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Top 9 des banques d’images sur le web

Les qualités visuelles d’un site internet impactent directement sa fréquentation, et contribuent à renvoyer une image de professionnalisme et de sérieux auprès des utilisateurs. Il est donc important, surtout pour un site marchand, de pouvoir compter sur des images originales en parfaite définition. Pour cela, quelles sont les meilleures banques d’images (payantes et gratuites) disponibles sur le web ?

Adobe Stock (ex-Fotolia)

La plate-forme Fotolia propose à la fois des images gratuites et payantes à ses utilisateurs. Le site regroupe plus de 20 millions d’images en qualité optimale, un bon plan pour illustrer tous les sujets de son choix. Afin de convenir à toutes les utilisations, les photographies disponibles sur le site sont accessibles à travers un vaste choix de formats allant du plus petit au plus grand. Les photos haute définition proposées permettront d’enrichir n’importe quelle page web.

Shutterstock

Tout site professionnel nécessite un enrichissement constant de son contenu pour maintenir l’intérêt des internautes. De même, une campagne publicitaire aura un impact bien plus important avec des images de grande qualité. Les entreprises trouveront ainsi leur bonheur dans la base Shutterstock, qui propose photographies et images vectorielles sur tous les thèmes. Un forfait est nécessaire pour télécharger les visuels de son choix sur le site.

iStock by Getty Images 

Parmi les autres références en matière de banque d’images en ligne, il est possible de citer la plate-forme iStock. Créé en 2000, ce site canadien a été racheté par Getty Images en 2006. Il donne accès à plus de 3 millions de contenus visuels et s’avère idéal pour trouver des photographies originales en haute définition. Les images de son choix peuvent être achetées à l’unité ou par lots selon un système de crédit en ligne.

Dreamstime

Dreamstime fait partie de la même génération que Shutterstock, et elle est aussi originaire des Etats-Unis. Fondée en l’an 2000, Dreamstime est une banque d’images qui compte plus de 89 millions de photos et une base de 472 000 photographes pour alimenter régulièrement la base de nouveaux contenus. En moyenne, ce sont 3,5 millions de photos qui sont rajoutées chaque mois. Dreamstime  attire 23 millions d’utilisateurs (probablement pas tous payants).

123 RF

Cette plate-forme multimédia fait également office de référence sur Internet, avec près de 40 millions d’images laissées à la disposition des utilisateurs. Chaque jour, 35000 photographies sont ajoutées sur le site, assurant un apport permanent en contenus nouveaux. De grandes sociétés comme Apple et Google font régulièrement appel à cette banque d’images très performante afin d’enrichir leurs contenus en ligne.

Getty Images

Cette base de données professionnelle est sans conteste la plus connue au monde, particulièrement prisée des agences de communication. Le site propose des milliers d’images en haute définition, toutes classées par catégorie pour plus de facilité dans ses recherches. Il s’agit d’une banque d’images absolument incontournable, offrant des visuels de toute beauté à travers un grand nombre de domaines différents.

Wikimedia Commons

Toutes les entreprises n’ont pas un budget important à consacrer à leurs contenus visuels. Dans ce cas, une option intéressante est de se tourner vers les banques d’images entièrement gratuites, qui donnent accès à des images de qualité libres de droits. Dans ce domaine, le site essentiel est Wikimedia Commons, qui centralise 15 millions de contenus numériques. Il s’agit de la banque d’images gratuites la plus vaste de tout le web.

RGB Stock

Egalement gratuit, le site RGB Stock constitue une bonne alternative à Wikimedia Commons. C’est une base de données moins importante, mais elle donne un accès libre à des images en haute définition qui viendront enrichir avec profit n’importe quel site. Les fichiers sont triés par catégorie pour simplifier toute recherche.

Depositphotos 

Fondée en 2009, Depositphotos est aujourd’hui la troisième plus grande place de marché de contenu boursier au monde. Cette plateforme de stock est spécialisée dans les solutions créatives et aide les débutants et les professionnels à réaliser leurs projets. Sa bibliothèque contient plus de 210 millions de fichiers de stock. Il n’y a pas que des photos et des vecteurs libres de droits, mais aussi des fichiers vidéo et audio. Vous pouvez télécharger une vaste gamme de musique et d’effets sonores pour des vidéos, des jeux et d’autres projets commerciaux.
Récemment Depositphotos a lancé des outils de retouche photo sur site pour la suppression et la mise à l’échelle des photos en arrière-plan.

Dirigeant comment occuper votre temps libre ?

En cette période estivale qui s’approche, les dirigeants ont de quoi faire après une longue période d’inactivité. Si vous pouvez vous reposer, vous pouvez également vous consacrer à votre entreprise. Zoom sur quelques activités que vous pouvez effectuer.

Commencez par vous détendre

Rien ne vous empêche de vous reposer dans un premier temps : une ballade, des sorties, des jeux, des séries, voire un slot machine à sous gratuit, vous avez l’embarras du choix pour vous détendre. L’essentiel reste de prendre quelques heures ou quelques jours où vous vous reposez réellement sans penser au travail ni vouloir commencer à établir des plans stratégiques que ce soit pour le développement de l’entreprise ou pour les ressources humaines. Vous devez vous déconnecter pour vous ressourcer. N’hésitez pas à faire également des activités culturelles qui pourront booster votre créativité ou encore à aller prendre l’air puisqu’il est possible aujourd’hui de visiter les musées qui sont ouverts. Ne culpabilisez pas et intégrez bien que le repos booste votre productivité. Se détendre fait partie de votre travail et vous permettra de mieux résister au stress. Vous pouvez également organiser des activités avec vos équipes dans la limite du respect des gestes barrières mais surtout de leurs goûts.

Organisez votre rentrée

Après une bonne période de détente, vous pouvez organiser votre retour de vacances et fixer les différents objectifs de votre rentrée. Vous pouvez visualiser les différentes tâches et ressources que vous pouvez allouer à chacune d’entre elles. Vous aurez ainsi un démarrage optimal et vous saurez ce que vous devrez faire. Même si vos équipes sont en vacances, rien ne vous empêche d’organiser leur travail afin qu’elles puissent reprendre sereinement ou encore de leur donner les contours de leurs futures missions afin que celles qui désirent se connecter ou vous faire des suggestions d’améliorations puissent le faire. Il faut dire que la période de confinement a été propice pour tous de se remettre en question et de remettre en question sa manière d’agir. Même si vous ne vous attelez pas aux différentes tâches, vous pourrez y penser tranquillement le moment venu.

