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Communication multimédia : choisissez la variété 

La gestion de la communication multimédia, qui consiste à utiliser une gamme de médias pour communiquer avec les employés et les clients, est essentielle pour maintenir un engagement fort. Elle vous aide à renforcer la notoriété de la marque et à promouvoir la croissance. Voici comment elle peut bénéficier à votre entreprise et les meilleures pratiques pour la mettre en œuvre.

La communication multimédia : une définition

La communication multimédia est un concept qui englobe l’utilisation de divers médias, tels que le texte, les images, la vidéo, l’audio et les médias sociaux, pour transmettre des messages aux employés et aux clients. Elle permet une approche holistique de la communication, tenant compte des différentes préférences et habitudes de consommation médiatique.

La communication multimédia est avant tout un outil puissant pour maintenir l’engagement des employés. Les employés d’aujourd’hui sont exposés à une multitude de médias. Et la communication multimédia permet de diversifier les messages pour les rendre plus attrayants. Les vidéos d’entreprise, les bulletins d’information électroniques, les podcasts internes et les réseaux sociaux d’entreprise sont autant de moyens de tenir les employés informés et motivés.

Renforcer la notoriété de la marque

Pour les clients, la communication multimédia offre des opportunités uniques de renforcer la notoriété de la marque. Les campagnes publicitaires multimédias, les vidéos promotionnelles, les blogs d’entreprise et les réseaux sociaux sont des canaux puissants pour présenter votre marque de manière mémorable et attrayante.

Personnaliser les messages

La communication multimédia permet de personnaliser les messages pour répondre aux besoins individuels des employés et des clients. Les messages peuvent être adaptés en fonction de l’auditoire cible, créant ainsi une expérience plus pertinente et significative.

Augmenter la portée 

L’utilisation de plusieurs médias élargit la portée de vos messages. Vous pouvez toucher un public plus large en utilisant des canaux variés. Par exemple, une annonce vidéo peut être partagée sur les médias sociaux, atteignant ainsi un public mondial.

Fournir des informations claires et précises

La variété des médias permet de fournir des informations de manière plus claire et précise. Les graphiques, les images et les vidéos facilitent la compréhension des messages complexes, ce qui est particulièrement utile pour les explications techniques ou les rapports financiers.

Créer des expériences immersives :

La réalité virtuelle, la réalité augmentée et les vidéos interactives offrent la possibilité de créer des expériences immersives. Cela peut être particulièrement utile pour les démonstrations de produits, les visites virtuelles d’installations ou les formations interactives.

Mesurer et ajuster 

La communication multimédia permet de mesurer l’efficacité de vos messages de manière plus précise. Les données d’engagement, telles que les taux de clics, les vues vidéo et les commentaires, offrent des informations précieuses pour ajuster votre stratégie de communication.

Stimuler l’innovation

En utilisant une variété de médias, vous encouragez l’innovation au sein de votre entreprise. Les employés sont plus susceptibles de proposer de nouvelles idées et d’expérimenter avec des médias différents, ce qui peut stimuler la créativité.

S’adapter à l’évolution des tendances 

Les préférences des consommateurs et les tendances en matière de communication évoluent constamment. La gestion de la communication multimédia permet à votre entreprise de s’adapter rapidement à ces changements. Ceci en restant pertinente et en gardant une longueur d’avance sur la concurrence.

Planification stratégique 

Pour mettre en œuvre une communication multimédia efficace, il est essentiel de développer une stratégie bien définie. Identifiez vos objectifs de communication, déterminez les médias les plus adaptés pour les atteindre et élaborez un calendrier de publication cohérent. Une planification stratégique garantit une communication multimédia cohérente et ciblée.

Engagement des parties prenantes

Impliquez les employés et les clients dans le processus de communication multimédia. Sollicitez leurs commentaires, encouragez-les à participer à la création de contenu et assurez-vous que les canaux de communication sont accessibles et conviviaux.

Formation et ressources 

Assurez-vous que votre équipe dispose des compétences nécessaires pour créer et gérer du contenu multimédia de haute qualité. Investissez dans la formation et les ressources nécessaires, que ce soit pour la production vidéo, la conception graphique ou la gestion des médias sociaux.

Suivi des résultats 

Mettez en place des outils d’analyse pour suivre les résultats de votre communication multimédia. Examinez régulièrement les métriques telles que le taux de conversion, le temps passé sur les pages, le nombre de partages sociaux, et ajustez votre stratégie en conséquence.

Adaptabilité et innovation 

Restez à l’affût des dernières tendances en matière de communication multimédia. Soyez prêt à innover et à vous adapter à l’évolution des plateformes et des médias. La capacité à rester en phase avec les changements technologiques est essentielle pour rester compétitif.

Mesure de la satisfaction des employés et des clients

Recueillez des commentaires réguliers de la part de vos employés et de vos clients pour évaluer l’efficacité de votre communication multimédia. Utilisez ces commentaires pour apporter des améliorations continues et répondre aux besoins de votre public.

Collaboration interdépartementale

Favorisez la collaboration entre les différents départements de votre entreprise, car la communication multimédia peut avoir un impact sur l’ensemble de l’organisation. Assurez-vous que tous les départements sont alignés sur la stratégie de communication et partagent des ressources et des idées lorsque cela est approprié.

Mesurer le retour sur investissement (ROI)

Pour évaluer l’efficacité de votre communication multimédia, mesurez le retour sur investissement. Comparez les coûts engagés pour la création de contenu avec les avantages, tels que l’augmentation des ventes, la fidélisation des clients ou l’amélioration de la satisfaction des employés.

Restez éthique et transparent

La confiance est essentielle en communication. Assurez-vous que votre communication multimédia est éthique, transparente et respecte la vie privée de vos employés et de vos clients. Une réputation solide repose sur des pratiques éthiques.

S’adapter à la diversité culturelle

Si votre entreprise opère à l’échelle internationale, tenez compte de la diversité culturelle. Assurez-vous que votre communication multimédia est respectueuse des différentes normes et sensibilités culturelles.

Récompense et reconnaissance

Récompensez les employés et les équipes qui contribuent de manière exceptionnelle à la réussite de votre communication multimédia. La reconnaissance peut encourager l’engagement et la créativité.

Quelques outils utiles 

  • Plateformes de gestion de contenu (CMS) : 

Utilisez des CMS tels que WordPress, Joomla ou Drupal pour gérer facilement le contenu multimédia de votre site web. Ces plateformes offrent des fonctionnalités de gestion de médias qui vous permettent d’organiser, de publier et de mettre à jour du contenu multimédia de manière intuitive.

