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Délocalisation et relocalisation, un sujet brûlant

La délocalisation et la relocalisation sont des sujets qui font couler beaucoup d’encre. Pour les salariés la délocalisation est vécue comme le signe d’un chômage injustifié. Pour d’autres comme une pollution supplémentaire inutile, pour d’autres encore comme l’explication des tensions sociales. Quant à la relocalisation vécue par les français comme une reconnaissance de notre valeur mais aussi d’une erreur de la stratégie des entreprises. Qu’en est-il exactement ? Zoom sur ce sujet brûlant.

La délocalisation mais pourquoi donc ?

La délocalisation porte deux discours distincts. Le premier discours est lié au coût de la main d’œuvre qui est trop cher en France et qui souligne que le seul moyen est de délocaliser. Elle apparaît pourtant aux salariés dénués de bon sens car souvent les chiffres de l’entreprise affichent plusieurs zéros. Elle apparaît comme le désir de s’enrichir des actionnaires mais aussi comme un manque d’anticipation des dirigeants d’une part de ne pas avoir investi en amont dans l’achat de machines performantes et d’autre part de ne pas avoir proposé des formations qui auraient permis aux salariés de s’adapter aux nouvelles technologies. Les entreprises d’envergure internationale délocalisent plus fréquemment.

Les entreprises de l’information-communication représentent 6 % des PME de 50 salariés ou plus. Entre 2014 et 2016, ce sont elles qui ont le plus fréquemment délocalisé (5,8 % d’entre elles), plutôt des activités support. Puis l’industrie manufacturière (27 % des PME étudiées), où 3,0 % des PME de 50 salariés ou plus ont délocalisé, surtout leur activité cœur de métier.

La destination privilégiée ?

L’Union européenne est la destination privilégiée aussi bien pour les délocalisations que pour les activités nouvellement développées à l’étranger. Ainsi, sur l’ensemble des petites et moyennes entreprises qui ont délocalisé, 70% ont décidé de le faire en Europe et 63% vers l’Union européenne (U-E).

Les obstacles rencontrés lors de la délocalisation

Selon l’Insee, en 3 ans, 1,9 % des PME de 50 salariés ou plus ont délocalisé des activités.
Sur la même période, les PME de 50 salariés ou plus qui ont délocalisé se sont principalement heurtées à quatre obstacles :
– les barrières linguistiques ou culturelles,
– l’inquiétude des employés et/ou des syndicats en France,
– le besoin de proximité avec leurs clients
– l’incertitude sur la qualité des biens et des services fournis à l’étranger.
De plus, une PME sur trois évoque ces obstacles.

Relocalisation ? un mirage

Entre 2014 et 2016, 1,5 % des PME de 50 salariés ou plus ont relocalisé au moins une de leurs activités ou l’ont envisagé pour retrouver une proximité à la fois géographique, linguistique et culturelle. Les difficultés managériales liées à l’éloignement, à la langue et/ou aux différences culturelles sont un facteur déterminant pour la moitié d’entre elles. De plus, parmi celles-ci, deux PME sur cinq ont relocalisé leur activité, en raison principalement des temps de livraison trop longs pour les clients et de la qualité insuffisante des biens et des services fournis à l’étranger.

Ainsi, les chaussettes Olympia, les roulements à billes SKF ont décidé de relocaliser en France. Si les relocalisations se multiplient ce sont surtout des petites entreprises qui reviennent. Or ce sont souvent les productions des grandes entreprises qui délocalisent créant un chômage difficile à endiguer lorsque l’implantation de l’entreprise se situe dans une région où les emplois sont rares.

Vers un monde du travail au féminin

A la suite de la diffusion d’une étude, pour fêter le centenaire de l’adoption de la première convention sur « les femmes et le travail » par l’organisation internationale du travail, Dynamique Entrepreneuriale revient pour vous sur cet enjeu majeur la transition vers un monde du travail au féminin.

Le constat est simple :un siècle plus tard et des obstacles insurmontables franchis, la satisfaction n’est pas encore de mise. Depuis plus de vingt ans, les écarts ne se réduisent pas de façon significative. On ne peut plus aujourd’hui affirmer que l’écart entre le taux d’emploi des hommes et des femmes vient du fait qu’elles ne veulent pas travailler comme certains se faisaient plaisir à le répéter. En 2018, seulement 45,3 % des femmes possédaient un emploi, 25 % de moins que celles qui en désiraient un ! C’est dire que le gap est encore immense !

Des rémunérations encore inférieures et inégales

Dans le monde, l’écart de salaire reste proche de 20 % (18,8). Il est courant de constater que malheureusement pour un métier et une fonction identiques, les femmes demeurent moins bien payées, que le niveau d’instruction soit égal ou supérieur. La ségrégation professionnelle et la composition de la main-d’œuvre seraient également en cause même si la plus grande partie ne trouve pas d’explication rationnelle.

Le manque de représentation et d’expression

Les femmes demeurent encore sous-représentées dans les syndicats et les organisations d’employeurs. Or, il est avéré que leurs présences dans les négociations collectives conduisent à des résultats significatifs. Elles sont peu présentes dans « les institutions nationales de dialogue social, comme les conseils économiques et sociaux, les commissions tripartites et les comités consultatifs du travail » puisqu’elles sont seulement entre 20 et 35 % en 2018.

