devenir les premiers promoteurs de la marque.

Qui aurait ainsi pu penser déclarer sa flamme sur un sachet de salade ? En 2014, Monoprix a donné la possibilité de personnaliser les packagings de ses produits (virtuellement), avec l’opération « Les Messages en boîte », via une application Facebook. Un moyen amusant et décalé de féliciter d’heureux parents ou de souhaiter un anniversaire. Surtout, une proposition donnée aux consommateurs de jouer eux-mêmes avec les mots et les cartons d’emballage ! Ainsi Guerlain offre au mois de septembre de personnaliser son flacon de parfum lors d’invitations privées.

Personnaliser dans mon entreprise

• Recueillir les données : la personnalisation passe avant tout par le recueil d’informations utiles et sa segmentation. Pour pouvoir bien personnaliser, votre fichier doit être le plus complet possible et avoir des informations mises à jour. Attention à ne pas oublier d’obtenir l’agrément de la CNIL. Pensez que chaque communication peut être personnalisée : courrier, lettre, newsletter… doivent au maximum identifier votre destinataire. Ils y porteront davantage attention. C’est d’ailleurs la force de l’entreprise Damart qui ne cesse d’envoyer des courriers personnalisés avec des cadeaux…Pour vous et un vocabulaire qui flatte la proximité. Personnaliser le courrier demande seulement d’avoir un fichier à jour et un logiciel et un graphiste de talent qui suggère le lien convivial et personnel.

Attention ! N’oubliez pas votre produit. Si des éléments de personnalisation peuvent y figurer, c’est mieux. Prenez garde tout de même à ce que cette intégration ne soit pas trop coûteuse et ne réduise de façon trop importante vos marges ou entraîne un surcoût trop important pour votre client. Personnalisation ne signifie pas perte.

Plus de 45 ANS : une opportunité pour vous lancer dans l’aventure entrepreneuriale

A l’encontre des stéréotypes véhiculés autour de l’entrepreneuriat, en France, chaque année, près de 90 000 seniors, plus de 45 ans, franchissent le cap de l’aventure entrepreneuriale selon l’Agence France Entrepreneur. Les conditions de l’environnement les conduisent à imaginer des solutions pour ne jamais se retrouver dans une impasse pour eux-mêmes et leur famille.

Selon les résultats du rapport 2016 du Global Entrepreneurship Monitor, « la proportion d’entrepreneurs chez les adultes de 50 à 64 ans (18%) est plus élevée que chez les jeunes de 18 à 29 ans (11%)« . Ces résultats sont révélateurs de leur désir de se projeter dans un avenir qu’ils pourront maîtriser.

Alors qu’il existe une myriade de dispositifs d’accompagnement pour les jeunes, très peu sont dédiés aux plus de 45 ans.

6 mois pour créer ou reprendre une entreprise

Dans ce contexte, La Fondation Entreprendre, avec le soutien de HSBC, lance un dispositif pilote d’accompagnement pour les personnes de plus de 45 ans, souhaitant se lancer dans l’aventure entrepreneuriale.

Il a pour objectif d’aider en 6 mois les personnes de plus de 45 ans à passer d’un projet de création ou de reprise d’entreprise à un plan de réalisation concret et opérationnel. Les candidats retenus pourront bénéficier :

  • d’une équipe dédiée en fonction de chaque profil
  • d’un référent entrepreneuriat, un coach et/ou un parrain pour guider le parcours de l’entrepreneur
  • d’une dotation financière pouvant aller jusqu’à 5000 € pour les accompagner dans leur formation

Qu’est-ce que le dispositif pilote ?

Vous avez plus de 45 ans, vous avez un projet de création ou de reprise d’entreprise déjà avancé ? Franchissez le cap et candidatez à leur programme ! 

Entrepreneurs, vous pourrez

  • Valider le réalisme de votre marché
  • Confirmer ou constituer l’architecture de votre business plan
  • Accéder à des formations
  • Gagner en confiance pour passer du projet à l‘action
  • Développer votre posture entrepreneuriale
  • Connecter avec les acteurs de l’écosystème entrepreneurial
  • Et bénéficier de tous les services qui vous seront utiles

Quelles sont les démarches à suivre ?

  • Avoir + de 45 ans
  • Habiter à Paris ou petite couronne
  • Créer ou reprendre une entreprise pour la première fois
  • Être demandeur d’emploi de – 18 mois ou en cours de licenciement
  • Lancer votre entreprise dans les 6 à 12 mois
  • Être motivé et porter un projet réaliste
  • Avoir un concept et une première idée de votre marché
  • Être disponible pour un accompagnement de 6 mois à compter de Juin 2019

Quel calendrier ?

  • Etape 1 : Dépôt des candidatures du 18 Mars au 30 Avril 2019 minuit
  • Déposez votre candidature sur http://www.projetsfondation-entreprendre.fr
  • Etape 2 : Présélection de 30 candidats sur dossier du 1er au 15 Mai 2019
  • Etape 3 : Sélection de 20 candidats sur RDV avec l’équipe de la Fondation Entreprendre et notre partenaire HSBC, du 15 au 31 mai 2019
  • Etape 4 : Comité de validation avec le Jury (Fondation Entreprendre / HSBC France) fin Mai 2019 // 15 lauréats seront invités à intégrer le dispositif pilote.
  • Etape 5 : Kick off mi-juin 2019

Démarrage de l’accompagnement des lauréats.