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Les outils de gestion du temps qui peuvent vous aider !

La gestion du temps est un défi pour de nombreuses personnes, mais il existe des outils et des stratégies qui peuvent vous aider à mieux gérer votre temps.

La Matrice D’Eisenhower

Les listes de tâches peuvent aider à organiser les tâches à accomplir et à les prioriser en fonction de leur importance et de leur urgence. Tout comme les calendriers qui peuvent aider à planifier les tâches à venir et à organiser les journées, les semaines et les mois à l’avance. Elles vous font gagner du temps et diminuent votre stress. De bonnes pratiques existent pour la réaliser.

Vous pouvez commencer par une liste brute de toutes les tâches que vous devez accomplir sur une feuille de papier ou dans un document numérique. Priorisez ensuite les tâches en les classant par ordre d’importance. Vous pouvez les classer en fonction de leur échéance, de leur niveau d’urgence ou de leur importance stratégique. Pour ne pas avoir des tâches trop importantes, vous pouvez les décomposer en sous-tâches plus petites. La difficulté reste de les planifier dans le temps même si vous pouvez les classer en fonction de la date d’échéance et de l’importance des tâches. Il vous faudra évaluer le temps que vous allez y consacrer. N’hésitez pas à réévaluer votre liste de tâches régulièrement.

La méthode Pomodoro : améliorez votre productivité !

Il s’agit d’une outil de gestion du temps qui a été développée dans les années 1980 par Francesco Cirillo. Elle vise à favoriser la concentration et la productivité en divisant le temps de travail en blocs gérables et en encourageant des pauses régulières pour éviter la fatigue et le burn-out. Cette méthode est particulièrement utile pour les tâches qui nécessitent une grande concentration et une attention soutenue. On pensera par exemple à l’écriture, la programmation informatique ou la révision de documents.
Elle consiste à diviser le temps de travail en périodes de 25 minutes, appelées « pomodoro ». Dans la pratique, commencez par choisir une tâche à accomplir et régler un minuteur sur cette durée. Travaillez sur la tâche choisie jusqu’à ce que le minuteur sonne puis prenez une pause de 5 minutes. Recommencez trois autres fois puis prenez une pause plus longue de 15 à 30 minutes. Répétez ce processus tout au long de la journée.

Les outils de planification de projet

Ce sont des logiciels ou des applications qui aident les équipes à planifier, organiser, suivre et gérer les projets. Voici quelques exemples d’outils de planification de projet :

  • Trello : permet de créer des tableaux, des listes et des cartes pour organiser les tâches et suivre l’avancement du projet.
  • Asana : permet aux équipes de collaborer, de planifier, de suivre et d’organiser les tâches et les projets.
  • Microsoft Project : permet de planifier, d’organiser et de suivre des projets complexes.
  • Gantt Project : permet de créer des diagrammes de Gantt pour suivre les tâches et les délais.
  • Basecamp : permet aux équipes de collaborer, de partager des fichiers, de suivre les tâches et de communiquer entre elles.
  • Smartsheet : permet de créer des feuilles de calcul pour organiser les tâches et suivre l’avancement du projet.

La délégation : une pratique plus qu’un outil

Il s’agit davantage d’une bonne pratique que d’un outil mais elle peut être également citée tant elle peut vous faire gagner du temps et diminuer votre stress. Elle consiste à confier des tâches ou des responsabilités à une autre personne ou à une équipe. Cela peut sembler difficile pour certaines personnes, car cela implique de faire confiance à quelqu’un d’autre pour accomplir une tâche ou une responsabilité. Cependant, la délégation peut être très bénéfique autant pour augmenter votre productivité, développer les compétences chez vos collaborateurs, libérer la pression ainsi qu’augmenter la motivation de vos équipes.

Pour déléguer efficacement, il est important de bien évaluer tâche à déléguer. Vous pourrez ainsi déterminer si elle est appropriée à être déléguée et les compétences requises pour l’accomplir. Vous devez clairement définir vos attentes et vous assurez que la personne à qui vous la confiez comprend bien ce qui est attendu d’elle en termes de résultats, de délais et de niveau de qualité. Pour que la délégation se passe bien, il faut bien entendu donner les ressources nécessaires. Ceci afin que que la personne puisse accomplir la tâche avec succès, telles que des outils, des informations et des conseils. N’hésitez pas à réaliser un suivi régulier afin de vérifier régulièrement son avancement. Ne négligez pas de fournir un feedback constructif à mesure que la personne avance dans sa réalisation.

Les outils de productivité

Ce sont des outils de productivité tels que les applications de blocage de distractions, les minuteurs et les logiciels de suivi du temps peuvent aider à rester concentré et à gérer le temps efficacement.

  • Applications de méditation : des applications telles que Headspace, Calm ou Petit Bambou vous guident à travers des séances de méditation pour vous aider à vous détendre et à vous recentrer.
  • Bloqueurs d’applications : des applications telles que Offtime ou Freedom vous permettent de bloquer temporairement certaines applications ou sites Web qui peuvent vous distraire.
  • Mode avion : cette fonctionnalité disponible sur tous les smartphones vous permet de couper temporairement toutes les connexions cellulaires et Wi-Fi de votre téléphone.
  • Outil de planification de temps libre : des applications telles que TimeAway ou Moment vous permettent de planifier des temps libres dans votre journée. Ainsi vous pouvez vous déconnecter et de prendre du temps pour vous.
  • Outil de suivi de l’utilisation de l’appareil : des applications telles que Moment ou Screen Time vous permettent de suivre combien de temps vous passez sur votre téléphone ou sur votre ordinateur afin que vous puissiez prendre conscience de votre utilisation et décider de réduire le temps que vous y consacrez.

