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Star Wars, le film : étude d’une machine marketing très rodée

Star Wars IX est sorti en décembre 2019. Il s’est vite annoncé comme un succès planétaire. Les experts estiment qu’il pourrait devenir le film le plus rentable de tous les temps. Pour susciter l’engouement des fans, une stratégie marketing performante a été mise en place par Disney. Quels éléments de communication utilisés autour du film peuvent être pris en exemple par les entrepreneurs ?

La date de sortie a été choisie à bon escient. En effet, elle montre qu’elle a su dépasser tous les obstacles dus aux circonstances sociales. Une capacité d’anticipation ! Mais aussi peut être un facteur chance dans ce monde en perpétuel mouvement. Celui-ci peut parfois conduire tous vos projets dans une impasse.

Dévoiler son contenu petit à petit

C’est un plan marketing de longue date lancé par Disney, depuis le rachat des droits de Star Wars auprès de Lucasfilm en 2012. Or, l’annonce d’une trilogie n’a été révélée que durant les mois suivants. Les informations importantes n’ont été données quant à elles qu’au compte-gouttes. Ainsi, ce n’est qu’en novembre 2014 que le titre « Le Réveil de la Force » a été annoncé, pour une sortie du film fin 2015. Donc cette stratégie marketing sur la durée peut être imitée dans d’autres secteurs. Dévoiler des informations peu à peu sur un nouveau projet intrigue le public. Il le rend plus réceptif qu’avec une annonce globale unique.

Être disponible pour les clients

Ancienne détentrice des droits, la société Lucasfilm était connue pour l’attention portée au public. Ses employés répondaient même à la main aux courriers des jeunes fans de la saga… Disney a adopté la même stratégie d’ouverture pour Star Wars VII, en se montrant particulièrement actif dans les médias sociaux. La réactivité dans ce domaine permet de réaliser une promotion dynamique de ses produits, une stratégie à imiter pour rester au plus proche des attentes des consommateurs.

Impliquer le public dans la campagne promotionnelle

Dans sa vaste campagne promotionnelle, Disney a pris le parti de jouer sur le côté affectif des fans. Il a lançé plusieurs opérations que l’on pourrait qualifier de « rétro ». Notamment un concours de fan art, les auteurs des meilleures œuvres autour des personnages de Star Wars pouvant gagner des lots de marchandises et de produits dérivés. L’idée est intéressante. En effet, elle permet de mettre de l’humain au cœur du processus de promotion parfois trop rigide des entreprises.

Jouer la carte générationnelle

Disney n’a pas commis la même erreur qu’avec la seconde trilogie des années 2000. A savoir moderniser le produit à outrance. Le retour des acteurs originaux Harrison Ford, Mark Hamill et Carrie Fisher a été un élément marketing majeur pour Star Wars VII. Disney a également surfé sur la vague de nostalgie en posant sur les réseaux sociaux de nombreux clichés de la première trilogie. En effet, Il s’agit d’un puissant élément affectif pour gagner la sympathie du public. Celui-ci gagne à être utilisé pour les produits « historiques » de toutes les marques.

Faire preuve d’humour sans sa communication

Enfin, la campagne de marketing de Disney, parfois empesée par le culte du secret autour de l’histoire de ce nouveau film, a eu l’intelligence d’opter à plusieurs reprises pour le registre de l’humour. Ainsi, le réalisateur J.J. Abrams a posté lui-même nombre de photos et de messages humoristiques sur les réseaux sociaux qui ont reçu un très bon écho de la part des fans. Savoir utiliser le second degré pour être en connivence avec le public constitue ainsi un outil de promotion efficace, particulièrement sur Internet.

Mais aussi impliquer les fabricants de jouets et leur demander de garder le silence dans un moment propice aux cadeaux de Noël…. Toute une stratégie bien rodée qui apporte non seulement les retombées cinéma, DVD, mais aussi livres, épée laser…. Et qui dans ce début d’année joue à plein son impact.

Le rôle de l’impression 3D dans l’industrie automobile

L’impression 3D est incontournable dans le secteur de l’automobile. Cette technologie connaît un réel essor puisqu’elle présente de nombreux attraits qui font faire des économies considérables aux fabricants. Zoom sur les caractéristiques d’un concept en vogue.

Une nécessité dans le prototypage

L’usinage cnc a radicalement changé le processus de fabrication d’automobile. Désormais, pour créer un nouveau modèle, il suffit d’imaginer les pièces, de peaufiner leur design sur l’utilitaire dédié à cet effet avant de procéder à la modélisation. La réalisation de ces étapes ne dure que quelques instants, ce qui assure un gain de temps considérable et une présentation rapide du prototype. On constate de nos jours une forte croissance de nouveaux modèles lancés sur le marché grâce au recours à l’impression 3D métal. Cette technique n’est pas uniquement rapide, elle est également économique. Elle est devenue une alternative efficace et abordable. Toutes les usines disposent plusieurs types d’imprimantes à leur actif pour assurer la réalisation de leur concept car.

Le partenaire des tunings

La personnalisation du véhicule est tendance puisque tout le monde veut mettre en valeur leur côté unique. Pour satisfaire le besoin d’authenticité d’une clientèle exigeante, il est impératif de passer par la technique additive. Les imprimantes à résines sont les plus sollicitées. Cette matière est malléable et permet d’obtenir des pièces aux allures impressionnantes. Le tuning est en vogue pour les modèles anciens. Toutefois, on remarque le penchant des particuliers pour les nouvelles voitures qui diffèrent des autres.

Les jantes sont les plus concernées par ce phénomène d’ailleurs, il n’est pas rare d’apprécier des formes hors du commun. Viennent ensuite les détails qui agrémentent la carrosserie comme les ailerons.

