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Paylib, le paiement mobile instantané entre particuliers

« Donne-moi ton numéro de portable pour que je te rembourse. » Paylib résume le paiement mobile instantané entre particuliers par cette phrase magique qui correspond à l’immédiateté si tendance.

Enfin, d’ici l’été, depuis l’application de leur banque, en utilisant Paylib, Les Français pourront envoyer instantanément de l’argent de leur compte bancaire.

Les banques françaises Crédit Agricole, BNP Paribas, La Banque Postale, Société Générale, Banque Populaire, Hello bank ! Arkea, Boursorama Banque, Caisse d’Épargne ou encore Crédit Mutuel et CIC proposeront un nouveau service de paiement instantané via smartphone entre particuliers.

Plus de délai, un service instantané

En 2018, Paylib avait lancé auprès des clients des grandes banques françaises un service de paiement mobile de personne à personne. Mais, le transfert d’argent nécessitait un délai d’un à deux jours, voire plusieurs jours.

« Ce service se perfectionne encore et devient instantané ».  Plus la peine d’attendre pour que la somme créditée soit sur le compte bancaire du bénéficiaire. Ce nouveau service correspond à l’évolution des habitudes bancaires des Français et de leur utilisation des nouvelles technologies qui font partie intégrante de leur vie quotidienne.

Selon Paylib « En utilisant Paylib depuis l’application de leur banque, les Français pourront envoyer instantanément de l’argent de compte bancaire à compte bancaire en saisissant le numéro de téléphone mobile d’un bénéficiaire »,

 

Le service de paiement mobile  entre particuliers est directement accessible dans les applications bancaires.   Il ne nécessite pas de s’inscrire chez un tiers ni de télécharger une application qui souvent est rédhibitoire car l’immédiateté est souveraine.  Les paiements s’effectuent directement de compte bancaire à compte bancaire sans avoir besoin d’utiliser un intermédiaire.

Si le bénéficiaire n’a pas encore activé Paylib, il reçoit un SMS qui le convie à renseigner, sur le site Paylib, son numéro d’IBAN. La somme est alors versée sur son compte bancaire et cette démarche une fois effectuée ne nécessitera plus d’y revenir.

Gratuit ou payant ce service ?

La banque Arkéa propose à ce jour un service gratuit. Qu’en sera-t-il des autres banques, nous le saurons d’ici quelques jours mais il sera à la discrétion de chaque banque tant sur les plafonds qui pourront être par jour, par semaine ou par mois que sur le montant à payer pour les transactions.

Lancé en 2013 par les banques BNP Paribas, Banque Postale et Société Générale, Paylib est l’offre mobile de paiement pour les particuliers et commerçants intégrée par les principales banques françaises revendique 1,8 million d’utilisateurs grâce à trois services accessibles depuis un téléphone mobile : le paiement en ligne, le paiement en magasin et le paiement entre particuliers.

Simplicité avant tout

Avec Paylib, pas besoin de communiquer ses coordonnées bancaires, l’ensemble des données personnelles restant protégées au sein du service bancaire du client.

Paylib se veut être la référence française de paiement mobile simple, sécurisé et utile au quotidien. Présent sur les différents réseaux sociaux et au sein des applications mobiles des banques qui signalent son utilisation dès la page d’accueil et qui conduisent les client à se sentir en sécurité puisque ce service est  proposé par leur banque.

Les vacances de printemps toujours plébiscitées

Trois tranches de vacances de pour les scolaires qui s’étalent du 6 avril au 6 mai mais aussi plusieurs ponts. Ainsi le pont de Pâques avec le lundi 22 avril et le pont du 1er mai qui permettent de s’évader quelques jours.

33% des Français, selon le « Sondage OpinionWay pour Mondial Assistance » réalisé entre le 13 et 14 mars 2019, partiront en vacances lors des vacances de printemps. Les intentions de départ sont à la hausse cette année pour les vacances de Printemps. Pour ces vacances de printemps, 69% des Français choisissent les destinations hexagonales pur s’échapper quelques jours.

La durée des séjours ?

Pour ces congés, 1 Français sur 3 partira en vacances et ce pour une durée moyenne de huit jours. Ce chiffre est stable par rapport à 2018. Cependant, la durée des séjours tend à s’affirmer : 43% des vacanciers interrogés choisissent des séjours courts de moins d’une semaine   alors que 35% choisissent un séjour long de plus d’une semaine. Le sondage souligne que seule une minorité opte pour une durée de séjour classique de 7 jours.

Les vacances en famille privilégiée

67% des Français ont pour projet de passer le week-end de Pâques en famille. Pour souligner l’aspect familial et traditionnel la moitié des parents d’enfants âgés de moins de 18 ans organiseront une chasse aux œufs à cette occasion (48%).

L’Europe, une destination toujours plébiscitée

Comme chaque année, les séjours à l’étranger enregistrent un pic à cette période. 1 vacancier sur 3 s’envolera au-delà des frontières françaises et principalement en Europe (21 %). On peut constater que l’âge est un critère déterminant pour les départs en Europe. Les jeunes de moins de 35 ans (26%) et les personnes de plus de 65 ans (24%) sont les populations qui partent le plus à la découverte du continent européen.

Quels sont les profils de ceux qui partent ?

Trois profils de personnes se dessinent :

  • les franciliens (40% contre 31% des personnes habitant en régions),
  • les personnes appartenant aux catégories socioprofessionnelles supérieures (43% contre 24% des personnes issues des catégories populaires)
  • les personnes ayant des enfants de moins de 18 ans (39% contre 30% pour les personnes sans enfant ou ayant des enfants de plus de 18 ans).