Les facteurs discriminants

Si l’éducation a globalement un impact sur le taux d’emploi des femmes, il ne s’agit guère du critère principal. Il suffit de voir que 41,5 % des femmes qui possède un diplôme universitaire sont inactives ou au chômage alors que les hommes sont seulement 17,2 % dans ce cas. Selon cette même étude, le premier facteur serait lié au fait qu’elles sont présentées comme « chargées des activités de soin à autrui ». Et pour cause, elles seraient pour 21,7 % d’entre elles, soit 606 millions dans le monde, en âge de travailler à plein temps mais le sont en fait en tant que prestataires non rémunérées de soin à autrui. Au regard du faible nombre pour les hommes (1,5 % soit 41 millions d’hommes), on comprend bien que l’écart est plus qu’éloquent.

La pénalité de la maternité à plusieurs niveaux

L’emploi serait affecté par la maternité puisque les estimations montrent que 45,8 % des mères de jeunes enfants (jusqu’à 5 ans) possédaient un emploi contre 53,2 % pour celles qui n’ont pas d’enfant. Mais c’est également sur le salaire que la pénalité est permanente alors qu’on constate que la paternité serait, au contraire, assortie d’une prime salariale. Enfin cette pénalité affecterait l’accès aux postes de direction puisque seulement un quart (25,1 %) des dirigeants ayant des enfants de moins de 6 ans sont des femmes.

La violence et harcèlement

Violence et harcèlement au travail ont, selon l’étude, des effets préjudiciables sur l’activité économique des femmes et sur la qualité de leur travail. Et ce phénomène touche aussi bien les femmes au sein des bureaux que dans les champs, dans tous les pays et dans tous les secteurs d’activité. Que l’entreprise soit dans « le secteur public ou privé, dans les activités tant formelles qu’informelles » n’y changent rien. Clairement, ils sont autant présents pour les femmes qui « vendent leurs produits sur les marchés que pour les fondatrices de start-up ». D’autre part, l’arrivée du numérique avec la cyberintimidation et le harcèlement en ligne ont multiplié les effets de cette violence.

Les solutions à mettre en place

Que ce soit le législateur ou les dirigeants d’entreprises, il faudrait se pencher sur les discriminations et les pénalisations si l’on souhaite établir l’égalité. Cependant avant tout, Il est d’abord nécessaire de combattre les stéréotypes, les idées reçues en tout genre, les amalgames qui persistent.

Lutter contre les violences et harcèlements

Tout d’abord il faut s’attaquer aux violences et aux harcèlements. Les conventions collectives et les dispositions prises sur le lieu de travail ont un impact significatif et représentent, selon cette étude, « des moyens importants de s’attaquer à cette violence et à ce harcèlement, tant pour élargir le champ d’application de la loi lorsqu’elle existe que pour combler les lacunes lorsque la législation fait défaut. »

Mettre en place la transparence salariale

La transparence salariale est rarement le cas dans les entreprises même si la législation pose le principe dans de nombreux pays qu’« un travail de valeur égale doit avoir salaire égal ». L’écart salarial continue pourtant à persister et la transparence salariale semble être l’une des solutions si vous souhaitez établir l’égalité au sein de votre entreprise. Des dispositions fonctionnent également très bien comme la mise en place d’un salaire minimum.

Plus de femmes en haut de l’échelle

Pour augmenter l’égalité homme-femme, l’étude recommande « l’établissement de quotas et de la fixation volontaire d’objectifs chiffrés, de l’institution d’activités de mentorat et de formation à l’intention spécifique des femmes, ainsi que de la mise en place d’aménagements souples du temps de travail ». Ces mesures auraient d’ailleurs eu un impact significatif sur le rythme d’accession aux postes de direction

Agir sur les congés de maternité, de paternité et parentaux inclusifs

Si vous souhaitez toujours plus d’égalité
homme-femme dans votre entreprise, vous pouvez également mettre en place des congés rémunérés pour s’occuper de membres de la famille qui s’appliquent autant aux hommes qu’aux femmes. Les congés de paternité et parentaux ont effectivement aussi un impact sur la situation des femmes sur le marché du travail et dans le travail, si ceux-ci ne sont pas transférables. Les conventions collectives représentent d’ailleurs un outil de l’amélioration des politiques de congés.

Redéfinir le temps pour s’occuper d’autrui

Agir sur le temps ou la plus grande maîtrise du temps de travail en entreprise est également favorable à l’égalité homme-femme notamment quand il y a liberté du travailleur de décision sur ses horaires de travail pour ceux qui ont des responsabilités familiales. La redistribution des activités de soin à autrui en est affectée.

Utiliser la technologie

Plus vous laisser d’autonomie à vos salariés pour organiser vie de travail et vie privée, plus l’égalité se s’établit également. Le fait de travailler à distance notamment permet souvent de concilier les responsabilités familiales et professionnelles.

Un environnement favorable aux femmes chefs d’entreprise

Les initiatives en faveur de l’entrepreneuriat au féminin sont efficaces. Il faut donc les soutenir pour contribuer à cette égalité. L’étude conclut également sur le fait qu’ « il faudrait porter plus d’attention aux incitations à établir pour aider les femmes à rendre leurs entreprises formelles, y compris sous forme de coopératives ou d’autres unités de l’économie sociale et solidaire. »

Vous savez désormais quoi faire.

Le recrutement, doit-on être optimiste ou pessimiste ?

Embaucher, recruter des talents c’est-à-dire des personnes compétentes devient la préoccupation majeure de nombre d’entreprises et affecte de nombreux secteurs. Pour recruter, il faut faire preuve de dextérité pour permettre à l’entreprise de développer sa croissance. Quels sont les obstacles rencontrés pour embaucher ?

Le baromètre réalisé au mois de juin par OpinionWay pour CCI France/La Tribune/LCI dans le cadre de « La Grande consultation » indique que 28% des chefs d’industrie se confrontent à des difficultés de recrutement. Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 608 dirigeants d’entreprise du lundi 17 au jeudi 20 juin 2019.