Réaliser des pièces métalliques

L’impression 3D métal est très sollicitée pour la réalisation des pièces. Dans ce cas, le spécialiste utilise la méthode soustractive qui garantit une nette précision. Tous les types de pièces peuvent être réalisés par cette technique. Ce qui la rend encore plus intéressante et attractive. Le secteur de la course automobile est plus concerné par cette alternative. En effet, pour les essais, il est préférable de passer par cette technique dont la fiabilité et l’efficacité sont reconnues. Peu importe la taille et le type d’assemblage des pièces, il est toujours possible de les produire grâce à l’usinage Cnc. La compétitivité du bolide reste au rendez-vous.

Des exemples concrets

Toutes les grandes marques ont partiellement recours à l’impression 3D pour la réalisation de leur prototype. Certaines ont même fait le défi de réaliser une voiture 100 % imprimée dont le résultat est assez prodigieux. L’Urbe est le premier modèle présenté au public. C’est un véhicule hybride écoresponsable, imprimé selon le processus additif par le numéro 1 de la voiture verte Kor Ecologic. La tenue de route et l’économie énergétique sont impeccables. Les fabricants comme Honda, Audi ou Shelby Cobra disposent également d’un modèle imprimé en 3D et prévoient leurs lancements dans les années à venir.

Sortir des sentiers battus

Il est courant d’entendre l’expression « Think out of the box » lorsqu’on parle d’entrepreneuriat. Il s’agirait de trouver des solutions qui sortiraient de l’ordinaire et apporteraient une valeur ajoutée. Pour réaliser l’entreprise phare de demain, il faut souvent innover. Oui mais comment faire pour sortir des sentiers battus ?

Remettre en cause tous les acquis

La première remise en cause doit partir de l’existant et donc de vous interroger sur les raisons qui vous ont amené à une pratique ou procédure dans votre métier ou au sein de votre service. Si ses raisons peuvent s’expliquer par le contexte ou les moyens dans le passé, elles peuvent ne plus rien avoir de cohérent aujourd’hui et devenir comment obsolète dans un proche avenir. Les traditions ou coutumes peuvent avoir été mises en place pour répondre à un impératif qui a pu changer avec les moyens dont nous disposons aujourd’hui. Pour sortir des sentiers battus, il faut donc commencer par remettre en cause tout ce qui semble acquis et vous demander comment vous pourriez rebâtir les processus à partir par exemple de l’acquisition des nouveaux logiciels. Une excellente anecdote citée dans le livre les 10 commandements du leadership d’Alain Goetzmann montre bien cela.

En substance une femme prépare une dinde traditionnelle et coupe le croupion de la dinde avant de la mettre dans le plat. Son mari l’interroge sur cette pratique mais elle ne sait pas pourquoi elle le fait. « Sans doute pour le goût » lui répond-elle. Le mari s’en va demander à la mère de cette dernière qui ne sait pas non plus. Curieux, il appelle la grand-mère de sa femme qui lui répond qu’elle le faisait pour que la dinde puisse rentrer dans un four trop petit. Il faut donc extirper les actions que l’on fait de manière répétitive et se poser la banale question : pourquoi je fais comme cela.

Voir l’objectif au global avant tout 

Lorsqu’on vous propose une forme de choix, vous pouvez parfois trouver une solution qui vous permette … de ne pas choisir. Nouvel exemple tiré du même livre, celui d’un arrêt d’autobus où trois personnes attendent sous la pluie alors que vous êtes en voiture. Un ami qui vous a sauvé la vie, une vieille dame qui à conduire à l’hôpital et la personne de votre vie.

Le choix le plus moral qui semble s’imposer est naturellement d’aller sauver la vieille dame. Ensuite, vous pourriez penser à aider votre ami en priorité ou vous dire que vous le ferez plus tard. Enfin, vous pouvez vous dire (c’est un peu plus gênant) que vous n’aurez peut-être pas la chance de revoir la personne de votre vie et donc que vous devez privilégier l’amour et l’avenir. Il existe en réalité une solution qui vous permet de remplir l’ensemble de vos objectifs. Il vous suffit de donner les clés de votre véhicule à votre ami pour qu’il accompagne la vieille dame à l’hôpital et que vous restiez pendant ce temps avec la femme de votre vie.

Prendre en compte les nouvelles technologies

S’il y a bien une chose qui peut vous faire sortir des sentiers battus c’est bien l’existence de nouvelles méthodes ou la réintroduction de traditions oubliées. Il s’agit alors de vous demander comment vous pourriez implémenter celles-ci. Mais aussi ce qu’elles pourraient vous apporter à tous les niveaux. Ce n’est pas parce qu’une nouvelle pratique née dans un autre secteur que le vôtre qu’elle n’est pas applicable à votre entreprise. Vous devez penser en termes d’utilité dans votre cas bien précis. Car finalement c’est la considération de votre cas bien particulier qui peut amener une utilité bien précise. Vous êtes, de base, positionné différemment de vos concurrents donc il y a peut-être un intérêt à développer une pratique ou une technologie dans votre cas bien précis. Celui-ci pourrait vous donner un avantage concurrentiel décisif. 

Réfléchir à une solution tout en un

Il n’y a qu’à prendre en compte l’avènement des smartphones pour comprendre pourquoi des marques qui avaient l’hégémonie sur le marché comme Nokia ont perdu face à eux. Si le téléphone servait hier à téléphoner, aujourd’hui son utilité est multiple : GPS, appels, emails, sms, appareil photo applications en tout genre… Le téléphone est aujourd’hui un super ordinateur, un téléphone, un appareil photo, un baladeur etc… Il n’y a aucun doute sur le fait qu’ils vont surement avoir d’autres fonctions à l’avenir. Penser à ce que vous pourriez apporter comme valeur ajoutée demeure donc une pratique efficace si vous souhaitez sortir du cadre habituel. Votre esprit peut par exemple se demander ce qu’un stylo pourrait bien être de plus ou ce que votre solution actuelle pourrait aborder de plus. 