Et s’ils avaient le choix ?

S’ils pouvaient vivre une expérience, symbole d’évasion, pour ces vacances de printemps 2019, les Français choisiraient en priorité de faire une croisière dans les Cyclades en Grèce (57%). La navigation sur les flots helléniques éclipse le trek au Sahara (13%), le festival de Coachella en Californie (12%) ou encore la visite du Vatican à l’occasion de la célébration de Pâques (10%).

Et les réseaux sociaux en vacances ?

Même en vacances, pas de répit, 51% des vacanciers continueront à utiliser les réseaux sociaux mais ce qui est intéressant c’est qu’ils les utiliseront à des fins personnelles pour échanger avec leurs proches (33%) et d’ailleurs 1 vacancier sur 5 postera des photos et vidéos de son lieu de villégiature (20%). Mais aussi pour suivre l’actualité 26%.

Et le budget ? 933 euros

Identique à l’année dernière, l’enveloppe moyenne consacrée à ces vacances sera de 933€. Cependant, 49% des personnes interrogées ne comptent pas dépenser plus de 600€ pour ces vacances de printemps.

En ce qui concerne les  vacances à l’étranger 57% consacrera un montant égal ou supérieur à 600€ alors que 59% des personnes voyageant en France vont en majorité consacreront une somme inférieure.

Comment ?

1 vacancier sur 3 aura recours à une solution collaborative notamment pour l’hébergement (28 %) et les activités sur place (21 %) Il faut noter que les solutions collaboratives sont toujours principalement envisagées par les jeunes de moins de 35 ans (62%).

Les vacances de printemps sont après l’hiver, les tensions un moment pour se ressourcer.

Le Palmarès Best Workplaces 2019, au cœur d’un mouvement sociétal

Great Place To Work®, expert de l’accompagnement de la transformation managériale et culturelle des entreprises, dévoile le 17e Palmarès des entreprises où il fait bon travailler en France et pour recruter des talents, il est évident que ce palmarès représente un sésame. Il a pour objectif de distinguer les entreprises françaises.

  • moins de 50 salariés,
  • 50 à 500 salariés,
  • 500 à 5000 salariés
  • et plus de 5000 salariés)

qui s’engagent à offrir à leurs collaborateurs une qualité des environnements et des conditions de travail.

Le choix est très sélectif puisque sur 304 postulants cette année, seulement 97 entreprises sont lauréates, soit un pourcentage de 32%.

Dans ce palmarès, en plus d’entreprises françaises dans le palmarès y prennent place et représentent les deux tiers des lauréats et la parité semble s’instaurer. Aujourd’hui, le tiers des entreprises du palmarès sont dirigées par des femmes.

Quelle méthodologie pour le palmarès ?

Le Palmarès s’appuie sur une méthodologie précise basée sur deux outils complémentaires et uniques auxquels se soumettent toutes les organisations postulantes :

  • l’enquête Trust Index© contenant 64 questions, envoyée à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise qui compte pour 2/3 de la note finale de l’entreprise ;
  • le dossier Culture Audit© vise à évaluer la qualité et la diversité des pratiques managériales mises en place par l’entreprise qui compte pour 1/3 de la note finale.

Mais cette année Great Place To Work® a mis en place un comité scientifique d’intégrité qui mène des enquêtes sur les postulants pour vérifier qu’ils ont bien respecté notre charte éthique et qu’ils n’ont pas cherché à influencer les collaborateurs dans leurs réponses.

97 entreprises lauréates : un cocktail gagnant

Il existe en France de plus en plus d’entreprises où il fait bon travailler et d’entrepreneurs qui ont à cœur de favoriser des environnements propices au développement des individus. Des organisations innovent et osent remettre en cause leurs propres modèles. C’est le cas des 97 entreprises lauréates qui créent les conditions nécessaires au quotidien pour que leurs collaborateurs se sentent en confiance, soient fiers de leur travail et expriment pleinement tout leur potentiel.

Selon Patrick Dumoulin, Président de Great Place To Work® France : « Les attentes des Français sur les questions de la qualité de vie au travail se sont encore accrues cette année. Au-delà d’actions cosmétiques, ils attentent de véritables engagements au niveau des transformations managériales de l’entreprise. Cette 17e édition du palmarès s’inscrit donc dans cette nouvelle dynamique en mettant à l’honneur 97 entreprises ayant impulsé des stratégies de transformations ambitieuses. »

EY, Salesforce, Novencia Group et Utopies en tête du Palmarès

Alors que certaines entreprises conservent leur place cette année (comme Mars France, Salesforce ou Wavestone), d’autres font une entrée significative dans le Palmarès (EY France, Ubisoft).

plus de 5000 salariés

  • Alors que 12 entreprises de cette catégorie avaient présenté leur candidature cette année, seules 2 d’entre elles ont obtenu les résultats requis pour figurer au Palmarès des entreprises où il fait bon travailler.
  • EY France, l’un des plus importants cabinets d’audit financier et de conseil au monde, obtient la 1ère place du podium cette année dans la catégorie + de 5000 salariés ;
  • L’entreprise Norauto, qui fait également son entrée au palmarès.

500 à 5000 salariés

  • Le classement des entreprises comptant entre 500 et 5000 salariés, comprend 25 lauréats. Le podium reste inchangé avec Salesforce, n°1 mondial du logiciel de gestion client, qui garde la 1ère place du classement, suivi par Extia (2ème) et Mars France (3ème).
  • Le Groupe Leboncoin progresse une fois de plus cette année en se hissant de la 7ème à la 4ème place.
  • De nombreuses entreprises connues du grand public et faisant partie intégrante du quotidien des Français se positionnent parmi les entreprises où il fait bon travailler : c’est le cas notamment d’Ubisoft (6ème), Electro Dépot (9ème), American Express Carte (10ème), Krys Group (15ème), DHL Express France (21ème) et Cofidis (22ème).