Le chômage en France est à son niveau le plus bas depuis 10 ans et la conséquence en serait-elle pour certaines entreprises des difficultés dans le recrutement. Cet impact est davantage le fait des grandes entreprises. 60% des entreprises de 10 salariés ou plus ont connu des difficultés à recruter et 15% ont même échoué, ce qui pourrait soulever quelques inquiétudes, à recruter le profil dont elles avaient besoin.

Les petites entreprises ne recrutent pas

Cependant, les entreprises de 0 à 9 salariés sont moins touchées par ces problèmes. En effet 75% des entreprises de 0 salarié aujourd’hui n’ont jamais entamé de procédure de recrutement depuis leur création, et, parmi celles ayant déjà eu des salariés, l’embauche demeure relativement ponctuelle, 61% d’entre elles n’ont embauché personne au cours des 12 derniers mois (contre 10% des entreprises comptant 10 salariés ou plus). Au final, seules 15% des entreprises de moins de 10 salariés ont rencontré des difficultés. Il faudrait peut-être se poser la question quelle est la raison qui fait que les petites entreprises n’embauchent pas. Elles n’apparaissent pas de façon explicite dans ce baromètre.

Le réseau, le moyen de recrutement privilégié des dirigeants

Les entreprises qui ont déjà recruté ont recours à des canaux divers pour trouver les profils dont ils ont besoin. Le recrutement par le réseau se révèle être le moyen le plus utilisé ainsi que le moyen le plus apprécié par les dirigeants.
39% des chefs d’entreprise ont ainsi recours à leur réseau personnel, et 91% de ceux qui utilisent ce moyen le considère efficace, tandis que 28% font appel à leur réseau
professionnel
, 90% le considère également efficace.

Les canaux publics et privés plébiscités ?

Les intermédiaires, publics et privés, sont nettement moins sollicités (respectivement 20% et 14%). En effet, ils inspirent un sentiment d’efficacité plus faible (64% pour les intermédiaires publics et 77% pour les privés).

Les canaux de recrutement utilisés

• Le réseau personnel 39%
• Le réseau professionnel 28%
• L’examen de candidatures spontanées 28%
• Les intermédiaires publics
• Pôle Emploi, APEC, missions locales… 14%
• Les intermédiaires privés
• Les Cabinets de recrutement, agences d’intérim etc. 13%
• La diffusion d’annonces sur internet /réseaux sociaux13%
• La participation à des évènements physiques (Salons, Job Dating etx …) 2%

L’efficacité perçue des différents canaux de recrutement

• Le recours au réseau personnel 91%
• Le recours au réseau professionnel 90%
• L’examen de candidatures spontanées 86%
• La diffusion d’annonces sur internet /réseaux sociaux 82%
• Le recours à des intermédiaires privés (cabinets de recrutement, agences d’intérim etc.) 77%
• Le recours à des intermédiaires publics
• (Pôle Emploi, APEC, missions locales…) 64%
• La participation à des évènements physiques (Salons, Job Dating etx…) 2%

Par ailleurs, la plupart des dirigeants d’entreprise n’ont pas de suggestion pour faire évoluer l’offre de service de Pôle emploi (73%). Pour autant, une meilleure connaissance des besoins des entreprises apparaît comme un objectif prioritaire pour Pôle emploi (5%), afin de proposer des profils plus pertinents aux entreprises (7%). Une partie des dirigeants interrogés suggère également de proposer davantage de formations pour renforcer les compétences des candidats envoyés par Pôle emploi (4%).

Les suggestions pour améliorer l’offre de Pôle Emploi

• Envoyer des candidats compétents et motivés aux entreprises 7%
• Mieux connaitre les besoins des entreprises 5%
• Renforcer les formations 4%
• Être plus efficace et réactif 3%
• Pas d’avis sur Pôle Emploi 3%
• Contrôler les recherches des demandeurs d’emploi 1%
• Faciliter la communication sur les CV et les annonces 1%
• Baisser les charges sur les entreprises 1%
• Autres 2%

Les dirigeants se projettent davantage vers l’avenir

L’indicateur de l’optimiste reste à un niveau relativement élevé (107 points) malgré une baisse notable par rapport à mai 2019.
On peut constater que la baisse régulière du chômage commence tout de même à produire des effets dans l’état d’esprit des dirigeants, qui se tournent davantage vers le futur. 21% pensent que « Ce sera mieux demain » (+14 points), même si la majorité des dirigeants estime toujours que « C’est très bien en ce moment » (49%, -14 points). Enfin, cet état d’esprit a des répercussions concrètes sur les intentions de recrutement : 9% des dirigeants envisagent d’augmenter leur nombre de salariés dans les 12 prochains mois (+2 points). Le niveau observé globalement lors des 3 derniers mois pour cet indicateur est inégalé au cours des deux dernières années.

Enfin, de façon attendue, une large majorité des dirigeants serait favorable à une défiscalisation des bénéfices des entreprises lorsqu’ils sont réinvestis au sein de l’entreprise (83% favorables, 35% tout à fait favorable).

Montanstahl, une entreprise dans l’acier inoxydable

Le terme abrégé d’acier inox vient du diminutif français « inoxydable », c’est un alliage d’acier avec une teneur minimale en Chrome (Cr) de 10,5%. L’utilisation de l’acier inoxydable plutôt que de l’acier au carbone (ce dernier est ce que les non-professionnels appellent à tort fer), est nécessaire chaque fois que vous avez besoin d’utiliser un acier qui requiert à la fois des propriétés de résistance mécanique et des propriétés anticorrosion. L’acier inoxydable résiste à la corrosion et empêche ainsi la formation de ce qu’on appelle la rouille. 

