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Comment sortir gagnant de la réforme des retraites grâce aux SCPI ?

La retraite en France provoque de l’angoisse et de l’appréhension chez les séniors de demain.  Le système de retraite par répartition est devenu obsolète et les réformes successives n’ont pas réussi à redonner la confiance aux « séniors to be ». Les Français attendent beaucoup de la nouvelle réforme des retraites qui se traduit par la mise en place d’un régime universel à points. Permettra-t-elle à tous de vivre une retraite dorée ? Il ne vaut mieux pas compter sur la réforme pour obtenir une pension confortable. Il est préférable de prendre les choses entre ses mains et agir. Pourquoi ne pas investir en parts de SCPI et obtenir une rente régulière ?

Le 18 juillet 2019, Jean-Paul Delevoye a présenté son nouveau régime de retraite universel à point, issu de la fusion des 42 régimes existants. Suite à cette réforme, un euro cotisé doit donner les mêmes droits à tous. Sa mise en place est prévue pour 2025 et comme l’a annoncé le haut-commissaire à la reforme des retraites lui-même, elle fera « des gagnants et des perdants ».

Cela ne rassure pas les Français qui ont conscience qu’une fois à la retraite, ils n’auront pas suffisamment de revenus pour maintenir un train de vie correct. Le seul moyen de s’offrir un revenu complémentaire immédiat ou futur est d’investir ingénieusement vos économies dès aujourd’hui sur des supports immobiliers générateurs de loyers, comme la SCPI de rendement.

La SCPI de rendement est plus rentable que la majorité des assurances vie

Les produits d’épargne retraite traditionnels tels que le Perp sont aujourd’hui hors-jeu compte tenu de la baisse des rendement au cours des dernières années et l’assurance vie qui n’offre pas aux épargnants le revenu complémentaire souhaité. L’intérêt des épargnants pour l’assurance vie décroit si on rajoute que le rendement moyen d’une assurance vie en fonds en euros est de 1.8% en 2018 alors qu’il était supérieur à 4% il y a encore 10 ans ! Il n’est donc pas étonnant que les retraités de demain retirent des capitaux de leurs contrats d’assurance vie en fonds en euros et les placent sur des parts de SCPI.

Ce placement d’épargne immobilière leur offre exactement ce qu’ils recherchent :

  • Un rendement compétitif autour de 6% net pour les meilleures SCPI distribué de manière trimestrielle sous forme des loyers,
  • Un confort de gestion incomparable avec un appartement locatif,
  • Une vision sur du long terme grâce aux baux fermes signés avec les locataires
  • Et une forte diversification patrimoniale pour sécuriser leur capital.

Un très bon compromis pour les Français, adeptes des placements peu risqués, qui fait de la SCPI un produit d’épargne retraite idéal.

« Ainsi, chaque euro investi en parts de SCPI de rendement vous génère un revenu régulier et se valorise dans le temps. Ce placement retraite ne fera que des gagnants ! » indique Grégorie Moulinier, associé fondateur de La Centrale des SCPI.

Pour les retardataires, comment fonctionne la SCPI ?

Le fonctionnement d’une SCPI a le mérite d’être rappelé. Une Société Civile de Placement Immobilier est un fonds d’investissement immobilier qui a pour objet l’acquisition, la gestion et la valorisation des biens tertiaires (immeubles de bureaux, commerces, immobilier de santé, entrepôts, etc.). En contrepartie de votre investissement en parts de SCPI, une rentre nette vous est versée mensuellement ou trimestriellement, telle une pension de retraite ou un loyer.

Ce revenu complémentaire est calculé au prorata de votre investissement initial, indépendant de l’évolution de votre carrière professionnelle. Une période de chômage, un arrêt maladie ou un congé maternité ne vont donc pas impacter le montant de votre rente alors qu’ils ont des conséquences négatives sur le montant de votre pension.

Par exemple, en achetant 153 parts (à 655 euros chacune) de la SCPI Vendôme Régions pour un montant total de 100 215 euros, vous obtiendrez environ 500 euros net par mois, si on se base sur le rendement 6.03% net en 2018. De quoi améliorer significativement votre pouvoir d’achat à la retraite.

Il existe aujourd’hui près de 180 SCPI gérées par une trentaine de sociétés de gestion. Comme le recommandent les consultants en gestion de patrimoine de La Centrale des SCPI, il est important de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier et de diversifier son investissement immobilier sur plusieurs SCPI de rendement. Votre épargne-retraite sera donc plus sécurisée. D’ailleurs, vous trouverez toutes ces SCPI sur leur comparateur SCPI en ligne : www.centraledesscpi.com.

Qui dit immobilier, dit généralement gestion locative chronophage et parfois même couteuse en raison des charges de copropriété élevées et des travaux imprévus. Sauf dans les SCPI. Les parcs immobiliers locatifs des SCPI sont gérés par des sociétés de gestion, agréées par l’Autorité des marchés financiers. Elles se chargent de l’entretien, de la mise en location, de la collecte des loyers auprès des locataires ou des travaux et vous garantissent un confort total pour votre retraite. Vous percevez directement vos loyers sur votre compte bancaire.

A chaque profil sa SCPI : un placement pour tous !

Contrairement à un achat immobilier en direct, la SCPI reste un produit d’épargne très flexible et s’adapte à tous les profils. Globalement, il est possible de distinguer trois grandes catégories d’investisseurs en parts de SCPI et à chacun sa solution :

  1. Vous êtes en fin de carrière et souhaitez obtenir un complément de retraite dans 5 à 10 ans grâce aux SCPI

Ce n’est pas le jour du départ à la retraite qu’il faut s’apercevoir de la réalité parfois douloureuse.

Il est primordial d’anticiper ce moment avant qu’il ne soit pas trop tard. Pour cela, 5 à 10 ans avant votre retraite, investissez en parts de SCPI en démembrement temporaire de propriété. En achetant la nue-propriété des SCPI, vous bénéficiez d’une décote sur le prix de la part à l’achat. Pendant toute la période de démembrement, généralement comprise entre 5 et 10 ans, vous ne percevez pas de revenus donc n’avez aucune fiscalité à payer (pas d’impôt sur le revenu, pas de prélèvements sociaux, pas d’impôt sur la fortune immobilière).

Au terme du démembrement, dont la date coïncidera exprès avec la date de départ à la retraite, vous récupérez automatiquement la pleine propriété de vos parts de SCPI. A ce moment-là, le complément de retraite sera le bienvenu ! Pourquoi ne pas préparer sa retraite avec l’achat des parts de la SCPI Pierval Santé en démembrement temporaire de propriété ?

  1. Vous êtes actif et souhaitez préparer votre retraite grâce aux SCPI

Actif aujourd’hui, retraité demain, vous devez profiter de votre jeune âge et de vos revenus d’activité pour préparer votre retraite. Investissez en parts de SCPI à crédit afin de vous constituer un patrimoine immobilier solide pour votre future retraite.