  • Outils de création de contenu multimédia :

Investissez dans des outils de création de contenu multimédia tels que Adobe Creative Cloud, Canva, ou des logiciels de montage vidéo comme Adobe Premiere Pro. Ces outils vous permettent de produire du contenu de haute qualité pour divers médias.

  • Outils de diffusion en direct : 

Les plateformes de diffusion en direct telles que Zoom, Webex et Twitch peuvent être utilisées pour des événements en direct, des webinaires, des présentations d’entreprise et des interactions en temps réel avec votre public.

  • Gestionnaires de médias sociaux : 

Utilisez des outils de gestion des médias sociaux tels que Hootsuite, Buffer ou Sprout Social pour planifier et publier du contenu multimédia sur différentes plateformes de médias sociaux. Cela vous permet de rester actif et cohérent sur les réseaux sociaux.

  • Analyse des médias sociaux : 

Les outils d’analyse des médias sociaux tels que Google Analytics, Facebook Insights et Twitter Analytics vous fournissent des données précieuses sur les performances de vos publications multimédias. Vous pouvez ainsi ajuster votre stratégie en fonction des retours

  • Plateformes de vidéo en streaming : 

Si la vidéo est un élément clé de votre stratégie multimédia, envisagez d’utiliser des plateformes de vidéo en streaming telles que YouTube, Vimeo ou Twitch pour héberger et diffuser vos vidéos.

  • Outils de collaboration : 

Pour travailler en équipe sur des projets multimédias, utilisez des outils de collaboration tels que Google Workspace (anciennement G Suite), Microsoft Teams, ou Slack. Ils facilitent la communication et le partage de fichiers au sein de votre équipe.

Les autres outils auxquels on ne pense pas

  • Systèmes de gestion de l’apprentissage (LMS) : 

Si vous proposez des formations en ligne ou des contenus d’apprentissage, un LMS comme Moodle, Blackboard, ou Canvas peut vous aider à gérer efficacement votre contenu multimédia éducatif.

  • Stockage dans le cloud : 

Utilisez des services de stockage dans le cloud tels que Google Drive, Dropbox ou OneDrive pour stocker en toute sécurité vos fichiers multimédias. Cela permet un accès facile aux fichiers depuis n’importe quel appareil et facilite le partage.

  • Automatisation du marketing : 

Les outils d’automatisation du marketing comme HubSpot, Marketo ou Pardot peuvent vous aider à planifier et à diffuser du contenu multimédia de manière ciblée, en fonction des besoins de votre public.

Top 10 étapes pour élaborer une stratégie de marque efficace

Une stratégie de marque efficace repose sur bien plus qu’un simple logo ou d’un joli emballage. Elle s’établit sur une identité profonde, des messages cohérents et une compréhension claire de votre public cible. Voici les dix étapes incontournables pour élaborer une stratégie de marque qui vous distingue de la concurrence et renforce la confiance des clients.

1/ Évaluation de la situation actuelle

La première étape dans l’élaboration d’une stratégie de marque efficace consiste à comprendre où vous en êtes aujourd’hui. Vous devez effectuer une évaluation complète de votre entreprise, de votre marché, de votre public et de votre concurrence. Identifiez les forces et les faiblesses de votre marque actuelle pour définir des objectifs clairs.

2/ Définir votre identité de marque :

Votre identité de marque est le cœur de votre entreprise. Vous devez définir clairement vos valeurs, votre mission, votre vision et votre personnalité de marque. Qu’est-ce qui fait que votre entreprise est unique ? Quelles émotions souhaitez-vous évoquer chez vos clients ?

3/ Étude de marché approfondie :

La connaissance de votre marché est essentielle. Effectuez une étude de marché approfondie pour comprendre les tendances, les besoins des consommateurs, les opportunités et les menaces. Analysez la concurrence pour identifier ce qui les distingue et comment vous pouvez vous démarquer.

4/ Définir votre public cible 

Une stratégie de marque efficace nécessite une compréhension précise de votre public cible. Qui sont-ils ? Quels sont leurs besoins, leurs valeurs et leurs préférences ? Une connaissance approfondie de votre public vous permettra de créer des messages et des expériences qui résonnent avec eux.

5/ Établir une proposition de valeur unique (PVU)

Votre proposition de valeur unique est ce qui distingue votre marque des autres. Pourquoi les consommateurs devraient-ils choisir votre produit ou service plutôt que celui de la concurrence ? Identifiez clairement votre PVU et assurez-vous qu’elle est convaincante.

6/ Créer une identité visuelle

L’identité visuelle est déterminante pour la reconnaissance de la marque. Concevez un logo, une palette de couleurs, des polices et d’autres éléments visuels qui reflètent l’identité de votre marque. Assurez-vous que ces éléments sont cohérents sur tous les supports, des sites web aux supports imprimés.

7/ Élaborer une stratégie de contenu :

Dans le monde numérique d’aujourd’hui, le contenu est roi. Créez une stratégie de contenu solide qui raconte l’histoire de votre marque, engage votre public et renforce votre autorité dans votre domaine. Le contenu de qualité est essentiel pour établir une connexion profonde avec les consommateurs.

8/ Développer des messages de marque cohérents :

Vos messages de marque doivent être cohérents sur tous les canaux de communication, que ce soit sur votre site web, dans les médias sociaux, les campagnes publicitaires ou les interactions avec les clients. Créez des messages qui reflètent votre identité de marque et votre proposition de valeur unique. La cohérence renforce la mémorabilité de votre marque.

9/ Mettre en place des indicateurs de performance

Pour mesurer l’efficacité de votre stratégie de marque, définissez des indicateurs de performance clairs. Suivez des métriques telles que la notoriété de la marque, la fidélité des clients, les taux de conversion et les indicateurs de succès spécifiques à votre secteur. Ces mesures vous permettront de suivre les progrès et d’ajuster votre stratégie si nécessaire.

10/ Maintenir la cohérence et l’adaptabilité :

Une stratégie de marque efficace ne s’arrête pas une fois qu’elle est mise en place. La cohérence à long terme est essentielle pour renforcer la reconnaissance de la marque. Cependant, il est également important de rester adaptable. Le marché évolue, tout comme les préférences des consommateurs. Assurez-vous de maintenir la cohérence tout en étant prêt à ajuster votre stratégie en fonction des évolutions.