Améliorer une autre technique

Ce n’est pas parce qu’une technique fonctionne bien dans un métier qu’il n’en existe pas de meilleure. Elles peuvent être inachevées ou encore avoir des défauts qui peuvent être corrigés. Ce n’est pas par exemple parce qu’une technologie a été abandonnée au profit d’une autre plus moderne, que l’ancienne ne peut pas se révéler encore plus utile. C’est souvent parce que l’une a évolué plus rapidement que l’autre ou avait des avantages de base plus nombreux qu’elle a été employée. Pourtant ce n’est pas forcément celle qui gagnera à la fin. Penser en « dehors de la boite » implique de vous demander ce que vous pourriez apporter et de rechercher toutes les solutions qui existent. 

Confronter votre idée avec des non-initiés

Si vous ne savez pas par quoi commencer, présenter votre solution à des personnes qui ne sont pas de votre métier. Notez toutes les questions qu’ils vous posent et chercher la vraie réponse (pas celle qui vous vient à forcément naturellement à l’esprit), ils pourront vous questionner sur des éléments qu’ils trouvent gênants ou encore vous apporter des solutions par rapport à un processus établi mais qui pourrait être amélioré. Le regard extérieur est celui qui amène généralement à proposer une solution différente qui sorte du lot. Moins les personnes s’y connaissent, plus elles peuvent proposer des éléments originaux. Si vous n’arrivez pas à sortir des sentiers battus, d’autres peuvent vous aider le faire. 

Comment faire que votre vision devienne réelle ?

Ils sont nombreux à avoir une vision qui n’en restera qu’une. Pour que votre vision se transforme en un projet pérenne et qui emmènera votre entreprise hors des sentiers battus, vous ne devez pas la laisser dormir et pour cela vous devez la transformer en objectifs qu’il vous faudra réaliser pour ne pas paraître comme un doux rêveur ou comme une personne déconnectée de la réalité.

Donnez-vous des objectifs mesurables et dans le temps

La vision se heurte de manière inhérente aux difficultés de la mise en œuvre. Or, Il existe toujours un chemin pour la réaliser. L’argent par exemple représente souvent un frein pour concrétiser la vision. Il est toujours possible d’enlever ce frein en seulement cherchant ce que les financiers et banques proposent au lieu d’anticiper un refus par peur de l’échec.

Le premier bon réflexe consiste à créer des objectifs que vous pouvez quantifier et dans une période définie. Il ne s’agit pas seulement de dire que vous avez envie de devenir leader d’un domaine. Vous devez quantifier par exemple votre chiffre d’affaires et fixer la date à laquelle vous voulez y arriver en tenant compte des délais de réalisation. Une fois les grands objectifs établis, il s’agira de mettre des moyens en face pour y parvenir. Si vos moyens vous semblent insuffisants, vous devrez surement en trouver d’autres qui deviendront à leur tour des objectifs intermédiaires. Il s’agit de pouvoir concrétiser votre vision à l’aide d’actions opérationnelles qui s’échelonnent comme les marches d’un escalier et avec des paliers.

Si vous rencontrez un problème

Tout problème a une solution mais qui n’est pas celle qui vous vient en premier à l’esprit mais. Il est, on pourrait dire humain, de se retrouver à une impasse qui nous simple insurmontable. La plupart des gens s’arrêtent et se bloquent face à un problème qu’ils ils ne savent pas résoudre. Il s’agit souvent d’une excuse comme le manque d’argent, la conjoncture économique, les difficultés à recruter, qui leur fait reporter ad vitam aeternam leur projet.

Pourtant des solutions existent souvent de manière directe ou indirecte. Vous êtes face à un problème, au lieu de vous morfondre sur les circonstances qui ne sont pas en votre faveur autant passer du temps à chercher les différentes solutions qui existent. Thomas Edison a trouvé 1000 manières de ne pas faire de l’électricité mais une qui marche. Si vous ne les trouvez pas seul, vous pouvez vous entourer de personnes qui pourront vous donner des pistes que vous pourriez exploiter.  

Décomposez votre objectif.

Une fois votre objectif global défini et vos moyens listés, il s’agit de le décliner en sous-objectifs. Chaque sous-objectif doit au final contribuer à arriver à votre vision. C’est en décomposant votre objectif que vous rendrez votre vision réaliste. Il vous faudra prendre en compte tous les éléments qui participent à sa réalisation. Un objectif peut paraître inaccessible quand il n’est pas décomposé ou une tâche avoir l’air trop lourde si elle est prise dans sa totalité. Alors, au lieu de vous décourager devant l’ampleur de la tache ou des taches, les sous-objectifs vont être une aide précieuse. Au final tout grand projet ne reste que la subdivision de petites actions. Si vous souhaitez gravir l’Everest, la première étape pourra consister à vous informer sur le matériel nécessaire, l’acheter, vous préparez ensuite physiquement, etc… Il ne s’agit au final que de mini-objectifs qui vous conduiront à l’atteindre de votre rêve. 

Le principe des objectifs SMART

Pour que vos objectifs est un semblant de forme la méthode SMART reste la référence dans le domaine. Cet acronyme signifie : Spécifique, Mesurable, Ambitieux, Réaliste et Temporel. Nous avons déjà vu la nécessité qu’il soit mesurable et temporel, plus haut. Le réalisme et l’ambitieux peuvent sembler contradictoires mais en réalité ne se contredisent pas car si vos objectifs doivent être ambitieux, ils doivent rester atteignables selon les moyens mis en œuvre car il ne s’agit pas de vous décourager. Le côté ambitieux permet non seulement de se stimuler dans l’action mais également d’éprouver de la fierté à chaque étape franchie. 

