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Les astuces pour associer franchise et Family Business

Certains entrepreneurs aiment se mettre en partenariat avec une entreprise familiale. Il ne reste plus qu’à maintenir en équilibre son business. En dépit du soutien des proches, il y a certaines règles à adopter pour réussir son family business en franchise. A la base, d’une relation familiale, ils doivent y avoir la conscience des qualités complémentaires et des défauts susceptibles de créer des conflits.

Entretenir un business en franchise est une prise de risque. Toutefois, le faire en famille semble plus apaisant et moins contraignant. En effet, dans l’univers de l’entreprenariat, être en famille semble plus rassurant. L’association en famille se construit sur des bases solides car vous êtes naturellement plus confiant qu’avec d’autres personnes.

Cultiver l’esprit convivial

Quel que soit le secteur dans lequel vous évoluez, n’ayez pas peur d’aller sur le terrain. Soyez toujours présent, et abordez vos clients, pour leur faire sentir l’esprit convivial de votre business. N’ayez pas peur d’aller à l’encontre de terres inconnues, unissez vos forces, en vous implantant fortement dans le paysage. En misant sur la croissance des efforts, ce type d’entreprise gravit souvent les échelons plus vite que d’autres. Si vous voulez également que votre société de family business connaisse du succès, privilégiez le contact régulier avec la famille, aussi bien au travail qu’en dehors.

Mieux gérer la pression

La franchise est souvent sujette à pression. À la différence de la solitude, gérer la pression en famille est beaucoup plus facile. Effectuez des contrôles systématiques de votre réseau, pour détecter des éventuels soucis. Une entreprise familiale mise sur la loyauté, qui est une bonne alliée d’une bonne gestion en franchise. Une entreprise franchisée demande une certaine force de caractère. Faites de votre nombre votre force, en utilisant les tempéraments de chacun à votre avantage. Dans la franchise, la concurrence est rude, mais en étant unis, vous allez pouvoir facilement entrer dans ce monde glissant. En effet, la solidarité d’une family business en franchise permet d’avancer plus vite, et de surmonter les difficultés. Chaque dirigeant fait des efforts considérables pour permettre à l’entreprise de s’épanouir et de rester en équilibre.

Bien connaître les qualités et des défauts de chaque personne

Bien connaître les qualités et les défauts de chaque membre de la famille qui participe à la franchise est la meilleure manière de diriger les talents de chaque personne. Les défauts, il ne faut pas les ignorer au départ de la collaboration pour obtenir l’engagement de chaque personne à respecter les principes et qui éviteront des conflits inutiles : par exemple la tendance à être en retard, la tendance à remettre au lendemain ce qui doit être fait le jour même, la tendance à ne pas être professionnel…

Dès le départ de la collaboration, ces points essentiels ne doivent pas être sous-estimés. A contrario et bien heureusement devant les nombreuses qualités dont celle de l’implication ou du dévouement ne doivent pas être exploitées. Vous ne devez pas devenir plus exigeant que vous le seriez pour un salarié, être reconnaissant et respectueux, des principes que vous devez vous appliquer. Vous devez aussi bien prendre conscience de l’importance des relations.

Favoriser l’innovation

Un family business en franchise a beaucoup plus de chance de conduire une innovation, par rapport à une simple société franchisée. En transmettant dans la société la confiance déjà présente au sein de la famille, vous allez pouvoir booster l’implication et la productivité de votre entreprise. Même si les nouveaux concepts sont souvent utiles en franchise, il est préférable, pour avoir une bonne réussite, d’appliquer une bonne vieille méthode familiale, en respectant les règles et les normes en vigueur.

Une entreprise familiale, c’est avant tout un héritage commun. C’est d’ailleurs ce qui motive tout le monde à mettre un peu de lui, pour une bonne mise en marche de la société. En mettant en place un bon climat social, une entreprise familiale va arriver à monter au sommet. Dans une société familiale, même si l’argent compte, la valeur morale est avant tout mise en avant. Il y a de multiples façons pour réussir son family business. Néanmoins, il y a des risques évidents à prendre en compte. La collaboration en famille n’est pas tout le temps harmonieuse, des divergences d’opinions, amenant à une tension entre la famille, peuvent subsister. Soyez donc néanmoins prudents.

Les acteurs et aides pour s’implanter à l’international

Pour développer la compétitivité et la visibilité des entreprises françaises à l’international les aides et les organismes dédiés pour s’implanter à l’international ont été regroupés. Ils offrent une gamme de produits et services aux entreprises qui permettent de ne pas se perdre sur la route et les méandres de l’international.

Des acteurs compétents

BUSINESS FRANCE, l’agence dédiée au développement international

Cette structure est née de la fusion de l’Agence française pour les investissements internationaux (AFii) et d’UBIFRANCE, Agence française pour le développement international des entreprises. Elle est opérationnelle depuis le 1er  janvier 2015. Business France est un opérateur public national au service de l’internationalisation de l’économie française. Il valorise et promeut l’attractivité de l’offre de la France, de ses entreprises et de ses territoires. L’agence accompagne les entreprises françaises et internationales jusqu’à la réalisation de leurs projets.

Grâce à un réseau et à une équipe de 1500 professionnels sur le terrain en France (spécialisés par domaines de compétence et secteurs d’activités), et dans 92 pays, Business France intervient du montage opérationnel des actions jusqu’à leur suivi à long terme.

Les 4 missions principales de Business France sont les suivantes :

  • Aider au développement international des PME et ETI et de leurs exportations
  • Prospecter et accueillir les investisseurs étrangers en France
  • Promouvoir l’attractivité et l’image économique de la France, de ses entreprises et de ses territoires
  • Gérer et développer le Volontariat International en Entreprises (V.I.E)

Site officiel : Business France www.businessfrance.fr

Un soutien incontournable : le Programme France Export de 2019

Il s’agit d’un ensemble d’opérations collectives de promotion commerciale, qui permettent aux entreprises de bénéficier d’un soutien logistique et financier. 600 actions figurent au programme pour 2019.Pour définir le contenu de son programme l’agence Business France s’appuie sur un certain nombre de partenaires : les CCI, la CCI international, l’ADPETA (Association pour le Développement des Echanges internationaux de Produits et Techniques Agroalimentaires) soutenue par les chambres d’agriculture, la SOPEXA (alimentation, boissons, nutrition-santé), ainsi que de nombreuses fédérations professionnelles et partenaires privés.

