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Prestations de service : comment fixer ses tarifs ?

La prestation de service est une activité qui s’est installée dans le paysage de l’entrepreneuriat. En effet, les statuts d’auto-entrepreneur ou de freelance qui se sont développés permet de proposer des prestations de service. La fixation du prix de ses prestations est un moment crucial dans la mesure où il détermine en grande partie votre futur chiffre d’affaires.

Vos tarifs ne doivent pas être trop élevés sinon votre clientèle fuira. Cependant, ils ne doivent pas non plus être trop bas pour ne pas discréditer la qualité de vos services. Comment s’en sortir pour parvenir à établir des prix justes ?

Calculez vos frais et vos bénéfices

Dans un premier temps, il est important que vous estimiez ce que coûtent à votre entreprise vos différents types de prestations. Vous devez prendre en compte aussi bien la main d’œuvre en établissant votre taux horaire, que les éventuels déplacements ou l’achat possible de matériels et de fournitures. Ce calcul vous donnera ainsi une idée de la somme que vous dépensez pour chaque prestation et du prix minimal en-dessous duquel il vous est impossible de descendre. Votre but principal est de faire des bénéfices. Il est donc impératif que vos tarifs de prestations de service englobent le prix de de vos charges. Si ce n’est pas le cas, vous allez perdre plus d’argent que vous n’allez en gagner et votre entreprise risque de sombrer assez rapidement. Avec cette démarche, vous pouvez fixer des tarifs provisoires que vous pourrez par la suite ajuster.

Les points essentiels à maîtriser :

  • Les frais fixes et variables. Les frais variables dépendent de l’activité que vous exercez. Tenir une comptabilité rigoureuse et faire des estimations précises vous permettront de pouvoir définir le prix à appliquer pour vos prestations le plus juste qui soit.
  • Les charges directes du prix d’une prestation de service. Ainsi, les frais de ports, les fournitures et consommables, les cotisations sociales, le loyer, la publicité, les assurances …
  • Etudier son marché
  • Analyser son taux de marge : pouvoir établir un taux de marge suffisant pour faire face à d’éventuels imprévus et pour être rentable.

 Faites une étude de marché

Ensuite, prenez connaissance des prix appliqués par vos principaux concurrents dans le domaine et dans la région au sein desquels vous exercez votre profession. Cette recherche vous donnera la possibilité de vous positionner par rapport au marché. Attention, cela ne signifie pas que vous devez posséder les mêmes tarifs que vos concurrents potentiels. Vous pouvez aussi bien vous aligner sur le marché que vous en distinguer. Il ne faut surtout pas baisser vos prix uniquement parce que vous avez l’impression que la plupart des autres entrepreneurs vendent les mêmes prestations de service que vous à moindre prix. Si vous pensez que votre travail, de par notamment sa qualité, nécessite des tarifications plus élevées, n’hésitez pas dans la mesure où un prix plus cher que les autres correspond souvent dans l’esprit du client à des services de plus grandes valeurs.

Interrogez vos clients

Finalement, il est également important de prendre en considération le besoin et les envies de vos clients. Vous pouvez effectuer des sondages auprès de ces derniers afin d’estimer le prix qu’ils sont disposés à mettre pour bénéficier de vos prestations. Pour affiner votre enquête, demandez-leur aussi bien à partir de quels tarifs ils considèreraient ces prestations trop chères et à quel niveau ils auraient tendance à penser que celles-ci sont trop bon marché pour être gages de bonne qualité. Pour ne pas vous égarer, demandez-vous toujours si un client quelconque serait prêt à débourser la somme que vous avez fixée pour la prestation que vous lui proposez. N’oubliez jamais que le client est roi et que la réussite de votre entreprise dépend entièrement de lui.

Je cherche un repreneur : comment m’y prendre ?

Céder son entreprise à un repreneur peut s’avérer simple, à condition de respecter certaines règles. Le plus important est qu’à la fin de la transaction, vous soyez satisfait aussi bien sur le montant du rachat qu’en ce qui concerne le profil du repreneur.

Comment céder aisément son entreprise ? Trois phases sont à observer. D’abord, il vous faudra mettre en place des dispositions basiques. Puis, vous devrez diffuser votre offre et prendre contact avec un repreneur et enfin finaliser votre cession.

Les dispositions de base de la cession de votre entreprise

Quelle que soit la vente, il faut la présenter sous son meilleur jour. Cette règle est donc valable lors de la cession de votre entreprise. Si cette dernière apparaît en mauvais état, soit vous risquez d’être déçu par le profil du repreneur, soit sa valeur financière ne vous conviendra pas.

Ce qu’il faut faire, c’est préparer la cession en réinvestissant dans votre entreprise, de sorte que sa capacité d’autofinancement redevienne intéressante. Il faut la remettre dans les normes, réduire ses besoins et la faire revivre. Non seulement vous jouirez d’une situation favorable à la cession, mais vous pourrez aussi avoir d’excellents profils de repreneur.

