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Le coaching d’affaires pour développer son entreprise

Face à la complexité du monde des affaires et les incessants bouleversements, de nombreux entrepreneurs font appel à un coach et le coaching d’affaires. Les échanges avec un coach permettent de prendre du recul et de remettre en cause si cela est nécessaire certaines stratégies. Le coach a un pouvoir d’écoute mais aussi la capacité de poser les bonnes questions qui obligent l’entrepreneur à sortir des sentiers battus et de ses idées préconçues.

Longtemps réservé aux cadres supérieurs des grandes sociétés, l’accompagnement de dirigeant s’est largement développé au cours des dernières années dans le monde de la petite et moyenne entreprise. Le coaching d’affaires est devenu un acteur majeur du développement des PME/TPE.

Qu’est-ce que le coaching d’affaires ?

Le coaching d’affaires consiste à accompagner les dirigeants d’entreprise afin de développer leur potentiel d’entrepreneur aux différentes phases de la croissance de leur entreprise, de la création à la transmission.
Les principaux domaines d’intervention du coach sont le développement de la rentabilité, la gestion du temps et le management des équipes. Ces thèmes sont très généraux mais demandent des réponses spécifiques.

Les dirigeants concernés

Les dirigeants faisant appel à un coach sont en général des chefs d’entreprise exigeants souhaitant atteindre rapidement leurs objectifs en développant leur potentiel. La comparaison avec le sportif de haut-niveau est régulièrement utilisée dans les pays anglo-saxons où le coaching d’affaires est largement développé : être « bon » ne suffit pas pour être sur le podium, il faut être « excellent », se remettre en cause pour progresser.
Fréquemment expert dans son métier, mais plus rarement préparé à celui d’entrepreneur, il manque souvent de formation, d’expérience ou de confiance dans son rôle de dirigeant. 

Les apports du coaching d’affaires

Le coach permet d’avoir un regard extérieur, de se concentrer sur les objectifs tout en développant sa compétence sur le management d’une entreprise. Il s’agit d’une véritable « Form’Action » puisque les connaissances sont dispensées et assimilées dans l’action, dans la « vraie vie de l’entreprise » en fonction des situations : arrivée d’un concurrent, problème de recrutement,….
Le coaching d’affaires n’est pas une simple formation visant à développer des compétences. Il nécessite un travail de fond sur les objectifs du dirigeant, sa vision, son projet.

La définition d’une vision : la priorité

Définir une vision n’est pas « vendeur » et mérite d’être expliqué en début de programme car ce travail peut paraître théorique et trop éloigné des priorités à court terme. Il s’agit pourtant de définir l’image finale qui permettra d’aligner toutes les pièces du puzzle, de prendre toutes les décisions opérationnelles en fonction du but à atteindre. Pour cela le « coaché » doit être totalement impliqué pour développer à la fois l’attitude et les compétences nécessaires. Le rôle du coach est de trouver le bon équilibre entre le savoir-être et le savoir-faire

Comment intervient le coach ?

Le coach travaille sur la motivation en focalisant toute l’attention sur une vision clarifiée, des objectifs précis. Il intervient dans l’engagement de l’obtention des résultats, permettant :

  • de « sortir de sa zone confort »,
  • de libérer son potentiel pour remplir son « contrat ».

Et enfin il développe la compétence en assimilant de nouvelles connaissances notamment dans des domaines sur lesquels le chef d’entreprise ne se sent pas « à l’aise » : la gestion, le développement commercial par exemple.

Quelle est la spécificité du coaching d’affaires ?

Le coach d’affaires intervient au niveau du dirigeant d’entreprise et mesure son efficacité avec les indicateurs de l’entreprise comme :

  • la rentabilité,
  • le chiffre d’affaires,
  • la satisfaction des clients…

L’objectif est de rendre le chef d’entreprise autonome pour qu’il soit ensuite capable d’agir seul. Le coach d’affaires peut être amené à travailler avec les collaborateurs ou équipes de direction.

Comment ça marche ?

La formule de coaching personnalisé permet d’obtenir les résultats les plus rapides.
Ces programmes de coaching durent en moyenne douze mois sous la forme de séances hebdomadaires. Une des qualités demandée au coach d’affaires est de savoir appliquer une méthodologie structurée tout en gardant la flexibilité nécessaire pour être en phase avec la vie de l’entreprise.
L’attention particulière est apportée à la gestion du temps et à l’organisation du dirigeant. C’est à ce stade que l’on va permettre de gagner le temps qui sera ensuite réinvesti pour travailler sur son entreprise. On estime en effet qu’il faut consacrer entre 3 et 5 heures par semaine pour s’assurer de véritables progrès.
L’expérience montre également qu’une alternance avec des séances collectives permet de renforcer encore l’efficacité des programmes. Il est conseillé de participer à des ateliers axés sur des thématiques précises. Ces moments d’échange et d’ouverture permettent de renforcer la confiance, d’intégrer de nouveaux modes de pensée et aussi de développer un réseau.
Le coaching collectif permet de démarrer un programme de coaching avec un budget plus limité. Plusieurs formules existent sur le marché, les clés du succès de ces programmes sont cependant toujours les mêmes. Il est conseillé d’être vigilantes sur le nombre limité de participants :

  • (12 personnes maximum),
  • le nombre minimal de séances (minimum 5 séances).

La réalisation de « travaux pratiques », dans leur société, entre deux séances et le suivi personnalisé avec un coach au démarrage et en cours de programme.

En résumé le coaching d’affaires permet de réaliser de véritables progrès en travaillant à la fois sur le mental du dirigeant et la performance de l’entreprise : deux bonnes raisons de tester le coaching !

Article par JEAN-YVES DAVID COACH D’AFFAIRES CERTIFIÉ ACTIONCOACH & GÉRANT
MENTORYS

Pourquoi le confinement est un bon moment ?

Si on regarde les informations négatives qui pullulent, on est amené à penser que l’on va vivre le confinement comme un enfer quotidien, que vous pourrez raconter à vos petits-enfants. Pourtant, la perception positive ou négative de celui-ci est en réalité très subjective et il ne tient qu’à vous de faire de cette situation une opportunité. Plutôt que de subir le confinement, il est peut-être venu le temps de vous relever et d’aller de l’avant et d’en faire la source de votre victoire. 