Stress et activité physique

Le sport et l’activité physique de manière générale ont un impact significatif sur le bien-être et contribue fortement à diminuer le stress. Zoom sur quelques bonnes pratiques sportives.

L’exercice physique : une bonne pratique anti-stress

L’exercice physique est bon pour la santé mentale, de nombreuses études l’attestent. Pour ne plus être stressé voire devenir plus productif, pratiquer un sport ou une activité physique représente une solution à ne pas sous-estimer. Oui mais à quelle fréquence et quels types d’exercices physiques sont bénéfiques ?

Les bienfaits de l’exercice physique

Il permet bien sûr d’améliorer votre condition physique, de perdre du poids, de renforcer vos os, de restaurer votre sommeil mais également de réduire les risques médicaux notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 et certains cancers. Surtout, les scientifiques sont unanimes sur le fait que l’activité physique est un bon remède contre l’anxiété, la dépression et la détresse psychologique. Dans certains cas, le sport serait même davantage bénéfique que les médicaments ou les psychothérapies ! C’est la raison pour laquelle l’Inserm, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, préconise l’exercice avant toute prescription médicamenteuse pour lutter contre la dépression légère à modérée. En pratiquant du sport, vous régénérez également votre fonction cérébrale et votre productivité tout simplement car vous augmentez la circulation sanguine et l’apport d’oxygène au cerveau.

Les raisons de l’efficacité du sport

Si le sport est aussi intéressant à pratiquer, c’est d’abord parce qu’il réduit le stress en libérant des endorphines, les hormones du bien-être, qui ont un effet relaxant sur l’esprit et le corps. Il sert également à développer l’estime de soi et renforce la confiance en soi et en fournissant des réalisations positives. S’agissant d’un défi mental et physique, le sport contribue au renforcement de la résilience. D’autres raisons sont parfois évoquées comme l’augmentation de la température du corps lors de l’exercice qui réduirait les tensions musculaires et modifierait ainsi l’activité des neurones.
De nombreuses études mettent en exergue les bienfaits comme une méta-analyse publiée en 2018 qui a démontré que l’exercice physique était concluant pour réduire les symptômes de la dépression. De la même manière, une étude publiée en 2019 a conclu que l’exercice physique était efficace pour réduire les niveaux d’anxiété chez les adultes atteints de troubles anxieux.

Les exercices à privilégier

Si l’ensemble des sports semble bon pour la santé mentale et physique, les scientifiques s’accordent pour dire que le yoga et les pratiques qui allient le corps et l’esprit seraient plus efficientes contre l’anxiété alors que les exercices de résistance le seraient davantage contre la dépression. La mauvaise nouvelle réside qu’en fait ce sont les sports à plus haute intensité qui seraient davantage performants même si tous ont un effet positif sur l’humeur. Pour que le sport soit profitable, il faudrait selon les études le pratiquer au minimum 2h30 par semaine sur une période 6 à 12 semaines. Les semaines suivantes serviraient davantage à consolider les effets obtenus.

© united-heroes.com

Gérez enfin votre stress

Si les méthodes qui font gagner du temps réduisent en général le stress, ce ne sont pas les seules qui peuvent vous permettre de vous sentir mieux. Zoom sur quelques autres solutions qui pourraient bien vous permettre d’avoir la zen attitude.

Identifiez les sources de votre stress

Votre stress peut avoir plusieurs origines. Il peut provenir de problèmes financiers, de travail, de relations, etc. Rien ne sert de vouloir l’éviter si vous n’en avez pas identifié la source ou le déclencheur. Pour la repérer, vous pouvez commencer par rédiger un journal : notez les moments où vous vous sentez particulièrement stressé(e). Inscrivez également les circonstances entourant ces moments : où vous étiez, ce que vous faisiez, qui était présent, etc. Écrire régulièrement dans un journal peut vous aider à identifier des schémas et des tendances. À mesure que vous écrivez dans votre journal ou que vous faites votre liste, vous pouvez commencer à remarquer des thèmes communs. Par exemple, vous pourriez observer que la gestion des conflits dans votre équipe est une source constante de stress. Prenez du temps pour vous interroger sur les émotions ressenties et concentrez votre réflexion et votre action là où vous avez le plus d’impact.

Comprendre et travailler sur vos réactions

Évaluez ensuite vos réactions. Il s’agit de réfléchir à la manière dont vous réagissez face aux situations stressantes. Par exemple, vous pouvez vous sentir anxieux(se), irrité(e) ou déprimé(e). Cherchez à comprendre pourquoi vous fonctionnez de cette manière et si vos réactions sont adaptées à la situation. Demandez enfin l’avis de quelqu’un d’autre. Parfois, il peut être difficile d’identifier les sources de stress par soi-même. Posez la question à un ami ou à un membre de votre famille pour voir s’ils peuvent vous aider à identifier des schémas ou des tendances. Attention tout de même à leurs idées préconçues.