Et si vous receviez vos clients chez vous ?

Un cadeau de fin d’année valorisant, économique … et déductible ! La « trêve des confiseurs » est pour bientôt. La période de fin d’année est une top-occasion pour humaniser les relations d’affaires. Les cadeaux se font rares ? Tant mieux : même modestes, ceux que vous ferez n’en seront que plus appréciés.

Tendance et anti-crise : la réception professionnelle à votre domicile

Recevoir des relations professionnelles à déjeuner ou à dîner à votre domicile tout en déduisant le prix des courses liées à cette réception est parfaitement admis. Passer derrière les fourneaux est furieusement tendance. Il n’y a rien de mieux pour renforcer les liens avec les clients ou partenaires que vous appréciez particulièrement.

Mon conseil de DAF : quand vous invitez, notez toujours le nom des convives sur vos tickets de notes de frais. (Il suffit de ne pas avoir de membres de votre famille à table ce jour-là )

Déductibilité des cadeaux et réceptions : un cadre légal plutôt favorable

La manière dont vous donnez compte plus que le prix du cadeau. Cependant, il est difficile de faire un cadeau sincère sans mettre la main à la poche.

Les règles fiscales applicables aux cadeaux et réceptions professionnels sont assez simples. Ces dépenses sont déductibles de vos revenus professionnels. Vous devrez toutefois être prêt à justifier ces frais : n’augmentez pas le budget cadeau dans une proportion supérieure à celle de vos bénéfices. Sinon, le fisc pourrait logiquement remettre en cause l’utilité de ces frais.

Plafonds de dépenses admises par le fisc

Si vous limitez le poste de charges « cadeaux » à 3000 euros par an, vous n’aurez pas d’obligation déclarative spécifique; au-delà de 3000 euros annuels, vous devrez vous justifier dans une déclaration spécifique (imprimé n° 2067), que votre expert-comptable joindra à la déclaration annuelle des résultats de votre entreprise.

Concernant les frais de réception, le seuil déclaratif est fixé à 6100 euros par an.

Attention, la charge engagée doit être dans l’intérêt de l’entreprise

Pour être déductibles du résultat fiscal, les dépenses doivent s’engager dans l’intérêt de l’entreprise. Cela signifie qu’elles doivent se rattacher à une « gestion normale » (dépenses ni excessives, ni fictives) de l’entreprise.

En conséquence, les dépenses personnelles du dirigeant ou d’un associé, les dépenses luxueuses ou les dépenses dépassant certaines limites ne peuvent pas être déduites.

Exclusion des dépenses présentant un caractère personnel

Les dépenses personnelles de l’exploitant individuel, du dirigeant ou d’un associé ne sont pas déductibles car elles ne sont pas effectuées dans l’intérêt de l’entreprise.

Il s’agit notamment des dépenses suivantes :

  • Frais concernant l’habitation principale ou la résidence secondaire
  • Frais d’une expertise demandée par le nouveau dirigeant d’une société dans son intérêt personnel à l’occasion de sa prise de participation dans la société
  • Impôts personnels
  • Frais de déplacement non justifiés par l’activité professionnelle
  • Frais de réception à caractère familial
  • Frais de main d’œuvre engagés par une société pour la construction de la maison personnelle de l’épouse du dirigeant

Et la TVA ?

Pour les cadeaux d’affaires, veillez à rester sous les 65€TTC par bénéficiaire, sur une année civile. A cette condition, la TVA est déductible. La TVA sur les réceptions d’affaires est également déductible.

Les cadeaux, dont la valeur unitaire ne dépasse pas 73 € TTC, sont considérés comme des cadeaux de faible valeur. Leur fiscalité est avantageuse car ils ouvrent droit à la déduction de la TVA. La valeur s’apprécie par objet, par année et par bénéficiaire, et inclut les frais d’emballage et de port.

Faire plaisir pour se faire plaisir

Puisque vous voilà rassurés sur la possibilité de faire des cadeaux d’affaires originaux sans vous ruiner, faites-vous le plaisir d’offrir !
Bonne fin d’année !

Comment dire « Je ne sais pas » sans paraître incompétent

En tant qu’entrepreneur, vous êtes souvent confronté à des situations où on vous pose des questions qui semblent avoir été spécialement conçues pour vous piéger. Vous savez, ces questions sournoises qui vous font ressembler à un acteur dans un mauvais film de suspense, en sueur et en train de bafouiller. Mais ne craignez rien ! Il existe une réponse magique à ces questions. Voyons comment dire « Je ne sais pas » sans paraître incompétent.

L’art du « Je ne sais pas » créatif

La première règle pour répondre aux questions pièges est d’être créatif dans votre admission d’ignorance. Au lieu de simplement dire « Je ne sais pas », dites quelque chose comme « C’est une question complexe qui nécessite une analyse plus approfondie » ou « Je vais devoir consulter mon équipe pour obtenir une réponse complète ». Les gens auront l’impression que vous êtes un stratège qui préfère réfléchir avant de parler, plutôt qu’un individu ignorant. Vous êtes tel un magicien qui transforme son ignorance en une opportunité d’approfondir la réflexion et la collaboration.

Le bluff en toute discrétion

Une autre technique subtile est de donner l’impression que vous avez peut-être une idée de la réponse, mais que vous êtes trop modeste pour vous vanter de vos connaissances. Dites quelque chose comme « Je ne veux pas paraître prétentieux, mais cela me rappelle un article que j’ai lu récemment, bien que je doive vérifier les détails » Vous passez ainsi pour un professionnel humble et réfléchi. Les autres personnes en réunion seront impressionnées par votre modestie et votre désir de vérifier les faits avant de répondre. Vous êtes tel un chevalier de l’humilité dans le royaume de la connaissance.

L’utilisation judicieuse du jargon

Pour brouiller les pistes, n’hésitez pas à utiliser un jargon technique ou des termes spécifiques à votre secteur. Si quelqu’un vous pose une question sur la stratégie de croissance, répondez avec un air sérieux  et de manière la plus technique possible. Personne n’y comprendra rien, mais vous aurez l’air d’un expert. Vous pouvez même jeter quelques acronymes obscurs pour une bonne mesure. Laissez votre auditoire essayer de décoder votre réponse, tout en cachant habilement votre ignorance sous une avalanche de jargon. Vous êtes un virtuose de la confusion, et personne ne peut vous accuser de ne pas connaître votre sujet.