Pendant votre vie active vous remboursez votre mensualité grâce aux loyers de la SCPI et une fois à la retraite, vous profitez de ces revenus complémentaires à votre guise. Les taux d’emprunt sont actuellement très bas et les banques sont de plus en plus ouvertes à proposer des crédit SCPI sur 15, 20 voire 25 ans. Selon le dernier baromètre des financements de La Centrale des SCPI, leader français du conseil en SCPI, le meilleur taux obtenu en juin 2019 a été de 1.35% sur 15 ans.

C’est le moment d’en profiter et investir à crédit sur la SCPI Epargne Pierre (rendement 5.97% net en 2018), d’autant plus que la totalité des charges (intérêts, assurances, frais de dossiers et de garantie) sont à 100% déductibles de vos revenus fonciers ce qui allégera votre fiscalité.

  1. Vous êtes très bientôt à la retraite et souhaitez avoir un revenu complémentaire immédiat grâce aux SCPI

Si vous partez à la retraite dans moins de 2 ans et vous n’avez pas vraiment préparé ce moment, il faut agir vite. Déplacer une partie de vos liquidités investies sur une assurance vie en fonds en euros ou sur un livret sur des parts de SCPI sera la meilleure solution pour vous.

L’achat des parts de SCPI au comptant vous assure un revenu complémentaire versé à échéance mensuelle ou trimestrielle directement sur votre compte. A titre d’exemple, en investissant 50 000 euros sur la SCPI Eurovalys, vous pouvez obtenir un complément de retraite d’environ 180 euros par mois, net de charges et de fiscalité allemande (rendement de 4.5% net en 2018).

Comme on le répète souvent : « on n’est jamais mieux servi que par soi-même » alors il vaut mieux se créer sa propre rente récurrente grâce à l’investissement en parts de SCPI. Mieux encore, profitez des conseils gratuits des experts de La Centrale des SCPI pour vous constituer un patrimoine en parts de SCPI diversifié et équilibré.

« Ceux qui sortiront gagnant de la réforme des retraites de 2025 ou même des réformes suivantes seront ceux qui auront pris leur patrimoine en mains et investi en parts de SCPI en 2019 ! » conclu Gabriela Kockova, manager au sein de La Centrale des SCPI.

Avertissement

L’investissement dans une SCPI n’est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers.

Avant toute décision d’achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d’être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial.

Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.

Lidl, une promo qui se transforme en galère

Les clients étaient dès l’aube devant les magasins Lidl pour acquérir un robot exceptionnel à prix cassés. L’entreprise avait mis en exergue une promotion intéressante avec un prix qui défiait toute concurrence. Mais un espion malin s’était glissé dans l’appareil. Retour sur un Bad buzz.

Le 3 juin, des files d’attente interminables devant les magasins Lidl pour acquérir coûte que coûte   un robot à 360 euros, version low cost du Thermomix qui lui vaut environ 1200 euros. Cependant, Il est aisé de comprendre que les clients à ce prix-là font une véritable affaire.

Lidl et ses promos alléchantes

Pour assurer la sortie de ce robot connecté Lidl s’est en effet appuyé sur les techniques de promotions qu’elle propose régulièrement. Ainsi, un prix attractif et une date de sortie unique pour toute la France. Celle -ci est annoncée à l’avance sur son site internet ou par la lettre envoyée aux clients qui crée un buzz habituel et que les produits soient électro-ménagers, rentrée des classes ou vacances. D’ailleurs le lundi matin… les clients addictifs à Lidl y sont dès la première heure…

Des stocks épuisés en quelques heures

En quelques heures les stocks ont été épuisés. Or, l’enseigne de supermarché low cost a fait une communication exceptionnelle pour ce produit. Elle s’est donc trouvée dans l’obligation légale d’assurer la disponibilité de son produit. Or, nombre de clients sont repartis les mains vides. Habituellement, Lidl propose un stock de produits limité qui s’appuie sur la technique du « premier arrivé, premier servi ». Or, l’enseigne s’est engagée auprès de la Direction générale de la concurrence (DGCCRF) à assurer la disponibilité de ce produit durant 15 semaines dans 200 magasins au moins. La liste est d’ailleurs disponible sur le site de la marque. Cette obligation légale est liée à la promotion du produit dans 200 spots à la télé. Son non-respect peut entraîner une amende, selon L’UFC-Que Choisir.

Lidl France assure avoir été surpris par l’engouement autour du Monsieur Cuisine Connect. « Aujourd’hui [jeudi 27 juin, NDLR], nous avons reçu un nouvel arrivage de robots et organisons un réassort quotidien en priorité dans les 200 supermarchés de la liste », déclare l’enseigne qui précise également qu’elle régule les achats : « Les ventes de Monsieur Cuisine Connect étaient initialement limitées à 5 par personne, elles sont maintenant limitées à 1 par personne. » Il faut dire que le robot se revend en moyenne 50 à 100 € plus cher que le prix vendu proposé par Lidl sur les sites d’occasion ! et oui il existe des petits malins, spécialistes des reventes de promo !!!

LE ROBOT POSSÈDE UN MICRO ESPION ?

Dans une enquête publiée par le média français Numerama. L’appareil est équipé d’un écran tactile et de quoi se connecter en Wi-Fi pour consulter des recettes. Mais le Cuisine Connect cache aussi un dispositif dont la présence n’est évoquée nulle part, ni sur le site officiel, ni dans la notice d’utilisation : un micro, directement intégré au robot. De plus, l’écran tactile du robot Lidl utilise un système d’exploitation déjà obsolète, Android 6.0, dont les derniers correctifs de sécurité datent de 2017. 

A aucun moment le client n’est averti. Pas cool !

Cette information a été  confirmée par Michel Biero, directeur des achats de Lidl France, à BFM-TV« Lorsque les développeurs ont lancé Monsieur Cuisine, il était prévu que l’appareil soit pilotable par la voix et éventuellement par Alexa », le système d’intelligence artificielle d’Amazon. Or, actuellement le micro est « totalement inactif » et il est impossible pour Lidl de l’activer à distance, selon M. Biero.

Un appareil mal protégé contre le piratage

Par ailleurs, comme le confirme Lidl le fonctionnement de l’appareil repose sur une tablette équipée d’une ancienne version du système d’exploitation Android. Sa dernière mise à jour de sécurité date d’octobre 2017.

Le micro même désactivé, la sécurité de la tablette n’est pas assurée. Des pirates pourraient ainsi exploiter ses failles pour activer le micro, et écouter les conversations des propriétaires de l’appareil.

Selon Lidl ne veut et ne peut accéder au micro à distance ». Qu’elle le veuille ou non il est techniquement possible qu’elle puisse avoir accès à ce micro, comme elle l’admet elle-même mais elle s’engage à demander l’accord de l’usager. Histoire à suivre …

Pourquoi faire appel à une société offshore ?