Automatisez tout ce que vous pouvez

Pour gagner du temps à l’avenir, vous pouvez automatiser un maximum de tâches notamment celles qui sont répétitives et n’apportent que peu de valeurs ajoutées. Vous pourrez ainsi délester vos collaborateurs de l’ennui et également leur faire gagner du temps afin que vous puissiez ou qu’ils puissent se concentrer sur celles qui rapportent vraiment à l’entreprise et qui donnent du sens à leur travail. N’hésitez pas à leur demander où ils perdent de temps et ou l’automatisation représenterait un gain de temps. Bien entendu, il vous faudra prendre en compte les coûts de celles-ci par rapport à ce qu’elles vous font perdre en temps. Parfois prendre du temps pour la mise en place en fait gagner ultérieurement. Il faut parfois mettre son impatience de côté.

Explorez de nouvelles voies

La période estivale est excellente pour revoir vos plans stratégiques. Elle représente une excellente période pour prendre du recul et confirmer la direction que vous souhaitez prendre. Vous pouvez mettre à plat votre stratégie moyen voire long terme. Comme vous n’êtes plus englué dans l’opérationnel vous pouvez revoir l’ensemble de celles-ci et prendre notamment en compte les nouvelles contraintes et vérifier que les solutions que vous aviez mise en place demeurent toujours optimales. Prendre du recul demeure essentiel pour vérifier que vous n’allez pas dans le mur. Vous pouvez également regarder ce qui se fait dans tous les secteurs d’activité ou ce que la concurrence a mis en place. N’hésitez pas à vous demander si certaines solutions pourraient s’appliquer dans votre secteur ou votre domaine et à les mettre en place avant tout le monde.

Mettre au clair votre direction

Que l’on parle de sens, de valeurs ou de vision, vous pouvez tout clarifier afin de prendre les bonnes décisions toute l’année notamment celles qui sont en adéquation avec vos valeurs mais également emmener vos troupes. Si le sens ou la mission de l’entreprise peuvent vous paraître évident, voire secondaire, il n’en est rien. Les salariés sont de plus en plus en quête de sens et faire une tâche pour faire une tâche n’a rien de réjouissant. Si vous mettez au clair les raisons pour lesquelles ils effectuent leur travail et le bienfait qu’apporte votre entreprise à la société, vous les boosterez. Vous pouvez même mettre en place des indicateurs qui leur permettront de suivre l’impact de chacun ou de l’entreprise.

Vous occuper de vos locaux

Vous pouvez profiter que vos locaux soient vides pour changer l’ambiance de vos locaux. Même si celle-ci peut déjà avoir été transformée et être bonne, le changement fait toujours du bien. N’hésitez pas à utiliser des couleurs vives qui vous permettent de mettre un peu de gaité et des objets qui font se sentir un peu comme à la maison. Le lieu de travail est avant tout un lieu de vie et où vous passez énormément de temps. Une ambiance terne fait venir à reculons vos salariés. Pensez également aux éléments naturels comme la lumière ou des plantes, surtout si vous êtes situés en ville. Veillez également au confort et notamment aux positions de travail qui entraînent bien souvent des TMS, mal du siècle. Un changement de posture, des sièges ergonomiques ou encore du matériel adapté peuvent vous éviter des absences maladie ou encore faire gagner du temps. Prendre soin de vos salariés marque également que vous les considérez comme des êtres humains avant tout et pas seulement comme des machines.

5 marques qui ont attiré leurs clients de façon originale

Les marques ont toujours le souhait de se démarquer pour conquérir leurs clients. Voici quelques exemples de marques qui ont attiré leurs clients de façon originale avant et pendant le COVID 19.

LVMH 

Le groupe français de produits de luxe LVMH met de côté sa production de parfums et de maquillage dans trois de ses usines pour produire du désinfectant. Il les distribuera ensuite dans les hôpitaux français qui luttent actuellement contre l’épidémie.

Pernod Ricard 

Le groupe a offert 70 000 litres d’alcool à Cooper, un fournisseur de gels hydroalcooliques, afin que son laboratoire puisse fabriquer plus de gel,. Une action qui permettra à celui-ci de distribuer 1,8 million de flacons individuels de 50 ml de plus que ce que sa capacité de production annonçait au départ.

Samsung

Pour imiter son principal concurrent Apple, Samsung n’a pas hésité à laisser s’échapper volontairement quelques informations sur internet concernant le Galaxy S4 avant la présentation officielle, avec pour objectif principal de susciter l’attente des consommateurs. Pour le même modèle de téléphone, l’entreprise a déjà expérimenté un système de « queue virtuelle », qui fonctionne sur le même principe qu’une file d’attente normale à un détail près : plus vous parlez du Galaxy S4 sur les réseaux sociaux, plus vous prenez la place de celui qui vous précède ! La file d’attente a été reproduite en vrai sur un mur digital, avec des avatars en lieu et place des futurs clients.

Rue de commerce

En 2013, le fameux site d’e-commerce avait publié un statut sur le réseau social Facebook pour susciter l’attente chez son consommateur : « Une surprise vous attend demain sur la page Facebook… Restez connecté ! » La surprise était double puisqu’elle annonçait à la fois les promotions du jour pour les soldes d’été mais aussi le lancement d’un jeu-concours créé pour l’occasion. Et les internautes étaient au rendez-vous !  

JCDecaux

Avenir a utilisé une technique originale pour mettre en avant le fait qu’il tenait toujours ses promesses. Dans l’une de ses publicités, l’annonceur présente une jeune femme en bikini sur une plage, les mains sur les hanches, précisant : « Demain, j’enlève le haut. » Quelques jours plus tard, l’annonceur affiche une nouvelle publicité sur laquelle la jeune femme apparaît seins nus et précise : « Demain, j’enlève le bas. » Quelques jours plus tard, la même femme apparaît nue, de dos, à côté du slogan de la marque : « Avenir, l’afficheur qui tient toujours ses promesses. » Une publicité efficace qui joue à la fois sur l’attente et la curiosité du consommateur.

NINA 

En avril 2015, la marque a réalisé un teaser de 30 secondes sur Youtube, mettant en scène le célèbre mannequin Laetitia Casta dans un ascenseur en compagnie d’un homme. La publicité s’arrête brusquement et le message suivant apparaît : « Coming soon on ninaricci.com. » (la suite prochainement sur ninaricci.com). Une façon efficace de susciter le suspense et d’amener le client sur son espace internet.