La diversion comme un pro

Si vous sentez que la question piège se resserre autour de vous, pratiquez l’art de la diversion. Répondez à une question différente, idéalement une question à laquelle vous pouvez répondre brillamment. Si quelqu’un demande : « Quelle est votre stratégie de marketing numérique ? », répondez avec enthousiasme : « Ah, le marketing numérique, c’est passionnant ! Parlons-en. Mais avant cela, permettez-moi de vous dire comment nous avons augmenté notre présence sur les réseaux sociaux… ». La personne qui a posé la question piège sera tellement impressionnée par votre passion que, en un clin d’œil, elle oubliera sa question initiale. Vous êtes le maître de la diversion, capable de détourner habilement l’attention de vos interlocuteurs.

Imaginez-vous à la tête de la salle de réunion, souriant comme un maître de la diversion. Vous avez habilement redirigé la conversation vers un sujet que vous maîtrisez. Votre auditoire est suspendu à vos paroles, oubliant complètement la question piège originale. Vous avez non seulement évité le piège, mais vous avez également pris le contrôle de la réunion. Vous êtes le maître de la réunion, capable de transformer une situation délicate en un triomphe.

L’humour pour alléger l’atmosphère

Parfois, l’humour est la meilleure arme pour désamorcer une question piège. Un sourire et une réponse comme « C’est un secret bien gardé, même pour moi » peuvent ajouter une touche de légèreté à la situation tout en déjouant l’intention piège de la question. Les gens riront de bon cœur, et votre réponse créative deviendra une anecdote mémorable de la réunion. Vous êtes le maître de la répartie, capable de transformer une question piège en un moment de détente.

L’invitation à la collaboration 

Si vous ne savez vraiment pas, admettez-le et tournez la situation à votre avantage en invitant la personne à collaborer avec vous pour trouver une réponse. Dites quelque chose comme : « Je ne suis pas sûr, mais j’adorerais explorer cette question avec vous. Pourquoi ne pas planifier une réunion pour discuter de cela plus en détail ? » Cela montre que vous êtes ouvert à l’apprentissage et à la collaboration, des qualités admirables pour un entrepreneur. Vous êtes tel un maître de la collaboration, capable de transformer une situation délicate en une opportunité de travail d’équipe.

Répondre aux questions pièges et dire « Je ne sais pas » en tant qu’entrepreneur peut être tout un défi ; Cependant, vous pouvez sauver la mise. Alors, la prochaine fois que quelqu’un tentera de vous piéger avec une question embêtante, rappelez-vous qu’après tout, vous avez toujours cette astuce dans votre manche. 

Comment établir des objectifs et des indicateurs de performance clairs pour votre équipe ?

La réussite d’une entreprise repose largement sur la performance de vos équipes. Tout seul vous pouvez aller vite mais à plusieurs vous pouvez aller loin. Pour maximiser cette performance, il est essentiel de définir des objectifs clairs et de mettre en place des indicateurs de performance appropriés. Voici les étapes essentielles pour établir des objectifs significatifs et des mesures de performance précises qui permettront à votre équipe d’atteindre des résultats exceptionnels.

1/ Alignement sur la vision de l’entreprise

Avant de plonger dans la définition d’objectifs spécifiques, il est impératif de s’assurer que ces objectifs sont en parfait alignement avec la vision et la mission de l’entreprise. Une équipe bien alignée travaille de manière cohérente vers la réalisation des objectifs organisationnels. Cela nécessite une compréhension claire de la stratégie de l’entreprise et une communication efficace de ces objectifs à l’équipe. Le processus d’alignement commence par une communication ouverte, permettant à chaque membre de l’équipe de comprendre le rôle de son travail dans la réalisation des objectifs globaux de l’entreprise. Plus l’alignement est fort, plus il est probable que votre équipe atteigne ses objectifs avec succès.

2/ Établissement d’objectifs SMART 

Les objectifs SMART, un acronyme pour Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporels, sont un cadre bien établi pour définir des objectifs clairs et réalisables. Les objectifs spécifiques sont plus faciles à comprendre et à poursuivre. Ils doivent être mesurables pour permettre l’évaluation des progrès et des réalisations. De plus, les objectifs doivent être atteignables et réalistes, évitant des attentes déraisonnables. Enfin, chaque objectif s’associe à une échéance précise, ce qui crée un sens d’urgence et de responsabilité.

Lors de la définition d’objectifs SMART, assurez-vous que chaque objectif est détaillé de manière à ce que tous les membres de l’équipe aient une compréhension claire de ce qui est attendu d’eux. Cela aide à réduire la confusion et à garantir que l’ensemble de l’équipe travaille vers le même objectif.

3/ Participation de l’équipe

Inclure les membres de votre équipe dans le processus de définition des objectifs favorise leur engagement. Leur participation active dans le processus crée un sentiment d’appropriation et de responsabilité. Laissez-les exprimer leurs idées et leurs préoccupations, tout en maintenant un équilibre avec les objectifs organisationnels. La collaboration dans la définition des objectifs peut générer des idées nouvelles et novatrices. Elle renforce également la compréhension de la manière dont les objectifs individuels contribuent à la réalisation des objectifs collectifs. Les membres de l’équipe se sentent ainsi plus investis dans la réussite de l’entreprise.

4/ Définition d’indicateurs de performance clairs

Les indicateurs de performance, ou KPIs (Key Performance Indicators), sont des mesures spécifiques qui permettent d’évaluer le succès par rapport aux objectifs. Il est essentiel de choisir des KPIs pertinents pour chaque objectif, de préférence liés à des résultats mesurables tels que les ventes, la satisfaction client, la productivité, ou d’autres indicateurs clés propres à votre secteur.

Les KPIs doivent être faciles à suivre et à analyser. Ils doivent refléter le progrès vers la réalisation des objectifs de manière claire et non équivoque. Si un KPI est complexe ou difficile à comprendre, il peut entraîner de la confusion et des malentendus au sein de l’équipe. De plus, assurez-vous que les KPIs sont directement liés à l’objectif, de manière à ce que l’atteinte de l’objectif se traduise par l’atteinte des KPIs correspondants.

