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Des réunions efficaces aussi bien en présentiel qu’en distanciel !

Réaliser des réunions demande d’acquérir aujourd’hui une double compétence car vous devrez animer aussi bien des réunions efficaces aussi bien en présentiel qu’en distanciel. Certaines sont plus appropriées au sein de l’entreprise alors que d’autres sont plus adaptés au distanciel. Cependant les principes essentiels sont les mêmes. Focus sur quelques conseils.

Adopter le standing meeting en présentiel

Organiser vos réunions, oui debout, comme dans les rédactions des grands journaux, pour gagner un temps précieux. Cette forme de réunion en cercle où les participants échangent face à face, chacun à leur tour, a pour raison d’être de faire le point sur les tâches, les avancées ou difficultés des équipes. Elle est particulièrement efficace pour effectuer des bilans d’équipe. Il faut avouer que la position debout encourage les participants à ne pas s’éterniser et à aller à l’essentiel. En tant que dirigeant, vous y lancez la dynamique de la journée ou de la semaine ou d’un projet, vous recentrez et focalisez l’équipe sur les actions à mettre en œuvre mais aussi vous consolidez l’esprit et la cohésion de l’équipe en mettant en valeur le rôle de chaque participant. L’échange d’informations utiles (pas de bla bla bla) est le cœur de la réunion « debout » pour réaliser davantage de productivité. 15 minutes suffisent pour faire le point de manière efficace. Limitez le nombre de personnes pour faciliter la communication.

Pour la préparer, utiliser la roue de Deming en mettant en œuvre les points suivants :

  • Check : faire le point sur le travail réalisé et sur ce qui reste à faire
  • Plan : planifier le travail et les personnes en charge des actions sont nommément désignées
  • Do : partager les problématiques pour trouver une solution.
  • Act : donner en fin de réunion à chaque participant sa feuille de route pour réaliser les actions prévues.

Et demandez-vous à la fin de la réunion si vous les avez tous bien évoqués.

Supprimer la réunionite

Le confinement et son corollaire ont transformé les réunions en présentiel en réunions sous forme de visioconférences. Selon le baromètre annuel de Wisembly en partenariat avec l’IFOP pour sa 4ème édition sur le thème « Les réunions et leur impact sur l’engagement des collaborateurs », les réunions sont devenues kyrielles et ont bien évidemment des conséquences délétères sur le travail. Or avec le confinement, il a bien fallu échanger avec les équipes et donc penser à un format qui permettent de réussir à maintenir la cohésion des équipes mais surtout de supprimer drastiquement toute perte de temps et toute réunionite. Il a fallu donc réduire le nombre de réunions inutiles et chronophages. Les retombées en sont fort significatives.

Préparer les réunions

Une préparation performante est la condition sine qua none de la réussite d’une réunion, donc pas question d’en faire l’impasse.
Prévoir à l’avance le déroulement des réunions : problème à traiter, produit à présenter ou encore idée à approuver mais aussi prévoir un temps d’échanges, le temps de la réunion, les messages à transmettre…et veiller à chaque détail. En amont, posez-vous les questions essentielles afin d’organiser une réunion porteuse de sens en commençant par définir clairement le thème de la réunion, c’est-à-dire « de quoi va-t-on parler ? ».

Pour compléter, définissez l’objectif de la réunion : est-ce une réunion d’information ou de préparation à une prise de décision ? Est-ce une réunion de négociation ou une séance de travail ?

La préparation de la réunion dépendra de la finalité de la réunion : commerciale, stratégique, gestion de projet, ou réunion d’information à tout le personnel ou réunion avec des objectifs précis qu’il faudra alors bien définir. Définissez avec précision le plan c’est-à-dire l’ordre du jour très précis, les points à aborder pour atteindre vos objectifs. Ceux-ci doivent être très clairement indiqués aux participants dès l’envoi de la convocation afin qu’ils puissent s’y préparer et puissent poser les questions ou idées pertinentes et surtout de gagner un temps précieux.

Devenir le maître du temps

Une réunion efficace commence à l’heure. N’attendez pas les participants afin de générer de bonnes habitudes. Ils se doivent d’arriver à l’heure. N’oubliez pas qu’une réunion efficace se termine à l’heure voire quelques minutes avant l’heure ! Soyez le maître du temps et maîtrisez le timing, ce qui n’est pas une action facile ! En dépassant sans cesse le temps des réunions, on empiète sur le planning des équipes ou des services et le laxisme peut pointer son nez.

Comment se réveiller en forme et avec le sourire ?

Se réveiller en forme et avec le sourire, une gageure pour certains ? Si le sommeil est responsable de notre bien-être, un mauvais réveil peut rapidement avoir des incidences plus que désagréables sur le reste de votre matinée et influer sur votre quotidien et vos relations professionnelles. Quelques astuces et bonnes habitudes à adopter peuvent avoir raison de votre nature grincheuse au matin.

Un simple clic sur cet article me laisse deviner que vous n’atterrissez pas ici par hasard et que les matins ne font pas partie de vos plus fervents alliés. Je me trompe ? Et si vous changiez quelques petites habitudes pour être de ceux qui se lèvent en forme dès les deux pieds posés au sol ? Vous enviez ces entrepreneurs qui vous racontent en long er le large que s’ils ont réussi c’est parce qu’ils se lèvent tout et vous êtes bien loin de leurs excellentes habitudes. Alors !

Faites du matin un des meilleurs moments de la journée

Bien sûr quand sonne le (glas) réveil, vous pouvez toujours penser aux rendez-vous stressants qui vous attendent dans moins d’une poignée d’heures, à la pile de dossiers qui s’est amassée sur votre bureau et qui vous fait de l’œil depuis dix jours, à ce salarié dont l’attitude vous insupporte… mais je ne garantis pas un réveil en douceur. Vous aurez tôt fait de ronchonner contre tous les dieux et de quémander quelques grappes de sommeil en plus.

C’est le moment d’ailleurs où votre bras passe en mode automatique et appuie, l’air de rien, sur la touche “répétition” de votre portable. Entre nous soit-dit, il n’existe rien de pire que d’enfouir la tête sous le coussin en se donnant un répit de cinq petites minutes. Car ces instants volés ne durent pas une éternité et accroissent votre mauvaise humeur dès qu’ils arrivent à leur fin -sans parler du fait que vous êtes à présent en retard. Pire, vous émergez du lit avec l’idée d’avoir vécu non pas un mais deux réveils, voire plus pour peu que vous fassiez durer le supplice.

Méritez-vous vraiment de commencer vos journées suivant un tel schéma ?

Pour vous réconcilier avec les matins difficiles, mettez votre réveil au chômage technique dès la sonnerie. Inutile de fuir, vous vous savez cerné ! Choisissez une sonnerie qui vous booste et vous met de bonne humeur. Mare du sempiternel “bip-bip-bip-bip-bip” ? Optez pour une musique dynamique qui donnera du rythme à votre réveil. Vous êtes plutôt radio ? Programmez votre station préférée et pensez à éviter les horaires “ronds” (6h30 ou 7h) sauf si vous êtes friands des informations brutes dès le saut du lit.