Prenez soin de votre santé…

Pour diminuer votre stress, la méthode la plus basique et au fond la plus difficile consiste à prendre soin de vous comme celle d’adopter une alimentation saine et équilibrée. Cela maintiendra votre corps en bonne santé, ce qui aura un impact sur votre stress. Évitez les aliments transformés et riches en gras, en sucre et en sel ou encore les substances nocives : l’alcool, la nicotine et la caféine peuvent tous aggraver le stress. Pratiquer un exercice régulier permet également de maintenir une bonne santé physique et mentale. Faites si possible de l’exercice pendant au moins 30 minutes par jour, que ce soit en faisant une promenade, du yoga ou une activité sportive. De la même manière, vous devez dormir suffisamment pour que votre corps et votre esprit récupèrent. Essayez de dormir entre 7 et 9 heures par nuit. Une utopie et pourtant…

… Et de vous

Prendre soin de vous dépend également du fait de vous accorder du temps. Vous ne pouvez pas sans cesse être en train de travailler, alors accordez-vous du temps pour faire quelque chose que vous aimez, comme lire un livre ou prendre un bain chaud. Vous pouvez également méditer, ou tout simplement écouter de la musique. Bref, faire toute activité que vous appréciez. Il vous faut établir des limites saines dans vos relations avec les autres pour éviter le stress et l’épuisement.

Apprenez les techniques de respiration

Des techniques de relaxation comme la respiration profonde, la méditation ou le yoga peuvent aider à réduire le stress. Pratiquez ces techniques régulièrement pour qu’elles deviennent une habitude. Parmi celles-ci, celle de la respiration profonde consiste à prendre quelques minutes pour vous concentrer sur votre respiration. Inspirez profondément par le nez en remplissant vos poumons d’air et expirez lentement par la bouche en vidant complètement l’air de vos poumons. Répétez cette action plusieurs fois, en vous concentrant sur la sensation de l’air qui entre et qui sort de votre corps. La méditation et le yoga représentent également de bonnes méthodes pour réduire votre stress.

Connaître les techniques de la visualisation et de la relaxation musculaire

Si vous ne la connaissez pas vous pouvez également faire appel à la visualisation qui consiste à imaginer un lieu paisible et relaxant. Visualisez-vous dans cet endroit, en vous concentrant sur les détails de l’environnement. De la même manière, la relaxation musculaire progressive diminuera votre stress. Cette technique implique la contraction et la relaxation de différents groupes musculaires. Vous commencez par tendre les muscles d’un groupe, comme les muscles des bras, pendant quelques secondes, puis vous les relâchez complètement. Enfin, vous pouvez tout simplement écouter de la musique relaxante.

Trouvez du soutien

Vous pouvez également penser à parler à un ami ou à un membre de votre famille de vos préoccupations. Si votre stress est lié à des problèmes de travail, rapprochez-vous des structures qui peuvent vous accompagner comme les chambres de commerce, les incubateurs ou les accélérateurs. Si votre but est de partager avec vos pairs, vous pouvez vous rejoindre des associations professionnelles ou encore des réseaux pour entrepreneurs qu’ils soient numériques ou physiques. Les associations, réseaux ou clubs d’entrepreneurs jouent un rôle particulièrement efficace car elles regroupent des entrepreneurs et des dirigeants d’entreprises pour leur offrir des ressources, des conseils et un réseau de soutien. Vous pouvez ainsi échanger sur vos problématiques voire trouver des solutions.

Dédramatiser les situations

Il s’agit peut-être d’un basique mais vous devez également apprendre à dédramatiser les situations car quand une difficulté arrive, elle est parfois source d’un stress très important. Commencez par prendre du recul et quelques minutes pour respirer profondément et vous éloigner de la situation. Cela vous incitera à voir la situation sous un angle différent et à vous demander s’il y a vraiment matière à être aussi anxieux. Vous ferez beaucoup d’erreurs alors rien ne sert de les considérer toutes comme la fin du monde. Commencez par garder le sourire et restez positif, même si la situation semble difficile. Le simple fait de sourire peut vous aider à vous sentir mieux. Dans la mesure du possible, cherchez un point positif dans la situation. Il s’agit d’une expérience qui peut vous apprendre quelque chose de nouveau ou vous aidera à grandir en tant que personne ou à mettre des process en place pour qu’elle ne se reproduise pas. 

Classement 2023 : Top 10 des jeunes « Leaders Positifs »

Positive Planet et Les Echos START dévoilent le classement des 35 jeunes « Leaders Positifs », moins de 35 ans, qui proposent une solution écologique ou sociale. Dynamique Entrepreneuriale vous présente le top 10.

1 – Amine Kessaci (19 ans)

Association Conscience

Ce jeune Marseillais a fondé l’association Conscience en 2020. L’association compte 22 antennes partout en France et environ 700 adhérents. Elle s’investit dans différents projets comme « Ta voix compte » dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des habitants des quartiers défavorisés.

2 – Julia Faure (34 ans)

Loom

Julia Faure a cofondé la marque de vêtements, Loom, en juillet 2021. Elle a créé le collectif « En Mode Climat » avec 550 patrons, industriels et professionnels de la mode afin de militer des lois en faveur de l’environnement et servant le bien commun dans le domaine de la mode.

3 – Jim Pasquet (25 ans)

Le Pavé

Cet entrepreneur a créé Le Pavé en 2017, qui propose un système de thermocompression permettant de réaliser un revêtement d’éco-construction, réalisé à partir de déchets plastiques collectés dans la nature. Son entreprise emploie une vingtaine de salariés et a obtenu un contrat dans le cadre des Jeux Olympiques de 2024.

4 – Dylan Mavoungou (34 ans)

Association Camplus

Dans le cadre de la fin de ses études à Sciences Po Paris, Dylan Mavoungou, a fondé Camplus en 2021, un incubateur de réussite éducative, présent sur la région IDF et PACA. CAMPLUS accompagne environ 1 000 jeunes par an en organisant des séjours éducatifs CAMP+.