Souvent on pense que créer une société offshore est interdit. Pourtant, vous pouvez créer une entreprise où vous le souhaitez à partir du moment où vous respectez les règles en vigueur dans le pays. Il s’agit ensuite de ne pas oublier de déclarer au fisc, que vous êtes le propriétaire de l’entreprise pour éviter d’être pris sous le délit de fraude fiscale. 

Retour sur la définition de la société offshore

Une société offshore est une société créée à l’étranger mais qui n’a aucune activité économique dans le pays concerné. La plupart des pays offrent des avantages à ce type de sociétés avec souvent des contraintes réglementaires minimums, aucune obligation de tenir une comptabilité, une fiscalité avantageuse  et la confidentialité. S’il n’est pas forcément aisé de s’informer sur les conditions de création dans certains pays de nombreuses sociétés vous accompagne dans la création de votre entreprise offshore ou de votre compte société offshore.

Les raisons de créer une société offshore

Si on imagine souvent des raisons illicites pour faire sa société offshore, ce n’est pas forcément le cas. Déjà, vous pouvez par exemple utiliser cette technique notamment si vous souhaitez faire des rachats et que vous ne voulez pas que la concurrence soit au courant. C’est une pratique courante dans certaines multinationales qui garde ainsi la confidentialité dans le cadre d’une fusion par exemple jusqu’à la dernière minute.

La plupart du temps, il s‘agit d’optimisation fiscale légale (à ne pas confondre avec fraude fiscale), tout comme il en existe beaucoup en France au travers des lois Pinel, Malraux… Il s’agit avant tout de bénéficier des réglementations souvent très favorables avec une basse imposition du pays où elle est implantée. Vous évitez ainsi l’imposition du pays d’origine. Autrement dit, il s’agit de faire en sorte que les bénéfices soient déclarés dans le territoire où il n’y a pas presque pas ou pas d’impôt dessus. Vous augmentez ainsi votre rentabilité.

Ainsi en France, par exemple, l’IS ou Impôt sur la Société est généralement de 33% des bénéfices réalisés par votre société. Une société offshore permet par exemple de disposer d’une réduction d’impôt voir d’absence d’impôt sur les bénéfices.

Parfois, il s’agit simplement de faciliter de gestion notamment si vous ne souhaitez pas rendre votre comptabilité publique ou encore par l’absence d’exigence sur le capital de démarrage.

Attention tout de même !

Reste que si ce n’est pas forcément illégal, il faudra tout même prendre en compte que ce n’est pas très moral. Alors oui, beaucoup joue sur les failles du système et notamment l’absence de transparence financière. Si vous cherchez à frauder le fisc, cela peut vite devenir dangereux pour vous. Mais si vous souhaitez simplement ne pas avoir de problème, on ne peut que vous recommander de le déclarer à l’administration fiscale, qui l’intègrera au calcul de votre ISF ou de votre impôt sur les sociétés.

La confidentialité et l’anonymat peuvent également nuire à la confiance que l’on porte dans votre société mais ce n’est pas tout dans le cadre où cette entreprise exécute des prestations qui sont facturées en France, il reste normal qu’elles soient imposées en France. Si vous souhaitez donc faire revenir vos bénéfices en France, il faudra le déclarer.

Wilco, ex-Scientipôle, un accélérateur pas comme les autres

Fin avril, l’accélérateur spécialiste des start-ups « Tech » et « Deep Tech » de la Région Île-de-France, annonçait un partenariat avec le groupe Atlantic, un groupe industriel français parmi les leaders du confort thermique en Europe, qui souhaitait renforcer sa démarche d’innovation. Un partenariat de plus en plus courant. Zoom sur un accélérateur unique.

Un accélérateur positionné sur l’innovation technologique

WILCO possède un positionnement particulier puisque l’accélérateur accompagne les start-ups dans les domaines Tech vers leur premier million d’euros de chiffre d’affaires annuel en 3 ans. L’accélérateur qui a déjà accompagné 350 start-ups et prête plus de 11M€ par an, ne prend contrairement à beaucoup d’autres de participation dans les start-ups. Il repose sur un modèle solidaire avec une offre de financement et d’accompagnement unique.

Organisé en 5 Accélérateurs orientés « marchés » (Industry, Healtchcare, Digital BtoB, Retail, BtoC), Wilco sélectionne et accompagne des start-ups qui réalisent peu ou pas de chiffre d’affaires, pour les amener à leur premier million de chiffre d’affaires en 3 ans. La sélection se fait donc sur des entreprises qui sont très jeunes et dont l’innovation est au stade de « prototype ».

Comme nous le confie Eric Vaysset, Directeur de WILCO, « Lors de leur sélection pour intégrer Wilco, les start-ups n’ont pas ou peu de clients et sont passées de l’étape de la conception jusqu’à celle d’un prototype qui fonctionne à peu près. A cette étape, les créateurs ont déjà dépensé beaucoup d’énergie et d’argent et cela devient compliqué pour eux, car s’ils ont la conviction que leur innovation va rencontrer un marché, cela ne s’est pas encore traduit concrètement. Nous axons notre accompagnement sur les 4 fondamentaux de développement d’une entreprise : les clients/ commandes, le financement, les opérations et la communication. Au final, chaque start-up sélectionnée (1 start-up sur 7 environ) paye 2000€ pour intégrer l’accélérateur : elle bénéficie alors de services d’accompagnement pendant 3 ans et d’un financement non dilutif jusqu’à 150 k€.  3 prérequis pour candidater : start-ups dont l’innovation s’appuie sur un « socle technologique, francilienne, de moins de 3 ans ».

Ce fonctionnement semble porter ses fruits puisque l’accélérateur, dont 10 % parvenaient à l’objectif du 1er million de chiffre d’affaires à 3 ans à ses débuts, peut se targuer de 25 % des entreprises qui y parviennent aujourd’hui.

La spécificité des programmes d’accélération de Wilco

Le programme d’accélération de Wilco se focalise sur 4 axes de développement : structuration des équipes, financement haut de bilan, sales & marketing et médiatisation et est organisé en 3 étapes.

1ère étape : « Start sessions », pour structurer le projet de développement de l’entreprise via des ateliers collectifs et un accompagnement individuel (10 jours par start-up).

2ème étape :  celui-ci se prolonge par des « Loan sessions » : accès à un financement via un prêt Entrepreneurs à taux zéro pouvant atteindre jusqu’à 150 k€/start-up.

3ème étape, « Up sessions », est axée sur l’accélération de la croissance via des services de Business Development, sur des parcours thématiques sur ces 4 axes de développement, et sur du mentorat de compétences.