Pour habiller vos matins de douceur, vous pouvez également investir dans un simulateur d’aube qui reproduit la lumière d’un lever de soleil pour vous réveiller de manière presque naturelle. Dès ce moment, ouvrez grand vos yeux, visualisez du bon côté ce qui vous attend, en pimentant le tout d’optimisme. La journée est là pour essuyer les plâtres. Si les catastrophes doivent arriver, elles arriveront. Laissez vos matins en dehors de ces histoires.

Adoptez des rituels au quotidien

Éjecter votre corps du lit demande plus qu’une réelle motivation. Un appât ! Donnez-vous l’occasion de vous faire plaisir et adopter des petits rituels qui vont vous donner envie de commencer la journée. Pourquoi au fond être si dur avec vous-même ? Sitôt les deux pieds au sol (hourra !), prenez le temps de vous étirer et de faire quelques mouvements physiques. Servez-vous un verre d’eau pour pallier la déshydratation de la nuit ainsi qu’un bon petit déjeuner que vous pouvez accompagner de musique en fond sonore. N’en faites pas l’impasse !

Vous ne le savez pas encore (parce que vous utilisez la pensée positive au réveil) mais il vous donnera les forces dont vous aurez besoin pour affronter la fameuse pile de dossiers aguicheuse qui vous attend sur le bureau. Prenez également une douche, d’abord à l’eau chaude pour réveiller votre corps en douceur avant de la conclure à l’eau froide pour vous énergiser. Avec un gant, stimulez la circulation sanguine.

Adopter de bonnes attitudes avant de dormir

Outre ses petits rituels du matin, pensez à adopter de bonnes attitudes avant de dormir. Votre horloge interne ressent le besoin d’acquérir certaines habitudes comme se coucher à des heures relativement fixes tout en sachant que le besoin en nombre d’heures de sommeil oscille en général entre 6 et 8 heures. Si vous savez que vous ne réussirez pas à le faire le lendemain ou que vous oublierez la moitié des choses, préparez vos affaires la veille. Que ce soit les dossiers à apporter au bureau ou les vêtements que vous allez porter. Apprenez à faire le vide dans votre tête avant de vous endormir pour ne pas réfléchir trop et pouvoir bien dormir (et mieux vous réveiller le lendemain).

Ce vide-là passe aussi par abandonner certains objets deux heures avant de vous endormir. Comme le téléphone portable, l’Ipod ou la tablette numérique. Selon une étude du Lighting Reasearch Center, une exposition même très courte à des écrans et à leur lumière pourrait affecter le sommeil de centaines de millions de personnes à travers le monde. Si vous avez une relation fusionnelle avec votre portable, faites attention à ce qu’il n’influe pas sur le cours de votre nuit en vous réveillant lors de la réception d’un message par exemple. Ces mauvaises habitudes affectent votre sommeil.

Dites « oui » aux réveils nouvelle génération !

Connaissez-vous les différents cycles du sommeil ? Quatre étapes qui composent votre nuit : sommeil léger, sommeil lent profond, sommeil profond et sommeil paradoxal. Ces cycles durent en moyenne entre 90 et 120 minutes et se succèdent de trois à cinq fois pendant la nuit. Quand le dormeur est dans une phase de sommeil profond, c’est le plus mauvais moment pour le secouer et le faire sauter du lit car c’est la période où l’organisme récupère. Casser le cycle du sommeil peut être destructeur pour l’organisme. Le dormeur se réveille avec une impression de fatigue non réparée.

Bien sûr, ce concept, votre réveil ne le sait pas et s’en moque aisément ! Pas les réveils nouvelle génération ! Des applications mobiles gratuites et payantes permettent de vous réveiller au bon moment. En analysant les bruits émis pendant la nuit et en déduisant vos mouvements, ces réveils sont capables de s’adapter à vos cycles de sommeil et de négocier, suivant la tranche horaire que vous avez préétablie, un réveil tout en douceur. Au meilleur moment possible. Ces applications sont disponibles sur Iphone (Réveil intelligent, Sleep cycle, Sleep Time et iSommeil) et android (Smart Alarm Clock).

Actualités des startups et entreprises innovantes

S’occuper du bien être des autres, s’assurer de la santé créer des échanges fructueux… les startups et les entreprises innovantes ne cessent d’innover pour faciliter et simplifier la vie quotidienne. Mais elles souhaitent aussi conquérir une clientèle pérenne sont les enjeux des entreprises. Des exemples qui pourraient vous inspirer.

Des robots pour remplacer les chiens guides des personnes malvoyantes 

Geeko

Des chercheurs en robotique de l’Université de Californie à Berkeley ont mis au point un robot destiné à aider les personnes mal voyantes. Ce robot quadrupède pourrait remplacer les chiens guides. Celui-ci peut aider la personne qui le « tient en laisse » à se déplacer en toute sécurité dans un environnement intérieur clos. L’utilité de ce robot est de fournir une aide « plus accessible » aux personnes malvoyantes. En effet, le dressage d’un chien guide exige plusieurs années de formation. Mais surtout les compétences d’un chien ne peuvent pas être transférées à un autre.

Au contraire, les algorithmes développés sur un chien guide robotisé peuvent être facilement déployés sur un autre robot. Ce robot chien guide est équipé d’un capteur LiDARD 2D. Celui-ci lui permet de détecter son environnement. Par ailleurs, une caméra lui permet de suivre « son humain », d’une laisse pour guider la personne malvoyante. Enfin un capteur de force au niveau de la laisse. Les résultats des premiers tests sont particulièrement prometteurs,

La startup Alan de l’assurance-santé, une nouvelle licorne française

Un an après avoir levé 50 millions d’euros, l’assureur 100% digital Alan, qui compte parmi ses clients WeWork, Deliveroo ou encore JustEat, boucle un nouveau tour de table de 185 millions d’euros pour atteindre ses ambitions. Avec une valorisation désormais qui s’estime à 1,4 milliard d’euros, la jeune start-up rentre dans le cercle des licornes tricolores. Créée en 2016 Alan, emploie 350 personnes. Elle propose des contrats d’assurance santé aux entreprises à destination de leurs salariés. 

Grâce à cette levée de fonds, la start-up souhaite embaucher près de 400 nouveaux collaborateurs et lancer de nouveaux services Europe. L’accent devrait également être mis sur l’aspect commercial en visant désormais de grands comptes. Son plus gros client compte actuellement 5 000 employés. Or, sa plateforme lui permet de fonctionner avec des organisations comptant jusqu’à 30 000 employés. Elle souhaite développer de nouvelles fonctions pour devenir une « super app » et se déployer un peu plus à l’international en Espagne et Belgique.

Amazon et la coiffure, une gageure ?

Amazon va ouvrir son premier salon de coiffure | Journal du Geek

Pour le « Amazon Salon » de coiffure dans l’East End de Londres, Amazon n’a pas hésité à en mettre plein la vue. Deux étages et 140 m² remplis de technologies High Tech dernier cri. Grâce à une webcam incrustée dans le miroir, les clients pourront visualiser leurs visages en réalité augmentée en temps réel avec leur future nouvelle coupe, teinture ou autre puis ils seront pris en charge par l’équipe de la coiffeuse et styliste londonienne Elena Lavagni.