5 – Hawa Dramé (35 ans)

Time2Start

Hawa Dramé a fondé Time2Start en 2015. Sa mission est d’agir en faveur d’une économie plus inclusive et de proposer des programmes d’incubation et d’accompagnement à la création d’entreprise. La structure a permis la création de 90 entreprises, et a formé plus de 170 entrepreneurs

6 – Mathieu Castaings (35 ans)

Finacoop

L’expert-comptable a lancé en 2015 Finacoop, le premier cabinet d’expertise-comptable structuré en coopérative d’intérêt collectif. Finacoop compte aujourd’hui 150 sociétaires et 30 salariés. Implanté à Paris, Rennes, Bordeaux et Bayonne. Le cabinet a généré 2 millions de chiffre d’affaires en 2022.

7 – Noémie Marchyllie (31 ans)

Kabubu

Une jeune association fondée en 2018 propose des formations professionnalisantes dans les métiers du sport et organise des sessions sportives gratuites (course, foot, yoga, escalade, boxe…) à Paris, Lyon et Strasbourg. Elle a organisé en 2022, 700 événements et réuni plus de 2 400 personnes lors d’activités.

8 – Anne-Sophie Thomas

Gestia Solidaire

Une agence immobilière fondée en 2020, met en relation des propriétaires avec des candidats à la location qui n’ont pas de CDI et à revenus limités, en leur garantissant le versement des loyers. L’agence a logé 200 locataires en deux ans. Présente à Lyon et à Paris, elle a pour objectif d’essaimer en France.

9 – Achraf Manar (25 ans)

Destins liés

Ambassadeur du collectif  » Different Leaders  » qui a pour ambition la promotion d’un leadership responsable, inclusif et durable. En 2022, il a été sélectionné par l’Académie des futurs leaders. Il prépare le lancement d’une nouvelle association,  » Destins liés « , qui lutte contre la précarité étudiante.

10 – Alexandra Ferré (26 ans)

Groupe Rocher

La jeune diplômée occupe le poste de directrice de l’impact et de la transformation durable d’Yves Rocher depuis 4 ans. Elle conduit toutes les marques du groupe vers le passage d’entreprise à mission et vers une certification B Corp à horizon 2025.

Le stand-up meeting : la solution ?

Parmi les pratiques plus ou moins récentes pour lutter contre la réunionite, la réunion debout ou stand-up meeting permet de naturellement les écourter car personne n’a envie de voir s’éterniser une réunion quand la position n’est pas confortable. Celle-ci s’est largement démocratisée depuis que le Lean management s’est propagé dans nombre d’entreprises. Elle reste considérée comme une véritable solution pour l’efficacité. Oui mais comment la mettre en place ?

Le stand-up meeting : qu’est-ce que c’est ?

Le principe est simple puisqu’il consiste à organiser des réunions qui se déroulent debout. Le « stand-up meeting » connu également sous le nom de « Daily Stand-up », « Daily Scrum » ou « Daily Huddle », entraîne la réalisation d’une réunion courte et régulière. Elle vise à améliorer la communication et la collaboration au sein d’une équipe. Exit donc les tables et chaises pour faire place à une organisation épurée. Celle-ci vous évite de devoir aller les chercher au dernier moment en retardant le début de la réunion. Dans la pratique, elle se réalise en cercle et les participants sont face à face. Elles durent généralement de 10 à 15 minutes maximum.

Pour quel type de réunion ?

Le stand-up meeting ou la réunion debout ne s’adapte pas, bien entendu, à l’ensemble des typologies de réunion. Tout simplement du fait de leur durée ou encore de l’absence de matériel. Il s’agit généralement d’échanger rapidement sur l’état d’avancement d’un projet. Vous pouvez voir, par exemple, ce qui a été accompli depuis la dernière réunion, ce qu’il est prévu de faire ensuite, ainsi que tout problème ou blocage que les participants rencontrent. Il s’agit donc qu’ils répondent en quelque sorte à trois questions : qu’est-ce que j’ai fait hier ? Qu’est-ce que je vais faire aujourd’hui ? Quels sont les obstacles que j’ai rencontrés ?
A noter que l’échange se fait entre tous et non vers un seul et même participant. La forme du cercle recommandée suscitant des prises de parole plus spontanées. Cette méthode casse la hiérarchie car les participants sont mis sur un pied d’égalité. Il reste possible de désigner un responsable du timing afin de contrôler le temps de parole de chacun des participants. Naturellement, ce type de réunions doit être limité en nombre de participants (moins de 10).

Les avantages de la réunion debout

Les membres de l’équipe se tiennent debout et auront naturellement tendance à éviter de s’attarder sur des détails. La réunion devient naturellement brève. La position debout encourage à aller droit au but et à être concis. Cette méthode possède l’avantage de faciliter la détection et la résolution de problèmes ainsi que de favoriser une culture de collaboration et d’entraide.
La position debout évite d’avoir tendance à utiliser son ordinateur ou encore la tentation de répondre à des emails ou des textos. En dehors du gain de temps, elle génère généralement un meilleur partage de l’information : chacun est au courant des avancées. Globalement, on comprend mieux comment le travail de chacun s’inscrit dans le projet global. Elle aurait également un effet sur la motivation : en partageant régulièrement les accomplissements, les membres de l’équipe peuvent se sentir valorisés et motivés pour continuer leur travail. 