Une volonté de collaborer entre start-up et grands groupes

L’accélérateur fonctionne grâce au soutien d’acteurs institutionnels tels la Région Île-de-France, Bpifrance, l’Union Européenne, et grâce à des mécènes ETI/Grands Comptes (Axa, Bouygues Télécom, BNP Paribas, Butagaz, Cisco, EDF, Gecina, HPE, Oracle, etc…).

En effet, les grandes entreprises cherchent de plus en plus souvent à collaborer avec des start-ups agiles pour répondre à leurs enjeux d’innovation : Veille Tech & Business, Open Innovation, Transformation Digitale, RSE/Marque Employeur et Communication.

Preuve en est que le Groupe Atlantic est le 5ème industriel qui soutient WILCO. En l’occurrence, ce dernier partenariat a pour objectif d’accélérer leur stratégie d’open innovation, un des grands enjeux pour les grands groupes s’ils souhaitent survivre dans un monde qui évolue de plus en plus rapidement. Le Groupe Atlantic qui prône depuis quelques années les « principes d’entrepreneuriat, d’innovation et d’agilité » s’inscrit bien dans ce cadre.

Dans le communiqué de presse Yves Fanton d’Andon, Directeur Marketing Stratégique du Groupe Atlantic explique : « Développer de nouveaux process, lancer de nouvelles solutions produits et services, s’ouvrir à des approches et méthodes de travail agiles sont des problématiques cruciales auxquelles notre groupe doit répondre pour s’adapter aux nouveaux enjeux de l’industrie 4.0 et de la digitalisation. Ce partenariat avec WILCO doit justement nous permettre d’identifier les start-ups avec lesquelles collaborer pour y parvenir. C’est d’ailleurs la capacité de ses équipes à détecter et sélectionner les start-ups à haut potentiel qui nous a séduits ».

Pour ce faire, la plupart des industriels n’hésitent pas à mettre à disposition leurs expertises et expériences au service de WILCO afin que les start-ups répondent aux problématiques et enjeux de grands groupes industriels.

4 questions à Eric Vaysset, Directeur de WILCO

Comment se passent les candidatures ?

Nous avons énormément de candidatures puisque pour un peu plus de 100 places, nous avons 800 candidatures. Nous avons donc dû nous organiser et nous prenons actuellement deux promotions d’une douzaine de start-ups par an et par accélérateur sachant qu’il y en a 5. Nous avons donc deux appels à candidatures par an (ndlr : un par semestre). Une fois sélectionnée, chaque start-up est accompagnée pour structurer son plan de développement, via un accompagnement collectif et individuel. Une fois prête (en 6 mois maximum), chaque entreprise présente son projet de développement au jury de financement (jury identique au jury de sélection) qui décide de l’attribution ou pas d’un prêt (150 k€ max).

Qu’en est-il du financement ?

Wilco prête jusqu’à 60 000 euros par entrepreneur et 150 000 euros par start-up, sans garantie personnelle. Ce prêt est sans intérêts, avec un différé de remboursement d’un an, et le remboursement est étalé sur 4 ans. Wilco va prêter environ 11 millions d’euros en 2019, avec un taux de remboursement proche de 94 % depuis 10 ans, assurant ainsi le financement des nouveaux candidats. Depuis sa création, Wilco a ainsi prêté 65 millions d’euros, grâce aux 28 millions d’euros mis à disposition par la Région Île-de-France et Bpifrance. L’argent prêté aux entrepreneurs à ce moment-là est fondamental : il leur permet « d’acheter du temps », passer une étape dans l’industrialisation, trouver leurs premiers clients, lever des fonds.

Concrètement, comment ça se passe ?

Les entrepreneurs ont l’obligation de mettre l’argent prêté dans l’entreprise : cet argent renforce les fonds propres et permet un effet de levier auprès d’autres financeurs du type Bpifrance ou Région Île-de-France. Ainsi, chaque euro prêté par Wilco aux startups génère 3 euros de financement public et 10 euros de financement privé (Business Angels, Venture Capital) : soit pour 11 M€ par an prêtés par Wilco, 30 millions de financement public et 100 millions de financement des investisseurs. Notre accompagnement séduit les investisseurs qui suivent de près les entreprises que nous accélérons, car nous aidons les start-ups à développer leur chiffre d’affaires, en nous appuyant sur un réseau de business développeurs qui pratiquent des tarifs plus doux pour permettre aux entreprises de décoller.

Comment financez-vous votre activité ?

Wilco a pivoté d’un modèle économique 100 % public en 2012, à un modèle économique 60 % privé en 2019. Dès 2012, notre conviction était que les grandes entreprises souhaitant développer des relations avec des start-ups auraient intérêt à soutenir notre programme d’accélération des start-ups sur 3 ans et 4 axes : c’est dans ce travail de fonds que réside notre création de valeur qui permet aux grandes entreprises de travailler avec les start-ups Wilco en toute sérénité. Des groupes comme Gecina ou encore Saur, leader de la distribution de l’eau dans le domaine rural, l’ont bien perçu, et sont venus rejoindre le Club des 30 Partenaires Wilco.

La domiciliation, le premier atout de l’entreprise

Votre projet est en place et il s’annonce prometteur. Vous savez que les formalités sont maintenant simplifiées. Dès que vous commencez les premiers pas vers la création de votre entreprise, vous vous rendez compte que même si les démarches sont aisées aujourd’hui, elles restent fort chronophages.

Vous devrez établir votre siège social avant d’effectuer vos diverses démarches administratives (SIRET…), et avant d’entrer en contact avec votre future banque. Cela vous permettra d’émettre les projets de statuts de votre entreprise. Sans eux, impossible d’aller plus avant. Vous êtes pris au cœur de votre entreprise et vous devez consacrer votre temps à développer votre clientèle, rencontrer des business Angels. Alors, comment faire pour être efficace sans perdre de temps ?

Domiciliation, mais que faut-il faire ?

Ne prenez pas peur ! Il ne s’agit pas de prendre des bureaux, alors que votre trésorerie a déjà de nombreux investissements à faire, comme la création de votre site internet, de perfectionner votre produit, ou de mettre en place un service livraison. Il existe des entreprises dont le cœur de métier est la domiciliation de siège social et vous pourrez réaliser en quelques clics votre domiciliation pour un prix souvent compétitif et sans surcharger votre trésorerie. Domiciliation, cela signifie que vous avez une adresse postale physique qui vous offre l’opportunité de l’inscrire sur tous vos documents officiels (statut, banque, factures…) et vos supports de communication (site internet, brochures, plaquette…)

Comment choisir le lieu de domiciliation ?

