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Les robots, les drones, une omniprésence

Les robots, les drones font partie de notre quotidien. Ils nous accompagnent dans notre vie et nous rendent de multiples services dont les plus inattendus. Ils sont conçus pour nous faciliter la vie et celle de notre famille mais aussi pour apporter des innovations au monde du travail. Quelques exemples pour laisser aller votre imagination de créateur.

Un room service pris en charge… par des robots

Bientôt disponible en France grâce à Awabot, le petit robot portant le nom de « Relay » est déjà en activité au sein de plusieurs hôtels américains. Voués à remplacer le personnel présent dans les hôtels et chargés du room service, ces robots ambulants d’intérieur ont été conçus par la société californienne Savioke. Le but est de leur faire livrer d’un point A à un point B, des boissons ou des encas, après leur avoir fait mémoriser le plan des locaux. Ils sont dotés d’un sonar, de caméras et d’un laser mais également d’un coffre d’une vingtaine de litres. Celui-ci leur permet de parcourir le trajet demandé de façon autonome.

Se faire livrer par drones, un projet qui se concrétise

La compagnie chinoise, JD, décide de tester le service de livraison par l’intermédiaire de drones. Lancée dans la ville de Suqian située dans la province du Jiangsu en Chine orientale, cette phase de test possède un véritable enjeu. L’idée est de réduire le temps de livraison tout en abaissant les coûts. Les drones peuvent, quant à eux, transporter jusqu’à 15 kg et, pour une vitesse de 55 km/h, voler sur une distance de 20 km. Ce service s’organise entre les dépôts centraux et ceux des zones les plus enclavées. Ne constituant pour l’instant qu’un service intermédiaire afin de réduire le danger potentiel lié aux multiples trajectoires de vol des humains, le dernier relais reste assuré. 

Kirobo Mini : le robot copilote 

Lancé par le constructeur automobile japonais Toyota, Kirobo Mini se place comme un robot qui vous accompagne tout au long de votre conduite. Capable de discuter avec le conducteur ou de lui faire parvenir des informations en se connectant à son Smartphone, il se place comme la version miniature du robot ayant passé 18 mois dans l’espace, plus précisément dans la station spatiale internationale. S’étant inspiré de ce dernier, Kirobo Mini tient dans une main puisqu’il ne mesure que 10 cm contre 34 cm pour celui de l’espace et pèse 183 grammes. Sa commercialisation était prévue pour début 2019 au Japon. 

Un robot en guise de nounou

Difficile de faire un tour du côté du CES sans parler de ses nombreux robots. Parmi eux, Kuri, un robot conçu exclusivement pour les familles par une start-up californienne, Mayfield Robotics. Ce petit robot mobile s’apparente à un compagnon domestique. Il utilise, pour déambuler, toute une série de capteurs, qui lui permettent également d’éviter les éventuels obstacles qui seraient présents sur son chemin. Doté d’une tête ronde et de deux yeux, Kuri peut prendre des photos ou vidéos, ce qui lui permet d’interagir avec des enfants. Il peut également constituer un dispositif de caméra de surveillance. Bien qu’il puisse reconnaître différentes voix et répondre aux ordres, cligner des yeux, ou diffuser de la musique, à l’aide d’interfaces Wi-Fi et Bluetooth, et émettre des sons sonores, il ne sait pour l’instant pas parler. 

Le drone T-Frend pour que les salariés rentrent chez eux

Au Japon, le présentéisme peut parfois devenir un fléau. 191 personnes sont décédées en 2016 en raison du surmenage dû aux nombreuses heures supplémentaires. Pour éviter cela, l’entreprise BTP Taisei et Blue Innovation (constructeur de drones) ont conçu un drone diffusant « Ce n’est qu’un au revoir » lorsque le salarié dépasse une heure raisonnable. Son rôle est de patrouiller pour préserver les salariés du burn-out. Le drone sera proposé à partir d’avril 2018, pour 400 € par mois sous forme d’un service de location. 

Farmbot, le robot qui s’occupe du potager

Depuis plusieurs années, la tendance est au bio et au « do it yourself ». Les consommateurs deviennent parfois de vrais jardiniers pour répondre à leur besoin de manger mieux. Dans cette visée, Rory Aronson a lancé, il y a trois ans, FarmBot Genesis, un robot qui s’occupe entièrement d’un potager. Le système est disponible en open source, ce qui permet à chacun de pouvoir programmer le robot à sa guise. Équipé de caméra et de différents outils sous la forme d’un bras articulé, il autogère les cultures sous le contrôle d’un logiciel. Relativement innovant pour les personnes n’ayant pas le temps de s’atteler au jardinage, il nécessite tout de même de débourser la somme de 2 800 dollars. 

Se lancer en franchise, pour ou contre ?

Les franchises fleurissent dans l’hexagone et sur le plan mondial leurs commerces apparaissent florissants. Il y a celles qui ont pignon sur rue depuis déjà plusieurs décennies (Yves Rocher, Mercure Hotels.) et d’autres mues par le succès de leur entreprise qui se situe sur un secteur porteur en un temps record.