Amazon a pour objectif de montrer son savoir-faire technologique ? Selon le blog officiel de l’entreprise : « Il s’agira d’un lieu expérimental où nous présentons de nouveaux produits et de nouvelles technologies, et il n’est pas prévu actuellement d’ouvrir d’autres salons Amazon ». En plus de la réalité augmentée, Amazon compte bien montrer sa technologie « pointer et apprendre » qui servira de guide pour commander. Mais derrière cette vitrine, Amazon se lance dans la vente de cosmétiques et de mode. Elle donc va se servir du salon pour en faire la publicité.

Belén Garijo, chez Merck, devient la première femme à diriger un groupe du DAX

Samedi 1er mai, l’Espagnole Belén Garijo a officiellement pris la tête du groupe pharmaceutique allemand Merck,. Celle-ci devient ainsi la première entreprise cotée au DAX, l’indice-phare de la place financière de Francfort, dirigé par une femme seule.  L’arrivée de Belén Garijo à la tête de Merck n’est pas un scoop. Aux côtés du patron Stefan Oschmann, elle a réussi à imposer  Merck sur les marchés. Le titre Merck vaut actuellement 146 euros, contre une trentaine d’euros en 2011. Il profite dans ce contexte de sa position de sous-traitant pour les fabricants de vaccins.

Depuis 2015 à la tête du département pharmaceutique, Belén Garijo a redressé l’activité, dont les brevets arrivaient à échéance. Elle a relancé les efforts de recherche et développement, ce qui est une idée fort judicieuse. De plus, elle a  élargi le portefeuille des clients du groupe. Autrefois concentré uniquement sur l’Europe, Merck est aujourd’hui un groupe pharmaceutique qui s’est bien implanté aux Etats-Unis et en Chine.

Dans la Silicon Valley, Clubhouse, ambassadeur de la voix et des échanges

L’application de conversation vocale lancée il y a moins d’un an qui a explosé pendant le confinement. 10 millions d’inscrits en moins d’un an. Clubhouse : pas de texte, pas de vidéos, pas de photos, seule la voix humaine qui récèle de tant d’émotions. On peut se connecter sur Clubhouse à toute heure : il y a toujours un salon où une personne parle . Les célébrités, les experts et les auditeurs se retrouvent dans la même salle vituelle  On peut intervenir, si on lève (fictivement) la main et qu’on est appelé « sur scène » par le modérateur. La voix crée manifestement plus d’empathie que l’écrit, elle exerce sa magie. Clubhoise est est valorisée 1 milliard de dollars moins d’un an après son lancement par les deux jeunes ingénieurs Paul Davison, le fondateur de Highlight, application de rencontres fortuites, et Rohan Seth, un ancien de Google.

Ces leçons que vous pouvez apprendre de J.K. Rowling et de Harry Potter

Qui n’a jamais entendu parler du célèbre sorcier, Harry Potter, personnage symbolique de l’une des sagas littéraires de fantasy la plus populaire dans le monde. Son auteur J.K. Rowling d’origine britannique, née le 31 juillet 1965, est actuellement la romancière la plus riche du monde, avec une fortune estimée à plus de 700 millions d’euros. Sa série de livres sur ce jeune garçon luttant contre le mage noir Voldemort a été écoulée à 500 millions d’exemplaires dans 80 langues. Son parcours est une histoire remplie de conseils inestimables pour les dirigeants d’aujourd’hui. Même du côté de son emblématique saga, des leçons peuvent également en être retirées. En voici quelques-unes.

JK Rowling Has Written a New Short Story on Harry Potter
British author J.K. Rowling. 
REUTERS/Alessia Pierdomenico

En créant Harry Potter, Joanne Rowling a mis en place une véritable franchise multimilliardaire. L’univers fantastique des sorciers, d’abord transposé par le biais de romans, s’est peu à peu décliné en films, pièces de théâtre, objets dérivés, jeux vidéo et parcs à thèmes, à l’instar de Star Wars ou du Seigneur des anneaux. Selon le journal américain Time, la franchise vaut environ 25 milliards de dollars dont 6,5 milliards d’euros viennent des huit adaptations cinématographiques produites entre 2001 et 2011. Mais pour celle qui est plus riche que ​Sa Majesté la reine d’Angleterre Elizabeth II, la route vers le succès fut un chemin semé d’embûches comme pour les aventures de ses héros. Tour d’horizon de ces parcours qui peuvent être source de leçons et d’inspiration pour les entrepreneurs.

Affronter l’échec et persévérer

La romancière a vécu des épreuves et des échecs tant au niveau professionnel que personnel qui auraient pu l’empêcher de réaliser son projet, mais elle a su les surmonter. À la suite de la mort de sa mère et de son licenciement à la chambre de commerce de Manchester, elle a déménagé en 1991 au Portugal pour enseigner l’anglais.

Ce travail lui permet de s’atteler à la rédaction du premier tome de Harry Potter. Elle se marie en octobre 1992 avec le journaliste de télévision portugais Jorge Arantes et donne naissance à une fille en juillet 1993. Mais son mariage est un échec et elle décide de divorcer et de déménager en Écosse. Mère célibataire au chômage et vivant des aides sociales, elle tombe en dépression, mais continue à écrire son manuscrit sur une vieille machine à écrire manuelle. Celle-ci le termine en 1995 et le remet à plusieurs éditeurs qui le rejettent tous.

Pourtant, la romancière persévère et la maison d’édition, Bloomsbury Publishing, en 1996, se propose de le publier. Ce sera le début d’un grand succès. La femme d’affaires n’a jamais abandonné malgré les revers qu’elle a traversés. J.K. Rowling pense que l’échec est une épreuve inéluctable, mais que l’on peut le surmonter en se fixant de petits objectifs réalistes en guise de victoire. Au cours de son aventure, l’entrepreneur devra faire face à des investisseurs et des clients qui n’aiment pas le service ou le produit qui l’essaye de proposer, mais cela ne doit pas l’empêcher de persévérer.

Former une équipe soudée aux talents multiples

En entreprise comme dans un combat entre sorciers, il ne suffit pas d’aligner des personnalités pour gagner. Sans confiance mutuelle, sans vision commune et sans esprit d’équipe, pas de succès, ni de performance. Harry, de la même manière qu’un entrepreneur, s’est entouré de collaborateurs et salariés pour vaincre ses multiples ennemis, en la personne de ses meilleurs amis, Hermione Granger et Ron Weasley et de ses camarades de classe comme Neville Londubat et Luna Lovegood. Tous ont un talent comme Hermione, qui de par son caractère autodidacte et studieux, sort souvent les autres de situations dangereuses. Dans le tome 5 intitulé Harry Potter et l’Ordre du phénix, le jeune sorcier essaye de convaincre à tout le monde que Voldemort est en vie. Prêt à tout pour atteindre son objectif, celui de le vaincre, il a une vision et une mission bien précise.

Avec l’aide d’Hermione, il crée une organisation, nommée « l’Armée de Dumbledore » pour apprendre et pratiquer la défense contre les forces du mal. Comme sous la forme d’une petite entreprise, une trentaine d’élèves va se joindre à lui, le jeune Harry Potter en devenant le professeur et le dirigeant.

