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Rendre son référencement naturel plus efficace

Aujourd’hui, les algorithmes sont devenus omniprésents . Ainsi un moteur de recherche est un algorithme qui reçoit une requête de recherche. Il mène une recherche dans sa base de données pour des éléments correspondant aux mots de la requête, et produit ensuite les résultats. Ainsi ” PageRank ” de Google est un ensemble d’algorithmes utilisés par Google pour déterminer l’importance des documents indexés par son moteur de recherche web.

L’efficacité du référencement naturel permet au site web de garantir un excellent positionnement sur les moteurs de recherche. Afin d’assurer l’efficacité du référencement, il convient de mettre en œuvre différentes actions et d’établir des stratégies adaptées.

La présence sur les forums et les réseaux sociaux

La qualité des mots clés, leur pertinence et leur fréquence sur les pages d’un site web constituent la base de l’efficacité du référencement naturel. Le choix de ces mots clés affecte incontestablement le positionnement du site sur les moteurs de recherche. Les sites commerciaux doivent inscrire leur nom sur des sites où se rencontrent plusieurs personnes issues de milieux différents, tels que les forums ou les réseaux sociaux. La réalisation de cette inscription doit se faire de manière journalière. Cette méthode vise à sensibiliser les internautes, et à faire connaître l’entreprise et les produits ou services qu’elle met à la disposition de ses consommateurs.

Adapter son référencement naturel aux algorithmes d’un moteur de recherche

Le comportement des moteurs de recherche n’est pas constant. Ces moteurs renouvellent continuellement leur algorithme. Cette évolution dépend de plusieurs conditions, notamment l’évolution de la technologie, du marché du web, des besoins des internautes et surtout de l’importance de la concurrence. Le référencement naturel doit considérer le changement généré par cette évolution. Cette évolution varie d’un moteur de recherche à un autre. Yahoo ou Bing ne peuvent pas forcément considérer les pages ou les sites optimisés par Google.

Alimenter les pages de contenus pertinents

Un contenu pertinent ne consiste pas seulement en un texte de qualité et riche en information. Il constitue également un texte doté de mots clés pertinents. L’usage des mots clés pertinents permet d’optimiser le contenu de chaque page. Pour que les robots puissent facilement détecter qu’il s’agit d’un texte important, il faut mettre certains mots entre des balises.

Soigner les liens et bien choisir les mots clés

Le choix des mots-clés demeure un critère essentiel. Cette étape n’est jamais facile. Il faut retenir que les bons mots-clés doivent au moins satisfaire à deux principales conditions. Ils doivent être fréquemment tapés par les internautes, et ne doivent pas rentrer dans le cadre des mots clés à forte concurrence, car ces derniers sont très difficiles à positionner.

Le design et l’accessibilité du site

Les moteurs de recherche ne prennent pas uniquement en compte le contenu du site ou des pages. Ils considèrent inévitablement leur design et leur accessibilité. Il ne faut pas négliger le choix des couleurs, ainsi que la structure du site et des pages.
Dans ce contexte, le site doit disposer d’une navigation claire avec un plan détaillé.

Ce qu’il faut éviter

Le respect des conditions imposées par les moteurs de recherche garantit l’efficacité du référencement naturel. En principe, ces plateformes n’admettent pas l’inscription automatique des sites dans les annuaires. Il faut à tout prix éviter les textes cachés, les contenus dupliqués, la surcharge de balise Keyword, la publication non modérée d’image. L’idéal est de publier plus de textes que d’images.

mounirdigital.fr

L’environnement, la planète et l’écologie au cœur des idées innovantes

Des idées innovantes pour protéger la planète sont en train de fleurir aux quatre coins de la planète ! Pour réduire les déchets, chaque pays recherche l’idée qui sera adoptée par tous. Focus sur quelques idées qui ont séduit Dynamique.

Le Royaume-Uni se lance le défi de réduire les émissions de gaz à effet de serre

Le gouvernement de Boris Johnson va inscrire dans la loi britannique l’objectif d’une réduction de 78 % de ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2035 par rapport au niveau d’émissions de 1990, pour atteindre plus rapidement un bilan carbone nul au plus tard en 2050. Ce bilan carbone britannique prendra en compte les émissions des secteurs du transport aérien et maritime qui a pour objectif de réduire les effets climatiques. 

Selon Boris Jonhnson, « Si nous voulons vraiment enrayer le changement climatique, alors cette année doit être celle où nous prenons ce combat vraiment au sérieux. On se souviendra plus tard de ces années 2020 comme celles durant lesquelles les dirigeants mondiaux ont réussi à s’unir pour renverser la vapeur, ou au contraire comme une occasion ratée ».

Boris Johnson veut être le plus « vert » des dirigeants du G7 et a mis depuis l’an dernier la lutte contre le réchauffement climatique au premier rang de ses préoccupations, au plus grand étonnement. Aurati-il une visée politique.

Samsung recycle ses vieux smartphones en instruments de diagnostic ophtalmique

Comment Samsung recycle ses vieux smartphones en instruments de diagnostic  ophtalmique

Grâce à son programme de recyclage, Samsung transforme ses smartphones usagés en instruments de diagnostic ophtalmique abordables, mettant les soins oculaires à la portée de populations mal desservies dans des pays en voie de développement. Le groupe coréen d’électronique étend sa démarche à d’autres appareils de diagnostic médical. Samsung Electronics donne donc une seconde vie à ses anciens smartphones Galaxy, en les rendant plus simples à utiliser que les appareils médicaux commerciaux. Elle s’est associée à l’Agence internationale pour la prévention de la cécité (IAPB) et à l’institut de santé Yonsei University Health System (YUHS) en Corée du Sud pour réaliser ce projet.