La franchise est un accord juridique et commercial dans lequel une entreprise dite « franchiseur » passe par une autre entreprise, dite « franchisée » et fournit un savoir-faire, une marque et une assistance permanente pour recevoir, en retour, une rémunération. La franchise n’a pas lieu si ces conditions ne sont pas réunies. 

Toutefois, avant de décider de s’installer en franchise, comparer les contraintes et les avantages de cette formule pour les deux parties peut s’avérer une bonne pratique afin de peser le pour et le contre.

Les avantages indéniables

Appartenir à un réseau de franchise présente bien des avantages pour les deux parties. Dans le cas du franchiseur, la franchise lui permet d’avoir accès à un maillage du territoire, en retour d’un investissement financier limité. Le franchiseur a une maîtrise totale du concept via un suivi rigoureux du réseau et peut constituer une forte puissance économique grâce à d’importants moyens logistiques et peut réaliser des économies d’échelle liés à la mutualisation des achats. Le franchiseur peut également mieux faire la promotion de la marque et de l’enseigne au moyen d’une action publicitaire à échelle nationale. Il s’agit de l’un des puissants leviers de développement qui lui donne l’occasion de s’étendre notamment grâce à l’argent des franchisés.

Dans le cas des franchisés, la formule reste attractive et pour des raisons très diverses. Ainsi, pour lui, la franchise constitue un bénéfice et une garantie sur une enseigne ou une marque de forte notoriété. Ceci, que ce soit auprès des institutions financières où ils vont demander des prêts ou encore auprès de la clientèle ciblée. La franchise permet une exclusivité des services rendus ou des produits, souvent liée à une zone territoriale. C’est un moyen qui permet d’obtenir le transfert d’un savoir-faire et des compétences du franchiseur et garantit une assistance permanente. C’est également un excellent moyen qui permet au franchisé de léguer son fonds de commerce à d’autres candidats, et ce, dans les meilleures conditions.

Les inconvénients à prendre en compte

Des contraintes inhérentes à la formule sont présentes. Elles découlent de leurs obligations réciproques. Les deux parties doivent garder cela à l’esprit. Ainsi, pour le franchisé, il s’agit d’un important investissement qui peut aller jusqu’à des centaines de milliers d’euros. Il doit abandonner une partie de son indépendance à l’avantage d’un franchiseur qu’il connaît souvent à peine ou mal. Le franchisé doit déterminer sa tarification selon une fourchette imposée par le franchiseur et ne peut mettre souvent en vente que des produits/articles référencés. Il doit également respecter la politique commerciale et stratégique du franchiseur. Surtout, le franchisé est tenu de respecter la zone d’exclusivité territoriale des autres franchisés, le cas échéant.

Pour le franchiseur, il doit proposer des services qui conviennent aux besoins des franchisés. Il doit justifier le montant des droits d’exploitation ainsi que leur contrepartie. Celui-ci est également tenu d’établir le montant du droit d’entrée, l’assistance, la formation ainsi que la transmission du savoir-faire. Il perd également le contrôle direct de son activité et peut se retrouver face à un franchisé qui ne respecte pas l’image de la société ou exécute mal les consignes.

Se diversifier, l’idée constante des dirigeants

Réussir certes mais les dirigeants sont conscients que le monde change à chaque instant et donc que diversifier ses produits et services devient une obligation. Comme des chercheurs, ils sont à l’affût des opportunités et ils en étonnent plus d’un lorsqu’ils saisissent la chance de se lancier sur un secteur inconnu. Il faut dire les dirigeants sont avant tout des aventuriers.

Cdiscount se lance dans le marché de l’optique

Le numéro 2 européen et champion français du commerce en ligne, Cdiscount, n’en finit pas de se diversifier. Après s’être lancé en seulement quelques mois dans le secteur du tourisme, du spectacle, de l’assurance ou de l’énergie, le voici à l’assaut du marché de l’optique, qui a engendré plus de 5,6 milliards d’euros en moyenne en 2017. Avec l’aide de la société Sym’Optic, l’entreprise commerciale française a mis en place un commerce de lunettes à bas coût, en proposant une offre d’équipements optiques sur sa marketplace.

Elle propose deux forfaits, l’un à 59 euros pour des montures et verres unifocaux et l’autre à 119 euros pour des verres progressifs, avec un délai de livraison variant de 48 heures à 15 jours. Son objectif est de démocratiser l’accès aux lunettes pour les Français. 

La diversification de Leboncoin s’accélère

La plateforme française d’annonces commerciales, Leboncoin, créée en 2006, appartenant aujourd’hui au groupe norvégien d’annonces Adevinta, est en pleine forme et cherche à investir dans d’autres secteurs. Avec un chiffre d’affaires de 307 millions d’euros en 2018, l’entreprise a décidé de diversifier ses activités en s’offrant notamment deux entreprises dans le secteur du voyage et de l’automobile début juin. Leurs noms : Locasun et Paycar. Locasun propose un site de réservations de résidences et locations de vacances, Paycar une solution de paiement sécurisé entre particuliers pour l’achat et la vente de véhicules d’occasion. 