Le terme anglo-saxon stainless (littéralement « sans taches ») est très significatif, car il provient de la capacité de ces matériaux à s’oxyder (ou, comme on dit, à passiver) mais pas à rouiller en atmosphères et milieux naturels.

Le phénomène de passivation se produit par réaction du métal avec l’environnement oxydant comme par exemple air, eau et solutions diverses.

Les différents usages de l’acier inox

Notre relation la plus étroite avec l’acier inoxydable dans notre vie quotidienne est d’abord et avant tout liée aux casseroles et poêles : puisqu’elles sont fabriquées en acier inoxydable, elles durent de nombreuses années sans formation de rouille, ce qui les rendrait inutilisables et même dangereuses pour les humains. Mais l’acier inoxydable est bien plus qu’un simple matériau pour les instruments de cuisine.

Le secteur chimique-pharmaceutique, par exemple, utilise souvent l’acier inoxydable, un élément constitutif de nombreux produits innovants essentiels pour vivre dans un environnement sain et équilibré. En effet, l’hygiène joue un rôle fondamental dans le stockage et la conservation des substances utilisées en médecine : les cuves en acier inoxydable sont un produit très populaire, qui ne présente aucun problème de corrosion et élimine donc le risque de mélange des particules volatiles avec le produit contenu.

Cornier Inox de Montanstahl : un nom, une garantie

Nous, Montanstahl, produisons et distribuons de l’acier inoxydable étiré à froid avec des angles de pieds égaux et inégaux. Nos profilés standard en acier inoxydable reproduisent les dimensions des profilés en acier au carbone, et nous stockons la plupart de ces dimensions en 304/304L. Notre technologie de fabrication nous assure de pouvoir vous proposer des profilés sur mesure dans la forme et l’alliage que vous souhaitez afin de répondre à vos souhaits les plus précis, si votre projet ne fait pas appel à nos produits standards.

Montanstahl est une dynamique et familiale société de production et de fourniture de profilés en acier spécial de haute qualité. Depuis sa création en 1983 à Stabio, en Suisse, la société Montanstahl a développé un grand professionnalisme et se positionne parmi les leaders mondiaux dans son secteur d’activité. La requête de produits sur mesure ne cesse d’augmenter et Montanstahl s’adapte à ces demandes du marché en investissant dans des technologies de fabrication innovantes. En étroite collaboration avec nos clients, nous améliorons les performances des produits existants, recherchons des nouvelles solutions de produits et optimisons les processus de fabrication. Lors de la conception de nouveaux profilés en acier ou en acier inoxydable, nous veillons à ce que toutes les technologies de fabrication soient prises en compte. Ceci assurera au client la solution la plus rentable et en même temps la norme de qualité la plus élevée.

Appuyez-vous sur l’expérience de notre société, qui travaille avec ce matériau depuis de nombreuses années, et à travers les machines les plus développées et un contrôle de qualité sur chaque produit garantit la sécurité d’un résultat réussi de vos projets.

Banque traditionnelle ou en ligne, un tandem ?

Les banques traditionnelles ont, en à peine une décennie, changé leurs relations avec leurs clients qu’ils soient particuliers ou professionnels. Le digital a complètement changé la donne et les banques en ligne se sont imposées. 

Nombre de clients des banques traditionnelles se montraient frileux, de peur de rencontrer des arnaques en tous genres. Aujourd’hui, ils ont intégré dans leurs nouvelles habitudes le fait d’utiliser les services en ligne bancaire. La Fédération bancaire française (FBF) publie les résultats de deux nouvelles études « Les Français, leur banque, leurs attentes », menée avec l’institut français d’opinion publique (IFOP), entre novembre et décembre 2018 et « L’observatoire de l’image des banques 2018 » réalisé courant décembre 2018, avec BVA. Décryptage.

Les attentes des français et entrepreneurs

Ces enquêtes nous éclairent sur les attentes des entrepreneurs et des français. Contrairement aux idées qui circulent, ils sont loin de vouloir que les banques traditionnelles disparaissent. Ils considèrent d’ailleurs que banque traditionnelle et banque en ligne sont complémentaires. Ainsi, l’association d’une agence et ses conseillers / digital représente une excellente opportunité dans le développement de leurs affaires.

Les Français ont adopté les nouvelles technologies

Les Français ont adopté sans s’en rendre compte les mêmes habitudes que sur la toile pour acheter et vendre. Ils utilisent les technologies digitales des banques dans leurs habitudes quotidiennes. Ils se renseignent et communiquent. En effet, pour 86 % d’entre eux, la banque traditionnelle a, certes, mis un certain temps à implanter les nouvelles technologies mais aujourd’hui les utilisent. Et ceci que ce soit dans la gestion des comptes bancaires mais aussi dans leurs relations avec les clients (adresse e-mail du conseiller par exemple).

55 % des Français ont ainsi téléchargé au moins une application bancaire. 89 % d’entre eux la consultent au moins une fois par semaine. Pour près de la moitié d’entre eux, chaque jour même ! Que ce soit pour suivre l’évolution de leurs comptes, gérer leur budget ou leurs transactions ou bien contrôler leurs dépenses, les français ne s’en lassent pas. Et pour cause, ils n’ont plus besoin de passer par un intermédiaire pour avoir le reflet des opérations. Ils deviennent acteurs. Les entrepreneurs peuvent surveiller leurs comptes tout au long de la journée sans être obligés de solliciter un conseiller, de dépendre de sa présence ou de sa disponibilité.