L’occasion de faire le point sur ses objectifs présents et futurs

Être confiné demeure avant tout l’occasion pour vous de faire le point avec vous-même. Vous pouvez non seulement faire le point sur vos objectifs antérieurs mais également reconsidérer les objectifs à venir. Vous n’avez peut-être plus les mêmes désidératas et vous souhaitez peut-être vous orienter vers quelque chose de nouveau. Tant mieux car vous avez le temps de faire le point avec vous-même sur votre vie, votre entreprise et la direction vers laquelle vous souhaitez aller. Le confinement demeure l’occasion idéale pour fixer un nouveau cap que vous pourrez partager à votre retour avec vos collaborateurs alors n’hésitez pas à prendre du recul car pour une fois vous en avez le temps. 

Une marque ostensible de changement

Vous avez encore plusieurs semaines devant vous pour mettre en place ce qui va vous permettre de transformer l’avenir. Le confinement représente l’opportunité idéale de marquer le changement pour plusieurs raisons. Déjà parce que ceux que vous croisez habituellement ne vous ont pas vu depuis longtemps et qu’ils porteront plus d’attention à vos changements physiques comme à vos habitudes.

Tout bouleversement brusque pourrait donc être rapidement identifié et les périodes de rupture comme celle-ci sont parfaitement favorables à repenser vos objectifs. Ensuite, il représente un marqueur temporel pour vous puisque vous pouvez envisager dans votre réflexion un avant confinement et un après confinement. Vous avez le temps d’intégrer ce que vous voulez modifier et de vous en faire des directives claires qui seront applicables dès votre retour. Tout ne sera pas parfait dès le début et qu’il vous faudra peut-être peaufiner avec le temps mais vous aurez une date de début. 

Le temps de tout mettre en place

Pour une fois, vous ne pourrez pas dire que vous n’aviez pas le temps de tout réaliser. Il est clair que les sollicitations demeurent moins nombreuses déjà parce qu’il y a moins de monde qui travaille et ensuite parce que tout le monde peut comprendre que votre quotidien est bouleversé par le confinement puisque le leur est aussi bouleversé. Vous avez donc le temps d’organiser votre plan de bataille et éventuellement de faire les démarches pour que le changement puisse s’opérer à la rentrée voire dès maintenant. Plutôt que de rester chez vous à regarder NETFLIX, vous pouvez donc parfaitement décider de consacrer votre temps au futur de votre entreprise et à installer les outils qui vous permettront d’accélérer à la rentrée.

La possible restructuration de vos habitudes

Le confinement demeure avant l’occasion de rompre avec vos mauvaises habitudes ou encore avec vos mauvaises fréquentations. Si vous aviez certains rituels avant le confinement, c’était avant celui-ci. Rien ne vous oblige à les garder après et vous pouvez très bien réfléchir à de nouvelles à partir de maintenant. De toute façon personne ne peut vous en empêcher vu que personne n’a réellement accès à vous. Vous pouvez par exemple décider dès demain de couper votre téléphone. Personne ne va se déplacer chez vous et rompre votre confinement pour vous dire de le rallumer. N’oubliez pas qu’en général une pratique se substitue à une autre et de préférence que vous trouvez davantage désirable que la première. Vous n’êtes plus dans votre quotidien alors pourquoi ne pas en changer ?

Le bon moment pour penser à … vous

Il s’agit peut-être d’une des grandes choses que nous prônons dans notre rédaction mais le confinement reste avant tout l’occasion de prendre du temps pour vous. Si vous souhaitez faire du sport rien ne vous empêche de vous y mettre ! Pareil si vous souhaitez prendre soin de vous et vous dorlotez ou encore faire de votre intérieur une merveille de propreté. L’activité reste souvent moindre et surtout vous économisez le temps de transport. Vous gagnez le temps que vous consacriez à d’autres personnes et rien ne vous empêche de concentrer le maximum à votre bien être ou futur bien être. Vous pouvez lister ainsi les choses que vous souhaitez modifier dans votre appartement, voire prendre le temps de les commander. Ainsi, vous ne risquez pas de rater le livreur pour une fois et la question de son heure de venue ne devrait pas trop vous tracasser. 

La disponibilité des gens

Tout le monde est confiné et tout le monde a dû annuler bon nombre de rendez-vous. Il est clair que l’emploi du temps de la plupart des gens est devenu plus léger depuis le confinement. On ne vous fera pas croire que les rendez-vous s’enchaînent du matin au soir. Si dans de rares cas cela reste toujours possible, cela ne devrait concerner que quelques rares personnes. De toute façon tous les rendez-vous au restaurant n’existent plus, pas plus que les sorties. Si certaines personnes ont très certainement prévu des alternatives, elles devraient mettre du temps à s’instaurer. Autant donc en profiter pour contacter certaines personnes que vous n’avez pas vu depuis longtemps et qui pourraient bien se révéler plus disponible.

L’absence d’alternative comme opportunité

Cela peut paraître bête mais l’impossibilité de faire certaines choses représentent pour vous l’occasion d’en faire de nouvelles. Si vous n’aviez jamais commander par le drive ou en livraison, il s’agit peut-être pour vous de vous y mettre tout comme au logiciel de communication à distance. L’absence d’alternative représente souvent une opportunité de tester de nouvelles choses et de sortir de votre train-train habituel et votre zone de confort. Alors n’hésitez pas à avoir l’esprit ouvert, cela ne vous fera pas de mal de découvrir de nouvelles façons de faire et concept que vous n’aviez jamais vu auparavant.

La qualité des données : fondamental pour le risk managers

La sixième édition du Baromètre du Risk Manager de l’AMRAE a été réalisée en partenariat avec PwC à partir de l’analyse des résultats d’un questionnaire en ligne, renseigné par plus de 350 Risk Managers entre février et mai 2019. 34 % des Risk Managers répondants ont déclaré utiliser l’analyse de données dans le cadre de leurs fonctions, via des outils de visualisation tels que Power BI ou Tableau, qui simplifient l’analyse et la restitution visuelle des données relatives à la gestion des risques et/ou le suivi des plans d’action.

Les risques liés à la qualité des données ne sont que très rarement identifiés dans les cartographies des Risk Managers. Pourquoi et comment s’assurer de sa prise en compte ?