Ce programme Galaxy Upcycling contribue à résoudre environ 1 milliard de cas de déficience visuelle dans le monde, qui pourraient être évités grâce à un diagnostic approprié. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), au moins 2,2 milliards de personnes dans le monde souffrent d’une forme ou d’une autre de cécité partielle. Dans près de la moitié de ces cas, elle est facilement évitable. Il s’avère que la cécité partielle est quatre fois plus fréquente dans les régions à revenus faibles et moyens que dans les régions à revenus élevés.

Deux designers français veulent recycler les chewing-gums en roues de skateboards

Dans le cadre de leurs études, deux élèves de l’École de design Nantes Atlantique (Loire-Atlantique) Hugo Maupetit et Vivian Fischer,  ont imaginé un concept innovant de roues pour planches à roulettes. Pour permettre une glisse plus durable, les designers souhaitent recycler un matériau disponible en grande quantité dans la rue : les chewing-gums usés.

« Un déchet planétaire qui touche toutes les villes »

Selon les professionnels du secteur, un chewing-gum jeté dans la nature met cinq ans à se décomposer. «Travailler sur la valorisation des chewing-gums avait du sens : c’est un déchet planétaire qui touche toutes les villes du monde et coûte des milliers d’euros chaque année aux municipalités pour l’entretien des espaces urbains», explique les créateurs et un projet qui en séduira plus d’un.

Adopter une démarche réseau pour se faire connaître

Non ne n’est pas seulement tendance, la démarche réseau est un incontournable dans le monde des affaires. Preuve en est les agences de communications sont nombreuses à offrir leurs services pour permettre à leurs client de créer  d’étendre leurs réseaux. Tous les dirigeants d’entreprise le savent, un bon réseau constitue un important facteur de développement. Pour se faire connaître, rien de mieux que des recommandations de la part d’autres sociétés, le bouche à oreille demeurant une valeur sûre. Voici un mode d’emploi pour adopter une démarche réseau et gagner ainsi en visibilité et en notoriété.

Le succès intemporel du bouche à oreille

Au niveau personnel comme professionnel, l’opinion des autres reste, dans nos choix, un facteur décisif. Depuis toujours, les recommandations de nos proches contribuent à orienter nos décisions et il en va de même dans le monde de l’entreprise. Un collaborateur de confiance vantant les mérites de telle ou telle société incitera les autres à aller voir dans cette direction. Cette méthode de bouche à oreille se trouve à l’origine d’une quantité de succès et ce, dans tous les domaines. La plateforme d’autopartage BlaBlaCar en a bénéficié, la marque de supermarchés Lidl également, au même titre que le constructeur automobile Toyota ou l’enseigne de vêtements Zara.

Imaginez maintenant que plusieurs firmes parlent de la vôtre ! Un réseau constitue une formidable opportunité de se faire connaître et pour une somme modique. Il permet de gagner en visibilité, en notoriété, d’entrer en contact avec de nouvelles relations, partenaires ou clients…Ainsi, il peut s’étendre considérablement, ce qui présente encore et toujours plus d’avantages. Il demeure primordial d’entretenir et d’agrandir votre cercle de relations mais la conception d’un réseau ne se révèle pas évidente pour tout le monde.

Penser en mode réseau : l’importance de la collaboration

Un réseau étendu et solide présente de multiples avantages mais tout le monde ne naît pas avec le sens du contact ! Certaines personnalités, réservées ou solitaires, ont besoin de temps avant de prendre un quelconque engagement. Les personnes dotées d’un naturel méfiant présentent une tendance à l’isolement et préfèrent s’organiser seules pour ne dépendre de personne. Cette méthode peut sembler efficace mais a déjà montré ses limites : il s’avère impossible de tout gérer sans l’aide de personne. En matière de communication, ce constat se révèle encore plus flagrant.

Faire sa publicité seul coûte bien plus cher et implique une masse supplémentaire de travail. Ne craignez pas de déléguer ou de demander aux autres entreprises ! Un réseau sert avant tout à faire parler de soi pour s’assurer de ne pas se retrouver seul dans une mauvaise situation. Travaillez votre image d’entreprise et transmettez-la aux autres. Intégrer de nouveaux partenaires, collaborateurs ou lier connaissance n’implique pas de devenir le meilleur ami de ces personnes, seulement d’échanger avec elles et de trouver une façon de mettre en commun vos capacités pour profiter à tout le monde. N’ayez pas peur d’aller au contact de sociétés susceptibles de vous apporter ce que vous cherchez !

À la recherche du contact idéal

L’objectif d’un réseau organisé consiste à acquérir de nouveaux partenaires ou encore à lier des relations avec des personnes ou des entrepreneurs issus de domaines complémentaires ou différents du vôtre. Cette stratégie permet notamment de gagner en visibilité. Utilisée depuis la nuit des temps, elle nécessite tout de même de la recherche et peut s’avérer chronophage : il faut trouver les personnes qui vous intéressent et le meilleur moyen de les aborder. Pour ce faire, commencez une quête des entreprises proposant des services qui vous seraient utiles. Dans un moteur de recherche, tapez quelques mots-clés et sélectionnez les sociétés qui vous paraissent les mieux adaptées. Si vous disposez déjà de quelques connaissances dans le métier, faîtes appel à elles !

La démarche réseau consiste aussi à penser en fonction de ses relations. Demandez à vos connaissances si elles ont eu vent de quelques entreprises intéressantes dans le domaine qui vous préoccupe. Prenez ensuite contact avec ces firmes, envoyez des mails, passez des coups de téléphone…, afin de vous présenter et d’en apprendre plus sur leurs valeurs, avant d’évoquer un éventuel projet en commun. Si vous ne pouvez accorder ce temps à l’établissement de nouvelles relations, il existe des clubs d’entrepreneurs qui s’en chargent pour vous !

