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Les 6 documents juridiques obligatoires pour vendre en ligne

Henri de la Motte Rouge et Jean Philippe Touati, avocats experts en droit du web, vous invitent à leur conférence live – Les 6 documents juridiques obligatoires pour vendre en ligne. Comment mettre votre site web en conformité avec la loi pour éviter les risques de condamnation.

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Conformité RGPD, évolution des réglementations, respect du Code de la consommation et du droit de la vente à distance, demande de droit de rétractation, risques de contrôle de la CNIL et de la DGCCRF, sanctions pénales, litiges clients … Tous ces mots, ou plutôt ces maux, sont des facteurs d’anxiété pour les entrepreneurs qui pour se lancer à des conditions économiques utilisent des solutions souvent à risque et qui ne protègent pas (copier-coller de CGV, achat de modèle à bas coût et inadapté, recours à leur nièce en fac de droit …). D’autres procrastinent et le traitement de la question juridique devient un véritable frein qui les empêche d’avancer.

Les insouciants foncent, mais alors que leur activité connaît une forte croissance, ils se retrouvent parfois dans de lourdes difficultés allant même jusqu’à devoir fermer leur entreprise du fait d’infractions à la réglementation applicable. Beaucoup prennent conscience mais trop tard que le juridique était un pilier de leur réussite.

Face à ce constat et à la multitude de cas souvent douloureux que nous avons eus à traiter, nous avons décidé de réagir et d’aider les entrepreneurs à gérer au plus tôt et au plus vite leur conformité juridique en étant accompagné par un cabinet disposant de l’expertise de pointe dans ces domaines. En Droit plus qu’ailleurs, repousser à plus tard une difficulté ne fait que l’accroître. Gérer un litige peut coûter très cher, alors qu’avoir mis en place ce qu’il fallait avec méthodologie et un accompagnement optimum peut se faire de façon simple, rapide et économique.

Pour tout vous expliquer sur notre méthode, nous vous invitons à notre prochaine conférence en ligne.

Les 6 documents juridiques obligatoires pour vendre en ligne

Comment mettre votre site web en conformité avec la loi pour éviter les risques de condamnation ?

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Pendant cette conférence, vous allez découvrir :

  • Les risques juridiques majeurs pour votre business et les condamnations encourues en cas d’illégalité

Vous pouvez être tenté d’ignorer les contraintes légales par manque de temps, d’intérêt, parce que ça semble compliqué ou par peur de mal faire. Attention ! Vous allez voir que les contrôles, annulations de ventes, amendes et peines d’emprisonnement sont des risques bien réels.

  • Les 5 (+1) documents obligatoires pour vendre en ligne en conformité avec la loi 

Pour vendre en ligne, la réglementation impose la mise en place de documents juridiques spécifiques qui doivent respecter un formalisme précis pour être valides. C’est obligatoire ! Dans la conférence, vous allez obtenir la liste et la description précise de ces documents incontournables pour votre activité.

  • Les 4 types d’entrepreneurs face à la problématique du juridique dans leur business en ligne 

Il y a plusieurs manières de réagir face aux obligations juridiques de toute entreprise qui a une activité sur internet. Faites-le test en direct pour savoir dans quelle catégorie vous êtes. Si comme la majorité des entrepreneurs, vous êtes dans les cas 1, 2 ou 3, suivre toute la conférence est plus que recommandé.

  • Le top 3 des erreurs à ne pas commettre pour établir vos documents juridiques obligatoires et les 7 questions clés à vous poser absolument

De trop nombreux entrepreneurs choisissent des solutions en apparence faciles sans mesurer les risques qu’ils prennent. Nous vous partagerons les 3 étapes à suivre et les 7 questions clés à vous poser absolument avant de mettre en place les documents juridiques obligatoires pour votre activité.

  • La méthode simple, économique, fiable et rapide pour mettre votre business en conformité avec la loi

Toute solution a ses avantages et ses inconvénients. Vous verrez un tableau récapitulatif complet des solutions possibles pour mettre votre site web en conformité avec la loi afin de réduire les risques de condamnation ou business à cause du juridique. Notre but : vous aider à être serein au quotidien avec votre business en ligne.

Lors de la conférence, vous aurez la possibilité de nous poser toutes vos questions.

Déjà plus de 450 entrepreneurs satisfaits par notre accompagnement inédit.

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Comment s’informer et rester connecté ?

Pour se développer, l’information est capitale. La recherche d’informations ne nécessite plus d’effectuer des déplacements inutiles. En effet, la toile permet en amont de trier les recherches et les renseignements pertinents.  Il vous faudra pour ce faire effectuer une liste de mots clefs qui viendra s’enrichir au fur et à mesure de vos recherches. Vous pouvez ainsi accéder aux sites de vos concurrents et aux articles de presse les concernant, aux sites de votre secteur et vous pourrez ainsi lors de vos recherches établir une sélection judicieuse. Celle-ci vous permettra de faire de la veille sans perdre de temps. Pour demeurer à la page, cerner l’information sur les différentes évolutions des tendances est essentiel. Oui mais comment faire sans perdre de temps ni se noyer dans la masse des informations qui circulent ? Voici quelques pistes et sites utiles pour que vous restiez informé.

Si être connecté aux tendances et nouvelles pratiques peut s’avérer utile notamment pour trouver votre secteur porteur. Il est à noter que beaucoup d’entre elles vont se révéler des modes passagères. Il vous faudra essayer de les écarter car elles sont chronophages et vous conduiront vers des impasses. Prenez garde ! Quand on parle trop d’un secteur, cela est parfois révélateur de sa saturation et donc qu’il est peut-être inutile de s’y investir.

Les sites d’information et newsletters

A l’heure du tout connecté, les sites d’information sont un guide dans le labyrinthe économique. Ils permettent de suivre les évolutions et tendances. D’ailleurs certains sites ou rubriques sont consacrés presque exclusivement aux tendances et réflexions de notre époque comme www.influencia.net, www.laprospective.fr ou encore www.hellobiz.fr sans compter celui du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc) www.credoc.fr. N’oubliez pas que vous pouvez souvent vous abonner gratuitement à leurs newsletters. Celles-ci vous permettent d’être au courant des dernières actualités.

Les sites institutionnels

Les sites institutionnels ne sont pas en berne. Ils recueillent des informations précieuses comme celui du ministère qui publie régulièrement des informations sur les industries et les technologies clés du 21e siècle www.economie.gouv.fr ou encore l’incontournable bpifrance.fr et ses fiches professionnelles d’une cinquantaine de pages consacrées aux secteurs porteurs.

A l’international

Déjà, vous pouvez compter sur les sites institutionnels qui ont pour vocation d’offrir une information fiable et actualisée tant sur le plan des lois que sur les procédures, les manières d’agir.  Ils permettent par exemple de connaître tous les statuts d’entreprises, le plus récent projet de loi, la dernière intervention d’un expert ou d’un ministre, les engagements de l’état. On pensera au site d’Ubifrance www.ubifrance.fr.

La presse

Lors des salons, vous avez la chance d’avoir accès, sans vous déplacer dans une librairie, aux éditeurs, grands dénicheurs de tendances tant en France que dans le monde. Sur ces stands sont proposées les nouvelles parutions, sources d’informations intéressantes et souvent pertinentes. De nombreux magazines sont aussi présents comme par exemple sur le salon de Maison et objets ou encore les revues généralistes qui choisissent en général de parler des dernières tendances. N’oubliez pas les magazines spécialisés qui traitent de toutes les nouveautés et idées du secteur comme Dynamique Entrepreneuriale.