Dans un contexte « d’économie immatérielle » propre au secteur tertiaire, disposer d’un capital de données de qualité est une nécessité primordiale pour l’entreprise. 

La qualité des données : fondamental pour l’intelligence économique

La qualité des informations est l’un des 11 facteurs du modèle d’intelligence économique identifiés par l’AFDIE (Association Française pour le Développement de l’Intelligence Économique), dans la catégorie « facteurs de résultats ». Un rapport de 2008, réalisé par JEMM Research, indique cependant que seulement 16 % des entreprises ont mis en place un programme de qualité de données. Ce risque n’est aussi que très rarement identifié dans les cartographies des Risk Managers.

Selon le baromètre 2019, 74 % des Risk Managers répondants déclarent disposer de compétences en matière d’analyse de données au sein de leur organisation, que ce soit dans leurs équipes (33 %) ou au sein de la DSI (41 %). Seulement 18 % des Risk Managers interrogés ont recours à des prestataires externes dans le cadre de ces analyses. 

Les données du Risk Manager : facteur d’efficacité

Le Risk Manager est, de par son activité, amené à manipuler un grand nombre de données parmi lesquelles la description des risques, les actions de prévention, le détail des polices d’assurances, les informations sinistres, des adresses, des contacts, etc. Plus ces données seront nombreuses, anciennes, structurées et fiables, plus le travail du Risk Manager sera précis et efficace. Elles lui permettront notamment d’optimiser sa gestion au quotidien (ses analyses menant à des décisions argumentées et documentées) mais aussi sa communication interne et externe. En résumé, cela lui permettra d’impacter plus ou moins significativement la pérennité et les performances de son entreprise.

Les caractéristiques d’une bonne base de données 

Le Risk Manager doit disposer d’une base de données de référence, interconnectée avec diverses autres sources et régulièrement mise à jour. Mais, comme nous venons de le voir, ce puits de données n’aura de réels intérêts que si ces dernières sont homogènes et fiables. On ne peut laisser la base totalement accessible par tous. D’où l’intérêt de pouvoir gérer finement des droits d’accès aux données selon les profils d’utilisateurs. Une fois la gestion bien mise en place (voir encadré), le Risk Manager peut s’appuyer sur les informations de la base pour effectuer de multiples analyses et générer des rapports pré-formatés faciles à mettre à jour (simuler les montants de franchises, ventiler les primes, obtenir les ratios S/P, calculer le coût du risque…) car la qualité d’une donnée ne doit pas être appréciée dans l’absolu mais de façon relative à son intérêt métier.

Thomas H. Davenport, qui enseigne l’art des systèmes de gestion de l’information à la School of Management (université de Boston) estime en effet que « la transformation des données en quelque chose de plus utile exige un niveau important d’intelligence et d’attention. Encore une fois, la plupart des entreprises ne considèrent le problème que sous l’angle technologique. Un système de data warehouse ou de data mining est certes nécessaire, mais pas suffisant pour assurer un haut niveau d’information et de connaissance. » Bonne nouvelle donc : un logiciel, aussi perfectionné et indispensable soit-il, ne remplacera jamais le Risk Manager ! 

Gestion de qualité : Les différentes étapes

Afin d’étudier les moyens de tendre vers cette qualité des données, distinguons les différentes étapes de gestion : la saisie / les imports automatiques et la validation.
Au niveau de la saisie

Il faut qu’elle permette de recouper les différentes sources de données, comme la comparaison des montants « année après année ». À titre d’illustration, on peut imaginer que si la saisie N+1 est supérieure de X % à la saisie N, alors le déclarant devra se justifier.

Il est aussi important de limiter le nombre de champs « texte », et de multiplier les listes déroulantes à choix prédéfinis. Ceci permet de guider la saisie et facilite les analyses quantitatives. On peut de plus éviter les ambiguïtés en définissant précisément les données attendues à côté des champs à remplir.

Pour simplifier la tâche des utilisateurs non spécialistes mais obligés d’alimenter la base, comme par exemple ceux qui déclarent les sinistres, il faut par ailleurs disposer de formulaires intelligents à l’ergonomie optimisée dont les questions changent en fonction des réponses des utilisateurs. Ces formulaires doivent également être extrêmement simples pour permettre à des centaines d’utilisateurs répartis dans le monde et parlant des langues différentes de saisir de l’information sans avoir été formés.

L’alimentation du système se réalise aussi par imports automatiques de sources très diverses. On a alors recours à des technologies adaptées comme un ETL (pour Extract-Transform-Load) ou un EAI (pour Enterprise Application Integration) permettant d’effectuer des synchronisations massives (ETL) ou en temps réel (EAI) d’informations d’une base de données vers une
autre.

La validation

Enfin, la Direction Risk Management (DRM) centrale ou locale doit toujours contrôler les données saisies avant leur enregistrement définitif. Là encore des outils bien spécifiques (SGC = Système de Gestion de Contenu ou CMS = Content Management System) peuvent lui faciliter la tâche.

Toutes les techniques qui forment la base de l’informatique décisionnelle (ou Business Intelligence) se retrouvent dans certains logiciels de gestion des risques et des assurances à disposition des Risk Managers.

Comment Olivier ALLAIN est devenu l’un des meilleurs formateurs dans la vente sur Amazon ?

Dynamique vous dévoile la success story d’Olivier ALLAIN, jeune entrepreneur dans le e-commerce. Il est devenu en peu de temps l’un des acteurs majeurs dans la formation sur internet. Son programme phare qui explique comment vendre sur Amazon est la meilleure formation sur le marché. Découvrez les 5 clés de sa réussite en tant que formateur dans la vente sur Amazon.

5 clés de la réussite d’Olivier ALLAIN, formateur dans la vente sur Amazon

Une expertise de plus de 10 ans dans la vente sur Amazon

Tout d’abord, il faut noter qu’Olivier ALLAIN n’est pas un novice en la matière. En effet, il est vendeur sur Amazon depuis 2009 et a atteint des résultats importants depuis son démarrage. Aussi, il cumule à ce jour près de 15 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés sur la plateforme Amazon sans avoir eu besoin d’embaucher une grande équipe pour l’aider. 

Une passion pour la transmission des connaissances

Un excellent vendeur ne fait pas forcément un bon formateur, et Olivier ALLAIN le sait très bien. C’est pourquoi, l’envie de transmettre aux autres est un élément primordial pour réussir à être un formateur de haut niveau. Sur ce point, Olivier ALLAIN montre à travers sa chaîne YouTube qu’il n’est pas avare dans les conseils pour aider les autres à réussir dans la vente sur Amazon.