Quels sont les types d’événements sélectionnés ?

Rencontres d’affaires, colloques, missions découvertes, expositions, forums, salons internationaux … toutes les formes de manifestations sont proposées par grand secteur d’activité et par zone géographique et/ou pays.

Les manifestations se déroulent sous pavillon commun « France », mais les entreprises et marques peuvent arborer individuellement leur identité. Le programme détaille également tous les salons français ouverts à l’international.

Pour accéder à la version imprimable du Programme France Export 2019 export.businessfrance.fr. Les Chambres de Commerce et de l’Industrie, une expérience. Elles aident à orienter votre idée business vers les partenaires pertinents. Elles sont un appui essentiel à l’international avec

  • 600 experts en développement international,
  • 123 CCI françaises à l’étranger qui sont un relais dans 92 pays,
  • par le lien étroit avec Business France sur le territoire national,
  • par le partenariat avec des Opens de l’export en région,
  • grâce aux 18 Clubs Appui Pays,
  • 1000 opérations dont 700 « Journées Pays » pour connaître les marchés étrangers.

Coface, une protection à l’export sans faille

La Coface a évolué dans l’ensemble de ses attributions et a pour mission depuis fin 2016 de proposer une assurance-crédit et des solutions pour gérer vos créances avec les partenaires commerciaux. Toute entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, se doit de protéger ses transactions domestiques ou export contre le risque de non-paiement. Coface propose des solutions d’assurance-crédit adaptées, globales ou sur mesure : assurance des risques commerciaux et/ou politiques à court et à moyen et long terme. Toutes les garanties se regroupent selon les besoins entre elles pour faciliter les échanges commerciaux en toute sécurité.

Bpifrance, une aide financière pour soutenir l’international

Bpifrance est une compagnie financière car elle ne dispose pas de licence bancaire.

Depuis le 1er janvier 2017, Bpifrance Assurance Export, filiale de Bpifrance SA, assure la gestion des garanties publiques à l’exportation au nom, pour le compte et sous le contrôle de l’Etat en vertu de l’art L 432-2 du code des assurances. Toute l’activité « Garanties publiques pour l’export » qui était gérée par COFACE pour le compte de l’Etat, a été transférée vers une nouvelle filiale de Bpifrance créée à cet effet : Bpifrance Assurance Export. L’une des missions prioritaires de Bpifrance est le soutien des entreprises à l’international notamment avec « Bpifrance export » qui regroupe sous un même label les organismes publics chargés d’accompagner les entreprises (PME et ETI) à l’export, notamment Business France ( anciennement UBIFRANCE) et COFACECet organisme regroupe aujourd’hui OSEO, CDC Entreprises, FSI et FSI Régions pour offrir, dans toutes les régions, des solutions de financement adaptées à chaque étape de la vie d’une entreprise.

Depuis l’assemblée générale de Bpifrance le 12 juillet 2013 OSEO est devenu Bpifrance Financement.

Établissement public placé sous la tutelle du ministère de l’Économie et des Finances (direction générale du Trésor) et du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, OSEO est investi d’une mission d’intérêt général : soutenir l’innovation et la croissance des PME, financer et accompagner ces PME, moteur de la croissance et de création d’activités, en appui des politiques nationales et régionales. L’une des priorités d’action reste le soutien des entreprises pour leur développement international. OSEO n’agit jamais seul mais se positionne comme un partenaire des établissements financiers : il complète l’action du marché en partageant le risque pris par les banques. Chaque année, des dizaines de milliers d’entreprises sont soutenues par OSEO. L’organisme est présent sur l’ensemble du territoire grâce à ses 37 directions régionales.

Site officiel : https://www.bpifrance.fr/bpifrance

Voir aussi : Bpifrance export

Comment faire en sorte que votre client ne vous oublie pas ?

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C’est les vacances et vous vous demandez comment faire en sorte de rester à l’esprit de vos clients ? De nombreuses techniques sont utilisées par les entrepreneurs pour éviter de finir aux oubliettes et pour que vos clients pensent à eux dès la rentrée. Zoom sur les plus utilisées. 

Faire l’indémodable email de la rentrée

Vous avez une actualité à partager à la rentrée ? N’hésitez pas à préparer en amont de vos vacances une communication qui puisse s’adresser à l’ensemble de vos clients. Il s’agit de montrer que vous êtes revenu et que vous êtes actif. Toutes les occasions sont pertinentes pour communiquer, d’autant plus si elles représentent un plus pour votre client comme une opportunité. Vous pouvez aussi tout simplement prendre des nouvelles de vos clients. Vous pourrez ainsi vérifier que toutes les coordonnées sont exactes et que les emails sont bien lus en vous servant d’un logiciel qui vous indique le taux d’ouverture. 

Rencontrer vos clients

Pendant l’été, la charge de travail peut augmenter pour ceux qui restent. Mais aussi elle peut se réduire parfois en raison de l’absence de certains clients. Ce qui est sûr, c’est qu’en général, le nombre de coup de téléphone ou d’emails dégringolent en flèche. La plupart des collaborateurs gèrent également l’ensemble des urgences avant les vacances, ce qui entraînent un surcroît d’activité avant les vacances mais une période plus tranquille pendant. Vous pouvez donc en profiter pour rencontrer les clients qui sont présents et les informer de vos nouveautés. Il s’agit parfois simplement de les rencontrer pour qu’ils pensent à vous lors de leur prochaine commande. 