En outre, il est possible (et souhaitable) d’établir le profil du repreneur que vous souhaitez avoir pour l’entreprise. Votre choix final n’en sera que plus facile. Vous allez lui transmettre votre entreprise qui représente des années de travail intense mais aussi des collaborateurs avec lesquels vous avez tissé des liens. Pour que cette reprise soit vouée à un avenir pérenne, il vous faudra lister les qualités et les compétences aussi bien techniques, managériales que son leadership et son charisme. Une autre disposition importante est de préparer un bon dossier de présentation de votre entreprise. Par exemple, ’inventaire des stocks, la situation bancaire, sociale, les ressources humaines… En matière de cession d’entreprise, il existe des organismes qui peuvent vous aider pour évaluer sa valeur réelle, réaliser le dossier de communication, ainsi que sélectionne le repreneur et négocier avec lui.

La diffusion de l’offre en vue de trouver un repreneur

Il est important que l’on sache que votre entreprise est à vendre. Pour cela, vous devez vous appuyer sur des canaux de diffusion d’informations pour attirer des repreneurs potentiels. Votre canal de diffusion dépendra de votre objectif, c’est-à-dire qu’il doit faire l’objet d’un ciblage de profils potentiels. Ainsi, vous pouvez faire votre publicité via votre réseau personnel, professionnel ou dans une sphère plus élargie selon la taille de votre entreprise. À défaut de vous charger personnellement de la diffusion, un mandataire pourra toujours le faire.

Il sera ensuite question de sélectionner un repreneur qui soit conforme à votre offre. Une fois celui-ci choisi, l’heure sera aux différentes négociations en termes de modes de paiement, d’avenir de l’entreprise, et de dispositions fiscales.

La finalisation de votre cession

Plusieurs modes de financement existent en matière de rachat. Vous pouvez vous entendre avec le repreneur sur une partie du montant du rachat et incorporer le reste dans des crédits ou des immobilisations.

En outre, sachez qu’il peut être convenu d’un délai de suivi de l’entreprise par le cédant. Un élément important car de toute évidence, il faudra bien observer une période d’adaptation pour les salariés, la clientèle et les prestataires, qui devront s’acclimater au fonctionnement du nouveau gérant.

Par ailleurs, il existe des dispositions fiscales particulières prévues dans le cas d’une reprise, aussi bien pour le cédant que pour son repreneur. Ces dernières dépendent de la taille de l’entreprise. Il faudra les prendre en compte pour finaliser la cession de votre société.

Pour annoncer la cession de votre entreprise, vous pouvez utiliser  les bourses d’annonces, les revues spécialisées de votre secteur d’activités, l’approche directe d’une autre entreprise (concurrent, fournisseur, client…), les plateformes de rencontres entrepreneuriales… Plusieurs outils de diffusion d’annonces d’entreprises à céder existent sur Internet :

  • les outils réalisés par des fédérations ou unions professionnelles.
  • les outils réalisés par des organismes consulaires.

Certaines annonces sont rédigées de manière à respecter l’anonymat du cédant. Il suffit pour le repreneur de contacter l’organisme qui présente l’annonce de l’entreprise à céder pour prendre contact avec elle.

Tout savoir sur les conditions générales de vente

Les conditions générales de vente se trouvaient souvent dans un document papier et écrites en caractères minuscules qui rencontraient les critiques acerbes des clients. Depuis que grand nombre de transactions se déroulent sur le web, elles se doivent apparaître de manière lisible et un onglet devrait lui être dédié afin d’avoir une transparence qui est en faveur de l’entreprise. Ce document papier ou internet fixe officiellement le cadre des relations entre une entreprise et ses clients lors de leurs tractations. Beaucoup négligent l’utilité des Conditions Générales de Vente (CGV), alors que celles-ci ne servent pas uniquement à vous mettre en conformité avec la loi. Cet outil juridique garantit notamment la protection de la société et des clients lors des transactions. Petit rappel pour ceux qui seraient passés à côté de ses objectifs.

Présentation des conditions générales de vente

Les conditions générales de vente, aussi désignées par l’acronyme CGV, regroupent un ensemble de conditions selon lesquelles une entreprise effectue des transactions avec ses clients. Elles définissent un cadre juridique aux relations entre ces deux parties. Elles se présentent sous la forme d’une liste de clauses. Obligatoirement rédigées par écrit, chacune de ces dernières exprime une information relative aux conditions légalement appliquées par la société lorsqu’elle vend ses marchandises ou ses prestations de services. Les CGV définissent la forme des relations commerciales d’une firme et reflètent son état d’esprit dans ce domaine. Les rédiger ne constitue pas une réelle obligation légale mais se révèle souvent inévitable, ne serait-ce que pour protéger votre entreprise.

L’utilité d’un tel document

Cette liste sert, en premier lieu, à informer les consommateurs sur le mode de transaction opéré par la société avant d’entamer toute démarche. A travers ces clauses, vous leur expliquez le déroulement des tractations et limitez votre responsabilité tout en leur garantissant une certaine qualité de service. Elle contribue, de fait, à protéger les deux parties. En détaillant la procédure et les modalités de vente en vigueur, l’entreprise pose certaines limites que les clients ne peuvent pas ignorer. Les CGV protègent à la fois la firme et ses clients des abus, retards de prestations ou impayés en sanctionnant ces comportements. Ce document définit ainsi la responsabilité de chacun dans ses contrats. L’écrire ne constitue pas une obligation légale, il reste toutefois fortement conseillé de le faire. Dans certains cas, cela s’avère d’ailleurs quasiment incontournable.