La proximité avec ses membres

L’ensemble des élèves d’Olivier ALLAIN nous ont confirmé que l’un des points forts de leur formateur était sa proximité avec eux. En effet, il commente au quotidien les posts et commentaires laissés sur les réseaux sociaux mais aussi dans son groupe dédié aux membres de la formation. De plus, pour rester en contact et être proche de ses membres, il n’hésite pas à faire régulièrement des vidéos en direct pour apporter de nouvelles informations ou recueillir les avis de ses membres.

La remise en question au quotidien

Olivier ALLAIN ne se repose pas sur ses lauriers et améliore sans cesse son programme de formation afin de le garder au top niveau. De plus, il est à l’écoute des attentes de ses membres afin de proposer des offres toujours plus qualitatives qui collent à leurs besoins.

Une détermination à toute épreuve

Enfin, Olivier ALLAIN est connu et reconnu pour avoir une détermination sans faille. Ainsi, chaque échec potentiel est pris comme une étape d’apprentissage supplémentaire pour devenir une meilleure version de soi-même.

Comment Olivier ALLAIN est-il devenu formateur ?

Le formateur Olivier ALLAIN nous a confié avoir eu l’idée de se lancer dans cette activité au cours de l’année 2016. En effet, plusieurs connaissances de son entourage lui ont demandé comment il pouvait bien gagner sa vie sans être salarié. De ce fait, il a commencé à leur donner des conseils, qu’eux-mêmes ont appliqués. Ensuite, au fil des semaines, ces proches ont commencé à obtenir également des résultats. L’idée était là, mais Olivier ALLAIN a attendu près de 2 ans avant de tourner sa première vidéo YouTube. 

La vente sur Amazon en quelques mots

Pour mieux comprendre l’activité, voici en quelques mots comment résumer la vente sur Amazon. Ainsi, il s’agit d’une activité de E-commerce qui s’effectue directement sur la plateforme Amazon.fr. Le vendeur créer un profil vendeur professionnel, et met en vente ses propres produits qu’il souhaite vendre sur la marketplace. De plus, il est possible de vendre sur les autres plateformes Européennes comme Italie, Espagne, Allemagne, Royaume Uni, Pays Bas et ainsi toucher des centaines de millions de clients potentiels.

Vendre sur Amazon possède plusieurs avantages : 

Se lancer sans site internet

Ainsi, les vendeurs sur Amazon utilisent une fiche produit directement sur la plateforme et n’ont donc pas besoin de créer un site internet. Par conséquent, cela rend le lancement d’un produit beaucoup plus simple et surtout plus rapide.

Pas besoin de connaissance informatique

Ensuite, il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances informatiques en codage ou programmation car il suffit de remplir des champs prédéfinis dans la fiche produit.

Vendre dès le premier jour sans publicité

Enfin, l’élément le plus incroyable est la capacité de vendre dès le premier jour d’activité sans faire de publicité. En effet, grâce aux optimisations apprises dans le programme Amazon Révolution d’Olivier ALLAIN, il est tout à fait probable de vendre dès les premières heures de présence sur Amazon.

Comment changer de vie avec l’aide d’Olivier ALLAIN ?

Enfin, si vous souhaitez vous lancer dans le E-commerce en parallèle de votre activité ou à temps complet, vous pouvez vous rendre sur le site d’Olivier ALLAIN pour en savoir plus sur ce concept. Au moment où nous écrivons ces lignes, près de 3000 personnes se sont lancés dans cette activité en ligne dans le but de devenir libre. 

Rutabago, une entreprise pour le moins solidaire !

L’idée de Rutabago vient avant tout de la volonté de vouloir améliorer le quotidien. En se posant la question de la pénibilité pour eux, les cofondateurs comprennent que résoudre la problématique du gaspillage alimentaire et des courses reste une préoccupation majeure pour tous les Français.

La genèse de l’idée

La première motivation des cofondateurs n’est pas liée à une idée. Ils cherchent avant tout à créer un cadre où il fait bon vivre et décident de se pencher sur les solutions qui peuvent permettre de simplifier la vie quotidienne en septembre 2015 alors qu’ils sont encore consultants. Issus tous les trois du monde informatique, ils cherchent à créer une application géolocalisée qui permet de télécharger tous les catalogues des commerces de proximité et de se faire livrer à domicile. Ils se lancent rapidement dans l’aventure et quittent leur poste en janvier 2016.

En s’informant davantage, ils trouvent que si le concept permet de faciliter le quotidien, certains aspects comme le fait d’ajouter une « surcouche » de services aux commerces de proximité ou la qualité des produits proposés représentent un frein. Ils s’intéressent alors à la chaîne d’approvisionnement et en rencontrant le monde de la distribution, ils s’aperçoivent de la nécessité de s’orienter sur des circuits courts. Petit à petit, ils arrivent sur une solution qui allie cuisine, tout en respectant les producteurs, l’environnement, les produits de saison et en aidant le consommateur à avoir une alimentation de qualité. Aujourd’hui, Rutabago propose des paniers prêts-à-cuisiner avec des recettes créées par des chefs et validées par un réseau de diététiciens-nutritionnistes partenaires, Smart Diet. Ces paniers sont accompagnés de tous les ingrédients pré-dosés nécessaires, issus directement des producteurs, de saison et 100 % bio. Le premier panier prêt-à-cuisiner a été livré en mai 2016.

Un concept qui s’est affiné.

Ils expérimentent une première offre à l’été 2016 avec un site ouvert à un nombre limité de consommateurs. Seulement 50 personnes y ont accès afin d’avoir des retours sur les produits pour éventuellement l’adapter avant de l’ouvrir à un plus large public. S’ils proposent au début un panier prêt-à-cuisiner avec entrée, plat et dessert, celui-ci évolue avec les avis des early adopters. Il s’avère qu’ils préfèrent un plat unique pour des questions de temps (de préparation) et que le prix se révèle trop élevé à cause du choix trop important.