Les raisons de se créer des objectifs

Se créer des objectifs permet d’abord de passer d’une vision à des actions concrètes car cela reste dans l’action que tout se réalise. Le rêve ne se réalise que grâce à une multitude d’actions. Même si vous rêvez de gagner à la loterie, il faut déjà avoir pris votre ticket pour que cela se réalise. Comme le dit l’expression 100% des gagnants du loto ont joué. La création d’objectifs permet surtout de comprendre la manière de parvenir à votre vision et d’en évaluer les moyens. Surtout les objectifs permettent de se motiver chaque matin et de voir que vous approchez davantage de votre but. Négliger cette déclinaison revient souvent à avancer dans le brouillard et sans possibilité d’y parvenir. 

Comment renforcer sa confiance en soi ?

Avoir confiance est soi demeure presque un impondérable quand on est entrepreneur. Fort de votre vision, vous devez emmener vos collaborateurs avec vous et posséder des convictions qui vont vous porter loin. Si on peut croire qu’il s’agit d’une qualité innée, la confiance en soi se renforce en fait au fur et à mesure de nos succès. Celle-ci n’est jamais à confondre avec l’arrogance. Zoom sur les méthodes pour améliorer votre estime de vous-même.

L’indispensable confiance en soi.

Dans l’entrepreneuriat, la confiance en soi est essentielle car c’est elle qui va vous permettre de tenir la barre lors des coups durs. Certes, cette confiance en soi, elle est souvent confortée par nos compétences, notre expérience. Mais elle possède comme corollaire d’emmener avec vous, par votre conviction, vos collaborateurs. Elle permet de s’adapter à toutes les situations et au final de tout réussir parce que le dirigeant connaît non seulement son propre potentiel mais aussi celui de ses équipes.

Le dirigeant se doit de développer la capacité de transformer les problèmes en solutions et de faire avancer son projet sans pourtant aucune garantie de sa réussite si ce n’est sa propre conviction mais aussi grâce à son optimisme. Il projette la confiance qu’il a investi dans son projet / son idée mais au final, il faut bien constater que c’est lui qui porte le projet et il arrive même à convaincre son associé de prendre certaines directions ou les partenaires de la potentialité de ses idées.

L’entrepreneuriat renforce la confiance 

Pas de panique si vous n’avez pas une confiance en vous absolue au début de votre aventure entrepreneuriale puisqu’elle se renforcera en même temps que votre projet prendra vie et que vous acquerrez un savoir-faire et un savoir être. L’entrepreneuriat représente souvent un ingrédient pour prendre confiance en soi. Parti d’une idée et donc de rien, le créateur d’entreprise la transforme en projet puis en entreprise. Le réalisme de l’exercice vous entraîne naturellement à prendre confiance en vous car vous avez chaque jour des petites victoires et vous remplissez des objectifs qui vous apparaissent parfois insurmontables. Les réussites au quotidien renforcent votre estime de vous-même. A noter que cette confiance en vous s’accompagne de la confiance en autrui. Plus elle est forte, plus votre capacité à déléguer va se renforcer et plus la confiance des autres en vous renforcera votre propre confiance. 

Bannir le mauvais vocabulaire

Pour commencer, bannissez totalement les mots comme « impossible » ou « infaisable » de votre vocabulaire. D’ailleurs c’est souvent parce que les entrepreneurs pensent que c’est impossible qu’ils réussissent à le faire comme le veut l’expression. Dans l’immense majorité des cas si vous ne le rendez pas l’impossible possible, c’est parce que le doute s’immisce et que vous le laissez devenir maître de votre esprit. Il faut donc vous convaincre que tout est possible et que vous allez pouvoir réaliser vos objectifs. Il n’est pas rare de constater après quelques années une réelle appétence à dépasser les défis. Un entrepreneur reste souvent à l’image d’un compétiteur de haut niveau et cherche toujours à aller plus loin. Pensez au maximum avec des termes positifs et décidez de remporter de grands challenges.

Les attitudes à adopter

Pour prendre confiance en vous, il vous d’abord apprendre à trancher et prendre des décisions. Elles ont certes des conséquences et des erreurs vous en ferez et beaucoup. Vous pouvez vous tromper, l’essentiel reste d’apprendre de vos erreurs et de vous remettre en question et surtout de ne pas vous obstiner dans une direction par arrogance. Apprenez à écouter car c’est la meilleure manière de trouver des opportunités et valorisez votre entourage au lieu de vous imposer en personne qui sait tout, qui a tout compris.

Vous n’avez pas besoin de la lumière des projecteurs, placez-la de telle façon à   faire briller votre équipe. Avoir confiance en soi, c’est aussi développer la capacité à demander de l’aide quand vous en avez besoin et à ne jamais rabaisser les autres. Pour renforcer votre confiance en vous, n’ayez pas peur du ridicule et lancez-vous-même quand la situation vous fait peur. Il s’agit de vous dépasser et de progresser chaque jour.

Enfin, ne tenez pas trop compte de l’avis de tout le monde car tout le monde peut se tromper. Restez au maximum dans l’action car c’est elle qui va renforcer votre confiance en vous. Pour développer votre confiance en vous, vous devez sortir de votre zone de confort afin de réaliser ce que vous ne vous sentez pas capable de faire. Lorsque vous parlez de vous, évitez les mots négatifs car se dénigrer n’est jamais une bonne stratégie. Pour finir, vous ne devez pas vous focaliser ce qu’on pense de vous car cela n’est guère essentiel. Plus facile de juger que de faire, n’est-ce pas ! 