Utiliser la technique des objets publicitaires

Pour se rappeler à l’esprit de vos clients, une des techniques les plus utilisées consiste à offrir des goodies à vos clients. Ceux-ci seront en général « logotés » pour vous rappeler à leur bonne pensée. N’hésitez pas à offrir des objets publicitaires utiles. Plus ils sont utiles à votre client, plus il pensera à vous. Pour ces derniers, vous devez prendre en compte la surface de visibilité qu’ils vous offrent. Il est souvent considéré que plus elle est grande, plus l’objet aura d’impact même si vous devez garder une certaine mesure. Faites attention tout de même à ce que votre marque ne perde pas son identité ou qu’elle ne devienne pas oppressante pour votre client s’il est souvent utilisé dans des moments de stress. Un peu d’originalité ne fait pas de mal mais tout de même. 

Créer un jeu concours

Les jeux concours doivent être strictement encadrés. Il existe de nombreuses règles et vous ne pouvez pas lancer un jeu concours sans les prendre en compte. Vous pouvez, cependant, créer un jeu concours à destination de vos clients qui vous rappellera à leur bon souvenir. Une bonne manière de faire plaisir à vos clients qui gagneront des lots ou de leur montrer que vous ne les avez pas oubliés.

 

Organiser un événement 

Si les événements de l’été pleuvent en ce moment, c’est bien que la période se prête à prendre du temps pour se rencontrer dans une atmosphère différente. Que ce soit à la rentrée ou déjà le cas, organiser un événement peut s’avérer particulièrement opportun pour que votre client se rappelle votre existence. Il existe de nombreux formats d’événements qui peuvent être utilisés : ils peuvent dégager une atmosphère professionnelle tout comme plus amicale. N’hésitez pas à fournir les informations qui pourront aider vos clients lors de cet événement. Si vous décidez d’une ambiance conviviale, vous pouvez le faire par exemple par la simple remise de documents utiles. N’oubliez pas que l’originalité représente souvent une bonne manière de faire en sorte que votre événement dépasse le cadre professionnel. Un événement mémorable peut être partagé dans le cadre personnel. Vous pourrez ainsi marquer votre client par une expérience unique. 

Procéder à une mise à jour de la base client

Les changements de poste sont fréquents dans les entreprises. L’été peut s’avérer le bon moment pour procéder à une mise à jour de votre base client. Un coup de fil rapide pour vérifier que la personne est toujours en poste ou prendre les coordonnées du remplaçant peut s’avérer nécessaire. De nombreux changements de poste interviennent pendant l’été donc autant profiter de la période pour vérifier que votre base est toujours à jour. Si vous ne souhaitez pas trop incommoder vos interlocuteurs, un simple email peut suffire parfois à mettre votre base à jour puisque certains de vos clients indiqueront dans des réponses automatiques le changement d’interlocuteur. 

Vous connaissez désormais les techniques de base pour rester à l’esprit de vos clients ou qu’ils ne vous oublient pas. Si elles demandent parfois du travail ou quelques moyens, elles pourraient se révéler d’une incroyable efficacité par la suite. A vous de jouer !

Comment faire pour conquérir le monde ?

Conquérir le monde, c’est le rêve de tout entrepreneur de voir son entreprise se démultiplier aux quatre coins de la planète. Mais dans l’aventure entrepreneuriale rien n’est plus complexe que se développer à l’international car il demande de cerner des cultures différentes dans tous les aspects qui sont autant de freins qu’il faudra lever. Elle  implique une bonne préparation pour ne pas se retrouver confronté à des difficultés. Mais comment faire ?

Pourquoi se lancer à l’international ?

Plusieurs raisons peuvent vous inciter à vous développer à l’international. Les plus évidentes sont d’ordre commercial (trouver de nouveaux débouchés) et concerne la répartition des risques. La possibilité d’acquérir de nouvelles technologies, la réduction des coûts, la réalisation d’économies d’échelle, le renforcement de sa compétitivité ou encore la volonté d’accélérer sa croissance peuvent également constituer un motif de développement vers d’autres pays. Certaines situations peuvent vous conduire naturellement à ce résultat, par exemple si vous disposez d’un surplus de production. Enfin, la simple volonté de conquérir le monde peut constituer une bonne raison de se lancer. Dans tous les cas, vous devrez bien réfléchir avant de prendre une telle décision. Cela ne peut se faire sur un coup de tête et doit être pensé à l’avance.

Devenez le maître chez vous

Si certaines entreprises ont pour ambition de se développer dès leur création à l’étranger, il reste conseillé de se consolider d’abord sur son marché et de le maîtriser avant de s’aventurer aux quatre coins de la planète. L’expérience acquise vous permet de peaufiner vos caractères distinctifs, de mettre en place une offre qui trouvera sa place non seulement dans votre pays mais sûrement dans bien d’autres. Il faudra évidemment l’adapter par la suite aux exigences du pays choisi. Cette attitude judicieuse vous évitera de vous disperser et vous pourriez ainsi proposer une offre plus intéressante. Ainsi, Frédéric Mazzella a développé son concept en France avec la création du site internet Covoiturage.fr en 2006. Après avoir rassemblé plus d’un million d’adeptes dans son pays en avril 2011, il décide de tenter sa chance au Royaume-Uni. Aujourd’hui, l’entreprise est implantée dans 18 pays en plus de la France.

Mais pensez directement international

Envisager l’exportation dès les prémices de votre entreprise vous permet de ne pas vous enfermer dans un carcan qui pourrait être un frein à votre développement. Dans un monde de plus en plus « sans frontières » où internet peut vous servir rapidement de canal de ventes vers la planète entière, les critères de recrutement de vos premiers salariés doivent déjà anticiper cette évolution. Ainsi vous rechercherez des profils maîtrisant l’anglais ou encore des personnes ayant le désir de s’expatrier.

Votre nom de marque peut déjà être choisi dans cette perspective. Vous pouvez déjà rendre votre site internet bilingue. De nombreuses entreprises n’ont pas pu profiter de la notoriété de leur nom. Choisir un nom compréhensible dans tous les pays est souvent un grand défi. C’est par exemple le cas de Kodak. L’entreprise créée en 1881 et spécialisée dans les appareils photos ne s’est pas toujours appelée Kodak. Ce n’est qu’en 1888 qu’elle prendra ce nom car son fondateur souhaitait que sa marque puisse se prononcer de la même façon dans toutes les langues du monde.