Ils ajustent alors l’offre et proposent trois paniers différents : le panier Tradi avec des recettes inspirées des classiques, le panier Evasion avec des recettes aux saveurs exotiques et originales et enfin le panier Végé avec des recettes encore plus végétales et gourmandes. Le concept plaît et les fondateurs agrandissent leurs locaux afin de pouvoir répondre à la demande. Ils ne s’arrêtent pas là et cherchent à s’améliorer de manière constante. N’étant pas experts dans le domaine de la communication, ils recrutent une équipe afin de compléter leurs compétences manquantes.

Un écosystème recherché

Rutabago fait partie de l’économie sociale et solidaire et dispose du label ESUS, un écosystème dont les fondateurs cherchent à s’entourer. Ils sélectionnent des acteurs qui partagent les mêmes valeurs que ce soit « les producteurs, des grossistes, des sociétés de livraison, nos partenaires diététiciens-nutritionnistes… ». L’entreprise donne ainsi ses invendus. Une idée payante puisque l’entreprise compte aujourd’hui 20 personnes, une communauté de 20 000 clients, 2 500 abonnés et 20 000 repas livrés par mois.

Une ascension fulgurante qui ne doit cependant rien au hasard. Si l’entreprise a réussi à se développer c’est avant tout grâce à la solidarité de son équipe qui a su faire corps dans les moments difficiles de la création d’entreprise (recherche de financements, besoin de ressources complémentaires etc.) « Nous avons notamment eu une levée de fonds complexe qui a beaucoup tardé mais nos équipes sont restées soudées malgré des besoins de financement certains. ! » nous confie Pierre Pointard, cofondateur de Rutabago.

Avec une augmentation du volume depuis exponentielle, l’entreprise a clôturé fin 2019 une belle levée de fonds de 1.8 million d’euros qui a pour objectif ambitieux de la faire connaître de tous les français, développer une nouvelle image retravaillée et renforcer les liens avec une communauté déjà solide.

Ces nouveaux comportements liés au coronavirus

Il est clair que le confinement risque de profondément bouleverser nos comportements à la rentrée. Le risque sanitaire devrait demeurer présent à la reprise. De plus, il est fortement possible que nous soyons beaucoup à modifier nos comportements. Petit zoom sur quelques évolutions qui risquent d’arriver pour la rentrée. 

Attention les bisous vont disparaître.

Pour cette rentrée, d’abord et logiquement, il ne faut pas vous attendre à ce que la rentrée soit chaleureuse. Selon un sondage réalisé par Qapa, 72% des Français estiment qu’ils ne feront plus la bise à leurs collègues même si 54% continueront de leur serrer la main. Il faudra donc être très attentif dans un premier temps à ne pas être dans l’effusion quand vous ferez votre rentrée. A défaut, vous pourriez bien subir quelques déconvenues. Ils sont nombreux à craindre de devenir porteur du coronavirus et surtout à le transmettre à leurs proches. Il vous faudra donc parfois savoir prendre vos distances avec ceux qui souhaitent moins de contact. 

Une particulière attention à la maladie

 Selon ce même sondage, 48% refuseront d’aller travailler par peur de devenir malades. 75% demanderont à leurs collègues malades de rester chez eux. L’ambiance de travail risque donc d’être délétère dans les entreprises et, en tant que chef d’entreprise, il vous faudra bien prendre en compte que l’ambiance peut être tendue au retour. Il vous faudra donc bien gérer les maladies afin que des conflits n’éclatent pas au sein de l’entreprise et ne viennent entacher l’esprit d’équipe. A noter que ces comportements ne devraient durer normalement que quelques mois avant que les habitudes reviennent au galop, du moins on l’espère. Ils seront nombreux à avoir perdu un proche ou une personne de leur entourage et leur comportement risque d’en être affecté et on peut le comprendre. L’empathie devra être au rendez-vous.

Une tendance à consommer local et à distance

Le coronavirus a mis en exergue l’importance de produire et de consommer local. Il se peut donc que de nombreuses personnes commencent à s’intéresser à la production locale en sortie de confinement. C’est d’ailleurs déjà le cas aujourd’hui, où on s’aperçoit que les magasins alimentaires qui affichent du local sont de plus en plus pleins. Si ce phénomène prenait déjà de l’ampleur avant l’arrivée du coronavirus, il devrait d’autant plus s’amplifier tout comme la consommation via le drive ou internet. De nombreux français ont testé une première fois et devraient adopter de nouvelles habitudes d’achat et favoriser celles qui peuvent se faire à distance, d’abord par souci de gagner du temps. La relocalisation de nombreux pans de l’économie devrait également être à l’étude. 

Un excès de sortie

Autre comportement attendu lors de la sortie de confinement : tout le monde dehors ! Après des mois de frustrations et de confinement, il ne faut pas vous attendre à ce que tout le monde reste chez soi. Ils vont être nombreux à vouloir retrouver les joies du social et les cafés, restaurants, lieux de sorties ne devraient pas désemplir. Quid des salles de sport après de nombreux excès et à la veille de l’été qui devraient soit connaître le succès (car les kilos en trop seront à perdre rapidement), soit la désertion (car se retrouver enfermé et attraper le virus pourrait faire fuir). Dans tous les cas, il faut s’attendre à voir énormément de personnes dans les parcs et autres lieux à l’extérieur de la maison. Les invitations devraient pleuvoir et remplacer les apéros WhatsApp. 

Une hygiène renforcée

Autre comportement qui devrait énormément changer, chacun devrait faire beaucoup plus attention à l’hygiène à la rentrée et c’est tant mieux. Le fait de se laver les mains régulièrement devrait être multiplié ce qui ne devrait pas déplaire à la majorité des personnes. D’ailleurs ceci est vrai pour l’ensemble des gestes barrières qui devraient d’ailleurs être rappelés régulièrement dans les spots publicitaires. 

Certains commerces vont déborder

Attention car il vous faudra être très réactif pour cette rentrée notamment pour tout ce qui touche à l’esthétisme. Vous ne serez pas le seul à vouloir perdre votre look d’homme des cavernes et il faudra s’y prendre tôt pour aller au coiffeur par exemple que ce soit pour des rafraichissements ou pour des colorations. Il reste donc fortement conseillé de prendre rendez-vous très rapidement si vous ne souhaitez pas garder votre look de confinement car les files d’attendre risquent d’être longues. Tous les commerces qui ont été fermés en priorité mais également ceux jugés non indispensables devraient connaître un afflux de visiteurs pour pallier les carences du confinement. L’impossibilité de commander bon nombre de produits va générer un afflux de commandes dans un même instant. 