Nespresso  

Fin 2014, la célèbre marque de café a réalisé un teaser de 15 secondes qui mettait en scène l’acteur français Jean Dujardin piquant la réplique de George Clooney « What else ». Pour connaître la publicité dans son intégralité, la marque donnait rendez-vous au consommateur le 29 octobre sur leur site internet pour voir la suite dans la vidéo intitulée « How far ».

L’entrepreneuriat, toujours plébiscité malgré le COVID-19

En 2008, lorsque l’entrepreneuriat a fait ses débuts, nous étions en pleine crise et celle-ci a généré la création de nombreuses entreprises qui ont permis aux créateurs de se sortir de l’impasse du chômage, de pouvoir se réaliser, d’utiliser leur expertise et de donner une nouvelle dynamique. Le contexte actuel de la pandémie contraint les entrepreneurs habitués aux péripéties de l’aventure entrepreneuriale de s’interroger sur leur avenir et pour ceux qui allaient mettre en place leur projet à réfléchir davantage à l’opportunité ou non de le faire.

La crise sanitaire liée au COVID-19 a bousculé la vie des Français et les a contraints à remettre en cause leurs projets professionnels et personnels. La Fondation Entreprendre s’est interrogée sur l’impact de la crise sur l’entrepreneuriat.

L’enquête réalisée par Harris Interactive pour la Fondation Entreprendre auprès de 2713 personnes  près de deux semaines après le début du déconfinement met en lumière certaines réalités. L’idée de cette enquête était de voir si « Le confinement a exacerbé des tendances déjà présentes par le passé ou au contraire influencer les aspirations ou trajectoires professionnelles de manière différente, constituer des opportunités ou au contraire renforcer des inquiétudes inhérentes à ce type de projet, accentuer ou au contraire freiner la propension à vouloir se réaliser à travers un projet professionnel personnel. »

Entreprendre, toujours et plus que jamais un défi 

Les entrepreneurs le savent, créer un entreprise, c’est prendre des risques en contrepartie d’avoir l’indépendance et la  liberté qui est parfois chèrement payé par un investissement tant sur le plan financier que le plan personnel entre autres. Or pendant cette crise sanitaire, 4 Français sur 5 estiment que la création d’entreprise exacerbe les risques (dont 46% de « oui, tout à fait »). 

Selon Blandine Mulliez, présidente de la Fondation Entreprendre :« Cette étude indique que la crise actuelle n’a pas bouleversé la dynamique entrepreneuriale, mais tend à exacerber les tendances déjà observées depuis plusieurs années. Par exemple, la notion de risques, intrinsèque à l’entrepreneuriat, est davantage ressentie. Mais on s’aperçoit qu’auprès des porteurs de projet, la crise les a incités à s’engager encore plus ou à reporter leur projet, et très peu à l’abandonner. La Fondation Entreprendre est convaincue que les entrepreneurs détiennent les clés de la relance économique en France, notamment en créant de l’emploi, et qu’ils réussiront d’autant plus s’ils sont accompagnés pour relever les défis de ce contexte inédit ».

Entreprendre, c’est vouloir donner du sens à son travail et à sa vie 

 (76%) soulignent que la création d’entreprise permet de se réaliser personnellement dans des secteurs qui donnent du sens à son travail, dont ¼ qui l’estiment tout à fait. Or, avant la crise ce sentiment était déjà partagé.

Entreprendre, c’est toujours et encore vouloir créer son emploi

Les prévisions pessimistes et les annonces permanente des licenciements mettent  en exergue le fait  que la création d’entreprise reste pour un Français sur deux une alternative professionnelle intéressante et 45% d’entre eux estime que cela est tentant. Invités à se projeter dans l’avenir et à anticiper les effets de cette crise sanitaire mais également économique, 24% des Français estiment que les conditions actuelles vont doper l’envie d’entreprendre, quand 43% imaginent le contraire et  33% estiment que les difficultés actuelles auront avant tout pour effet de décourager les initiatives.

Poursuivre ou arrêter son projet, telle est l’interrogation

Les Français qui  ont un projet de création d’entreprise, les Français ne sembleraient guère découragés au contraire  : 26% redoubleraient d’envie de mener à bien leur projet, 48% le différeraient dans le temps sans pour autant l’abandonner, et enfin 26% l’abandonneraient.

D’ailleurs 38% des personnes actuellement à leur compte souhaiteraient redoubler d’effort pour poursuivre leur projet, jusqu’à 48% parmi celles qui avaient un projet de création d’entreprise avant la crise du COVID-19 (soit 21% de l’échantillon).

Les obstacles inhérents à la crise

64% des Français déclarant qu’ils reporteraient ou abonneraient leur projet de création d’entreprise évoquent comme principal frein leur inquiétude relative au contexte économique actuel et dans les mois à venir, le second frein, très loin derrière ce premier motif est lié au contexte sanitaire et aux contraintes associées pour exercer leur activité (28%). Les Français déclarant qu’ils reporteraient ou abandonneraient leur projet de création d’entreprise estiment que le contexte actuel général les empêche de se projeter (21%) encore davantage auprès des hommes (23%). Enfin, certaines catégories de population se distinguent sur la perte de moyens financiers pendant la crise qui ne leur permet plus de financer leur projet. A ce titre, les femmes (18%), les jeunes (20%) et les revenus les plus modestes (21%) se distinguent davantage que la moyenne (15%).

Adapter son projet au contexte actuel

Au-delà des prises de conscience des difficultés que la crise sanitaire peut présenter à la création d’une entreprise, la crise actuelle amène les personnes ayant un projet de création d’entreprise (ou souhaitant en développer un) à faire évoluer ce projet, en le repensant (70% de « oui »), en le faisant mûrir ou encore en l’adaptant (60% de « oui »).

Renforcer l’idée de créer son entreprise

Les Français tentés par l’entrepreneuriat déclarent qu’avec la crise, leur volonté de s’en sortir par eux-mêmes en créant leur propre emploi est plus importante encore que par le passé. Dans une moindre mesure, la volonté d’exercer une activité respectueuse de l’environnement et tournée vers l’intérêt collectif émerge également comme des motivations importantes. Si ces dernières ne sont sans doute pas nées de la crise, elles s’en trouvent néanmoins a minima préservées, au mieux renforcées.