Imaginez un produit ou un service international

Concevoir un produit ou un service avec pour objectif de vous implanter à l’international vous évitera des modifications coûteuses. Une réflexion approfondie contournera les obstacles auxquels se sont heurtées de nombreuses entreprises et vous permettra de gagner un temps certain pour diffuser vos produits. Bien le prendre en compte dès le début peut vous éviter de vous retrouver « enfermés » dans votre région ou votre pays. Un produit régional ou une spécialité nationale constitue l’exemple parfait d’un produit qui peut se développer facilement à l’étranger.

Établissez un diagnostic pour évaluer vos capacités à l’export

Vérifiez en amont la capacité de votre entreprise à faire de l’export. N’hésitez pas à réaliser un audit financier et demandez-vous si vous avez les ressources nécessaires pour vous lancer dans une telle aventure. Déterminez vos forces et faiblesses, comme vous l’avez sûrement fait dans votre étude de marché française. Attaquer un nouveau pays s’avère souvent une opération coûteuse qui mettra un certain temps à devenir rentable. Ne négligez pas le coût financier de l’opération : de nombreuses start-up réalisent des levées de fonds lors de leur ouverture à l’international. Le Slip Français avait par exemple bouclé une levée de fonds de 2 millions d’euros dans le but de se développer à l’étranger, notamment sur le marché asiatique et nord-américain.

Structurez-vous et réfléchissez à vos motivations

Même si votre équipe est aujourd’hui encore réduite, n’hésitez pas à imaginer une structure opérationnelle à l’international. Une des solutions consiste à créer une filiale à l’étranger qui permet de gérer les problèmes directement sur place. Cernez bien les raisons qui vous conduisent à effectuer ce choix maintenant. Si c’est parce que votre marché est saturé, regardez bien ceux que vous allez sélectionner car ils pourraient l’être également. Envisagez d’abord toutes les possibilités de croissance dans l’Hexagone car s’implanter dans d’autres pays implique de gérer des contraintes auxquelles il est parfois difficile de faire face.

Consultez les organismes

De nombreux établissements peuvent vous fournir de l’information et vous aider à l’image de Business France (Anciennement Ubifrance et AFII), la Compagnie française d’assurance pour le commerce extérieur (COFACE), les Chambres de Commerce et d’Industrie, les Conseillers du Commerce Extérieur, La Direction Régionale du Commerce Extérieur (DRCE) ou encore les ambassades… Certains pourront vous donner des aides à l’exportation, d’autres des informations sur les pays que vous souhaitez conquérir. N’hésitez pas à prendre rendez-vous avec les experts de ces organismes ou à consulter leur site internet. Attention ces organismes changent régulièrement de noms. Consultez Google qui à partir de l’ancien nom vous donnera le nouveau comme bpifrance (agence France entrepreneur : AFE).

Déplacez-vous sur les salons

Se déplacer sur les différents salons peut constituer une étape cruciale pour réaliser une prospection et analyser vos chances de réussite. Ils vous permettent de vous renseigner sur l’originalité ou non de votre offre et de la tester. Se rendre dans les salons dédiés à votre métier et sur des stands liés à un pays vous fera gagner un temps précieux. Vous pourrez alors constater par vous-même si votre offre est susceptible d’obtenir un accueil positif de la part de vos futurs clients. Il s’agit également d’une bonne occasion de rechercher des futurs partenaires ou fournisseurs.

Manager, j’en ai rêvé !

Aujourd’hui vous souhaitez devenir un manager. Cette fonction, qui comme toutes celles qui engagent la responsabilité, comporte des difficultés et vous oblige à vous remettre en cause. Elle offre pourtant aux managers des satisfactions qui sont loin d’être à sous-estimer et qui expliquent pourquoi l’être est attractif. Quelles sont-elles ?

Aujourd’hui vous souhaitez devenir un manager. Cette fonction, qui comme toutes celles qui engagent la responsabilité, comporte des difficultés et vous oblige à vous remettre en cause. Elle offre pourtant aux managers des satisfactions qui sont loin d’être à sous-estimer et qui expliquent pourquoi l’être est attractif. Quelles sont-elles ?

Occuper le poste de managers, personne ne peut le renier correspond à une rémunération plus élevée mais aussi le plus souvent est associée à une retraite cadre plus intéressante. De même lorsqu’un cadre fait une demande de crédit, ce statut lui apporte un atout supplémentaire. Cette fonction lui octroie aussi la possibilité de sortir de la routine et de se lancer des défis. Faire partie de la communauté des managers permet de participer à des réunions ou des échanges plus directs avec la direction et de pouvoir partager ses idées et être force de proposition ou de prendre des initiatives. Et l’on peut considérer que ce rôle est facteur de valorisation et peut entraîner une certaine satisfaction d’évoluer dans les équipes directoriales. 

Quelle est l’attractivité de la fonction managériale ?

Le 2e salon du Management, organisé par la Maison du Management, a proposé en novembre 2018  la restitution d’une étude réalisée par l’institut Opinion Way sur l’attractivité de la fonction managériale auprès de 1006 salariés.  On peut constater que les managers en poste sont fiers de leur fonction (à 86%) et que de plus, ils recommanderaient à un proche de le devenir (83%). Et pourtant cette fonction de manager est loin d’attirer multiples candidats sauf parmi les moins de 30 ans. En effet, 62% des répondants non managers ne souhaiteraient pas devenir managers s’ils en avaient la possibilité. 

Avantages et inconvénients à la fonction managériale - slide Opinionway

 

Pourtant, les rôles sont multiples. Ainsi, les non managers lui attribuent les qualificatifs suivants :  un chef 26%, un partenaire 24%, un coach 13%, un soutien 11%, un leader 10%. Quant aux managers un chef 23%, un leader 15%, un soutien 17%, un coach 20%. On peut constater que la palette de ses rôles donne à la fonction un réel intérêt car elle demande d’avoir des compétences professionnelles et humaines qui sont loin d’être anodines.

Quelle est l’image des managers ?