Les CGV : une obligation légale ?

Aucune loi n’exige directement de la part des entreprises qu’elles rédigent des conditions générales de vente. Certains documents officiels imposent, en revanche, de les avoir clairement définies. Dans le cadre d’une entreprise B to B, le Code du Commerce stipule dans son article L 441-6 que « la communication des conditions générales de vente d’une entreprise à tout client professionnel qui en fait la demande » est obligatoire.

Disposer de CGV ne s’avère pas indispensable mais vous devez être en mesure de les fournir si un client vous les réclame. Tout contrevenant s’expose à une amende de 15 000 euros pour une personne physique et 75 000 euros pour une personne morale.Une société au fonctionnement B to C se trouve dans une situation similaire.

Selon l’article L 113-3 du Code de la Consommation, les « clients particuliers doivent être informés des conditions particulières de vente et des limitations de responsabilité ». Même en cas de vente à distance, pour les firmes du e-commerce, ce document s’avère obligatoire car le consommateur bénéficie dans ce cas d’une plus grande protection. Il faut lui offrir un espace où il est demandé au client s’il accepte les conditions de vente. Tant qu’il n’a pas approuvé la vente ne peut se faire car il est bloqué par le système qui le contraint d’une part à s’informer s’il le souhaite et à cocher pour confirmer qu’il est bien au courant des conditions de vente.

Quel contenu dans les conditions générales de vente ?

Ça y est, vous avez décidé de mettre vos CGV par écrit ! Certaines notions doivent impérativement y figurer, notamment le barème des tarifs unitaires, les conditions dans lesquelles se déroulent le transfert de propriété, les modalités de livraison et de réduction de prix. Les conditions de règlement de pénalités de retard et de leurs conditions d’application font aussi partie des clauses à mentionner.

Depuis le 1er janvier 2013, il faut également rappeler qu’en cas de retard de paiement entre professionnels (dans le cadre du B to B) le débiteur peut recevoir une indemnité de 40 euros en guise de frais de recouvrement. Il convient par ailleurs de définir d’autres clauses en fonction de votre activité afin d’être le plus précis possible et d’éviter toute confusion en cas de litige.Toujours dans le domaine du B to B, un droit de rétractation existe désormais pour certains professionnels engagés avec d’autres dans un contrat. Pour user de cette prérogative, il faut respecter trois conditions. Le contrat doit être conclu hors établissement, l’entreprise qui se rétracte ne doit compter que cinq salariés ou moins et l’objet du contrat ne doit pas concerner le cœur d’activité de la société. Pensez à préciser ces données dans vos CGV.

Par qui faire écrire ses CGV ?

Deux options s’offrent à vous pour rédiger ce document. Vous pouvez tout à fait le faire vous-même. Cependant, vous avez également la possibilité de demander à un avocat de s’en charger. Un professionnel saura vous mettre en conformité avec la législation juridique tout en garantissant votre en sécurité. Un avocat se montrera moins enclin à oublier certains détails, ce qui s’avère très avantageux car l’omission d’une clause obligatoire peut coûter jusqu’à 15 000 euros. Ce geste nécessite toutefois un investissement, vous pouvez tout de même écrire vos CGV vous-même et solliciter un professionnel pour les relire. Le choix de ce dernier revêt une importance capitale : restez sur vos gardes. Votre avocat doit bien connaître le fonctionnement de votre secteur d’activité !

Locaux, domicile… Toutes les solutions pour stocker ma marchandise

Le stockage n’est en général pas la première préoccupation et pourtant elle devient un véritable casse-tête s’il n’a pas fait l’objet d’une réflexion approfondie mais surtout peut devenir un coût élevé qui pèsera sur la trésorerie. Les entreprises industrielles, comme les entreprises commerciales, peuvent faire face à des problèmes de gestion des stocks assez récurrents. Savoir où stocker sa marchandise est une de ces problématiques qui peut vite devenir gênante sur le long terme, en fonction de l’activité de l’entreprise. De plus, il s’agit d’un problème qui peut avoir des conséquences rédhibitoires sur votre trésorerie.

Une PME ayant des volumes de production plutôt faibles n’aura pas nécessairement les mêmes problèmes qu’une multinationale avec des volumes de production très importants. Tout est question d’activité et d’organisation. Voici les différentes solutions qui s’offrent à toutes les entreprises pour organiser la gestion et le stockage de leurs marchandises.

Le stockage à domicile

Solution plutôt limitée de par l’espace disponible, le stockage des marchandises directement dans le domicile du chef d’entreprise peut tout de même être une chose intéressante pour des petites structures ayant des volumes de production très limités, ou alors des entreprises pratiquant une politique de production à flux tendus, ce qui limite les stocks moyens de marchandises. A utiliser donc dans le cas où vos stocks de marchandises restent limités, peu importants, et si vos marchandises ne nécessitent pas de condition de stockage particulière (endroit froid ou réfrigéré, ou au contraire température plutôt chaude par exemple). Mais vous devrez acquérir pour ne pas vous retrouver à perdre votre à chercher vos produits des rangements et une méthode de rangements. Tout a de l’importance : les boites de rangements, la hauteur des étagères…et une stratégie s’impose dès le début du stockage.