Selon Thibault de Saint Simon, directeur général de la Fondation Entreprendre : « Cette étude démontre que l’entrepreneuriat est un formidable levier de réalisation personnelle (76 % des Français) et qu’il demeure, malgré le contexte, très attractif pour près de la moitié d’entre eux (45 %). La prise de conscience de la finalité environnementale et sociale des entreprises au service de leur projet économique fait de l’entrepreneuriat un moteur puissant de transformation vers une société plus juste, pérenne et durable pour nous relever collectivement plus fort de cette crise. Mais ne soyons pas naïfs, le contexte actuel pèse sur la création d’entreprise comme le pensent 43 % des Français ainsi que sur leur capacité d’innovation. Pour soutenir l’entrepreneuriat, la création d’emploi et ainsi participer à une relance durable de notre économie, la mobilisation aux côtés d’acteurs comme la Fondation Entreprendre est plus que jamais nécessaire ».

Les 10 outils de marketing automation au cœur de la réussite d’une entreprise

Les logiciels de marketing automation ont pour objectif d’automatiser les opérations marketing. Les tâches répétitives, telles que les e-mails, l’activité sur les réseaux sociaux et d’autres actions effectuées sur les sites web. L’automatisation facilite les tâches du service marketing ou de la start-up qui doivent optimiser leur temps et leurs actions.

Le marketing automation : automatiser vos campagnes d'emailing

L’automation permet aux entreprises d’acheter et de vendre en attirant les prospects grâce à du contenu utile et personnalisé, qui contribue à leur conversion en clients et à leur fidélisation. Ce type de marketing automation génère d’importants revenus pour les entreprises, tout en offrant un excellent retour sur investissement. Zoom sur les outils performants de marketing automation.

LeadSquared

Un outil pour optimiser une stratégie de marketing automation pour les petites et moyennes entreprises : création de workflow, création, gestion et automatisation des emails, segmentation de vos contacts, création de landing pages, mise en place de lead scoring, tracking des leads sur votre site web. L’outil dispose d’une API et peut être relié à Salesforce, des réseaux sociaux, des solutions de messagerie, différents CMS, etc.

Marketo

Un outil bien adapté aux grandes entreprises. Racheté par Adobe, Marketo est sans doute l’une des meilleures solutions de marketing automation pour les grandes entreprises. Les solutions de marketing automation sont là pour faciliter les tâches d’un E-Commerce. Il aide à optimiser vos conversions et à diffuser le contenu adapté à votre cible : votre gestion des leads, vos campagnes d’emails marketing, votre stratégie marketing sur mobile… Cependant, la lourdeur d’installation et les frais associés sont le plus grand frein à son utilisation. 

Plezi

Un outil qui aide à acquérir des leads en diffusant avec brio vos contenus : création de listes personnalisées pour mieux cibler, création d’emails, de formulaires, de landing pages ou encore de CTA, publication facilitée sur les réseaux sociaux, tracking de vos visiteurs, analyses détaillées sur vos contenus, emails, canaux de communication et conversions. Plezi propose un accompagnement personnalisé et met à votre disposition de nombreuses ressources pour vous aider à mener à bien votre stratégie.

HubSpot

Un outil qui propose plusieurs fonctionnalités. Vous avez la possibilité de combiner plusieurs solutions pour automatiser complètement votre stratégie marketing :

  • HubSpot CRM vous permet de gérer vos contacts
  • HubSpot Marketing intervient dans votre stratégie d’inbound marketing pour vous aider à convertir vos leads
  • HubSpot Sales permet d’optimiser l’efficacité de votre équipe de vente
  • HubSpot Services vient en appui à votre service client

InfusionSoft

Un outil de marketing automation adapté pour les petites entreprises. Sa simplicité d’utilisation vous permet par drag’n drop de créer des processus marketing pour bâtir et personnaliser vos campagnes. La création de landing pages ne prend que quelques clics et des tests peuvent être réalisés pour identifier vos emails les plus performants. En plus des fonctionnalités de marketing automation, vous pouvez bénéficier d’un outil de gestion des paiements et des factures, voire même créer des pages de vente.

Pardot

Un outil de marketing automation développé par Salesforce spécialisé pour les entreprises B2B. Outre l’automatisation de vos campagnes d’emailing et d’autres fonctionnalités de base présentes dans les autres solutions, vous pouvez suivre le ROI de vos campagnes Adwords et de votre référencement naturel. 

Webmecanik

Un outil de marketing automation 100% français. Il peut s’intégrer à de nombreuses autres solutions (PrestaShop, Salesforce, Twitter ou encore Eventbrite…), Webmecanik vous permet de convertir vos leads en vous accompagnant dans votre stratégie de lead nurturing. Les fonctionnalités de base sont présentes : automatisation d’envoi d’emails, de SMS, de posts sur Twitter, de newsletters RSS et de notifications push, segmentation de vos contacts, lead scoring, tracking et accès à des rapports détaillés. Vous pouvez même effectuer des A/B testing pour vos emails et vos landing pages, et bénéficier d’un accompagnement sur-mesure.

Eloqua

Eloqua s’adresse aux entreprises ayant des bases de données clients conséquentes. La solution permet d’intégrer les environnements complexes d’une structure d’entreprise ou d’un parcours de vente. Elle convient aux directions techniques expertes sur des domaines matures. Oracle a lui aussi lancé sa solution de marketing automation B2B, nommée Eloqua. Vous pouvez suivre aisément les comportements de votre cible à travers plusieurs plateformes pour ensuite lui délivrer du contenu dynamique et adapté : par email, sur votre site web, sous forme vidéo, ou encore directement sur mobile. Ce logiciel nécessite l’accompagnement constant d’un expert.

SumoMe

Un outil de référence pour constituer vos bases de données est SumoMe..
Plusieurs fonctionnalités sont fournies par la solution, notamment la fonctionnalité appelée “List Builder”. Celle-ci vous sert à créer des listes de données, par exemple composées des adresses email de vos prospects. Pour que ceux-ci entrent dans la base, ils doivent s’inscrire. Grâce à List Builder, vous pouvez inclure un formulaire d’inscription sous plusieurs formes. Également, vous pouvez directement intégrer un bouton de partage sur les éléments que vous désirez. Ainsi, vous pouvez profiter d’un bouton de partage sur vos fiches produits, permettant à vos clients de faire de la promotion pour vous.

