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J’arrête de râler !

Il arrive parfois de remarquer que nous avons cette tendance à râler et à nous plaindre de ce qui nous entoure. Cette attitude est souvent liée à l’agacement et semble parfois agir d’elle-même, de manière incontrôlée. Nous avons tendance à nous plaindre de tous ces désagréments qui nous arrivent et parfois même sans nous en rendre compte. Zoom sur cette attitude qu’il vous faudra maîtriser.

Râler démoralise tout le monde

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, râler n’a jamais fait avancer les choses bien au contraire. Vous avez tendance à ressasser un évènement souvent insignifiant pour votre propre vie et à en faire toute une montagne alors qu’au final il ne s’agit pas d’un élément majeur. Or, râler nuit au moral de vos troupes et il s’agit d’arrêter rapidement de le faire si vous ne souhaitez pas les démotiver et qu’elles vous fuient. En effet, si le positif attire, le négatif possède l’effet contraire. Si vous n’avez jamais passé votre journée avec quelqu’un qui râle toute la journée, nous vous invitons à le faire pour comprendre que vous en aurez vite assez et que vous souhaiterez tant que possible éviter cette personne. 

Une mauvaise méthode pour vous faire comprendre

Parfois on râle pour essayer de faire passer discrètement un message (qui n’est tout de même pas tout à fait le summum de la finesse) afin de faire comprendre à une personne que ses actions ont un mauvais impact. Cette manière de faire n’est guère optimale et risque fort de blesser l’orgueil de la personne concernée plutôt que de lui faire comprendre votre message. Si vous avez un reproche, mieux vaut le faire directement à la personne plutôt que de passer par des moyens détournés. Vous serez ainsi plus explicite sur vos attentes et pourrez au besoin montrer en quoi les actes incriminés (ou l’absence) sont nocifs pour vous ou l’entreprise sans lui faire perdre la face. Tout le monde n’a pas forcément besoin d’être au courant et ce qui compte finalement c’est la progression et non la répétition des erreurs plutôt que de « punir le coupable »

Cela vous nuit à vous également

A force de râler, vous risquez aussi de vous démoraliser vous-même et de ne regarder que le verre à moitié vide. Ce n’est pas en ressassant ce qui ne va pas que l’on fait avancer les choses. Pour avancer, mieux vaut passer du temps sur vos objectifs ou sur la résolution des problèmes que de s’en plaindre tout le temps. Cela ne les résout pas d’ailleurs et ne vous apporte qu’un réconfort passager qui est souvent illusoire. Surtout, à force d’être dans une ambiance négative, vous risquez d’attirer le négatif autour de vous. Il est donc temps de changer radicalement si ce n’est pas la manière dont vous voulez vivre et ce que vous voulez véhiculer. 

Pour arrêter de râler. 

Pour ne plus le faire rien de plus simple

il faut commencer par vous dire des choses (ou en lire) dès le matin. Vous devez aborder positivement les choses et chaque fois chasser le négatif. 

Ensuite, vous devez apprendre à voir les deux côtés d’une pièce : tout élément négatif a un côté positif et inversement. Votre vision des choses altère forcément la réalité. Ainsi s’il pleut, vous pouvez y voir un mauvais temps ou … l’occasion de ne pas avoir à arroser les plantes. Si un salarié commet une erreur, une opportunité de mettre des process en place etc… Il s’agit de radicalement toujours essayer de voir les deux côtés car il y a (presque) toujours du positif.

Vous observer

Un autre travail mental peut également être réalisé dans le même temps : il consiste à constater à chaque fois que vous êtes négatif. Si vous voyez par exemple que vous avez tendance à râler, vous pouvez le noter ainsi que ce qui vous fait râler. Vous corriger lorsque vous sentez que vous dérapez est le premier pas. Ceci peut également arriver lorsque vous sentez que vous vous mettez en colère, il vous suffit souvent d’appréhender les effets délétères pour vous contrôler immédiatement. 

Une fois ces deux travaux effectués, l’étape suivante peut être de transformer tout ce qui vous fait râler en challenge. Vous ne serez plus dans une situation où vous subissez mais véritablement dans une ambiance où vous devez relever des challenges. Le pire reste de se sentir impuissant face à ce que nous estimons stérile. 

Relativiser reste également une bonne attitude. Vous pourriez très bien rire de ce que vous arrive. Ce qu’il faut comprendre c’est que vous avez 10 000 manières de réagir à la même situation donnée et que vous n’êtes ni obligé d’être énervé ni d’être affecté. La question n’est pas ce que vous subissez mais comment vous le prenez. Plus vous serez détaché émotionnellement d’un évènement moins vous aurez tendance à râler car, au final, cela ne vous importera pas assez pour affecter votre moral. Finalement, si vous vous plaignez c’est que cela vous affecte quelque part, que vous le vouliez ou non. Toutes ces contrariétés sont souvent relatives et comme le dit l’expression : « il n’y a pas mort d’Homme » alors il est peut-être temps de passer à autre chose.

Bref, vous l’aurez compris tout est une question de sensibilité par rapport à l’événement donné plus qu’une réalité et râler ne vous apportera rien de bon, ni à vous, ni à vos équipes

Qu’est-ce que le Growth Hacking ?

Le marketing est toujours à la recherche d’idées innovantes pour développer et fidéliser la clientèle. Si certains processus sont des points de repères pour mettre en place une stratégie marketing performante, l’enjeu est toujours de se démarquer pour capter l’attention et séduire le consommateur pour en faire un fidèle client qui deviendra un ambassadeur. Très répandu dans les start-up, le Growth Hacking est une technique de e-marketing importée des États-Unis, pays dans lequel il est devenu un véritable phénomène depuis la création du mot, en 2010 par Sean Ellis, en charge du marketing chez Dropbox. De nombreux livres et articles en attestent. Mais que recouvre ce terme ?

Le Growth Hacking, une révolution du marketing classique

Le Growth Hacking consiste à mettre en œuvre des techniques créatives et à analyser des données afin de mobiliser de nouveaux leviers de croissance d’une société ou d’un produit. Il est la conséquence de l’adaptation du marketing à un nouvel environnement et notamment aux nouvelles technologies, remettant en cause les actions du marketing traditionnelles d’une entreprise classique.
Alors que l’objectif de cette dernière reste de construire une marque en recourant principalement aux médias de masse, le Growth Hacker a pour but d’accroître sa base utilisateurs à moindres frais. En outre, alors que l’entreprise classique ambitionne un objectif de croissance entre 3 et 10% par an, une start-up vise une croissance annuelle supérieure à 20%, tout en conciliant ce but avec un très petit budget.