Suractivité et sous activité

Côté travail, deux tendances peuvent se produire. Vous pouvez vous retrouver dans une situation pire que dans une rentrée habituelle dans les deux sens. Il se peut que votre secteur soit particulièrement la cible de demandes notamment car les grandes vacances ne seront pas loin. Si de nombreuses vacances devraient annuler, il se peut que les commandes se fassent très rapidement. Il vous faudra donc gérer l’afflux de réservations et l’anticiper si vous ne voulez pas vous retrouver noyé. Dans l’idéal, n’hésitez pas à prendre de l’avance car il vaut mieux prendre quelques congés si l’activité baisse à la rentrée que de vous retrouver complètement débordé à ne plus savoir où donner de la tête. 

Passer les barrages et dévier les objections au téléphone

En ce moment particulier, joindre vos clients au téléphone est une judicieuse idée. Certes, ils sont peut-être en difficultés mais leur montrer que votre entreprise est présente et qu’elle n’est pas submergée par la pandémie, les rassurera des informations négatives qui montrent le naufrage général. Certains fournisseurs englués dans la problématique actuelle se font silencieux, vous laissant l’espace-temps pour vous faire connaître et tisser des liens. Vous allez donc devoir apprendre à passer les barrages et à maîtriser la réponse aux objections.

Prospects, recruteurs, partenaires potentiels… Il est parfois bien difficile de franchir l’obstacle du standard téléphonique. Certains insistent, d’autres biaisent, d’autres encore argumentent. Pour s’assurer de passer un barrage téléphonique de façon professionnelle sans avoir recours à des méthodes dites de « contournement », voici une approche qui a fait ses preuves

Comment vous présenter ?

Première règle, ne pas se présenter tant que l’on ne vous le demande pas… Et ne pas se donner du monsieur ou madame, mais donner simplement son prénom, suivi de son nom. Ne jamais mentir. Dire à la standardiste que M. Dupont attend votre appel, alors que ceci est faux est une stratégie très court terme. Vous serez immédiatement disqualifié par votre interlocuteur final qui aura pris sur son temps parce que vous vous êtes recommandé à titre « personnel » ou « déjà en contact ». Par contre sur un second contact : « Nous avions convenu de nous appeler aujourd’hui », quasi vérité, passe assez bien.

Personnalisez votre contact

L’utilisation de son prénom présuppose socialement que vous le connaissiez même si vous ne faites qu’utiliser son prénom et son nom.
Enfin si la standardiste a aussi un prénom et vous le donne c’est pour l’utiliser. Vous personnalisez ainsi votre contact et elle devient dans votre conversation une vraie personne unique. Pour peu que vous preniez soin de vous en souvenir, ou que vous vous enquériez de ses propres préoccupations que vous commencez à connaître, comprendre et anticiper : vous deviendrez pour elle aussi, avec un peu d’expérience un interlocuteur unique. Sachez-vous présenter avec un ton agréable, et surtout ne dénigrez jamais le barrage. Considérez la personne au bout du fil comme une personne à part entière qui est là pour vous aider. Attention, on sait rarement quelle est la personne qui répond, elle peut aussi bien être un assistant, un opérationnel, un décisionnaire ou un prescripteur qu’un manager.

Comment sa qualifier auprès de la standardiste ?  

En étant bien renseigné sur l’entreprise que l’on contacte (produits, services, marchés), on élève techniquement son appel.
Cette approche doit être effectuée uniquement si le service proposé par votre société justifie cet aspect technique. Le ton de votre voix ainsi que son débit ne doivent pas laisser supposer que vous disqualifiez votre interlocuteur. Votre prospect a besoin de vous. Vous l’appelez pour lui faire bénéficier d’un service ou produit qu’il attend, largement répandu dans sa fonction avec beaucoup de satisfaction, et dont il a besoin (ou un produit nouveau qui lui donnera un avantage sur ses concurrents : Patrick Dupont est au minimum votre égal voire votre débiteur, d’ailleurs il vous le dira : « Merci d’avoir appelé »).

Adoptez le bon comportement face à des objections

Une objection est généralement perçue comme une remise en cause de sa présentation. C’est un moment parfois difficile à gérer. Il est important de la voir comme une opportunité : celle de répondre aux vraies préoccupations de votre interlocuteur. La bonne réaction et le bon comportement feront toute la différence. L’objection n’est pas une agression personnelle. Elle révèle tout simplement que votre contact a besoin de mieux comprendre et surtout d’être rassuré. Écouter, reformuler et construire sa réponse. Il est donc nécessaire de profiter de cette opportunité pour poser des questions.

Soyez succinct

Idéalement, l’appel ne doit pas durer plus d’une minute. Déclinez vos nom et prénom (les « madame » et « monsieur » sont à proscrire) suivis de votre fonction et du nom de l’entreprise. Si vous êtes recommandé, indiquez-le d’emblée. Enchaînez avec votre phrase d’accroche. Sauf si vous appelez un portable, évitez le très risqué « je ne vous dérange pas ? », qui peut encourager votre interlocuteur à écourter la conversation. Et demandez sans tarder un rendez-vous en proposant un choix fermé.

Et n’oubliez pas : votre but n’est pas de lui vendre quelque chose mais d’obtenir un rendez-vous. C’est là que votre phrase d’accroche et votre préparation à la levée de toutes les objections possibles feront la différence.

Article par EVELYNE PLATNIC-COHEN | FONDATRICE & PDG | BOOSTER ACADEMY

Combien de temps va durer le confinement ?

La durée restante de confinement pose de nombreuses interrogations aux chefs d’entreprise notamment quant à l’organisation du retour à l’activité. Si les comportements de chacun devraient largement influer sur les méthodes de déconfinement, certaines hypothèses restent plus probables que d’autres. Zoom sur ce qu’en pense notre rédaction au 06 avril 2020.