Une excellente image de leur banque

Avec 82 % de bonnes opinions, l’image que les Français ont de leur banque est à son niveau le plus élevé depuis plus de 10 ans. Plus de 60 % des Français estiment que les banques sont à l’écoute de leurs besoins et conseillent des produits adaptés. Elles sont perçues comme un partenaire à chaque étape de leur vie pour 58 % des Français. Et il faut constater que malgré l’apparition des banques en ligne, les entrepreneurs et les français ne se détournent pas de leurs banques traditionnelles.

Quels sont les rituels pour se restaurer des salariés en entreprise ?

Les rituels du petit déjeuner ou du déjeuner, nous les cernons dans notre environnement professionnel et pouvons parfois constater leur diversité mais aussi leur ressemblance selon des critères propres à chacun. Qu’en est-il pour l’ensemble des salariés en entreprise ?

L’étude Lavazza, spécialiste de l’offre café, sur les rituels du petit déjeuner et déjeuner, a été menée auprès d’un échantillon de 1 001 personnes, représentatif de la population salariée française.                                         

Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 12 au 17 juin 2019 et nous donnent un aperçu des habitudes des français.  

Le petit déjeuner, un rituel bien installé

Le rituel du petit déjeuner fait partie des habitudes des Français. Sur 87%, seuls 13% des salariés interrogés ne prennent pas de petit déjeuner.  72% déjeunent à leur domicile et seulement 17% quand ils arrivent au travail. Le grignotage, lors des transports, ne concerne que 5% des salariés Français.

Selon l’âge ?

Plus on avance en âge, plus l’habitude est élevée de prendre son petit déjeuner chez soi. Les plus jeunes générations % prennent davantage l’habitude de déjeuner sur leur lieu de travail. Un écart de plus de 10% qui montre que ce rituel est différent selon l’âge et surtout selon le rythme de vie.

Que boivent-ils au petit déjeuner ?

Les salariés Français optent pour 85% d’entre eux pour une boisson chaude (que ce soit un café, un thé, un chocolat ou un lait chaud),. Ils la complètent également pour la moitié d’entre eux d’une boisson froide (jus ou lait) 52%.

 

Et avec quoi ? La tartine plébiscitée !

Pour accompagner leur boisson chaude, c’est la tartine de pain qui remporte le palmarès et largement en tête (57%) devant les viennoiseries et autres gâteaux (45%) les jours de travail ! et bien davantage encore les biscottes (27%).

Un peu plus de trois salariés sur dix consomment également des fruits (35%), des céréales (32%) ou des produits laitiers (31%).

Alimentation salée à l’anglaise ? Pas d’engouement

Seuls 15% de ceux déclarant prendre un petit déjeuner optent pour les œufs, le fromage ou la charcuterie.

Le clivage générationnel ?

Un réel clivage générationnel ! Tandis que la boisson chaude est un essentiel du petit déjeuner des salariés de plus de 50 ans (92%), en revanche chez les plus jeunes, ceux de moins de 25 ans elle ne fait pas partie des incontournables qui choisissent plutôt les boissons fraîches (71%, contre 37% chez les plus âgés) et aux céréales (52%) qui eux sont plutôt absents du petit déjeuner des plus seniors de l’échantillon (18%). D’une manière générale, les plus de 50 ans se révèlent assez « traditionnels » en accompagnant leur café de tartines de pain (69%), une habitude moins prononcée dans toutes les autres tranches d’âges.

Le déjeuner, quel rituel ?

Six Français sur dix déclarent apporter leur propre déjeuner (61%) par opposition au fait de manger dans une cantine (24%), de sortir déjeuner au restaurant (8%) ou encore d’acheter leur déjeuner dans un distributeur automatique (7%). 

L’habitude consistant à préparer et apporter chaque jour son repas sur son lieu de travail est assez clivante. Les femmes (bien davantage que les hommes 70% vs 52%), les salariés relevant des CSP plus modestes (employés et ouvriers, respectivement 68% et 66%), les salariés des entreprises les plus petites (78% contre seulement 48% dans les entreprises les plus grandes) ou encore les salariés travaillant en Province (65% contre 47% en région parisienne) sont parmi les plus nombreux à avoir adopté cette habitude pour le déjeuner du midi.

Sept salariés sur dix déclarent globalement manger sainement lorsqu’ils se trouvent dans leur univers professionnel. 

Cependant, près d’un tiers des répondants a le sentiment de mal se nourrir sur leur lieu de travail. Les plus jeunes salariés (ceux de moins de 25 ans : 37%), les femmes de moins de 35 ans (33%), les ouvriers (36%) et surtout les salariés qui ont pris pour habitude de grignoter le matin pendant leur trajet (49%) ou d’acheter leur déjeuner dans un distributeur automatique (59%) sont parmi les plus critiques quant à la qualité de leur alimentation sur leur lieu de travail. 

Les salariés qui ont la possibilité de déjeuner le midi dans une cantine (77%), apportant leur propre déjeuner (72%), ou qui prennent le temps de prendre un petit déjeuner chez eux le matin (75%) sont ceux qui considèrent le plus qu’ils mangent correctement dans leur univers professionnel.

Le grignotage ?

Les tentations de grignotage sont fort présentes. Près d’un salarié sur deux déclarant grignoter « souvent » (14%) ou « de temps en temps » (31%).  Le grignotage en libre-service est particulièrement présent dans les grandes entreprises. 52% des salariés travaillant au sein d’entreprises de plus de 250 salariés y font face, contre seulement 32 dans les entreprises de moins de 20 salariés. Les cadres également. 58%, contre 38% pour les ouvriers, de même que le franciliens (51% vs 44% en province).

Quelle idée de copier un dessin ancestral des indiens Kuna du Panama

Difficile d’être créatifs quand nos ancêtres ont déjà été tellement inspirés et nous offrent une kyrielle de merveilles. Pourtant l’innovation est au cœur de nos vie et pourquoi pas chez les designers.