Le Growth Hacker, un hacker du marketing

Ce manque de budget se compense par de la créativité et de l’inventivité. Dès lors, un Growth Hacker peut se définir comme un hacker du marketing, c’est-à-dire quelqu’un qui va utiliser des méthodes non traditionnelles et anticonformistes pour augmenter sa base utilisateurs. Il doit également travailler aux processus de conversion et de rétention du client. Pour cela, il recourt à de nombreux outils, tels que le SEO, les médias sociaux, les newsletters, les relations presse, l’ergonomie, l’acquisition de trafic, les tests A/B, etc. Il est attaché à une culture du résultat et II agit surtout par expérimentation, en testant de nouvelles solutions et en en mesurant méthodiquement les résultats.

Quelques exemples réussis de Growth Hacking

Dans les années qui ont suivi son lancement, Hotmail a inséré en signature de ses mails la mention « PS : I Love You. Get Your Free Email at Hotmail », afin d’inciter les destinataires des courriels à recourir au service ; en 1 seul mois, il avait gagné 20 000 utilisateurs, 1 million en un semestre et 2 millions en huit mois, alors même qu’une telle opération n’a rien coûté à la société. 

Droopbox a mis en place un système permettant à ses utilisateurs de bénéficier de 500 Mo d’espace gratuit pour chaque relation qui installe le service, dans la limite de 16 Go. 

Red Bull a obtenu plus de 4 millions d’abonnés sur sa chaîne YouTube et a atteint le total d’un milliard de vues en à peine 6 ans. Pour mettre en exergue sa marque de boisson énergisante, elle a fait appel pour réaliser des vidéos performantes à des athlètes de haut niveau ainsi qu’à des amateurs de sports extrêmes.

Un exemple de Growth Hacking axé sur l’activation et la rétention des utilisateurs peut aussi être trouvé chez Twitter. En se fondant sur le constat selon lequel un utilisateur ne recourt activement à Twitter qu’à partir du moment où il suit 20 personnes, la société a mis en place des suggestions de personnes à suivre dès le processus d’inscription. 

Le succès de telles méthodes reposant notamment sur leur rareté. Il s’agit en outre uniquement de la partie visible de l’iceberg, les entreprises ayant dû tester des dizaines d’autres hacks avant de mettre le doigt sur celui qui boostera leur croissance.

Ce pas à franchir quand on veut grandir

Quand on une petite entreprise, on sent parfois qu’il faudrait la faire grandir pour qu’elle puisse se développer. Malheureusement on ne sait parfois pas trop pourquoi mais passer à l’échelle supérieure semble inexplicablement se confronter face à un mur. On se demande alors si on ne devrait pas recruter pour passer au stade suivant. Zoom sur quelques points à regarder si vous souhaitez faire grandir votre entreprise. 

L’automatisation du maximum de tâches

Toute les tâches à faible valeur ajoutée ou qui font perdre du temps à vos équipes doivent être étudiées avant de songer à passer à la vitesse supérieure. Il vaut mieux que vos équipes aient temporairement moins de travail qu’au contraire elles ne se retrouvent à ne pas pouvoir gérer une trop forte accélération. Ce qui arrive souvent aux petites entreprises qui souhaitent passer à l’étape supérieure est que les ressources arrivent à saturation en cas de montée en puissance ce qui donne l’impression d’un seuil qu’on ne peut pas dépasser. Ainsi, les commandes affluent et sont traitées par vos équipes mais passée un certain seuil, la réactivité diminue ce qui fait redescendre le niveau de commandes. Un cercle vicieux que vous pouvez parfois briser en passant à l’automatisation des tâches et notamment celles qui sont chronophages et font perdre du temps à chacun. 

La mise en place de tableaux de bords.

Si vous voulez grandir, il va vous falloir apprendre à diriger différemment votre entreprise et notamment à disposer des tableaux de bord nécessaires au pilotage de votre activité. Une petite entreprise reste souvent gérer à la main avec des indicateurs qui ne sont pas en temps réel par exemple.

Plus votre entreprise grandit plus le nombre de données devient important et vous ne pourrez gérer l’ensemble des données client par client et il vous faudra regrouper l’ensemble par catégorie par exemple et avoir une vue permanente sur la marge ou sur les progressions de chaque item que vous aurez trouver pertinent. Bien entendu vous pouvez dédier des ressources pour vous remplir vos tableaux mais comme dit plus haut, cela représente souvent une faible valeur ajoutée et reste souvent automatisable donc n’hésitez pas à structurer dès maintenant vos tableaux de bord et à déterminer comment ils peuvent être enrichis en temps réel et sans intervention humaine (ou du moins minimale)

Apprendre à déléguer

Il s’agit d’une des plus grandes difficultés pour ceux qui ont appris à gérer une petite entreprise et qui sont restés longtemps à ce stade. Il est clair que vous ne pouvez pas tout faire et tout superviser de la même manière. Une bonne boite qui grandit c’est avant tout synonyme pour vous de perte de contrôle et il va falloir vous y faire. Si vous n’en avez pas conscience, sachez que passer une certaine taille (en général à partir de 100 collaborateurs), il devient presque impossible de connaître tout le monde entre les entrées et les sorties (notamment de stagiaires).

Les entrepreneurs qui aiment rencontrer ceux avec qui ils travaillent parviennent généralement jusqu’à 200 collaborateurs à condition que vous équipes restent dans l’hexagone. La taille d’une tribu étant de 150 personnes en moyenne c’est à peu près le chiffre que vous arriverez à retenir tant que votre tribu est stable. En dehors du fait de connaître tout le monde, il faut comprendre que vous devez perdre la main sur certaines décisions (ce qui est parfois très très difficile pour certains entrepreneurs) et faire réellement confiance (ce qui est encore plus dur). Certains d’ailleurs font des cauchemars rien qu’à penser qu’ils ne feront pas les virements eux-mêmes ou ne seront pas les seuls à pouvoir accéder aux comptes. Vous devez apprendre à déléguer sinon comment ferez vous quand il y aura des dizaines de milliers d’opérations par jour ?

Savoir viser plus haut

Assez bizarrement quand on est une TPE, le premier réflexe est d’avoir du mal à s’adresser à plus « haut ». Si certains dès le début vont chercher d’énormes contrats avec de grandes entreprises ou encore s’orientent vers les marchés publics, les petites entreprises ont parfois du mal à se lancer dans l’aventure. Déjà, parce qu’il y a souvent beaucoup de paperasses certes et parce qu’il existe un risque à avoir des clients trop importants dans le portefeuille. Mais parfois, il faut prendre en compte qu’il s’agit de la solution pour pouvoir passer à l’échelle supérieure et ainsi aborder ce nouveau stade. 