Celles à éviter

Ne renoncez pas avant de vous être confronté jusqu’au bout à votre défi. Il s’agit d’une attitude courante de laisser tomber et de se laisser gouverner par le sentiment d’échec. Le renoncement représente l’un des pires ennemis de l’entrepreneur. Essayez de vous fixer des objectifs à court terme qui soient relativement réalistes afin de prendre petit à petit davantage confiance en vous et d’aller de victoire en victoire.

Arrêtez également de vouloir tout faire par vous-même car seul on va vite mais à plusieurs on va loin et reconnaître les aptitudes des autres est source de cohésion. Autres attitudes négatives à éviter : égrener constamment des reproches et être sur la défensive. C’est deux attitudes montrent d’une part que vous ne savez pas prendre vos responsabilités et que vous cherchez à rejeter la faute sur les autres. Enfin, vous devez éviter de penser que vous n’allez subir aucun revers. Le chemin est semé d’embûches alors ne vous découragez pas. 

Renforcer la confiance en soi se fait d’abord dans l’action. Pensez tout de même à écarter de vous les personnes toxiques qui vous conduisent à vous dénigrer.

Céder mon entreprise

Céder son entreprise signifie comme pour un bien immobilier que l’on revend, récolter les fruits de son investissement qui parfois représente de nombreuses années de la vie de l’entrepreneur. Si celui-ci a su faire fructifier son entreprise au moment de la cession, il est souvent confronté à une équation dont il ne maîtrise par toutes les subtilités.

Dans votre vie de dirigeant, il peut vous arriver de vouloir céder votre entreprise. Que ce soit parce que l’on vous a fait une belle proposition ou bien parce que vous avez envie de passer à autre chose, vous devez maîtriser certaines étapes. Comment les banques accompagnent-elles les dirigeants qui souhaitent céder ou transmettre leur boîte ? Eclairage.

Céder son entreprise : un moment particulier pour le dirigeant.

Parce qu’un projet de cession semble tout aussi important qu’un projet de création, il est primordial de savoir où vous mettez les pieds. Qu’il s’agisse de céder une filiale pour se concentrer sur son cœur de métier ou de vendre sa société et réinvestir dans une nouvelle aventure entrepreneuriale, le moment où un entrepreneur lègue sa boîte demeure toujours un événement particulier. Avant tout projet de cession d’entreprise, un dirigeant doit se poser les bonnes questions. D’un côté pratique, vous devrez généralement prévoir de nombreuses étapes avant d’entamer le processus de cession, comme le sort que vous réservez à votre immobilier (bureaux) et l’avenir auquel vous vous destinez en tant que dirigeant après la cession (arrêt d’une activité, ou non).

Quoi qu’il en soit, parmi les interrogations basiques et essentielles que le chef d’entreprise se pose, on retrouve les suivantes : quelle est la valeur de mon entreprise ? Qui pourrait reprendre efficacement ma boîte et dans quelles conditions ? Quelles sont les démarches à suivre (juridiques, administratives …) ? Comment optimiser le nouveau patrimoine perçu après la revente ? Afin d’apporter une réponse circonstanciée à chacune de ces interrogations, il est essentiel de s’adjoindre les services de conseillers externes, dont les banques font partie. 

Évaluation et diagnostic.

Dans le cadre d’un projet de cession, certaines banques agissent comme un partenaire qui vous accompagne tout au long du processus. L’évaluation de l’entreprise à céder (par l’intermédiaire d’un diagnostic précis) constitue la première étape indispensable. Dans un premier temps, les conseillers bancaires passent un temps important à échanger avec le dirigeant qui désire céder son affaire. L’objectif est double : il s’agit à la fois d’aboutir à une valorisation cohérente de la boite, c’est-à-dire de définir précisément le prix auquel vous désirez la céder, et d’identifier les atouts et les faiblesses qui favoriseront ou entraveront la cession de l’entreprise. Définir ces deux éléments passe bien souvent par la réalisation de nombreux audits, qui aboutiront notamment à l’analyse du positionnement de l’entreprise sur son marché actuel. 

Recherche de cibles potentielles.

Une fois le diagnostic effectué, les experts bancaires peuvent ensuite proposer au chef d’entreprise de diffuser l’information sur la mise en vente ou la recherche de cibles dans l’ensemble du réseau bancaire et auprès de ses partenaires. L’accompagnement du cédant passe notamment par la recherche de cibles adéquates.

Pour les établissements bancaires, l’enjeu réside dans le fait de faciliter la relation en aidant à la fois les acquéreurs et les cédants à la hauteur de leurs espérances. Le défi passe parfois par la recherche de solutions en interne (salariés, membres de la famille, etc.), notamment afin d’assurer une continuité dans les savoir-faire de l’entreprise. Concrètement, une fois les critères de recherche définis précisément entre le cédant et la banque, les conseillers rédigent avec vous les documents de présentation de l’entreprise à céder, puis ils se mettent activement en recherche du profil de repreneur adéquat. Pour cela, la banque analyse les candidatures et vérifie la capacité des repreneurs à assurer la suite des événements tout en prêtant attention au fait qu’ils partagent la vision du cédant et qu’ils pourront poursuivre la stratégie déjà engagée par ce dernier.

Les conseillers assurent ensuite une mise en relation en toute confidentialité. Certains établissements bancaires ont développé des bases de données numériques qui répertorient la liste des entreprises à céder, afin de faciliter la mise en contact entre cédants et repreneurs. 

Négociation et signature.