Créer son réseau : si vous intégriez un club ?

Lorsque vous démarrez votre entreprise et que vous n’avez pas encore de relations professionnelles, les clubs d’entrepreneurs peuvent représenter une bonne opportunité. Ces organisations regroupent des professionnels issus d’un ou plusieurs secteurs, désireux de nouer des relations avec d’autres entreprises. Intégrer un club déjà organisé permet de constituer son premier réseau ou de l’élargir. Ces structures proposent plusieurs options : elles mettent généralement une plateforme de discussion à disposition des membres, organisent des événements pour que ceux-ci se rencontrent… Les clubs présentent l’avantage d’entretenir le réseau à votre place au travers de moyens de communication dédiés. Il vous appartient cependant de maintenir le contact avec les membres et de participer à certains événements. Si vous négligez la prise de contact, les autres vous trouveront désintéressé et vous risqueraient de vous oublier un peu trop rapidement.

Entretenir son réseau, une activité primordiale

Un cercle de relations s’entretient ! Si vous ne gardez aucun contact avec celles-ci, votre nom finira aux oubliettes. Penser réseau implique de concevoir vos contacts comme des opportunités pour votre activité. Vous pouvez ainsi les appeler en cas de besoin, tout comme ils sauront vous remercier lorsque vous leur rendrez service. Maintenir le contact avec votre réseau passe à la fois par des messages mais également par des événements comme les clubs en organisent. Rencontrer vos contacts reste essentiel pour qu’ils se souviennent de vous. Si vous préparez un événement vous-même, votre image n’en sera que plus attrayante. Gardez constamment en tête que les autres peuvent vous apporter beaucoup, en termes de savoir, de savoir-faire ou tout simplement en recommandant vos compétences. Ne négligez donc pas l’importance ni l’entretien une démarche réseau.

Le Ba-b.a. pour développer votre clientèle

Développer la clientèle est la préoccupation majeure des entrepreneurs et si elle pouvait surgir comme par miracle seulement en entendant le nom de l’entreprise ou du produit, il en rêve. Mais la réalité est que la concurrence fait rage, que les clients sont souvent fidèles à certaines marques et n’aiment pas forcément le changement ou prendre des risques. Trouver de nouveaux clients n’est pas une tâche facile. Quelques conseils pour développer votre clientèle.

Définir votre cible

C’est le B.A.ba du vendeur. Inutile de vous lancer dans la conquête de nouveaux clients si vous n’avez pas une idée précise de ceux que vous recherchez… Dressez plusieurs portraits robots des clients types susceptibles d’acheter votre produit ou service. Détaillez ensuite quelles sont leurs envies, leurs attentes, leurs habitudes et les lieux ou les sites où ils vont trouver l’information sur les produits : une enquête indispensable pour ne pas se tromper de cible et surtout ne pas éliminer une cible qui aurait pu développer votre chiffre d’affaires ! L’exemple c’est celui des cadeaux pour les enfants : les enfants eux-mêmes, les parents, les grands-parents, les tantes et oncles, les amis de l’enfant…

Conquérir votre cible

Une fois votre cible définie, tentez de la conquérir en communiquant sur l’entreprise et son offre. Encart publicitaire dans la presse, distribution de flyers, envoi d’e-mailing… À vous de définir le moyen de communication idéal pour toucher votre cible. Les comportements des clients ont changé depuis le premier confinement, n’hésitez pas à regarder les baromètres et sondages qui sont souvent révélateurs des nouvelles tendances et vous donneront des pistes pertinentes.

Étoffer votre réseau

Vous cherchez de nouveaux clients ? C’est peut-être alors le moment de sortir de votre confinement et d’aller à la rencontre de nouvelles personnes qui pourraient vous présenter à de futurs clients. Où aller à la pêche au contact ? Dans les clubs business, sur des événements locaux ou liés à votre secteur d’activité et aujourd’hui aux terrasses de café…

Exploiter vos réseaux

Vous avez scrupuleusement appliqué le précédent conseil  ! Mais tout le travail reste encore à faire ! Car il ne suffit pas de donner sa carte de visite pour gagner un nouveau client… Alors soyez proactif, reprenez rapidement contact et proposez vos services : la meilleure recette pour récolter de l’aide de votre réseau.

Communiquer sur les réseaux sociaux

Tout le monde le dit, aujourd’hui les marques doivent être présentes sur les réseaux sociaux. Certes, mais encore faut-il savoir bien les utiliser ! Créer une page Facebook oui, mais si vous l’animez régulièrement avec des infos qui peuvent intéresser les clients par exemple.

Encourager les clients satisfaits à témoigner

Car ce sont eux vos meilleurs ambassadeurs. Ces clients pourront lancer un bouche à oreille élogieux sur votre produit qui se répandra et touchera vite des clients potentiels déjà tout acquis grâce à cette recommandation d’un tiers en qui ils ont confiance. Quoi rêver de mieux ?

Devenir l’expert que les médias recherchent

Qu’est-ce qui convaincra les clients d’aller chez vous ? De savoir que vous êtes le meilleur. Et comment leur faire passer cette idée ? En vous plaçant en expert du domaine, à travers la rédaction d’un ouvrage spécialisé, en postant sur les réseaux sociaux des articles axés conseil ou en intervenant dans les fameuses « tribunes d’experts » des magazines. Une petite dose de travail supplémentaire pour un effet max.

