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Le self-stockage pour les entreprises ?

Si tout particulier connaît déjà le problème d’accumulation et d’entassement de ses affaires personnelles, alors imaginez la même situation pour une entreprise… En effet, chaque société ayant obligation de conserver de nombreuses archives et autres documents administratifs un certain nombre d’années, il est facile de se retrouver envahi de cartons pas forcément utiles, mais dont il n’est pas possible de se débarrasser. 

Ajoutez à ceci tous les meubles, matériels informatiques et autres outils nécessaires à son fonctionnement… Impossible à conserver à moins de disposer d’un entrepôt dédié ! De nombreuses sociétés se tournent ainsi vers des solutions de self-stockage.

Homebox propose des espaces de stockage dédiés aux entreprises et proposant tous ces avantages pour assurer la tranquillité des sociétés.

N’hésitez plus à désencombrer vos locaux en toute sérénité en faisant appel à un professionnel de l’espace de stockage. Des solutions adéquates sont disponibles pour votre confort. 

Les avantages du self-stockage pour une entreprise

Le self-stockage consiste à louer un box à la manière d’un garde-meuble afin d’y stocker ses biens encombrants et non nécessaires à une utilisation quotidienne. C’est une solution de stockage pour les entreprises parfaitement adaptée à leurs besoins, que ce soit pour une situation temporaire, notamment si votre entreprise doit déménager, ou pour du long terme. 

Des formats adaptés à toutes les entreprises 

Le self-stockage est avantageux pour les entreprises dans la mesure où les locaux d’entreposage proposés sont de tailles différentes, et chaque entreprise y trouvera assurément son compte.

De plus, la durée des contrats de location de ces box est la plupart du temps très flexible, idéale pour les entreprises qui doivent parfois réagir rapidement et ne peuvent pas se permettre de s’engager sur une trop longue durée. 

Ainsi, il est souvent possible de renouveler le bail de son box d’un mois à l’autre, Les entreprises qui sont en cours de déménagement, de rachat, ou qui connaissent une situation financière délicate pourront donc souscrire à un contrat qui s’adapte à leurs besoins.

Des box sécurisés

De plus, certains prestataires proposent des accès aux box via des codes d’accès personnalisés. C’est probablement la meilleure option pour une entreprise. L’accès sécurisé permets un contrôle permanent. Elle peut être prévenue en temps réel des allers-retours du box, ce qui limite les risques de vol ou de disparition de matériels et documents.

D’une manière générale, les sociétés proposant une solution de stockage pour les entreprises possèdent des systèmes de télésurveillance très élaborés vous garantissant un niveau maximum de sécurité.

Enfin, il faut garder à l’esprit que c’est le box qui s’adapte aux besoins de l’entreprise, et pas l’inverse. Ainsi, si à tout moment un gain d’espace est effectué, il sera possible de déménager vers un local plus petit afin de payer un loyer moindre, et vice versa.

Comment choisir son prestataire de self stockage?

Plusieurs contraintes seront à prendre en compte lors du choix du prestataire pour louer un espace de stockage.

  • Vérifier la flexibilité du contrat, tant en terme de souplesse et de durée souscrite, qu’au niveau de la mobilité d’un box à l’autre.
  • Choisir une solution sécurisée qui permet d’identifier les intervenants au sein du box.
  • Prendre soin de s’assurer que les box sont dotés d’un système anti-incendie.
  • Opter pour un box accessible 24h/24, dans la mesure où en cas d’urgence, il sera peut-être nécessaire d’intervenir rapidement et ce peu importe le jour où l’heure.
  • Choisir un box de proximité : si vous êtes basé à Paris, alors choisissez un garde meuble à Paris. Il n’est en effet pas judicieux d’avoir à faire 1h de route ou 100km pour accéder à son espace de stockage…
  • S’assurer que le prestataire propose des solutions de manutention adaptées : chariots, ascenseurs, etc., dans la mesure où le box peur se situer à l’étage du bâtiment.

Recrutement en start-up : Pourquoi choisir Ignition Program ?

Vous aimeriez faire l’objet d’un recrutement en start-up ? Donnez-vous le maximum de chances avec Ignition Program, spécialiste du secteur !

Ignition Program, la boîte qui veut du bien à votre carrière

Vous aimez l’ambiance et les valeurs que l’on retrouve dans les start-up ? Vous êtes à la recherche d’une entreprise qui a besoin d’un profil colle le vôtre avec vos compétences précises ? C’est pour répondre à ce type de demande qu’Ignition Program, spécialiste du recrutement en start-up a été créé !

Présentation d’Ignition Program

Ignition Program a pour vocation d’accompagner les candidats dotés d’un haut potentiel entrepreneurial dans le cadre d’un recrutement en start-up, en leur proposant un emploi dans celles qui sont les plus prometteuses.

L’objectif est double : Pour les entreprises, leur apporter des professionnels compétents qui vont les aider à se développer et pour les candidats, ils bénéficient d’une très bonne expérience pour devenir les entrepreneurs de demain.

La fondatrice a eu cette idée en partant de son expérience professionnelle en constatant que de jeunes talents ne peuvent pas réellement faire preuve de leurs compétences dans de grands groupes. Et de l’autre côté, des entreprises peinent à dénicher les candidats qui pourraient permettre à leur projet de voir le jour. C’est ainsi qu’Ignition Program est né afin de mettre en contact des diplômés à la recherche d’un poste à responsabilité et donner du sens à leur travail comme cela est expliqué sur le blog Mondandy et des start-up qui ont besoin de ces talents pour une croissance optimale.