Bien entendu, il peut arriver que vous vouliez que l’image de votre entreprise se trouve également valorisée par le lieu. La domiciliation fait partie des nouvelles habitudes des créateurs d’entreprise d’aujourd’hui, de leur nouvelle manière de se comporter. Ils sont plus d’un à avoir recours à cette opportunité, notamment pour sa capacité à rester identique, quel que soit votre lieu de travail. Pour commencer, vous pouvez chercher une domiciliation qui correspond à vos critères de visibilité et de notoriété. Si votre activité se déroule à Paris, il pourra être judicieux de domicilier votre entreprise sur Paris et vice versa.

Ce n’est pas tout

En recherchant votre domiciliation, vous vous êtes rendu compte que certaines entreprises dynamiques proposent d’autres services qui vous sont indispensables et vous êtes conscient que vous ne pouvez pas être sur tous les fronts. Alors, choisissez une domiciliation qui correspond à vos besoins et qui vous propose d’autres services comme la redirection du courrier.

Même si dans les premiers temps, seule la domiciliation vous semble nécessaire, vous allez vite générer de nouveaux besoins. Vous n’aurez pas besoin d’aller chercher ailleurs ce que vous pouvez trouver dans l’entreprise choisie. Il vous faudra donc bien sélectionner une domiciliation qui vous permet d’anticiper l’avenir. Au moment du développement, l’entrepreneur n’a pas le temps de s’occuper des bureaux et pourtant, il faut bien qu’il attire les nouveaux collaborateurs pour une situation géographique optimum et qu’ensuite, il les installe dans un lieu convivial. Avoir anticipé au moment de la domiciliation est ainsi porteur d’efficacité.

Alors quels sont donc les services proposés qui vous permettront d’anticiper votre développement, ou mieux encore participer à votre développement ?

Tour d’horizon de vos besoins actuels ou futurs

La gestion du courrier

Le premier besoin lié à la domiciliation est la gestion du courrier : la lecture du courrier fait partie des tâches quotidiennes, car le contenu peut être lié à un client, à la banque et être source de bénéfices … Vous devez donc pouvoir le lire rapidement. Mais votre temps est compté et vous ne pouvez pas vous déplacer. Vous pouvez demander par exemple que votre courrier vous soit renvoyé à une adresse qui vous convient, mais le nec plus ultra est de demander que l’on vous scanne le courrier et qu’on vous l’envoie par email. Vous gagnerez un temps considérable et serez à même, sans perdre une minute de votre temps précieux, de répondre aux demandes urgentes, notamment celles qui sont créatrices de chiffre d’affaires.

La permanence téléphonique et le secrétariat

Le second besoin, c’est la permanence téléphonique qui vous permet de mener à bien vos rendez-vous avec vos clients sans vous inquiéter de manquer une opportunité, ou d’avoir l’esprit serein lorsque vous êtes en présentation de vos produits ou services. Vous le savez bien, votre téléphone portable doit être éteint pendant vos rendez-vous, mais les écouter par la suite prend du temps, alors qu’une permanence téléphonique vous donnera l’essentiel et vous pourrez agir selon l’importance du client. Cette permanence téléphonique peut également se transformer en secrétariat comme le fait de gérer votre agenda et accomplir les tâches courantes (prise de rendez-vous, rappel de rendez-vous, réservation des billets…)

La location de bureaux

Selon les circonstances et l’évolution de votre entreprise, vous aurez besoin d’avoir un bureau permanent ou occasionnel qui vous offre des conditions optimales. On pense notamment à une ligne internet, une salle de réunion ou un bureau pour rencontrer les clients. Il est également possible de louer des bureaux pour seulement des rencontres occasionnelles avec des clients, ou pour réaliser votre Assemblée Générale avec vos business Angels dans des lieux appropriés et leur donner une excellente image de votre entreprise. Toutes les réponses à vos besoins, vous pouvez les trouver auprès d’entreprises professionnelles qui ont une réelle expertise en la matière.

Ce système vous permet d’évoluer en même temps que votre entreprise. Si au début vous n’avez besoin de louer qu’un bureau pour des rendez-vous occasionnels et qu’ensuite vous souhaitez avoir davantage d’espace pour installer vos collaborateurs, vous pourrez le faire sans avoir à chercher des bureaux et pourrez ainsi vous consacrer sans inquiétude à vos priorités : le développement de votre société.

Vous l’avez compris, le choix de la domiciliation est votre première démarche essentielle. Elle vous permet non seulement de réduire vos coûts, mais aussi d’anticiper l’avenir. La domiciliation permet par ailleurs de choisir le lieu qui rassurera les clients sur la qualité de votre entreprise. Appartenir par exemple à un centre d’affaires qui comprend d’autres sociétés prestigieuses est toujours un atout pour votre notoriété.

Dirigeant, comment se détendre ?

Lorsque l’on est chef d’entreprise, l’un des métiers réputés comme l’un des plus stressants du monde, mieux vaut pouvoir relâcher la pression. Il s’agit de tenir sur la durée davantage que sur le court terme. Il faut donc trouver des méthodes de relaxation qui vous permettront de ne pas être tout le temps le nez dans vos affaires. Se détendre l’esprit demeure essentiel pour votre productivité mais surtout pour que votre santé ne s’en retrouve pas affecté. 

Faire du sport

On ne répètera jamais assez l’importance du sport et de la condition physique chez le chef d’entreprise. La plupart des entrepreneurs considèrent d’ailleurs celui-ci comme faisant partie de leur fonction. Il s’agit d’insérer dans votre planning, le sport comme une tâche de travail. D’ailleurs, il est courant de prendre du recul sur ses affaires pendant ces moments et de réfléchir à une stratégie future ou tout simplement de trouver des idées qui permettront d’aborder un dossier complexe. Votre corps génère des hormones bénéfiques qui vous permettront de mieux résister au stress. Pour un maximum d’efficacité, cherchez un sport qui vous procure du plaisir.

Jouer à des jeux

Moins connu mais souvent pratiqué par les entrepreneurs, les jeux qu’ils soient présents sur votre mobile ou sur une console demeurent souvent une source de détente pour les entrepreneurs. Il s’agit d’en trouver ceux qui ne vous prennent pas trop de temps mais qui soient suffisamment distrayants pour vous permettre de laisser votre esprit s’évader pour se ressourcer. Certaines pratiques comme le pronofoot pour les fans de ballon rond demeurent une bonne source de relaxation. Ils vous permettent de penser à autre chose et éventuellement de partager votre passion avec vos collaborateurs.

Prendre du temps pour sortir avec les amis

Vous connaissez la meilleure manière de vous détendre ? Passer du temps avec votre famille ou vos amis à rire ! Vous pouvez penser à autre chose que votre business et complètement vous relaxer. Essayez d’éviter tout sujet lié à vos affaires quand vous les rencontrez même s’il demeure courant de parler de son entreprise en début de conversation. Se détendre n’implique pas forcément de trop faire la fête notamment en consommant trop d’alcool. Vous devez rester modéré pour éviter d’épuiser, à l’inverse, votre corps. De la même manière n’hésitez pas à regarder des films ou séries comiques (sans en abuser bien entendu), le rire est essentiel.