50 à 500 salariés

  • Le retour en première position de l’entreprise Novencia Group, partenaire des plus grands noms de la finance sur des problématiques IT et Métiers
  • Les professionnels du consulting et des solutions en services informatiques sont très présents dans le haut du classement : Adone Conseil (2ème), Web-Atrio (6ème), SAS France (9ème) et Listen too (10ème).
  • De nombreuses entreprises intègrent le Palmarès cette année, à commencer par Yélé (4ème) qui met l’accent sur l’engagement solidaire. D’autres entreprises comme Ama (26ème), CSP The art of training (28ème), Creatis (31ème) sont également mises à l’honneur.
  • Il faut également saluer l’entrée du palace parisien, le Shangri-La Hotel, qui rentre pour sa première participation à la 36ème place du classement.

moins de 50 salariés

Pour la première fois, les entreprises de moins de 50 salariés font leur entrée au palmarès.

  • Utopies, cabinet de conseil en stratégie et développement durable s’illustre cette année en prenant la tête du classement
  • Sagarmatha et Intuit Quickbooks France, respectivement à la 2ème et 3ème place du classement, se démarquent en portant une vraie ambition sur la qualité de vie au travail
  • Les entreprises de conseil sont nombreuses dans cette catégorie : Timspirit (4ème), Ovalo (5ème), MeltOne Advisory (7ème) et R&B Partners (13ème) notamment se disputent la première partie du classement.

Quel investissement pour les entreprises candidates ?

Pour les moins de 50 salariés, les tarifs commencent à 3.500 euros hors taxes et pour les plus grosses entreprises il faut compter au minimum 5.900 euros HT.

Comment faire de votre espace de travail un lieu convivial

Nul ne doute plus que le bien-être passe par un espace de travail convivial. Bien agencé, il favorise la productivité, met la bonne humeur dans vos équipes et favorise le sentiment d’appartenance à votre entreprise. Quelques conseils pour faire en sorte que votre lieu de travail devienne le symbole de l’attention que vous portez à vous salariés et pour que votre entreprise ne passe pas inaperçue.

La décoration intérieure

Dans le cas où vous possédez de vos propres locaux, commencez par choisir des couleurs qui reflètent votre entreprise et l’ameublement qui ira avec l’esprit que vous souhaitez donner. L’agencement et la décoration de vos bureaux joue un rôle fondamental. N’hésitez pas à être dans l’originalité et à mettre des objets que l’on ne trouvera pas ailleurs. Il s’agit de donner une âme à votre lieu et de lui donner vie. Vous pouvez faire appel à vos salariés pour vous aider à chiner des produits originaux ou leur demander leur avis afin qu’ils s’approprient l’espace.

Si vous résidez dans un espace de coworking ou que vous êtes en openspace, la question ne semble pas se poser puisque ce sont les gérants des lieux qui sont en charge de la décoration du lieu. Pourtant rien ne vous empêche de signaler la présence de votre entreprise par l’intermédiaire d’un logo en relief par exemple. En ce moment, les startups comme les grands groupes craquent pour les logos végétaux de la société française LetterShop. Mais la gamme est vaste et il y en a pour tous les goûts. Une belle façon de se démarquer de vos concurrents !

La signalétique à soigner

Si vous disposez de vos propres locaux, la signalétique est en réalité présente un peu partout. Elle sert d’abord à informer sur la localisation des services, des bureaux mais aussi d’apposer la signalétique liée aux différentes réglementations : sortie, entrée, consignes de sécurité…Les entreprises de grande taille adaptent régulièrement leur signalétique pour les visiteurs (clients, fournisseurs…) ou les équipes internes afin que chacun puisse aisément se repérer sans perdre de temps. Elle met également en exergue la qualité d’accueil et aide le public en le guidant. La signalétique doit être de qualité, fonctionnelle, esthétique et personnalisée. Encore une fois, LetterShop est la solution idéale car on peut commander en ligne, mais également en direct en faisant une demande sur-mesure !

 Votre logo, un peu partout.

La signalétique peut également servir pour votre logo. Que ce soit pour l’enseigne à l’entrée de vos bureaux ou bien à l’intérieur de vos locaux sur vos murs, il n’est pas rare d’adapter celui-ci sur différents supports. Il n’est pas rare d’adapter son logo à tous types de support pour réaliser des rappels. Pour que votre signalétique soit réussie, vous devez créer un design qui soit en cohérence avec l’image de marque de l’entreprise et le mettre sous différentes formes. Il s’agira souvent d’adapter un logo sur papier et de le transformer en logo avec des lettres en relief ou  en logo 3D.  Pour cela, il vous faudra l’adapter à différentes dimensions suivant ce que vous souhaitez en faire : exposition dans salon ou lors d’un événement, présence sur les murs de l’entreprise ou sur les tables de vos collaborateurs… En négliger la conception en amont deviendra un véritable casse-tête alors n’hésitez pas à y passer un peu de temps. Certaines sociétés comme LetterShop proposent des mises en situation numériques (et gratuites) de votre logo. C’est une excellente façon de se rassurer avant l’achat.