Nike accusé de contrefaçon par des Indiens du Panama

Selon des représentants du peuple Kuna, le design d’une chaussure vendue par l’équipementier américain est inspiré d’un art du textile qui lui est propre : les « molas ». Les Indiens Kuna du Panama ont accusé ce mardi le géant Nike d’avoir « copié » illégalement des dessins traditionnels sur un modèle de baskets dont la vente a finalement été annulée par l’équipementier américain. Ces derniers ont accusé le géant américain de violation de la propriété intellectuelle. Ils ont réclamé que la vente de ces baskets, qui devaient être mises sur le marché le 6 juin au prix de 100 dollars la paire, soit suspendue. Pour les avocats de la communauté, le design de ces chaussures de sport – une édition limitée du modèle Air Force  1 – s’inspire des « molas », un art du textile richement coloré, traditionnel du peuple Kuna.

Une affaire pour le moins étonnante

Dans cette affaire ce qui est le plus étonnant c’est qu’au sein de Nike pour qu’un dessin soit choisi ou sélectionné, il passe sous les fourches caudines de l’équipe de création, du responsable design, du sémiologue, d’experts au fait de la contrefaçon. Alors, que s’est-il passé ? Un porte-parole de l’entreprise a présenté ses excuses : « Nous nous excusons pour la représentation inexacte de l’origine de la conception du Nike Air Force 1 Puerto Rico 2019. En conséquence, ce produit ne sera pas disponible à la vente. » Selon le site spécialisé Sneaker News, Nike avait indiqué que le dessin – coloré sur fond noir – était un hommage à Porto Rico. Il représentait la grenouille Coqui, emblématique de l’île caribéenne, également territoire américain.

Une reconnaissance pour les peuples autochtones

Or, les responsables de l’entreprise « doivent reconnaître que le ‘mola’ qui apparaît sur les baskets vient du peuple Kuna », avait estimé lors d’une conférence de presse à Panama City, le cacique Belisario Lopez. Selon lui, cette affaire n’est pas un cas isolé. « Des milliers de dessins et de savoir-faire traditionnels des peuples autochtones sont piratés par les multinationales ». « Nous avons déjà envoyé une lettre de protestation à Nike, mais nous n’avons pas reçu de réponse », avait précisé l’avocat Aresio Valiente.

Les Indiens Kuna vivent au Panama et en Colombie, la majorité sur les îles San Blas, sur la côte caribéenne du Panama. « Pour les Kuna, le mola est comme un drapeau. Il y a une réelle identité culturelle qui s’exprime autour du mola. C’est un élément fort de l’identité », a expliqué Monica Martinez, professeur d’anthropologie sociale à l’Université de Barcelone qui étudie le peuple Kuna depuis une vingtaine d’années. « Il y a des débats au sein de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et les peuples autochtones exigent que des mesures soient prises. Mais rien n’est fait », déplore ce professeur.

Rappelons que copier un concurrent ou une marque connue ou un emblème, c’est prendre le risque de se retrouver devant les tribunaux et de perdre toute crédibilité lorsque la supercherie est découverte. C’est pourquoi les créatifs étudient avec soin le fait de ne pas avoir été inspiré sans s’en rendre compte pour ne pas être accusé de plagiat.

Quelles solutions s’offrent à moi avant de mettre la clé sous la porte ?

Quand un entrepreneur se trouve en grande difficulté, plutôt que le dépôt de bilan, il lui reste encore quelques options pour éviter de devoir mettre fin à son activité. Quelles sont donc ces solutions à utiliser en dernier recours ?

Durant l’année 2018, les procédures collectives ont augmenté de 6,8 % par rapport à 2017 selon une étude réalisée par la société ALTARES. Il faut savoir que 2/3 des redressements judiciaires sont convertis en liquidation judiciaire. 

1. Le mandat ad hoc

La première solution consiste, dès les premiers signes de défaillance de l’entreprise, à déclencher une procédure de mandat ad hoc. Ce mécanisme permet de demander au tribunal de commerce l’aide d’une personne indépendante pour vous permettre d’analyser la situation et résoudre vos difficultés. La procédure est à déclencher le plus tôt possible dès que surviennent les problèmes de paiement. Cette demande doit être une demande écrite et doit s’adresser au tribunal de commerce. Si votre entreprise n’est pas en cessation de paiement, votre requête sera susceptible d’être acceptée après un entretien préalable. Un mandataire ad hoc sera ensuite nommé pour vous épauler durant une période de trois mois renouvelables. Sa rémunération sera définie par le président du tribunal de commerce.

A savoir !

Cette action n’est pas publique : tout ce qui s’y rattache est confidentiel. Vos concurrents, vos clients, vos prospects ne sauront pas la situation économique de votre entreprise, contrairement au redressement judiciaire.

 

2. La sauvegarde

Cette procédure judiciaire, plus contraignante que la précédente, s’adresse aux entreprises endettées, sur le point d’arriver en cessation de paiement. Calquée sur le modèle américain, cette loi en vigueur depuis 2006 permet de mettre en place un plan visant à la réorganisation totale de l’entreprise. Ce plan, élaboré avec l’accord des créanciers, donne la possibilité de poursuivre son activité, mais en faisant le choix de la restructurer en profondeur. C’est donc un changement important, difficile à accepter, mais nécessaire à la survie de l’entreprise. La sauvegarde constitue une procédure judiciaire à part entière mentionnée au registre du commerce et dans un journal d’annonces. Elle implique donc la perte de confidentialité quant à votre situation financière.

Le tribunal vous envoie 3 personnes (un juge-commissaire, un administrateur judiciaire et un mandataire judiciaire) pour vous aider à éviter le redressement judiciaire.