Faire du yoga ou de la méditation

Nul n’est besoin de prouver, aujourd’hui, les bienfaits du yoga et de la méditation sur le stress. Pratiquer des activités comme la méditation ou le yoga vous permet de vous recentrer sur vous-même et en même temps d’éliminer les sources de stress. Les cours sont disponibles un peu partout et vous pouvez même les pratiquer de chez vous. Adoptez la zen attitude !

Faire une liste des activités distrayantes

De manière générale, vous pouvez dresser une liste de toutes les activités que vous n’avez pas encore pratiquées ou lieux que vous n’avez pas encore visités. Il s’agit de faire des activités nouvelles que vous n’avez jamais pratiqué afin que la sensation de nouveauté et de découverte absorbe votre esprit. Le meilleur dans tout cela, c’est que vous stimulez votre partie créative et pourriez bien trouver des solutions originales qui vous pourriez appliquées dans votre business. Les moments culturels représentent finalement une excellente opportunité pour vous ouvrir l’esprit à d’autres manières de fonctionner.

 

Rencontrer ses pairs

L’isolement du chef d’entreprise est bien connu. Pour déstresser et éventuellement trouver des solutions à vos problèmes, pourquoi ne pas en parler aux autres chefs d’entreprise. Vous pourrez voir qu’ils sont nombreux à avoir rencontré les mêmes difficultés aux différents stades de l’entreprise. Il est même courant de voir des entrepreneurs qui ont subi des « échecs » qui se sont révélés être une source d’apprentissage. Parlez donc à ceux qui vous comprennent le mieux et qui ont vécu les mêmes situations que vous ! Il ne s’agit pas de vous vendre cette fois-ci mais réellement de partager des expériences et votre ressenti. Vos pairs vous comprennent mieux que quiconque et il est très rare de rencontrer des chefs d’entreprise qui n’ont rencontré aucune difficulté. Même les plus grands noms de l’entrepreneuriat ont parfois connu une faillite (ou plusieurs) ou ont été proches de celle-ci.

Trouver une passion

Si vous avez déjà une passion, n’oubliez pas de la pratiquer. Sinon, vous pouvez rechercher une activité qui vous détend particulièrement. Pendant ce temps, vous êtes plongé dans votre bulle, ce qui vous permet de vous ressourcer. Les passions ont cela de bons qu’elles absorbent complètement notre esprit et nous permettent de faire redescendre la pression. Listez donc ce que vous aimez bien faire et demandez-vous quelle activité peut vous plaire sur le long terme. Vous pouvez prendre du temps pour vous décider ou tester diverses activités pour voir celle qui vous convient le mieux.

Relativiser l’importance de votre travail

Il est vrai qu’il y a souvent une confusion entre votre entreprise et vos passions. En réalité, elle représente souvent l’une de vos passions. Vous y mettez d’ailleurs une énergie colossale et elle fait un peu partie de nous. Plus l’entreprise grandit, plus la satisfaction personnelle est grande. A l’inverse, celle-ci peut vite devenir anxiogène et vous devez parfois prendre du recul sur l’importance de chaque tâche. Vous pouvez vous demander ainsi :  que se passerait-il si je n’exécutais pas telle tâche ? Il est courant de se mettre trop la pression et de crouler sous le stress au regard de la charge de travail que le chef d’entreprise doit exécuter.

Acheter des objets anti-stress

Pour se détendre, vous pouvez penser à tous les objets qui permettent de se déstresser, pour un budget plus que modeste, vous pouvez trouver votre bonheur. Pensez plus globalement à toute l’atmosphère de votre lieu de travail qui peut dégager la zen attitude. N’hésitez pas à penser également à en fournir à vos collaborateurs et à créer des moments de détente avec eux. Chacun doit produire ce qu’il a à faire mais autant le faire dans la bonne humeur !

Prendre du temps pour vous

Il existe encore de nombreuses méthodes pour vous déstresser mais la plus efficace reste souvent de penser à vous. Prenez du temps globalement pour vous. Il s’agit de vous chouchouter voire même de prendre soin de votre apparence. Plus vous serez bien dans vos baskets, plus vous serez bien dans votre tête. S’accorder du temps ne représente pas une perte de temps, bien au contraire. Vous représentez votre entreprise et donc vous véhiculez une meilleure image si vous prenez du temps pour vous. Vous ne pouvez pas être toujours celui qui assume l’ensemble des tâches. Dans le même courant de pensée, déléguez un maximum à vos collaborateurs car vous devez pouvoir compter sur eux. Ils assumeront une partie de la pression à votre place et vous libèreront un temps précieux.

La reconnaissance, une lubie du moment ?

Aujourd’hui tous les sondages et études mettent en exergue la reconnaissance comme une valeur qui se doit d’être portée par les dirigeants. Exprimer sa reconnaissance aux salariés permettrait de créer le bien-être des salariés, qu’ils s’impliquent davantage et que l’ambiance au travail soit conviviale. Cette reconnaissance est-elle un subterfuge pour obtenir davantage des salariés ou porteuse de valeurs ? Décryptage.

Les avantages indéniables de la reconnaissance

La reconnaissance demeure fondamentale pour les entreprises surtout dans les grands groupes puisqu’elle permet de distinguer les salariés qui s’impliquent. Votre salarié est mis en avant, ce qui est source de fierté. Chacun aime se sentir fier et reconnu pour le travail accompli notamment quand il y a eu un effort considérable mis en œuvre. Par ailleurs, vous montrez l’exemple à suivre ce qui peut inspirer les autres collaborateurs à s’impliquer davantage.

En dehors de l’aspect fierté, la reconnaissance apporte d’abord un élément essentiel : celle de donner du sens au travail accompli. Elle est essentielle car elle donne un but à une action qui peut paraitre anodine. Si les performances commerciales sont faciles à mettre en avant, chaque salarié contribue en réalité à la réalisation d’un grand tout. Il est parfois naturel d’oublier pourquoi nous faisons telle ou telle action, surtout quand le travail devient une routine. Montrer de la reconnaissance permet donc de situer l’utilité de telle ou telle action notamment sur les performances globales de l’entreprise.

La reconnaissance est aussi essentielle lorsqu’elle provient d’un effort. Votre salarié s’implique et donne le meilleur de lui-même alors qu’il pourrait se contenter de réaliser simplement des tâches. Elle est avant tout la première forme de récompense pour les salariés. Son impact est bien supérieur à une augmentation de salaire et elle ne vous coute rien donc pourquoi ne pas la montrer ?

La reconnaissance mais pas à n’importe quel prix

Si la reconnaissance est essentielle, elle ne doit pas être faite pour tout et n’importe quoi. A défaut, vous pourriez bien banaliser le fait de mettre en avant telle ou telle personne. Vous pourriez même passer pour un faux cul.