Le marché des vêtements et des voitures de luxe

Certaines entreprises du luxe ont affiché depuis la fin de la pandémie des bénéfices records. Cependant, ont-elles vraiment toutes profiter de la crise ?

Le marché du luxe a rencontré bien des difficultés

Il a connu une croissance constante depuis près de 10 ans jusqu’à l’arrivée de la crise sanitaire de 2020. Les prédictions tablaient même sur son expansion de +3,2 % pour l’année en question. Les indicateurs sont positifs pour le secteur dans sa globalité (que l’on parle d’articles de luxe « personnels » du luxe « expérientiel ». Pour 2020, les ventes de luxe ont globalement diminué sur l’ensemble. L’Europe est en tête des marchés les plus en recul avec près de 29 %. Il est suivi par l’Amérique du Nord (-22 %). Même le marché asiatique est en baisse de 5 %.

Le marché du luxe se divise en deux catégories : le luxe « expérientiel » (complexes touristiques, croisières, hôtellerie, bien-être, gastronomie, restaurants, vins et spiritueux, mobilier design, automobile…) et les articles et biens de luxe « personnels » (mode, maroquinerie, bijoux, montres, parfums, cosmétiques…). Il est dominé par 10 entreprises qui réalisent à peu près la moitié des ventes totales de produits de luxe. Les marques françaises dominent le classement des plus grandes entreprises mondiales de luxe. On y compte sept acteurs qui détiennent la plus grande part de marché (23,5 %). On peut citer parmi elles, LVMH, L’Oréal Luxe, Kering et Hermès qui sont dans le top 11.

Les vêtements de luxe : un marché en croissance

Le marché mondial des vêtements de luxe devrait connaître une croissance avec un TCAC de 4,02 % sur la période de prévision (2022 – 2027). Cependant, il faut noter que les habitudes d’achat des consommateurs se sont radicalement transformées après la pandémie. On note une « baisse de la confiance des consommateurs envers l’industrie et de la volonté de dépenser » selon le rapport de l’Index of Consumer Sentiment (ICS). En cause : une manière différente de percevoir leur situation financière.

La croissance est stimulée par les achats en ligne ainsi que les offres, promotions et publicités via les médias sociaux. Selon une étude du Boston Consulting Group, 93 % des consommateurs de luxe utilisent les réseaux sociaux. Aussi,près de la moitié des décisions d’achat de vêtements de luxe sont principalement influencées par ce que les consommateurs voient ou entendent sur les plateformes hors ligne et en ligne. Les vêtements de luxe ont une popularité croissante parmi la génération. 

Les voitures de luxe : un marché qui pèse lourd

Le marché des voitures de luxe est réparti par type de véhicules (hayon, berline et SUV), de conduite (moteur électrique ou thermique) et par géographie (Amérique du Nord, Europe, Asie-Pacifique et reste du monde). Il a représenté environ 440 milliards USD en 2021. Il devrait rapidement croître à 600 milliards USD en 2027. Son TCAC est proche de 5 % pour la période de prévision (2022 – 2027) selon le rapport de Mordor Intelligence.

Malgré une bonne reprise actuelle, la pandémie aura fortement impacté le secteur sur les ventes à court terme. Celui-ci a connu une baisse en 2020 que l’on parle de ventes ou de production. Plusieurs facteurs ont contribué à la reprise de la demande de voitures de luxe dans le monde entier : l’augmentation des offres de luxe tangibles dans les voitures, l’envie des consommateurs d’avoir plus de SUV et l’augmentation des revenus des consommateurs ainsi qu’une tendance croissante à vouloir des véhicules de luxe électriques dans le monde.

Le segment des moteurs thermiques continue de dominer le marché. Cependant, cela devrait diminuer avec une demande de transports durables et respectueux de l’environnement qui n’a fait qu’augmenter, notamment les véhicules électriques. Ceci est en partie dû au fait que les gouvernements offrent davantage d’incitations et de subventions . A noter : la Chine représente le premier marché avec le plus grand nombre de nouvelles immatriculations de véhicules électriques en 2020. 

Quel matériau choisir pour une pergola ?

Une pergola bioclimatique est un abri de jardin. Elle vous permet de profiter de votre extérieur tout en bénéficiant d’un confort optimal. Elle est appréciée pour le confort, l’esthétique, les économies d’énergie, leur durabilité ou encore leur polyvalence. Cependant, les avantages peuvent être plus ou moins sensibles suivant les matériaux que vous utilisez. Mais lesquels choisir ?

Les avantages et matériaux les plus utilisés

La pergola bioclimatique rend l’espace extérieur plus agréable et utilisable tout au long de l’année. En effet, les lames orientables permettent de réguler l’apport en lumière, en chaleur et en ventilation. Elles vous permettent de créer une zone d’ombre confortable en été et laisser entrer la lumière du soleil en hiver. Si elle est plébiscitée c’est également parce que les pergolas bioclimatiques sont modernes et élégantes. La pergola bioclimatique peut s’adapter à différents styles architecturaux et ajouter de la valeur à votre propriété. Aussi, elle offre une certaine polyvalence : elle peut être utilisée pour de nombreuses activités, comme un coin repas, un coin détente, un coin de jeux pour enfants, etc.

Les matériaux utilisés pour les pergolas bioclimatiques peuvent varier en fonction des préférences esthétiques, du budget, de la résistance aux intempéries et de la durabilité recherchée. Les matériaux les plus couramment utilisés pour la construction de pergolas bioclimatiques sont l’aluminium, le bois, l’acier, le pvc et le composite. Suivant votre objectif, l’utilisation de l’un ou de l’autre peut se révéler plus appropriée. A noter que la durabilité joue bien entendu un rôle important et le choix des matériaux n’est pas à faire par hasard.