Les événements et manifestations

Par leur essence même, tous les salons et toutes les manifestations ont pour objectif de montrer les innovations et les nouvelles tendances du marché qu’ils représentent. Certes, ils servent à donner de la visibilité aux grandes entreprises ou aux marques connues mais un salon n’a aucune raison d’exister s’il n’apporte pas un regard sur les nouvelles ou futures tendances. On pensera notamment au Salon des entrepreneurs, Salon de la franchise, Salon Planète PME et Salon des micro-entreprises. L’institut d’études sectorielles Xerfi, dans ses conférences de presse annuelles, dévoile également ses prévisions conjoncturelles et sectorielles.

Les chaînes de télévision et les blogs

Vous pouvez également compter sur la télévision car cette dernière se penche souvent sur les nouvelles idées pour séduire le public. De nombreuses émissions sont consacrées comme Capital sur M6 qui met l’accent sur les tendances de l’économie, le site Emploi de France 5 où l’on trouve l’actualité de la recherche d’emploi, les entreprises qui recrutent, les secteurs porteurs et les conseils du moment. Par les échanges dynamiques qu’ils proposent, certains blogs conduisent à une réflexion comme The Lab, l’observatoire des tendances de René Duringer.

Les « chasseurs de tendances »

Des « renifleurs de tendances » parcourent la planète pour décrypter la société de consommation et imaginer celle de demain. On les retrouve au sein de bureaux de style comme www.nellyrodi.com, www.carlin-international.com. Des cabinets d’études comme Opinionway, TNS/Sofres, Ipsos, IFOP… réalisent également des enquêtes pour analyser les évolutions des modes de consommation, repérer les nouveaux codes, valeurs, attitudes, les produits et services qui semblent précurseurs. Être à l’affût c’est regarder, lire les expériences d’entrepreneurs qui réussissent dans des secteurs en vogue, à l’image de celui de l’économie du partage.

Qu’est-ce qu’un créateur « à la page » ?

Les créations d’entreprise se sont multipliées en une décennie et ont transformé le paysage de l’entrepreneuriat. L’échec qui était un sujet tabou particulièrement dans l’hexagone, a pris une nouvelle connotation.  Il est associé aujourd’hui à des mots comme rebond, défi, challenge qui dévoile un créateur qui n’a pas peur de se lancer dans une entreprise et de prendre des risques. Les nouveaux entrepreneurs sont sortis du carcan des entreprises instituées traditionnellement par une hiérarchie sociale qui laissait peu de place à l’innovation. Looks différents, méthodes de gestion et de management renouvelées… Les caractéristiques demeurent nombreuses ! Mais quelles sont les réelles différences ? 

Des nouveaux codes vestimentaires

Eh oui ! Exit l’entrepreneur avec une image austère, surveillant du haut de son balcon ses salariés et portant tous les jours un costume cravate afin de se différencier de ses équipes. Ce dernier a laissé la place à toute une génération d’entrepreneurs qui considèrent que « l’habit ne fait pas le moine » et que les salariés constituent les véritables ressources de l’entreprise.

Le nouveau dirigeant a délaissé ses vêtements de commerciaux pour ceux du quotidien. La cravate n’est plus à la mode !!! À l’inverse, porter un jean, une chemise et un haut de veste est, aujourd’hui, devenu la manière standard de s’habiller. Ce changement s’est effectué à l’échelle internationale. Pour preuve, Mark Zuckerberg, le mythique fondateur de Facebook lui-même, déclarait lors d’une séance de questions/réponses : « Je n’ai pas d’énergie à gaspiller dans des choses aussi futiles de ma vie personnelle. Je dois prendre le minimum de décisions en dehors de celles qui servent la communauté Facebook ».

Une petite anecdote qui rappelle la manière de penser d’un autre visionnaire, Steve Jobs, le fondateur de la célèbre marque informatique Apple. Mais les entrepreneurs français ne sont pas en reste. Il suffit d’évoquer Xavier Niel, fondateur de Free ou encore Jacques-Antoine Granjon de vente-privee.com, qui ont tous deux gardé leur propre style. Mais attention à ne pas se tromper : le look « à la cool » ne traduit pas de la négligence de la part de ceux qui l’adoptent, mais bel et bien un changement de mentalité.

Un dirigeant ultra-connecté

Le dirigeant d’aujourd’hui n’est plus le même que celui d’hier. Rarement isolé, on peut régulièrement l’apercevoir avec son smartphone à portée de main, que ce soit en conférence, dans les transports ou bien en vacances. Il utilise les nouvelles technologies et partage constamment avec son réseau des informations, dont la nature peut d’ailleurs être professionnelle ou personnelle suivant les cas. Ce créateur des temps modernes reste rarement présent sur l’ensemble des réseaux sociaux, car il en privilégie, en général, un seul par rapport aux autres.

Ultra-connecté, l’entrepreneur « à la page » répond rapidement à ses e-mails, souvent de manière succincte, ce qui peut surprendre quand on sait à quel point l’emploi du temps d’un créateur se remplit. Il s’informe en permanence des actualités afin de rester le plus possible au courant de ce qui se passe autour de lui et ne pas rater une information essentielle qui pourrait lui donner une idée pour son business.

Une prise en compte de l’opinion des salariés

Le dirigeant moderne ne considère plus le salarié comme une simple machine. Il reste convaincu que l’ensemble de l’équipe constitue le moteur essentiel de l’entreprise, ce qui lui permet d’avancer. La société ne pourra se développer au-delà d’une certaine échelle sans les compétences d’une équipe au service du projet. Gardien de la vision stratégique, l’entrepreneur prend en compte les opinions de chacun, surtout quand il s’agit d’innovations liées aux difficultés rencontrées sur le poste de travail. Il sait également que l’implication des collaborateurs peut devenir un avantage concurrentiel important. Par ailleurs, le sentiment d’appartenance à l’entreprise lui paraît essentiel et il s’attache ainsi à impliquer ses collaborateurs autant que possible dans les décisions stratégiques.

Les entrepreneurs soutiennent la communauté

Le chef d’entreprise actuel n’hésite pas à donner son opinion et défend avant tout la cause entrepreneuriale. Il ne rechigne pas à condamner ce qui nuit à la communauté et peut même parfois s’opposer aux politiques en place lorsqu’il ressent une injustice. Conscient des difficultés de l’exercice, le nouvel entrepreneur investit dans les start-ups et soutient ceux qui démarrent. En témoignent les nombreux fonds constitués par les entrepreneurs à succès qui investissent du temps et de l’argent. L’entrepreneur moderne possède aussi l’avantage d’être de plus en plus apprécié par l’opinion publique, notamment depuis la loi de 2009 sur le statut d’auto-entrepreneur qui a permis de populariser et de démythifier la fonction. Nombreux ont pu tenter l’aventure et constater qu’il ne s’agit guère d’un monde de privilégiés mais d’une expérience à haut risque et néanmoins très enrichissante.