Elle doit donc intervenir dans le cadre de l’atteinte d’un objectif. Nombre d’entreprises ont pris l’habitude de fêter chaque jour des petits évènements … dans le but d’avoir quelque chose à célébrer et de motiver les troupes. En ce sens, elle est devenue dans certaines entreprises un subterfuge car elle est devenue dénuée de sens. Rappelons qu’elle doit montrer un exemple de comportement et pas simplement servir à mettre de la poudre aux yeux aux collaborateurs.

Votre reconnaissance doit avant tout être sincère et honnête. Il peut être naturel de penser que le fait que chacun travaille est normale puisque vous offrez en contrepartie un salaire. Cependant, vous devez prendre en compte que votre salarié ressent peut-être de la lassitude et que la répétition d’une même tâche peut vite devenir un fardeau. La reconnaissance ne doit pas être faite pour faire plaisir mais provenir d’un profond sentiment intérieur. Vous devez prendre en compte que vos salariés s’impliquent malgré des difficultés et sur le long terme malgré une certaine lassitude. S’ils s’impliquent encore et toujours, ils pourraient bien le faire ailleurs alors vous devrez peut-être travailler vos sentiments. La reconnaissance provient d’abord d’un travail intérieur. 

Les formes de la reconnaissance

Elle commence d’abord par un simple « merci! ». Vous pouvez également signifier celle-ci par diverses moyens comme la mise en avant dans votre newsletter d’entreprise avec l’employé du mois, une remise de trophées, une prime, l’octroi de congés supplémentaires, ou encore la remise d’un trophée. Il existe des milliers de manières pour montrer celle-ci.

Vous devez avant tout adapter la forme à la sensibilité de votre salarié. Tout le monde n’a pas forcément les mêmes facteurs de motivation et donner systématiquement une prime à chaque salarié ne se révèle pas tout le temps la solution. Certains attendent par exemple une montée en compétences par le biais de formation ou à évoluer de poste. Il vous faut donc vous intéressez à ce que votre salarié désire vraiment.

Pour conclure, si elle demeure fondamentale comme facteur de motivation et l’exemplarité, la reconnaissance ne doit pas intervenir pour n’importe qu’elle raison et doit prendre une forme adaptée à chaque salarié.

7 astuces pour convaincre vos proches de la viabilité de votre entreprise !

Vous avez décidé de créer votre entreprise mais vous ne savez pas comment aborder le sujet avec vos proches sans les inquiéter ? Vous avez annoncé à votre famille que vous lanciez votre activité. Or, vous avez été surpris par la frilosité de leur accueil et même par leurs critiques acerbes qui vous ont affecté ? Voici 7 astuces pour convaincre vos proches de la viabilité de votre entreprise et que vous êtes prêt à commencer cette aventure !

Faites-les rêver ! 

Avant toute chose, montrez-leur que l’entreprise que vous allez monter vous passionne. Si ce projet vous anime, transmettez cette envie. Expliquez-leur ce qui vous plaît. L’idée, son application, comment vous êtes arrivé à penser que votre projet était judicieux et porteur, les raisons qui font que, non seulement, vous vous lancez dedans, mais qu’en plus vous êtes bien déterminé à aller jusqu’au bout. Vendez-leur le produit ou le service, montrez-leur que votre entreprise s’intègre parfaitement dans le marché et que c’est une opportunité à saisir absolument qui ne reviendra pas et que vous ne voulez pas regretter toute votre vie de ne pas l’avoir saisie.

Vous êtes LA personne pour mener à bien ce projet

C’est votre projet, il va faire partie de votre vie et vous n’avez qu’une hâte : le mener le plus loin possible. Vendez-leur les atouts de la création d’activité et faites-leur sentir que c’est ce qui vous fait vibrer à présent. Quoiqu’il arrive, vous irez au bout de ce que vous avez en tête ! Vos proches vous connaissent mieux que personne, ils reconnaîtront vos qualités. Soyez honnête et lucide sur vos compétences : ils auront davantage confiance en vous et votre projet s’ils vous reconnaissent une bonne capacité d’introspection et d’analyse…N’hésitez pas à leur montrer vos faiblesses mais comment vous allez y parer pour qu’elles ne soient pas un frein.

Vous savez ce qui vous attend 

Vous connaissez ce domaine, vous avez des relations dans le secteur, vous savez faire venir la clientèle… Rassurez-les sur vos connaissances, vos compétences et sur les risques que vous prenez. Il faut que vos proches soient convaincus que vous ne vous lancez pas les yeux fermés et que vous êtes conscient des difficultés à surmonter.

Parlez chiffres mais sans en abuser ! 

Si quelques chiffres bien choisis permettent d’affirmer que vous maîtrisez votre projet et le business plan, ne perdez pas vos proches dans une profusion de chiffres qu’ils ne comprendront pas. Soyez explicite et transparent. Il ne suffit que de quelques données bien choisies pour leur faire comprendre l’enjeu financier de votre future entreprise. Inutile d’employer le jargon des financiers ! Mettez-vous à leur portée et faites confiance à leur bon sens.

Rassurez-les avant tout

Si les conséquences et les risques de votre activité vous semblent clairs et mesurés, vos proches, eux, peuvent s’inquiéter d’autant plus qu’ils ne connaissent pas votre projet et qu’ils n’ont pas leur mot à dire. Plus vous en direz et plus ils seront rassurés. Partagez vos doutes et montrez-leur que vous comprenez que votre projet les engage également sur le plan affectif. Vous leur prouvez ainsi que vous avez pleinement conscience de vos responsabilités… et que leur soutien compte !

Vous n’êtes pas seul dans cette aventure ! 

Faites-leur connaître les partenaires qui croient également à la viabilité de votre projet : investisseurs, clients potentiels, partenaires mais aussi les personnes qui voudraient éventuellement se joindre à vous pour ce projet…. Nombreux sont les professionnels qui sont d’accord pour prendre le risque avec vous, qui vous soutiennent ou qui vous conseillent. Vous leur prouverez ainsi que vous ne foncez pas tête baissée dans l’inconnu.

Prenez des exemples de personnes qui ont réussi,

Et pour cela dans notre magazine Dynamique entrepreneuriale, vous trouverez une foule d’entrepreneurs qui ont réussi qui vous permettront d’étayer votre démonstration.

Le cap des 3 à 5 ans en entreprise, une épreuve périlleuse à franchir ?

L’activité d’une entreprise n’est pas un long fleuve tranquille. Elle est faite de remous, de passages à vide, de périodes de difficultés et à l’inverse de périodes de croissance. L’entrepreneur doit donc mener la barque quelle que soit la situation à affronter et indiquer la bonne marche à suivre. Pourtant, il arrive assez souvent, que certains passages soient plus durs que d’autres à affronter. C’est le cas du fameux cap des 5 ans (couramment ramené à 3 ans), pour lequel on avance un chiffre qui fait froid dans le dos : 51% seulement des entreprises réussissent à développer leur activité au-delà de ces cinq années.