Casser le rythme ! 

Quand une entreprise roule sur le même rythme depuis des années, le problème est que vous rentrez souvent dans une spirale de ralentissement / accélération. Ainsi vous avez une partie de l’année où vos équipes sont à fond et une autre où elles se reposent, jusqu’ici rien qui ne paraissent anormal sauf que parfois quand on souhaite accélérer, cela induit que vous utilisiez une période de repos pour prendre de l’avance par exemple et entamer tous les nouveaux projets comme l’automatisation que nous avons plus haut. Il s’agit de produire en avance pour que vous ayez le temps lors de la prochaine vague de gérer l’essor de la nouvelle branche et qu’il ne s’agisse pas que d’un petit projet temporaire qui ne vous aura fait que perdre du temps car vous ne lui accorderez pas le temps nécessaire pour qu’ils deviennent opérationnels. 

Prendre des risques

C’est peut-être l’une des choses les plus difficiles quand on souhaite changer de stade de développement car il faut savoir prendre des risques comme par exemple investir dans une campagne de communication, dans du conseil ou dans des prestataires qui gèreront par exemple votre automatisation. Surtout, il peut s’agir d’un risque si on ne peut assurer en même temps que l’on protège ce qui a été fait antérieurement tout en investissant de l’argent en escomptant par exemple sur des résultats desdites actions. Dans tous les cas, toute décision de ce type génère le risque au moins de perdre de l’argent et donc de diminuer votre trésorerie et donc la sécurité qui va avec. Pour passer à une échelle supérieure, cela est pourtant parfois nécessaire. 

Vendre ses produits en ligne

Aujourd’hui le web fait partie intégrante des habitudes quotidiennes du consommateur. Il n’hésite pas quand il a besoin d’un produit par exemple à aller chercher dans les sites ce dont il a besoin mais aussi de consulter plusieurs sites concurrents pour obtenir par exemple le meilleur prix.

Sur le plan technique, la vente en ligne peut s’avérer très simple et facile. Cette pratique ne requiert pas d’énormes investissements financiers mais peut générer des ventes non négligeables. Pour assurer le succès de la vente, il reste nécessaire de prendre en considération certains aspects.

Réaliser une communication attractive

Elle constitue l’un des principaux éléments garantissant le succès de la vente en ligne. Le vendeur doit faire connaitre sa marque et ses produits aux internautes. Pour cela, il dispose de multiples canaux lui permettant de se faire connaître de ses consommateurs et clients potentiels. Les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google+, Pinterest…) font partie de ces outils. Le vendeur peut les utiliser et ne doit pas hésiter à s’inscrire sur des réseaux sociaux professionnels tel que LinkedIn.

Travailler son référencement

Le référencement est déterminant dans la réussite d’une boutique en ligne. Il est impossible pour une marque d’assurer sa popularité sur la toile si elle ne dispose pas d’un site Internet performant et bien référencé. Pour être placée dans les premières pages des moteurs de recherche et obtenir plus de clics, l’entreprise devra travailler son référencement à l’aide des mots clés…

Consulter les comparateurs de prix

Les acheteurs en ligne prennent la peine de consulter plusieurs offres avant de s’arrêter sur un produit déterminé. Leur objectif consiste à acquérir un produit de qualité à meilleur prix. C’est la raison pour laquelle le vendeur en ligne doit procéder à une évaluation régulière de ses offres que ce soit en matière de qualité ou de prix par rapport à celle de ses concurrents. Il ne doit pas hésiter à s’inscrire sur des sites de comparaison en ligne afin d’optimiser la visibilité de ses produits. Cette dernière demeure essentielle pour garantir la popularité du produit et de ce fait, le succès de la vente.

Offrir une navigation performante

Les consommateurs en ligne passent beaucoup de temps à consulter plusieurs sites pour trouver le produit pouvant satisfaire à ses besoins. Ils sont, cependant, très impatients quand il s’agit de processus de commande et de paiements. Un processus de commande trop long ou complexe provoque de la réticence chez les acheteurs. Instaurer un système de commande simple, facile et rapide augmentera votre taux de conversion. En ce qui concerne le paiement, le vendeur doit mettre à la disposition des consommateurs en ligne différents modes de paiement.

Optimiser la boutique en ligne

Le vendeur peut améliorer sa performance en prenant en compte certains détails. Il peut élargir sa gamme de produits afin que les consommateurs puissent trouver tout ce dont ils ont besoin dans une seule boutique. Les boutiques de vin en ligne proposent ainsi souvent des tire-bouchons ou des verres. Les boutiques de vêtements des accessoires (sacs, chaussures, bijoux…).

Étant donné le fort développement des nouvelles technologies, le vendeur en ligne doit tenir compte des évolutions d’usage. Ainsi, les sites Internet sont désormais accessibles à partir de mobiles ou des tablettes et donc de n’importe quel lieu.

Pourquoi est-ce que cela semble si simple pour certains ?

Parfois, on ne sait pas pourquoi, certaines personnes semblent réaliser des actions qui nous paraissent impossibles et de plus avec une certaine facilité. On pourrait se dire qu’ils ont eu parfois un don à la naissance et qu’ils sont doués de capacités dont nous n’avons pas hérité. Pourtant, dans l’immense majorité des cas, ce n’est pas le talent qui fait ce qu’ils sont mais bien leur façon d’agir qui a fait ce qu’ils sont devenus. 

Changez votre vision des difficultés

Si la majeure partie des gens conçoivent les difficultés comme des épreuves difficiles, certaines personnes en ont une autre vision. Elles considèrent celles-ci comme des obstacles à surmonter et se réjouissent d’en rencontrer. D’ailleurs, elles voient en elles un motif de progression et d’apprentissage qui leur permet d’aller de l’avant. Cette vision transforme radicalement la perception des difficultés et incite à se dépasser toujours plus. Au final, cette manière de les considérer entraine qu’elles relèvent des challenges et n’ont pas tendance à s’apitoyer sur leur sort. Si elles semblent le faire avec autant de facilité c’est d’abord parce qu’elles en ont une conception différente et décident de relever un défi plutôt que de subir.