Pourtant l’image de chefs ou de leaders est celle qui sous-tend l’autorité et dans un monde où la recherche d’égalité est forte peut effectivement détourner du désir de devenir manager. Or, les managers, qui, eux, voient surtout leur rôle sous l’aspect relationnel, certes leader (23%), mais surtout soutien des équipes (20%). De plus, selon les collaborateurs les avantages ne compensent pas les inconvénients car même si la fonction offre l’opportunité d’avoir une meilleure rémunération (60%) et davantage de responsabilités (48%), la plus forte pression de la hiérarchie (65%) et la responsabilité que l’on a du travail des autres (45%) ont des impacts négatifs. Quant aux managers ils évoquent la forte surcharge de travail (36%), qui en conduit plus d’un au Burn out.

L’étude synthétise par cinq mots évocateurs qui permet de dessiner un portrait du manager et de réfléchir aux profils des futurs managers à recruter ou des compétences à développer.

 

 

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Il est indispensable que la fonction soit mieux reconnue. 66% des non managers et 81% des managers pensent que le management n’est pas reconnu à sa juste valeur. Alors, il est nécessaire de se pencher sur cette fonction pour mieux développer la croissance des entreprises.

Organiser le télétravail dans sa boîte

Le télétravail a le vent en poupe. Il permet pour les salariés du supprimer les temps de transport qui impactent aussi bien leur santé que leur vie familiale. Rien n’est plus difficile que de commencer la journée ou de la terminer debout dans un train ou métro bondé. De plus il permet d’adapter la journée de travail au rythme de la vie familiale (emmener les enfants à l’école, les ramener ou bien s’occuper de la famille âgée) sans investir d’argent complémentaire. Tout entrepreneur a sans doute un jour été face à cette problématique, que ce soit pour lui ou pour ses équipes. Comment mettre en place une stratégie de télétravail dans sa boîte ? Conseils. 

Identifiez les collaborateurs concernés par le télétravail. 

Tous vos salariés ne sont pas forcément habilités à  travailler de chez eux. Il faut que leur fonction et leurs tâches le permettent. C’est pourquoi vous devez au préalable vous assurer que vos employés répondent aux critères requis par un poste en télétravail. Certains corps de métiers comme les ressources humaines ne peuvent s’exercer en dehors de la société. A contrario, certains secteurs sont tout à fait adaptés pour recourir à ce procédé, comme les services liés aux technologies de l’information et de la communication, le secteur financier, immobilier.

Renseignez-vous sur les obligations légales. 

Juridiquement, le télétravail peut être considéré comme un temps partiel et sa mise en place implique la rédaction d’un avenant au contrat de travail avec une période d’essai. Il est essentiel de consulter votre employé afin de définir ses horaires de travail et les moments où vous pouvez le contacter. Vous ne pouvez exiger de lui plus de 10 h de travail par jour et 48 h par semaine. Par contre, vous pouvez demander à titre exceptionnel à votre salarié d’effectuer un travail de nuit, le samedi et le dimanche ainsi que les jours fériés. Vous êtes également dans l’obligation d’informer votre employé en cas de poste libre sans télétravail qui répond à ses compétences. N’oubliez pas d’organiser chaque année un entretien pour faire le point sur la charge et les conditions de travail du télétravailleur.

Définissez les heures de travail. 

Le télétravail nécessite une certaine organisation de la part de l’employeur, notamment sur les horaires de travail. S’il œuvre au sein de l’entreprise, l’employé doit être présent pour des rendez-vous professionnels, des réunions avec l’équipe, départs en séminaires ou autres événements. En revanche, dans le cadre du télétravail, ces obligations n’ont plus lieu d’être. L’entrepreneur peut même établir des horaires décalés pour le télétravailleur, si les deux parties se mettent d’accord au préalable. En tant que dirigeant, pensez cependant que vous devrez réserver quelques plages horaires en commun avec votre télétravailleur, ne serait-ce que pour établir un point régulier sur l’avancement de ses projets. 

Fixez des objectifs précis.

L’encadrement doit être précis et les consignes de travail claires pour optimiser le travail d’un collaborateur à distance. Il faut donc définir précisément vos attentes avec votre employé avant qu’il ne se mette en situation de télétravail. La première chose à faire est de répartir correctement la charge de travail. Les délais de livraison attendus doivent être fixés avec rigueur et précision. N’hésitez pas, si le besoin s’en fait sentir, à rappeler à votre salarié qu’il ne s’agit pas de vacances, mais bien de travail. 

Utilisez les bons outils de travail à distance. 

Si les e-mails et le téléphone restent les bons élèves du télétravailleur, de nombreux outils technologiques sont à votre disposition pour gérer au mieux un collaborateur en télétravail. Il est essentiel de mettre à disposition du télétravailleur les documents nécessaires à ses missions 24h/24. Donnez-lui accès au réseau local de l’entreprise ainsi qu’aux informations essentielles à ses missions pour qu’il puisse gagner rapidement en autonomie. Les logiciels type Webmail, workflow, agenda partagé restent incontournables.

Google Drive figure également parmi les outils les plus usités, car il permet la gestion des documents à distance. Il est désormais possible d’apporter des corrections à un fichier Word ou Excel, partagé sur cette plateforme avec votre salarié. Celui-ci peut le rectifier à son tour. L’outil OmniJoin vous offre quant à lui un système de visioconférences de qualité, qui permet de réunir à distance une cinquantaine de personnes. Dans une version simplifiée, la solution Google Hangouts, interface de Chat qui intègre également la vidéo, vous offre la possibilité de rester en contact permanent avec vos équipes. Enfin, Azendoo permet à chaque membre de l’équipe d’accéder à un projet puis à ses missions. 

Si besoin, participez aux frais impliqués par le télétravail.

Si vous n’engagez aucun frais supplémentaire en termes de matériel (ordinateur, ligne téléphonique fixe, etc.) dans vos locaux en cas de télétravail d’un collaborateur à domicile, n’hésitez pas à participer aux frais impliqués par ce nouveau mode de fonctionnement. Idéalement, vous pouvez indemniser le télétravailleur d’un montant mensuel de 50 à 60 euros pour ses charges. Pour vous protéger des risques, il semble également intéressant de souscrire à une assurance complémentaire en ce qui concerne le lieu de télétravail du salarié. Enfin, le télétravailleur pourra éventuellement vous demander de lui fournir le matériel de travail.