Créer un site internet performant

Aujourd’hui la plupart des consommateurs commencent par faire un tour sur Internet avant de se décider dans leurs achats. Alors concentrez vos efforts sur la réalisation d’un site Internet performant. Celui-ci doit être clair, précis et bien agencé. Veillez également au style : un site « vieillot » ne boostera pas l’impulsion d’achat et surtout un site internet dont la navigation est trop lente, le fera fuir en un clic !

Trouver des informations pour réaliser son étude de marché : comment faire ?

Tout le monde vous le répète, il faut faire une étude de marché. Certes, certains sont sceptiques que l’intérêt des études  de marché mais qu’on le veuille ou non, elles sont un appui pour affronter les intempéries auxquelles est confrontée toute  entreprise. Vous tenez une idée de création d’entreprise et vous recherchez des informations pour la réalisation de l’étude de marché ? Vous faites bien, car en réalité, cette démarche vous permettra de bien connaitre le secteur dans lequel vous voulez entreprendre, et de prendre la décision de vous lancer ou non. La recherche d’informations passe par différentes étapes, et les renseignements recueillis doivent répondre à des questions bien précises.
Comment alors procéder pour rassembler les informations nécessaires pour réaliser son étude de marché ?

Trouvez les informations dans divers types de documents

La première étape à franchir dans votre processus de regroupement des informations est la recherche documentaire. Le but de cette étape est de collecter un certain nombre de renseignements sur le marché visé par votre projet. Globalement, cette étude vous permettra de vous faire une idée sur le marché, le type de clientèle auquel vous aurez à faire face, les principaux fournisseurs, et la concurrence. Vous aurez aussi à collecter des informations sur les réseaux de distribution et la règlementation qui régit le secteur d’activité de votre projet.

Pour rassembler toutes ces informations, vous pouvez avoir recours aux bases de données professionnelles existantes, à la presse spécialisée, aux articles du web, aux bibliothèques ainsi qu’aux centres de documentation. Les renseignements recueillis doivent généralement répondre aux questions suivantes :

  • Quelles sont les caractéristiques du marché ? (taille, taux de croissance, rentabilité, étape du cycle de vie)
  • Quel type de clientèle se trouve sur ce marché ?
  • Qui sont vos principaux concurrents directs et quelles sont leurs forces ? (part de marché, CA, marge, etc.)
  • Qui sont vos plus grands concurrents indirects et quelles positions occupent-ils sur le marché? (part de marché, CA, marge, etc.)
  • Qui sont vos fournisseurs potentiels et quels sont les prix qu’ils pratiquent ?
  • Comment se fait habituellement la distribution sur votre marché et à quel coût ?
  • Quelles sont les règlementations qui s’appliquent aux activités de votre projet et quelles répercussions peuvent-elles avoir sur votre entreprise ? Une fois que vous avez répondu à toutes ces interrogations, vous pouvez passer à l’étape suivante.

Recherchez des informations actuelles à travers une enquête de terrain

L’étude de terrain vous permettra de recueillir un maximum d’informations sur votre future clientèle et ses réelles aspirations. Cette étape est tout aussi indispensable que la première, car, elle permettra de recadrer au besoin votre projet. Quel est donc le processus à suivre pour réaliser votre étude de terrain ? L’enquête de terrain comporte deux phases : une étude qualitative et une étude quantitative.

Phase 1 : l’étude qualitative

Cette phase vous permettra de collecter des informations non chiffrées sur les aspirations de vos clients potentiels. Pour cela, il faudra commencer par déterminer un échantillon (qui n’est pas forcément exhaustif) que vous allez interroger afin de recueillir le maximum d’information sur le comportement des consommateurs de votre secteur d’activité. Pour cela, vous pouvez procéder par un entretien direct ou par un focus group (réunion de groupe). L’objectif de l’étude qualitative est de collecter un grand nombre de renseignements avec un échantillon réduit.

Phase 2 : l’étude quantitative

L’étape quantitative de votre étude de terrain vous permettra de recueillir des informations chiffrées précises. Avec ces informations, vous pourrez déterminer les statistiques exactes concernant votre clientèle (classification par âge, sexe, profession, etc.), le pourcentage de consommateurs qui s’intéressent à vos produits et d’autres chiffres clés de votre marché. Cette enquête aboutira à la détermination de votre chiffre d’affaires prévisionnel, et vous pourrez ainsi vous faire une idée sur votre bénéfice. Retenez que contrairement à l’étude qualitative, l’échantillon ici doit être exhaustif.

Étude de marché
e-marketing.fr

Actualité : l’économie au centre de toutes les inquiétudes et de tous les espoirs

2022-2021 des années où l’horizon est difficile à discerner tant le brouillard est épais. Mais chaque pays essaie de jongler pour pouvoir tenir face à l’adversité. Quelques actualités au centre de toutes les inquiétudes et de tous les espoirs, fort significatives.

PRÉVISIONS DU FMI SUR LE CHÔMAGE en 2021

La crise sanitaire avec son lot de confinement, de fermetures a impacté l’économie et de nombreux pays ont connu une récession historique en 2020. 

D’après les dernières prévisions du FMI, le taux de chômage devrait augmenter cette année en France, pour atteindre 9,1 %, contre 8,2 % en 2020. D’autres pays européens devraient subir le même sort, puisqu’une hausse moyenne de près d’un point est attendue pour l’ensemble de la zone euro (de 7,9 % à 8,7 %). C’est l’Europe du Sud qui sera la plus touchée en 2021 : plus de 16 % de chômage sont prévus en Grèce et en Espagne, et plus de 10 % en Italie. Au nord du continent, la Suède et la Finlande devraient elles aussi faire partie des plus affectés avec des taux approchant 9 %.

Économie internationale : quelle reprise en 2021 selon l’OCDE?