Le stockage dans les locaux de l’entreprise

Là encore, l’espace disponible reste limité, mais cette solution peut convenir largement à une entreprise, petite ou grande d’ailleurs, dans l’hypothèse où elle dispose de locaux dédiés au stockage des marchandises, c’est à dire d’un espace prévu dans l’entreprise pour entreposer des biens. Le cas échéant, si l’entreprise doit trouver de la place au sein de ses locaux et qu’aucun n’espace n’était jusqu’alors alloué au stockage, cela peut s’avérer un peu plus compliqué.

L’avantage majeur de cette solution est que les marchandises restent à la disposition directe de l’entreprise et des salariés, qu’il n’y a nul besoin de devoir aller les chercher dans un autre endroit. A long terme, cet avantage peut constituer un important gain de temps. Mais le stockage, s’il reste accessible à tous devra être pensé de manière logique afin que les collaborateurs puissent aller chercher le produit ou le document sans perdre leur temps parce que ce stockage est mal agencé. Le classement fait partie intégrante du stockage.

L’achat de locaux spécialement dédiés au stockage de marchandises

Si l’entreprise ne dispose pas de la place nécessaire dans ses propres locaux ou bien dans le domicile du chef d’entreprise, elle peut effectuer directement l’achat de locaux spécialement dédiés au stockage des marchandises en tous genres. Cette solution reste coûteuse, mais efficace. L’idéal est de trouver des locaux à proximité de l’entreprise pour éviter une perte de temps dans le transport des marchandises d’un endroit à l’autre et un coût supplémentaire inutile. Locaux peu onéreux s’il nécessite un transport éloigné peut s’avérer plus coûteux que l’on en pense avec le transport.

La solution du garde-meubles

Solution chaque jour un peu plus plébiscitée par les entreprises, le garde-meubles s’est imposé comme une véritable alternative pour les entreprises désireuses de faire garder leurs marchandises, leurs PLV ou bien d’autres choses encore, et ce sur le long terme. Peu coûteuse et très pratique, cette solution est peut-être la plus intéressante si vos volumes de marchandises à stocker sont peu ou assez importants et que vous ne voyez aucun problème à devoir vous rendre sur le lieu du garde-meubles pour récupérer vos biens.

Voici donc une présentation des différentes solutions qui s’offrent aux entreprises souhaitant trouver un endroit pour stocker et abriter leurs stocks de marchandises. A vous de bien définir les besoins de votre entreprise et de choisir la solution qui répond le plus à ces besoins et de bien étudier vos besoins en matériel de stockage.

Le prix d’une traduction assermentée

Il arrive souvent que l’on vous propose des prix pour des traductions assermentées que vous n’arrivez pas à le décortiquer, ni à comprendre sur quoi il est basé. Il faut prendre en compte qu’il n’y a pas de coût standard pour ce type de traduction, car tout dépend de certains critères. Vous trouverez, dans cet article, quelques éléments sur lesquels les traducteurs assermentés se basent pour fixer leurs prix. Ceci vous permettra déjà de réaliser une estimation en termes de coût lorsque vous avez ce type de travail à proposer.

Sur quoi se base-t-on pour fixer le prix d’une traduction assermentée ?

Le prix demeure la conséquence de plusieurs facteurs. 4 critères principaux peuvent vous permettre d’évaluer le coût de votre traduction assermentée.

Premièrement, tout dépend des langues que vous souhaitez utiliser. Un texte qui doit être traduit du français à l’anglais ne coûtera pas la même chose que s’il fallait passer du français à l’arabe ou à l’allemand. Plus la traduction est complexe, plus le prix sera élevé. Ne soyez donc pas surpris de voir le coût d’un même document être différent d’une langue à l’autre. Certaines langues sont particulièrement rares et les traducteurs difficiles à trouver.

Ensuite, ce prix dépend aussi du délai dans lequel doit se faire votre traduction. Une traduction urgente vous fera par exemple dépenser beaucoup plus d’argent qu’une dans un délai classique. Vous dépenserez beaucoup moins si vos documents partent à la traduction en avance. Si vous vous laissez surprendre par le temps, il est mieux de bien fournir son portefeuille, car vous allez devoir payer une forte somme. Prévoyez donc un délai large pour que vos traductions vous coûtent moins chères.

La quantité de texte joue également. Il peut paraître évident qu’un texte de 100 mots ne peut pas avoir le même coût qu’un document de 10.000 mots. Le prix d’une traduction assermentée dépend donc aussi du volume du document que vous souhaitez traduire. Plus votre texte comporte un nombre de mots élevés, plus le travail sera coûteux. Cela ne dépend pas des traducteurs, mais du temps et des sacrifices qu’ils auront à donner pour les textes volumineux.

N’oubliez pas de prendre en compte la nature et la difficulté du texte. Elles demeurent aussi des facteurs qui influencent fortement le coût d’une traduction assermentée. En effet, il peut arriver que votre document demande une plus grande concentration et réflexion. Il ne sera donc pas fixé au même prix qu’un document qui est relativement simple à traduire et qui ne prend pas beaucoup de temps.