Un accompagnement d’excellence pour un recrutement en start-up

Ignition Program accompagne ses candidats dans le recrutement en start-up pour leur apporter une nouvelle manière de concevoir leur vie professionnelle. Elle ne se contente pas de proposer votre CV à des entreprises qui recherchent des compétences comme les vôtres comme le ferait une simple agence d’intérim. Elle va plus loin en vous proposant un véritable accompagnement pour bien gérer votre carrière. C’est pourquoi elle vous permet de participer à des conférences qui font intervenir des invités de renom reconnus dans leur domaine afin de vous faire profiter de leur expertise, des formations pour développer vos connaissances RH et sur les start-up et des meetup qui permettent de rencontrer les autres membres de la communauté mais aussi les entreprises partenaires. Ces rendez-vous sont l’occasion parfaite d’élargir votre cercle de relations professionnelles et cela peut déboucher sur un recrutement en start-up !

Avec un accompagnement professionnel dans toutes vos problématiques et dans vos évolutions, cette société vous permet d’avoir une carrière qui vous correspond pleinement, dans laquelle vous vous épanouissez.

Le processus de recrutement

Si vous souhaitez agrandir la communauté d’Ignition Program et augmenter vos chances d’obtenir un recrutement en start-up, voici les étapes à suivre :

  • Le profiling : Les experts de l’entreprise commencent par étudier votre profil, votre objectif, découvrir votre parcours et comprendre votre personnalité afin de trouver le type de poste qui vous convient le mieux. Vous devrez donc rédiger un CV pour retracer vos expériences, si vous avez besoin d’aide à ce sujet, cliquez ici.
  • Le matching : Après avoir une meilleure connaissance de votre profil, les experts d’Ignition Program peuvent identifier les meilleures start-up et les postes les plus adaptés à vos aspirations et à vos compétences. Entre 3 et 5 entreprises sont sélectionnées et avec lesquelles vous passez des entretiens. Il ne reste alors qu’à signer un contrat avec l’une d’elles !
  • Le programme d’accélération : Le travail de cette société de mise en contact ne s’arrête pas dès que le recrutement en start-up est effectué. En effet, une fois que vous avez commencé à travailler, vous pouvez participer à des événements mis en place par Ignition Program pour développer vos compétences.

Plus de 50 fonds d’investissement s’engagent enfin à financer 25% de startups fondées ou co-fondées par des femmes

Sortir du carcan des préjugés sur la capacité des femmes à réussir dans leur entreprise sera enfin possible grâce entre autres à une charte qui met un frein aux pratiques discriminantes des fonds d’investissement à l’égard des femmes entrepreneures.

Le 17 octobre 2019 en présence des Secrétaires d’État Marlène Schiappa et Cédric O, plus de cinquante fonds de capital-risque français ont signé la charte SISTAxCNNum, co-construite par le collectif SISTA et le Conseil National du Numérique (CNNum) avec pour objectif d’accélérer le financement des femmes entrepreneurs

Une réalité injuste, qui pénalisent les femmes entrepreneures

Il est évident lorsqu’une femme entrepreneure se présente face à des équipes de fonds d’investissement et particulièrement lors des pitch, il existe une forme de condescendance ou même des préjugés ancrés si profondément que ceux-ci détruisent l’écoute et la prise en compte des valeurs de l’entreprise présentée. Condamnées avant même d’avoir pu parler ! Il est vraiment temps de changer !

Les équipes féminines de startups ont 30% de chances en moins de lever des fonds par rapport aux équipes masculines. Les femmes fondatrices et co-fondatrices de startups ne récoltent que 5% des fonds alloués chaque année aux jeunes entreprises innovantes par les fonds de capital-risque français. Les femmes ne représentent que 9% des fondateurs de startups (étude SISTA/BCG 2018). Pourtant, les startups fondées ou co-fondées par des femmes rapportent 2,5 fois plus à leurs investisseurs que les startups masculines.

Ces chiffres évocateurs significatifs ne peuvent plus laisser le monde économique indifférent.

Une charte pour les fonds d’investissement

Face à cette situation qui pénalise la France économique de ses talents et de sa richesse, le collectif SISTA a élaboré en partenariat avec le CNNum une charte de bonnes pratiques à l’intention des fonds d’investissement afin de rendre leurs processus de recrutement et d’investissement plus enclins à répondre au développement économique de la France. 

Une charte, symbole de la lutte contre les discriminations des femmes

Trois volets d’actions pour contrer les habitudes discriminantes
Les investisseurs s’engagent :

  • à la transparence c’est-à-dire à mesurer la place du genre dans leurs portefeuilles et de communiquer leurs données annuellement afin de permettre une meilleure prise de conscience collective.
  • à changer leurs pratiques c’est-à-dire à adopter des pratiques de recrutement inclusives en repensant les process existants tels le langage des annonces d’emploi, les questions en entretien ou encore l’évaluation des candidatures.
  • à développer le réseau des investisseurs pour les femmes c’est-à dire à adopter des pratiques d’investissement inclusives en repensant les process existants tels les questions posées aux femmes et à mettre en place des “office hours” (ou créneaux réservés de rendez-vous à destination des femmes entrepreneures). 