Il s’agit quasiment de l’étape la plus importante du processus : la négociation et la signature ! Là aussi, la banque peut vous servir d’accompagnateur efficace. À commencer par la phase de négociation, que vous ne maîtrisez pas forcément, surtout si vous en êtes à votre première boîte. Le conseiller peut vous prêter assistance pour négocier et vous permettre d’assurer les contreparties que vous demandez face à un repreneur qui ne voudrait pas investir un montant suffisamment intéressant. Le conseiller peut également vous aider à fédérer l’ensemble des acteurs autour du projet, du repreneur au cédant, en passant par les salariés et prestataires.

Se faire conseiller après la cession. 

Ça y est, vous venez de vendre votre entreprise et vous vous retrouvez à la tête d’un patrimoine. Là encore, il est nécessaire de prendre conseil, d’abord car la gestion d’un patrimoine personnel est très différente de la gestion de celui propre à une entité juridique professionnelle. Bien souvent, lorsque vous étiez dirigeant, l’entreprise prenait en charge de nombreux frais, alors que vous devez désormais tout assumer seul ! Afin de se faire conseiller sur le volet financier, les notaires et les conseillers en Gestion Privée apparaissent comme les interlocuteurs privilégiés de l’entrepreneur cédant. Concrètement, ils vous proposeront des pistes pour gérer votre nouvelle situation fiscale, en fonction de votre train de vie et de votre situation familiale.

Les avantages et les inconvénients de la traduction automatique pour apprendre l’anglais

L’anglais est l’une des langues les plus répandues au monde, c’est d’ailleurs la langue officielle de travail pour les affaires et l’enseignement. Ainsi, la nécessité de parler, ou d’écrire anglais, assez rapidement, invite parfois à utiliser des outils de traduction, comme celui de la traduction automatique. Découvrez dans cet article les avantages et inconvénients de cette technique d’apprentissage.

Les enjeux d’une bonne traduction en anglais

Comme n’importe quelle langue étrangère, l’anglais se parle, s’écrit, se comprend. Il est nécessaire de passer par la traduction pour comprendre et s’exprimer, surtout dans les phases initiales d’apprentissage. Il faut le dire, c’est parfois un véritable casse-tête : entre les mots qui ne se traduisent pas vers votre langue maternelle, la syntaxe qui pose parfois soucis sur la compréhension, il faut faire preuve de patience.

C’est là que la traduction automatique présente de nombreux atouts : pour une traduction rapide sur des termes basiques, elle fait généralement ce qui est attendu d’elle. En revanche, elle est assez peu fiable sur des textes plus importants.

En effet, la traduction automatique repose sur des algorithmes qui mettent en contexte les mots recherchés avec leur traduction, qui leur a été associée. Mais cela ne prend pas toujours en compte le contexte de la phrase, ce qui peut poser des soucis de qualité. Par exemple, avec une phrase de type « elle a sauté, encore une fois, le repas », la traduction automatique Google vous dira « she jumped, again, the meal », ce qui n’a pas de sens puisqu’ici, le verbe « sauter » est utilisé au sens littéral. Le verbe « miss » aurait été plus approprié.

Apprendre l’anglais : traduction automatique ou non ?

Ces coquilles sont assez récurrentes et dépendent du contexte, du sens de la phrase et des attentes concernant le niveau de traduction. Bien entendu, les cours d’anglais particuliers restent, à ce jour, la meilleure option pour apprendre à traduire correctement, dans son contexte, mais ils n’ont pas l’avantage d’être instantanés.

La traduction automatique, avec des outils comme Google Translate, n’est pas forcément recommandée en dehors des traductions très basiques, sous peine d’un résultat moyen. En revanche, d’autres outils de traduction automatique, comme Sysmantec, permettent d’adapter l’outil avec l’œil aguerri de traducteur que vous avez. Enrichir des outils de traduction automatique en anglais est sans doute le meilleur moyen pour pallier à sa principale déficience, la qualité du contexte.

Les astuces pour bien utiliser la traduction automatique

Aujourd’hui, la traduction automatique connaît un réel essor grâce au développement des technologies intelligentes et digitales. De plus en plus d’applications mobiles permettent de traduire en simultané des phrases dans une langue vers l’anglais, ce qui peut être très pratique en voyage. On dépasse là le stade de la traduction automatique de base, mais c’est bien sur ce fond qu’elles ont été imaginées.

Les principaux avantages de la traduction automatique sont bien sûr son côté instantané et pratique, mais cela doit être bien géré pour empêcher les inconvénients, à savoir les incohérences de traduction, de prendre le dessus. Équilibrez et enrichissez, pour obtenir des traductions dignes de natifs anglais !

Comment se créer de nouvelles habitudes ?

Nous avons tous des traits de caractères que nous aimerions changer et qui nous collent à la peau. Timidité, tendance à la procrastination, difficulté à apprendre et se créer de nouvelles habitudes et techniques pour ne citer que les plus fréquentes. Si changer nous semble si dur, les études démontrent qu’en adoptant certaines pratiques, cela est possible.

Connaître vos habitudes

Tout d’abord, une habitude ne se vit pas comme une contrainte majeure mais fait partie des automatismes. Nous réalisons de nombreuses tâches de manière quasi automatique, ce qui nous permet de faire plusieurs choses à la fois mais ce sont ces mêmes habitudes qui vont entraîner toute une chaîne de conséquences. L’avantage d’une habitude c’est qu’elle ne se vit pas comme un effort, c’est en cela que prendre de bonnes habitudes reste souhaitable. Pourtant, la plupart de nos bonnes résolutions finissent souvent oubliettes. 