Comment obtenir une traduction assermentée ?

Aujourd’hui, les sites de traduction en ligne proposent des prix compétitifs et des traductions fiables. Ils demeurent plus abordables que ceux des organisations de traduction classiques. Il existe de nombreux sites, ce qui vous laisse assez libre de votre choix. Par exemple, la traduction assermentée prix – Protranslate.net vous permettra de vous fixer une idée du prix pratiqué par ce type de plateforme.

Vous avez désormais les clés pour évaluer les différents coûts en ce qui concerne les traductions assermentées.

Entreprendre permet-il de changer le monde ?

Devant l’urgence de protéger notre planète bleue, nombre d’entrepreneurs proposent des idées innovantes. Mais aussi devant la réalité d’une population qui se plaît à ne pas aller voir dans l’autre monde si l’herbe est plus verte : on ne compte plus les centenaires, des entrepreneurs ont des idées judicieuses pour leur rendre la vie agréable. Si d’une société où l’achat des objets neufs régnait en maître, on est passé à une société de location, de covoiturage ou d’achats d’occasions c’est parce que des entrepreneurs ont décidé de changer le monde. 

Alors, comment changer le monde grâce à l’entrepreneuriat ? Cette question devient de plus en plus récurrente dans les débats. Changer le monde n’est pas impossible, mais cette action doit être menée de façon à trouver la solution à un problème jusque-là insolvable. À travers la création d’entreprises, l’avènement des nouvelles technologies et la mondialisation, toute évolution est possible. Certains entrepreneurs ont permis à leur façon de changer le monde.

Entrepreneuriat et énergies renouvelables

Il y a quelques années, nous ne pouvions pas nous passer d’essence, de pétrole, etc. L’utilisation de ces énergies devenant de plus en plus dangereuse, des recherches devaient être menées pour réduire l’impact de ces éléments sur l’environnement. Aujourd’hui, investir dans les énergies renouvelables permet d’amenuiser la pollution de la planète. Les machines et autres engins à moteur carburant, pour beaucoup, à l’énergie solaire et de nombreuses familles s’éclairent grâce aux panneaux solaires. La marque Apple a montré, sa volonté de changer les mentalités en créant un centre de données fonctionnant uniquement grâce à l’énergie provenant des rayons solaires.

Des produits qui changent la vie

Aujourd’hui, nous utilisons presque tous les réseaux sociaux, les moteurs de recherche, les smartphones, les robots, etc. Il y a moins d’une dizaine d’années, le monde n’aurait pas imaginé l’impact qu’ont ces produits sur notre quotidien. Les réseaux sociaux jouent un rôle prépondérant tant dans le domaine social que politique. Sans sortir de chez soi, Google nous permet de nous informer et d’effectuer des recherches dans de multiples domaines. Qui aurait pu imaginer en 2004 que deux jeunes étudiants de l’université de Stanford (aux États-Unis) changeraient notre façon de travailler ? D’autres entreprises telles qu’Instagram, WhatsApp, Flickr pour ne citer que celles-là, contribuent à notre soif de communication. Dans le domaine de la médecine, les prothèses robotisées couplées à une application mobile permettent aux handicapés de mieux contrôler leurs mouvements.

Vers un monde sans fil

Grâce au progrès en informatique et à la naissance de nouvelles start-up, notre monde numérique ne tient plus qu’à un fil. À une ère où les données sont de plus en plus lourdes, les entreprises développent de nouvelles technologies permettant un stockage plus facile et plus accessible. Avec le Cloud (nuage), nous pouvons stocker des milliers de données et y avoir accès depuis n’importe quel support. Par ailleurs, connu aujourd’hui pour son côté philanthrope, Bill Gates a littéralement changé le monde grâce au micro-ordinateur. À l’aide de cet outil révolutionnaire, presque tous les secteurs ont connu une automatisation dans leurs différentes activités. Récemment, sa société Microsoft a développé un casque permettant aux entrepreneurs d’interagir plus efficacement avec leur environnement grâce à une technologie de réalité virtuelle.

En somme, nous retenons qu’entreprendre change de multiples façons notre monde. Les entreprises, les start-up, les ingénieurs conçoivent des produits qui bouleversent notre quotidien. Quant aux philanthropes, ils apportent leur pierre à l’édifice en finançant des projets de recherches. Cependant, pour changer radicalement le monde, de nombreux efforts doivent encore être faits. Rien n’est impossible. Alors quels sont les entrepreneurs qui vont apporter de nouvelles idées pour protéger notre planète et nos vies.

Comment accélérer sa croissance en très peu de temps ?

Tout a changé. Les habitudes commerciales ont été mises à mal par la communication intensive et immédiate. Pris dans cette tourmente, il s’agit pour tout entrepreneur de ne pas perdre de temps et de trouver des solutions pour accélérer la croissance de son entreprise. S’il n’existe pas de solution miracle, certaines démarches simples et concrètes peuvent avoir un impact réel sur le développement de votre société. Quelles sont les actions qui vont vous permettre d’accélérer la croissance de votre activité ? 