Le corps et le mental sont habitués

Comme pour le sport, à force de relever des défis toujours plus haut, vous finissez par vous forger un mental d’acier. Si ceci est vrai pour les sportifs de haut niveau c’est aussi vrai pour ce type de personne que nous admirons. Elles ne cessent de relever des challenges, elles finissent par repousser leurs limites et à produire, par exemple, plus que ne pourrait le faire une personne classique. Elles peuvent ainsi avoir des capacités de concentration supérieures grâce au fait de la travailler ou avoir rencontré énormément de situations et finalement avoir appris à les gérer. A force de répétitions et de faire chaque jour un peu plus, elles finissent par acquérir des facultés hors du commun. 

Parce qu’elles ont relégué de nombreux gestes à l’habitude

Le cerveau se nourrit d’habitudes et d’automatismes. Plus vous réalisez des tâches qui vous demandent des efforts, plus il va les effectuer automatiquement. Vous pouvez percevoir ceci quand vous vous brossez les dents. Cela vous n’y pensez même pas car vous avez l’habitude de le faire. Cela représentait pourtant énormément d’effort quand vous étiez petit. Pourquoi ? Tout simplement car vous ne réfléchissez plus à le faire et vous le faites machinalement. Plus vous aurez pris de bonnes habitudes comme cela, moins elles vous paraîtront pénibles et donc plus vous pourrez effectuer de nouvelles tâches difficiles sans avoir l’impression de vous dépasser. Il faut donc chercher à faire entrer, au fur et à mesure, tous les 6 mois 3-4 habitudes qu’ils vous semblent difficiles et qui, à terme, ne vous demanderont plus aucun effort en réalité. 

Parce qu’elles se disent qu’elles peuvent le faire

Si vous vous demandez sans cesse si vous pourrez le faire, il se peut bien que vous abandonniez avant l’heure. Avez-vous déjà fait des exercices de musculation par exemple ?  Quand vous savez que vous pouvez atteindre 150 crunchs par exemple, la question ne se pose pas tellement quand survient le moment difficile si vous allez y arriver ou non. Vous savez que vous pouvez le faire. Il en va de même dans tous les secteurs de la vie où plus vous vous direz que vous en êtes capables, plus vous en aurez réellement la possibilité. Certaines personnes arrivent à concrétiser des actions impossibles rien qu’avec la force de leur esprit, c’est dire si le fait de ne pas douter de votre potentiel à maîtriser certaines performances peuvent contribuer à les faire. 

Elles sont positives et optimistes

Si vous faites une tâche et que vous plaignez même avant de l’avoir commencée, vous risquez fort de vivre ce moment comme un moment douloureux. Si cela paraît si facile pour certaines personnes c’est avant tout parce qu’elles ont appris à être positives et à ne voir même un moment difficile que comme une épreuve temporaire. Plutôt que de se plaindre ce qui rajoutera à la difficulté, elle préfère positiver et voir le bon côté des événements. L’esprit se nourrit de positif comme de négatif et si vous voulez avoir une vision positive de la vie, il va vous falloir travailler sur votre conception d’appréhender chaque expérience. Deux évènements identiques ont souvent deux manières d’être perçues différemment, une version positive et une version négative. A vous de vous habituer à voir la bonne face de la pièce. 

Car elles ont un but plus important

Si vous vous limitez à un but qui n’est pas tellement désirable ou qui ne va pas au-delà de petites considérations vous aurez du mal à vous dépasser. Pour que vous puissiez dépasser vos limites, vous devez vous fixer un but qui va plus loin. Si vous souhaitez que toute l’humanité soit heureuse et que vous œuvrez en ce sens, vous aurez tendance à réaliser plus de choses que si vous vous dites que vous voulez simplement acheter quelques courses pour une personne que vous connaissez dans le besoin. Plus le but que vous cherchez à atteindre est grand et plus vous aurez tendance à vous dépasser et ainsi à acquérir de nouvelles aptitudes notamment de résistance. 

Parce qu’elles peuvent avoir rencontrées plus difficiles

Chaque difficulté que nous rencontrons est relativement difficile par rapport à notre vécu. Si vous avez eu l’habitude par exemple de ne pas pouvoir avoir de l’eau courante et devoir parcourir des kilomètres pour vous en procurer, vous ne trouverez nullement difficile de descendre un étage pour en avoir. La notion de difficulté est relative à votre passé et à ce que vous avez dû endurer. Plus vous avez été habitué à devoir absorber des challenges générant du stress par exemple, plus vous êtes habitués à celui-ci. Si la première fois qu’un client vous fait ainsi une réclamation, vous allez vous mettre dans tous vos états, cela risque de n’être pas le cas au bout du vingtième. Vous serez ainsi plus enclin à chercher des solutions qu’à gérer la perturbation émotionnelle que cela induit. 

Vous l’aurez compris, si cela semble si simple et si facile pour certaines personnes c’est avant tout car elles ont réussi à se créer un mental pour réussir ce type d’exploit. Aucun marathonien n’arriverait à réussir le type de records actuels sans entraînement. Les capacités c’est bien mais le travail peut vous faire arriver à un tout autre niveau.

Plus que jamais : flexibilité et adaptation !

Avec la sortie du confinement qui arrive, vous allez faire devoir preuve d’encore plus de flexibilité et d’adaptation qu’à l’accoutumée. Ceux qui n’ont pas arrêté leur activité le savent . Les aléas pleuvent. De plus, vous pouvez vous attendre à de nombreuses évolutions. Si cela est vrai au niveau de votre organisation, la nouvelle donne va s’appliquer presque partout y compris éventuellement dans vos méthodes de management. 

Vos process internes vont être chamboulés

Qu’on parle de recrutement, de manière de collaborer, de télétravail… Vous verrez sans conteste votre organisation bouleverser à bien des niveaux. Vous pouvez avoir la chance qu’elle ne le soit pas trop. Cependant, dans la plupart des cas, vous allez devoir revoir bon nombre de vos process. Par ailleurs, votre capacité à vous adapter à des aléas va être mise à rude épreuve. Notre manière de travailler antérieure va profondément mutée et il faut vous attendre à des changements encore imprévisibles.

Vous devez vous réadapter et penser l’ensemble de vos activités en termes de minimisation des contacts. Il vous faut donc prévoir de vous adapter à cette situation quand bien même vous allez créer des conditions optimales pour les éviter sur le lieu de travail. La loi peut rapidement intervenir pour faire en sorte que le télétravail soit la norme notamment ou que vous deviez mettre en place un équipement pour protéger chacun de vos salariés. Si vous travaillez en open space, il se peut ainsi que vous deviez fortement modifier votre manière de travailler. Autant de conséquences internes que vous allez devoir gérer.