Formant chacun et chacune dans leur façon de travailler, ils arrivent ensemble à réussir plusieurs missions. Celui-ci est conscient de l’importance d’être bien entouré, prenant ainsi des risques calculés. Portant le rôle de dirigeant et manager, Harry Potter a su fédérer autour de lui et entretenir une flamme collective à chacun des membres du groupe même s’ils viennent tous de différentes maisons à l’école Poudlard. Un lien qui deviendra important lors de la bataille finale contre le mage noir lors du dernier tome, Harry Potter et les Reliques de la Mort. Chacun a un rôle particulier et utilise ses qualités propres pour parvenir à la victoire.

Développer son entreprise par étapes

Les personnages des jumeaux Weasley, Fred et Georges, sont des images parfaites d’entrepreneurs en herbe. Dès leurs jeunes années, ils ont la volonté de lancer leur boutique de farces et attrapes magiques. C’est par le biais de Harry qu’ils vont pouvoir concrétiser leur projet. Il devient en quelque sorte, un investisseur en leur donnant l’argent qui a gagné à la suite de sa victoire au Tournoi des Trois Sorciers dans le tome 4. Pour lancer leur entreprise et la développer, ils se sont lancés par étapes. Ils ont d’abord proposé leurs produits à la vente par correspondance via des hiboux, leur permettant de générer des revenus. Grâce à cela, ils ont pu continuer à optimiser et à tester de nouveaux produits notamment auprès des étudiants de Poudlard.

Une façon d’attirer et de fidéliser de potentiels clients dans l’avenir. Cette première expérience leur permet d’engranger assez de bénéfices pour abandonner leurs études et acheter leur premier espace de vente physique au Chemin de Traverse, la rue commerçante pour sorciers située à Londres. Le succès est au rendez-vous. Les deux frères se sont également adaptés au marché, en proposant en dehors des objets de farces et attrapes, des produits plus sérieux comme une ligne de vêtements de protection pour les sorciers employés au Ministère de la Magie.

Le brand content

Comment construire sa marque personnelle ou celle de votre entreprise pour bien la positionner sur son marché ? Comment émerger vis-à-vis des concurrents et être visible de son public ? Le positionnement marketing est la pierre angulaire et le point de départ de toute stratégie de marque. Le brand content est utile autant pour la marque de son entreprise que pour sa marque personnelle.

Les entreprises ou marques vantent de manière traditionnelle leur histoire, leurs valeurs ou leur savoir-faire. Avec une stratégie de brand content peaufinée, elles peuvent développer leur clientèle tout en augmentant les chances d’un acte d’achat et disposent d’une crédibilité et d’une bonne réputation.
Selon plusieurs études notamment réalisées par l’institut de sondage Ipsos et Logica Business Consulting, entreprise européenne de service en informatique, 91 % des entreprises américaines dans le secteur BtoC auraient recours au brand content et 66 % des internautes aimeraient davantage une marque qui leur propose des informations comme des articles, dossiers, interviews sur leur site. 59 % d’entre eux achèteraient d’ailleurs plus de produits et de services si l’entreprise propose un contenu informatif. Au travers des supports comme les blogs, les entreprises recevraient 67 % plus de prospects et 97 % plus de liens vers leur site internet, que celles qui ne le font pas. Conscientes des atouts du brand content, les marques et entreprises font preuve avec leurs contenus, d’originalité et de créativité pour attirer les consommateurs.

Construire une stratégie de contenus de marque efficace

Les principes

Si vous souhaitez construire une stratégie de contenus de marque puissante et efficace, il faut suivre plusieurs principes. Il faut en premier lieu mettre en place une ligne éditoriale qui tient compte du positionnement de la société, de son style, de son ton et de ses valeurs ainsi que le storytelling à réaliser.

Ensuite, votre stratégie de brand content doit impliquer une production de contenu constante pour susciter l’attention des consommateurs. Mais la quantité ne doit pas prendre le pas sur la qualité. Vous devez alors à la fois divertir, informer et partager tout en étant original, créatif et innovant. Dans ce cas, il existe plusieurs procédés pour se démarquer de la concurrence. C’est notamment le cas des articles de forme, contenant des contenus écrits faibles et qui privilégient les formats vidéo et photo ou encore les articles de fond qui se concentrent sur une thématique définie et à forte valeur ajoutée ou tout simplement des livres blancs. Il vous faudra réfléchir sur quel support votre campagne de brand content sera susceptible de produire de l’audience : il y en existe plusieurs comme les sites et blogs, les plateformes professionnelles de type LinkedIn ou encore les réseaux comme Instagram, YouTube ou Twitter.

Votre image sur les réseaux sociaux donne naissance à votre « e-réputation ».

Il en va de même en ce qui concerne votre entreprise et/ou votre marque. Toutefois, il faut bien distinguer l’image de marque ou « branding », celle voulue par l’entreprise, de l’e-réputation, qui renvoie à celle qui est perçue. Il s’agit de l’ensemble des représentations et jugements de valeur véhiculés sur la toile et associés à une entité donnée. Dans un univers hyperconcurrentiel, renvoyer une image de qualité se révèle un avantage considérable pour se démarquer. Si la sur-médiatisation reste un moyen efficace en investissant notamment dans la publicité, recourir aux réseaux sociaux permet également de bâtir une image durable.

Le storytelling : construire une histoire.

C’est l’art de mettre en scène une entreprise, un individu, un projet, un concept par le récit qui doit être en lien avec les valeurs de l’entreprise ou de son fondateur. Il a pour objectif de susciter le émotions et d’obtenir l’adhésion des clients, des partenaires… 

Étapes de création de Brand content

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Ces publicités qui ont été interdites

Les publicitaires sont souvent à la recherche de nouvelles idées pour atteindre et surprendre le public lorsqu’ils doivent créer une nouvelle publicité, sous forme d’affiches, de jingles radio ou de spots télévisés. Entre humour second degré, humour noir ou trash, contenus pour adultes, choquants ou décalés, images ou informations mensongères et trompeuses, ils dépassent parfois volontairement ou non les limites pour les organismes de régulation, les associations ou voire même pour certains spectateurs. Avec la plupart du temps, des conséquences importantes comme l’interdiction de la publicité et une réputation particulièrement entachée. Tour d’horizon de ces publicités en tout genre venues de différents pays, interdites cette année.

Pas touche à l’avocat

On ne plaisante pas avec les avocats. La chaîne britannique de café Costa début octobre 2018 l’a appris à ces dépens. Elle a créé une publicité pour la radio dans laquelle elle se moque avec insistance du fruit de l’avocatier. Avec l’objectif de promouvoir ses produits et de conseiller au public de consommer ses petits déjeuners sandwich au bacon et muffin à l’œuf. L’entreprise a insisté sur les défauts de l’aliment en déclarant « « Il y a beaucoup à dire pour la défense des avocats mûris à la maison. Bien sûr, ils seront durs comme du bois pendant les 18 premiers jours, 3 heures et 20 minutes et là ils seront prêts à être consommés pendant environ 10 minutes, puis ils seront fichus. »

Un trait d’humour qui n’a pu l’air de faire rire grand monde. Des auditeurs ont alors porté plainte, dénonçant des remarques diffamatoires insistant à décourager la population de consommer des fruits et légumes frais. Pour sa défense, Costa a insisté sur le délicat problème du mûrissement de l’avocat et qu’elle ne voulait en aucun cas pousser les consommateurs à choisir entre différents types de petit-déjeuner. Une argumentation qui n’a pas convaincu puisque l’ASA (Advertising Standards Authority, l’autorité réglementant la publicité au Royaume-Uni, ndlr) a décidé de l’interdire et demander à la chaîne de café que ses publicités « n’encouragent pas de mauvaises habitudes alimentaires et ne dénigrent pas de saines pratiques diététiques ».