Atteindre 25% de startups fondées ou co-fondées par des femmes d’ici 2025, un enjeu.

Les premiers fonds d’investissement signataires, tels que Bpifrance, Elaia, Idinvest, ISAI, IRIS, Kima, 360 Partners, ont exprimé leur satisfaction vis-à-vis du résultat ayant émergé des discussions. La charte SISTAxCNNum fixe un objectif de 30% de partners femmes d’ici 2025 et 50% dans les équipes d’investissement, soit un doublement des chiffres actuels en 6 ans.

« BpiFrance a un rôle crucial à jouer pour accélérer le changement et nous le jouons quotidiennement. Si l’ensemble de la place se mobilise y compris les écoles d’où sortes les jeunes diplômés nous y arriverons ! » Nicolas Dufourcq, Bpifrance. En effet, Bpifrance a choisi de donner l’exemple en appliquant les principes de la charte à l’ensemble de ses activités d’investissements, directes comme indirectes.

Les données sur la place des femmes dans les portefeuilles des fonds seront agrégées et communiquées annuellement par le collectif SISTA et le CNNum. Cela permettra de suivre les progrès collectifs permis par la charte et d’ajuster celle-ci en fonction des résultats obtenus avec la même méthode de co-construction et de dialogue instaurée depuis le début par le collectif SISTA.

Liste des fonds signataires :

Alter Equity – Contact : Fanny Picard 

Alven – Contact : Rodolphe Menegaux 

Angel Square – Contact : Balthazar de Menthon 

Apicap – Contact : Alain Esnault Aster Capital – Contact : Raphaëlle Martin-Neuville 

Astorya – Contact : Florian Graillot 

Axeleo – Contact : Eric Burdier 

BpiFrance – Contact : Paul-François Fournier

 Blisce – Contact : Charles-Henri Prévost 

Breega – Contact : Ben Marrel Caphorn – Contact : Romain Vidal

 Cathay Innovation – Contact : Jacky Abitbol Citizen Capital – Contact : Laurence Mehaignerie

 Crédit Mutuel Arkéa – Contact : Ronan le Moal – Anne-Laure Naveos 

C4 Venture – Contact : Pascal Cagni – Laura Thivolet Daphni – Contact : Pierre-Yves Meerschman 

Day One – Contact : Juan Hernandez 

Demeter Partners – Contact : Stéphane Villecroze 

Duval Ventures – Contact : Pauline Duval 

Educapital – Contact : Litzie Maarek 

ELAIA Partners – Contact : Xavier Lazarus – Samantha Jerusalmy
Entrepreneur First – Contact : Coralie Chaufour 

Entrepreneurs Ventures – Contact : Bertrand Folliet 

Fiblac – Contact : Valentine de Lasteyrie

 Founders Factory – Contact : Delphine Villuendas 

Founders Future – Contact : Marc Menassé Gaia – Contact : Alice Albizzati

 Hardware Club – Contact : Alexis Houssou 

Hiinov – Contact : Valérie Gombart

 IDINVEST – Contact : Benoist Grossmann 

Investir et plus – Contact : Vincent Fauvet 

IRIS Capital – Contact : Julien-David Nitlech 

ISAI – Contact : Jean-David Chamboredon – Nelly Barbault 

Kerala – Contact : Antoine Freysz

 Kernel Investissement – Contact : Julien Luigi

 Kima Ventures – Contact : Jean de la Rochebrochard 

Korelya Capital – Contact : Fleur Pellerin 

Maif Avenir – Contact : Milène Grehan 

MISS (Maif Investissement Social et Solidaire) – Contact : Annick Valette – Josepha le Rest 

Newfund – Contact : François Véron 

Next Stage – Contact : Grégoire Sentihles 

OneRagtime – Contact : Stéphanie Lhospital 

October – Contact : Olivier Goy 

Partech – Contact : Jean-Marc Patouillaud 

RAISE – Contact : Gonzague de Blignières 

Red River West – Contact : Antoine Boulin 

RING Capital – Contact : Nicolas Celier 

Samaipata – Contact : José del Barrio 

Serena Capital – Contact : Marc Fournier 

SIDE – Contact : Renaud Guillerm 

Technofounders (TF Participations) – Contact : Pierre le Blainvaux 

360 Capital Partners – Contact : Emanuele Levi – Edna Ohana 

Truffle – Contact : Bernard-Louis Roques

 Ventech – Contact : Audrey Soussan West Web Valley – Contact : Sébastien Lecorfec 

White Star Capital – Contact : Matthieu Lates

Le trading de cryptomonnaies : un phénomène qui ne s’est pas arrêté

Si les cryptomonnaies ont fait grand bruit ces dernières années et notamment le Bitcoin, il reste souvent difficile à se résoudre de s’y lancer que ce soit par peur, manque de temps ou de connaissances. Le marché reste risqué mais a été plus que profitable pour nombre d’investisseurs. Quelques conseils sont à prendre en compte avant de se lancer dans l’aventure.

La différence entre trading et achat 

Pour commencer, il ne faut pas confondre le trading et l’achat de cryptomonnaies. L’achat consiste davantage à détenir la cryptomonnaie entière et des conditions sont requises dont être prêt à payer la valeur totale de l’actif à l’avance et de bénéficier d’une exposition directe à un marché sous-jacent par compte. Vous ne voulez pas le réaliser dans la précipitation et donc vous êtes décidé à attendre d’avoir un compte de devises avant de pouvoir acheter ou vendre. De plus, vous consentez à ce que l’on vous impose des limites d’introduction ou des dépôts maximums et à payer des frais supplémentaires pour les dépôts ou les retraits font partie en ce qui vous concerne des pratiques que vous acceptez sans difficultés.