 MailChimp

Un outil pour gérer votre base de données et vos emails. Vous pouvez vous servir de votre base de données durement acquise afin d’envoyer des emails transactionnels ou promotionnels à vos prospects. Les fonctionnalités proposées par la solution sont :

  • La création et l’envoi de campagnes d’emailing ;
  • La création et la mise en place de bannières publicitaires personnalisées ;
  • La création et la mise en place de landing pages personnalisées ;
  • L’envoi de campagnes promotionnelles par email, ou directement sur les réseaux sociaux. Sont ainsi pris en compte :
    • Les campagnes emailing classiques ;
    • Les campagnes Facebook Ads ;
    • Les campagnes Instagram Ads ;
    • Les campagnes Google ;
    • Etc.

Comment le marketing de la nutrition influence-t-il les choix alimentaires ?

Si jadis le marketing était accusé de favoriser l’obésité en invitant à la surconsommation, les temps changent. Depuis plusieurs années déjà les publicités vantant les mérites d’une boisson ou d’un produit gras ou sucré doivent obligatoirement contenir un message sanitaire. On voit désormais apparaître un marketing de la nutrition, où vanter les mérites sur la santé d’un produit est devenu une priorité. 

© Pixabay / stevepb
© Pixabay / stevepb

Nutri Score, bénéfices du produit sur la santé, transparence sur les ingrédients utilisés… Les marques s’adaptent à la tendance et les consommateurs veulent du sain, du bon et du local. Il n’est désormais pas rare de voir les étiquettes de produits alimentaires ou cosmétiques mentionner “sans sulfites”, “sans paraben” ou encore “sans sucre ajouté”.

La médiatisation de certains aliments

Les temps changent. Si le marketing était jadis accusé de favoriser l’obésité, il se rachète aujourd’hui une conscience. Aujourd’hui on promeut la transparence et on met en avant les bienfaits d’un produit. On est ainsi passé d’un marketing alimentaire à un marketing de nutrition. Pour Morgane Soucy, spécialiste en nutrition du site guidedusupplement.fr, si les marketeurs ont développé ces stratégies en s’appuyant sur l’apparition de nouveaux comportements, ils en ont aussi suscité.  Elle prend l’exemple des super-aliments tels que la spiruline, les graines de chia ou encore l’açaï. Ces aliments dont on vante les incroyables valeurs nutritionnelles ont envahi les pages Instagram. Or l’offre reste très limitée et adressée à un public de jeunes cadres bobo. 

Miser sur le bio et la transparence

Le bio est devenu synonyme de qualité et de transparence. L’alimentation bio et locale est en plein croissance. En effet, selon les chiffres du gouvernement, 43% de Français font le choix d’acheter de plus en plus de produits bio et 52% favorisent les produits locaux et les circuits courts. Cependant il reste minoritaire puisqu’il représente seulement 5% des achats alimentaires des Français. Mais de plus en plus de marques développement des produits estampillés agriculture biologique. Ainsi des grands acteurs de la distribution tels que Carrefour ou encore Auchan disposent de leurs étales de produits bio. 

La tendance des “sans”

Vendre les bienfaits d’un produit ne suffit plus. Les marketeurs doivent désormais garantir que leurs produits sont sains. Les allégations santé du type “renforce les défenses immunitaires de l’organisme” sans évaluation étant désormais interdites, il fallait trouver une autre parade pour convaincre les consommateurs des vertus du produit. C’est alors qu’ont émergé les produits “sans” : sans sucre ajouté, sans aspartam, sans OGM, sans matière grasse, sans additif, sans gluten ou encore sans lactose. La mention “sans” est devenu synonyme de plus pour de nombreux consommateurs.

La propriété intellectuelle, la protection des innovations

La propriété intellectuelle revient souvent sur le devant de la scène car elle et source de nombreux conflits mais surtout de pertes financières parfois considérables pour les auteurs ou pour les entreprises qui ont investi leur temps, leur énergie et leur créativité…  Indispensable pour toute entreprise et pour tout créateur, innovateur quel que soit le domaine d’y être attentif le plus en amont possible et donc de prendre les précautions d’usage.

Le droit de la propriété intellectuelle est le droit qui protège les droits immatériels. La propriété intellectuelle concerne aussi bien la propriété industrielle que la propriété littéraire et artistique. Elle a pour objectif la protection et la valorisation des inventions, des innovations et des créations.

La propriété industrielle

La propriété industrielle concerne les créations techniques tels que les brevets, les certificats d’obtention végétale et les topographies de semi-conducteurs, les créations ornementales et les signes distinctifs tels que les marques, les dénominations sociales, le nom commercial, l’enseigne, le nom de domaine ou l’appellation d’origine. 

Comment acquérir la propriété ? 

Les droits de propriété industrielle s’acquièrent par un dépôt en principe pour le brevet, le dessin & modèle ou la marque par exemple mais parfois aussi par l’usage s’agissant des noms commerciaux ou de l’enseigne.

La propriété littéraire et artistique

La propriété littéraire et artistique concerne le droit d’auteur et les droits voisins destinés exclusivement aux artistes et interprètes, aux producteurs de vidéogrammes et de phonogrammes et aux entreprises de communication audiovisuelle.

Comment acquérir la propriété ?

Le droit d’auteur s’acquiert sans formalités, du fait même de la création de l’œuvre. Quant aux droits voisins s’acquièrent entre autres à compter de l’interprétation de l’œuvre (pour les artistes interprètes) ou de la première communication au public des programmes (pour les entreprises de communication audiovisuelle).

Si votre entreprise est à l’origine d’innovations, de créations esthétiques, d’une nouvelle image, d’un nouveau nom vous devez sous peine de vous retrouver un jour déposséder de votre travail protéger votre création.

A quoi sert la propriété intellectuelle ?

Protéger ne signifie pas une action statique. Elle permet aux créateurs de diffuser leurs créations et d’en tirer profit grâce au droit d’exploiter leur œuvre mais cela cependant pour une période déterminée stipulée par la loi.

Se protéger et donc tirer profit de son travail

En fait, elle permet de se protéger des contrefacteurs et des pratiques déloyales qui voudraient tirer des bénéfices en copiant et plagiant.  Pour une entreprise, posséder un portefeuille de brevets, de marques, de dessins et modèles, enrichit le capital immatériel de l’entreprise, et constitue une source de revenus tangibles (cessions de brevets, licences d’exploitation…).