L’innovation permanente au service du client

Le nouvel entrepreneur en demeure persuadé, c’est dans l’innovation permanente et dans la  la satisfaction du client que réside la clé de la pérennité de son entreprise. À ce titre, il n’hésite pas à mettre en place des processus afin d’améliorer son produit en permanence. Fervent supporter de méthodes comme le « Lean start-up », il reste conscient que sortir immédiatement le produit parfait n’est pas possible, car ce dernier doit évoluer avec le temps et s’adapter aux modes de consommation qui évoluent en permanence.

L’entrepreneur « à la page » croit fortement que la confrontation au marché permet également de mieux adapter le produit. En ce sens, il n’hésite pas à remettre en cause ses propres aprioris en fonction de l’opinion de ses clients s’il la juge pertinente ou s’il constate une transformation de son environnement. Il se veut réactif et espère répondre au plus proche du besoin du consommateur avant même que celui-ci ne lui en fasse part. Il espère parfois même inventer la consommation de demain.

Un management plutôt cool

Distributeurs de boissons, repas communs, présence d’objets permettant de se relaxer comme un baby-foot ou un billard, rien ne semble trop bon pour les salariés. Il essaie autant que possible d’améliorer le cadre de travail. Conscient de la limite de l’exercice et qu’une ambiance à la cool ne signifie pas que tout le monde fasse n’importe quoi, il remixe parfois les règles en proposant des horaires totalement flexibles ou des congés illimités, du moment que les objectifs sont atteints.

Assurances professionnelles et personnelles : comment se protéger ?

Les assurances et prévoyances du chef d’entreprise demeurent souvent assez méconnues des dirigeants, surtout dans les premières années de la création d’entreprise. Avec le développement de l’entreprise ou en cas de difficultés personnelles ou professionnelles, elles peuvent s’avérer d’un grand secours. Zoom sur les principales prévoyances et assurances qui protègent le chef d’entreprise tant dans sa vie personnelle que professionnelle.

Les prévoyances et assurances personnelles

Ce n’est pas parce que vous êtes chef d’entreprise que vous devez négliger de vous assurer personnellement. Votre activité demeure souvent dépendante de ce qui vous arrive à vous. Il pourrait se révéler très compliqué de devoir gérer à la fois des problèmes personnels et professionnels en même temps. Alors, prévoyez !

1/ Prévoyance santé

Elle vous protège d’abord vous et votre famille. Appelée aussi complémentaires santé ou mutuelle, vous avez l’obligation de la mettre en place dans votre entreprise pour vos salariés, mais vous pouvez également en bénéficier. Elle vous permet de prendre en charge la part des frais médicaux qui ne sont pas remboursés par le régime général.

N’hésitez pas à comparer les taux de remboursement selon les mutuelles et choisissez une formule adaptée à votre cas (soins dentaires, frais optiques, ostéopathie…). Si vous êtes porteur de lunettes, regardez le taux de remboursement, il est plus ou moins intéressant selon les mutuelles. Il en va de même pour les prothèses dentaires.

2/ Prévoyance habitation

Si vous souhaitez protéger votre habitation en cas d’incendie ou de dégât des eaux, l’assurance habitation s’avère indispensable. Par ailleurs, elle peut couvrir des dommages liés à des explosions ou tout simplement une catastrophe naturelle. Elle peut également couvrir votre habitation en cas de cambriolage. Elle propose également une protection civile qui peut s’avérer fort utile, car elle prend en charge les dégâts matériels ou corporels envers de tierces personnes.

3/ Prévoyance décès, incapacité, invalidité

Elle vous permet de vous assurer d’un versement d’indemnités dans ces trois cas,en complément de celles de la Sécurité Sociale du régime obligatoire. En cas de décès, vous permettez à vos bénéficiaires de recevoir un capital ou une rente qui leur permettra de subvenir à leurs besoins ou de parer aux premières difficultés. Dans le cas de l’invalidité, vous pouvez également bénéficier d’un capital ou d’une rente, vous permettant de maintenir votre niveau de vie. Enfin si incapacité, l’assurance vous permet de bénéficier, en complément des indemnités journalières versées par la Sécurité sociale ou du régime obligatoire, d’indemnités pouvant aller jusqu’à 100 % de votre rémunération antérieure.

4/ L’assurance retraite

Vous cotisez à une caisse de retraite complémentaire au régime obligatoire ? Vous vous assurez ainsi le versement d’une somme d’argent qui viendra s’ajouter à la retraite. Vous pouvez bénéficier de divers abattements fiscaux et maintenir votre niveau de vie au moment de votre retraite. Des dispositifs existent pour l’ensemble de vos salariés et pour vous, que nous évoquons à la fin de cet article.

Les assurances professionnelles à ne pas oublier

Si les assurances personnelles sont bien connues, certaines assurances professionnelles le sont moins. Certains risques peuvent être ainsi couverts, zoom sur ces assurances dont vous ignorez peut-être l’exigence.

1/ L’assurance homme-clé

L’assurance « homme-clé » peut s’appliquer à vous autant qu’à un de vos salariés. Elle vous permet de protéger votre société s’il vous arrive à vous ou à un collaborateur clé, une incapacité ou un décès. L’entreprise reçoit ainsi une compensation financière en cas de décès ou d’incapacité professionnelle et s’applique aux collaborateurs qui sont essentiels à la bonne marche de l’entreprise. Dans ce genre de situations complexes, elle apporte une aide précieuse.

2/ L’assurance multirisque

Elle peut être souscrite par toutes les entreprises et vous permet de protéger vos marchandises, vos biens et même l’immobilier contre toutes les formes de sinistres. Vous protégez votre entreprise autant des catastrophes naturelles (tempête, grêle, inondation, incendie…) que des éventuels risques comme le cambriolage, un acte terroriste… Vous pouvez ainsi recevoir des indemnités ou une assistance.

3/ L’assurance automobile et flotte automobile

Toutes les entreprises peuvent en bénéficier : elle protège votre véhicule ou l’ensemble des véhicules contre le vol, les dégradations, les accidents ainsi que ceux provoqués par votre ou vos véhicules. Vous pouvez même obtenir le remplacement de votre véhicule ou celui d’un collaborateur dans certains cas et éviter que votre collaborateur ou vous-même ne puissiez plus mener vos tâches faute de véhicule en état de rouler.

4/ L’assurance locaux professionnels

Si vous pouvez protéger votre habitation comme nous l’avons vu plus haut, vous pouvez également protéger vos locaux pour les mêmes cas et toucher des indemnités en cas de sinistre. Par ailleurs, vous pouvez bénéficier d’une assistance dans certains cas, vous permettant de pallier rapidement une inactivité.

5/ L’assurance responsabilité civile

Si elle peut être mise en place à titre personnel, elle peut également l’être pour votre entreprise et protéger votre entreprise en cas de préjudices causés à des tiers (salariés, fournisseurs, clients) du fait de votre activité professionnelle. N’oubliez pas que vous êtes responsable des dommages causés à autrui et que cette assurance reste obligatoire. Il arrive souvent de manière erronée que les chefs d’entreprise pensent ne pas être responsables de dégâts causés par un membre du personnel. Or, le dirigeant de l’entreprise est le premier responsable même s’il peut parfois se retourner contre les salariés responsables d’une faute lourde, dans un deuxième temps.