Le trading de cryptomonnaies est intéressant si votre objectif est de profiter de votre position en ne payant qu’une fraction du coût initial et de bénéficier d’une exposition indirecte sur plusieurs marchés sous-jacents avec un seul compte mais également si votre volonté est de commencer à trader immédiatement. En ce sens, vous ne voulez pas subir une limite maximale de dépôt de fonds et payer de frais de dépôts ou de retraits.

Mettre en place des systèmes d’information

Avant tout vous devez prendre en compte que le marché des cryptomonnaies est relativement très jeune et donc forcément très volatil. Il peut décoller lors d’une nouvelle annonce ou encore couler pour une seconde. Il vous faut donc mettre en place un système pour rester informé à tout moment d’une actualité qui pourrait affecter la valeur de la cryptomonnaie sélectionnée. Les lois demeurent particulièrement à prendre en considération dans un système où les banques prédominent et où ces monnaies sont encore vues d’un mauvais œil. Votre rapidité de réaction à une bonne ou mauvaise nouvelle s’avère souvent déterminante dans la réussite de votre investissement. 

Une formation indispensable

Si vous disposez de l’information, cela est loin de faire le tout. Il faut savoir faire votre trading correctement. Dans le cas où vous n’êtes pas un investisseur expérimenté sur les marchés traditions, une formation à l’analyse technique peut se révéler judicieuse. Si vous êtes plutôt autodidacte, de nombreux tutos en ligne existe par exemple pour le trading de Bitcoin. N’hésitez pas à commencer par de petites sommes et apprendre de vos erreurs. Si vous souhaitez le faire plus sérieusement, la formation reste indispensable et il vous faudra souvent quelques mois pour acquérir l’ensemble des connaissances nécessaires.

Déterminez votre profil

Tout le monde n’a pas le même type de profil. Certains optent pour des investissements plus risqués que d’autres. La psychologie joue en ce sens un rôle déterminant. Reste que faire un autodiagnostic de votre personnalité peut vous aider. Votre seuil de résistance au stress joue un rôle particulièrement déterminant si vous aimez prendre des risques. Si vous n’êtes pas enclin aux risques mieux vaut limiter vos investissements même si vous devez gagner moins à la fin car vous pourriez également perdre moins. Votre stress doit rester positif et vous ne devez pas céder à la panique dans vos choix.

Savoir gérer votre risque

Tous vos investissements ne vous rapporteront pas de l’argent. Vous commettrez des erreurs notamment lorsque vous débutez. Vos analyses peuvent ne pas fonctionner comme vous le souhaiteriez et il faut l’avouer une part de chance reste toujours présente. Pour bien gérer votre risque, commencez comme lorsque vous jouez à un jeu de hasard à considérer les sommes comme perdues. N’oubliez pas que ce n’est pas parce que vous gagnez de l’argent, que vous ne pouvez pas sécuriser une partie d’entre eux. Optez pour la diversification et gardez toujours une partie de vos jetons afin de bénéficier d’une hausse. Enfin, déterminez un seuil qui vous obligera à arrêter.

Les logiciels RH, l’atout maître des entreprises

Ils ont fait leur entrée dans les entreprises pour simplifier les opérations quotidiennes, soutenir l’expertise des spécialistes RH, obtenir une meilleure résolution des problèmes et suivre les évolutions d’une entreprise. 

Sélectionner le ou les logiciels demande de bien étudier leurs capacités d’exploitation car les ressources humaines, aux prises de leurs multiples tâches quotidiennes, se doivent de choisir des logiciels adaptés et performants. Il s’agit de gagner du temps, d’avoir une utilisation facile mais aussi collaborative afin de simplifier les relations interservices.

A quoi peut servir un logiciel RH ?

Il existe souvent l’idée reçue que les logiciels RH servent à une tâche isolée sans lien avec les autres tâches. Or, la dématérialisation génère la possibilité de croiser les informations et permet un travail collaboratif dont la résonnance se répercute finalement sur tous les services. Les tâches du service RH sont multiples et touchent des domaines qui impactent la vie personnelle des collaborateurs, la gestion des équipes mais aussi la trésorerie. Il permet d’une part de réaliser des économies et d’utiliser à bon escient le temps et les compétences des collaborateurs. Ainsi, l’entreprise Lucca édite des logiciels qui permettent non seulement d’automatiser des tâches administratives chronophages mais aussi de répondre à différents besoins des services RH.

Le temps, le gain précieux de toute entreprise

Il s’agit de gagner du temps pour se consacrer à des missions qui donnent de la valeur ajoutée : les congés et les absences, les feuilles de paie, les notes de frais peuvent parfaitement être traités en un temps record grâce à un logiciel performant. Si l’on prend l’exemple de la note de frais : un collaborateur, qui a avancé des frais, souhaite en avoir le remboursement le plus rapidement possible.  Avec un logiciel performant, le remboursement peut s’effectuer dans les meilleurs délais et donc créer des relations plus harmonieuses. Vous évitez les tensions entre les collaborateurs, le service RH et de perte de temps d’envois d’e-mails. Il en est de même des fiches de paie qui, grâce à la dématérialisation, sont à la disposition en quelques clics du service RH, mais aussi des collaborateurs. Souvent, pour des besoins personnels comme la location, un crédit… ils sont obligés de présenter certains documents, qu’un logiciel performant leur permet d’obtenir en peu de temps. Retrouvez 10 conseils performants et simples à mettre en place sur ce livre blanc sur les notes de frais. A la fois pratique et complet, ce guide pratique proposé par l’éditeur de logiciels RH Lucca vous partage des astuces et conseils pour vous guider efficacement. 