Obtenir la visibilité et la notoriété

Elle permet d’obtenir la reconnaissance de son expertise.   Pour un laboratoire de recherches ou pour une entreprise innovante, elle contribue à renforcer ses liens avec le milieu industriel et à concrétiser ses recherches et donc d’obtenir des financements qui lui permettront d’aller plus loin. C’est un Win Win entre les ingénieurs et chercheurs et les investisseurs. Selon L’iNPI « Déposer des titres de propriété industrielle, revendiquer des droits d’auteur, c’est s’assurer une plus grande crédibilité face à vos partenaires, notamment financiers, et concrétiser le développement de vos idées ou de vos produits. Protéger votre création à l’international, c’est ouvrir de nouveaux marchés pour exploiter vos produits, et s’allier de nouveaux partenaires à l’étranger. »

La contrefaçon, le fléau du siècle

La contrefaçon est devenue un véritable fléau en raison de la vente en ligne. Cette concurrence déloyale pour les entreprises engendre la destruction d’emplois, un danger pour la santé et la sécurité des consommateurs car le produit contrefait ne présente pas les garanties de protection.
La lutte contre la contrefaçon est une nécessité et une priorité pour l’INPI car la contrefaçon encourage les activités illicites, comme les infractions à la législation du travail ou aux normes de fabrication des produits.

L’INPI, acteur de la lutte anti-contrefaçon

En délivrant les marques, les dessins, les modèles et les brevets, l’INPI s’inscrit au cœur de la protection des innovations. Interlocuteur privilégié des innovateurs et des pouvoirs publics, en charge du secrétariat du Comité national anti-contrefaçon (Cnac), l’Institut multiplie les actions en matière de lutte contre la contrefaçon, qu’il s’agisse de coopération internationale, de renforcement de la législation nationale ou de sensibilisation du grand public.

La France, 2ème pays le plus touché par la contrefaçon

Le commerce de produits contrefaits n’a cessé de prendre de l’ampleur ces dernières années. Il se situe désormais à 3,3 % des échanges mondiaux et ce pour un montant global de 450 milliards d’euros par an, selon l’OCDE .
Comme le montre le graphique Statista, les pays qui subissent le plus la contrefaçon sont les États-Unis (avec 24 % de la valeur mondiale des saisies) puis la France (17 %) et l’Italie (15 %). La majorité des produits contrefaits saisis lors de contrôles douaniers proviennent de Chine, Hong Kong et des Émirats Arabes Unis et ce phénomène ne peut que contribuer à intensifier les conflits.

Infographie: La France, 2ème pays le plus touché par la contrefaçon | Statista

La loi PACTE : la propriété industrielle s’adapte aux nouvelles réalités

La loi PACTE promulguée le 23 mai 2019 comprend 221 articles et prévoit l’entrée en vigueur progressive de différentes mesures relatives à la propriété intellectuelle visant à accroître la robustesse, la progressivité et la sécurité juridique des titres français. Elle renforce la place et le rôle de l’INPI au sein de l’écosystème national et international de la propriété intellectuelle.

La loi PACTE offre de nouvelles perspectives d’évolution et de diversification des activités des collaborateurs de l’INPI. Les nouvelles modalités d’examen de délivrance des brevets, ou encore l’internalisation de la procédure administrative en nullité ou en déchéance des marques nationales au sein de l’INPI, conduisent par exemple à faire valoir une nouvelle expertise.

Source : inpi.fr

Conseils marketing pour faire de son entreprise une marque responsable

Les consommateurs sont de plus en plus sensibles au discours éthique des marques. Ainsi pour se démarquer et garder leurs clients, les entreprises doivent-elles adopter un discours responsable. Engagement associatif, lutte contre le gaspillage, vente de produits d’occasion, prise de position contre le plastique… il existe de multiples façons pour une marque d’adopter une image plus responsable.

Si de nombreuses start-ups sont créés de toute pièce à partir d’un concept responsable, d’autres doivent se réadapter aux nouvelles tendances du marché. Le marketing responsable donne l’opportunité aux entreprises de se renouveler et de se démarquer. Pour Maxime Jalbert, expert en marketing du groupe Reviewbox, il s’agit même d’une nécessité. Pour lui, les entreprises ont tout intérêt à jouer le jeu si elles gagner de nouveaux clients et même pérenniser leurs consommateurs existants. Ce nouveau marketing permet non seulement d’améliorer l’image de la marque mais également de booster sa notoriété et par la même occasion son référencement. Voici quelques moyens pour les marques d’adopter un marketing responsable réussi. 

S’engager dans le plastic bashing

La grande consommation est gourmande en packaging. Face à la mobilisation de l’opinion publique sur l’écologie et la pollution des océans, les marques se doivent d’agir en prouvant leur engagement dans la lutte contre le plastique. Mais il s’agit également en France d’une obligation légale puisque le gouvernement a voté l’année dernière l’interdiction du plastique à usage unique pour favoriser sa disparition totale d’ici 2040. La marque Dove s’est d’ailleurs engagé dans une triple action “Zéro plastique, Moins de plastique et Meilleur Plastique” en retirant les emballages plastique des savons Dove ou en utilisant du plastique recyclé pour ses bouteilles de shampooing. 

Faire de la lutte contre le gaspillage

En France, le gaspillage alimentaire représenterait 30 kg par habitant et par an, dont 7 kg de produits qui n’ont même pas été déballés. Pour lutter contre ce fléau et adopter une image plus responsable, de plus en plus d’entreprises s’investissent activement contre le gaspillage. C’est le cas notamment de l’enseigne Carrefour, qui sous l’impulsion de l’application Too Good to Go, qui propose à prix cassés les invendus des boulangeries et supermarchés, est passé à l’action. En effet, l’enseigne de grande distribution a décidé d’ajouter la mention “pour une dégustation optimale” derrière la mention “à consommer de préférence avant”. En effet, de nombreux produits peuvent être consommés plusieurs jours voire plusieurs semaines après cette date indicative. 

Proposer des locations courte durée d’appareils

Un autre moyen de s’engager contre la surconsommation est de proposer la location d’appareils sur une courte durée. Monoprix s’est récemment associé à Seb pour proposer la location d’appareils culinaires. Il est ainsi possible de louer un appareil à raclette, une crêpière ou encore une plancha pour une soirée entre amis. 