Le fantôme de l’échec ?

Force est de constater que ce sont des situations identiques qui amènent les entreprises à ne pas pouvoir dépasser ce cap des 5 ans. Des problèmes de trésorerie, des problèmes inhérents au statut initial choisi par le créateur d’entreprise, un effectif mal géré, trop important ou à l’inverse pas suffisant… Tous ces facteurs ont causé la faillite de bon nombre d’entreprises, avant même qu’elles aient pu atteindre le cap des 5 ans, voire même celui des 3 ans.

Il est certain que le démarrage d’une activité commerciale n’est pas chose aisée. Il est nécessaire de se prémunir contre toutes sortes de risques, tout en assurant le développement de son activité, ce qui demeure compliqué à gérer en même temps. C’est pour cette raison que les créateurs d’entreprise les plus soumis au risque d’échec à 3 ans restent les micro-entrepreneurs,solitaires dans leur aventure, souvent mal épaulés, et donc susceptibles de ne pas pouvoir pérenniser leur activité. Pourtant, certaines situations peuvent être anticipées.

Comment anticiper ?

Afin d’éviter cet échec qui menace toutes les entreprises dont l’existence ne dépasse pas encore 3 ans, il est important de bien veiller aux choses suivantes, à la fois avant la création de votre société, et pendant l’activité :

  • Bien choisir le statut de votre entreprise avant sa création, choisir celui qui sera le plus à même de protéger votre entreprise durant toute son exploitation et de vous prémunir contre les risques inhérents à l’activité choisie.
  • Veiller à s’engager sur un secteur d’activité pérenne. En effet, beaucoup de créateurs d’entreprise s’engagent sur des domaines d’activité déjà bondés, assaillis par bon nombre d’autres entreprises. Il est donc primordial de bien prendre le temps de réfléchir aux possibilités de développement, sur le court terme comme sur le long terme, du secteur d’activité choisi.
  • Éviter d’avoir une trésorerie négative. Le gros point noir des entreprises qui ne parviennent pas à dépasser le cap des 3 à 5 ans réside dans une mauvaise gestion de leur trésorerie. Pensant avoir fait le plus dur en dépassant la première année d’existence, les chefs d’entreprise en herbe ont souvent tendance à oublier la gestion rigoureuse de leur trésorerie, une tendance qui se manifeste par un laxisme sur le remboursement des créances clients, sur le paiement de leurs propres créances, mais aussi sur une mauvaise gestion des stocks.
  • Ne pas hésiter à rechercher des financements pour pouvoir développer votre croissance. Vous avez déjà pu dépasser certaines difficultés et votre rôle est de mettre en exergue vos capacités à voir dépasser les difficultés mais aussi de montrer que sans apport d’argent, vous ne pourrez pas faire face à la concurrence.

10 qualités requises pour un entrepreneur

Qu’est-ce qu’entreprendre ? C’est monter un projet et réaliser un rêve ! C’est en quelque sorte un défi que peu de gens choisissent de relever parce qu’il s’agit d’un métier difficile et exigeant et qui engage la vie personnelle. Avoir les qualités essentielles d’un bon entrepreneur est encore plus compliqué que le métier en lui-même.

La détermination est la clé de la réussite

Les entrepreneurs qui réussissent sont ceux qui n’ont pas peur d’agir et ceux qui sont déterminés dans leurs projets. Rien ni personne ne peut arrêter un entrepreneur déterminé, il sait ce qu’il doit effectuer pour avancer et ne se trouve aucune excuse pour ne pas progresser. Attention ne jamais confondre détermination et obstination. « Tout obstacle renforce la détermination. Celui qui s’est fixé un but n’en change pas. » Léonard de Vinci (1452 – 1519) La persévérance est un atout

La détermination est le commencement, mais pour réussir, il faut aussi de la persévérance. Aucun succès n’a jamais été accompli sans échec, ainsi il ne faut pas se démoraliser au moindre incident : perte d’un client, démission d’un salarié, etc. « Le succès c’est tomber sept fois, se relever huit » Proverbe japonais

Il faut avoir des rêves pour réussir

Reconnaître l’impossible est un excellent moyen de ne pas arriver à ses fins. « La principale différence entre un chef d’entreprise et un autre qui a réussi est la taille de leurs rêves » selon l’entrepreneur américain Bill Gates. Oscar Wilde disait : « Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles ».

La générosité n’est pas un défaut

Faut-il parler de ses idées ou les cacher ? Il y a un temps pour tout et si vous jugez que le temps des cachotteries est loin derrière vous, comprenez une chose : « il n’y a pas de concurrents, mais des partenaires ». Certains d’entre eux peuvent vous aider, en particulier par des compétences ou des connaissances que vous n’avez pas et vous suggérez des idées que vous n’auriez pas eues.

La passion permet d’ouvrir la voie

Créer son entreprise est une tâche complexe à effectuer. Vous êtes le dirigeant et donc aucun supérieur n’exigera de vous des résultats. Quelle est la meilleure motivation pour réussir ? Soyez passionné par ce que vous faites, vous ferez du bon travail et en vous amusant.

La créativité est une qualité requise pour un entrepreneur

La créativité est ce qui fera prospérer votre entreprise. En effet, il faudra que vous donniez aux clients l‘envie de s’intéresser à votre produit ou service.

S’organiser et savoir tout planifier pour avancer

Un bon entrepreneur est censé être organisé. Ce professionnel se doit de tout planifier (les mois à venir) et sait pertinemment à quoi s’en tenir. Son credo ? On fait un plan et on le suit. On en fait un autre s’il est nécessaire de s’adapter à ce monde en perpétuel changement.

La rigueur avant tout

Les entreprises les plus rigoureuses ressortent toujours victorieuses, ainsi on se rend compte de l’importance de la rigueur. Pour réussir, l’entrepreneur se doit alors d’être discipliné, il devra se tenir au plan et ne doit pas se laisser aller.

Pour avoir du succès, être un pro du contact

Avoir le sens du contact et être particulièrement sociable est un atout majeur dans la création d’une entreprise. Qui sait, peut-être qu’un jour ses contacts pourront l’aider, voire créer un partenariat ! Le réseau est primordial pour développer un business.

L’intégrité est un plus

Un entrepreneur doit travailler pour gagner sa vie, mais doit surtout travailler pour satisfaire ses clients afin de les fidéliser. Son intégrité sera sa marque de fabrique et si les temps deviennent difficiles, il lui permettra de naviguer en eaux troubles sans se laisser entamer par les flatteries. « Rien n’est plus sacré que l’intégrité de votre esprit. » Ralph Waldo Emerson.  (1803 – 1882)