L’agroalimentaire n’a pas dit son dernier mot

L’agroalimentaire quel que soit le secteur est secoué par l’évolution des besoins des consommateurs mais aussi par leur prise de conscience d’avoir pris de mauvaises habitudes. Regard sur nos habitudes préférées : le pain, le vin, le fromage, le sucre et le café !!!

Les industriels mènent les petites boulangeries à la baguette

En France, 320 baguettes de pain sont consommées et produites chaque seconde, soit un total de 10 milliards par an. De 1950 à 2017, la consommation de pain des Français s’est, malgré tout, divisée par trois notamment du fait de l’inflation. Des nouvelles habitudes alimentaires qui pèsent sur l’activité des boulangers du pays. Au premier trimestre de l’année dernière, dans le secteur de l’agroalimentaire, un tiers des sociétés placées en redressement ou en liquidation judiciaire sont des boulangeries-pâtisseries, selon le baromètre du cabinet Altares. Face à la diversité de la demande, les petites boulangeries rencontrent des difficultés et sont, parfois, contraintes de mettre la clé sous la porte. De leur côté, les industriels profitent du créneau pour s’imposer sur le marché. Et ce, que ce soit via la grande distribution en créant leur propre filiale de boulangerie ou en devenant une chaîne spécialisée. De quoi compromettre l’avenir des artisans boulangers.

Le marché du vin, avec ou sans modération ?

Qu’il soit rouge, blanc ou rosé, le vin continue de séduire les Français et génère plus de 550 000 emplois directs ou indirects sur le territoire. Culturellement attaché à la production ainsi qu’à la consommation dudit breuvage, le pays en a fait l’une de ses marques de reconnaissance, au même titre que le pain ou le fromage. Pourtant, détrônée par l’Italie, la France n’est plus le premier producteur mondial. Les viticulteurs le savent, le climat peut se révéler leur meilleur comme leur pire allié…

Pour 2017, ils déplorent une récolte, historiquement, basse avec une production diminuée de 19 % par rapport à l’année précédente, soit 36,9 millions d’hectolitres, selon le ministère de l’Agriculture. Bien que la France ait perdu sa première place, la fabrication viticole française représente plus de 16 % de la production mondiale.

Affichant une majorité de vins portant une Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) ou d’indication géographique protégée, ses produits représentent un vrai gage de qualité sur le territoire comme à l’étranger.

On ne va pas en faire tout un fromage !

Disponible en crèmerie-fromagerie, dans les fermes ou les marchés classiques mais également en hypermarchés et supermarchés, le fromage fait partie des incontournables de la culture française. A la ville ou à la campagne, son succès est tel que les Français lui allouent près de 7 % de leur budget alimentaire. En moyenne, ces derniers consomment 26 kg par an et par personne. cC qui classe l’Hexagone deuxième consommateur mondial derrière la Grèce.

En tête d’affiche, l’emmental et le camembert. Leader des produits laitiers, le fromage génère environ 87 % du chiffre d’affaires du secteur, soit 22,3 milliards d’euros, selon le site de Tentation fromage. Parmi ses ingrédients, le lait de vache compose 83 % de la production en France, les fromages à pâte molle rapportant le plus de bénéfices (40,7 % du chiffre d’affaires global, ndlr). Malgré tout, le marché du fromage n’échappe pas à la crise et voit ses ventes reculer. Une baisse de régime qu’il faut, néanmoins, relativiser puisqu’il continue de faire partie des piliers de l’économie alimentaire française.

Le secteur sucrier : vers une libéralisation du marché ?

Premier producteur de sucre européen et 10ème producteur mondial, la France a exporté plus de deux millions de tonnes de sucre, en 2016, principalement dans des pays de l’Union européenne.

Début 2017, le prix de la tonne de sucre blanc oscillait entre 500 et 530 euros. Pour la période 2017 – 2018, la production mondiale de sucre pourrait atteindre les 178 millions de tonnes, soit trois millions de tonnes de plus que pour 2016 – 2017. Depuis le 1er octobre 2017, le système des quotas de sucre a pris fin. Ce dernier, qui encadrait le secteur sucrier européen, imposait des contraintes de production et d’exportation. La libéralisation du marché du sucre permet ainsi aux acteurs de la filière française de produire autant de sucre de betterave (en Métropole) et de canne (dans les DOM) qu’ils le souhaitent. L’enjeu serait d’exporter une part croissante de leur production à l’international.

Le café, nouvel or noir ?

En grains, moulu, soluble ou en dosette, s’il y a bien un produit dont les consommateurs français ne se lassent pas, cela demeure le café. Chaque année, la consommation est de 5,4 kilogrammes de café consommés par habitant, en France. Les marques s’en donnent à cœur joie avec un marché estimé à plus de 1,1 milliard d’euros en 2016, contre 790 millions d’euros en 2013. En l’espace de six années, les ventes de capsules de café ont triplé sur le territoire. En tête, le géant Nespresso, suivi de Senseo, Tassimo, Café Royal, Carte Noire… Depuis qu’il est possible de copier le concept des célèbres dosettes Nestlé (les brevets étant tombés dans le domaine public en 2012, ndlr), le marché explose. Il prend 43,9 % des ventes issues de la grande distribution en 2016.

Si le coût moyen d’une tasse de café est de 0,09 euro pour une cafetière à filtre, il s’élève à 0,30 euro (café court) et 0,50 euro (café long) pour une machine à dosettes. En moyenne, 40 % des foyers français sont équipés de machine à dosettes. 

S’habiller des pieds à la tête, toujours des idées tendances

Les saisons, même si l’on dit qu’il n’y a plus de saisons emmènent avec elles leur lot des vêtements qui correspondent à la chaleur, au froid, à la pluie mais aussi en ville, en montagne, au bord de la mer… Toujours de nouvelles modes et idées tendances surgissent pour répondre aux besoins. Quelques exemples.