6/ L’assurance perte d’exploitation

Il s’agit d’une assurance relativement méconnue et qui pourrait bien vous sauver en cas d’une baisse d’activité professionnelle liée à un événement extérieur comme un sinistre. Elle vous permet de compenser cette perte notamment si vous devez par exemple changer de locaux en cas d’incendie… Cette assurance vous permet d’affronter les difficultés sans remettre en cause votre activité par absence totale de trésorerie.

7/ Les dispositifs d’épargne retraite

Vous pouvez en complément des pensions versées par les régimes obligatoires de retraite mettre en place des dispositifs d’épargne retraite d’entreprise, également appelés dispositifs de retraite supplémentaire collective. Ils sont d’un grand intérêt pour les collaborateurs et suscitent un fort engagement.

De nombreuses autres assurances comme celle de protection juridique, des moyens de paiements ou encore la garantie décennale existent. N’hésitez pas à vous renseigner !

Adopter un management au top

Figé dans un carcan, le management s’est vu contraint d’évoluer grâce à la communication qui n’a plus de frontières. Les entreprises ont besoin de recruter les meilleurs et d’attirer les talents, elles ont dû adopter de nouvelles manières de manager et rivalisent d’ingéniosité pour permettre à leurs collaborateurs de mieux vivre au travail.

Nouveaux espaces de travail, hiérarchie assouplie, comportement différent du responsable… Le management s’est transformé ces dernières années. Alors comment se mettre à la page, instaurer une ambiance de start-up dans son entreprise et devenir un mini Google ?

Adoptez le tutoiement

Ce n’est pas parce que vous êtes chef d’entreprise que tout le monde doit vous vouvoyer et que vous devez laisser cette pratique perdurer dans votre entreprise. Le vouvoiement vous permet de mettre une distance avec vos salariés, certes. Mais il peut s’avérer pesant, surtout au sein d’une petite équipe. Avec le temps, il devient désagréable de continuer à vouvoyer des personnes que vous fréquentez tous les jours. D’ailleurs, notez que dans les pays anglo-saxons, le vouvoiement n’existe pas en tant que tel ! Un exemple à suivre ?  Le respect ne s’instaure pas par le vouvoiement mais par la qualité des relations humaines.

Créez un espace de détente

Les espaces agréables et les objets liés à leur mise en place comme un baby-foot, un billard, un flipper, une table de ping-pong voire une console de jeux vidéo ont progressivement fait leur apparition dans toutes les entreprises menées par des dirigeants de la nouvelle génération. Si tous les salariés ne les utilisent pas forcément, ces outils peuvent tout de même contribuer à renforcer l’esprit d’équipe. Il est certain que vos équipes ne doivent pas y passer toutes leurs journées, au risque d’observer une baisse dans votre productivité, mais il demeure difficile de rester concentré tout le temps. Mettez donc en place ces espaces de détente et montrez l’exemple en les utilisant vous-même. Quoi de mieux pour se remotiver que de prendre une petite pause dans un endroit agréable ?

Changez la déco

Il n’existe rien de plus désagréable que de travailler dans un endroit qui ressemble à une prison. Les start-ups qui réussissent acquièrent bien souvent des locaux dont l’apparence se rapproche de véritables chefs-d’œuvre de l’architecture. Oubliez donc les bureaux vides et mettez en place une décoration sympa qui créera une ambiance plus chaleureuse. À titre d’exemple, l’open space de la société Zappos ressemble davantage à une forêt tropicale qu’à un bureau ! N’hésitez pas à faire preuve d’excentricité et à inciter vos salariés à partager leurs idées, tout en accordant à chacun d’entre eux un budget pour la déco. C’est ainsi que vous verrez des objets étonnants apparaître et égayer l’espace de travail. Google n’est-il pas allé jusqu’à installer un toboggan pour se rendre à la cafétéria ? Dans les différentes immersions réalisées par Dynamique au sein des entreprises, il apparait évident que celles-ci mettent un point d’honneur à rendre les locaux conviviaux mais aussi que toutes les décos ne se ressemblent pas. On passe du design au classique mais ce qui est à retenir c’est qu’au fond les valeurs du dirigeant et des collaborateurs sont la source de la création d’une décoration originale et inspirante.

Supprimez une hiérarchie figée et sans intérêt

La manière de concevoir les strates de décision au sein des start-ups a considérablement changé et les structures pyramidales résistent de plus en plus mal au changement. L’apparition des open space a d’ailleurs contribué à modifier cette conception en logeant tout le monde à la même enseigne. Une structure hiérarchique trop figée peut se révéler un véritable frein à la responsabilisation de chaque salarié qui ne se sent alors plus que comme un exécutant. N’hésitez pas à diminuer le nombre de niveaux hiérarchiques. C’est le cas dans la start-up Valve, où personne ne sait qui est le patron, car ce dernier demeure complètement anonyme. Ce type de management a déjà énormément fait ses preuves, en particulier en termes d’impact sur les générations X et Y.

Créez des moments festifs !

Les occasions de célébrer des événements de la vie de l’entreprise ou simplement de mettre en valeur les salariés de manière individuelle sont légions : anniversaires, signature de contrats, réalisation des objectifs, départ ou arrivée d’un collaborateur, retour du week-end… Les start-ups à la mode n’hésitent pas à célébrer un maximum d’évènements et contrairement à ce que l’on croit, cela ne leur nuit pas puisqu’elles connaissent un taux d’absentéisme moins fort (il est toujours plus agréable de venir travailler dans un endroit où l’on se sent bien) et il faut bien se dégourdir l’esprit de temps en temps. N’hésitez pas à célébrer parfois des évènements. Pour cela vous n’avez pas besoin de vous ruiner : pizza pour toute l’équipe, chips ou jus d’orange. Les petits gestes sont tout aussi appréciés que les grands.

Améliorez vos recrutements

Marre du CV standard qui ne vous montrera jamais la motivation réelle du salarié ? Le recrutement nouvelle génération prend davantage en compte la motivation du candidat plutôt que le nombre de diplômes obtenus. Au sein d’une petite équipe, il est souvent nécessaire que vos futurs salariés fassent preuve de polyvalence et d’une capacité d’adaptation élevée face aux nombreuses tâches qui les attendent. N’hésitez pas à les sélectionner différemment, notamment grâce aux nouvelles solutions 2.0 de type Serious Games  (« jeux sérieux », ndlr). C’est également dans l’annonce que vous pouvez démontrer l’ambiance et la mentalité de l’entreprise. Une petite phrase amusante peut accroître l’envie de vous rejoindre.

Démythifier l’échec

Pour être certain de ne jamais échouer, la meilleure manière consiste à ne rien tenter. Seulement, adopter une telle mentalité ne fera pas beaucoup avancer votre entreprise. Les start-ups qui enchaînent les succès savent motiver leur équipe à prendre des initiatives. Mais pour y parvenir, il reste nécessaire de ne pas punir les échecs. Les sociétés comme Facebook ne prônent-elles pas le « fail fast » ? Autre exemple : la fondatrice de My Little Paris qui commence à s’inquiéter lorsqu’elle constate que ses salariés n’ont pas assez échoué ! N’hésitez donc pas à féliciter les gens qui font des erreurs et à faire passer le mot : « lui, au moins, il a essayé ».