Les nouvelles ambitions d’Amazon 

Alors que le géant américain Amazon règne sans partage sur la galaxie de l’e-commerce avec un chiffre d’affaires proche des 178 milliards de dollars et un bénéfice net de 3 milliards de dollars en 2017, il se cherche d’autres ambitions. Son créateur, Jeff Bezos, penserait sérieusement à transformer son empire. Selon Reuters, il souhaiterait ainsi racheter Boost Mobile, une marque de téléphonie prépayée. En se procurant des fréquences radioélectriques, Amazon deviendrait un opérateur mobile.

Amazon prépare également un service de streaming gratuit

Après avoir lancé en 2006 Prime Video, son service de vidéo à la demande, Amazon serait sur le point de mettre en œuvre une autre plateforme totalement gratuite, selon une information révélée par The Information (société américaine de médias numériques par abonnements, ndlr). Son nom : Free Dive. Elle serait, cependant, réservée uniquement aux détenteurs de Fire TV, un boîtier multimédia conçu par le géant de l’e-commerce. Financé entièrement par la publicité, le service proposerait notamment des séries et émissions déjà diffusées. 

Apple se lance dans la création de voitures autonomes avec Volkswagen

Depuis plusieurs mois, la folie des voitures autonomes ne cesse d’encenser les médias et toutes les marques n’ont pas encore dit leur dernier mot. Afin de se lancer dans la course, le géant Apple a fait le choix de s’associer à Volkswagen pour s’engager sur ce marché d’avenir. La combinaison entre la marque allemande et le géant à la pomme devrait permettre d’associer la technologie d’Apple ainsi que le savoir-faire automobile. Les premiers véhicules qui naîtront de cette association seront les vans T6 de Volkswagen.

Uber se lance dans la trottinette électrique

Uber part à la conquête du marché des trottinettes en libre-service. L’entreprise américaine avait, précédemment, investi dans la société Lime, spécialiste du secteur, et a racheté, en avril dernier, pour environ 100 millions de dollars, JUMP Bikes, une startup de vélos électriques en libre-service. Selon Bloomberg Businessweek (magazine américain spécialisé dans l’économie, ndlr), elle développerait et produirait, actuellement, ses propres modèles, en complément de ses véhicules autonomes, dans son entrepôt situé près du port de San Francisco. 

Comment garder un œil sur ses concurrents ?

Garder un œil sur ses concurrents et sur les autres acteurs du marché afin d’anticiper et de prévenir les évolutions possibles et futures de la concurrence fait partie des stratégies qui devrait instaurer toute entreprise.

Aujourd’hui tout va vite et votre concurrent va peut-être changer de stratégie, il faudra alors vous poser la question quelle en est la raison et vous découvrirez qu’il a perçu un changement, une innovation qui vont impacter votre secteur et qu’il a voulu anticiper.  Garder un œil sur ses concurrents c’est aussi garder un œil sur l’évolution des livraisons, des marketplaces, de l’évolution du comportement des consommateurs. De même les moyens de paiement cantonnés pendant longtemps à un ou deux moyens de paiement ouvrent de nouvelles possibilités. Le paiement sans contact va prendre d’ici peu une nouvelle capacité et deviendra une nouvelle manière de payer. Il faut être à l’affut de tout ce qui facilite l’acte d’achat et bien observer si votre concurrent ne l’a pas déjà mis en place.

La concurrence sur un secteur est un facteur majeur à prendre en compte pour le développement de votre activité. Chaque entreprise cherche à avoir en permanence un coup d’avance sur ses concurrents, de par les services proposés ou les produits vendus. Quels sont les moyens à adopter pour mettre en place une veille concurrentielle efficace et sérieuse ?

Bien identifier vos concurrents

Dans un premier temps, il est essentiel de bien définir les contours de votre univers de concurrence. Quelle est votre activité principale, celle que vous avez l’intention de protéger face aux autres acteurs du marché ? Qui sont ces concurrents ? Quelles sont les caractéristiques majeures de ces concurrents et contre lesquelles devez-vous vous démarquer ? Il est donc important de se poser toutes ces questions dans un premier temps, pour bien définir avec rigueur et sérieux la concurrence face à laquelle vous souhaitez faire la différence et vous démarquez à moyen et long terme.

Pourquoi surveiller la concurrence ?

La surveillance de vos concurrents est un élément à ne pas sous-estimer au même titre que l’évolution de ces derniers, les services proposés, les produits développés et vendus sur votre marché. Vous devez être au fait de tous ces éléments, bien informés et prêts à anticiper sur les moindres agissements de la part des autres acteurs avec qui vous vous partagez le marché.