K-WAY, UNE CRÉATION FRANÇAISEINDÉMODABLE. 

Pour 300 grammes seulement, le chiffre d’affaires atteignait presque les 5 millions d’euros en 2017. Si son nom a pour origine une tendance à la mode liée aux anglicismes, le mot « way » liée à l’idée du créateur : « en cas » de pluie : K-way. Affrontant les intempéries météorologiques et les modes, cette maison française a su faire évoluer ses produits pour rester à la pointe de l’innovation. Le K-way se fait réversible, indéchirable avec des matières respirantes… tout en gardant son ADN ! K-Way a signé pour l’automne-hiver 2018 – 2019 une collaboration inattendue avec Kappa afin de séduire les plus jeunes. Elle cherche à s’introduire dans de nouveaux réseaux de distribution comme par exemple Citadium « Vraiment Kway, toujours indispensable ! »

PAYOTE, L’ESPADRILLE SÉDUCTRICE.

L’été est à nos portes et donc la place à la tenue décontractée et les espadrilles sont des invités d’honneur pour nos pieds délicats. La marque catalane a misé sur le « storytelling » pour créer le buzz autour de ses chaussures en toile. Design, humour,  made in France. Le catalogue est empli de chaussures les plus amusantes qui permettent de se chausser avec originalité. Olivier Gelly connaît tous les secrets des réseaux sociaux et d’ailleurs le résultat en est qu’il a écoulé 50 000 exemplaires en trois ans. Plus de 17 000 followers sur Facebook, près de 12 000 sur Instagram.

L’entrepreneur a même détecté un besoin récurrent chez les consommateurs : comme celui de résoudre les problèmes des mauvaises odeurs. Présente au BHV Marais et aux Galeries Lafayette, la marque est distribuée dans une cinquantaine de boutiques revendeurs et a pour objectif 2019 : 60 000 ventes, pour atteindre un chiffre d’affaires d’un million d’euros et l’ouverture du site à l’international.

LE SLIP FRANÇAIS, UN PARI ET UNE RÉUSSITE À LA CLEF. 

En 2018, la startup a réalisé 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et a vendu 800 000 produits. Elle a embauché 100 employés, dont la moitié à Paris. Elle possède aussi 42 ateliers de fabrication et 16 boutiques en France et de plus le Slip Français réalise 70 % de ses ventes en ligne. Guillaume Gibault, 33 ans, est le fondateur de la marque de sous-vêtements. Le Slip Français a démarré l’aventure du Slip Français en 2011, sur un pari avec des amis. Le jeune homme cherchait une idée d’entreprise de vente en ligne. Les sous-vêtements se prêtaient parfaitement à ce modèle car ils ne s’essaient pas et sont petits et légers à envoyer. Depuis, la fantaisie, l’élégance des slips ne cessent de plaire aux consommateurs. A chaque collection, une surprise savoureuse.

LE CONCEPT DES LUNETTES LOW-COST À DIX EUROS EN DIX MINUTES A TROUVÉ SA CLIENTÈLE.

Après huit magasins lancés en quatre ans, l’enseigne « Lunettes pour tous » poursuit son développement avec l’ouverture prochaine de nouvelles boutiques, en province et à Paris. Les lunettes ne sont plus enfin un produit de luxe. L’enseigne propose un tarif d’appel à dix euros, soit entre cinq à dix fois moins cher que les prix du marché, selon Paul Morlet qui a fondé la marque il y a quatre ans, en duo avec Xavier Niel, patron de Free. Ensuite, si vous êtes dubitatif et que vous vous posez la question de savoir s’il n’y a pas un prix caché, sachez qu’évidement, il vous sera proposé des options plus onéreuses mais même avec les options dites de confort vous aurez quand même un prix défiant toute concurrence.

Si vous n’avez pas d’ordonnance, vous pouvez faire un test de vue avec un optométriste. Plus besoin d’attendre 6 mois pour voir un ophtalmo. Une idée judicieuse qui correspond aux besoins du temps.

2018, année record pour l’agriculture bio

L’agriculture bio a la cote auprès des exploitants et agriculteurs français. La production agricole tricolore a affiché une « année record » en 2018. Selon les chiffres de l’Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique dévoilés début juin.

5 000 exploitations supplémentaires sont venues grossir les rangs de l’agriculture bio, portant leur nombre à 41 623. Avec deux millions d’hectares cultivés l’an dernier, le bio couvre aujourd’hui 7,5 % de la surface agricole du pays. 10 % des agriculteurs travaillent sur ce type de culture. Ces chiffres encourageants vont dans le sens de la loi Alimentation, également dénommée EGalim, votée en octobre 2018. Le gouvernement y a inscrit l’objectif de parvenir à 20 % de produits bio ou en conversion en restauration collective d’ici à 2022.

Les Français sont de plus en plus nombreux à s’insurger de la piètre qualité des fruits et légumes en grandes surfaces. A contrario, les agriculteurs locaux sont plébiscités.

Quels sont donc les objectifs de cette loi ?

  1. payer le juste prix aux producteurs, pour leur permettre de vivre dignement de leur travail ;
  2. renforcer la qualité sanitaire, environnementale et nutritionnelle des produits ;
  3. favoriser une alimentation saine, sûre et durable pour tous.

Pour cela la mise en place d’une stratégie qui devrait porter ses fruits :

– Inverser la construction du prix 

Le contrat et le prix associé seront proposés par les agriculteurs, en prenant en compte les coûts de production. Ils pourront peser dans les négociations grâce à un regroupement en organisation de producteurs et au renforcement des interprofessions ;

–  élaborer et diffuser par le biais les organisations interprofessionnelles

dans le cadre de leurs missions, des « indicateurs de référence » des coûts de production et des indicateurs de marché pour aider les agriculteurs dans les négociations commerciales ;

  • contrôler et appliquer des sanctions en cas de non-respect des dispositions ;
  • pouvoir renégocier les prix en cas de fortes variations du coût des matières premières et de l’énergie ;
  • relever le seuil de revente à perte de 10% sur les denrées alimentaires, à titre expérimental pour une durée de deux ans. 
  • encadrer les promotions, en valeur et en volume, là encore à titre expérimental sur deux ans, sera mis en place sur les denrées alimentaires. Cela permettra de faire en sorte de mieux rémunérer les agriculteurs et les PME agroalimentaires. Fini par exemple le « 2 pour le prix d’1 », en revanche le « 3 pour le prix de 2 » restera possible.