Un déconfinement pas avant le 28 avril

L’hypothèse la plus probable reste qu’il n’interviendra pas avant cette date. Tout simplement parce que le gouvernement suit l’avis « minimum » du conseil scientifique ou des avis de scientifiques qui sont parfois divergents. Il est donc peu probable que les spécialistes de la santé interviennent avant le 28 avril. D’autres raisons objectives poussent à la même conclusion. Par exemple, le fait que les hôpitaux sont actuellement surchargés et qu’il faut bien attendre que les patients actuels sortent pour éviter une nouvelle propagation de grande envergure. Autre élément.. Le gouvernement a clairement montré sa volonté de tester un maximum de personnes lors de la sortie du confinement et il faut bien noter qu’on est très loin d’avoir reçu les tests qui permettent de savoir si une personne a été contaminée ou non et si elle a développé une immunité au virus. Il est peu probable que l’arrivée de ces tests soit imminente. 

Le meilleur des cas semble le 03 mai. 

Si le nombre de décès, le nombre d’hospitalisation, le nombre de personnes en réanimation, l’arrivée des tests et des masques s’accélèrent, vous pouvez espérer un déconfinement pour cette date car des éléments fiables seront présents pour éviter le développement de l’épidémie. Même si chacun souhaite sortir rapidement et que le gouvernement pourrait céder à l’impatience des français et à l’urgence que l’économie reprenne, le meilleur des cas semblerait un déconfinement à cette date. Elle suppose la conjonction de nombreux facteurs et même si les chiffres actuels sont en ce sens, ils peuvent très bien renverser les prédictions et il semblerait que les plans du gouvernement en termes d’approvisionnement ne se déroulent pas tout à fait comme il l’envisageait et il se pourrait bien que ce délai soit repoussé à la semaine suivante.

L’hypothèse du 10 mai.

Cela commence à sembler loin mais cela paraît de plus en plus l’approche la plus réaliste. Surtout quand on voit que quelques français se sont permis des sorties autorisées pour profiter du beau ce week-end (on ne les remerciera jamais assez de nous rajouter du confinement pour des raisons comme aller faire une promenade tout bonnement inutile. On ne leur souhaite jamais de finir en prison car vu qu’ils ont du mal à rester confinés chez eux, on peut se demander comment il le ferait dans des conditions plus difficiles, bref petit coup de gueule de la rédaction).

En considérant que tout se passe bien le déconfinement devrait donc intervenir à cette date. Déjà parce que les difficultés rencontrées sur les fournitures devraient être résolus, les hôpitaux devraient désemplir et qu’il serait bien que l’économie reparte et que l’état a tout intérêt à ce que vie des entreprises reparte. Une hypothèse à confirmer cette semaine. 

Un déconfinement probablement par région

Pour faire simple et à cette date, il apparaît clair que tout le monde ne devrait pas sortir du confinement à la même date. Les régions les premières touchées devraient d’ailleurs être les premières à en sortir car les hôpitaux devraient avoir reçu les équipements nécessaires à l’éradication de l’épidémie. Ainsi, le nombre de personnes immunisées, puisque plus touchées, devraient donc être plus important dans les régions du Grand-Est et de l’Ile de France. En attendant, les autres régions devraient voir le nombre de cas se multiplier et leur capacité à gérer la crise se restreindre. le confinement devrait se poursuivre. L’arrivée progressive des tests prône également en cette faveur car leur nombre devrait augmenter progressivement. Cependant, il faut être réaliste, il ne sera probablement pas possible de les réaliser sur toute la France au même moment. 

De nouveaux confinements possibles

S’il faut bien anticiper quelque chose c’est qu’il est fortement probable que ce confinement ne soit pas le seul. Dans le cas où les habitudes des Français en sortant du confinement ne respecteraient pas bien les gestes barrières et où la contamination reprendrait à nouveau, il peut être une bonne idée d’envisager qu’au fur et à mesure que les hôpitaux se reremplissent, on impose un nouveau confinement . Si dans les autres pays, cela ne semble pas être le cas, il faut espérer qu’il en soit de même en France et que l’augmentation de la capacité des hôpitaux et les commandes qui arrivent enfin permettent de suffisamment restreindre la propagation du virus pour éviter qu’un nouveau confinement soit nécessaire. Depuis le début, ce qui semble être le mot d’ordre reste finalement qu’en dehors des personnes particulièrement vulnérables la majorité des français vont attraper le virus avant que sa propagation ne cesse. 

Une situation qui pourrait perdurer

A noter tout de même que l’arrivée de vaccin ou de solution pourrait ne se faire que d’ici un an voire un an et demi. Le virus pourrait donc revenir, ce qui pourrait prolonger la situation. Il est donc nécessaire pour les entreprises d’anticiper cette situation en rendant le télétravail hautement accessible et à mettre en place le matériel nécessaire ainsi que les logiciels pendant le laps de temps de la sortie du confinement. Ces mesures étant utiles dans d’autres situations et s’adaptant au monde du travail moderne, cela ne sera pas perdu, on l’espère tout au moins. 

Comprendre le compte de résultat

La comptabilité est la boussole de toute entreprise. La déléguer uniquement à votre expert-comptable sans en comprendre un traitre mot serait un manque de discernement évident.  Certains pensent que la simplification administrative des entreprises passe par la suppression des obligations comptables. Pourtant, la comptabilité est la base de tout outil de pilotage de l’entreprise. Le plus basique d’entre eux est l’élaboration d’un compte de résultat pour l’entité que l’on dirige.

Le compte de résultat de l’entreprise

C’est la photo prise à un moment donné de l’entreprise (fin de mois, fin de trimestre, fin d’année) et qui représente l’évolution de son activité depuis le début de la période choisie.

Comment il se compose ?

Le compte de résultat est un document comptable qui prend en considération l’ensemble des postes de produits (ou recettes, ou ventes) que l’on compare à l’ensemble des postes de charges (ou dépenses, ou achats), ceci à partir des enregistrements quotidiens en comptabilité durant un exercice comptable. La différence représente le résultat de la période : un bénéfice si les produits sont supérieurs aux charges ; un déficit si les charges sont supérieures aux produits. Le compte de résultat sert à informer sur les performances réalisées par une entreprise. Le compte de résultat permet à l’administration fiscale de prendre connaissance du bénéfice réalisé par une entreprise et à  des investisseurs potentiels de bien cerner la rentabilité. 