Un portable pas vraiment étanche

Pour promouvoir son nouveau téléphone, le HTC U11, High Tech Computer, fabricant taïwanais de Smartphones a exagérer quelque peu sur les qualités de son bijou technologique. Dans un spot publicitaire télévisé d’une durée d’environ 50 secondes et intitulé « Extreme Selfies with Tom Daley », l’entreprise vante l’étanchéité et la résistance de celui-ci à l’eau, permettant de faire des selfies immergés. Pour renforcer cette idée, elle a fait appeler à Tom Daley, le plongeur olympique britannique spécialiste du 10 m. Pendant toute la durée de la vidéo, le sportif tient le Smartphone dans ses mains, se laissant tomber plusieurs fois du plongeoir.

Tout en s’enfonçant dans l’eau de la piscine, il presse les bords du téléphone pour réaliser des photos. L’appareil en ressort à chaque fois complètement intact et fonctionnel. Or contrairement à ce que fait croire la publicité, le HTC U11 ne résiste qu’à l’eau douce, donc impossible de l’utiliser dans une piscine, et surtout, n’a pour certification que le IP67 (indice de protection relatif à l’étanchéité, ndlr), c’est à dire une résistance à l’eau durant 30 minutes et uniquement à moins d’un mètre de profondeur. La publicité devient donc mensongère. En conséquence, l’organisme d’autoréglementation publicitaire britannique a décidé de l’interdire en avril dernier, dénonçant des exagérations sur le produit présenté et HTC a dû supprimer la vidéo publicitaire de tout ses sites.

Bien loin du jackpot

En Belgique, début janvier, une campagne d’affichage publicitaire de Starcasino, opérateur de jeux en ligne a fait scandale et a fait réagir de nombreuses personnes sur les réseaux sociaux notamment sur Twitter. Elle représentait une jeune femme nue allongée sur un lit, baignant dans une mare de billets qui cache ses parties intimes. Au-dessus de celle-ci, un slogan « La sensation de gagner ». Une affiche jugée sexiste et misogyne pour beaucoup. Les plaintes se sont multipliées particulièrement envers la STIB (Société des transports intercommunaux de Bruxelles, ndlr) qui affichait cette publicité dans ses stations. La société de transports bruxellois a donc décidé de l’enlever au bout de 24h. Les mécontentements se sont également accumulés auprès du JEP (Jury d’Éthique Publicitaire, organe d’autodiscipline du secteur publicitaire), l’équivalent belge du CSA en France ou de l’ASA au Royaume-Uni.

L’organisme a décidé d’interdire cette campagne et demande à ce que le site lui soumet ses prochaines campagnes avant la diffusion. Pour celui-ci, « l’utilisation de la femme ainsi représentée (que ce soit elle qui éprouve la sensation de gagner ou non) est déplacée pour faire passer un message commercial relatif aux services concernés, à savoir des jeux de hasard, qui ne présentent aucun lien avec le corps de la femme » puis ajoute « que l’image de la femme transmise par la publicité est dénigrante pour la femme et porte atteinte à sa dignité humaine ».

Le site de casino en ligne n’en est pas à son premier coup d’essai puisqu’il a eu des sanctions pour ses précédentes campagnes publicitaires. En mai 2017, le même organisme avait déjà émis un avis péjoratif quant à une affiche présentant une femme tatouée en maillot de bain et mettant en évidence sa poitrine avec la mention « Joueuse ».

Publicité pour le tabac interdite depuis janvier 2021

À partir du 1er janvier 2021, la publicité pour le tabac est totalement interdite dans l’hexagone. En outre, l’assemblée nationale  a approuvé cette mesure à l’unanimité. Un pas important vers une société sans tabac. La loi Evin a déjà  30 ans. 

La loi du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme est liée  à une prise de conscience des risques sanitaires de produits de grande consommation, l’existence de politiques de santé efficaces, le besoin de politiques publiques en matière de santé pour protéger la santé des Français. est ainsi que la publicité est interdite pour le tabac, la vente aux mineurs encadrée, l’interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif mis en place, l’augmentation du prix tabac rendue possible en interdisant sa prise en compte dans le calcul des indices de prix à la consommation et que les associations peuvent se porter partie civile en cas de non-respect de la loi.

Cette loi est un cadre qui a ouvert la voie à des décisions sans précédents comme celles d’augmenter le prix du tabac lors du premier plan cancer et d’atteindre aujourd’hui 10 euros pour un paquet de cigarettes qui est un prix effectivement dissuasif.

3 formations pour développer l’activité de votre entreprise

Vous vous apprêtez à vous lancer dans l’entreprenariat et vous êtes à la recherche de formations pour développer votre activité ? Zoom sur 3 types de formations qui peuvent vous être utiles pour optimiser votre activité et enrichir vos compétences professionnelles. Il s’agit aujourd’hui d’être à la page voire de développer de nouvelles compétences pour conquérir de nouveaux clients.

Développez vos compétences en webmarketing

Internet a clairement pris une place importante dans notre quotidien. Il y a certes les compétences en développement de sites mais aussi en webmarketing. Ce dernier domaine reste large puisque l’on parle alors autant de référencement sur les moteurs de recherche, que de communication sur les réseaux sociaux en passant par l’ensemble des leviers digitaux (email marketing, publicités Google…). 

Quand on parle de connaître le référencement, il s’agit avant tout de comprendre comment fonctionnent les moteurs de recherche et de maîtriser autant l’approche payante que gratuite. Rien ne sert de produire du contenu s’il n’apparaît nulle part ou que vous ne connaissez pas les règles élémentaires d’optimisation pour être bien visible sur Google.

De la même façon, il est important de monter une stratégie efficace avant de vous lancer sur les réseaux sociaux. Il demeure indispensable de connaître les spécificités de chaque réseau et d’apprendre à s’organiser pour être efficace. 

Pour cela, il existe des formations efficaces et complètes qui vous permettent d’intégrer les compétences clés pour communiquer par vous-même ou mieux déléguer. Apprendre à mesurer le ROI de vos actions en vous initiant aux outils d’analyse de site web sera également indispensable. 

Pour vous former à ces sujets, optez pour une formation webmarketing certifiante et adaptée à vos objectifs. Le but demeure de vous sensibiliser à certaines techniques et enjeux de ce domaine et mettre en place une stratégie webmarketing pérenne. 

Améliorez vos contenus


Lorsque vous souhaitez promouvoir votre entreprise, sans mettre la main à la poche tout le temps, il est essentiel de créer un contenu de qualité. Promouvoir ou faire de la publicité pour un article qui n’a pas la forme et le fond adéquats ne sert pas à grand-chose. Le SEO occupe une place importante dans votre plan stratégique et vous ne pouvez entièrement reposer votre stratégie sur des promotions ou liens payants. Ceux-ci vous rapporteront immédiatement du trafic mais ne le pérennisent pas sur le temps.