5/ Suivi régulier des progrès

L’établissement d’objectifs ne se limite pas à la simple définition, mais implique également un suivi régulier des progrès. Il est rare qu’un objectif reste statique tout au long de sa durée de vie. Pour garantir que votre équipe est sur la bonne voie pour atteindre ses objectifs, établissez un calendrier pour évaluer les performances. Le rythme du suivi dépendra de la nature des objectifs. Les objectifs à court terme peuvent être surveillés de près, par exemple, sur une base mensuelle, tandis que les objectifs à long terme peuvent faire l’objet d’un suivi trimestriel ou annuel. L’essentiel est d’avoir un plan de suivi en place pour évaluer les progrès et ajuster la stratégie si nécessaire.

6/ Communication ouverte et rétroaction

La communication transparente permet de maintenir l’alignement de l’équipe. Tenez régulièrement des réunions pour discuter des progrès et des défis liés aux objectifs. Encouragez les membres de l’équipe à partager leurs idées, leurs questions et leurs préoccupations. La rétroaction constructive joue également un rôle essentiel dans le processus. Les membres de l’équipe doivent recevoir des commentaires réguliers sur leurs performances par rapport aux objectifs et aux KPIs. La rétroaction peut être utilisée pour identifier les domaines qui nécessitent des améliorations, mais aussi pour célébrer les succès. La communication ouverte et la rétroaction aident à maintenir l’élan de l’équipe et à surmonter les obstacles qui se présentent en cours de route.

7/ Ajustements et flexibilité

La flexibilité est également cruciale lorsqu’il s’agit d’établir des objectifs. Les circonstances peuvent évoluer, et il est parfois nécessaire d’ajuster les objectifs en conséquence. Soyez ouvert aux changements tout en veillant à ce que les objectifs demeurent pertinents et alignés sur la stratégie de l’entreprise.

La flexibilité signifie également être capable de réagir aux nouvelles informations ou aux événements imprévus. Parfois, des changements externes ou internes peuvent influencer les objectifs de manière inattendue. Être flexible et adaptatif est essentiel pour maintenir la pertinence des objectifs à long terme.

PME et sécurisation des données, Cyberattaques

Les alertes de sécurité se multiplient pour les PME mais aussi les grands groupes et les administrations. Les Cyberattaques entraînent des coûts parfois très lourds pour les entreprises. Cependant,  les solutions « secure » demeurent très techniques et complexes à mettre en place.

Selon le sondage de l’ Ifop pour Stoïk en mars 2023, les cyberattaques sont devenues une réalité pour 1 PME sur 10, et près d’un tiers se sentent menacées. 11% des PME ont déjà été la cible d’une cyberattaque. Si ces attaques touchent davantage les plus grandes entreprises appartenant à cette catégorie (20% des entreprises de 100 à 200 salariés et 23% des entreprises de 200 à 250.

Pourtant,  les plus petites d’entre elles : une sur dix a déjà été ciblée. 89% des PME ont l’impression que leurs données sont protégées. La souscription à une assurance cyber participe à rassurer les entreprises. Cependant 89% des PME se disent satisfaites de la protection de leurs données professionnelles,. A noter que ce sentiment est quasi-unanime parmi les entreprises qui ont souscrit une assurance contre les risques cyber (97%).

L’objectif est de donner accès au système d’information par une identification puis par une authentification.

L’identification et l’authentification

L’identification doit permettre d’établir l’identité de l’utilisateur ou « login ». L’authentification est supposée apporter la preuve de l’identité de l’utilisateur (suis-je réellement cette personne) et se présente sous la forme d’un code secret le plus souvent appelé « mot de passe ». Ainsi chaque utilisateur a au moins un « Login/password » réputé n’être connu que de lui.

Le mot de passe complexe, un incontournable

Il est recommandé de choisir des mots de passe complexes ayant une longueur significative. Ils doivent être composé de plusieurs caractères et autres signes du type : As,C.@é7k°#. Évidemment, il faut obligatoirement s’en souvenir sous peine de ne pas pouvoir accéder au système d’information. Que dire s’il faut mémoriser plusieurs mots de passe de ce type !

L’écoute en ligne, l’observation d’un utilisateur lors d’une demande de connexion, l’utilisation de logiciel « espions » permettent cependant de connaître le Login/password d’un utilisateur et peuvent conduire au partage d’identité ou à l’usurpation d’identité.

Vers un renforcement de l’authentification

C’est ainsi qu’est née l’idée de construire une authentification forte permettant de pallier ces risques. Aujourd’hui, les solutions s’appuyant sur des ajouts de logiciel(s) et/ou de matériel(s) se multiplient. Elles permettent d’apporter un troisième et/ou un quatrième vecteur lié à « ce que je possède » (carte à puce, … ) ou « ce que je suis » (empreinte biométrique).

Dans le domaine de la biométrie, le profil comportemental d’un utilisateur peut maintenant être réalisé par utilisation de sa dynamique de frappe sur le clavier de son poste de travail, procédé que l’on retrouve dans les médias sous le nom de « Frappologie ». Ce procédé ne nécessite aucun ajout de logiciel et/ou matériel sur le poste de travail et aucune modification dans le comportement de l’utilisateur. En l’occurrence, il s’agit d’une application de calculs probabilistes qui recueille, sur un serveur distant sécurisé, des informations de mesures de temps effectuées par observations de la frappe sur le clavier. Elle permet ainsi de déterminer un profil de l’utilisateur relevant de la biométrie comportementale.

Il est important que le poste de travail soit équipé d’un antivirus permettant de neutraliser les logiciels « espions » de type « Keylogger » bien souvent téléchargés à l’insu de l’utilisateur. Ainsi, même si un tiers connaît le login/password d’un utilisateur, il ne pourra passer avec succès le test de la comparaison au profil de l’utilisateur concerné et sa demande d’accès sera rejetée.

En France, dans le souci du respect de la vie privée, la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) impose l’obtention d’une autorisation pour l’exploitation de ce type d’application permettant de définir, de stocker et d’utiliser un profil relevant de la biométrie comportementale.

Les PME sont particulièrement vulnérables aux Cyberattaques

L’Afnic met en lumière des indicateurs sur l’intégration de mesures de sécurité et de protection des données. Certes, il existe une sensibilisation aux risques. Cependant, celle-ci doit être consolidée pour favoriser une plus grande adoption d’outils et de bonnes pratiques. Les TPE/PME ne sont que 

  • 42 % à réaliser une sauvegarde régulière de leurs données (pages, bases de données…) 
  • 31 % de leur configuration (système, CMS…).