Les matériaux : une question d’objectifs.

L’aluminium a l’avantage d’être un matériau léger et résistant à la corrosion, ce qui en fait un choix populaire pour les pergolas bioclimatiques. Il est également facile à entretenir et offre une grande variété de couleurs et de finitions. Le bois est un matériau traditionnel pour la construction de pergolas et peut ajouter une touche chaleureuse et naturelle à l’espace extérieur. S’il est souvent choisi pour son esthétique, il nécessite un entretien régulier pour éviter la pourriture et la décoloration. L’acier est solide et résistant. Vous pouvez l’utiliser si vous souhaitez donner un aspect plus industriel à la pergola. Il nécessite cependant un entretien régulier pour éviter la rouille. Quant au PVC, il a l’avantage d’être peu coûteux et facile à entretenir. Il offre une grande variété de couleurs et de finitions. Cependant, il n’est pas aussi résistant que l’aluminium, le bois ou l’acier. Enfin les composites peuvent vous offrir une alternative écologique aux matériaux traditionnels, sont résistants aux intempéries et nécessitent peu d’entretien.

Une installation pas si évidente

Si vous souhaitez installer une pergola bioclimatique vous-même, sachez qu’il s’agit d’un projet de bricolage assez ambitieux. Ceci est d’autant plus vrai si vous n’avez pas d’expérience préalable dans la construction et l’installation de structures de ce type. Cependant, certaines pergolas bioclimatiques sont vendues sous forme de kits prêts à assembler, ce qui peut faciliter le processus d’installation.

La complexité de l’installation dépend de plusieurs facteurs, tels que la taille de la pergola, les matériaux utilisés et la configuration de l’espace extérieur. Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’installation d’une pergola bioclimatique, il est recommandé de faire appel à un professionnel pour vous aider à l’installer. Cela garantira que la structure est installée de manière sûre et efficace, et réduira le risque de dommages à votre propriété ou à la structure elle-même.

Indépendant : comptez sur un expert-comptable pour vous aider à déclarer la TVA

La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est la première source des recettes fiscales en France. C’est une taxe qui s’ajoute au prix des produits ou services vendus par une entreprise. Cette taxe est applicable à la majorité des ventes et des prestations de services, y compris ceux des travailleurs indépendants. Ces derniers doivent ajouter la TVA à l’ensemble de leurs factures envoyées aux clients et déclarer ensuite le montant de la taxe à l’État. Cependant, déclarer la TVA n’est pas une mince affaire. Si vous êtes un travailleur indépendant, l’accompagnement d’un expert-comptable vous sera d’une grande utilité pour réaliser cette démarche.

Indépendant : l’importance de bien déclarer la TVA

La déclaration de TVA est un document qui fait le point sur toutes les opérations imposables à la taxe sur la valeur ajoutée. Tout travailleur indépendant assujetti au régime de paiement d’impôt indirect doit déclarer l’ensemble de la TVA qu’il a facturé à ses clients. La déclaration de TVA permet principalement de déterminer le montant que le travailleur indépendant doit reverser à l’administration fiscale. Le calcul de la TVA doit être détaillé dans ce document et être bien rédigé. Vous devez donc mentionner dans le document la TVA brute, la TVA déductible et la TVA nette.

Déclarer sa TVA consiste à remplir un formulaire en ligne. Si vous ne rédigez pas correctement ce document, vous risquez de communiquer de fausses données à l’administration fiscale. Si les montants sont estimés à la hausse, cela peut constituer une énorme perte pour votre entreprise, car une fois encaissé, le montant reversé à l’administration fiscale n’est plus remboursable. De plus, pour corriger une déclaration de TVA que vous avez déjà déposée, vous devez envoyer un nouveau document rectificatif. Cela constitue un travail supplémentaire à réaliser.

Comment un expert-comptable peut-il vous aider ?

La déclaration de TVA est un processus complexe. Pour effectuer correctement cette déclaration, il vous faut de bonnes connaissances en comptabilité. Dans les entreprises, cette démarche est réalisée par le comptable de la société. En tant que travailleur indépendant, il est peu probable que vous ayez un comptable pour gérer vos finances. Dans ce cas, l’idéal est de faire appel à un expert-comptable pour vous aider dans le processus de déclaration de la TVA. L’expert-comptable est un professionnel de la comptabilité. Il gère les comptes des entreprises et procède à l’enregistrement des justificatifs.

Dans le cas d’une déclaration de TVA, l’expertise de ce professionnel est nécessaire pour communiquer les montants exacts de TVA collectée. Le calcul de la TVA nécessite un suivi rigoureux de la comptabilité. Pour déclarer correctement cette taxe, l’entreprise doit être à jour sur sa comptabilité. La mise à jour de la comptabilité implique l’enregistrement de tous les flux financiers de la structure. Vous devez enregistrer les factures de vente, les factures d’achat et les transactions de banque. Toutes ces tâches sont fastidieuses et peuvent vous prendre beaucoup de temps. En faisant appel à un expert-comptable, vous êtes sûr de tenir correctement votre comptabilité. La déclaration de TVA pourra donc être effectuée sans grande difficulté.