Mieux connaître les clients

Le client est au cœur de la croissance. Certes, il a changé ses habitudes, son comportement et achète en utilisant les plateformes et n’hésite pas à se renseigner et à comparer qualité et prix. Il faut donc ajuster toute stratégie à l’évolution du comportement du client et ne surtout pas rester sur des conceptions qui sont devenues obsolètes.

La première chose à mettre en place est de mener, à votre échelle, une rapide enquête de satisfaction parmi vos clients, pour savoir ce qui leur plaît ou déplaît dans votre société. Un client content de vos services sera à même de vous en amener d’autres, mais l’inverse demeure aussi vrai… Des outils d’étude de satisfaction sont disponibles en ligne. Vous pouvez également contacter vos clients par courrier électronique pour leur demander leur opinion. Par la suite, mettre en place un système de parrainage s’avérera un choix judicieux. Tous les mécanismes de viralité, notamment l’utilisation des réseaux sociaux, peuvent vous aider à mieux connaître vos clients et à en attirer de nouveaux.

Développer les solutions numériques

Dans le cas où vous possédez un site de vente en ligne, vous ne devez pas chercher à générer plus de trafic mais à améliorer votre taux de conversion. Pour cela, n’hésitez pas à optimiser votre page de vente, en la testant avec des outils bien connus comme AB Testy by Optimizely. De la même manière, l’optimisation de votre site pour le référencement des principaux mots-clés est un passage obligé pour améliorer votre visibilité en ligne.

Il peut être judicieux de créer un blog « partenaire » de votre site, pour en développer l’image et l’audience au moyen d’articles SEO de qualité qui seront à même de générer un trafic efficace sur votre site commercial. Sur un marché concurrentiel, n’hésitez pas à développer une approche marketing originale, en rompant avec les codes usuels de la communication. Une stratégie audacieuse vous permettra de vous distinguer et de singulariser votre marque. Il est également intéressant de développer son site pour favoriser les conversions. Des mises à jour régulières, des bonus offerts, des jeux concours ou un forum de discussion représentent autant de solutions permettant de garder les utilisateurs sur votre site, et donc d’augmenter les chances de les voir commander.

Optimiser les ventes

Lors de la mise en place de votre publicité digitale (réseaux sociaux, forums, blogs), gardez en tête que toute prospection, même si vous la réalisez en ligne, se doit d’avoir un véritable retour sur investissement. Pour voir ce qui vous rapporte en termes de visites et donc de ventes, pensez à utiliser des outils d’analyse comme Google AdWords ou Google Analytics. Vous pourrez ainsi cibler ce qui fonctionne vraiment, et ne pas perdre de temps dans la réalisation d’actions inutiles.

Pour améliorer vos ventes, il est nécessaire de faire preuve d’organisation dans votre fichier clients. Vous devrez ainsi constituer une seule base centralisée de contacts, avec des rappels automatiques programmés. Ce système vous permettra de tirer le meilleur de votre base de prospects, et donc d’obtenir plus de résultats. Enfin, n’oubliez pas que la fidélisation de la clientèle passe par une prospection régulière. Il demeure nécessaire de relancer fréquemment vos clients, afin de nouer une relation de confiance susceptible de déboucher sur des ventes.

Conseils et outils pour parvenir à créer du lien avec les parties prenantes de sa boîte

Dans ce contexte où les échanges se trouvent limités le plus souvent à l’échange d’e-mails, il s’avère indispensable de nouer des liens conviviaux entre le dirigeant et ses collaborateurs mais aussi avec les clients et les différents partenaires de l’entreprise. Créer une synergie est à la base d’une communication qui ne peut qu’avoir une répercussion sur la visibilité et la notoriété. Tout entrepreneur doit porter une attention particulière à la création de liens de qualité avec les différentes parties prenantes. Voici quelques conseils pour y parvenir.

Les liens avec les collaborateurs

Les liens avec les collaborateurs se situent dans la création de valeur.  Cette valeur, elle n’existe que dans le partage des enjeux. Si ces derniers ne sont pas conscients des objectifs de l’entreprise, ils ne se sentiront pas concernés par les objectifs et le service au client s’en ressentira. Afin de vérifier l’adhésion des collaborateurs aux objectifs de l’entreprise, le taux d’absentéisme peut se révéler un indicateur précieux.

Les nouvelles technologies ont supprimé les échanges de personne à personne. Par exemple, le téléphone s’il était jugé envahissant, il permettait de parler, de dialoguer, d’échanger même si parfois cet échange se limitait à des formules de politesse. Sa mutation en mails ne permet plus cet espace d’échange direct. Il est donc nécessaire de créer des lieux de dialogue, des espaces temps et en tant que dirigeant susciter les rencontres même courtes comme le fait de prendre un café pour instaurer la communication. Vous verrez que si vous instituez de tels espaces les collaborateurs en profiteront pour vous faire partager leurs soucis mais leurs idées, ce qui ne peut qu’être bénéfique pour votre entreprise.

Outre l’aménagement d’espaces de détente, véritables lieux d’échanges, une attention pourra être donnée au management lors des évaluations mais aussi lors de la constitution des équipes de travail qui doivent être équilibrées. Ainsi, parmi les collaborateurs doivent se trouver des leaders, des relais et des suiveurs. Le lien social devient donc une affaire de personnalités et l’art du chef d’entreprise consiste à provoquer une interaction constructive entre elles.