Mais quel est l’intérêt de surveiller si étroitement la concurrence ? Tout simplement pour garder en permanence un avantage concurrentiel. On entend par avantage concurrentiel l’idée de bénéficier d’un avantage sur vos clients, d’un brevet technologique étant à l’origine d’un produit novateur par exemple. Cet avantage concurrentiel vous offre donc la possibilité de vous retrouver en situation de concurrence monopolistique : pendant une durée définie, vous profitez d’avantages sur votre concurrence, le temps que cette dernière s’adapte et rattrape son retard technologique ou commercial.

La veille concurrentielle vous offre donc la possibilité d’avoir toujours un coup d’avance, d’adapter vos actions mais surtout de veiller à l’évolution des autres acteurs du marché, de se tenir informé de leurs agissements et de leurs actions technologiques ou commerciales.

Comment mettre en place cette veille concurrentielle ?

Un risque majeur est à éviter lors de votre veille concurrentielle : ne pas sombrer dans l’espionnage industriel ou toute autre méthode néfaste, voire illégale. Une veille concurrentielle efficace, exécutée dans le strict respect de la loi, s’effectue en profitant de tous les moyens légaux et prévus mis à votre disposition pour vous tenir informés des actions de vos concurrents. Dépôts de brevet, résultats financiers dévoilés publiquement et bien d’autres documents officiels sont disponibles sur internet pour assurer la surveillance de votre marché et de vos concurrents.

Il existe également de nombreux autres moyens pour réaliser votre veille concurrentielle avec rigueur et efficacité : lire la presse économique spécialisée pour rechercher davantage d’informations et vous tenir au courant des variations de votre environnement économique, prendre part aux événements professionnels comme des salons ou des congrès, participer à des soirées networking, utiliser les nouvelles technologies et les réseaux sociaux pour optimiser votre veille concurrentielle et vous tenir encore plus près des autres acteurs du secteur et des évolutions possibles.

 

La défiscalisation immobilière, une pratique légale

Vous entendez parler de défiscalisation et vous pensez immédiatement à fraude fiscale ? Pas de panique, il existe des méthodes pour défiscaliser en toute légalité. Les solutions sont nombreuses et ont été mises en place par différentes lois. Chacune s’applique à un profil différent. Zoom sur les principales méthodes de défiscalisation immobilière.

La défiscalisation immobilière est une niche fiscale qui vous permet de réduire vos impôts. La plupart des niches ont été mises en place par l’Etat pour inciter à l’investissement dans des domaines bien précis même si certaines utilisent parfois un vide juridique.

Des avantages certains à la défiscalisation immobilière

Son premier avantage est qu’elle vous permet de vous constituer un patrimoine et souvent de réduire le coût de l’investissement par des loyers. En choisissant judicieusement votre investissement, vous pouvez même bénéficier d’une plus-value lors de la vente.

Autres avantages, si votre investissement est judicieux, une plus-value pourrait se greffer lors de la vente.

Enfin, il est à noter que les solutions sont variées pour défiscaliser dans l’immobilier et elles s’adaptent avant tout au montant que vous souhaitez défiscaliser et à la durée de l’engagement souhaité. A noter que certains dispositifs peuvent se cumuler comme avec la loi Censi Bouvard et le statut LMNP.

Les principales lois qui vous permettent de défiscaliser dans l’immobilier

Loi Pinel : elle s’applique dans le cas où vous souhaitez acheter et louer un bien neuf. Il vous faut regarder les zones éligibles. La loi Pinel vous permet de défiscaliser jusqu’à 21% du montant investi. Attention tout de même à prendre en compte le plafond de 300 000€. Si le plafond est atteint, vous pouvez tout de même bénéficier de 63 000 € de réduction d’impôts. Prenez en compte que les avantages fiscaux restent en adéquation avec la durée de location.

Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP) : cette loi s’applique dans le cas où vous souhaitez louer un bien immobilier neuf et meublé. Attention tout de même à être attentif au fait que ce bien doit être la résidence principale du particulier locataire. Les revenus annuels ne doivent pas dépasser 23 000€ pour que cette loi s’applique et vous récupérez la TVA.

Loi Censi Bouvard : celle-ci s’applique dans le cadre où vous souhaitez également louer un logement neuf et meublé en résidence. Peu importe qu’elle soit de tourisme, étudiante ou pour les personnes âgées. La défiscalisation se monte à 11% du montant investi avec une limite de 300 000€, comme pour la loi Pinel.

Loi Malraux : elle a pour vocation d’aider les personnes qui souhaitent rénover des biens anciens. Elle s’applique lorsque vous louez le bien en tant que résidence principale. Attention tout de même car cette durée doit être d’au moins 9 ans. Elle vous donne droit à une réduction d’impôt indexée sur le montant des travaux de restauration réalisés et qui peut monter jusqu’à 30% selon les zones éligibles.

Loi Monuments Historiques : dans le but de conserver le patrimoine de la France, cette loi vous permet de déduire les charges de restauration, d’entretien et les intérêts d’emprunt de votre bien. Contrepartie : il vous faudra louer votre bien non meublé pendant 3 ans et le conserver au moins 15 années.