Changez la manière de décider

L’un des grands avantages des start-ups réside dans leur réactivité. Si elles possèdent souvent une bonne image de proximité, c’est d’abord parce qu’elles ont une capacité supérieure à répondre rapidement à une attente. N’hésitez pas à déléguer les décisions qui peuvent être prises par les salariés compétents et à vous rendre disponible pour le reste. Comme nous vous l’expliquions plus haut, les niveaux hiérarchiques d’une petite entreprise demeurent très réduits voire inexistants, vous ne souffrirez donc pas de la perte de temps en matière de décision et vous augmenterez la capacité de votre entreprise à répondre vite aux besoins des clients.

Les services pour les employés

Connaissez-vous le secret des dirigeants à succès pour faire en sorte que leurs employés restent tard au travail ? Ils offrent sur place, dans l’entreprise, tous les services visant à alléger le quotidien des salariés. Chez Google par exemple, les salariés ont accès à une salle de sports ouverte 24/7 avec des coachs et des espaces de cours, de musculation et de fitness. Rassurez-vous, pas besoin d’installer un pressing dans la salle de réunion ! L’accès à un service de conciergerie ou de garde d’enfants à prix préférentiels suffira largement !

Choisir la bonne méthode d’implantation à l’étranger

Aujourd’hui les distances se sont réduites aussi bien grâce aux moyens de transport modernes que des nouvelles technologies qui vous mettent en relations immédiate avec l’ensemble des pays. Seul le décalage horaire continue à imposer son diktat. Cependant, vérité de la Palice, les pays possèdent des lois et les réglementations qui diffèrent au point que ce qui est indispensable dans un pays n’est pas utile dans un autre. Il est parfois possible de traiter à distance avec certains pays alors que pour d’autres l’implantation à l’étranger est un garant de réussite. Chaque manière de pénétrer un marché possède ses avantages et inconvénients. Zoom sur les différentes techniques qui vous permettront de vous installer dans le pays ciblé.

L’expatriation d’un des fondateurs

C’est l’un des conseils peu entendu mais pourtant des plus avisés lors d’une internationalisation. Il est souvent préférable qu’un des fondateurs s’expatrie, notamment car la composante humaine est souvent le gage de la réussite. Les avantages en sont certains : les dirigeants peuvent optimiser les process, prendre plus rapidement les décisions et rassurer les clients locaux ainsi que les fournisseurs et partenaires grâce à la présence d’un des entrepreneurs sur place. Les fondateurs du groupe Fred & Farid ont par exemple décidé de travailler à distance lors du lancement de leur bureau à Shanghai. Frédéric Raillard gère une équipe en Chine pendant que Farid Mokart dirige le groupe à Paris.

La création d’un bureau de représentation

Ce poste d’observation constitue l’une des techniques les plus utilisées lors de l’implantation. Le bureau de représentation permet d’assurer l’activité commerciale en obtenant des contacts avec vos clients potentiels, fournisseurs, partenaires… sur place. Il vous sert à recueillir des informations et effectuer vos premières actions de communication. De plus, Il vous permet de développer l’activité commerciale sans réaliser un investissement trop coûteux et représente donc un atout certain. Il allège les formalités mais les factures et contrats doivent être émis par la société mère.

Les solutions de base

Afin de démarrer votre activité, plusieurs solutions existent, comme l’expatriation d’un de vos salariés afin qu’il assure la prospection commerciale. Le recrutement d’un agent commercial apparaît également comme une alternative intéressante : il s’occupe en général à la fois de la prospection et de la distribution des produits. En général, il prospecte en fonction des règles du pays d’implantation. Le Volontariat International peut également se révéler un choix judicieux. Les missions, effectuées sous la tutelle de l’Ambassade de France, durent de 6 à 24 mois mais restent cependant réservées principalement aux étudiants, jeunes diplômés, ou demandeurs d’emploi, de 18 à 28 ans. Il est à noter que l’indemnité forfaitaire représente un avantage et est indépendante du niveau de qualification.

Master franchises

La master franchise représente une technique couramment utilisée par les entreprises pour se lancer à l’international. Elle consiste à déléguer à un franchisé le développement du réseau dans un ou plusieurs pays, voire une région. Il prend le rôle de franchiseur vis-à-vis des autres franchisés. Si la master franchise supprime de nombreuses contraintes, elle demande au franchiseur un investissement certain et une prise de risque. Le recrutement du master franchisé devra être réalisé avec soin car implanter une ou plusieurs franchises pour prouver la viabilité de votre concept mais l’adapter aux pays est souvent un chemin difficile.

Vérifiez les opportunités de joint-venture

La joint-venture peut être une bonne solution pour s’implanter dans un pays. Elle a l’immense avantage de renforcer votre crédibilité en vous associant avec un partenaire local qui peut être une société privée ou une personne publique. Vous bénéficiez de l’expérience et de la connaissance de l’entreprise sur son marché et évitez ainsi les erreurs. Dans certains pays, elle est quasiment obligatoire et vous évite d’être considéré comme une entreprise étrangère. Cette technique ouvre des portes dans les pays relativement fermés.

Rachetez une société

Technique d’implantation sur un marché, que l’on pratique souvent dans un second temps, le rachat de société peut représenter une solution efficace pour s’établir durablement dans un pays. Pour cela, vous pouvez prendre une participation majoritaire dans une entreprise locale, ce qui aura pour conséquence de vous faciliter votre adaptation à la culture. Afin de vous informer sur l’entreprise, vous pouvez contacter les entreprises françaises déjà implantées, qui seront une excellente source de renseignements sur la viabilité de l’entreprise, son image, sa notoriété…

Le développement d’une filiale / succursale

Le développement d’une succursale peut vous permettre de vous renforcer. Si elle ne dispose pas de personnalité juridique propre, elle facilite votre extension géographique et vos relations avec la clientèle. Dans la plupart des pays, l’ouverture d’une succursale nécessitera une publicité au registre du commerce et des sociétés du lieu d’implantation. Autre solution, la filiale, qui vous permettra de gagner en autonomie. Celle-ci possède à l’inverse une personnalité juridique propre et demeure de la nationalité du pays, ce qui favorise l’implantation. Elle est détenue majoritairement par la société mère et les formalités dépendent de la législation du pays.

Bien préparer son voyage d’affaires

Un voyage d’affaires peut s’il n’est pas bien préparé se transformer en catastrophe. Au lieu d’être concentré sur l’objectif qui est celui de tisser des liens et de développer des partenariats intéressants, l’entrepreneur peut se voir obligé de résoudre les problèmes administratifs ou bien créer des malentendus par une méconnaissance des habitudes culturelles et se voir fermer toutes les opportunités Si les pros du déplacement maîtrisent parfaitement les arcanes d’un voyage d’affaires réussi, il n’en est pas toujours de même pour ceux qui découvrent les surprises du terrain. Conseils et astuces pour que votre voyage d’affaires ne vous laisse pas un goût amer.

Informez-vous sur le pays et ses habitudes.

Trop de voyageurs ont des idées toutes faites et des certitudes sur un pays ou une région qu’ils ne connaissent pas, y compris sur la culture et la façon de travailler. Pour s’informer au mieux, c’est incontestablement sur internet que l’on va trouver les premières informations et expériences qui résumeront assez bien la nature du pays dans lequel vous allez vous rendre. Prenez le temps de lire quelques éléments essentiels sur l’économie et la culture du pays que vous allez visiter et recherchez les expériences éventuelles de vos collègues.