Par ailleurs, l’expert-comptable maîtrise les différents régimes de TVA. En fonction de votre profil, il peut vous aider à connaître le régime d’imposition qui vous correspond avant d’effectuer la déclaration de TVA. En plus de vous aider à bien déclarer cette taxe, l’expert-comptable peut vous accompagner dans le suivi de l’opération. Ce professionnel peut comptabiliser toutes vos déclarations. Il s’assure de vérifier les cumuls dans les comptes de ventes et de TVA pour un suivi efficace. Il peut également contrôler le solde des comptes de TVA après l’enregistrement de toutes les déclarations.

Comment bien choisir votre expert-comptable ?

Collaborer avec un expert-comptable est une décision importante pour votre activité. Cette collaboration implique le partage des données sensibles sur votre activité. Les faux experts-comptables sont de plus en plus nombreux. Si vous travaillez avec ces derniers, vos données personnelles peuvent être exploitées à des fins frauduleuses. Pour éviter d’éventuels problèmes, vous devez bien choisir votre expert-comptable. En France, il existe de nombreux cabinets d’expertise comptable. Pour choisir, vous devez tenir compte de plusieurs critères.

Les cabinets d’expertise comptable doivent être enregistrés auprès de l’Ordre des experts-comptables. Avant de confier votre comptabilité à un cabinet, vous devez donc consulter son inscription sur le site de l’Ordre des experts-comptables. Cette démarche vous permet d’être sûr d’avoir affaire à des professionnels qualifiés. Pour choisir votre expert-comptable, vous pouvez tenir compte de l’emplacement du professionnel. En effet, plus l’expert-comptable est proche de vous, plus la collaboration sera facile. Vous pouvez le rencontrer à n’importe quel moment et profiter pleinement des conseils du professionnel.

Pour effectuer votre déclaration de TVA, vous pouvez opter pour un cabinet d’expertise comptable en ligne. Cette solution est très intéressante pour les travailleurs indépendants, car elle offre une liberté totale. En faisant appel à un expert-comptable en ligne, vous n’avez pas besoin de vous déplacer pour vous faire assister par le professionnel que vous avez engagé. Tout se fait à distance. Grâce aux logiciels et aux nombreux outils de communication, ce type de structure s’assure de fournir à ses clients une prestation de haute qualité. L’utilisation des logiciels permet de limiter les risques d’erreurs. De plus, les cabinets en ligne proposent souvent des services à des prix très intéressants.

Si vous décidez de choisir un cabinet d’expertise comptable en ligne, nous vous conseillons de consulter les avis des anciens clients sur son site. Les commentaires de ces derniers clients peuvent vous aider à avoir une idée de la qualité des services proposés. Avant de signer une lettre de mission avec un expert-comptable, assurez-vous de connaître le montant exact de sa prestation. Le devis doit être clair et sans frais cachés. N’hésitez pas à comparer les tarifs de plusieurs cabinets afin de choisir l’option la plus économique.

Ce que vous risquez si la TVA n’est pas correctement déclarée

La déclaration de TVA est une obligation légale pour toutes les entreprises qui sont redevables de cette taxe. Si vous faites une fausse déclaration, vous vous exposez à de nombreuses sanctions. En effet, une fausse déclaration de TVA est considérée comme une fraude fiscale. En cas de contrôle, si les services fiscaux constatent que les déclarations de TVA ne correspondent pas aux valeurs réelles, vous pouvez subir une lourde pénalité financière. Le montant de la pénalité équivaut souvent à 40 % du montant de la taxe due. Il peut même monter jusqu’à 80 %. Une fausse déclaration de TVA peut donner lieu à une peine d’emprisonnement dont la durée peut aller jusqu’à 5 ans. Cela peut également entraîner des peines accessoires comme la privation des droits civiques ou la suspension du permis de conduire. En cas de fraude sur la TVA, la loi peut même vous interdire d’exercer votre profession libérale.

Instagram, le réseau social de l’image

En France, en 2022, Instagram compte plus de 22 millions d’utilisateurs mensuels, soit 39 % des internautes français. En mai 2022, Instagram totalise 34,7 millions de visiteurs uniques mensuels en France et 15,8 millions par jour. C’est le 3ème média social le plus utilisé, devant Snapchat, mais derrière YouTube et Facebook.

Quelques idées de publications

Vous pouvez facilement réaliser un jeu-concours sur Instagram. Également, pensez à montrer les backstages de votre entreprise notamment pour attirer de futurs candidats. Vous pouvez également donner astuces au travers de tutoriels au travers de photos, vidéos, articles. Les entreprises s’en servent souvent pour mettre le service ou produit en situation ou montre qui se cache derrière. Certains n’hésitent pas à poster des interviews ou à partager du contenu d’autres utilisateurs

Les bonnes pratiques sur Instagram

Publiez du contenu au bon moment

Il est recommandé de publier au moins 2 fois par jour pour augmenter la portée de vos publications et notamment via des stories. L’utilisateur regarde le contenu le plus récent (et pertinent), il vaut donc mieux publier régulièrement. Quel que soit ce que vous publiez (posts, stories, reels, live…), vous devez le faire fréquemment et au moins 2 stories par jour et au minimum 2 publications par semaine. Vous pouvez évidemment établir votre propre calendrier. Créez également une story avec vos meilleures publications. Cela vous permettra d’atteindre ceux qui n’étaient pas présents et en mettant en avant celles que vous préférez.