 Quant aux mesures de protection mises en place pour accéder à leur site internet :

  • 42 % ont déployé des solutions de sécurité type pare-feu ou antivirus. Ce pourcentage passe cependant à 85 % chez les PME 
  • 41 % réalisent des mises à jour régulières des correctifs de sécurité (système, logiciels, extensions…)
  • 76 % affirment avoir des mots de passe robustes, seules 10 % déclarent réaliser des audits de sécurité. 

Un bouclier cyber et un outil de diagnostic 

La cybersécurité est aussi au cœur des préoccupations du gouvernement en France. On note le lancement en novembre 2022 d’un « bouclier cyber » pour les PME et des collectivités. Également, un numéro d’urgence le 17 cyber, un outil d’autodiagnostic.

Fin mars 2023, BPI France a également lancé un outil de diagnostic permettant aux PME d’évaluer leur exposition à une attaque. Il permet de prendre des mesures correctives.

Votre Expert-Comptable, tiers de confiance est à même de vous mettre cet outil à disposition ou inscrivez-vous et une réponse circonstanciée vous sera faite.

Évitez la déception : Ayez des attentes réalistes envers vous-même et les autres 

La gestion des attentes émerge comme une compétence précieuse et transversale. Que ce soit dans votre vie personnelle ou professionnelle, la capacité à avoir des attentes réalistes envers vous-même et envers les autres vous évite la déception. Elle vous aide à construire des relations saines et mener une vie épanouissante. Voyons comment la gestion des attentes réalistes peut vous aider à naviguer avec succès.

Comprendre la gestion des attentes

La gestion des attentes repose sur une compréhension claire de ce qui peut être atteint ou attendu dans une situation donnée. Elle s’appuie sur la reconnaissance que des attentes irréalistes sont le terreau de la déception, de la frustration et des conflits. En revanche, des attentes réalistes sont la clé de la satisfaction et de l’harmonie.

Éviter la déception personnelle

Lorsque nous nous imposons des attentes irréalistes envers nous-mêmes, nous sommes souvent prédestinés à l’échec. Le perfectionnisme excessif, la surcharge de travail ou la quête de désirs inatteignables peuvent devenir des fardeaux pesants. La gestion des attentes nous rappelle que nous sommes des êtres humains, sujets aux erreurs et aux limites. En ayant des attentes réalistes envers nous-mêmes, nous pouvons éviter la déception personnelle. Cela vous aide également à réduire le stress et préserver notre bien-être mental.

Prévenir les conflits interpersonnels 

Les relations interpersonnelles sont souvent le terrain fertile de la déception. Lorsque nous projetons des attentes démesurées sur les comportements des autres, nous risquons d’être déçus. Il s’agit avant tout d’une manière de prévenir les conflits. Il est essentiel de communiquer ouvertement et honnêtement et d’exprimer nos attentes de manière réaliste. Vous devez être prêt à accepter les imperfections des autres.

Une communication ouverte est un élément essentiel de la gestion des attentes. En partageant nos attentes de manière claire et constructive, nous donnons aux autres la possibilité de comprendre nos besoins et nos limites. Cela favorise des interactions plus saines et évite les malentendus. Vous renforcez ainsi les relations.

S’adapter aux circonstances changeantes

La vie est imprévisible, et les circonstances évoluent constamment. La gestion des attentes nous permet de nous adapter aux changements sans perdre de vue nos objectifs. Elle nous rappelle que nos attentes doivent être flexibles et ajustables en fonction de la situation, ce qui renforce notre capacité d’adaptation.

Être dans la gratitude

La gestion des attentes favorise la gratitude. Lorsque nous apprécions ce que nous avons au lieu de nous concentrer sur ce qui nous manque, nous éprouvons une plus grande satisfaction et un plus grand bien-être. La gratitude est un antidote efficace à la déception.

Éviter la surcharge mentale

Des attentes irréalistes peuvent entraîner une surcharge mentale. Nous nous imposons des normes inatteignables, ce qui engendre un stress constant. La gestion des attentes nous libère de cette pression inutile, nous permettant ainsi de vivre de manière plus équilibrée.

Se concentrer sur l’essentiel

La gestion des attentes nous encourage à nous concentrer sur ce qui est vraiment important. Plutôt que de poursuivre des objectifs irréalistes, nous pouvons mettre notre énergie dans des domaines où nous avons un impact réel et positif. Identifier nos priorités c’est optimiser nos ressources et notre temps.

Favoriser la résilience

Des attentes réalistes favorisent la résilience. Lorsque nous sommes confrontés à des défis, nous sommes mieux préparés à les affronter, car nous n’avons pas placé des attentes irréalistes de succès constant. La résilience nous permet de surmonter les revers et de rebondir plus rapidement, tout en préservant notre estime de nous-mêmes.

Créer des relations saines

La gestion des attentes est la clé pour construire des relations saines. En ayant des attentes réalistes envers les autres et envers nous-mêmes, nous établissons des bases solides pour des relations durables et enrichissantes. La compréhension mutuelle des attentes favorise la confiance et renforce les liens interpersonnels.

Quelques astuces 

Voici quelques suggestions :

  • L’écoute active : Écoutez ce que les autres ont à dire plutôt que de parler. Comprenez leurs attentes et posez des questions pour clarifier tout ce qui peut sembler ambigu. L’écoute active renforce la compréhension mutuelle et favorise des relations plus harmonieuses.
  • Établir des limites personnelles : Définissez clairement vos limites personnelles et respectez-les. Lorsque vous savez jusqu’où vous pouvez aller, vous évitez de vous surcharger et de dépasser vos capacités.
  • La gestion du temps : Organisez votre temps de manière réaliste. Ne surchargez pas votre emploi du temps. Cela pourrait entraîner des attentes irréalistes quant à ce que vous pouvez accomplir dans une journée. La planification réaliste contribue à une meilleure gestion des attentes envers vous-même.
  • La gestion du stress : Le stress peut influencer la manière dont nous percevons et gérons nos attentes. Pratiquez des techniques de gestion du stress telles que la méditation, la respiration profonde ou l’exercice physique pour maintenir un état d’esprit plus équilibré.

Top 10 conseils pour gérer les enjeux de sécurité des produits

La gestion des enjeux de sécurité des produits est devenue un impératif pour toutes les entreprises. Les problèmes liés à la sécurité des produits peuvent avoir un impact dévastateur sur l’entreprise. Ceci que l’on parle en termes de réputation, de responsabilité légale et de confiance des clients. Il est essentiel de mettre en place des mesures proactives pour garantir que vos produits sont sûrs et conformes aux normes en vigueur. Voici les dix conseils essentiels pour gérer efficacement les enjeux de sécurité des produits.