Déficit Foncier : Cette loi a également pour but de conserver les parcs immobiliers anciens. Vous devez louer votre bien pour une durée de 3 ans minimum pour que vous puissiez en bénéficier. Elle vous permet d’imputer les revenus fiscaux des travaux de rénovation ou de réhabilitation à 100% et ceci sans aucun plafond ! Une incitation de taille.

Loi Girardin : elle a pour objectif d’aider à l’investissement dans les DOM-TOM par les personnes résidant en France métropolitaine et contrer la carence locative. Cette loi succède à la loi Pons et permet de bénéficier d’une réduction d’impôt pour les investissements dans des logements neufs dans les DOM-TOM. La réduction d’impôts dépend des cas et oscille entre 25% à 50%.

Des idées parfois farfelues pour lutter contre les déchets

Aujourd’hui face à la multiplication des déchets, des idées parfois farfelues et originales sont proposées par des amoureux de la planète. Quelques idées qui auront peut-être la chance d’être l’idée du futur.

Loop, le supermarché numérique et écolo débarque en France

Mettre fin aux emballages à usage unique pour préserver la planète. C’est que propose la plateforme de commerce en ligne, Loop, appartenant à l’entreprise américaine Terracycle. Avec le soutien de plus de 25 marques agroalimentaires ou d’hygiène comme Coca Cola ou Nivea, elle propose des emballages consignés, réutilisables ou recyclables. Les produits sont disposés dans des contenants uniquement en verre ou en métal, à l’intérieur d’un grand sac de livraison pliable en tissu. Après avoir soigneusement débarrassé ses courses, le client replacera les contenants dans le sac. Ils seront ensuite désinfectés et nettoyés par Terracycle. Ce service n’est pour l’instant testé qu’à Paris et en région parisienne. Il devrait être lancé dans des métropoles internationales comme New York et Londres entre mai et décembre 2019. 

Organic Basics, des dessous que l’on peut porter plusieurs semaines

Porter les mêmes sous-vêtements sans les laver pendant plusieurs semaines, pourrait protéger l’environnement en gaspillant moins d’eau et moins d’énergie polluante. Pour cela, l’entreprise s’est inspirée de la NASA en se tournant vers l’argent du nylon qui purifie l’eau des astronautes. Cette nouvelle forme de textile peut alors éliminer

99,9 % des bactéries causant des odeurs. De plus, elle permet d’évacuer l’humidité. Les dessous sont faits de matériaux 100 % recyclés et disposent d’un emballage produit à partir de papier réutilisable. Ces sous-vêtements sont dorénavant disponibles à la vente, pour la somme de 51 euros pour deux dessous féminins et 72 euros pour deux dessous masculins. 

Des couches et serviettes hygiéniques recyclées

L’Italie devient le premier pays au monde à autoriser le recyclage des couches et serviettes hygiéniques, via la signature du décret prénommé End of Waste (« Fin des Déchets »). En effet, plus de 187 milliards de couches jetables et 45 milliards de serviettes hygiéniques sont utilisées chaque année sur la terre. Ces matières étaient considérées comme des déchets non recyclables. Cependant, nos voisins italiens sont devenus précurseurs grâce au procédé technologique de l’usine Fater Smart. Celui consiste à assainir et à séparer les différents composants des couches usagées pour ensuite les transformer en matières premières secondaires comme des pinces à linge ou des emballages industriels. Avec la loi promulguée, l’usine pourra tourner à plein régime. Elle permettra d’éviter de jeter plus de 900 000 tonnes de déchets par an. 

Fabriquer un bio-matériau grâce aux abeilles

Une entreprise néozélandaise cherche une alternative crédible pour remplacer à terme le plastique qui détériore peu à peu l’environnement. Dénommée Humble Bee et fondée par Veronica Harwood Stevenson, la start-up spécialisée dans les biotechnologies ambitionne de créer un bio matériau en utilisant les propriétés chimiques d’un élément prévenant des abeilles masquées. Ces espèces sécrètent une substance qui résiste à l’eau, au feu et aux fortes chaleurs afin de fabriquer leur nid. La société a déjà récolté 300 000 euros pour faire avancer ses recherches. À terme, elle a pour ambition d’utiliser ce matériau pour des équipements d’extérieur comme des tentes. 

Une poubelle maritime pour réduire les déchets qui flottent

Les déchets ne cessent de se multiplier dans les océans et altèrent la faune et la flore marine. Pour répondre à ce phénomène, deux Australiens ont inventé une poubelle flottante qui ramasse les déchets. Intitulée « Seabin », signifiant « poubelle des mers », elle se compose d’une pompe pour aspirer les détritus qui flottent à la surface. Ainsi, conçue, pour ramasser 1,5 kg de déchets par jour, elle permet de nettoyer les ports. Le concept déjà très populaire se développe partout dans le monde. Il y a peu de temps, le système de nettoyage a été installé dans le Vieux-Port de Marseille et au port de la Pointe.