Vendre des appareils d’occasion

Toujours pour éviter le gaspillage et la surconsommation, certaines marques font le choix de vendre des produits d’occasion. Décathlon se propose par exemple de racheter de vieux vélos en échange de bons d’achat et des enseignes de vêtements comme Cyrillus ou encore l’enseigne de vente en ligne Asos offrent une section vêtements d’occasion, où les produits de la marque peuvent être revendus entre particuliers. 

Quelle méthode choisir pour établir le prix de vente ?

Aucun entrepreneur ne peut réaliser son projet et développer une entreprise sans avoir établir un prix de vente et bien sûr celui demande d’avoir une véritable stratégie.

Pour donner les chances de réussir à une entreprise, l’équipe Dynamique a recueilli auprès des entrepreneurs qui sont en pleine croissance des conseils. Si croire en son projet est un des fondamentaux de la création, ce n’est pas le seul. Une analyse approfondie du projet sur le plan de la rentabilité et sur le plan de la trésorerie reste incontournable car l’objectif est d’avoir levé un maximum d’obstacles en amont de la création.
C’est pourquoi, tout porteur de projet devra choisir une méthode pour établir le prix de vente et non pas estimer « à la louche » la faisabilité du projet.

La première question à laquelle, le porteur de projet doit répondre est : Est-ce que mon projet est viable ? A court terme, à moyen terme, à long terme. C’est-à-dire ancrer sa réflexion sur d’une part la rentabilité du projet et d’autre part sur les financements dont l’entreprise aura besoin.

Mode d’emploi pour calculer avec succès votre prix de vente !

La rentabilité de votre entreprise

Il faut en amont mesurer si l’entreprise est capable de dégager un chiffre d’affaires suffisant pour pouvoir couvrir les charges, les dépenses, les investissements.
Mais aussi se demander si la marge dégagée sera suffisante pour couvrir les frais et pour pouvoir absorber les charges de l’entreprise. Et donc bien étudier non seulement la nature des charges mais aussi de quels moyens l’entreprise dispose pour y faire face.

Le prévisionnel, la boussole

Celui-ci est au centre de toute réflexion qui sera conduite en amont par le créateur.
Cette réflexion va se matérialiser sous la forme d’un document que l’on appelle le compte de résultats prévisionnel établi en général sur un à trois ans mais aussi sur l’analyse de la trésorerie.
Deux questions vont naturellement revenir :

  • Est-ce que je dispose de suffisamment d’argent pour faire fonctionner mon entreprise ?
  • Est-ce que je dispose de suffisamment d’argent pour lancer mon entreprise et pour financer les investissements en début d’activité ?
  • Pour cela, sont des clefs indispensables : 
  • Le plan de financement 
  • Le plan de trésorerie annuel ou mensuel

Réaliser un chiffre d’affaires pour financer l’activité doit être la préoccupation majeure et il sera nécessaire de se focaliser sur prix de vente.

Comment définir le prix de vente et donc du chiffre d’affaires ?

  • Par imitation
  • Par les charges
  • Par les ventes possibles

En ce qui concerne le prix de vente par imitation, 

il s’agit de se référer à des statistiques professionnelles. En effet, chaque activité génère des statistiques qui sont publiées annuellement. Et le raisonnement se fait par référence à d’autres entreprises du même secteur. En résumé, il s’agit d’une approche généraliste parfois éloignée des réalités de votre entreprise.
En ce qui concerne le prix de vente par les charges, il s’agit d’identifier les charges et à partir d’elles de fixer le chiffre d’affaires à réaliser. Cette manière de procéder ne tient pas compte des possibilités de votre projet et est loin d’être exhaustive.
En ce qui concerne le prix de vente par les ventes possibles, il s’agit d’identifier, estimer, évaluer le nombre de produits que vous allez estimer pouvoir vendre. Cette approche rigoureuse demande une analyse complète de votre projet, une véritable étude de marché et donc de 

  • Connaître tous les paramètres (les clients, les concurrents, les fournisseurs) qui vont influer le chiffre d’affaires,
  • Prendre en compte de votre manière de travailler (à domicile, chez le client…) car le temps facturable ne sera pas le même,
  • Cerner les facteurs d’influence sur le prix de vente ; saisonnalité, l’amplitude d’ouverture, le potentiel de la clientèle sur la zone de chalandise, la zone d’implantation (galerie marchande, centre ville…)
  • tenir compte : de l’attente des clients, des services ou produits proposés, du prix de marché, de la fréquence d’achats (régulières : épiceries, irrégulières (cadeaux.), du type de clientèle (zone urbaine, rurale…)
  •  Appréhender avec rigueur le prix du marché : le prix déjà pratiqué par les concurrents. Ces prix doivent vous servir de référence pour pouvoir établir le juste prix (la qualité de vos produits, les avantages que vous offrez…)

Ces facteurs, il va falloir en amont de la création les quantifier et mesurer mais aussi maîtriser les facteurs déclencheurs de l’achat.

L’axe crucial :  la trésorerie

La trésorerie c’est l’argent nécessaire pour faire face aux besoins. Or pour être viable, une entreprise doit posséder une certaine trésorerie. Le manque de trésorerie est une cause importante des échecs. Il va donc falloir identifier les besoins et les difficultés de trésorerie.
Quels besoins de trésorerie et comment les couvrir ?

  • Les besoins liés à l’exploitation courante (c’est-à-dire les dépenses courantes) 
  • Les besoins liés à la mise en place (dépenses préalables à la création, investissements, téléphone, publicité, local,)
  • Les besoins liés au développement de l’activité (fonds de roulement)

Attention aux réalités suivantes !

L’activité va s’arrêter avant même d’avoir commencé si vous n’avez pas les moyens de les financer même si vous avez un carnet de commandes rempli !
L’étude des ressources dont vous disposez est indispensable.

  • Votre apport personnel (est ce que je m’en sers maintenant ou plus tard) pour financer mes investissements ou est-ce que je le conserve pour mes besoins en trésorerie
  • Les emprunts à réaliser
  • Les dérèglements des fournisseurs
  • L’entreprise et sa capacité à générer des chiffres d’affaires suffisants pour pouvoir financer vos dépenses courantes.

Gestion immobilière : pourquoi réaliser un diagnostic immobilier ?