 

Des contraintes à prendre en compte à l’extérieur

Si vous souhaitez apposer votre logo en dehors de votre entreprise, n’oubliez pas qu’elles peuvent être exposées aux intempéries, à la chaleur, à l’humidité… Votre signalétique doit non seulement pouvoir résister mais aussi garder leur fraîcheur et le lettrage et sa composition exigent des expertises pour que le temps ne les érode pas. Pensez également au poids de celle-ci notamment si vous en avez une utilisation événementielle. En été, les logos en polystyrène (que vous trouverez aussi chez LetterShop) sont parfaits : légers avec un effet wow garanti ! Dans tous les cas, votre décoration professionnelle doit être de qualité afin d’impacter positivement ceux qui la verront.

   

Investir en Bourse : les Français face aux investissements boursiers

Les Français sont méfiants à l’idée d’investir en Bourse. Quels placements privilégient-ils ? Pourquoi ils auraient tout intérêt à prendre un peu de risque pour leurs placements.

Quels rapports ont les Français face aux investissements en Bourse

L’investissement en actions souffre de nombreux préjugés auprès des Français qui délaissent cette classe d’actifs et préfèrent investir dans des placements sans risques à capital garanti. Pourtant, investir en Bourse recèle de nombreux atouts et l’on aurait tort de faire une croix sur ce type de placement. Découvrez pourquoi.

Les Français des épargnants frileux

Les Français sont des épargnants particulièrement averses au risque. S’ils épargnent massivement et régulièrement, c’est-à-dire qu’ils mettent de l’argent de côté à une fréquence donnée (souvent mensuelle) et ne dépensent pas la totalité de leurs revenus, ils n’investissent pas ou peu. L’épargne immobilière représente les deux tiers de l’Épargne des Français (remboursement d’un crédit immobilier le plus souvent) et l’épargne financière, minime donc, n’est que très peu souvent investi sur des actifs risqués.

Les Français privilégient en effet les placements sans risques que sont les placements à capital garanti (on est sûr de récupérer l’intégralité de son capital) et les placements liquides qui permettent de récupérer son capital à tout moment. La Bourse, souvent peu connue et mal comprise, est elle vue comme un coup à tout perdre. Elle est aussi dans l’imaginaire collectif associée aux grandes fortunes et les actions pour la plupart des Français sont réservés aux plus riches, ce qui est évidemment faux. Investir en Bourse n’est donc clairement pas la priorité des Français qui délaissent les marchés actions jugés trop peu sûrs et trop compliqués. Pourtant, investir en Bourse, c’est investir dans des sociétés, plus ou moins grandes, y compris des PME et des start-ups, c’est soutenir l’économie réelle, accompagner des chefs d’entreprise dans la mise en œuvre de leurs projets entrepreneuriaux, miser sur des concepts qui nous parlent, sur des valeurs auxquelles on est attaché, via l’investissement labellisé ISR (Investissement Socialement Responsable) par exemple.

Sur quoi investissent les Français ?

On l’a vu, les Français investissent peu mais épargnent massivement. Que font-ils donc de leurs sous ? C’est regrettable mais les Français sont des champions en matière de dépôt sur le compte courant. En 2018, on recensait en effet 37,4 milliards d’euros laissés sur ces comptes qui, rappelons-le, sont non rémunérés et affichent donc un rendement nul, négatif même si l’on prend en compte l’inflation et les éventuels frais de tenue de compte.

Les livrets d’épargne ont également la cote auprès des Français qui placent des sommes colossales sur ces produits bancaires très faiblement rémunérés. Ainsi, en janvier 2019, la collecte du livret A a atteint les 4 milliards d’euros selon le journal Les Echos, un record inégalé depuis janvier 2013. Et pourtant, avec 0,75 % de rendement, un taux inférieur à l’inflation, ce placement ne rapporte rien. Il coûte même.

L’assurance-vie, autre enveloppe plébiscitée par les Français (plus de 50 % d’entre eux déclarent en posséder une), pourrait donner lieu de se réjouir car les rendements affichés sont bien supérieurs et ce produit permet d’investir en Bourse via les unités de compte. Mais, en réalité, ce sont les fonds euros, majoritairement investis en obligations et affichant des rendement anémiques et en perte de vitesse constante depuis le début des années 2000 qui remportent tous les suffrages. Ils représentent environ 80 % des sommes investies sur des contrats d’assurance-vie. Pourtant, avec un rendement moyen net de frais et hors prélèvements sociaux de 1,80 % en 2018, ils ne couvrent pas non plus l’inflation.

Cependant, certains Français ont compris l’intérêt d’investir en Bourse et se positionnent sur le marché actions au travers des unités de compte de leur contrat d’assurance-vie mais aussi via un plan d’épargne action (PEA) qui possède de nombreux avantages fiscaux mais dont les titres éligibles sont limités aux sociétés dont le siège social est situé dans l’Union Européenne, ou bien via un compte-titres qui, depuis l’instauration de la Flat Tax, bénéficie d’une fiscalité plus douce avec une taxation à 30 % et permet d’investir dans n’importe quelle entreprise dans le monde sans aucune restriction.

Développer la pédagogie du risque

Débuter en Bourse demande un certain courage. Non parce qu’il s’agit de se lancer dans une activité très compliquée mais parce que cela nécessite de repenser son rapport au risque et d’accepter que, pour obtenir des rendements plus élevés, il faille accepter une dose de risque. C’est le fameux couple rendement-risque. Plus le risque est élevé, plus le rendement potentiel l’est aussi. Et à l’inverse, moins le risque est élevé, moins le rendement potentiel l’est aussi. Comme le risque zéro ne rapporte plus aujourd’hui (la situation était différente auparavant, dans les années 1990 par exemple), il convient de se positionner sur des actifs plus risqués mais aussi plus rémunérateurs.