1/ Adoptez une approche proactive

La première étape dans la gestion des enjeux de sécurité des produits est d’adopter une approche proactive. La sécurité ne doit pas être une réflexion après-coup, mais intégrée dès la conception. Les entreprises doivent anticiper les risques potentiels, que ce soit dans la conception, la fabrication ou la distribution de leurs produits, et mettre en place des mesures pour les atténuer dès le début du processus de développement.

2/ Établissez une équipe dédiée

La gestion de la sécurité des produits ne peut pas reposer sur les épaules d’une seule personne. Créez une équipe de gestion de la sécurité des produits composée de membres de différents services de l’entreprise. Cette équipe sera responsable de la surveillance constante de la conformité aux normes de sécurité et de la gestion des rappels de produits. N’oubliez pas de communiquer avec les parties prenantes.

3/ Restez informé des réglementations 

Les réglementations en matière de sécurité des produits évoluent constamment. Les entreprises doivent rester informées des nouvelles lois et normes qui concernent leurs produits. La non-conformité peut entraîner des amendes importantes et des retombées négatives pour la réputation de l’entreprise. Tenez-vous au courant en vous abonnant à des fils d’actualité.

4/ Menez des tests de sécurité rigoureux

La sécurité des produits doit être une préoccupation constante. Effectuez des tests de sécurité approfondis à chaque étape du développement du produit, en mettant l’accent sur l’identification et la correction des vulnérabilités potentielles. Cela devrait inclure des évaluations de la conception et des tests de performance. N’hésitez pas à faire régulièrement des évaluations de conformité aux normes de sécurité.

5/ Faites preuve de transparence

En cas de problème de sécurité, la transparence est essentielle. Communiquez rapidement et honnêtement avec les clients, les autorités réglementaires et le public sur les mesures prises pour résoudre le problème. Ne minimisez jamais la gravité de la situation. En effet, cela pourrait avoir des conséquences graves sur la confiance des consommateurs.

6/ Mettez en place un système de gestion des rappels

Développez un plan de gestion des rappels qui détaille la manière dont les rappels de produits seront gérés, y compris la communication, la coordination, les actions correctives et le suivi des produits rappelés. La rapidité d’intervention est cruciale pour minimiser les risques pour la santé et la sécurité des consommateurs.

7/ Formez votre personnel

Assurez-vous que votre personnel est formé à la sécurité des produits et qu’il comprend l’importance de signaler tout problème potentiel. L’éducation et la sensibilisation sont essentielles pour prévenir les problèmes de sécurité.

8/ Tenez compte des commentaires des clients

Écoutez les retours des clients, qu’il s’agisse de plaintes ou de suggestions. Les clients peuvent jouer un rôle essentiel dans l’identification des problèmes de sécurité potentiels. Encouragez la rétroaction et assurez-vous que les canaux de communication sont ouverts.

9/ Surveillez votre chaîne d’approvisionnement

La sécurité des produits ne se limite pas à votre entreprise. Veillez à ce que vos fournisseurs et sous-traitants respectent également des normes de sécurité élevées. Vous êtes responsable des produits que vous mettez sur le marché, quelle que soit leur source.

10/ Apprenez des erreurs passées

Analysez les problèmes de sécurité passés pour identifier les lacunes et les améliorations possibles. Utilisez ces leçons pour renforcer votre programme de sécurité des produits. L’expérience est une enseignante précieuse, et il est essentiel d’apprendre des erreurs passées pour éviter de les répéter à l’avenir.

Choisir une aide ou signer un contrat ?

Le monde économique qui entoure l‘entrepreneur est modifié tous les jours. Il faut rester vigilant sur les théâtres d’opérations économiques. Pour cela il faut bien s’entourer, bien manager, bien gérer son patrimoine informationnel et bien choisir une aide ou signer un contrat … Bref bien gérer son capital immatériel afin d’innover, exporter ce qui demande souvent l’aide d’un expert.

Les demandes d’aides publiques

Pour soigner son patrimoine immatériel, il faut d’abord commencer par prendre en compte la dématérialisation des processus de demandes d’aides. Celle-ci apporte des avantages concurrentiels essentiels aux entreprises. En effet, ces aides vont souvent permettre de générer des innovations, d’acquérir une technologie ou de l’expertise.

Pour obtenir une aide publique, il reste souvent préférable de faire appel à un cabinet spécialisé compétent comme le recommande le Conseil Supérieur des Expert-Comptable. On pensera notamment à faire appel à l’Institut pour le Financement de la Recherche.

Ce qu’il vous faudra démontrer pour le Crédit d’impôt recherche

Votre Crédit d’impôt recherche est de 300 000 € par an et vous venez de recevoir une notification de contrôle de l’administration fiscale ? Quoi de plus normal de la part de l’état. Mais savez-vous exactement ce que le contrôleur va vérifier ?

Il vous faudra démontrer le côté R&D de vos travaux et prouver que vos dépenses de personnel sont justifiées. Il incombe, en effet, au donneur d’ordre de prouver la compétence R&D de ses sous-traitants avec un agrément MESR (le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche). Cet agrément reste plus facile à obtenir pour une entreprise publique. En effet, elle s’avère quasi automatique dans ce cas. Quant à la firme privée, elle devra répondre à une demande plus exigeante. Elle ne devra donc pas oublier de faire la demande. 

A savoir : la campagne des renouvellements d’agrément CIR est ouverte depuis le 15 août jusqu’au 30 novembre 2023.

Pour faire la démonstration CQFD à votre contrôleur, il vous faudra notamment fournir le détail des travaux et un état de l’art. Aussi, la loi de finance 2013 prévoit un Crédit Impôt Innovation. Sachez qu’il existe aussi un Crédit d’Impôt export … Le crédit d’impôt innovation (CII) est une extension du crédit d’impôt recherche (CIR) qui s’applique aux dépenses effectuées jusqu’au 31 décembre 2024 par des PME.

L’action de Bpifrance 

En fonction de vos fonds propres, vous pouvez aussi faire appel à la Banque Publique d’Investissement. Aussi, chaque expert-comptable est tiers de confiance pour vous accompagner.