Avant de vous lancer dans une transformation radicale de vos habitudes, autant prendre le temps d’identifier l’ensemble de vos habitudes et de déterminer les bonnes et les mauvaises. Il s’agit de prendre d’abord conscience de celles que vous souhaitez modifier et tout simplement de les lister comme par exemple le retard permanent, la procrastination ou encore le fait de manquer de culture. Le but va être d’en acquérir d’autres donc autant avoir pleinement conscience de celles qui ne vous plaisent pas. Vous n’allez pas tout modifier d’un coup donc fixez-vous seulement quelques nouvelles habitudes (moins de 5) à adopter dans un délai relativement long (6 mois). Au bout de 6 mois, vous pourrez attaquer d’autres nouvelles habitudes et vous rapprocher de ce que vous désirez tant. 

Les bonnes pratiques 

Si le fait en lui-même de changer de lieu ne résoudra pas tous vos problèmes, le fait de vous éloigner de la tentation représente une bonne pratique. Pour ne pas sombrer dans la procrastination, autant vous éloigner de votre télévision ou encore si vous avez tendance à trop manger, autant vous écarter du paquet de bonbons qui trainent. Il ne faut pas hésiter à éloigner de votre regard tout ce qui pourrait vous perturber afin d’éviter d’être tenté. 

Selon certaines études, nous serions le reflet des cinq personnes que nous fréquentons le plus. Autrement dit, il s’agit de vous entourer de personnes qui vous inspirent et possèdent les qualités que vous souhaitez posséder. Si vous avez tendance à être timide, vous pouvez vous rapprocher des personnes extraverties. 

Autre point clé : la fixation d’objectifs.

Pour changer, il faut commencer par se fixer des objectifs précis et dans le temps. La do list est particulièrement utile dans ce cas et vous devez vous efforcer de remplir chaque étape. Pour cela, il s’agit donc d’en créer une qui soit réalisable dans le délai imparti. Pour vous y mettre dans la bonne humeur, commencez par une tâche facile et rapidement exécutable. Vous aurez déjà fait un pas ! 

Apprendre reste le meilleur moyen d’avancer. Si vous n’êtes pas bon dans un domaine, autant l’explorer jusqu’au bout. Une fois devenu expert du sujet, vous pourriez même y prendre goût. N’hésitez pas à vous informer sur les moyens de combattre votre timidité par exemple ou à réaliser des exercices pour y faire face. Vous pourriez bien vous prendre au jeu. 

Se dire que vous le voulez. Cela peut paraître bête mais pour arriver à changer, il faut que le désir soit clair dans votre tête. Pour cela, commencez par noter les raisons qui vous poussent à vouloir changer vos habitudes et ce que vous allez y gagner. A la manière des personnes qui arrêtent de fumer, il est plus facile de changer lorsqu’on sait ce que cela peut nous apporter. 

La fixation d’une nouvelle habitude

Une habitude doit être intégrée dans votre quotidien donc vous devez lui créer une place. Pas de secret pour qu’une bonne résolution devienne une habitude, il vous faut d’abord l’inscrire dans ce que vous devez réaliser dans la journée. Ce n’est qu’à force de répétition que celle-ci deviendra automatique donc autant vous attendre à ressentir qu’il s’agit d’une contrainte au début. Avec le temps, rassurez-vous car le sentiment d’effort devrait disparaître et vous ne considérerez même plus comme une contrainte. Si vous avez pris l’habitude de vous brosser les dents, ce n’est certainement pas plaisir mais parce que vous l’avez réalisé de manière répétitive jusqu’à ce que cela devienne automatique et que vous en connaissez les bénéfices. De la même manière, vous pouvez réaliser bon nombre d’actions sans que cela vous semble une torture juste par habitude…

Comment arriver à déconnecter ?

Vous êtes chef d’entreprise et vous n’arrivez pas à vous déconnecter de votre travail. Pour cause, votre téléphone n’arrête pas de sonner et vous recevez des dizaines voire des centaines d’emails par jour. Pourtant, cette situation n’est pas inéluctable et vous pourriez très bien passer vos week-ends ou vos vacances tranquille ou profiter d’une conférence. Zoom sur quelques bonnes pratiques à mettre en œuvre si vous souhaitez enfin d’arriver à déconnecter et pouvoir prendre du temps pour vous. 

Mettre un message d’absence et déléguer

Pour bien commencer à décompresser, vous pouvez adopter un geste simple : mettre un message d’absence ou d’indisponibilité sur votre messagerie téléphonique et email. Vous pouvez indiquer la personne à joindre en cas d’urgence qui saura répondre à votre place. Pour bien déléguer l’ensemble de vos fonctions, vous pouvez lister l’ensemble des tâches que vous effectuez dans vos journées. Il s’agira ensuite de créer des procédures explicites et de les transmettre à vos collaborateurs.

N’hésitez pas à les accompagner quelques temps pour vous assurer qu’ils maîtrisent bien vos tâches. Contrôlez qu’elles soient bien exécutées. Vous pourrez alors partir l’esprit tranquille. Si vous êtes du genre anxieux, vous pouvez mettre en place des garde-fous qui contrôlent que le travail est bien exécuté. Être tranquille implique souvent de faire confiance. Vous avez peur de rater l’offre du siècle ou vous ne pouvez déléguer cette tâche à un collaborateur ? Pensez aux assistants à distance qui feront le tri pour vous. 

Créer des lignes et emails spécifiques

Si vous avez encore du mal à vous déconnecter, vous pouvez vous doter d’une seconde ligne téléphonique et d’un second email à n’utiliser qu’en cas d’extrême urgence. Indiquez bien à ceux qui auront cette ligne les conditions dans lesquelles ils doivent l’utiliser, il ne s’agit pas qu’on vienne vous perturber pendant votre repos. Si vous êtes seul dans l’entreprise, vous pouvez procéder de la même manière en précisant sur vos messages d’absence les conditions d’utilisation de ces moyens de communication. N’hésitez pas en cas de demande non urgente à préciser que vous êtes en vacances par exemple, votre date de retour et de traitement de la demande. Vous pouvez créer un email type pour ne pas passer de temps. Si vous recevez des courriers indésirables, désabonnez-vous immédiatement pour éviter toute perturbation. 