Les Français auraient donc intérêt à débuter en Bourse. Il est intéressant de constater que les actions, sur le long terme, sont le moyen le plus efficace de faire croître son épargne. À long terme, elles constituent même « un placement étonnamment sûr » à en croire l’étude Allianz de 2014 « Les actions : un vrai potentiel à moyen terme » qui souligne que les actions US, depuis 1800, affichent « des performances réelles positives sur chaque période glissante de trente ans ». Et que dire alors du CAC 40 qui depuis sa création en 1986, si l’on prend en compte les dividendes réinvestis, a progressé de 8,5 % en moyenne par an ? Les actions rapportent et, pour peu que son horizon d’investissement soit suffisamment éloigné, elles constituent un placement idéal pour qui veut faire fructifier son patrimoine. Investir en Bourse implique forcément un risque de perte en capital, mais en investissant seulement une partie de son capital, sur le long terme, pour pouvoir sortir au moment le plus opportun, vous pourriez récolter de belles plus-values.

Plus que de chercher à tout prix à éviter le risque, les Français feraient mieux de l’accepter et de chercher à le maîtriser au maximum. L’objectif doit être de choisir les placements présentant le couple rendement-risque optimum en fonction de votre objectif d’investissement (financer sa retraite ou les études de ses enfants par exemple), de votre horizon d’investissement (5 ans, 10 ans, 15 ans, etc.) et votre goût de risque. Par exemple, on évitera d’investir en Bourse dans des PME du secteur des Biotech hyper volatiles si le risque vous donne des sueurs froides et l’on se tournera plus volontiers vers les poids lourds du CAC40 et les leaders européens de leurs secteurs qui versent des dividendes dans la durée.

Ce qu’il faut bien garder à l’esprit si l’on veut débuter en Bourse, c’est que l’on doit mettre le couple rendement-risque au cœur de sa stratégie d’investissement. Vos investissements doivent vous garantir un rendement suffisant et un risque contrôlé. La diversification vous permettra d’y parvenir. Pour cela, il convient d’investir en Bourse pour profiter des rendements offerts par les marchés boursiers, en variant les secteurs d’activités, zones géographiques et types d’entreprise dans lesquelles vous aurez investis, mais aussi, pour lisser le risque, d’investir en parallèle sur le marché immobilier, le marché des taux et le marché obligataire. Un patrimoine diversifié est plus à même de vous protéger des cycles économiques qui pourraient toucher un marché, un secteur ou une classe d’actif en particulier.

1er avril : la réforme de la formation

Le 1er avril, ce n’est pas un poisson d’avril, la réforme de la formation entre en vigueur. Les nouveaux acteurs de la formation professionnelle c’est-à-dire les « opérateurs de compétences » (Opco), vont remplacer OPCA.

Ce sont des organes paritaires, gérés par les partenaires sociaux, qui ont pour mission :

  • D’accompagner les entreprises de – de 50 salariés dans le développement des compétences
  • De renforcer l’appui aux branches dans l’analyse des besoins et évolution des certifications professionnelles
  • De financer les premières ouvertures de CFA ou sections d’apprentissage non conventionnés par les régions

Les arrêtés portent agrément au 1er avril de onze «opérateurs de compétences», les nouveaux acteurs de la formation professionnelle, sont parus le 29 mars au Journal officiel.

Cette réforme de la formation professionnelle prévoit que les 20 opérateurs paritaires collecteurs agréés («Opca») ne collectent plus les cotisations formation – transférées à l’avenir à l’Urssaf – et soient transformés en opérateurs de compétences («Opco»).

Treize dossiers d’agrément avaient été déposés fin décembre, mais le ministère du Travail n’en a que onze
Neuf opérateurs ont été acceptés sas difficultés :
1. Agriculture et agroalimentaire
2. Industrie
3. Construction
4. Mobilités
5. Commerce
6. Services financiers et conseil
7. Santé
8. Culture et médias
9. Cohésion sociale.

Cependant, le gouvernement avait refusé en janvier quatre projets qui faisaient l’objet de discussions intra-patronales et syndicales et leur a accordé deux mois aux branches concernées pour renégocier des accords correspondant à « des secteurs économiques pertinents ». La conclusion en est qu’il y aura :

  • un opérateur des entreprises de proximité
  • un opérateur des entreprises et salariés des services à forte intensité de main d’œuvre (secteur de l’intérim, de la propreté, de l’hôtellerie-restauration, etc.).

Quelles sont les branches qui entrent dans le champ d’application ?

  • Convention collective nationale du bricolage, vente au détail en libre-service
  • Convention collective nationale des commerces de gros de l’habillement, de la mercerie, de la chaussure et du jouet
  • Convention collective nationale des entreprises de vente à distance
  • Convention collective nationale du commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire (entrepôts d’alimentation, supérettes, supermarchés, hypermarchés, grande distribution)
  • Convention collective nationale du commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie
  • Convention collective nationale du commerce de détail de fruits et légumes, épicerie et produits laitiers
  • Convention collective nationale des commerces de détail non alimentaires : antiquités, brocante, galeries d’art, arts de la table, coutellerie, droguerie, équipement du foyer, bazars, commerces ménagers, modélisme, jeux, jouets, périnatalité et maroquinerie (œuvres d’art)
  • Convention collective nationale du commerce des articles de sports et d’équipements de loisirs
  • Convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement
  • Convention collective du commerce succursaliste de la chaussure
  • Convention collective nationale des commerces et services de l’audiovisuel, de l’électronique et de l’équipement ménager
  • Convention collective nationale du personnel des coopératives de consommation
  • Convention collective nationale des grands magasins et des magasins populaires
  • Convention collective nationale des entreprises de commerce et de commission importation exportation
  • Convention collective nationale du négoce de l’ameublement
  • Convention collective nationale des commerces de détail de papeterie, fournitures de bureau, de bureautique et informatique [et de librairie]
  • Convention collective Nationale des professions de la photographie
  • Convention collective nationale des jardineries et graineteries
  • Convention collective nationale de l’optique-lunetterie de détail
  • Convention collective nationale des maisons d’alimentation à succursales, supermarchés, hypermarchés, “gérants mandataires” (grande distribution)
  • Convention collective nationale du personnel de la reprographie

Réforme de la fiscalité, un souhait des dirigeants

La fiscalité reste un sujet très sensible auprès des dirigeants. Celle-ci grève les budgets des entreprises mais aussi ceux des foyers qui ont des difficultés à faire face dans ce contexte économique difficile.