Les dernières perspectives économiques mondiales apportent quelques lueurs d’espoir pour l’économie française. Dans son rapport du mois de mars, l’OCDE table sur une hausse du PIB de près de 6 % dans l’Hexagone en 2021, soit un taux de croissance jamais vu depuis 1973 et qui permettrait à la France d’enregistrer la plus forte reprise en Europe. Si ces projections se confirment, l’économie française afficherait également une performance supérieure à la moyenne mondiale, estimée pour l’heure à +5,6 %. Parmi les autres pays de la planète, seuls les États-Unis (+6,5 %), la Chine (+7,8 %), ainsi que l’Inde (+12,6 %). Mais après la récession massive subie l’année dernière, l’économie française devra toutefois attendre 2022 afin de retrouver son niveau pré-pandémique. En effet, à la fin de l’année, il est estimé que la production économique du pays devrait se situer à environ 97 % du niveau atteint au quatrième trimestre 2019. 

Covid : les entreprises pourront verser la prime Macron jusqu’au début de 2022

Le ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance et le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion ont proposé aux partenaires sociaux de reconduire la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat, défiscalisée dans la limite d’un plafond de 1 000 euros, pour les salaires allant jusqu’à 3 SMIC, dans la continuité de la prime mise en place par le président de la République en 2018. Conformément à la volonté du Gouvernement que les travailleurs de la deuxième ligne bénéficient en priorité de cette prime, le plafond pourra être porté à 2 000 euros si l’entreprise ou la branche s’engagent formellement à des actions de valorisation de ces travailleurs. Le plafond de 2 000 euros pourra également bénéficier aux salariés dont l’entreprise est couverte par un accord d’intéressement en r. Il est proposé que la prime puisse être versée jusqu’à début 2022.

E-commerce : Une TVA sera appliquée sur les produits en provenance de pays extérieurs à l’UE dès juillet

A compter du 1er juillet prochain, les commandes de produits réalisées sur des plateformes hors de l’Union européenne vont coûter plus cher. La TVA sera appliquée sur tous les colis provenant d’états non européens, même ceux dépassant le prix de 22 euros, qui étaient jusqu’à présent exonérés de cette taxe. Le ministre délégué aux Comptes publics, Olivier Dussopt, a déclaré : « En France, on va ainsi passer de 15 millions de déclarations électroniques en douane à 450 millions ». Cette directive va permettre de lutter plus efficacement contre la concurrence déloyale sur Internet venant des plateformes étrangères comme Alibaba qui échappaient à l’administration fiscale. Cela va aussi permettre de faire entrer plusieurs milliards d’euros dans les caisses de l’Etat. Elle sera facturée par les plateformes ou les transporteurs.

Nouvelle rémunération des stagiaires de formation professionnelle à partir du 1er mai 2021

Les stagiaires de la formation professionnelle participant à un stage agréé par l’Etat ou la Région perçoivent une nouvelle rémunération de stage simplifiée et revalorisée. La rémunération des demandeurs d’emploi non indemnisés qui sont en formation est fixée par un barème qui n’a pas été revalorisé depuis 2002. Une situation qui a entraîné « un net décrochage de la rémunération par rapport à l’inflation (+26,4 % depuis 2002) ou au Smic (+46,8 % depuis 2002), ce qui situe le niveau de vie des stagiaires en dessous du seuil de pauvreté monétaire, selon le gouvernement.

Dans le cadre du plan de relance, il a donc été décidé de revaloriser la rémunération des stagiaires : pour les 16-18 ans, elle va passer de 130 euros à 200 euros par mois. Pour les stagiaires âgés de 18 à 25 ans, elle passera à 500 euros (contre 310 ou 400 euros auparavant). Au-delà de 25 ans, la rémunération va atteindre 685 euros. 

En Europe, les ménages ont accumulé  450 milliards d’épargne 

Depuis l’arrivée du virus, les Européens ont accumulé une épargne sans précédent. La multiplication des périodes de confinement et des mesures de restriction ont limité les possibilités de consommer. Selon l’assureur-crédit Euler Hermes le surcroît d’épargne en 2020 est évalué à 450 milliards d’euros, soit environ 4% du produit intérieur brut (PIB). De plus, les mesures de restriction du premier semestre 2021 sont susceptibles de créer une nouvelle hausse de l’épargne estimée à 200 milliards d’euros.

La stratégie de confinement et de fermeture a favorisé l’épargne des familles les plus aisées. En effet, des dépenses comme l’hôtellerie, la restauration, les vols longs courriers, le luxe ont été elles aussi confinées. A contrario, les entreprises ont accumulé des pertes très importantes depuis le début de la pandémie. L’utilisation de cette épargne pourrait booster la demande et la consommation de l’économie européenne de l’ordre de 170 milliards selon les modèles des économistes de l’assurance-crédit. Pour l’instant, les deux tiers de cette épargne dorment sur les comptes en banque tandis que le dernier tiers a été injecté sur les marchés de capitaux. 

Comment cerner son interlocuteur en quelques instants ?

Si je pouvais entrer dans sa tête et voir ce qu’il pense, je pourrais préparer mes arguments. C’est le lot des êtres humains de ne pas pouvoir lire dans la pensée des autres. Vous vous demandez si vous intéressez vraiment vos clients ? Si vos partenaires tiendront vraiment la parole qu’ils viennent de vous donner ? Nous avons tendance à oublier que le langage corporel en dit bien plus long que tous les discours du monde. Déceler des signes de désapprobation ou de doute chez vos interlocuteurs permet de s’adapter afin de ne pas les perdre. Voici quelques outils pour cerner l’interlocuteur !