Participez à des conférences et colloques sur le pays en question. Vous pourrez acquérir avec des participants habitués à cette destination des renseignements précieux. Pensez à vérifier le dress-code et les usages de politesse en vigueur sur le lieu de votre voyage. N’hésitez pas à vous faire une fiche pratique sur la ville qui va vous accueillir. Tous ces paramètres vont montrer à vos interlocuteurs que vous avez pris soin d’étudier votre destination, ses règles et ses coutumes, une qualité très appréciée.

Pensez à tous vos documents administratifs.

Ayez en main tous les papiers officiels et vérifiez leur date qui doit être en règle durant votre séjour. Il ne faut jamais s’occuper des papiers administratifs en dernier et ne jamais réserver son avion si l’on n’a pas tous les papiers administratifs en règle. Le passeport doit être valide 3 à 6 mois après la date de retour envisagée, un critère demandé par certaines ambassades pour la délivrance de visas. Pour le passeport biométrique, comptez un délai de quatre semaines minimum. Pour ces démarches, vous pouvez vous rendre sur le site du service public.

Quant aux visas, renseignez-vous bien car les délais peuvent être longs. Vérifiez sur le site de l’ambassade du pays ou sur action-visa. Certains d’entre eux peuvent s’obtenir à l’arrivée. Vérifiez également votre permis de conduire. Le permis national est valable pour l’ensemble des pays de l’Union européenne. Pour le permis de conduire international, voyez avec l’ambassade ou le consulat concerné. Sachez qu’en plus du permis international, il vous faudra avoir avec vous votre permis national. N’oubliez pas que les réglementations des pays changent et que par exemple si le Brexit se met en place vous devrez non plus vous servir de votre carte d’identité mais posséder un passeport valide.

Maîtrisez l’art de faire votre valise.

Un rendez-vous au bout du monde ou une négociation en région, le départ commence par la confection de sa valise. Dans le cas d’un déplacement de deux jours, une valise cabine s’impose pour gagner du temps en évitant l’enregistrement et la récupération de bagage à l’aéroport. Un costume, deux chemises, autant de sous-vêtements et une trousse de toilette forment la panoplie du parfait homme / femme d’affaires. Mettez les costume dans une housse transportée en bagage à main. Sinon, pliez-les en deux dans la longueur ou la largeur en respectant les épaules et la carrure.

À l’arrivée, pendez-les sur des cintres dans la salle de bain et faites couler l’eau chaude pour détendre les fibres du tissu grâce à l’humidité. Astuce valable pour les tailleurs et robes des dames. L’idéal pour les chemises est de les emporter neuves sous emballage. Sinon, faites-les plier au pressing et glissez-les dans le haut des costumes ; avec un carton à l’encolure elles ne seront pas écrasées. Les chaussettes peuvent se glisser dans les chaussures. Placez les chaussures du côté des roulettes de la valise pour ne pas peser sur les vêtements en position verticale. Les sous-vêtements sont utilisés comme bouche-trous pour caler la valise.

Les pantalons se posent à plat dans le fond, les cravates autour du col des vestes, à plat. Attention à la trousse de toilette si vous prenez l’avion. Pas de contenant de plus de 100 ml et pas plus de 10 contenants dans un sac plastique transparent d’une capacité dans la cabine de l’avion, le reste doit être placé dans la soute.

Prévoyez vos dépenses.

Carte bleue internationale, argent liquide ou chèques de voyage, tout dépend de votre destination mais il faut y avoir pensé. Pour les cartes internationales, le réseau le plus répandu dans le monde est celui de Visa. Viennent ensuite Eurocard/Mastercard, American Express, Diners Club. Il est impératif de disposer d’au moins une de ces cartes pour effectuer des opérations bancaires. Pensez à vérifier la date d’expiration surtout en cas de long voyage, et à augmenter les plafonds des retraits.

N’oubliez pas non plus de prévoir un retrait en liquide afin d’éviter les commissions de retrait à l’étranger, vous bénéficierez en général d’un meilleur taux. Quant aux chèques de voyage, vérifiez s’ils sont acceptés dans le pays de destination. Leur avantage, par rapport à des espèces, est de pouvoir faire opposition auprès de votre banque en cas de vol et d’en obtenir le remboursement. Certains pays nécessitent d’avoir de l’argent liquide pour régler les dépense. En effet, les cartes bancaires sont peu utilisées et vous risquez de vous trouver en difficultés. Les distributeurs n’existent même pas dans certaines grandes villes en dehors de la capitale.

Anticipez les maux.

Lors d’un voyage d’affaires, nul n’est à l’abri d’un ennui de santé. Avant le départ, mettez à jour vos vaccins et informez-vous sur les recommandations de santé dans le pays dans lequel vous vous rendez. Le site de l’Institut Pasteur notifie les actualités épidémiologiques ainsi que les vaccinations recommandées en fonction des modalités de séjour (www.pasteur.fr/fr/map). Souscrivez aux assurances nécessaires. Pour un séjour en Europe, demandez la Carte Européenne d’Assurance Maladie (CEAM). Pour un séjour dans le reste du monde, il est nécessaire de souscrire à la responsabilité civile à l’étranger, à la garantie modification / annulation voyage et à l’assistance maladie /rapatriement. Sachez que certaines cartes de paiement Visa de catégorie supérieure incluent des assurances suffisantes pour le voyageur. Lors de l’achat de billets d’avion, il existe aussi l’assurance multirisques mais attention, elle est souvent limitée et insuffisante.

Préparez vos rendez-vous.

Avant de partir, faites un planning du déroulé de votre voyage. Apprenez quelques expressions qui seront utiles durant votre séjour surtout si le pays n’est ni francophone ni anglophone. Faites éventuellement imprimer de nouvelles cartes de visites suivant la langue de vos interlocuteurs. Déterminez les rendez-vous, dressez un récapitulatif de la situation avec l’entreprise et les personnes de contact. Préparez cartes, guides et plans pour vos déplacements afin de gagner du temps, salles de conférences ou encore compagnies de taxis et des locations de voitures. Dans la plupart des pays, on aime comprendre immédiatement ce que vous faites, ce que vous venez faire avec l’entreprise visitée et comment vous allez le faire ; venez donc avec une documentation technique de préférence dans la langue locale. Attention toutefois, si vous êtes présent pour un travail de maintenance technologique, ne cherchez jamais à comprendre les secrets de fabrication de l’entreprise.

Réaliser une bonne étude de marché… sans dépenser 1 €

Une étude de marché semble rencontrer l’adhésion mais votre trésorerie ne vous permet pas d’investir car vous avez d’autres priorités. Or, vous le savez-bien, disposer d’un bon produit/service ne suffit pas. Bien que votre concept soit révolutionnaire, il ne faut pas oublier de le tester auprès du public. Encore aujourd’hui, de nombreux entrepreneurs oublient cette « formalité » qui n’en est pas une. Il est vrai que les différents frais sont nombreux lors du lancement d’une start-up, et qu’il est tentant de « zapper » l’étude de marché. Dans ce cas, vous pouvez la réaliser sans toucher à votre trésorerie.