Également, les congés et les absences se révèlent un travail incontournable et deviennent vite chronophage si l’on ne possède pas les outils adéquats. Ils peuvent même conduire à l’exaspération si une erreur de calcul se présente et à des relations tendues entre les services.

Les valeurs ajoutées des logiciels

Gérer des équipes dans une entreprise qui vit d’incessants bouleversements, comme par exemple une fusion ou une délocalisation, demande de s’adapter et d’aller rechercher les collaborateurs compétents dans l’ensemble des services pour tout nouveau projet.

Par ailleurs, Il arrive souvent que l’on ait des idées reçues sur le temps passé sur une tâche et des estimations parfois approximatives du temps à investir peuvent créer des tensions avec les salariés. Les logiciels permettent d’analyser avec précision les situations en amont, de mesurer le temps passé, de cerner le coût et de l’ajuster au fur et à mesure des évolutions des besoins. 

Les entretiens d’évaluation demandent un suivi régulier et une mise à jour constante afin que les ressources humaines soient capables d’en extraire les informations essentielles pour toute réorganisation ou développement. Souvent les compétences, les soft skills, les niveaux de langue ou le curriculum vitae sont dispersés dans plusieurs services. Or il est indispensable d’avoir une visibilité globale au lieu d’être contraint de s’adresser à différents interlocuteurs pour obtenir une information sur un collaborateur. Si les besoins de l’entreprise en raison d’un développement à l’international apparaissent, il faut pouvoir en quelques clics connaître les collaborateurs qui possèdent un bon niveau d’anglais par exemple, si les nouvelles réglementions imposent d’avoir des collaborateurs qui possèdent un brevet de secouriste, il suffira de rechercher l’information et de sélectionner les personnes par le biais du logiciel   sans perdre un temps considérable à envoyer des e-mails à tous les chefs de service pour savoir quelles sont les personnes compétentes. 

Il est primordial, pour toute entreprise dynamique de gagner du temps et d’optimiser la gestion des équipes, grâce à des logiciels Rh performants.

Peut-on investir dans l’or avec son entreprise ?

Ils arrivent de se demander comment placer sa trésorerie quand vous êtes à flot. Les placements sont essentiellement faits dans des SICAV sécurisés avec un rendement souvent proche de 1%. Il s’agit souvent de placements obligataires à très court terme et sans risque. On peut se demander si pour sécuriser son entreprise, on peut investir dans l’or, valeur refuge.

Un premier constat : votre entreprise est tout à fait capable d’acheter de l’or, tout comme lorsque vous faites un placement financier. Il ne s’agit en réalité que d’un placement qui évolue en dehors du système bancaire. 

Les avantages d’investir dans l’or

L’or est d’abord une valeur refuge lors des crises économiques ou lorsque vous subissez une perte d’activité. Les entreprises familiales sont particulièrement friandes de celui-ci comme placement alternatif aux banques. Comme on le sait, lors des grandes périodes de crise si les marchés financiers sont en forte baisse, l’or fait le chemin en inverse. Les secteurs sensibles aux crises comme le tourisme, le transport aérien ou encore la communication et la publicité sont les premiers à investir dedans. 

Investir dans l’or représente avant tout une méthode de gestion prédictive puisque lorsque votre trésorerie est à flot, vous êtes en position de force et la fameuse expression : « on ne prête qu’aux riches » prend tout son sens. Il sera toujours accepté comme garantie et votre capacité d’emprunt peut se retrouver renforcée. 

Il reste également difficile à saisir et n’est pas soumis à la réglementation bancaire classique et il a l’avantage de pouvoir être rapidement mis en vente quelle que soit la quantité et reste relativement stable dans les périodes normales.  

Des variations à prendre en compte

Bien entendu, il faut prendre en compte que l’or subit des variations. Vous pouvez subir une moins-value qu’il vous faudra déduire de vos bénéfices ou encore une plus value qui pourrait vous permettre de compenser une éventuelle perte d’activité. 

Aussi, comptablement il faut bien admettre que votre comptable peut être surpris par un tel placement. En réalité, il s’agit d’un placement équivalent à celui composé de biens meubles. Il vous faudra donc prendre en compte au moment du bilan des éventuelles moins values. Les plus values ne sont à prendre qu’en cas de vente. 

Si vous souhaitez investir, il ne faut pas vous prendre non plus pour un commerçant de bien précieux et limiter votre investissement à 10% de votre trésorerie.  Il ne s’agit pas de vous retrouver à court de trésorerie car vous souhaitez absolument acheter de l’or

Acheter de l’or, oui mais comment ?