Selon la consultation réalisée par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI sur les actions prioritaires que le Gouvernement doit conduire, la fiscalité apparaît comme une urgence. Notamment celle des entreprises (51%) mais aussi celle des ménages (34%).

Ils allient donc la réalité fiscale des entreprises à celle des ménages. Or, ils expriment le souhait que les services d’assurance publique soient réformés. Mais cela aussi bien sur le plan les retraites (38%) que sur le plan de l’assurance chômage (31%). A contrario, réformer les institutions ou l’Union européenne (respectivement 26% et 24%) ne fait pas partie de leurs priorités.

Le secteur du bâtiment, le plus ardent défenseur de la réforme

Les dirigeants dont l’entreprise évolue dans le secteur de la construction sont les plus nombreux à souhaiter une remise à plat de la fiscalité des entreprises. 72% contre 47% à 51% pour les dirigeants des autres secteurs. Il faut reconnaître que ce secteur est très fortement impacté par la fiscalité en 2018 par les différentes mesures prises dans ce secteur.

La décentralisation : une réponse à la fracture sociale ?

Accélérer la décentralisation apparaît comme la première réponse à apporter à la fracture sociale. Celle-ci bouleverse le pays en ce moment avec la crise des gilets jaunes (39%). En effet, elle se situe avant le renforcement de la présence physique des services publics dans les territoires (31%) et l’investissement dans les infrastructures clefs dans les territoires les moins favorisés (29%, 38% dans l’industrie). Cependant, les dirigeants sont davantage partagés sur les réponses à apporter au sentiment de fracture territoriale.

Toujours confiants malgré tout

L’indicateur de l’optimisme affiche une hausse de dix points pour se situer à 106 points. En fait, le niveau le plus haut depuis octobre 2018 depuis le début de la crise des gilets jaunes.

C’est l’adjectif « confiant » qui est choisi par les chefs d’entreprise pour caractériser leur état d’esprit actuel (60%, +9 points). L’optimisme, à 49%, affiche une hausse importante (+27 points). Elle lui permet de revenir à des niveaux observés avant la crise des gilets jaunes.

Une majorité d’entre eux estime que « c’est très bien en ce moment » (58%, +6 points). Néanmoins, moins d’un tiers a le sentiment que c’était mieux hier (32%, -2 points). Cela est fort significatif de leur état d’esprit et qui exprime leur espoir dans l’avenir. En effet, ils se montrent confiants pour les perspectives de leur entreprise dans les 12 prochains mois (82%, +12 points). Toutefois, ils sont plus inquiets vis-à-vis de l’économie française (33%, – 2 points), un chiffre stagnant depuis la chute importante observée à l’automne dernier.

Quelle influence le Brexit et ses rebonds ?

Alors que la date butoir est sans cesse repoussée et que l’issue est difficile à déterminer, les dirigeants redoutent avant tout les conséquences que cela aurait sur le libre-échange. 39% citent spontanément l’impact négatif sur les échanges et le commerce. 16% soulignent les difficultés causées par la fermeture des frontières et le durcissement des contrôles douaniers. Enfin, 12% l’impact négatif sur le tourisme et les déplacements de personnes. Un impact négatif global, sans vraiment de raisons précises évoquées, est également craint par 22% des répondants et 16% considèrent qu’un Brexit « dur » signerait la fin de la relation privilégiée entre France et Royaume-Uni.

1er avril, la RATP vous invite à faire des blagues

La RATP vous propose de piéger ses proches, amis, collègues…. en faisant des selfies dans le métro… Vraiment chaque année on est ravi de leur créativité que l’on attend d’ailleurs ! Ah le poisson d’avril, un moment de bonne humeur dans le métro !!!

Ainsi, le réseau de transports en commun a transformé plusieurs de ses stations de métro et intérieurs de wagon sur le thème du voyage. C’est le moment de s’évader le temps d’une journée et pourquoi pas de faire des blagues !

Les affiches publicitaires, de 12 m2 (4 par 3 mètres), sont remplacées par des photos liées aux noms des stations et suscitent le sourire et pourquoi pas des idées pour s’amuser dans cette journée symbolique :

  • un avion est en train de décoller à Charles-de-Gaulle-Etoile et même un aéroport ligne 2
  •  un chameau dans le désert avec les pyramides en fond pour Pyramides ligne 7
  • un glacier à Glaciaire ligne 6
  • la fontaine de Trevi à Rome ligne 2,
  •  des montagnes à la station Pyrénées ligne 11
  • la tour de Pise à la station Place d’Italie ligne 6
  • pour les stations Bel air et Opéra c’est le suspens !

De plus, pour guider les voyageurs à réaliser des poissons d’avril, des indications au sol expliquent aux voyageurs comment réaliser un selfie avec ces décors qui suscitent c’est le moins qu’on puisse dire l’envie de voyager.

Prenez l’avion dans le métro !