Au moment de la signature d’un acte immobilier, qu’il s’agisse d’une vente ou d’une location, la présentation d’un diagnostic immobilier est obligatoire. Selon le projet que vous souhaitez réaliser, la liste des examens sera différente ; néanmoins, vous ne pourrez pas passer à côté de ces derniers. Avant de foncer tête baissée et de risquer de lancer les mauvais contrôles ou d’en oublier certains, voyons ensemble ce qu’est un diagnostic immobilier, quelles sont les étapes de sa réalisation, à qui revient la charge de tels examens et quels sont les réels intérêts à se plier à ses pratiques.

Qu’est-ce qu’un diagnostic technique immobilier ?

En quelques mots, un diagnostic immobilier est un examen complet d’un logement. En effet, il permet d’évaluer de nombreuses caractéristiques, via divers indicateurs ou critères, d’une habitation à travers différents contrôles.

Réalisé par un expert certifié, ce diagnostic doit être effectué en amont d’une vente, d’une location, de travaux ou simplement pour s’assurer de la sécurité de son habitation. Par ailleurs, pour connaître l’ensemble de vos droits et devoirs quant au diagnostic immobilier, n’hésitez pas à consulter le site du service public qui est bien fourni à ce sujet. La loi oblige tout vendeur ou bailleur à faire réaliser l’examen approfondi d’un logement, avant la transaction. En fonction de la date de construction, de la zone géographique où se trouve l’habitation et du type de transaction (vente ou location), un nombre variable de diagnostics sera à réaliser.

Comment réaliser un diagnostic immobilier ?

Comme nous l’évoquions plus tôt dans cet article, les diagnostics à effectuer dépendent de la date de construction, du lieu et du type de transaction. Dans le cadre d’une vente d’une maison construite avant le 1er janvier 1949, le dossier de diagnostics techniques (DDT) devra comporter les éléments suivants :

  • Diagnostic de la présence d’amiante avant vente
  • Diagnostic de Performance Énergétique (DPE)
  • Vérification de la présence de plomb
  • Contrôle de l’installation électrique
  • L’État des risques et pollution (ERP)

Pour un appartement à la vente, vous devrez ajouter à cette liste la Loi Carrez, c’est-à-dire la surface habitable du logement. Et pour une maison construite plus récemment, les diagnostics indispensables à la transaction se limitent simplement au DPE et à l’ERP. La constitution du DDT est donc beaucoup plus simple.

Lorsque la transaction n’est pas une vente, mais une location, le nombre de pièces à fournir au dossier dépend également de l’ancienneté du bâtiment. En général, pour la location d’une vielle maison, on retrouve systématiquement le DPE, l’ERP et le diagnostic plomb. Lorsque le bien immobilier est plus récent, le dossier n’est souvent constitué que du DPE, de l’ERP et de la surface habitable.

Vous l’aurez compris, de manière générale, les constructions plus anciennes n’hésitent un examen beaucoup plus complet et approfondi. Parfois, il convient également de réaliser un diagnostic gaz et/ou électricité ainsi qu’un diagnostic termite pour s’assurer de la salubrité du logement. Enfin, il est aussi possible de contrôler la performance numérique ou l’état parasitaire d’un bien immobilier.

Comment devenir diagnostiqueur immobilier ?

Avant d’évoquer la prise en charge des frais et de déterminer à qui incombe la charge des diagnostics à réaliser, il est important de savoir qui va réaliser le DDT. Qu’ils soient généralistes ou spécialisés dans un domaine, de nombreux professionnels, connus sous le titre de « diagnostiqueur immobilier », réalisent des formations comme celles proposées par ADI pour acquérir les compétences essentielles à l’exécution de ce métier. Ces formations permettent d’obtenir une certification, obligatoire et indispensable pour pratiquer cette profession.

De la formation diagnostiqueur au diagnostic, qui se charge de quoi ensuite ?

Lorsque la mise en place d’un DDT est nécessaire, il est toujours délicat de savoir qui du vendeur ou de l’acheteur doit prendre à sa charge ces dépenses. Si la logique voulait que le vendeur s’acquitte de la somme totale due pour le DDT, dans certains cas les deux parties du contrat mettent la main à la poche. Par exemple, lors de la signature auprès du notaire, il est possible que celui-ci demande un nouveau diagnostic pour des raisons qui ne seraient pas explicitées dans le dossier. A ce moment-là, l’acheteur peut accepter de payer ce nouveau diagnostic.

Toutefois, en général et sauf cas exceptionnel comme celui que nous venons d’évoquer, le coût de l’établissement du DDT revient au vendeur ou au bailleur. Si ces derniers souhaitent limiter leurs dépenses lors de la vente, ils peuvent essayer de négocier avec les acheteurs pour répartir les frais. Sinon, il existe des comparateurs de prix en ligne pour trouver un diagnostiqueur immobilier qui pourrait correspondre à leurs capacités financières. Dans tous les cas, de nombreux professionnels comme Arliane Diagnostic Immobilier vous proposent d’établir un devis détaillé pour connaître le coût de chaque prestation réalisée afin de vous garantir un prix juste, transparent et adapté. De plus, pour éviter les mauvaises surprises ou désagréments, les spécialistes qui réalisent l’examen de votre logement doivent vous fournir un justificatif de performance sous forme d’une attestation.

Pourquoi faire un diagnostic immobilier exactement ?

Au niveau légal pour commencer, un diagnostic immobilier vous permet tout d’abord permet d’être en règle. Le DDT, qui rassemble l’ensemble des diagnostics immobiliers réalisés, a été rendu obligatoire par le Parlement en 2006. Ce dossier permet d’être le plus transparent possible avec l’acheteur. Les diagnostics permettent également aux acheteurs de mesurer l’ampleur des travaux à effectuer avant de pouvoir aménager dans leur nouvelle habitation.

Au-delà de sécuriser la transaction à l’aide des diagnostics obligatoires qui permettent de limiter les vices cachés au maximum, les diagnostics facultatifs peuvent permettre de trouver des solutions d’aménagement pour optimiser les dépenses énergétiques, en réduisant leur consommation en énergie, ou de sécuriser davantage leur logement.

Pour résumer, le DDT qui rassemble l’ensemble des diagnostics immobiliers, obligatoires et/ou facultatifs, permet de sécuriser une transaction immobilière. Ce dossier est en quelques sortes l’image exacte d’un bien en termes de performance énergétique, installation gaz et électricité, surface habitable, présence d’amiante ou de plomb, etc. Aussi, les diagnostiqueurs immobiliers, professionnels neutres et certifiés, sont les garants de la protection des personnes, des biens et de l’environnement en réalisant des enquêtes poussées et complètes des caractéristiques d’une habitation.