Attention aux fournisseurs

Bon nombre de fournisseurs peuvent se trouver en difficultés, ne pas rouvrir ou encore subir les conséquences de la transformation. Vous serez amené à rencontrer des délais de livraison beaucoup plus longs ou de devoir chercher des fournisseurs alternatifs si vous ne souhaitez pas vous retrouver en rupture de stocks ou hors-délais. Certains retards de paiement sont à prévoir et vous devrez être plus rigoureux que jamais sur votre gestion. Il sera souvent nécessaire de faire preuve à la fois de flexibilité et de capacité à réagir. En effet, vos fournisseurs sont eux-mêmes dans cet inconnu et ne maîtrisent pas forcément tous les éléments. Si vous avez fait des commandes en ligne, vous allez rapidement vous apercevoir que les délais de livraison ne sont souvent plus garantis.

Vis-à-vis de vos clients également

Déjà, il vous faudra prendre en compte que vos propres délais de livraison peuvent s’allonger et donc à ne plus forcément les garantir s’ils faisaient partie de vos arguments de vente. Toute votre relation commerciale va certainement être chamboulée. Notamment si vous aviez l’habitude de rencontrer vos clients ou de vous déplacer pour affiner votre offre par exemple.

Surtout il vous faudra être attentif au fait qu’ils ne respectent pas eux-mêmes les gestes barrières et que tout votre process de vente est peut-être à revoir. Certains se seront dotés d’outils pour fonctionner à distance mais d’autres non. Autant d’aléas dont il va falloir tenir compte et qui vont fortement mettre à l’épreuve votre capacité d’adaptation et votre flexibilité. Vous aviez peut-être un salon prévu pendant le premier semestre. Vous aviez l’habitude d’y rencontrer vos clients et d’établir de nouveaux contacts à ce moment-là. Il va vous falloir faire preuve de créativité pour remplacer votre stratégie de communication. Vous aviez peut-être prévu également des conférences. Il va vous falloir certainement utiliser les nouveaux outils technologiques pour les remplacer mais vous allez devoir acquérir des compétences inhabituelles.

Les collaborateurs : zone à risque

Si vous avez de la chance, vous n’aurez pas de souci à ce niveau-là. Toutefois, vous avez de fortes chances d’avoir des perturbations au sein de votre équipe entre ceux qui vont vouloir imposer les gestes barrières et ceux qui voudront retourner à la vie normale. De la même manière, ceux qui ont pris gout au télétravail et ceux qui l’ont désormais en horreur vont se manifester. En termes de management, il faut s’attendre donc à tout et son inverse. Vous risquez fort de devoir vous adapter à des situations opposées avec des personnes qui ont très bien vécu le confinement et d’autres qui sont au bord du gouffre. Un casse-tête que vous aurez en charge de résoudre. 

Des nouveaux comportements à prévoir

Il est clair que les habitudes de tout le monde vont être affectées par les nouvelles règles. Mais aussi les nouveaux désidératas. Vous allez donc peut être devoir faire évoluer votre business model ,voire développer de nouvelles ailes qui vont correspondre aux impératifs liés que va entraîner cette crise. Comme toute crise, c’est opportunité de vous démarquer. Néanmoins, votre agilité sera mise à rude épreuve et la capacité à fédérer vos équipes dans ce changement sera déterminante. De nouvelles tendances semblent se dégager et certains comportements vont être éphémères alors que d’autres vont s’installer de manière durable. Il est peut-être nécessaire ainsi de mettre en place de nouveaux indicateurs pour ne pas rater le virage dans certains domaines. 

Quoi faire en matière d’hygiène et de santé dans votre entreprise ?

Alors que de nombreuses entreprises vont reprendre du service et que d’autres continuent de s’afférer du fait de leur activité, les questions relatives à l’hygiène sont sur le devant de la scène. Que faudra-t-il mettre en place rapidement dans les entreprises pour éviter de mettre en danger la vie de vos collaborateurs ?

Le basique : acquérir gels et masques

De base, vous pouvez mettre à disposition des gels hydroalcooliques, un peu partout dans votre entreprise et de préférence avec des distributeurs qui évitent de trop les manipuler pour se servir une dose. Les masques peuvent aussi être fournis même si la possibilité de s’en procurer aujourd’hui n’est pas encore à l’ordre du jour, elle devrait l’être dans les prochains jours mais on ignore en quelle quantité pour les salariés. La quantité de masques nécessaire pour les professions tels que les médecins devraient prochainement être couvertes et s’en fournir ne devraient plus être d’une grande difficulté. A noter qu’avoir le même masque toute une journée se révèle d’une efficacité médiocre et ce n’est pas le masque promis par l’Etat qui devrait permettre de beaucoup réduire la propagation du virus. 

L’affichage des gestes barrières 

Cela peut paraître basique mais afficher les gestes barrières un peu partout et rappeler à chacun qu’ils doivent régulièrement se laver les mains n’est pas un luxe. Vous pouvez donc afficher dans les toilettes et un peu partout ces deniers. Ensuite, vous pouvez aller plus loin en donnant des explications plus concrètes sur ce que vous pouvez faire en plus pour garantir une meilleure décontamination par exemple. Autre possibilité utiliser les différents moyens de communication comme intranet ou encore des emailings pour faire des rappels. Tous les moyens de communication à votre disposition peuvent être utiles et un rappel pendant les réunions des bonnes pratiques demeurent une base. 

Repenser l’espace de bureau

Il vous faudra parfois remettre en cause votre manière de travailler et agir sur la disposition de l’ensemble de vos bureaux pour éviter que certains se retrouvent confinés dans un espace. Aérer reste recommandé même si cela ne fait pas tout et surtout mettre en place des kits de décontamination près des ustensiles de bureaux que plusieurs personnes utilisent comme l’imprimante représente une bonne pratique. Vous devez faire en sorte que vos collaborateurs soient à plus d’un mètre, bien entendu. Vous pouvez penser également à alterner les présences et bien sur en fin de journée, voire plusieurs fois par jour, veillez à ce que les bureaux soient propres et désinfectés pour éviter toute propagation. Par ailleurs, vous pouvez également penser à des systèmes de protection comme dans les supermarchés pour éviter notamment les projections même s’ils peuvent devenir anxiogènes. 