La manière de rédiger et l’art du copywriting sont devenus de réels atouts pour les performances et la visibilité sur les moteurs de recherche. Avant de vous pencher sur la promotion de vos articles, il serait judicieux de vous assurer que ceux-ci répondent aux impératifs SEO. 

Si vous pouvez vous former sur la toile, intégrer une formation en optimisation éditoriale n’est guère un luxe. Vous serez rapidement en mesure de proposer un contenu adapté à votre cible et à vos objectifs. Il existe des basiques comme établir un calendrier éditorial ou savoir s’organiser pour la production de rédactions de façon plus autonome, efficiente et rentable. Pour aller plus loin, vous apprendrez à adapter la rédaction de vos contenus et de vos mots clés de façon à gagner en visibilité dans les résultats de recherche.

Développer son chiffre d’affaires en devenant formateur

Se développer passe parfois par devenir soi-même formateur. Si vous disposez d’une compétence technique, cela ne veut pas dire pour autant que vous pouvez la transmettre. Il reste indispensable de se former aux techniques d’animation de formation et méthodes pédagogiques.  

Certes, vous êtes expert dans votre métier mais être formateur ne s’improvise pas. De plus en plus de formations offrent l’opportunité aux entreprises d’accroître leur efficacité professionnelle et d’avoir accès à davantage de performances. C’est pourquoi il convient de passer par une formation pour créer son organisme de formation et apprendre les techniques pédagogiques. 

Si vous êtes expert ou consultant dans votre domaine, cela pourrait être l’occasion pour vous de monétiser votre expertise. A noter que la plupart des formations peuvent aujourd’hui se réaliser de manière virtuelle.  

Dans la mesure du possible, trouver une formation qui vous aide dans vos démarches de création d’un organisme de formation n’est pas inutile. Créer un organisme de formation demande de bien cerner les démarches inhérentes et spécifiques à sa création. Il s’agit donc de connaître celles indispensables à effectuer pour créer votre organisme mais surtout développer une démarche qualité qui s’avèrera essentielle pour conquérir vos clients 

Petit plus : connaître tous les dispositifs de prise en charge des formations afin d’accompagner vos clients dans leurs dossiers, qui sont souvent fort complexes, et ainsi d’optimiser votre taux de transformation. 

Pour conclure

Que l’on parle de webmarketing, d’optimisation éditoriale voire du développement de ses propres activités de formation, il existe de nombreux pans de l’entreprise qui peuvent être améliorés et contribuer à la performance de l’entreprise. N’hésitez pas à vous informer sur les formations qui vous permettent d’en avoir rapidement les compétences.

Comment choisir sa solution de paiement en ligne

Lorsque l’on a un site e-commerce, le choix de la solution de paiement en ligne demeure souvent une question qu’il est nécessaire de se poser pour mieux capter la clientèle. Celui-ci peut paraître facile à sélectionner mais en réalité il ne s’agit pas de prendre la première solution venue puisqu’elle influe directement sur votre taux de transformation ainsi que sur les bénéfices que vous allez réaliser à chaque vente. Zoom sur les critères à prendre en compte avant de vous lancer. 

Les deux grands types d’acteurs

Le premier choix que vous allez effectuer se réalise sur le type d’acteurs que vous allez utiliser qui peut être soit des banques, soit des solutions de paiement en ligne “nouvelle génération”. 

Les banques vous font généralement signer un contrat de vente à distance (ndlr : VAD). Il est parfois demandé de présenter un business plan ainsi que de dévoiler la typologie de prestations / articles que vous allez vendre sur votre site. Étant donné qu’elle est responsable des transactions acceptées, vous devez la convaincre de vous faire confiance. Une fois le contrat validé, elle propose généralement une solution de paiement avec un logiciel associé qui vous permet de traiter chaque transaction. La tarification varie d’une banque à une autre mais il y a généralement des frais de commissions pour l’installation (de l’ordre de quelques centaines d’euros) puis un abonnement mensuel (une quarantaine d’euros) ainsi que des commissions sur chaque transaction effectuée (généralement très faible). 

Pour la solution de paiement nouvelle génération, elle ne demande pas de signer un contrat VAD car elle va gérer la relation avec les banques. Il suffit en général d’installer un module qui vous permettra d’accepter les transactions par carte bancaire. Les nouveaux acteurs prennent des frais de transaction sur chaque paiement avec un pourcentage décroissant suivant le volume de ventes et variant d’un prestataire à un autre. Des abonnements payants sont souvent disponibles pour les services supplémentaires. 

Une solution qui a fait ses preuves

Pour choisir votre prestataire, nous vous conseillons évidemment de faire appel à une solution qui a fait ses preuves et qui ne connaît pas trop de dysfonctionnements. Nous vous invitons à vous référer aux avis clients avant de finaliser votre choix car une solution qui fonctionne mal peut largement décrédibiliser votre site e-commerce et faire fuir vos clients. Si vous constatez qu’il existe trop de plaintes des clients, mieux vaut sélectionner une autre solution car celle-ci doit fonctionner de manière optimale tout le temps.

La sécurité avant tout

Si la solution doit bien fonctionner, l’encaissement en ligne doit aussi être sécurisé car il ne s’agit pas que vos clients se fassent dérober leurs informations bancaires lors des transactions. Elle doit d’abord reconnaître évidemment les cartes qui sont volées ou encore prendre en compte les oppositions bien évidemment. Les systèmes d’authentification comme le 3-D secure vous évitent ce type de désagréments car ils demandent la validation via un code SMS ou encore l’accès à une application bancaire avec authentification forte. En conséquence, le client se sent protégé et vous pouvez donner ainsi une excellente image de votre entreprise.

Une solution simple à intégrer et à utiliser

Si toutes les solutions peuvent être envisagées, certaines sont plus ou moins compatibles avec vos CMS et selon la manière dont vous avez construit votre site (WordPress/Woocommerce, Joomla, Shopify, Magento, PrestaShop, Oxatis…) car intégrer le paiement en ligne sur son site peut demander parfois plusieurs semaines. 

A noter que des options comme le remboursement doivent être facilement utilisables et que votre interface doit être la plus ergonomique possible pour vous donner une réelle vision sur vos différentes transactions. La solution doit dans tous les cas vous permettre de gérer simplement vos transactions en vous mettant par exemple à disposition des relevés, en vous permettant de virer tous les jours vos paiements encaissés ou encore en créant pour vous des factures. 

D’autres informations peuvent vous permettre également de connaître les causes des échecs de vente, par exemple, si le client a quitté la page sans payer ou si sa banque a refusé le paiement… Une donnée qui peut vous être utile pour relancer votre client, si besoin, en lui adressant par exemple un email pour savoir s’il a rencontré des difficultés particulières pour finaliser sa vente. 

Les autres fonctionnalités appréciées 

Toutes les solutions ne le proposent pas mais l’accompagnement reste décisif dans bien des cas, surtout lors de la mise en place de votre solution ou lorsque vous cherchez à résoudre un problème de paiement. 

Certaines autres fonctionnalités peuvent être prises en compte car elles ne sont pas disponibles sur certaines solutions de paiement en ligne comme la possibilité de payer en ligne ou en proximité, le paiement fractionné /différé ou encore la possibilité d’envoyer des demandes de paiement (processus qui envoie au client un lien vers une page de paiement sécurisée via e-mail ou SMS). 