Les liens avec les clients et les partenaires

Voici quelques outils de communication qui permettent au chef d’entreprise d’établir un lien constructif à la fois avec les clients et partenaires (prestataires, fournisseurs…) de l’organisation.

– le journal d’entreprise ou la newsletter : en format papier ou en version électronique, développe l’actualité de l’organisation et explique ses axes stratégiques. Son contenu sera bien évidemment adapté au lecteur et être bien réfléchi en amont afin qu’il suscite l’envie de le lire et qu’il devienne une référence.

– les rencontres événementielles : entre les journées portes ouvertes, les cérémonies des vœux du nouvel an, les inaugurations ou tout simplement les présentations pour le lancement d’un nouveau produit, les idées ne manquent pas pour aller à la rencontre de vos clients. Ces moments privilégiés entre clients, partenaires et membres du personnel offriront une convivialité partagée qui contribueront à renforcer l’image de l’entreprise et amélioreront par conséquent, les relations de confiance.

– les salons : sont des lieux propices aux échanges et permettent de nouer ou de renouer des liens mais surtout de rencontrer en une journée ou deux des partenaires, des clients même sans avoir investi dans un stand.

– la libre expression : boîtes à idées et enquêtes de satisfaction anonymes favoriseront la création de liens, implicites certes, mais qui une fois considérées démontreront l’intérêt que l’entreprise porte aux opinions.

– les réseaux sociaux : qui impliquent une véritable stratégie pour ne pas obtenir un résultat contraire à celui escompté.

Avant de créer des liens, il faut avant tout créer la confiance. Grâce aux outils mis en place, un chef d’entreprise obtiendra un retour quant au fonctionnement de son organisation. En contrepartie, il sera alors nécessaire pour lui de s’acquitter de son devoir d’information. En effet, un lien unilatéral ne peut exister très longtemps. S’il n’y a pas d’échanges, le lien disparaîtra de manière lente et progressive. En favorisant l’échange, le chef d’entreprise créera automatiquement des liens de manière naturelle et non forcée.

Comment mieux sécuriser ses mots de passe pour son entreprise

Les besoins de création de mots de passe se multiplient et deviennent journaliers. Ces créations par leur côté répétitif nous conduisent par agacement et manque de temps à sélectionner des mots de passe qui font le bonheur des pirates car choisis dans l’émotion. La sécurité des données d’une entreprise constitue un danger pour les entreprises à laquelle on ne prêtera jamais assez d’attention. De nombreuses données confidentielles peuvent circuler entre les services, via des mails, des logiciels ou autres, et une simple faille de sécurité dans la mise en place d’un mot de passe peut avoir de lourdes conséquences. Voici quelques astuces à mettre en place dans la gestion des mots de passe professionnels au sein d’une société.

Multipliez les mots de passe

C’est l’astuce basique en matière de mots de passe, et on n’aura de cesse de le répéter. Il est indispensable de ne SURTOUT PAS réutiliser un mot de passe plusieurs fois, surtout dans le cadre d’une activité d’entreprise. Quoi de plus simple que d’essayer de saisir le mot de passe découvert sur tous les comptes de la société ? N’hésitez donc pas à les diversifier, un mot de passe pour chaque compte !

Choisissez un mot de passe dénué de sens

Astuce évidente également : éviter les mots de passe trop simples à deviner, comme le nom de l’entreprise ou du dirigeant. N’hésitez pas à y rajouter des chiffres et des symboles dès que possible, des caractères spéciaux ainsi que des majuscules au milieu du mot de passe. Moins il aura de sens, moins il sera susceptible d’être trouvé ! Dans l’idéal, votre mot de passe doit contenir 4 types de caractères différents.  Vous pouvez opter sur sa longueur en sélectionnant plus de 10 caractères. Plus votre mot de passe sera long, plus il sera compliqué à pirater.

Utilisez un générateur de mot de passe

Le générateur de mot de passe sera une aide précieuse car il vous proposera une succession de lettres et de chiffres aléatoires qui sera complexe pour vous de retenir, mais qui sera une protection car il sera difficile à pirater.

Restreindre la circulation des mots de passe

Avez-vous réellement besoin que tous vos collaborateurs connaissent tous les mots de passe de tous les comptes de la société ? Multipliez les collaborateurs en possession des mots de passe, c’est multiplier les risques d’utilisation des données. Faites attention à ne jamais faire circuler vos mots de passe par mail, export de fichier, ou tout autre moyen passant par internet. Si ces données ne sont pas ou mal cryptées, elles peuvent être assez facilement récupérables par des personnes mal intentionnées.

Avoir une solution de secours

Et parce que l’erreur est humaine, il peut arriver de tout simplement d’oublier son mot de passe, notamment à force de les multiplier et les complexifier. Solution de recours : munissez-vous d’un carnet sur lequel vous noterez tous vos mots de passe. Attention, évitez de les écrire sur un fichier de votre ordinateur ou de votre téléphone portable, parce qu’une panne suffirait à tout perdre. A vous ensuite d’être vigilant et de mettre ce carnet en lieu sûr, si possible hors de votre entreprise.

Vous pouvez également choisir de les noter sur différents supports pour éviter de regrouper en un même endroit toutes les informations.