Privilégier le télétravail encore

Ce n’est pas parce que le confinement est levé et que tout le monde peut se rendre sur son lieu de travail que c’est nécessairement ce qui doit être fait. A chacun de leurs déplacements vos collaborateurs risquent la contamination donc autant leur éviter les déplacements inutiles. Si vous ressentez le besoin de réunir les équipes, n’oubliez pas toutes les consignes et faites-le le moins souvent possible. Rien ne vous empêche de continuer à faire vos réunions via des logiciels de communication à distance. D’ailleurs, il s’agit d’une bonne occasion pour fournir le matériel nécessaire à vos collaborateurs pour qu’ils puissent le faire toute l’année. N’oubliez pas qu’un nouveau confinement est fortement possible dans les jours qui suivront la levée de celui-ci. Alors n’hésitez pas à prendre les devants et profiter de la présence temporaire de chacun pour rôder ce qui n’a pas bien fonctionné pendant la période de confinement. 

Proposer un contrôle des températures

Si vous ne pouvez l’imposer, rien ne vous empêche de proposer à l’entrée de chaque salarié un contrôle de la température afin de ne pas prendre de risque. Vous ne pouvez bien entendu pas stocker cette information même avec l’accord de votre salarié et il vous faudra convaincre chacun de bien vouloir se plier à la règle de la prise de température. A défaut, vous pourriez bien voir s’exercer le droit de retrait de certains. La situation est difficile à gérer car d’un côté vous aurez vos obligations relatives à l’hygiène, la santé et la sécurité et de l’autre ce respect nécessaire des libertés à assurer. En le proposant et ne l’imposant pas, vous êtes en tout cas moins exposé à un risque (N’oubliez pas de penser à celui qui prend la température.

Mettre en place un système d’alerte

Si une personne dans votre entreprise présente certains symptômes du coronavirus, autant être rapidement au courant et pouvoir prendre des mesures rapides comme le fait d’appeler un médecin. Pour cela, il ne faut pas hésiter à faciliter le tout par un système d’alerte qui vous permettent de réagir rapidement et éviter la paralysie de tout un pan de votre entreprise. Si ce signalement devrait se faire naturellement rien ne vous empêche pas exemple de mettre un numéro dédié ou encore de pouvoir vous envoyer aisément un message. 

N’oubliez pas la santé mentale de vos salariés

Si la santé physique de vos salariés est importante, il ne faut pas oublier que cette période est particulièrement traumatisante pour une bonne partie de vos collaborateurs. Mettre en place une cellule psychologique est loin d’être inopportun. Beaucoup ont perdu des proches et n’ont pas la possibilité d’avoir pu leur rendre hommage et les dégâts psychologiques ont parfois été considérables. N’hésitez pas à être à l’écoute de vos collaborateurs car dans ce moment difficile, vous allez souvent représenter un symbole qui rassure. 

Les sites spécialisés pour externaliser

Les entreprises travaillent souvent en flux tendu et doivent répondre aux opportunités qui se présentent pour accroître leur chiffre d’affaires. Pour cela elles doivent avoir les compétences et le personnel pour exécuter les prestations demandées. La solution se présente souvent par l’externalisation qui permet de recruter pour réaliser le travail sans embaucher des personnes performantes et expertes dans le domaine.

Travailler hors du salariat permet d’obtenir des avantages en termes de souplesse et de contourner les contraintes du salariat de bénéficier de revenus intéressants. L’externalisation permet aux entrepreneurs et professionnels de mettre leurs compétences à disposition des entreprises tout en profitant d’une autonomie idéale. Une profusion de sites web pullule alors depuis ces dernières années, proposant de mettre en relation employeurs et salariés hors cadre afin de profiter d’une émulation mutuelle liée à une réduction massive des coûts et un recentrage des compétences. 

Sites d’intérim

ADECCO

Affichant plus de 12 000 offres d’emploi en ligne, disponibles dans tous les domaines du recrutement, le groupe suisse Adecco se positionne comme le leader mondial des solutions en ressources humaines. Dirigé par Alain Dehaze, Adecco est également numéro un de l’emploi intérim, CDD et CDI. L’enseigne figure parmi les 500 plus grandes sociétés mondiales du magazine Forbes. Le groupe s’avère d’ailleurs présent au sein de plus de soixante pays, sur les cinq continents du globe. www.adecco.fr

ACCENTURE

Créée en 1989, Accenture demeure le leader mondial du conseil et de l’outsourcing avec un effectif de plus de 350 000 salariés. Avec près de 30 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2014 pour un résultat net de 2,9 milliards de dollars, l’entreprise est spécialisée dans l’activité de conseil et de stratégie au profit des entreprises. De l’externalisation des applications informatiques et infrastructures technologiques à l’implantation de services à l’étranger, l’entreprise œuvre dans de nombreux domaines : santé et services publics, communication, services financiers… www.accenture.com/fr-fr

ATOS

Parmi les leaders mondiaux du secteur de l’infogérance, le groupe Atos constitue l’un des plus importants sites de services numériques. Dégageant un chiffre d’affaires de 10,68 milliards d’euros en 2015, l’entreprise française basée à Bezons reste la spécialiste des prestations externes liées aux SSII. Leader européen du Cloud et des solutions de stockage et d’hébergement en ligne, Atos est également un important pourvoyeur d’emplois avec un effectif de 100 000 salariés. atos.net/fr/

EXTERNALYZE

Afin de faciliter l’offre et la demande de services d’outsourcing, la plateforme web s’est spécialisée dans la mise en relation entre professionnels et salariés hors cadre. Proposant alors un moteur de recherches afférant à tous les secteurs d’activité, le site offre aux intéressés tous les sites internet et entreprises en relation avec l’externalisation. www.externalyze.com

PENTALOG

Le site propose à ses clients ses services de consulting stratégique et d’analyse business. La plateforme répond ainsi aux besoins en externalisation offshore des professionnels par l’intermédiaire de plusieurs agences disséminées dans toute l’Europe de l’Est et en Asie. Grâce à une politique de réduction des coûts salariaux, le site web offre aux entreprises son expertise en matière d’outils digitaux et de développement de solutions numériques et logicielles. Avec un chiffre d’affaires en 2007 de 5 millions d’euros et plus de 30 millions d’euros en 2015, L’entreprise dispose de 800 salariés répartis à Bucarest, Sibiu, Cluj, Orléans, Brasov, Chisinau, Vancouver ainsi que dans de nombreuses villes. www.pentalog.fr

Sites de freelances

CREADS

Fondée en 2008 par Julien Mechin et Ronan Pelloux, l’entreprise vous permet de proposer à plus de 50 000 graphistes votre projet. L’entreprise qui repose sur le principe du crowdsourcing  vous propose également si vous hésitez entre plusieurs propositions de mettre à votre disposition une interface de vote qui vous permettra de faire voter vos proches sur la shorlist de votre choix. www.creads.fr