3. La conciliation

Remplaçant le règlement à l’amiable, cette solution permet de se sortir d’une cessation des paiements décrétée depuis moins de 45 jours. C’est l’ultime recours pour éviter un dépôt de bilan, semblant inévitable, jusque-là. La conciliation doit être déclenchée lorsqu’il reste encore quelques actifs susceptibles de sauver la situation. Vous devrez soumettre un dossier au tribunal de commerce qui statuera après examen de votre dossier et pourra nommer un conciliateur extérieur. Ce dernier sera chargé de trouver dans un premier temps un accord auprès de vos créanciers, puis dans un second temps de mettre sur pied avec vous un plan de reprise viable de la société. Il s’agit là d’une procédure complexe permettant de solder ses dettes et de redémarrer son activité sur des bases nouvelles.

4. Le redressement judiciaire, une solution 

Quand un dépôt de bilan a été prononcé, il ne reste plus qu’un ultime recours avant la disparition de l’entreprise : le redressement judiciaire. Peu de sociétés en réchappe, mais cette solution est également en mesure, dans certains cas, de sauver votre activité. Il faut demander le redressement judiciaire auprès du tribunal de commerce, qui en cas de cessation des paiements, déclarera la liquidation. Une période d’observation s’ensuit, au cours de laquelle l’entrepreneur, accompagné par un mandataire, doit formuler un plan réaliste de continuation de l’activité. Les dettes sont alors gelées durant cette période. Si vous êtes en redressement judiciaire, les poursuites des créanciers contre vous sont supprimées.

À l’issue de ce délai, si le plan est accepté, les dettes doivent être remboursées et l’activité peut reprendre.

A savoir !

C’est une procédure publique car les jugements rendus par le juge sont consultables par tous.

Attention !

N’oubliez pas de mettre en place votre protection personnelle qui vous évitera bien des difficultés.

Comment éviter les impayés sans se prendre la tête ?

Une des préoccupations majeures des entreprises est de remplir sa trésorerie pour pourvoir payer ses fournisseurs, l’Urssaf, les collaborateurs et bien d’autres choses encore. Il s’agit de disposer de la quantité d’argent nécessaire dans les comptes bancaires de l’entreprise pour pallier tous les frais inhérents à la vie de l’entreprise. De plus si le dirigeant veut développer son entreprise et qu’elle devienne pérenne, il lui faut de la trésorerie pour investir et éviter les impayés.

Chaque jour, selon les chiffres officiels, 30 à 40 entreprises françaises font faillite à cause des retards de paiement. Certes une règlementation existe donnant des dates de limites de paiement mais son application s’avère difficile. Pour le dirigeant, il s’avère souvent un véritable parcours du combattant pour pouvoir encaisser les factures et ainsi honorer les siennes. Il reste courant d’être confronté à la peur de perdre un client en raison d’une demande trop insistante et donc il ne sait pas comment s’y prendre. Il perd beaucoup de temps mais surtout d’énergie inutilement alors qu’il devrait se consacrer en priorité au développement de son entreprise.

A contrario de ceux qu’imaginent au début de leur aventure entrepreneuriale de   nombreux dirigeants de startup, c’est que ce sont souvent les entreprises ayant pignon sur rue qui ne respectent pas les délais de paiements même si les défauts de paiement sont rares. Il ne sait comment faire quand il a affaire à de multiples interlocuteurs. Alors comment faire ?

1/ Créer un processus de relance

Le dirigeant peut créer un processus de relances des clients : relance 1, relance 2, relance 3. Ce processus relativement efficace auprès des petites entreprises qui se révèlent en général être de bons payeurs, s’avère pratiquement sans effet envers les grandes entreprises. Elles reconnaissent d’ailleurs que la lourdeur de leurs structures est pénalisante pour les PME et TPE et elles sont nombreuses à travailler sur l’amélioration des délais de paiement.

2/ Dédier une personne dédiée aux relances

Peu d’entreprises peuvent se permettre de dédier une personne aux relances, le cout en étant trop onéreux. Une personne qui se consacre en même temps à une autre fonction sera révèle souvent vite débordée. La charge incombe souvent au dirigeant d’entreprise d’y procéder.

3/ Confier les paiements à une entreprise spécialisée

Si on peut imaginer que ce genre de prestation à un cout, il est bien moindre que d’avoir des retards de paiement qui peuvent engendrer des agios par votre banque ou encore une faillite.

Faire appel à une entreprise spécialisée évite au dirigeant de vivre des émotions qui provoquent du stress. Celui-ci peut rapidement se ressentir dans les relations avec les collaborateurs et dans la performance. Ainsi par exemple l’entreprise GOODPayeur s’occupe à votre place de récolter ce qui vous est dû. Elle envoie des emails et des SMS de relance à vos clients mais grâce à leur savoir-faire, ce type d’entreprises savent préserver la relation avec votre client et le sensibilise à l’importance de régler vos factures en temps et en heure.

Il est aussi possible et même judicieux de prévoir avec votre prestataire un scénario de relances adapté à chaque client : ceux qui ont besoin par exemple d’être ménagés (mais qui doivent quand même payer) pour que votre entreprise soit respectée pour sa valeur et pour les services ou produits que vous lui avez vendus.

Montrer que votre entreprise est loyale envers ses fournisseurs

En effet, en montrant le modèle du comportement, vous incitez vos créanciers à agir de même. Le prestataire saura par son expertise mettre en exergue votre manière d’agir et les incitera à agir de façon transparente et vertueuse. Vous aurez ainsi plus de chance d’être payé dans les temps.