Enfin, faites attention à l’adresse e-mail que vous associez à vos comptes. Il est toujours possible d’effectuer une demande de récupération de mot de passe, et si elle aboutit sur une adresse e-mail consultable par vos collaborateurs, alors le nouveau mot de passe pourra facilement être diffusé. Il en va de même pour certains services qui proposent d’associer un numéro de téléphone pour pouvoir avoir accès à un compte en dernier recours. Choisissez-bien le téléphone qui va être lié à ce compte et de ce fait pouvoir récupérer ses données.

A vous de mettre en application ces différentes astuces pour être certain de sécuriser au mieux vos mots de passe professionnels.

Les bonnes questions â se poser avant d’entamer une phase de recrutement

Recruter c’est engager l’avenir de l’entreprise et donc une erreur de recrutement peut avoir des conséquences regrettables tant sur le plan du développement que du relationnel si le profil est mal adapté. Le recrutement d’un employé doit faire l’objet d’une grande réflexion en raison des coûts que cela peut engendrer. Avant une phase de recrutement, il est alors essentiel pour le chef d’entreprise de se poser les bonnes questions pour ne pas commettre d’erreur (recruter alors qu’il n’y a pas de besoin, prendre la mauvaise personne, proposer un contrat inadapté…). Mais quelles sont alors les questions essentielles à se poser avant d’embaucher ? 

Quelles sont les raisons du recrutement ?

Depuis des mois les services travail en flux tendu et la surcharge de travail vous conduit à envisager de recruter La réponse à cette première question pourrait mettre fin à tout le processus de recrutement si la réponse est non. Cela permettra de voir si une solution alternative au recrutement peut être préférable et de répondre réellement aux besoins de l’entreprise (externalisation des compétences, réorganisation du travail…). Pour comprendre s’il y a un besoin de recrutement, il faut comprendre pourquoi on veut embaucher, il est alors nécessaire d’étudier les raisons de ce besoin (augmentation de l’activité, remplacement d’un employé…).

Quel est le profil idéal ?

Déterminer le profil recherché est essentiel avant de lancer une phase de recrutement. En effet, cela permettra d’être plus efficace et plus rapide sur la sélection grâce à une recherche ciblée. Mais cela sera aussi l’occasion, par la suite, de bénéficier d’un employé qui correspond parfaitement aux attentes du poste à pourvoir et à la philosophie de l’entreprise. Ainsi, déterminer le profil attendu nécessite une réflexion quant à la nature du poste et à ses missions. Le profil comprend les compétences, la formation, l’expérience professionnelle et le savoir-faire, mais pas seulement. Cela englobe également le savoir-être et la personnalité qui doivent correspondre à l’esprit de l’entreprise et aux besoins du poste.

Quelles répercussions financières pour mon entreprise ?

Étudier les répercussions financières que pourrait avoir l’embauche sur l’entreprise est primordial pour s’assurer de la possibilité et de l’intérêt de recruter. Une mauvaise estimation pourrait avoir des conséquences catastrophiques. Pour répondre à cette question, un calcul des coûts engendrés par le nouvel employé est essentiel : phase de recrutement, salaire, congés, charges sociales, matériel, formation éventuelle… En plus de cela, il faut prendre en compte l’impact sur le développement de l’entreprise, l’activité et le revenu que va générer ce nouveau poste. Avec ces deux estimations, on peut alors mesurer les répercussions financières pour l’entreprise. Celles-ci doivent avoir un effet positif, si ce n’est pas le cas le recrutement n’est pas la bonne solution.

Quel sera le contenu du contrat de travail ?

Réfléchir à la question du contrat de travail à l’avance permet de répondre clairement aux questions des candidats mais aussi d’assurer un partenariat aux fondations solides. En effet le contrat établit avec clarté de nombreux points pratiques qui constitueront une fondation solide à votre relation employeur/salarié. De plus, le contrat permet la protection des deux parties. Réfléchir aux grandes lignes de ce contrat est donc indispensable avant la phase de recrutement. Il faut ainsi penser aux horaires, aux tâches demandées, au type de contrat (CDD, CDI…), aux clauses de mobilité géographique, de confidentialité…Mais aussi aux nouvelles réglementations qui doivent être étudiées avec rigueur pour ne pas se trouver pénalisé.

Quel process pour être performant ?

Pour une campagne de recrutement répondant aux attentes de l’employeur, il faut établir à l’avance la procédure. Elle permettra d’éviter une perte de temps ou une précipitation amenant à un mauvais choix. Etablir un calendrier est une solution adéquate, on y définit les types d’étapes (sélection des lettres, entretiens téléphoniques, entretiens en face à face…), leur durée, la date d’embauche souhaitée. Cela permet un choix éclairé grâce à des présélections.

De même selon les attentes de l’employeur, la diffusion de l’annonce est à réfléchir avec attention : plateforme spécialisée dans le domaine en question, pôle emploi, réseaux sociaux… Tout cela va jouer sur la quantité et la qualité des réponses. Par exemple, une plateforme spécialisée engendrera un nombre inférieur de candidatures par rapport aux réseaux sociaux, mais il est plus probable que les candidats soient des spécialistes du domaine.