FREELANCER

Freelancer.com est la plateforme mondiale de freelances dans les domaines de l’informatique, du conseil et de la communication. Forte de plus de 10 millions d’utilisateurs, l’entreprise occupe la première place mondiale quand il s’agit de trouver un freelance.  Avec près de 300 000 freelances, le groupe créé en 1996 revendique plus de 30 000 contrats signés. www.freelance.com

CODEUR

Créée en 2006 par Serge Roukine et Sébastien Peltey, ce service permet de soumettre vos attentes et besoins à une communauté de freelances. Ces derniers sont notés après chaque projet pour vous aider dans votre choix. Il s’agit d’un des plus anciens services de mise en relation entre porteurs de projets et les vendeurs de services. www.codeur.com

GRAPHISTE

Également lancé par Serge Roukine, Graphiste.com est une plateforme spécialisée dans le graphisme. Avec plus de 3500 graphistes présents sur la plateforme, ce service complète celui de codeur.com. www.graphiste.com

Sites d’auto-entrepreneurs

FEDAE

La Fédération des auto-entrepreneurs (FEDAE) est un organisme de défense et d’accompagnement des auto-entrepreneurs. Elle fédère aujourd’hui 70 000 personnes physiques et morales (créateurs d’entreprise, prestataires de services, experts et partenaires) et organise ses actions autour de trois axes majeurs : la représentation face aux médias et pouvoirs publics, l’information et l’accompagnement ainsi que la formation. www.federation-auto-entrepreneur.fr/annuaire/auto-entrepreneur

1001-AUTOENTREPRENEURS

1001-autoentrepreneurs.com est édité par la société i MEDIA. Elle propose de rechercher parmi plus de 15 000 offres de mission, celle qui vous correspond. Elle regroupe plus de 52 000 auto-entrepreneurs que vous pouvez retrouver par code postal et par catégorie. www.1001-autoentrepreneurs.com

NOS AUTO-ENTREPRISES

Nos Auto-Entreprises propose un annuaire simple, rapide et gratuit. Chaque Auto-Entreprise est présentée sous forme d’une fiche : sa description, ses horaires, ses coordonnées ainsi qu’une série de questions auxquelles l’Auto-Entrepreneur a répondu. Cette mini-interview permet d’en savoir plus sur l’expérience, les qualités et les garanties que propose l’auto-entrepreneur. www.nosautoentreprises.fr

Pourquoi commencer maintenant sa démarche entrepreneuriale est une bonne idée ?

Actuellement, le nombre de créations d’entreprises d’entreprise est en chute libre. Pourtant, comme toutes les périodes de crise, il s’agit d’un véritable moment pour commencer sa démarche entrepreneuriale. Les raisons sont nombreuses pour vouloir s’y consacrer dans cette période un peu particulière malgré toute la peur et l’incertitude qu’elle provoque. 

Les géants sont nés dans les périodes de crise

La plupart des leaders actuels comme Google, Facebook et même une bonne majorité des sites sur lesquels vous allez aujourd’hui sont soit nés avec la crise de 2000, soit avec celle de 2008. Tout simplement car crise signifie aussi remise en cause des anciens usages et donc des portes ouvertes pour aller rencontrer les entreprises ou les particuliers qui cherchent un renouveau dans leur manière de consommer et qui s’adaptent aux évolutions pour ne pas rater le train qui est en route. Vous avez ainsi l’opportunité de présenter votre offre à une période où tout le monde fait finalement preuve d’ouverture. Les anciens systèmes . C’est donc pour vous l’occasion de frayer votre place et d’obtenir des rendez-vous alors qu’en période normale, cela pourrait s’avérer plus compliqué. Les usages changent et les entreprises veulent rester à la page. 

Car beaucoup d’entreprises vont mourir

Il n’y a pas photo, cette période va être dévastatrice pour les entreprises notamment celles qui n’ont pas les reins solides. Or, Il ne s’agit pas d’une baisse de la demande. Celle-ci va entraîner cette chute mais bien le fait que le passif accumulé pendant la période de crise ne pourra tout simplement pas être géré par les entreprises. Il n’y a qu’à imaginer les loyers qui tournent pour se dire que de nombreuses entreprises vont chuter. Vous me direz :  oui mais l’Etat a dit que… Sauf que, comme d’habitude, il limite son aide à une certaine catégorie d’entreprises et qu’il croit que l’ensemble des autres ont accumulé de la trésorerie qui va leur permettre de passer des mois sans le moindre revenu.

Si ce système est fait pour éviter l’abus, il va entraîner la fermeture de nombreuses sociétés qui ne pourront jamais payer leurs loyers, tout comme leur report de charges qui devrait davantage être pensé en termes d’annulation dans la majorité des cas. Il y a fort à penser que 30% des entreprises vont mourir, être fermés ou faire semblant de vivre dans les 6 mois à venir, ce qui devraient laisser de la place pour les nouveaux entrants. 

La communication va se faire moindre 

Toutes les entreprises qui arrivent sur le marché cherchent en général à communiquer pour se faire connaitre. Une situation d’autant plus pertinente quand personne d’autre ne le fait. Les crises restent l’occasion de se faire connaître car la plupart des entreprises restreigne temporairement leur budget. Certaines d’ailleurs s’amusent à conserver leur cash tout court, ce qui a le don de mettre en danger bon nombre d’entreprises et de multiplier les recours auprès du médiateur. Dans tous les cas, vous aurez votre espace de communication et, si vous la faites intelligemment, une bonne occasion de vous démarquer. Il n’y a qu’à voir que l’ensemble de l’information s’oriente pour nous déprimer pour comprendre qu’une bonne partie de la population ne va chercher que la petite communication intelligente qui la fera sourire. 

Vous avez le temps de bien vous préparer

La crise est partie pour une durée une bonne partie du temps, ce qui vous laisse amplement le temps de bien vous préparer. Vous n’avez aucune charge (ou presque) et donc vous pouvez adapter votre lancement à la sortie de crise (ou juste avant de préférence). Vous pouvez ainsi bien préparer vos communications, roder votre produit, travailler sur votre concept, préparer une levée de fonds… Bref, vous pouvez totalement rôder votre future entreprise pendant que les autres peinent à survivre. Attention à ne pas trop attendre cependant car les entreprises vont très vite se réadapter à la situation et l’opportunité peut vite disparaître. Il s’agit de trouver le bon timing pour n’être ni trop en avance ni en retard. 