Vous pouvez même imaginer que vous prenez l’avion dans les métros des lignes 9 et 14 : des trompe-l’œil hublots sur les vitres avec vue du ciel, vous laissent croire que vous être à bord d’un avion. Les voyageurs de la ligne 9 et de la ligne 14 auront aussi le choix entre le « côté couloir » ou le « côté hublot » grâce à des trompe-l’œil avec vue du ciel imprenable, répartis sur les vitres des rames.
Il ne reste plus qu’à envoyer ces photos à vos proches en faisant croire à un départ en vacances :
« C’est décidé, je vais aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs »
« J’ai mis la clef sous la porte »…

Mais pourquoi pas devenir la star …

Si vous postez les clichés sur les réseaux avec le hashtag #StationdAvril vous serez peut-être sélectionné par la RATP qui publiera un top 5 des meilleurs selfies en fin de journée sur ses comptes et devenir photographe professionnel.

Par ailleurs, les stations Quatre-Septembre et Bonne Nouvelle regroupent l’ensemble des visuels présents sur les autres stations et proposant également une distribution d’accessoires et de faux billets d’avion pour laisser vagabonder votre imagination et pourquoi pas aller réserver des billets et partir !!!
La RATP nous avait proposé de sourire, en détournant les noms de stations

Une Bastille pour la gorge ? De la Gentilly sur tes fraises ? Si j’aurais su, Jaurès pas venu. Qui a éteint la Laumière ?…Cette année, elle va plus loin et nous invite à agir…

C’est le moment de déposer votre projet

Cette année encore, Aviva France a décidé de récompenser les entrepreneurs utiles et innovants. Avec une dotation conséquente, la Fabrique Aviva pour sa 4ème édition fait peau neuve. Zoom sur ce prix qui pourrait vous être utile.

Les entreprises visées

La Fabrique Aviva, le grand concours d’Aviva France, cherche à récompenser les initiatives entrepreneuriales à fort impact social et/ou environnemental. L’assureur Aviva France, s’est investi dans une démarche RSE depuis de nombreuses années autour de 3 axes clés : le climat, l’investissement responsable et l’inclusion.

Cette initiative a vocation à soutenir financièrement des projets innovants, conciliant performance économique, impact social et environnemental. Vous êtes particulièrement concerné si vous êtes dans les domaines de la santé, l’environnement, l’inclusion et l’emploi.

Les domaines restent diversifiés: économie circulaire, circuits courts, consommation collaborative, prévention, réinsertion professionnelle, agriculture durable, un grand nombre de projets entrepreneuriaux ayant une utilité sociale, environnementale et/ou sociétale…

Vous devez avoir au moins de 7 ans d’existence (la date de dépôt des statuts, ou tout autre document officiel prouvant la date de début du projet faisant foi)

4 catégories suivantes sont récompensées :

  • « Alimentation et santé : aider à vivre mieux dans un monde où la pollution, l’appauvrissement du sol et les problèmes liés à la nutrition poussent à nous adapter.
  • Environnement et transition énergétique : préserver l’environnement et participer à la lutte contre le changement climatique, apporter des solutions à notre impact sur la biodiversité et adapter notre consommation énergétique.
  • Inclusion et emploi : rompre les barrières générationnelles, sociales, communautaires, et favoriser la réinsertion professionnelle en redynamisant le bassin de l’emploi.
  • Assurance responsable et prévention : soutenir les solutions d’assurance innovantes de demain, qui bénéficieront à tous. »

Les dates et fonctionnement du concours

Les candidatures s’effectuent du 8 mars à 10h au 19 avril 2019 à 12h sur la plateforme web collaborative dédiée à l’opération.

Les votes s’effectuent du 6 mai 2019 au 3 juin 2019 avec 1 000 projets (250 par catégorie) sélectionnés pour l’entrée en compétition.

Le 14 juin 2019, les 100 projets (25 par catégorie) qui ont récolté le plus de votes seront finalistes.

Du 24 au 28 juin 2019, les différents finalistes seront auditionnés par des jurys régionaux composés d’entrepreneurs, d’experts locaux, d’agents et de collaborateurs Aviva.

A l’issue :

  • 40 gagnants qui recevront des dotations financières réparties cette année en deux types de récompenses (Amorçage ou Décollage) selon le degré de maturité́ du projet.
  • 2 projets (un dans la catégorie amorçage et un dans la catégorie décollage) seront élus coup de cœur des agents Aviva et recevront un bonus de 10 000 €.
  • 12 gagnants seront désignés pour une session de « pitch » devant un jury national à Paris le 11 juillet 2019 pour tenter de remporter une dotation de la catégorie décollage à 35 000 € ou 65 000 €.

Les innovations de cette édition

De nombreuses innovations viennent enrichir cette nouvelle édition de la Fabrique Aviva avec, notamment, une toute nouvelle plateforme plus fluide et plus sociale, ainsi qu’un programme d’accompagnement des gagnants.

La plateforme a notamment pour vocation de devenir le leader dans le financement des entrepreneurs sociaux et environnementaux en France.  Ainsi, vous pourrez notamment durant la phase de votes interagir avec votre communauté.

Celle-ci devrait bientôt être complétée par des « solutions d’assurance-vie responsables permettant à nos clients de financer des projets issus de la Fabrique Aviva » selon Patrick Dixneuf, Directeur Général d’Aviva France.

Le concours en lui-même

Créé il y a 3 ans, les jurys locaux et nationaux ont désigné 157 Grands Gagnants qui se sont partagés pas moins de 3 millions d’euros. Avec 4 000 entrepreneurs sociaux fédérés autour du concours, ce ne sont pas moins de 8,5 millions de votes du grand public qui ont départagé les candidats.