Notre corps comme véhicule de nos vraies pensées

Chaque jour, nous effectuons de nombreux gestes inconscients. Certains correspondent à des tics nerveux mais de façon générale, nos pensées et émotions s’expriment davantage au travers des postures que nous adoptons que dans nos discours. Ce comportement fait l’objet de plusieurs études qui interprètent la signification de telle ou telle attitude dans une conversation. Repérer certains de ces gestes et savoir ce qu’ils impliquent peut se révéler très utile dans une discussion d’affaires. Si vous remarquez que votre interlocuteur semble sceptique, il vous sera plus simple d’employer de nouveaux arguments plus percutants et de chercher à le convaincre. Quelques-unes de ces attitudes physiques restent très reconnaissables et les comprendre ne présente pas de grandes difficultés. Bien sûr, ces conclusions ne s’appliquent pas pour toutes les situations ! 

Les gestes qui traduisent le rejet

Si le partenaire, client, prospect… avec lequel vous vous entretenez vous affirme qu’il adore votre idée en adoptant des postures particulières, vous devez vous méfier. Certains gestes manifestent un rejet partiel voire total. Le plus connu d’entre eux reste la microdémangeaison du nez. Lorsque vous observez que la personne en face de vous place son doigt sous cette partie de son visage, considérez qu’il s’agit d’un signe de refus. Il peut éventuellement s’agir d’un tic, dans ce cas-là, vous vous en rendrez rapidement compte. Il vous faut alors déployer un nouvel argumentaire. Autre signe de rejet : le doigt au coin de l’œil. Si la personne en face paraît s’extirper une poussière de l’œil droit, montrez-vous plus attentif. Ce geste signifie littéralement « je n’aime pas ce que je vois ». Pensez donc à surveiller son comportement.

Les signes de scepticisme et de malaise

D’autres attitudes traduisent le doute ou l’inconfort. Dans les deux cas de figure, la personne a besoin que vous la rassuriez car elle n’est pas entièrement convaincue. Celle-ci peut physiquement manifester son retrait de la conversation en se reculant ou en s’enfonçant dans son siège. Si elle fait ce mouvement suite à l’énonciation d’un argument, il est fort probable que celui-ci lui ait déplu. Laissez-lui alors la possibilité de s’exprimer si elle ne vous paraît pas convaincue. De même, si elle se frotte le menton, elle reste sceptique par rapport à la situation.
Certaines postures correspondent simplement à un malaise : votre interlocuteur ne se sent pas bien dans cet univers et souhaiterait décamper au plus vite. Lorsqu’il hausse subrepticement les talons ou reste assis avec les pieds dressés en starting-blocks, il indique que la situation le met mal à l’aise et qu’il s’apprête à partir. Dans ce cas précis, tout n’est pas forcément perdu mais efforcez-vous de le mettre à l’aise. Si la personne se gratte le dos, il se peut que cela manifeste aussi une gêne. Cette zone est associée à la pénibilité, la toucher implique peut-être un doute ou un problème.

Les formes de manifestation de l’enthousiasme 

Celui ou celle qui vous fait face peut tout aussi bien vous exprimer inconsciemment son accord ! Outre un regard d’appui, une posture de soutien se repère facilement. La personne s’avance vers vous, légèrement tournée et vous présente son côté gauche : gagné ! Elle est séduite, son cerveau droit a pris les commandes et elle laisse ses émotions s’exprimer. Si vous faites face à son côté droit, pas de panique. Elle reste dans la réflexion et l’analyse mais si elle se rapproche, vous l’intéressez. Si vous vous trouvez assis à côté l’un de l’autre, les jambes croisées peuvent aussi constituer un indicateur. Lorsque les siennes sont tournées vers les vôtres, vos idées sont en harmonie. A l’inverse, si elles s’en éloignent, cela peut symboliser un désaccord. 

Garder l’attention des autres sur soi

Votre client se révèle convaincu, bravo ! Si tel n’est pas encore le cas, ne désespérez pas et structurez en amont votre présentation pour rester le plus attractif possible. Tout d’abord, pour conserver l’attention des autres et éviter ainsi tous les signes d’agacement ou de scepticisme, faîtes simple et précis. Un discours clair et synthétique focalisé sur l’essentiel ne réclame pas trop de temps de concentration. Multipliez les exemples afin de ne pas ennuyer et de concrétiser au maximum votre projet aux yeux de ceux qui doutent. Si vous détestez l’idée de parler en public, entraînez-vous à répéter votre pitch car un intervenant bégayant devient vite difficile à suivre. Reformulez régulièrement vos idées et si vous vous en sentez capable, tentez quelques plaisanteries. L’humour demeure la meilleure façon d’accrocher votre public. Songez à l’ambiance avant tout, mettez votre auditoire à l’aise afin qu’il ait envie de vous suivre.

La gestion du temps, la bonne pratique par excellence

Optimiser son temps de travail, plus facile à dire qu’à faire ! Pourtant c’est une des préoccupations majeures des entrepreneurs. La gestion du temps est cruciale pour les chefs d’entreprise. Savoir organiser ses journées de la meilleure des manières pour être productif est au cœur du quotidien des entrepreneurs. Il existe certaines bonnes habitudes à prendre pour optimiser son temps de travail. Comment se comporter pour gérer son temps de façon efficace au sein de l’entreprise ?

Allier vie professionnelle et vie privée est le challenge de l’entrepreneur. Une journée se compose de 24 h et il n’existe pas encore de vaccin pour ne pas dormir et donc que vous le vouliez ou non la gestion de votre temps en est la pierre angulaire.