Cela vous laisse du temps jusqu’à la prochaine

Le plus opportun n’est pas de naître pendant une crise mais juste avant une crise. Une fois la crise en cours, le premier avantage c’est que vous apprenez à bien optimiser vos moyens afin d’obtenir le maximum d’efficacité pour chaque investissement. Vous contrôlez parfaitement vos coûts puisque vous êtes encore flexible ce qui représente une bonne pratique immédiate et pour l’avenir. De plus, les crises s’enchaînent rarement et il y a souvent un laps de temps de plusieurs années entre deux crises (2000 – 2008 – 2020) qui vous permettra de bien prendre vos marques et de faire de vous un acteur pérenne avant que la prochaine ne pointe le bout de son nez. Naître en tant de crise représente le meilleur moyen d’optimiser le futur temps entre les deux prochaines.

Ces mauvais réflexes que l’on peut avoir pris en confinement

Le confinement n’est pas une mauvaise période seulement pour l’économie. Elle peut globalement grandement affecter votre comportement et certains réflexes vont devoir changer à votre retour en entreprise. Zoom sur certains mauvais réflexes que vous avez peut-être pris pendant cette période de confinement et qu’il vous faudra peut-être rapidement modifier pour ne pas vous retrouver face à des difficultés.

Le rythme horaire bien évidemment

Si pendant toute la période, vous n’avez pas pris le soin de conserver votre rythme de vie habituel sachez que vous risquez de mettre du temps à vous réadapter à vous lever tôt et à ne pas vous coucher trop tard. Ceci d’autant plus, si vous avez pris l’habitude de décaler vos soirées à très tardivement le soir. Vous avez pu mettre également le sport matinal de côté et il faudra un certain temps à votre organisme pour reprendre ses habitudes.

Recommencez au moins une semaine à l’avance à reprendre votre ancien rythme et faites-le progressivement au besoin. Cependant, il se peut que vous ayez du mal à trouver le sommeil au début et que vous éprouviez des coups de fatigue en plein après-midi et il vous faudra peut-être résister jusqu’au soir pour vous réadapter et vous remettre dans le bain. Attention car ce délai n’est pas immédiat et vous pouvez vous retrouver dans votre lit à ne pas trouver le sommeil. Anticipez !

L’isolement et le besoin d’être déconnecté. 

Pendant la période de confinement, vous en avez peut-être profité pour limiter au maximum vos contacts et vous ne répondiez plus trop à votre téléphone ou à vos emails. Vous les avez peut-être consultés tous les 2 ou 3 jours et avez fait une pause business pendant cette période. De toute façon rien ne pressait puisque vous n’étiez plus en activité. Attention à ne pas avoir trop pris cette habitude et à ne pas la garder.

Si vous pouvez en profiter pour éviter une connexion permanente et faire prendre l’habitude à vos contacts de vous joindre à des moments précis ou à un délai de réponse plus long, il ne s’agit pas non plus d’avoir pris le mauvais pli. Vous pourriez perdre des clients à les faire trop attendre. Il sera peut-être difficile de retrouver ce stress alors préparez-vous y mentalement même si rien ne vous empêche d’en profiter pour mettre en place vos nouvelles règles.

Le côté asocial peut vous guetter

Si vous avez éprouvé un sentiment de béatitude à ne plus avoir de contacts humains vous risquez d’avoir du mal dans un premier temps à retrouver l’agitation de vos bureaux et la sollicitation constante de vos collaborateurs. Surtout, dans cette future période qui risque peut-être de se transformer en un véritable rush. Vous avez des chances de trouver l’ambiance prenante voire trop prenante dans un premier temps. Il est évident que passer d’une ambiance où rien ne se passe à une autre où le temps semble ne pas exister tellement il avance rapidement a des chances de vous perturber. Vous devez rester accessible pour répondre à un surcroît de demandes et de devoir être particulièrement disponible.

Arrêter de faire ce que vous voulez, tout le temps

Il est évident pour beaucoup d’entre nous lors du confinement qui nous avons tous pris de mauvais réflexes comme celui de pouvoir décrocher à tout heure notre téléphone ou lancer une série en pleine journée. Il se peut que votre organisation soit devenue chaotique et il ne faudrait pas montrer le mauvais exemple à vos équipes. Vous devez rapidement en revenir à vos anciennes habitudes et vous mettre dans la discipline antérieure pour éviter une totale confusion entre les moments privés et les moments où vous devez être à fond dans votre entreprise. Ceci est vrai également au retour des vacances et vous devrez vous appliquer la même rigueur. 

La consultation d’information en permanence

Rien de plus chronophage que de regarder sans arrêt les informations ou autres mangeurs de temps comme les réseaux sociaux. Si vous avez pris cette habitude pendant le confinement, vous devrez rapidement en changer et arrêter leur consultation. Les cadres perdent souvent plusieurs heures par jour à les consulter donc il est temps de vous rediscipliner sauf si, bien entendu, y être présent fait partie de vos fonctions. D’autre part, ces news ne vous donnent surement pas une humeur joviale car elles le sont rarement donc n’oubliez pas que vous êtes là pour soutenir vos équipes et que vous devez donc emmagasiner le maximum d’énergie positive et la communiquer. Un mauvais réflexe qu’il vous faudra peut-être abandonner à votre retour. 

Le retour de l’organisation à prévoir

L’organisation est quasiment un corollaire du métier de chef d’entreprise et il vous faudra rapidement reprendre l’habitude d’utiliser votre to do list comme vous le faisiez avant de vous retrouver chez vous. Vous devrez optimiser votre temps comme c’était le cas avant et votre organisation joue un rôle clé. Remettez les bases de celle-ci dès le matin afin de prendre les bonnes habitudes. A défaut, vous pourriez vite trouver que l’effort est bien plus important après le confinement qu’avant. N’oubliez pas que les habitudes vous font faire des tâches par automatisme et évitent à votre cerveau tout effort. Si vous ne faites plus les choses comme vous le faisiez, vous risquez vite de trouver votre charge de travail trop importante. 

Ne plus vous entretenir

Certes à la maison, rien ne vous empêchait de ne plus mettre votre pantalon pour une visioconférence à condition que l’angle de la caméra ne fixe pas vos jambes. En revenant au travail, il vous faudra reprendre les bonnes habitudes et réadopter un style professionnel si c’est dans la culture de votre entreprise. Dans tous les cas, à la cool ne veut pas dire pas soigné et vous le savez très bien. Cela risque de vous demander un effort supplémentaire car vous avez peut-être été négligent jusqu’à l’extrême mais vous êtes de retour au travail alors il va falloir reprendre vos bonnes vieilles habitudes à ce sujet.