Il existe de nombreux sites comme Or.fr qui propose d’acheter de l’or. L’or physique est au nom de votre entreprise et non de la société. Vous devenez propriétaire de votre stock sans intermédiaire. Le stockage s’effectue en dehors des banques et vous pouvez demander une livraison physique si vous disposez de vos propres coffres. Il faut tout de même prendre en compte qu’il existe des frais annuels notamment si vous ne souhaitez faire le stockage vous-même car il faut prendre en compte les frais comme un entrepôt sécurisé, une assurance, le transport sécurisé ou encore les frais divers comme les formalités douanières.  

Acheter de l’or : oui

Toujours confiants dans l’avenir les dirigeants des TPE

Malgré les charges et leur trésorerie qui n’est pas toujours au beau fixe, les dirigeants des TPE ne se laissent pas abattre et sont confiants dans leur avenir.

American Express a publié la 1ère édition de L’Observatoire des TPE, réalisé en partenariat avec l’institut BVA auprès de 1508 dirigeants de TPE françaises, tous secteurs d’activité confondus dont les secteurs du voyage, du commerce de gros de produits alimentaires, des technologies de l’information, des professions libérales en santé et hors santé (avocats, architectes, notaires). L’Observatoire nous permet de cerner la perception qu’ont les dirigeants de TPE sur la situation économique de la France, la performance économique de leur entreprise et de leur secteur d’activité, décrypte leurs priorités et leurs préoccupations et décrit leur état d’esprit.

Les dirigeants de TPE ont confiance dans l’avenir de leur entreprise 

67% d’entre eux se disent optimistes quant aux performances économiques de leur entreprise, et 64% des dirigeants sont optimistes quant à l’avenir de leur secteur. Cette confiance perdure malgré une trésorerie qui ne donne pas les résultats escomptés.

Seuls 12% d’entre eux estiment que leur trésorerie s’est améliorée au cours des derniers mois et près d’un tiers d’entre eux (27%) considère qu’elle s’est détériorée en particulier les professions libérales hors santé (20%). Près d’un tiers des dirigeants de TPE (27%) estime que leur trésorerie s’est détériorée et en particulier les dirigeants de TPE en zone rurale (33%) et ceux du secteur de commerce de gros de produits alimentaires, boissons et tabac (30%). 60% des dirigeants de TPE estiment que leur trésorerie est restée stable, notamment ceux du secteur de la construction (77%).

Le coût du travail, Le talon d’Achille

Pour 58% des dirigeants de TPE, le coût du travail, c’est-à-dire le poids des charges, est la principale difficulté qu’ils rencontrent au quotidien. La fiscalité (pour 30% d’entre eux) et la complexité des démarches juridiques et administratives (29%) pèsent lourdement sur leur trésorerie et sur la croissance de l’entreprise. En ce qui concerne le recrutement, seuls 9% des Dirigeants des TPE envisagent de le faire dans les 12 prochains mois. 65% d’entre eux ne recruteront qu’une seule personne et met en évidence le poids des charges.

Le stress, toujours omniprésent

Un tiers d’entre eux (33%) affirme avoir un niveau de stress élevé (note comprise entre 8 et 10 sur une échelle de 10). Pour surmonter ces difficultés, les dirigeants de TPE estiment que leurs conjoint/conjointes (pour 43% d’entre eux) sont les personnes les plus utiles au quotidien.

Quant au dernier baromètre Bpifrance Le Lab / Rexecode qui vient d’être publié  en septembre , il souligne  une amélioration inédite depuis 2017 de la trésorerie des TPE/PME. Cependant, l’enquête couvre un panel de 498 PME de 1 à moins de 250 salariés qui réalisent moins de 50 M€ de CA et donc n’utilise pas les mêmes critères que celui du baromètre d’American Express et élargit donc le cercle des interviewés. L’amélioration serait due  à la transformation du CICE en baisse de charges patronales (double bénéfice début 2019).  Ce baromètre fait état des difficultés de recrutement qui restent le principal frein à la croissance des TPE/PME.

Les clients, le nerf de la guerre

Les dirigeants de TPE sont préoccupés par les exigences des clients (47%) et le manque de temps pour prendre du recul sur la situation de leur entreprise (49%). Quant à leurs priorités, la réponse qui revient le plus souvent est de « trouver de nouveaux clients » (44%). Cette réponse est la plus fréquemment citée par les dirigeants de TPE du secteur des technologies de l’information (54%) et les professions libérales hors santé (51%).

Optimistes les dirigeants des TPE certes mais aussi réalistes face à la situation actuelle.

J’aime ma boîte : 17 octobre/ 17e édition

Pour lancer la 17e édition de « J’aime ma boîte » le 17 octobre 2019, le mouvement ETHIC a le privilège d’accueillir le ministre de la Culture, Franck Riester. Une présence qui a du sens puisque le thème de cette édition de « J’aime ma boîte » met en exergue « les liens fondamentaux entre culture et culture d’entreprise ».

Lancé en 2003 par Sophie de Menthon, présidente du collectif Ethic, « J’aime ma boite » a pour objectif de fédérer salariés et dirigeants autour d’un instant convivial. Cette année, le thème sera celui du développement durable. Les participants, attendus à travers toute la France, sont invités à proposer des fêtes zéro déchet et à privilégier l’achat de produits locaux. Et comme chaque année, des initiatives se multiplieront toute la journée : challenges sportifs, concours de photos, jeux collectifs, massages, cours de yoga… Les collaborateurs ne manquent guère d’imagination !