A propos d’Aviva France

Aviva France est un des premiers assureurs vie et dommages en Europe. Avec 180 ans d’expérience en France, l’entreprise propose une gamme complète de produits et services à près de 3 millions de clients, particuliers, artisans commerçants, professions libérales et petites et moyennes entreprises.

Avec 4 300 collaborateurs, Il demeure un assureur de référence pour les TPE et PME et investisseur engagé dans le financement des entreprises françaises

A noter : En 2014, en partenariat avec INCO, l’entreprise  a lancé un fonds d’investissement aujourd’hui doté de 30 millions d’€, et destiné au financement de l’Economie Sociale et Solidaire « Aviva Impact Investing France » doté désormais du label Finansol.

Aviva France offre 1 million d’euros pour 40 entrepreneurs

Cette année encore, Aviva France a décidé de récompenser les entrepreneurs utiles et innovants. Avec une dotation conséquente, la Fabrique Aviva pour sa 4ème édition fait peau neuve. Zoom sur ce prix qui pourrait vous être utile.

Les entreprises visées

La Fabrique Aviva, le grand concours d’Aviva France, cherche à récompenser les initiatives entrepreneuriales à fort impact social et/ou environnemental. L’assureur Aviva France, s’est investi dans une démarche RSE depuis de nombreuses années autour de 3 axes clés : le climat, l’investissement responsable et l’inclusion.

Cette initiative a vocation à soutenir financièrement des projets innovants, conciliant performance économique, impact social et environnemental. Vous êtes particulièrement concerné si vous êtes dans les domaines de la santé, l’environnement, l’inclusion et l’emploi.

Les domaines restent diversifiés: économie circulaire, circuits courts, consommation collaborative, prévention, réinsertion professionnelle, agriculture durable, un grand nombre de projets entrepreneuriaux ayant une utilité sociale, environnementale et/ou sociétale…

Vous devez avoir au moins de 7 ans d’existence (la date de dépôt des statuts, ou tout autre document officiel prouvant la date de début du projet faisant foi)

4 catégories suivantes sont récompensées :

  • « Alimentation et santé : aider à vivre mieux dans un monde où la pollution, l’appauvrissement du sol et les problèmes liés à la nutrition poussent à nous adapter.
  • Environnement et transition énergétique : préserver l’environnement et participer à la lutte contre le changement climatique, apporter des solutions à notre impact sur la biodiversité et adapter notre consommation énergétique.
  • Inclusion et emploi : rompre les barrières générationnelles, sociales, communautaires, et favoriser la réinsertion professionnelle en redynamisant le bassin de l’emploi.
  • Assurance responsable et prévention : soutenir les solutions d’assurance innovantes de demain, qui bénéficieront à tous. »

Les dates et fonctionnement du concours

Les candidatures s’effectuent du 8 mars à 10h au 19 avril 2019 à 12h sur la plateforme web collaborative dédiée à l’opération.

Les votes s’effectuent du 6 mai 2019 au 3 juin 2019 avec 1 000 projets (250 par catégorie) sélectionnés pour l’entrée en compétition.

Le 14 juin 2019, les 100 projets (25 par catégorie) qui ont récolté le plus de votes seront finalistes.

Du 24 au 28 juin 2019, les différents finalistes seront auditionnés par des jurys régionaux composés d’entrepreneurs, d’experts locaux, d’agents et de collaborateurs Aviva.

A l’issue :

  • 40 gagnants qui recevront des dotations financières réparties cette année en deux types de récompenses (Amorçage ou Décollage) selon le degré de maturité́ du projet.
  • 2 projets (un dans la catégorie amorçage et un dans la catégorie décollage) seront élus coup de cœur des agents Aviva et recevront un bonus de 10 000 €.
  • 12 gagnants seront désignés pour une session de « pitch » devant un jury national à Paris le 11 juillet 2019 pour tenter de remporter une dotation de la catégorie décollage à 35 000 € ou 65 000 €.

Les innovations de cette édition

De nombreuses innovations viennent enrichir cette nouvelle édition de la Fabrique Aviva avec, notamment, une toute nouvelle plateforme plus fluide et plus sociale, ainsi qu’un programme d’accompagnement des gagnants.

La plateforme a notamment pour vocation de devenir le leader dans le financement des entrepreneurs sociaux et environnementaux en France.  Ainsi, vous pourrez notamment durant la phase de votes interagir avec votre communauté.

Celle-ci devrait bientôt être complétée par des « solutions d’assurance-vie responsables permettant à nos clients de financer des projets issus de la Fabrique Aviva » selon Patrick Dixneuf, Directeur Général d’Aviva France.

Le concours en lui-même

Créé il y a 3 ans, les jurys locaux et nationaux ont désigné 157 Grands Gagnants qui se sont partagés pas moins de 3 millions d’euros. Avec 4 000 entrepreneurs sociaux fédérés autour du concours, ce ne sont pas moins de 8,5 millions de votes du grand public qui ont départagé les candidats.

A propos d’Aviva France

Aviva France est un des premiers assureurs vie et dommages en Europe. Avec 180 ans d’expérience en France, l’entreprise propose une gamme complète de produits et services à près de 3 millions de clients, particuliers, artisans commerçants, professions libérales et petites et moyennes entreprises.

Avec 4 300 collaborateurs, Il demeure un assureur de référence pour les TPE et PME et investisseur engagé dans le financement des entreprises françaises

A noter : En 2014, en partenariat avec INCO, l’entreprise  a lancé un fonds d’investissement aujourd’hui doté de 30 millions d’€, et destiné au financement de l’Economie Sociale et Solidaire « Aviva Impact Investing France » doté désormais du label Finansol.