L’environnement devient une réelle préoccupation des Français

Les décisions prises par le gouvernement semblent aller en ce sens mais les français restent dubitatifs quant à leur application : 

  • interdiction des néonicotinoïdes et de tous les produits à mode d’action identique pour lutter contre la perte de biodiversité et protéger les abeilles ;
  • séparation des activités de vente et de conseil pour les produits phytosanitaires, et interdiction des rabais, remises et ristournes sur ces produits pour mieux contrôler leur utilisation ;
  • suspension de l’utilisation de dioxyde de titane dans les produits alimentaires ;
  • protection des riverains à proximité des zones à traitement phytos.

Mais aussi protéger les animaux, dont la maltraitance ne cesse d’être mise en épingle par les associations

  • extension du délit de maltraitance animale en élevage aux activités de transport et d’abattage ;
  • doublement des peines qui passent de 6 mois d’emprisonnement et 7 500 € d’amende à 1 an et 15 000 € d’amende ;
  • désignation d’un responsable de la protection animale dans chaque abattoir avec le statut de lanceur d’alerte accordé à tout employé ;
  • expérimentation de la vidéo-surveillance dans les abattoirs volontaires ;
  • interdiction de la mise en production de tout bâtiment nouveau ou réaménagé d’élevage de poules pondeuses élevées en cages.

Avec pour objectif de favoriser une alimentation saine, sûre et durable 

  • 50% de produits durables ou sous signes d’origine et de qualité (dont des produits bio) dans la restauration collective publique à partir du 1er janvier 2022 ;
  • intensification de la lutte contre le gaspillage alimentaire, avec la possibilité étendue à la restauration collective et à l’industrie agroalimentaire de faire des dons alimentaires ;
  • possibilité d’emporter les aliments ou boissons non consommés sur place dans les restaurants et les débits de boissons, qui doivent mettre à disposition des contenants réutilisables ou recyclables.

La presse abonde en articles qui montrent que la planète devenue un dépotoir.

Réduire l’utilisation du plastique dans le domaine alimentaire

  • interdiction des contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe et de service en plastique en restauration collective des collectivités locales en 2025 ;
  • interdiction des touillettes et pailles en plastique dans la restauration, la vente à emporter, les cantines et les commerces alimentaires en 2020 ;
  • interdiction des bouteilles d’eau en plastique dans les cantines scolaires en 2020.

Bref, cette loi donne à espérer une meilleure qualité de vie avec la préservation de la planète.

4 actions efficaces pour bien gérer ses priorités

Dans l’urgence, gérer les priorités équivaut à lutter contre le temps, à éviter de commettre des erreurs et de faire de mauvais choix. Il est nécessaire de gérer, de planifier, et de maîtriser le temps pour donner de l’ordre à ses priorités. Comment faire le tri entre les différentes obligations ? Comment distinguer un projet urgent d’un projet important ?

Action 1 Lister tous les rendez-vous de la semaine, du mois

Il est important de lister tous les rendez-vous pour ne pas se perdre ou pire d’en oublier qui revient en fait à poser un lapin et tout le monde connaît les conséquences de ce genre d’omissions. Cette étape est un jeu d’enfant, vous devez juste prendre un agenda et lister sur une page blanche tous les événements importants de la semaine et donc d’y consacrer un peu de temps. Essayez de tout lister sans aucune faute ni oubli. Dans votre liste, vous devez inclure ce que vous devez faire, ainsi que l’endroit et l’heure. De cette manière, vous n’aurez plus qu’à consulter cet agenda pour connaître les rendez-vous ou de prendre du temps pour préparer le dossier lié à votre rendez-vous. Dans votre liste, vous devez ajouter une colonne pour indiquer le travail à effectuer en amont pour pleinement réussir votre rencontre.

Action 2 Repérer les événements prioritaires

Il faut commencer à répartir la liste en fonction de l’importance de la tâche à effectuer (plus ou moins forte), et de la durée estimée de sa réalisation (plus ou moins longue). Ce qui vous permettra de classer les événements de la semaine en quatre catégories :

– les tâches importantes et rapides à réaliser- les tâches moins importantes et rapides à réaliser- les tâches importantes, mais longues à réaliser- les tâches moins importantes et longues à réaliser

Parmi ces 4 catégories, les plus importantes sont la première et la quatrième. Elles seront donc votre priorité. Mettez les tâches suivantes en bas de la pile des priorités. 

Action 3 Construire sa propre grille de priorité

Afin que vous n’ayez aucun doute sur les tâches que vous devez privilégier, essayez de créer une grille de priorités. Vous devez la construire en fonction de vos propres critères, qui peuvent être rationnels ou plus émotionnels. Vous pouvez par exemple créer un tableau lié au plaisir éprouvé à effectuer une tâche. Cochez dans un tableau les cases correspondant aux affirmations que vous semblent vraies. Appliquez cette grille de lecture à chaque tâche. 

Action 4 Trancher et sélectionner les actions

Il est très important de savoir bien sectoriser sa grille de priorité. Vous pouvez choisir le nombre de sections que vous devez mettre dans votre grille. Vous pouvez mettre les rendez-vous, les tâches quotidiennes et les tâches importantes. 

Puis ensuite, vous devrez trancher, entre telle ou telle priorité qui vous semblent toutes deux essentielles. La grille de priorité est juste un instrument qui vous aide à faciliter la prise de décision. Elle est utile mais ne fait pas de miracle, elle facilite simplement le choix. En réalité, la grille en question permet de structurer la pensée et de voir plus clair sur ce qu’on doit faire. C’est simplement un support à la décision. Pour le rendre plus efficace, vous devez donc la sectoriser au maximum, de façon plus structurée et plus éclairée, puis vous lancer rapidement dans l’action.