Selon le sondage réalisé par  Opnionway pour j’aime ma boite ceux qui aiment leur boite aujourd’hui sont 64%, soit une progression de 2 points de pourcentage par rapport à l’année dernière. Certes on est loin des scores de 2008 (79%).On aime beaucoup sa TPE (80%) et sa PME (62%), mais aussi les entreprises de plus de 250 salariés (61%).

S’éclater au travail s’est possible

On peut aussi « s’éclater au travail » comme l’affirment 71% des salariés interrogés et ce, quelques soient l’âge, le sexe, la région, la taille de l’entreprise ou le secteur. Il est à noter que le sentiment que son entreprise est différente des autres est minoritaire (57% réfutent cette idée). Les motifs des 40% qui le pensent sont liés à un sentiment individuel : 34% parce qu’ils se sentent libres, d’autres car leur entreprise respecte ses salariés. 

Fêter son entreprise c’est possible

L’importance de fêter l’entreprise progresse et touche aujourd’hui la moitié de la population des salariés. En effet, 48% estiment que c’est essentiel et 41% que c’est essentiel « partout en France ». L’entreprise  a développé un sentiment de confiance des Français par rapport aux différentes organisations et institutions (24% pour l’entreprise, 10% pour les syndicats, 8% pour l’État, 3% pour le gouvernement). D’ailleurs, 64% des salariés pensent qu’ils trouveraient du soutien auprès d’un interlocuteur en interne en cas de harcèlement au travail.

Toutefois, la confiance est un sentiment mis à l’épreuve : 50% des Français n’ont confiance dans aucun de ces acteurs.

Des efforts de la part des entreprises pour le développement durable

Une majorité de salariés estime que leur entreprise fait des efforts en matière environnementale (49%), notamment via le tri des déchets. Aussi, 78% d’entre eux sont conscients qu’il s’agit d’une responsabilité collective et partagée.

Un sondage qui dénote d’un certain équilibre concernant les perceptions des salariés et de leur rapport à entreprise.

Le secteur public connaît la plus grande progression du sentiment d’aimer son entreprise (16%). A noter qu’on aime mieux sa boite en Région (65%) qu’en Ile-de-France (59%). Enfin, si l’on trie les réponses par sensibilité politique, les partisans de LREM explosent les scores d’attachement à l’entreprise, suivis de la gauche, puis de la droite.

Les spectacles Live, un impact sur l’économie des territoires

Le secteur des spectacles en France est plébiscité en raison de sa grande qualité (88%) et son dynamisme (84%). Toujours renouvelé, il évolue avec son temps en proposant des spectacles Live variés (89%) et surtout est vécu comme inclusif, proposant des spectacles pour tous les publics (89%). 

Selon une enquête menée par Harris Interactive pour Prodiss, syndicat national du spectacle musical et de variété, en ligne du 26 au 29 août 2019 auprès de 1000 personnes, représentatif des Français âgés de 15 ans et plus sur les  pratiques des Français en termes de spectacles musicaux et de variété, également appelés « spectacles live » qui  sont des  concerts de musique (hors opéra et musique classique), aux spectacles d’humour, et aux comédies musicales, ils représentent un véritable engouement  pour les Français.

Un parcours d’achat évidemment digitalisé, mais pas seulement 

Les billets s’achètent désormais en ligne

Le digital est désormais partie intégrante de l’achat des billets de spectacles. 75% des Français qui se rendent aux spectacles live déclarent régulièrement les acheter sur Internet. Une digitalisation particulièrement appréciée par les jeunes. 90% des 25-34 ans déclarent aujourd’hui fréquemment acheter leurs places en ligne.

Les canaux d’information publicités

Si aujourd’hui, 68% des spectateurs déclarent avoir recours avant tout à des canaux digitaux pour s’informer sur les spectacles live, les canaux d’informations traditionnels continuent à dominer (76%). Le premier canal d’information s’avère être toujours le bouche-à-oreille (42%), plus puissant encore que les médias traditionnels (41%), réseaux sociaux (35%) et les sites internet de vente de billet (30%). Cependant, les plus jeunes ont une préférence pour les réseaux sociaux et blogs qui se révèle être leur premier canal d’information aujourd’hui (63%).

Un impact incontestable des spectacles live sur l’économie et les territoires

Le spectacle live, une sortie pensée avec extras 

Des achats liés au spectacle

Les produits dérivés sont une véritable manne. En effet, il s’agit d’ une manière de prolonger le spectacle, les CDs/DVDs (43% des spectateurs déclarent en avoir déjà acheté après un spectacle live), les goodies (32%) et le téléchargement de chansons /œuvres liées à l’artiste (31%) représentent des achats périphériques importants et en progression. En tout, ce sont plus de la moitié des spectateurs (56%, +2 points depuis l’an dernier) qui déclarent faire des achats de produits dérivés à l’issue des spectacles. 

Des spectacles accompagnés de moments festifs

Les spectacles sont l’occasion de passer un moment convivial. Le spectacle s’accompagne pour les Français d’un verre (75%, +3 points par rapport à 2018) ou d’un repas au restaurant (72%, +2 points), dans de plus rares cas d’une nuit à l’hôtel (30%). Les jeunes Français âgés de 25 à 34 ans sont les plus nombreux à dépenser pour des extras.