Des pailles consommables après utilisation

Dans un but écologique, la start-up new-yorkaise LOLIWARE cherche à remplacer les pailles en plastique à usage unique par d’autres comestibles et capables de se biodégrader rapidement. Ils ont choisi de s’orienter vers les algues comme matière première grâce à leur prolifération naturelle.

Autre avantage, les algues captent toujours du CO2, ce qui signifie que même si vous ne souhaitez pas manger la paille après utilisation, vous pouvez la jeter sans problème dans une poubelle organique. Elle se décomposera rapidement. Leur produit se nomme « LOLISTRAW », et sera disponible dans différents coloris et saveurs. Les tests effectués montrent que la paille peut survivre 24 heures dans les boissons. La marque est actuellement en campagne de financement participatif sur Kickstarter et devrait effectuer ses premières livraisons en août 2018. Les packs de pailles sont disponibles à partir de 10 $. 

Jeux concours : avantages et inconvénients pour votre business

Les méthodes de marketing les moins récentes ne sont pas obligatoirement les moins efficaces. Toutes les solutions pour accroître sa présence auprès de la clientèle peuvent apporter leur lot d’avantages, comme d’inconvénients. Et les bons vieux jeux concours, qui pourraient sembler désuets, ne sont pas forcément d’un autre âge et leur intérêt n’est plus à démontrer.

Quels sont les avantages et les inconvénients de cette méthode de communication ? Y-a-t ‘il toujours un intérêt pour votre business de mettre en place ce type d’action commerciale ou les nouvelles technologies ont-elles définitivement pris le pas sur ces bonnes vieilles méthodes ?

Des avantages intemporels

Différents lots à gagner, tous plus intéressants les uns que les autres, des bulletins de participation à remplir pour chaque client désireux de participer à ce jeu, un huissier de justice pour faire vérifier et approuver au regard de la loi la bonne tenue du jeu. Telle est la recette pour organiser de manière sérieuse et efficace un jeu concours et promouvoir votre entreprise par ce biais.

Cette méthode pourrait sembler obsolète, à l’âge de l’internet et des nouvelles technologies, mais pourtant, nombre d’enseignes et non des moindres (supermarchés, grandes entreprises présentes dans toute la France), n’hésitent plus à mettre en place un jeu concours pour répondre à de nombreux objectifs : augmenter les ventes, améliorer la présence et la visibilité de l’entreprise  auprès des clients.

L’efficacité du jeu concours n’est plus à prouver. Une bonne partie des clients plébiscite ce type d’actions commerciales. Simplicité, efficacité, lots intéressants et gains attractifs, telles sont les principales motivations des clients lors de l’organisation de ce type d’événements. A l’entreprise ensuite de faire en sorte que ce jeu soit suffisamment attractif pour sa clientèle et correctement établi pour répondre aux besoins de l’entreprise (besoin de visibilité, besoin de notoriété).

Des inconvénients non négligeables

Malgré tout, force est de constater qu’avec l’apparition des nouvelles technologies et l’essor connu par Internet, de nombreuses nouvelles méthodes sont apparues pour accroître la visibilité d’une entreprise. Les réseaux sociaux proposent énormément d’idées, énormément de possibilités pour organiser un jeu, une action commerciale précise et définie pour répondre aux attentes et aux objectifs de l’entreprise et attirer davantage l’intérêt des clients, et de toutes les cibles de clientèle possibles (jeunes, CSP+, etc…). Un jeu concours semble donc moins attirer l’attention qu’une action sur les réseaux sociaux ou sur Internet, étant donnée l’obligation de se rendre sur le point de vente pour être informé de l’existence de l’action.

Internet a apporté une réelle dématérialisation des rapports clients-professionnels, et le jeu concours traditionnel pourrait être vu comme un retour en arrière. Certains diront que c’est une bonne chose que de vouloir nouer à nouveau un lien humain entre vendeur et client, d’autres reprochent à ce type d’action son manque de modernité. 

L’inconvénient est majeur : jugé un peu austère par les clients, le jeu-concours n’est pas l’action commerciale la plus en vue. À vous, dirigeants et chefs d’entreprise, de déterminer les objectifs de votre entreprise et de mesurer l’intérêt d’un tel projet.

Le jeu-concours, avec les nouvelles technologies

Les nouvelles technologies ont donné un renouveau au jeu-concours et faciliter la communication avec les clients. Il faut cependant bien respecter les règles données par la CNIL afin de ne pas se retrouver en difficultés. La facilité d’utilisation remporte d’ailleurs un franc succès.

L’écoute, facteur décisif dans la conclusion d’une vente

L’une des clés pour qu’un vendeur améliore ses performances de vente est de prêter attention à son interlocuteur. Plus l’attention portée paraît grande lors une interaction avec le client plus ce dernier sera susceptible d’acheter le produit ou le service. Comment, alors, être un vendeur plus à l’écoute et donc plus performant ?