Définir les priorités, plus facile à dire qu’à faire

La définition des priorités est le cœur de la gestion du temps pour les entrepreneurs. L’ensemble des processus dans l’entreprise peut se diviser en trois catégories : les tâches urgentes, les tâches essentielles et les autres qui ne sont pas à sous-estimer. Première évidence, un dirigeant doit se concentrer sur les activités urgentes, qui ne peuvent se remettre à plus tard (sous peine de payer une pénalité en cas de retard ou de perdre un client par exemple). Les activités essentielles au bon fonctionnement de l’entreprise font partie du deuxième lot et doivent être bien gérées pour ne pas se retrouver dans l’urgence. Enfin, les activités périphériques sont à prendre en compte dans une organisation bien réfléchie en amont.

Éviter les pertes de temps, mais comment ?

Les journées ne sont jamais assez longues pour les chefs d’entreprise qui doivent mener de front plusieurs activités. Pour parvenir à se ménager suffisamment de temps pour les processus cruciaux, il est nécessaire de ne pas en perdre avec des activités périphériques et donc d’effectuer des choix qui ne sont parfois pas aisés à faire. Un entrepreneur peut par exemple décider de n’assister qu’aux réunions essentielles et se fixer des plages horaires fixes par jour pour répondre à ses e-mails. Il est intéressant aussi d’utiliser des applications de travail pendant les déplacements, comme Any.DO pour planifier des projets ou Evernote pour réaliser toutes sortes d’annotations professionnelles.

Se déconnecter pendant une tâche

Lorsque vous vous lancez dans une tâche, vous devez être perturbé le moins possible par votre environnement. Déconnectez-vous de votre portable ou encore de votre boite e-mail afin de ne pas être interrompu toutes les cinq minutes. Vous pouvez faire appel à une assistante virtuelle pour votre téléphone ou indiquer par réponse automatique que vous ne pouvez prendre en compte pour le moment les demandes. Vous pouvez même donner un numéro d’urgence à un de vos collaborateurs dans le cas où une véritable urgence se présenterait afin d’être davantage serein et performant.

Gérer les imprévus : conservez des créneaux pour les imprévus

On l’oublie trop souvent, mais les imprévus font partie intégrante de la vie d’une entreprise. Un planning trop chargé ne permet pas de faire face à ces impondérables,. Il peut s’avérer réellement problématique lorsqu’une urgence survient. Prévoyez une marge équivalente à 10 % de leur temps chaque jour. Celle-ci sera consacrée à la gestion des retards ou de difficultés inopinées. Cette précaution organisationnelle diminue le stress et permet de s’accorder plus de temps pour la réflexion. Pour la mettre en place, on peut songer à utiliser un logiciel de gestion des temps professionnels comme le progiciel Kelio. Il ne faut pas se focaliser sur un imprévu que l’on a déjà rencontré. Au contraire essayez de bien tous les appréhender dans la mesure du possible. Notamment les grèves qui ont impacté les transports fin 2019, la perte d’un client, la pénurie de matières premières, une cyberattaque…

Apprendre à déléguer, développer la confiance en soi et dans les autres

Sachez déléguer si vous voulez pouvoir un minimum sortir la tête de l’eau. Les dirigeants sous-estiment trop souvent cet aspect de la vie en entreprise. Cependant, il est illusoire de penser pouvoir tout gérer sans délégation. Pour optimiser son temps, l’entrepreneur a tout intérêt à confier un certain nombre de tâches à ses collaborateurs ou à des prestataires extérieurs, en toute autonomie, afin de se dégager du temps pour œuvrer à la stratégie générale de la société.

Cela n’exclut pas de garder le contrôle des opérations. Néanmoins, cela permet de faire le tri entre ce qui est du ressort exclusif du dirigeant et ce qui peut être confié aux salariés. Mais plus encore, transmettez vos méthodes afin que vous ne soyez pas le seul à les utiliser ! Si vous êtes très efficace mais que vos collaborateurs ne les ont pas intégrées, ils resteront dépendants de vous. Vous ne pourrez donc pas vous consacrer à votre mission.

L’actualité est fort mouvementée : pas un instant de répit

L’actualité 2021 est loin d’être un moment de calme. Entre les hackers, les entreprises qui veulent dominer le marché et la commission européenne qui ne cesse d’arbitrer pour éviter toute position dominante. Les entreprises affrontent une vague après l’autre quelle que soit leur taille.

Apple : Des hackers volent le futur logo et exigent 20 millions de dollars de rançon

Apple est dans une spirale inquiétante depuis qu’un de ses sous-traitants s’est fait pirater des données sensibles. Un groupe de hackers baptisé REvil s’est attaqué à Quanta, une société taïwanaise travaillant notamment sur les iPad, les MacBook et les Apple Watch. Début avril, la base de données du sous-traitant a été piratée, révèle Bleeping Computer relayé par Phonandroid. Des données ont été dérobées concernant de futurs iPad et autres objets de la marque, mais surtout le futur logo d’Apple, que l’entreprise n’a pas encore dévoilé. REvil a ensuite menacé de les diffuser largement s’il n’y avait pas de versement de rançon. Les hackers ont exigé d’abord la somme de 50 millions de dollars.

Devant le refus de Quanta de payer cette somme, les pirates informatiques ont publié des schémas et plans concernant les futurs MacBook. Ces documents ont rapidement disparu du Web, Quanta a finalement accepté de négocier avec les cybercriminels. Le montant de la rançon demandée ne s’élève plus qu’à 20 millions de dollars désormais. Apple et Quanta ont jusqu’au 7 mai prochain pour la payer. Si ce n’est pas fait, REvil promet de diffuser le reste des données sensibles et confidentielles dérobées chez le sous-traitant. Que va-t-il se passer ?