Ensuite, dans le cas précis où vous avez parfaitement passé la première étape, n’oubliez pas que votre innovation doit être protégée auprès de la CNI

La perte d’information : facteur vital pour l’entreprise

Avez-vous un Système d’information centralisé et des alertes en cas de perte d’information ? D’après Symantec, ce type de perte représente au maximum 200 000 € / an. En définitive, elle peut être considéré comme vital même si peu y font attention. La perte d’information ou goodwill (pour les banquiers) se divise en 11 items. Elle permet de suivre la valeur de l’entreprise.

Passer d’un monde de production à un monde d’innovation, n’est pas chose évidente quand les outils ne sont pas prévus pour cela. Encore une fois, votre expert-comptable peut interroger le CSOEC (Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts-Comptables)  ou son syndicat ECF pour vous accompagner. Cette instance est composée des Présidents des Conseils Régionaux et de membres élus au suffrage indirect. 

Attention, la non-prise en compte de la perte d’information peut s’avérer fatale pour une entreprise. Ainsi une société Strasbourgeoise, leader mondiale, s’est d’ailleurs vu supprimer sa ligne d’affacturage quasiment du jour au lendemain du fait de l’augmentation du risque client et d’une dégradation de la cotation de l’entreprise.

Comment éviter cela ? Un diagnostic d’Intelligence Economique avec un Plan de Continuation d’activité et une gestion des risques permet d’éviter de genre de problématique dans la majorité des cas.

Un autre exemple d’application de gestion du capital immatériel à l’export peut être pris  : 

Les cotations bancaires et ratios comme les fonds propres sont des facteurs limitatifs à la croissance par l’innovation et l’export. Les outils classiques ne s’occupent que du capital matériel mais jamais de l’immatériel. En procédant ainsi, le dirigeant ignore souvent 80% de la valeur de votre entreprise. Disposer de nouveaux outils c’est Innover (rester leader/Blue Ocean) et exporter (75% du marché des PME).

La stratégie Océan bleu vise à s’éloigner des marchés jugés encombrés et hyper concurrentiels. Ceux aux perspectives de croissance limitées. Elle vous permet rechercher des marchés plus prospères, tout en évitant l’affrontement direct avec les autres concurrents.

L’objectif de cet article était de vous sensibiliser au fait que gérer son capital immatériel demeure vital même si trop souvent négligé. Si votre métier reste de signer des contrats avec vos clients, l’absence de protection de vos innovations peut générer une perte plus grande que le gain généré ! Les solutions existent et la mise en place demeure simple si vous êtes accompagné par votre expert-comptable.

Gérer les bugs informatiques : crier sur votre ordinateur jusqu’à ce qu’il obéisse

Ah, les joies de la vie d’entrepreneur ! Vous avez une idée brillante, un plan infaillible, et l’ordinateur sur lequel vous comptez pour concrétiser vos rêves. Mais attendez… Un message d’erreur ? Un écran bleu de la mort ? Un logiciel récalcitrant ? Les bugs informatiques semblent en plus toujours arriver au pire moment. C’est là que vous entrez en scène en tant qu’entrepreneur avisé, prêt à utiliser votre compétence la plus secrète : crier sur votre ordinateur ou taper dessus. Voici comment survivre à ces moments informatiques désespérés.

La préparation

La gestion des bugs informatiques demande une préparation minutieuse. Avant de vous lancer dans un dialogue houleux avec votre ordinateur, assurez-vous d’être bien préparé. Vous aurez besoin d’une réserve d’eau (vous risquez de vous déshydrater à force de crier), de mouchoirs (pour essuyer vos larmes de frustration), et d’un public (vos collègues de bureau vous trouveront probablement hilarant). Assurez-vous également que personne n’a placé d’enregistreur audio à proximité, car personne ne veut que son cri de guerre informatique devienne viral.

Le ton juste

Le cœur de votre stratégie consiste à trouver le ton parfait pour vos cris. Évitez le cri aigu de panique, qui ne fera que stresser davantage votre ordinateur. Optez plutôt pour le cri rauque de détermination, accompagné d’un regard furieux. Votre ordinateur doit sentir que vous êtes prêt à en découdre, même s’il ne peut pas ressentir grand-chose, étant donné qu’il est une machine inanimée.

Les injures créatives

N’hésitez pas à user d’injures créatives pour exprimer votre mécontentement envers cette machine désobéissante. Le dictionnaire des insultes envers les ordinateurs est vaste, des classiques « bon à rien » et « tas de ferraille » aux expressions plus élaborées telles que « vous êtes la source de tous mes problèmes et je devrais vous remplacer par un abaque ». Laissez libre cours à votre imagination, tout en veillant à rester professionnel devant vos collègues.

 La danse de la frustration

Si les cris ne donnent pas de résultats immédiats, passez à la danse de la frustration. Sautez d’un pied sur l’autre, agitez les bras, et effectuez des mouvements désespérés avec la souris. Qui sait, peut-être que votre ordinateur sera si déconcerté qu’il finira par se réparer tout seul pour échapper à cette scène surréaliste.

La négociation

Si toutes vos tentatives précédentes échouent, passez à la phase de négociation. « Cher ordinateur, si tu fonctionnes correctement, je te promets de ne plus jamais laisser de café à portée de clavier, de faire régulièrement des sauvegardes, et de ne pas surcharger ton disque dur avec des photos de chats mignons. » Parfois, un peu de diplomatie peut faire des merveilles.

L’abandon temporaire

Si tout le reste échoue, il est peut-être temps de faire une pause. Quittez votre poste de travail, respirez profondément, et laissez votre ordinateur réfléchir à ses actions. Il est possible que, lorsque vous revenez, il ait décidé de fonctionner correctement par crainte de subir une nouvelle avalanche d’insultes.

La célébration

Quand votre ordinateur enfin obéit, c’est le moment de célébrer. Faites une petite danse de la victoire, tapez-vous dans le dos (ou le clavier), et assurez-vous de remercier chaleureusement votre machine pour sa coopération. Vous êtes le maître de la situation, et vous pouvez désormais poursuivre votre quête entrepreneuriale sans être contrarié par les caprices de votre ordinateur.

Plutôt que de laisser les problèmes techniques vous submerger, ayez l’humour comme allié. Bien sûr, il est peu probable que votre ordinateur obéisse réellement à vos cris, mais au moins vous aurez l’occasion de vous défouler tout en amusant vos collègues. Et souvenez-vous, c’est votre ordinateur qui est supposé travailler pour vous, pas l’inverse. Bonne chance dans votre bataille contre les bugs informatiques, et n’oubliez pas que l’humour est le meilleur antivirus. Après tout, rire, c’est encore mieux que crier !