« Le seul patron c’est le client. Il peut licencier tout le monde, du directeur à l’employé, en faisant une chose simple : aller dépenser son argent ailleurs. »

Sam Walton | fondateur de la chaine de magasins Walmart

 Délivrer et échanger l’information de manière efficace

Une part importante de l’information n’est pas du tout retenue par votre interlocuteur lorsque vous faites un monologue. Il s’agit de l’une des erreurs les plus commises pendant une vente. La conséquence d’une conversation à sens unique c’est souvent une incompréhension ou un manque d’attention de la part du potentiel client. Il vaut mieux discuter et échanger avec l’acheteur pour lui présenter l’information de manière naturelle. Il aura ainsi l’impression d’avoir un rôle essentiel à jouer.

Les bons vendeurs le savent. S’il n’y a pas de besoin, il n’y a pas de demande, et alors pas de vente. Pour connaître la nature du besoin du client, il faut alors lui poser des questions et interagir avec lui pour créer ce besoin.

Laisser la place au client de s’exprimer

Ce qu’il faut éviter à tout prix pour conclure une vente, c’est d’interrompre votre interlocuteur. Cela lui donne l’impression de ne pas être écouté et que son avis a peu d’intérêt. En outre, beaucoup de personnes débattent à voix haute de la décision de réaliser ou non un achat. Tout ce que le client exprime est potentiellement important puisqu’il risque de faire état de ses doutes et ses réticences. Ce qui laisse une possibilité pour le vendeur d’analyser ce qui ne va pas et de répondre à cette incertitude.

Laisser le client pa. Marquer une légère pause avant de lui donner des éléments de réponse sont deux astuces qui donneront à l’acheteur l’impression d’être réellement écouté. En outre, si le vendeur prête vraiment attention à ce qui lui est dit, il pourra être capable de réutiliser une anecdote qui a été racontée. Cela impliquera une certaine complicité et proximité entre lui et l’acheteur.

« Il y a beaucoup de gens dont la facilité de parler vient de l’impuissance de se taire. » Cyrano de Bergerac 

Prêter attention aux émotions : la clé d’un échange fructueux

Dans une discussion, les faits purs ne représentent qu’une petite partie du contenu de l’interaction. Le reste est composé d’émotions, d’impressions et de réactions instinctives. C’est pourquoi il ne faut pas seulement prêter attention aux faits stricts et aux réticences pratiques. Il est important de prendre en considération la manière dont la personne ressent l’achat et les émotions exprimées par des mots, des gestes ou des mimiques. Regarder l’interlocuteur en face et éviter de détourner le regard de son visage peut également donner des indices au vendeur pour réagir et mettre des mots sur l’incertitude ou la réticence de l’acheteur.

« Vous n’avez jamais de deuxième chance de faire une première bonne impression. » Gustav White.

Faire preuve de clarté et de patience

Ce qui peut faire basculer une vente, c’est la capacité d’un vendeur à reprendre ce que vient de dire le client en l’exprimant dans un vocabulaire différent. Paraphraser peut paraître anodin, mais l’acheteur réalisera qu’il est bel et bien entendu, et surtout écouté. En reprenant à son compte l’histoire d’un client, le vendeur ne doit pas seulement répéter mais bien utiliser ses propres mots, et même mieux ceux du jargon un peu plus professionnel (sans faire trop compliqué pour ne pas perdre l’attention du client bien sûr).

Il faut bien évidemment rester simple dans la discussion pour être clair. Il faut également être patient et ne pas hésiter à répéter la même information, en reformulant différemment.

Les astuces concrètes pour se relancer après un échec

Pour les entrepreneurs, un échec entraîne souvent une phase de flottement. Différentes astuces permettent de reprendre suffisamment confiance en soi pour pouvoir démarrer un nouveau projet florissant. Tout d’abord afin de ne pas perdre confiance, inspirez-vous des citations célèbres d’entrepreneurs qui ont subi des échecs et qui ont rebondi avec brio mais aussi de ceux qui ont cherché l’inspiration à travers leurs voyages.

Effectuer un travail sur soi

Tout d’abord, vous devez tirer des enseignements de vos erreurs. Il s’agit de comprendre par exemple les raisons qui ont entraîné la liquidation judiciaire : mauvaises gestions des stocks, loyer trop coûteux, omniprésence de la concurrence, mauvais choix de l’équipe.

Il apparaît primordial de se remettre en question et de ne pas accuser les autres à tort. Vous êtes forcément au moins en partie responsable de la situation, outre des impondérables comme des accidents de la vie ou une crise économique.

Toutefois, il est important de demeurer positif. Un dicton populaire rappelle que « la chance attire la chance ». Un entrepreneur ayant un esprit positif possède plus de chance de remplir ses objectifs car il a foi en lui et en ses capacités.

Enfin, histoire de souffler un peu il est possible de faire une pause. Certains entrepreneurs décident aussi de reprendre des études ou de suivre des formations complémentaires en management, comptabilité, anglais…

Demander de l’aide à un prestataire externe

Un nouveau regard permet souvent de rebondir sur ses erreurs. Certaines personnes font appel à un mentor ou une personne de référence (ami entrepreneur, coach de vie…). Cette dernière donne ainsi une vision objective et peut provoquer un déclic. Les entrepreneurs qui viennent s’essuyer en d’échec perdent parfois de leur esprit critique et peuvent se trouver dans l’incapacité de cerner les vrais problèmes.