Un impact indéniable des spectacles sur les territoires 

Les spectacles ont un impact financier direct sur les lieux qui les accueillent. Sur l’ensemble du territoire, les Français ont le sentiment que les spectacles live organisés près de chez eux ont un impact indéniable sur leur vie locale. Par l’animation qu’ils développent (74%) au sein des communes et leur participation à l’économie locale (68%), notamment via le développement du tourisme (65%) ou de l’image positive des localités (64%). Un ressenti confirmé par les habitudes des Français. Ainsi, lorsqu’ils doivent se rendre loin de chez eux pour assister à un spectacle live en salle ou à un festival, ils sont plus de 40% à prendre le temps pour visiter la ville ou la région où la représentation avait lieu.

Surtout, au-delà de l’accessibilité, l’offre rencontrée par les Français sur le plan local près de chez eux rencontre un franc succès. 76% estiment que la programmation locale leur permet de découvrir de nouveaux artistes. 69% confirment leur attrait pour cette programmation.

Un spectacle qui perdure hors de la salle et sur les réseaux 

Le spectacle live n’existe en réalité pas que dans la salle : l’expérience vidéo fait partie intégrante de la vie des spectacles pour le public français. À un visionnage en télévision toujours très présent (40% des Français déclarent avoir déjà visionné en entier ou en partie un spectacle vivant à la télévision)De plus, il s’est ajouté un visionnage sur Internet qui ne cesse de progresser (31%, +4 points par rapport à 2018, +8 points par rapport à 2014) et notamment auprès des jeunes (50% chez les moins de 35 ans).

Une appropriation des spectacles

L’appropriation du spectacle par ses publics lui donne une seconde vie en ligne. 24% (+11 points depuis 2014) des Français déclarent ainsi avoir déjà filmé eux-mêmes des séquences de spectacles live. 18% (+12 points depuis 2014) confient avoir été jusqu’à poster ces contenus qu’ils ont filmés sur des plateformes ou réseaux sociaux, à destination de leurs abonnés ou followers. C’est évidemment un comportement largement plus répandu chez les jeunes, qui, au-delà de représenter le public phare des spectacles live, sont également marqués par l’hyper-digitalisation des pratiques (respectivement +11 points et +12 points par rapport à la moyenne des Français sur ces deux comportements). Les spectacles live ont ainsi une vie parallèle en ligne, dont le développement ne fait que s’affirmer.

Compte personnel de formation : un tournant

Le ministère du Travail a arrêté les conditions générales d’utilisation de la future application mobile du compte personnel de formation qui sera téléchargeable le 1er décembre au plus tard. Cette nouvelle « appli » va-t-elle révolutionner les pratiques et les salariés vont-ils en utiliser les fonds pour assurer leur avenir ? 

Dans le cadre de la loi du 5 septembre 2018, le compte personnel de formation (CPF) subit une totale transformation en 2019 car il offre l’opportunité aux usagers de choisir, de réserver et d’acheter en ligne leurs formations, sans intermédiaire, via une application dédiée. C’est la Caisse des Dépôts (CDC), pour le compte du ministère du Travail, en lien avec un panel représentatif d’organismes de formation qui a réalisé la construction de cette application

Quel est l’intérêt de cette application ?

L’intérêt de cette application pour les organismes de formation c’est de pouvoir proposer directement leur offre aux usagers. Cette application possède de nombreux atouts dont celui de permettre aux usagers de consulter leurs droits à la formation, de leur donner des informations explicites sur les offres proposées par les organismes de formation. Elle offrira une réponse rapide à toutes demandes de renseignement ou d’inscription.

Une vitrine pour les organismes de formation

Ce portail d’information des organismes de formation leur a été ouvert aux pour qu’ils référencent leurs formations 

Depuis le 20 septembre, la plateforme sécurisée des organismes de formation EDOF est ouverte. L’objectif de cet espace leur permettra de référencer leur catalogue d’actions de formation éligibles au compte personnel de formation (CPF) et de le rendre visible dès l’ouverture de l’application mobile et du site internet Moncompteformation aux 33 millions de titulaires d’un compte. Une véritable opportunité !

Comment alimenter cette plateforme ?

  • Par saisie manuelle unitaire
  • À partir du catalogue
  • Par apport de fichier XML qui permet d’alimenter la plateforme avec son catalogue selon le rythme souhaité par l’organisme de formation.

Un accès performant pour les usagers

Les services CPF directement accessibles. Ainsi sur le site moncompteactivite.gouv.fr, permet aux usagers de consulter

  • L’ensemble de leurs dossiers de formation ;
  • Leurs heures CPF et DIF ainsi que l’historique de leur compte ;
  • Des formations adaptées à leur statut et à leurs attentes ;
  • Et des informations détaillées sur les démarches à entreprendre et les interlocuteurs à contacter.

 Les usagers bénéficient 

  • De services numériques personnalisés qui les aideront à faire le point sur leur situation et à construire leur projet professionnel ;
  • D’informations détaillées et actualisées sur des métiers qui seraient susceptibles de leur correspondre ;
  • des renseignements sur d’autres droits à formation : Compte d’Engagement Citoyen (CEC) et Compte Professionnel de Prévention (CPP).

Cette application va simplifier la vie des usagers qui vont trouver dans un seul site, leurs droits à formation et les services pour mener à bien leur projet professionnel et préparer leur départ en formation mais aussi l’ensemble des informations personnelles déjà saisies dans le compte de l’usager : son parcours professionnel et extra-professionnel, ses compétences et ses traits de personnalité, et tous les éléments relatifs à son projet professionnel.

Alors, le 1er décembre l’application ouvrira ses portes !