Le matériel de protection obligatoire

Si la COVID19 a largement mis en exergue la nécessité de renforcer les mesures liées à l’hygiène et la santé dans les entreprises notamment par le port du masque ou par la présence de gels hydro alcooliques, il faut bien considérer que ce ne sont pas les seuls matériels qui sont obligatoires dans les entreprises qui doivent gérer d’autres risques et préserver la santé des salariés. Zoom sur les cas où ce matériel peut être rendu obligatoire. 

La distinction vêtement de travail / vêtement de protection

On confond souvent vêtements de travail et vêtements de protection qui n’ont pourtant pas la même fonction. Le vêtement de travail sert avant tout à protéger l’individu contre les salissures liées à son travail mais il peut aussi servir à identifier une profession (par exemple les uniformes de pilotes ou la tenue des restaurateurs) ou encore à contribuer à une image de marque comme on en rencontre souvent dans les magasins. Ils sont fournis par l’employeur notamment lorsque le travail est particulièrement salissant ou insalubre et celui-ci en assure souvent l’entretien. 

Les vêtements de protection sont une sous-catégorie de vêtements de travail qui servent à prévenir des risques, notamment les accidents. Dans ce cas, ils doivent respecter des normes comme la protection anti-feu et sont considérés comme des équipements de protection individuelle. Ils servent avant tout à protéger la santé et à assurer la sécurité du travailleur contre des risques de natures diverses. Il existe une pléthore de vêtements de protection tel que les parkas, blouses, chaussures de sécurité, vêtements ignifugés ou les gants latex pour ne citer qu’eux. 

Un vêtement adapté au risque rencontré

Finalement, la présence ou non d’un vêtement de protection dépend surtout de sa capacité à protéger d’un risque même s’il peut être en même temps lié au confort ou à sa fonctionnalité. 

Divers risques existent qu’il vous faut prendre en compte : chaleur et brûlure, présence de produits chimiques, chutes potentielles d’objet, risques de coupure. On les distingue généralement en 8 catégories : mécanique, thermique, biologique, chimique, absence de visibilité, électrique et électrostatique, chute et noyade.

Les risques qui pèsent sont liés aux conditions dans lesquelles s’effectuent le travail ou à la nature de celui-ci. Ainsi vos collaborateurs sont confrontés à des dangers lors de l’exposition à de fortes chaleurs ou au froid tout comme lors de la manipulation des agents chimiques et biologiques. Ces risques augmentent dans certaines activités comme celles du BTP ou de l’entretien comme on le constate depuis la crise sanitaire. 

Les types de vêtements suivant le risque

Ainsi une panoplie de vêtements a été créée et chacun d’entre eux  s’adapte à un risque. Ainsi contre la chaleur et les brûlures, ce seront des vêtements ininflammables qui seront privilégiés (norme EN 533) et leur rôle est de ne pas fondre ni propager le feu ou encore ceux de l’industrie exposés à la chaleur (NF EN 531)

De la même manière, les intempéries et le froid ont leur vêtement adapté (norme EN 342) ou encore contre les risques chimiques. Les plus connus restent ceux liés aux risques mécaniques et qui sont très présents dans les domaines liés aux bâtiments ou à l’usine. Les matières peuvent donc varier d’une situation à une autre et selon le risque encouru. 

Qantis, une entreprise qui veut faire ensemble

Interview de Gaëtan de Sainte Marie, président fondateur de QANTIS et porte-voix de plus de 30 000 PME-ETI de son écosystème, auteur de l’ouvrage « Ensemble, on va plus loin » qui nous retrace son aventure entrepreneuriale.

Comment vous est venue l’idée de Qantis ?

L’idée m’est venue en Australie quand j’avais 24 ans donc il y a plus de 20 ans. Après mes études en France je suis parti à Sydney où j’ai travaillé pour une grande entreprise française pendant deux ans. Mon idée à l’origine est partie du constat que les grandes entreprises ont une organisation extrêmement performante et que si les PME se regroupaient, elles pourraient avoir la même. À l’époque, ma première idée était plutôt orientée vers l’informatique. Nous étions dans les années 97-98 et je découvre chez Péchiney qu’ils avaient des serveurs au niveau mondial reliés les uns aux autres et que, de ce fait, leurs fichiers étaient partagés à travers le monde.

Je me dis que les PME ont chacune leurs serveurs dans leur coin et qu’elles gagneraient à mutualiser leurs moyens informatiques. En quelques mots, il s’agissait de réunir les serveurs afin que chacun puisse s’y connecter. J’ai donc créé une entreprise pour mettre en œuvre ce projet, qui s’appelait do IT right, en m’associant avec deux autres personnes en 1999. C’était un jeu de mots pour dire « fais-le bien » en même temps que « IT » symbolisait l’informatique. Nous étions une des entreprises pionnières à proposer cette solution en Australie même si rapidement, 3 – 4 entreprises faisaient la même chose. Le marché n’était absolument alors pas mature et les PME n’étaient pas prêtes à mettre leurs données à l’extérieur de leurs locaux. C’était pourtant les prémices du Cloud.

Quel est le point commun entre Qantis et cette idée de base ?

L’idée fondamentale pour moi était surtout de mutualiser les moyens des PME, plus que de réaliser un projet pour l’informatique. Au bout d’un an, nous avons fait le constat qu’avant que le marché soit mature, il allait s’écouler du temps. Je décide de rentrer en France en étant persuadé que regrouper les PME est une idée judicieuse. Je trouve quatre premières PME dans le BTP à Lyon qui veulent se regrouper pour leurs achats et non leurs réseaux informatiques. C’est comme ça que nous avons commencé à travailler ensemble et que nous avons décidé de créer « PME centrale » qui sera d’ailleurs les prémices de Qantis en 2001.

Est-ce que cela a fonctionné tout de suite ?

Les 2 – 3 premières années ont été compliquées car il a fallu convaincre les équipes internes de ces entreprises. Les dirigeants de ces entreprises étaient convaincus qu’il fallait mutualiser mais pas les personnes qui travaillaient dans ces services ne l’étaient pas forcément. Il a fallu également convaincre les fournisseurs qui voyaient cela d’un assez mauvais œil au départ. Cela nous a pris deux à trois années avant que cela devienne une réalité pour tous.

Quelles ont été les grandes étapes initiales ?

La première grande étape c’est que nous avons appris à travailler de manière collaborative. Nous avons construit la méthode car elle n’existait pas. Nous avons créé l’entreprise avec les premiers adhérents et nous avons très rapidement mis en place un comité de pilotage. Puis, nous avons lancé des commissions de travail entre adhérents qui nous ont permis de négocier les accords-cadres avec les fournisseurs et mis en place de nombreuses méthodes que nous utilisons encore aujourd’hui.