Se renseigner sur la solidité financière de vos clients

Sur internet, bon nombre de sites donnent des informations sur la situation économique des entreprises. Rendez-vous alors sur Infogreffe.fr ou societe.com. Vous y trouverez des informations sur la fiabilité des entreprises inscrites au registre du commerce et des sociétés (RCS). Regardez surtout l’état d’endettement de l’entreprise avec laquelle vous comptez travailler pour ne pas optimiser une relation qui ne le mérite pas.

L’automatisation des entrepôts, la nouvelle donne

87 % des entreprises prévoient d’étendre la superficie de leurs entrepôts au cours des cinq prochaines années. 6 entreprises sur 10 planifient l’automatisation de leurs entrepôts pour augmenter la main d’œuvre d’ici à 2024.Pour l’étude « 2024 Warehousing Vision Study », Qualtrics pour le compte de Zebra Technologies Corporation (NASDAQ : ZBRA) a interrogé 1 403 décideurs informatiques et opérationnels, opérant sur les marchés de la fabrication, du transport et de la logistique, de la vente au détail, de la livraison de colis et de la distribution en gros.

L’étude au sein des régions Amérique du Nord, Amérique Latine, Asie-Pacifique et Europe  se penche sur les stratégies actuelles et à venir des décideurs informatiques et opérationnels concernant la modernisation de leurs entrepôts, de leurs centres de distribution et de leurs centres de traitement.

Lorsque l’on pense à l’automatisation on pense immédiatement au remplacement de l’homme par la machine, mais l’idée des décideurs serait au contraire de mettre au centre l’humain et de développer leurs compétences.

Développer la performance des employés, tel est l’objectif

D’ici à 2024, l’automatisation sera de développer la performance des employés plutôt que de les remplacer car 61% des décideurs prévoient d’automatiser partiellement leurs entrepôts ou de disposer d’une augmentation du travail grâce à la technologie. Loin de leur stratégie de remplacer l’humain car leur conviction est que l’humain contribue à l’équilibre optimal des opérations. D’ailleurs 39 % d’entre eux déclarent privilégier l’automatisation partielle (avec intervention humaine) et 34 % la main d’œuvre augmentée (équipement des employés avec des terminaux). D’ici à 2024, les décideurs planifient d’utiliser la robotique/les bots dans le cadre de la gestion des stocks entrants (24 %), du conditionnement des stocks sortants (22 %) et de l’entrée/la réception des marchandises (20 %). L’automatisation demande aux décideurs d’anticiper cette évolution pour ne pas se trouver en face d’une crise majeure. Entre le fait de dire et de réaliser existe un gap qui doit faire l’objet des préoccupations du choix de l’automatisation.

Automatiser les entrepôts, un impératif

(77 %) des personnes interrogées pensent que pour que la technologie soit au service d’une main d’œuvre augmentée, il est indispensable d’automatiser les entrepôts. Toutefois, seuls 35 % d’entre eux connaissent ce qu’ils devraient réellement effectuer pour la mettre en place. 87 % des décideurs ont engagé – ou envisagent d’engager – l’extension de la superficie de leurs entrepôts d’ici à 2024, et 82 % prévoient une hausse du nombre d’entrepôts.

Selon Mark Wheeler, directeur des solutions chaîne logistique chez Zebra Technologies. « D’ici à 2024, les dirigeants se concentreront davantage sur l’intégration de solutions plus globales, capables de créer des environnements alimentés par les données alliant, de façon équilibrée, main d’œuvre et automatisation au sein des entrepôts. Cela permettra au personnel de première ligne de disposer d’un avantage en termes de performance et de montrer le chemin à suivre. »

Un défi, augmenter la superficie 

59 % des personnes interrogées ont indiqué que l’augmentation des superficies constituait un réel défi. 60 % des entreprises ont cité le recrutement et/ou la productivité et l’efficacité du personnel parmi leurs principaux enjeux.

L’utilisation de l’informatique et de la technologie est ressentie à la fois comme le défi opérationnel le plus attendu (61 %) des cinq prochaines années et comme un résultat souhaité à long terme pour une meilleure visibilité sur les actifs, des conseils en temps réel et un rendement axé sur les données.

Investir dans les nouvelles technologies

Avant tout il faut moderniser !

Plus des trois quarts (77 %) des décideurs s’accordent sur le fait qu’ils ont besoin de moderniser leurs opérations d’entrepôt pour rester compétitifs sur le marché de l’économie à la demande, mais reconnaissent qu’ils tardent à mettre en œuvre les nouvelles technologies et les nouveaux dispositifs mobiles. Pourtant 73 % des entreprises procèdent actuellement à la modernisation de leurs entrepôts en installant ou en renouvelant leurs terminaux mobiles, tablettes et lecteurs de codes-barres.

D’ici à 2024, la modernisation sera portée par des solutions de mobilité basées sur Android (83 %), des systèmes de localisation en temps réel ou RTLS (55 %) et des systèmes de gestion d’entrepôt (WMS) complets (54 %). 60 % des sondés ont cité les imprimantes thermiques ou à code-barres mobiles comme étant l’un de leurs principaux domaines d’investissement dans le cadre de leurs plans destinés à accroître, élargir ou moderniser leurs équipements au cours des trois prochaines années. 

En Europe, l’augmentation des superficies d’entrepôts, un enjeu

La superficie moyenne des entrepôts devrait augmenter de 26 % au cours des cinq prochaines années.

D’ici à 2024, les entreprises devraient davantage recourir aux technologies RFID et de localisation pour leurs opérations relatives aux marchandises sortantes ; plus d’une sur cinq prévoit d’utiliser ces technologies dans le cadre de ses opérations de conditionnement (25 %), de gestion des stocks (20 %) et de prélèvement (19 %).