Réaliser que personne ne devrait être indispensable

Personne ne devrait être indispensable dans une entreprise y compris vous. Savoir déléguer est essentiel. Ne serait-ce que pour que la société ne dépende pas d’une personne en cas de soucis de santé par exemple ou d’accident. Dans tous les cas, vous allez devoir résister sur la durée et les moments de break sont nécessaires. Pour cela, n’hésitez pas à créer un maximum de processus qui décryptent les attitudes à adopter suivant les différentes situations que vous rencontrez comme vu plus haut.

Il faut réaliser que moins l’entreprise dépend d’un de ses membres, plus elle prend en général de la valeur même si cela peut faire parfois peur de voir le navire partir sans nous à son bord. Au fond toutes les tâches que vous faites ne sont qu’un assemblage de plus petites que peuvent parfaitement réaliser vos collaborateurs. Or, vous faites peser un risque à votre entreprise en créant une dépendance.  

Faire un travail sur soi

Le plus difficile lorsque l’on prend des vacances reste le travail sur soi qui est nécessaire et cette envie de regarder son téléphone ou ses emails. Pour être sûr de le faire le moins possible, vous pouvez vous donner des horaires précis de consultation ou indiquer à vos collaborateurs des moments où vous êtes joignable. Vous devez réaliser qu’il est extrêmement rare qu’une tâche demande une réponse immédiate. Alors autant, si vous n’avez pas délégué, vous dire que rien ne réclame votre présence. Même lorsque vous êtes présent dans l’entreprise, il y a des moments où vous n’êtes pas forcément connecté à votre boite email ou encore à votre téléphone. Autant vous dire que sauf exception votre présence n’est pas nécessaire dans l’immédiat. 

Boutique physique : comment la mettre en valeur ?

Votre entreprise dispose d’un ou de nombreux points de vente physique. Or, vous vous posez la question de savoir comment mettre en valeur cette ou ces boutiques ?

Comment faire la différence, comment rendre un magasin directement identifiable auprès de la clientèle par l’utilisation de codes couleurs particuliers, d’une typographie différente ou encore bien d’autres critères ? Vous cherchez le moyen de vous démarquer de la concurrence. Par ailleurs, vous pensez que les boutiques physiques ont encore de beaux jours devant elles malgré l’essor d’internet et des boutiques en ligne ? Suivez le guide.

Dans un premier temps, il vous faudra observer les boutiques physiques qui présentent des produits similaires aux vôtres et dresser un tableau de ce qui vous a plu et déplu et ajouter une troisième colonne. Moi si j’étais à la place de cette boutique, qu’est-ce que je ferais pour l’améliorer avec deux critères avec investissement financier ou sans investissement.

Dans un deuxième temps, rendez vous dans les centres commerciaux où se trouvent de nombreuses enseignes. Puis, comparez chaque boutique et dégagez votre impression. Vous constaterez alors que même si les couleurs sont attrayantes, la convivialité n’est point au rendez-vous.

Une mise en valeur nécessaire face à l’essor d’Internet

Internet est, sans conteste, un incroyable relais de croissance pour le commerce, et ce depuis son apparition. Les nouveaux modèles de boutiques en ligne ont véritablement révolutionné la vision courante du commerce et du point de vente, initialement en physique. Or, Internet et ses nombreuses inventions ont aussi complètement bouleversé ce modèle.

Aujourd’hui, les dirigeants d’entreprise, y compris les dirigeants de grands groupes multinationaux, tentent de trouver une solution, une bonne équation entre points de vente physiques et boutiques en ligne. L’exemple de la FNAC est criant de vérité. Ayant raté le virage du virtuel, le grand groupe de distribution de produits culturels a appuyé sa présence en points de vente physique dans les plus grandes villes tout en améliorant sa présence virtuelle. Résultat : une croissance retrouvée grâce à un savant mélange entre physique et virtuel dans l’organisation de ses points de vente. C’est dire l’importance des boutiques physiques même pendant l’ère d’internet.

Comment faire la différence ?

Les vraies questions sont donc de savoir comment réussir cette mise en valeur des boutiques physiques. Comment faire la différence face à d’autres boutiques appartenant aux concurrents du secteur ?

Tout est sujet à différenciation. Les codes couleurs utilisées pour la décoration du point de vente, l’ambiance générale, le thème musical choisi, la tenue des employés présents sur le point de vente, les produits vendus et leur présentation. Chaque critère est à prendre en compte pour faire de sa boutique un lieu d’exception avec de réelles différences et une réelle valeur ajoutée aux yeux des clients. Vous, chefs d’entreprise, avez l’obligation de prendre en compte l’ensemble de ces critères, de déterminer sur quels points il vous est possible de faire la différence, de faire de votre ou de vos points de vente des lieux agréables à visiter et où l’incitation à l’achat règne de façon méticuleuse et légère.

Là encore, un autre exemple permet de comprendre tout l’intérêt de cette stratégie : les magasins de la marque Abercrombie  Fitch où règne un climat commercial parfaitement propice au développement d’une activité pérenne. Musique d’ambiance, parfum adapté au lieu de vente et à la clientèle, code vestimentaire des vendeurs (parfois même dévêtu du haut du corps…), lumière peu agressive presque tamisée, etc. Tout est mis en œuvre pour faire de la visite du client une réelle expérience inoubliable, susceptible d’entraîner le bouche-à-oreille, ou marketing viral. Tels sont les avantages d’une réelle différenciation de vos boutiques physiques et les façons de les mettre en valeur aux yeux de votre clientèle.