S’enquérir auprès des proches

Avoir une bonne idée, un bon produit, et se lancer dans l’entrepreneuriat peut vous mettre de la poudre dans les yeux. Aveuglé par ce que vous avez en tête, vous oubliez de prendre du recul, et risquez de foncer dans le mur. Avant toute chose, parlez de votre projet à votre famille et à vos proches. Cette « étude de marché privée » vous donnera déjà le ton. L’intérêt de cette sphère privée est la sincérité des réponses. Si aucun ne voit le projet fonctionner, préparez-vous à de recherches plus poussées. Au minimum…

Scruter la concurrence

Scruter la concurrence est indispensable pour connaître les tendances :

  • S’il n’y en a pas du tout, cela ne signifie pas forcément que vous êtes sur la bonne voie et qu’il y a une place à prendre. Il vous faudra peut-être évangéliser le marché, ce qui prend un certain temps. Dans ce cas, il faudra pousser les recherches de manière approfondie*.
  • Si vous dénombrez 2 ou 3 concurrents, c’est parfait : cela signifie souvent que le marché est en train d’éclore et représente souvent un gage de fiabilité pour votre produit. En revanche, cela signifie souvent que la concurrence va se jouer sur la vitesse et que vous devrez vous battre pour être reconnu avant que de nouveaux concurrents arrivent en masse.
  • S’il y en a beaucoup, c’est que le produit que vous proposez répond à une forte demande. Mais cela signifie aussi qu’il est peut-être bientôt obsolète. De plus, il est très dur de s’imposer au sein d’une concurrence dense quand vous êtes « nouveau ».

Réaliser un sondage

• Physique : « Bonjour, auriez-vous 2 minutes pour répondre à un sondage ? ». Vous y avez forcément été convié, mi-agacé, mi-ennuyé. Cela reste une solution gratuite (à condition de le faire soi-même) même s’il reste toujours difficile d’interroger les passants une feuille à la main, en face d’une bouche de métro. Servez-vous de votre carnet d’adresses ou profitez d’une rencontre networking pour récolter des informations qui vous seront précieuses.

• Virtuel : La méthode est moins contraignante et les internautes se livrent souvent plus volontiers au jeu de la question/réponse derrière leur écran. Les informations sont, de plus, récoltées assez rapidement. Via internet, vous utilisez les réseaux sociaux, et mesurer la popularité de votre concept grâce à une page professionnelle. Si vous avez un site web, créez un sondage interactif où les internautes pourront cocher telle ou telle réponse. Dans ces cas-là, l’anonymat offre un gage de sincérité pour les réponses. Enfin, utilisez, en marge de votre site, le forum pour lancer tout type de discussions. Si celui-ci est bien référencé, les réponses et avis (pas tous pertinents, il faut bien l’avouer) déferleront.

Accéder aux études déjà réalisées

N’hésitez pas à consulter les chiffres déjà présents, et rendus publics : sur l’INSEE, BBA, IFOP, Sofres, Opinionway etc… D’autres sites vous permettent de consulter gratuitement les résultats (qui sont partiels la plupart du temps, mais bon pour vous servir de point de comparaison…) de leurs études notamment Creatests ou encore l’AFE Agence France Entrepreneur (ancienne APCE, agence Pour la Création d’Entreprises, qui aide aussi les entrepreneurs à réaliser leur étude de marché).

Enfin, il y a la méthode Steve Jobs, qui ne voyait pas l’intérêt d’une étude de marché. Pourquoi faire une étude, alors que les gens ne connaissent pas le produit proposé ? C’est la stratégie qui consiste à créer le besoin, et non à l’évaluer. Brillant, risqué, et déconseillé si vous n’êtes pas un entrepreneur visionnaire.

Vous connaître personnellement pour mieux avancer

Nous sommes souvent dans l’illusion de ce que nous sommes car les étiquettes apposées par notre environnement familial ou par l’école ou par d’autres environnements auxquels nous avons été confrontés, influencent notre comportement et qui sont souvent loin d’être justifiées. Difficile de diriger une entreprise si ces étiquettes s’imposent à vous dans la vie professionnelle et vous empêchent d’agir à bon escient. La maîtrise de ses capacités et de ses qualités et défauts associée au contrôle de soi sont peut-être l’étape la plus cruciale pour l’entrepreneur. Savoir se gérer semble la base d’une bonne gestion d’entreprise. Voilà quelques conseils en ce sens.

Cernez et maîtrisez vos émotions.

L’entrepreneur est un humain comme les autres. Lui aussi ressent peur, haine, colère, stress mais pourtant, plus que les autres, il doit apprendre à se maîtriser face à ses employés. Les émotions, si elles ne sont pas contrôlées, finissent par agir sur le corps (mains moites, suées, rigidité dans le comportement). Pour autant, une bonne gestion et la compréhension de ses propres sentiments permettent de mieux diriger une équipe. S’ouvrir à ses collaborateurs n’est pas une faiblesse, bien au contraire car eux, à leur tour, s’ouvriront à vous.

Par exemple la peur, elle peut vous paralyser, voire déclencher votre colère. Mais si vous apprenez à la contrôler, vous pouvez la transformer en facteur stimulant. Un dossier volumineux vous crée des angoisses et vous paraît insurmontable ? Faites-en un défi ! C’est stimulant pour vous et vos collaborateurs. Toutes les émotions peuvent être tournées à votre avantage. Vous fulminez de colère ? Dépensez-vous en faisant du sport. N’hésitez pas à évacuer le stress comme vous le pouvez. La méditation, le dialogue et le sport constituent autant de moyens qui permettent à l’entrepreneur de garder le contrôle de soi. Attention tout de même, maîtrise de soi ne veut pas non plus dire devenir un robot sans états d’âme. Ce sont les émotions qui façonnent l’humain et l’humain qui crée le bon dirigeant.

L’organisation, l’atout-maître

Cela semble tomber sous le sens, mais si vous ne vous imposez pas une rigueur a minima, personne ne le fera pour vous. Vous devez être un roc et un monstre de discipline afin de montrer l’exemple à vos employés et garder votre société sur les rails. Obligez-vous à arriver à l’heure chaque matin et ne partez pas plus tôt que tout le monde sauf si vous avez un rendez-vous professionnel. Organisez-vous en créant des listes. Notez les choses à réaliser impérativement dans la journée par ordre d’importance et le temps que vous allez y consacrer.

Organisez votre emploi du temps afin de tout prévoir et limiter au maximum les mauvaises surprises. Avoir un emploi du temps ordonné vous empêchera de sombrer dans le chaos et de crouler sous une montagne de tâches à effectuer. Une activité à la fois, c’est le secret. De même, afin de s’assurer un réseau de contacts digne de ce nom, prenez à chaque fois le temps de noter les numéros, noms et professions de vos interlocuteurs dans un seul et même endroit et de manière la plus claire possible. Imaginez-vous comme un sportif qui doit s’imposer chaque jour un entraînement rigoureux s’il veut remporter la compétition.

Dépassez-vous.

La confiance en soi constitue l’une des clés pour maintenir son entreprise à flot. Même si vous êtes introverti, apprenez à vous dépasser car vous allez sûrement être amené à rencontrer divers clients et partenaires, voire vous exprimer devant la presse. Si vous n’êtes pas sûr de vous, cela se ressentira et les personnes auront plus de difficultés à vous faire confiance. Cela risque également de ternir l’image de votre société. N’oubliez pas, vous constituez la vitrine de votre entreprise. Si vous avez une bonne image de vous, les interlocuteurs le verront.