Alibaba : L’Etat chinois, un objectif nationaliser l’Internet 

Alibaba Group — Wikipédia


Le Financial Times a  affirmé que la Banque centrale de Chine avait demandé à Ant Financial, la branche financière d’Alibaba, de lui transférer l’intégralité des données concernant ses 700 millions de clients auxquels elle avait accordé des prêts. Son objectif est d’en déléguer la gestion à une filiale de la banque d’Etat c’est-à-dire de lui retirer tout pouvoir et toute richesse.  Après la disparition mystérieuse de son fondateur Jack Ma, Pékin a décidé de nationaliser l’Internet. La raison en est que le numérique est devenu le fer de lance de la croissance de la Chine.  Aujourd’hui, la Chine est la puissance la plus numérisée de la planète, que ce soit dans le commerce, les paiements ou la vie sociale. Selon le cabinet IDC, en 2025, le pays concentrera un tiers des données mondiales, 60 % de plus qu’aux Etats-Unis.

La commission européenne accuse Apple d’abus de position dominante sur le marché du streaming musical

et cela par le biais de l’App Store. Ces accusations font l’objet d’une enquête depuis juin 2020, ouverte à la suite d’une plainte déposée par Spotify qui est en concurrence directe avec Apple Music. L’exécutif européen va adresser à Apple « une communication des griefs », un document préparatoire visant à informer l’entité visée par la procédure d’investigation des motifs de la plainte. Elle met en exergue deux restrictions imposées par Apple dans ses accords avec les entreprises souhaitant distribuer des applications via l’App Store : la taxe de 30% prélevée par Apple sur les revenus de tout achat effectué depuis une application présente sur sa boutique. Ces « in-app purchases » doivent obligatoirement passer par son système de paiement propriétaire.

La Commission a évoqué, lors de l’ouverture de son enquête, que cette obligation semblait permettre à Apple de « contrôler totalement la relation de ses concurrents avec leurs clients » qui s’abonnent dans les applications. En effet, cela empêcherait ses concurrents de disposer de données importantes sur leurs clients, tandis qu’Apple peut obtenir des données précieuses sur les activités et les offres de ses rivaux. Si ces accusations s’avèrent vraies, Apple risque une amende pouvant aller jusqu’à 10% de son chiffre d’affaires mondial, soit 111,4 milliards de dollars en 2020 (en hausse de 21% par rapport à l’année précédente).

Pourquoi les internautes sont prêts à payer sur internet

Depuis le confinement, les achats en ligne se sont multipliés. Pour certains internautes, c’était un acte forcé en raison de  la fermeture des magasins non essentiels. Des sites de vente en ligne pour les vêtements, les chaussures, la maroquinerie, l’alimentaire, les voyages à l’autre bout du monde … Aujourd’hui, tout s’achète et tout se vend sur Internet, en quelques clics, en quelques minutes. C’est la force de cette invention incroyable qu’est l’Internet. Elle permet une multitude de nouvelles possibilités. Mais elle a également accéléré tout ce que nous pouvions faire avant en un temps beaucoup plus long. Qu’est-ce qui pousse les internautes à payer sur Internet quelque chose qu’ils pourraient tout à fait acquérir en magasin ?

Une facilité déconcertante

La première explication plausible pour justifier du fait que les acheteurs sur Internet se font de plus en plus nombreux : la facilité déconcertante qui est offerte à ces acheteurs pour acquérir les biens dont ils ont envie. Désormais, quelques clics suffisent pour acheter quoi que ce soit, en un rien de temps. Le seul inconvénient majeur reste le délai de livraison. Il n’existe pas dès lors que vous vous rendez directement dans le point de vente. Mais tous les sites de vente en ligne redoublent d’imagination pour trouver des solutions permettant de régler ce problème. A en juger par la tentative d’Amazon de livrer directement les colis grâce à des drones. Une tentative qui risque fort d’être une réussite dans les années à venir si l’on en croit la volonté des dirigeants de l’entreprise.

La possibilité d’acquérir la rareté

Autre explication : sur Internet, il est possible de trouver énormément de choses, même parmi les plus rares. En toute évidence, les brocantes du dimanche, où des gens s’échinent à trouver une pièce rare dont ils n’arrivent pas à mettre la main dessus depuis quelques temps, peut très vite être retrouvée sur Internet, en effectuant juste quelques recherches. Là encore, l’outil qu’est Internet permet une rapidité de recherche incroyable. Notamment, des possibilités nouvelles pour tous les acheteurs d’objets rares, de produits disparus ou provenant d’un autre pays du monde. Des timbres de collection, des vêtements qui ne sont plus produits dans le monde entier, des objets de collection introuvables ailleurs que sur la Toile. Tout peut se retrouver en quelques clics. Et les amateurs du genre s’en donnent à cœur joie !

Des prix incroyables

Troisième et dernier élément de justification de ce phénomène grandissant des achats sur Internet : les prix se trouvent être de plus en plus bas ! Grâce à des quantités de commande incroyables réalisées par les sites de vente en ligne, les prix proposés par les fabricants tendent clairement à baisser. Vêtements, alimentation, mobilier, voyage, tous les biens possibles et imaginables voient leur prix aller à la baisse sur Internet. D’où la volonté grandissante de tous les utilisateurs d’Internet de jeter un œil, d’abord, sur la Toile avant de faire l’acquisition de quelque chose en magasin. A noter que le phénomène de l’occasion a également grandement été relayé grâce à Internet. A en juger par les résultats de sites comme eBay ou encore LeBonCoin. Là encore, une explication de ce phénomène qui n’est pas près de se terminer.

Graphique: L'impact du confinement sur les achats en ligne | Statista
fr.statista.com