Un compte avec un design travaillé

Commencez par bien créer un profil professionnel Instagram et ne lésinez pas sur la photo de profil. Celle-ci peut comporter votre logo ou encore une photo portrait classique si c’est un compte personnel. De plus, ne négligez pas la rédaction de votre biographie et même apportez-lui un maximum d’attention. Celle-ci représente une étape essentielle dans la présentation de votre profil. Vous avez 150 caractères à votre disposition et donc vous devez choisir chaque mot pour attirer l’attention de celles et ceux qui pourraient être intéressés par votre profil.

Bloquez les utilisateurs inactifs

N’hésitez pas à supprimer les utilisateurs inactifs. Vous pouvez le faire manuellement jusqu’à 30 utilisateurs par heure. Instagram n’apprécie pas les robots. Il est donc déconseillé d’y faire appel pour nettoyer automatiquement. Cela augmentera en conséquence obligatoirement la valeur des utilisateurs puisque ce sont des utilisateurs réels et actifs qui pourront éventuellement observer vos suppressions. Ils auront donc plus tendance à liker et commenter vos publications.

Meilleurs moments pour publier sur Instagram en 2023 :

Comme Twitter, Instagram est utilité largement majoritaire via mobile et est particulièrement consulté hors des heures de travail. Il est conseillé de communiquer :

  • Lundi: 6h, 10h et 22h
  • Mardi: 2h, 4h et 9h
  • Mercredi: 7h, 8h et 23h
  • Jeudi: 9h, midi et 19h
  • Vendredi: 5h, 13h et 15h
  • Samedi: 11h, 19h et 10h
  • Dimanche: 7h, 8h et 16h
  • Le samedi à 11 heures, 19 heures et 22 heures
  • Le dimanche entre 7 et 8 heures du matin et à 16 heures. 

Tranche d’âge des utilisateurs d’Instagram :

  • 7 % : 13-17 ans
  • 30 % : 18-24 ans
  • 34 % : 25-34 ans
  • 16 % : 35-44 ans
  • 13 % : +45 ans

La réunionite : un fléau pour les entreprises

La perte de temps n’est pas liée qu’à des facteurs externes ou encore à une question de motivation personnelle, elle peut tirer son origine dans l’organisation même du travail. Les réunions font partie des pratiques nécessaires mais qui, mal menées, peuvent rapidement conduire à une perte de temps considérable. La Réunionite: Comment faire des réunions efficaces ?

Des réunions et toujours des réunions.

Selon une étude récente menée par Future Forum, 46 % d’entre elles seraient inutiles. Il faut dire que les réunions sont particulièrement chronophages. Les cadres estiment dédier 25 heures par semaine en moyenne aux réunions. Le phénomène est tel que l’on parle désormais de « réunionite » pour décrire la tendance excessive à en tenir, ce qui entraîne une perte de temps, d’énergie et de productivité considérables. Ce terme fait également référence au fait de ne pas être en mesure de prendre des décisions efficaces ou au fait que certaines réunions semblent être faites pour paraître occupé. Une autre étude menée par la société de gestion de réunions Doodle a montré qu’elles coûteraient aux entreprises environ 399 milliards de dollars par an aux États-Unis. De plus, celle-ci a révélé que seulement 60 % de ces réunions seraient jugées productives.

Des tentatives de corrections

Les entreprises ne sont dupes et tentent de travailler sur ce phénomène. Si elles peinent à réduire le nombre de réunions, elles ont tendance à virtualiser celles-ci. Ainsi, selon une étude réalisée par Vyopta, le nombre de réunions virtuelles en tête-à-tête est passée de 17 % en 2020 à 42 % en 2022. Il s’agit de favoriser les réunions avec moins de personnes.

L’exemple probant de Shopify

Ainsi, Shopify a lancé un nouveau plan nommé Chaos Monkey 2023 pour rendre les réunions efficaces. Le résultat en est que le temps consacré aux réunions le mercredi a diminué d’environ 44 % par personne. Cependant, la majorité des grandes réunions (54 %) continuent de se dérouler dans ce créneau horaire. Shopify a comparé les deux premiers mois de l’année dernière avec les deux premiers mois de cette année. Après avoir instauré son plan, Shopify a constaté que le temps moyen passé par personne en réunion a diminué de 33 %.

De plus, Shopify a constaté que ses collaborateurs consacrent déjà plus de temps à des projets spécifiques avec son nouveau plan. En regardant des parties spécifiques de l’entreprise, y compris l’ingénierie, le produit et l’UX, Shopify s’attend à voir environ 25% de projets supplémentaires achevés d’ici la fin de l’année.

La réunionite : quelques bonnes pratiques

Pour éviter de perdre du temps avec des réunions, vous pouvez d’abord réfléchir à votre organisation. Comme il ne s’agit pas de faire des réunions pour faire des réunions, vous devez d’abord définir l’objectif : qu’est-ce que vous voulez accomplir avec cette réunion ? Quel est le résultat attendu ? L’objectif défini vous permettra de déterminer qui doit être invité et le temps nécessaire pour qu’elle soit productive.

Ensuite, planifiez vos réunions en fixant la date, l’heure, la durée et le lieu. Ainsi chacun pourra les prévoir dans son emploi du temps mais également mieux préparer et organiser une réunion. Dans la même logique, prévoir un ordre du jour est nécessaire ainsi qu’une fixation de temps. Vous devez impérativement faire respecter son heure et sa durée. Choisir les participants relève du bon sens, tout comme le fait d’éviter qu’une personne monopolise la parole. Enfin, vous devez prendre des notes afin de réaliser un compte rendu que ce soit pour rappeler à chacun sa mission jusqu’à la prochaine réunion ou encore pour transmettre les éléments aux absents.