Réaliser une étude de marché

Avant de se lancer dans de nouvelles idées et pour mieux rebondir, il est aussi souhaitable de commander une étude de marché. Cette étude constitue un coût à l’origine, mais devient vite rentable. Elle permet d’éviter de s’installer dans un secteur possédant trop de concurrents directs ou ne possédant pas une demande correspondant à son offre. Elle permet de cerner les besoins des clients.

Trouver de nouvelles idées entrepreneuriales

Bien entendu, il est important de se lancer à nouveau dans une entreprise pour conjurer l’échec. Pour trouver de nouvelles idées, un voyage à l’étranger est souvent bénéfique. Les fameux Rainbow Loom (élastiques permettant la création de bracelets colorés) ont été importés par une famille française alors expatriée aux USA. De même Wonderbox est né de voyages réalisés par ses créateurs.

Garder l’esprit ouvert est une aussi une bonne technique pour trouver de nouvelles idées de business. Parfois, c’est une histoire personnelle qui enclenche des réussites entrepreneuriales, comme la création d’Amorino à la suite du constat par ses fondateurs d’une absence des glaces de leur enfance en France.

Parfois, nul besoin de réinventer des objets ou de tabler sur des idées improbables. Souvent les idées les plus simples sont les meilleures avec par exemple Jean Bouteille et ses bouteilles consignées… Le plus important restant de ne pas vous décourager et de vous remettre sur les rails !

Comment devenir un maestro du Networking ?

En une séance de networking de nombreuses opportunités se présentent pour les entrepreneurs et leur permettent de développer un réseau. Les participants à un networking recherchent des rencontres intéressantes qui leur apporteront des idées mais aussi des partenaires, des clients….

Le Networking ce n’est pas simplement de serrer le plus de mains possible et de transmettre un maximum de cartes de visites ! Voici 10 conseils pour devenir un maître en Networking.

Avoir une attitude positive

Le principe du networking c’est de ne pas évoquer le malaise ambiant de la société et afficher un pessimisme qui laissera dans la mémoire de vos interlocuteurs l’envie de ne jamais vous recontacter. Une attitude négative est rebutante. Car qui a envie de recommander quelqu’un qui n’est pas content, qui n’aime pas son métier ou qui se plaint de tout ? Au contraire, une attitude positive attire comme un aimant les personnes et les recommandations.

Être quelqu’un de confiance

Recommander quelqu’un c’est mettre en jeu sa propre réputation. C’est pourquoi personne, en commençant par vous, ne recommandera quelqu’un qui n’inspire pas confiance. Et cette confiance se construit par chacune de nos actions.

Écouter attentivement

Le succès en tant que Networker dépend de la qualité de notre écoute. Pour pouvoir aider l’autre il faut le connaître, et pour cela il est nécessaire de bien l’écouter et de lui poser des questions pour montrer l’intérêt qu’on porte à son projet ou entreprise.

Être enthousiaste et motivé

Pensez à ceux que vous connaissez. Qui reçoit le plus de recommandations. Ceux qui sont les plus motivés, non ? La plus grande qualité d’un bon vendeur est l’enthousiasme. Pour être apprécié de son réseau, il faut au moins que l’on se vende avec enthousiasme.

Prendre du plaisir à aider

On peut aider quelqu’un de nombreuses manières, en écoutant, en conseillant, en transmettant une information, en mettant en contact, en associant quelqu’un dans un article, etc…. Un bon networker prend plaisir à aider l’autre car il connaît la valeur de l’entraide et la force du réseau.

Suivre les recommandations

Le secret n° 1 des networkers à succès est le suivi. Si vous présentez à l’un de vos contacts une opportunité, que ce soit une simple information, une mise en relation ou une affaire potentielle et qu’il ne la suit pas, ne perdez plus de temps avec cette personne.

Toujours networker

Le networking ne doit pas être une tâche. Cela doit faire partie du comportement journalier, que ce soit dans la queue au supermarché ou chez le médecin aussi bien que lors d’une rencontre professionnelle.

Remercier pour les informations transmises

Il nous est tous arrivé d’aider quelqu’un et de ne pas avoir de remerciements en retour. Comment nous sommes nous sentis ? Un « merci » ou une attention particulière donne clairement envie d’aider la personne à nouveau.

Être sincère et vrai

Une attitude purement intéressée se fait vite sentir. Ne jouez pas un personnage et ne développez pas des relations qui ne vous « parlent » pas. Soyez vous-même et réseautez avec ceux que vous appréciez. Intéressez-vous à eux sincèrement.

Développer votre réseau

Les Anglo-Saxons disent qu’il ne faut pas confondre Networking avec net-sitting ou net-eating. Il faut agir lors des rencontres, et surtout gérer efficacement son réseau afin qu’il ne devienne pas obsolète.