D’autres indicateurs issus du compte de résultat

Dans le cadre d’une présentation dynamique, il peut être mis en exergue les soldes intermédiaires de gestion (SIG) que sont :

  • La marge commerciale : la différence entre les ventes et les achats pour les activités de négoce.
  • La valeur ajoutée (VA) : la différence entre les produits et les achats auxquels sont ajoutés toutes les charges d’exploitation liées à l’activité (loyer, entretien, assurances, honoraires, publicité, télécommunications et services bancaires).
  • L’excédent brut d’exploitation (EBE) : la valeur ajoutée (VA) à laquelle sont soustraits les impôts et taxes et les frais de personnels.
  • Le résultat d’exploitation (RE) : l’excédent brut d’exploitation auquel sont soustraits les charges et produits calculés que sont les dotations et reprises sur amortissements, ainsi que les autres produits et charges courantes.
  • Le résultat courant : le résultat d’exploitation duquel est soustrait ou ajouté le résultat financier (différence entre produits et charges financières).
  • Le résultat net : le résultat courant duquel est ôté le résultat des opérations exceptionnelles intervenues dans la période.

À partir de ces agrégats, il peut être déterminé les ratios de gestion ; ce qui consiste à rapporter chaque solde intermédiaire de gestion au montant total du chiffre d’affaires, et ainsi déterminer une valeur relative en pourcentage. Cela permettra, notamment, une comparaison plus pertinente sur plusieurs périodes.

Il est facile de saisir son utilité qui permet d’analyser la situation de votre entreprise. Pour mieux comprendre, demandez à votre expert-comptable de vous présenter le résultat de votre activité sous la forme d’un tableau des soldes intermédiaires de gestion. Vous visualiserez ainsi mieux la formation de votre résultat ; un bénéfice bien entendu !

Article par ANDRÉ-PAUL BAHUON | EXPERT-COMPTABLE | CREATIS

Une patate connectée fait sensation au CES de Las Vegas

L’édition 2020 du salon Consumer Electronics Show, événement consacré à l’innovation technologique en électronique grand public à Las Vegas, a eu droit à ses moments insolites. Sur le stand de la French Tech, un compatriote s’est fait particulièrement remarquer en proposant une invention des plus farfelues : « Potato », une patate connectée avec laquelle on peut connecter son portable en Bluetooth ou lui poser des questions comme Siri et Alexa. Réelle invention ou simple blague ? À vous de juger !

Potato, la pomme de terre connectée.

Nicolas Baldeck, entrepreneur grenoblois, a réussi à décrocher un stand avec d’autres start-up de la French Tech. Les visiteurs ont ainsi pu admirer son invention atypique dénommé « Potato », une simple pomme de terre qui se voit attribuer d’un dispositif doté d’un capteur, d’une puce électronique et d’une antenne wifi. Celui-ci ne nécessite pas de batterie étant donné qu’il exploite les électrolytes présents dans la patate comme source d’électricité. Connecté par Bluetooth, le dispositif transforme alors le légume en sorte d’assistant connecté qui répond à vos questions, par l’intermédiaire d’une application mobile comparable au Siri d’Apple, à Alexa d’Amazon ou au Google Home. Son créateur a mis en lumière son invention comme étant « l’une des innovations les plus disruptives du CES 2020 », capable « de décoder le langage de la pomme de terre et de connaître son état de ‘’ santé ’’ ».

Une initiative jugée comme humoristique.

La plupart des médias et commentateurs voient l’initiative du jeune homme originaire d’Annecy comme une simple blague, avec un but principal, celui de souligner les outrances du phénomène des startup technologiques, l’absurdité voire le ridicule d’innovations de l’industrie de la High Tech comme les produits connectés présentés au CES, qui sont parfois vides de sens par rapport au quotidien du commun des mortels. Il a ainsi réussi à tromper la vigilance du salon avec l’aide d’un simple formulaire, de l’utilisation de termes à la mode dans le monde des start-up comme « intelligence artificielle » et de la conception d’un kit de presse avec « photos techniques » et « vidéo YouTube de présentation ».

Pour Nicolas Baldeck, son projet reste sérieux et présente une réelle invention technologique et n’est « pas un canular pour ridiculiser le CES » mais plutôt « une performance artistique pour pousser les gens à réfléchir à la mode actuelle du “ tout connecté ”. Je ne pense pas que mettre une puce Bluetooth à 5 $ dans un produit et le vendre trois fois son prix le rende innovant ou utile. Il ne s’agit pas d’innovation technologique.

Il s’agit d’innovation marketing ». Le dispositif est en vente pour la somme de 29,99 euros sur la plateforme de financement Indiegogo : à l’heure actuelle, 172 personnes l’ont précommandé. Pour ce français qui a fondé son entreprise, BPZ Labs, en 2015 en proposant une balise météo pour les parapentistes, le coût de cette performance lui revient quand même à 4 000 dollars, dont 1 000 dollars déboursés pour la location du stand au sein de la zone Eureka Park et 3 000 dollars pour le déplacement et l’hébergement à Las Vegas. Son initiative a pourtant attiré l’attention, car le jeune entrepreneur a ensuite reçu plusieurs propositions d’entreprises pour travailler notamment sur la connectivité d’une montre suisse.

D’autres objets insolites se sont fait la part belle.

Les allées du Consumer Electronics Show ont vu apparaître plusieurs produits insolites, atypiques ou totalement improbables. Notamment le cas du RollBot, un petit robot en forme de tête d’ours qui n’a pas peur du ridicule. Sa principale mission : livrer du papier toilette à l’utilisateur qui le demande. C’est Charmin, la marque de papier toilette de la multinationale américaine Procter & Gamble. Possédant deux roues et une surface pour stocker le papier toilette, le RollBot répond aux urgences pressantes via la connectivité Bluetooth et se dirige de façon autonome vers les WC, grâce à ses capteurs infrarouges intégrés. D’abord bannis du grand salon high-tech de par leur caractère jugé « immoral et en contradiction avec l’image de la CTA (organisme de normalisation et syndicat professionnel américain pour l’industrie de l’électronique grand public, ndlr) », les sex-toys ont pour la première fois cette année, foulés le tapis du CES.

Une revanche pour Lora Haddock qui s’était vu retirer un Innovation Award pour son sex-toy baptisé « Osé » en 2019 et qui revient aujourd’hui avec deux nouveaux produits connectés, dénommés « Onda » et « Baci-baci ». Utilisant la micro-robotique, ces deux stimulateurs de plaisir ont chacun empoché le prix de l’innovation du CES 2020.