Il y a 20 ans, nous étions précurseurs et nous avons expérimenté des solutions qui paraissent aujourd’hui classiques mais qui, à l’époque, n’étaient guère habituelles comme de faire travailler des entreprises ensemble qui pouvaient être même concurrentes. Entre 2001 et 2004, nous avons mis en œuvre le collaboratif. Ensuite, il a ouvert d’autres offres puisque nous avions commencé par les achats et petit à petit nous avons élargi à d’autres sujets comme la vente et la partie RH…

Au fur et à mesure, nous avons développé notre entreprise selon les besoins, ce qui nous a permis d’arriver à ce qu’est aujourd’hui Qantis. Finalement le business model est resté très similaire à celui du démarrage qui était de payer une adhésion annuelle pour rejoindre Qantis mais aujourd’hui, nous regroupons 30 000 entreprises dans des activités très diverses mais pour toujours leur permettre d’être davantage performantes.

Que s’est-il passé par la suite ?

Il y a eu le passage millième adhérent qui a été une étape symbolique en 2008, il me semble. Puis, nous avons eu le lancement de la « journée ensemble ». Il s’agit d’un événement que nous réalisons une fois tous les deux ans et qui nous permet de rassembler des membres de notre écosystème que ce soit du côté adhérent ou du côté des fournisseurs et partenaires. C’est un moment très fort de notre réseau qui permet de se rencontrer de manière collective chacun avec une prise de recul. Beaucoup se rencontrent toute l’année mais c’est l’occasion pour eux d’échanger sur le travail collaboratif et de l’expérimenter plus avant. Cela permet également l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes et de continuer à alimenter notre dynamique collective.

2016 a été une année de changement ?

Il y a eu le lancement de notre première filiale à l’étranger en Allemagne en 2016 ainsi que la sortie de mon livre « ensemble, on va plus loin » qui nous a permis de confirmer notre attachement au collaboratif. Même à l’époque, celui-ci n’était pas encore à la « mode » dans le B2B et il n’était pas encore bien assimilé que le collaboratif est un véritable axe de la performance des entreprises. En 2018, nous avons lancé notre première plateforme digitale et qui nous a permis de nous transformer, ce qui constitue aujourd’hui un de nos principaux axes de développement.

Quand est-ce que vous avez changé de nom ?

Il s’est opéré en 2019 pour plusieurs raisons. C’était d’abord pour marquer notre entrée dans le digital parce que « PME centrale », cela ne faisait pas très digital. La deuxième raison c’était pour ouvrir l’aspect international puisque cela faisait quelques années que nous étions présents en Allemagne. Enfin, nous souhaitions aussi montrer que, même si nous sommes partis avec des PME à la base, aujourd’hui Qantis c’est aussi des ETI, des réseaux d’entreprises, des réseaux professionnels. S’appeler « PME centrale » était un peu réducteur que ce soit pour la typologie de la société ou encore le fait que notre métier ne concerne pas que les achats mais aussi tous les autres aspects.

Finalement, nous accompagnons nos adhérents plus largement dans le développement de leur performance quelle que soit la typologie de la performance. Qantis vient du latin et fait référence à tout ce qui touche la mécanique quantique et fait sens car c’est l’étude de l’interaction entre les éléments. Nous avons enlevé le « u » car le domaine n’était pas disponible (rire) et que cela faisait plus moderne. Surtout, nous avons choisi « qantis.co » et non pas « .com » pour montrer l’aspect collaboratif.

Quelle a été la plus grande difficulté depuis le début ?

Le plus difficile a été de convaincre que la mutualisation était un vrai levier de performance à la fois pour les adhérents de l’écosystème mais aussi pour les partenaires et les fournisseurs. Pour l’exprimer différemment, il a fallu montrer que finalement que l’on est plus fort à plusieurs que tout seul même si cela peut paraître évident aujourd’hui. Côté adhérents même si c’est une phrase que l’on entend beaucoup dans le milieu de la PME, il y a 20 ans les gens étaient un peu individualistes et il y a eu énormément de changement de ce côté-là.

Du côté fournisseur, il fallait montrer qu’avoir des PME qui se regroupent, ce n’est pas seulement une centrale d’achat de base qui cherche à tirer les prix vers le bas et faire des économies. C’est bien plus intéressant que cela pour eux car on écrit l’histoire ensemble. Bien sûr, il y a des conditions intéressantes par l’effet de volume mais c’est aussi l’opportunité pour des fournisseurs de développer leur chiffre d’affaires grâce à nos adhérents. Nous ne sommes pas dans le système où nous sommes les uns contre les autres mais les uns avec les autres.

Quels sont vos défis à venir ?

Déjà le premier défi c’est quand même « l’univers Covid », j’ai envie de dire. C’est difficile pour tout le monde que ce soit pour les PME ou pour leurs collaborateurs. Tout le monde est quand même sous pression et un peu chamboulé. Il faut continuer à naviguer avec confiance dans un milieu qui est très anxiogène, plein de brouillard. Si nous voyons un peu plus loin, il faut noter que si en France la PME est adorée par tout le monde, mais ne s’avère pas suffisamment valorisée par les acteurs politico-économiques.

C’est un problème parce que nos élus nous répètent que nous sommes moins forts que les Allemands car ces derniers possèdent des PME et des ETI fortes mais que rien n’est véritablement fait. Finalement, on reproche à la PME d’être petite. Notre défi est donc de montrer qu’en regroupant, tout en laissant l’indépendance à chacun, nous représentons une véritable force à la fois économique et sociale car une PME est avant tout un acteur social. Elle est en permanence en contact avec les collaborateurs des différentes entreprises et bien liée à son environnement. Par exemple, quand on parle de RSE, la PME est un acteur par nature car elle est implantée naturellement dans son territoire. Il s’agit de montrer que la PME possède tous les ingrédients pour être l’acteur principal de la relance économique des prochaines années, qu’il faut lui faire confiance, et c’est ce que nous proposons avec Qantis.

Quels ont été vos facteurs clés de succès ?

Agilité, collaboratif et intuition même si j’y reviendrai plus tard dans la partie conseil. Mon équipe, mes adhérents et mes fournisseurs, cette communauté, que nous avons construite depuis 20 ans, a fait un peu comme une boule de neige qui s’est petit à petit renforcée et c’est ce qui a fait notre succès. S’il y a une chose à retenir, ce serait cette co-construction permanente et cet état d’esprit collaboratif qui s’est constitué petit-à-petit. J’aime bien dire que c’est ce qui nous a permis de consolider au fur et à mesure par petits pas.

Un point supplémentaire à aborder ?

Il y a le sujet qui me tient à cœur : celui de l’engagement en dehors du monde de l’entreprise. Par exemple, je suis président d’une association qui s’appelle « Entreprendre pour apprendre » et qui permet aux jeunes des collèges et des lycées de vivre des aventures entrepreneuriales et de créer une mini entreprise. Aussi, j’ai été longtemps engagé dans le CJD et d’autres engagements, qui m’ont permis de garder l’esprit frais et d’aller me confronter à d’autres univers. Je tenais à souligner que ce sont des sources d’innovation exceptionnelles à la fois pour le dirigeant et pour son entreprise. En dehors de cet intérêt, il ne faut donc pas négliger l’engagement sociétal et notre responsabilité que nous avons en tant que chef d’entreprise vis-à-vis de l’écosystème également. 

 » Le plus difficile a été de convaincre que la mutualisation était un vrai levier de performance à la fois pour les adhérents de l’écosystème mais aussi pour les partenaires et les fournisseurs. »

Interview de Gaëtan de Sainte Marie, président fondateur de QANTIS