Il existe plusieurs moyens de cultiver la confiance en soi comme se mettre au sport, ou le fait de s’entraîner à s’exprimer devant un miroir afin de mieux articuler. Et si vous avez besoin de booster votre ego, dites-vous quand même que vous avez réussi à montrer votre propre entreprise et que ce n’est pas rien ! Vous avez du mérite et les personnes autour de vous le savent ! Attention tout de même à ne pas en devenir arrogant, sachez rester humble, car c’est une vertu qui reste souvent appréciée.

Cultivez votre enthousiasme et votre ouverture d’esprit.

Ne soyez pas défaitiste, les erreurs et problèmes arrivent à tout le monde ce n’est pas une raison pour baisser les bras à la première difficulté. Avoir confiance en sa société et en son projet permettra de garder toujours la tête haute et de vous relever dans les moments difficiles, alors qu’adopter un comportement défaitiste risque de miner le moral de vos collaborateurs et de vous faire plonger. Voyez les échecs comme des leçons, apprenez des erreurs afin de ne plus reproduire le même schéma. De toute façon, dites-vous que chaque société, aussi puissante soit-elle, a connu à un moment ou un autre des difficultés. C’est votre fardeau en tant qu’entrepreneur, alors apprenez à vivre avec !

Apprenez à concilier vie professionnelle et vie privée.

Ne pas avoir de vie sociale ou n’en avoir que très peu n’est pas forcément gage de rendement. Au contraire, cela risque d’impacter votre travail. Il reste fort tentant de se plonger à corps perdu dans le travail, car c’est bien connu, qui mieux que vous peut diriger votre entreprise ? Mais prenez garde car l’aventure entrepreneuriale est clairement envahissante !

Chez vous, le téléphone sonne. Vous ne pourrez vous empêcher de répondre à un mail, un sms, un appel, à tel point que la frontière travail-vie privée risque au fil du temps d’apparaître comme un lointain souvenir. Plus que le stress et la dépression, vous risquez le burn-out. Apprenez à couper votre téléphone et aménagez votre emploi du temps pour vous accorder du temps libre et des instants passés en famille. Vous pourrez le constater, vous serez nettement moins stressé et plus efficace au travail. Parfois, apprendre à décrocher ponctuellement est la clé pour être un dirigeant efficace !

Interview de Augustin Paluel-Marmont, Co-fondateur et Vizir de Michel & Augustin

L’objectif de Michel & Augustin est de faire sourire la planète en proposant des produits gourmands et naturels. Il s’agit de partager notre aventure de manière rigolote. L’aventure reste d’abord sur le plan humain.

Comment vous êtes-vous lancés dans l’aventure M&A ?

Très simplement, dans le four de ma petite cuisine dans mon petit appartement ! Nous avions envie de créer une aventure forte dans le domaine alimentaire, mais nous ne connaissions rien à ce secteur. Après mon four, cela a été une boulangerie qu’on nous prêtait le jour de sa fermeture, puis la location d’une biscuiterie. Petit à petit nous nous sommes organisés, mais en prenant notre temps. Aujourd’hui cela fait 4 ans et demi que l’aventure existe, nous sommes 34 dans l’entreprise et proposons 45 références de produits.

Quel a été votre parcours jusqu’à la création de M&A ?

Après avoir fait une école de commerce, j’ai travaillé à la direction de la stratégie du Club Med. Puis j’ai créé une boîte dans les nouvelles technologies que j’ai revendue. Je me suis ensuite lancé dans un CAP de boulanger avant d’intégrer la direction marketing d’Air France. Lors d’une année sabbatique, j’ai écrit avec Michel un guide sur les boulangeries de Paris. à la suite de cette expérience, nous avons eu l’envie de plonger dans l’entrepreneuriat et de créer une nouvelle marque alimentaire.

Cela ne vous a pas fait peur de quitter un poste assez confortable pour créer M&A ?

Non, je ne cherche pas la sécurité ; je cherche à vivre pleinement ma vie. Je crois que la vie est courte et qu’il faut être acteur de sa vie. Tout ce qu’on fait, même si cela se termine par un échec, est un enrichissement personnel et professionnel, si bien sûr on le fait de manière intelligente. Je n’ai absolument pas peur. Même si un jour l’aventure M&A venait à s’arrêter, je suis convaincu que j’arriverai à rebondir ailleurs. Il ne faut surtout pas que la vie soit dictée par la crainte. L’important est de rester optimiste, quoi qu’il arrive. Le secret des personnes qui font quelque chose d’intéressant dans leur vie du point de vue personnel ou professionnel ? Une grande énergie, de la confiance en eux, beaucoup de bon sens, et une bonne capacité à savoir bien s’entourer.

Quelle est la relation que vous cherchez à entretenir avec vos clients ?

Nous ne calculons rien, nous sommes juste dans le partage. Nous avons décidé de monter cette entreprise à deux pour pouvoir la partager. Celui-ci se fait ensuite avec l’équipe et nous essayons de le vivre également avec nos clients. Chaque premier jeudi du mois par exemple, nous ouvrons les portes de la Bananeraie (ndlr : les locaux de l’entreprise) à tous ceux qui le souhaitent pour faire des critiques, donner une idée de recette, avoir des infos… Nous sommes dans une démarche très participative, voire même collective. Nous faisons les choses telles que nous les ressentons.

Comment managez-vous l’entreprise ?

Notre entreprise ce n’est pas le club Med non plus ! Les gens travaillent, mais ils le font avec passion et enthousiasme. Pourquoi ? Car ils ont une grande autonomie et beaucoup de responsabilités. Il y a un côté excitant, car tout leur travail a un impact visible et direct sur le marché.

Vous avez réussi à vous faire connaître avec un budget communication quasi nul, comment avez-vous fait ?

Mon grand principe c’est « agitez votre imagination, pas votre porte-monnaie » ! Beaucoup de médias se font l’écho de ce qui se passe à la Bananeraie car nous travaillons de manière sympathique. Cela correspond à ce que les gens recherchent aujourd’hui : la modernité dans l’authenticité. Nous avons tout de même fait une campagne d’affichage il y a quelques mois car nous arrivons à un moment de notre développement où il devient nécessaire d’être présent sur des médias traditionnels. Mais notre message reste malgré tout toujours un peu décalé. Notre communication est le reflet de l’état d’esprit de la tribu. Tout le monde a la patate, l’envie de faire plaisir, de se faire plaisir !

Les 5 conseils d’Augustin pour les entrepreneurs 

  • N’attendez pas d’avoir la bonne idée pour vous lancer, car c’est en vous lançant et en la travaillant que l’idée deviendra bonne. Il ne faut pas attendre l’espèce d’idée miracle.
  • N’écoutez pas trop vos proches car ils sont souvent défaitistes. Il faut avoir confiance dans sa vision.
  • Très vite, entourez-vous bien. La clé du succès ce n’est pas la personne ou encore son idée, mais les gens qui vont travailler avec lui.
  • Bien gérer son énergie. Au départ, on se lance comme dans un sprint et on s’aperçoit que c’est plutôt un marathon. Il ne faut pas se « cramer » tout de suite.
  • La vie est plus belle à deux que seul ! Partez à deux, de manière totalement égalitaire, peu importe qui a apporté quoi.