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Le télétravail : veiller au bien-être de vos collaborateurs

Après le télétravail mis en place du jour au lendemain lors des différents confinements, il est temps d’instaurer une nouvelle manière de travailler et de trouver les meilleurs processus pour que celui-ci soit un binôme gagnant aussi bien pour l’entreprise que pour le collaborateur.

Définir les heures de travail.

Le télétravail nécessite une certaine organisation de la part de l’employeur, notamment sur les horaires de travail. S’il œuvre au sein de l’entreprise, l’employé doit être présent pour des rendez-vous professionnels, des réunions, des départs en séminaires ou autres événements. En revanche, dans le cadre du télétravail, ces obligations n’ont plus lieu d’être. L’entrepreneur peut même établir des horaires décalés pour le télétravailleur, si les deux parties se mettent d’accord au préalable. En tant que dirigeant, pensez cependant que vous devrez réserver quelques plages horaires en commun avec votre télétravailleur, ne serait-ce que pour établir un point régulier sur l’avancement de ses projets.

Fixer des objectifs précis.

L’encadrement doit être précis et les consignes de travail claires pour optimiser le travail d’un collaborateur à distance. Il faut donc définir précisément vos attentes avec votre employé avant qu’il ne se mette en situation de télétravail. La première chose à faire est de répartir correctement la charge de travail. Les délais de livraison des missions doivent être fixés avec rigueur et précision.

Veiller au bien être des salariés.

Une étude réalisée par Obergo a montré que 75 % des télétravailleurs estiment qu’ils travaillent plus à distance qu’auparavant dans l’entreprise. Cette tendance est due à leur volonté de prouver leur capacité de travail, mais aussi au fait que les entrepreneurs les sollicitent plus, en partant du principe qu’ils occupent une situation privilégiée. Pourtant, un dirigeant a l’obligation d’assurer un traitement égalitaire à tous ses employés, quelle que soit la forme de travail choisie. Il est donc important, dans son management, de répartir la charge de travail de manière toujours équitable.

Communiquer et partager votre vision et vos valeurs.

Pour créer leur implication et motivation, vos salariés doivent connaître votre vision et vos valeurs. Plus que cela, ils doivent y adhérer et avoir le sentiment que vous les emmenez dans la bonne direction. Ils sont dans une aventure et ils doivent être conscients que leurs efforts vont contribuer au succès. Ils doivent profondément avoir envie de s’impliquer et il faut savoir donner du sens à leur aventure. Il ne s’agit pas que de dire que vous allez arriver à faire plus de chiffre d’affaires, il faut qu’il y ait une désirabilité plus forte. Vous devez faire appel à leurs valeurs. Il faut que vous trouviez en quoi votre entreprise contribue à l’amélioration de la société. Vous pouvez partager cette vision lors de vos réunions hebdomadaires par exemple, par l’intermédiaire d’indicateurs qu’ils recevront périodiquement ou en direct

Écouter et prendre en compte.

Chacun à son poste connaît les problèmes qu’il rencontre et peut être source de propositions pour vous aider à vous améliorer. Les collaborateurs ont parfois la solution à leurs problèmes mais ne vous en parlent pas. Vous étiez le dirigeant qui n’écoutait pas forcément les propositions. Désormais, vous devez faire appel à l’intelligence individuelle et collective pour trouver la bonne voie. Attention car si vous les écoutez et qu’ils prennent le temps et vous accordent leur énergie pour aller dans la bonne direction, il faudra derrière agir. Vous ne pourrez mobiliser plusieurs fois leur énergie si vous ne faites rien après les avoir consultés. Il ne s’agit pas de faire absolument tout ce qui est demandé car toutes les propositions ne seront pas bonnes mais au moins de les prendre véritablement en considération. 

gereso.com

L’engouement pour les cartes ne datent pas d’hier mais les cartes Pokémon font le buzz

Mais cet engouement, jusque-là mesuré, s’est transformé en folie. C’est pourquoi Target a stoppé la vente de cartes Pokémon aux États-Unis. Dès sa sortie en 1996, le jeu de cartes à collectionner Pokémon connaît un regain de succès depuis quelques années. Celui-ci n’a fait que s’accentuer durant la pandémie, selon le site spécialisé Marketplace.

Le géant américain de la distribution Target a annoncé la suspension temporaire des ventes de certaines cartes de collection. Notamment les cartes Pokémon, dans ses magasins par « souci de précaution » face à la frénésie démesurée des clients.

Suspension mais achat en ligne possible

Target, a expliqué dans un communiqué « La sécurité de nos clients et de nos équipes est notre première priorité. Par souci de précaution, nous avons décidé la suspension temporaire des ventes de cartes de collection MLB, NFL, NBA et Pokémon dans nos magasins, à partir du 14 mai ». Cependant, il a souligné que ces articles pouvaient toujours être achetés en ligne.

Ce n’est pas de gaité de cœur que l’enseigne a décidé cette suspension. Toutefois, c’est une altercation violente au sujet de cartes à collectionner sur un stationnement d’un Target de l’État du Wisconsin, dans le nord du pays, la semaine dernière a motivé la décision de l’entreprise, selon des médias locaux.

Que s’est-il passé ?

Quatre personnes ont été arrêtées le 7 mai pour avoir agressé un homme de 35 ans. Celui-ci avait sorti une arme pour se défendre, sans tirer aucun coup de feu, selon la police au journal Milwaukee Journal Sentinel.

Pokémon : la carte la plus chère au monde a été vendue

Des paquets éventrés, des files d’attente interminables

Mais quand l’avidité de posséder ces cartes se transforme en vol dans les magasins, il n’est plus possible de laisser faire. Des images circulant sur les réseaux montrent des dizaines de paquets de céréales éventrés dans l’espoir de trouver des cartes. Notamment des files d’attente dès l’aube devant des supermarchés Target qui les commercialisent pour pouvoir les acquérir.

Les cartes Pokémon, un business

Une boîte de cartes Pokémon de 1999 s’est vendue 666 000 dollars en février sur le site d’enchères Goldin Auctions. De même, la vente à l’unité de certaines cartes rares, comme celle du Pokémon Dracaufeu, peut atteindre plus de 300 000 dollars.

Des stars se font les chantres des cartes

Comment Logan Paul a-t-il pu dépenser 2 millions de dollars en cartes  Pokémon ? | Konbini
© Logan Paul / Youtube

La flambée des prix est en partie nourrie par des vedettes de l’Internet? Notamment, le Youtubeur Logan Paul, 26 ans, qui prétend avoir dépensé près de deux millions de dollars pour des cartes Pokémon dans une vidéo.
Face à la frénésie, Target avait commencé par limiter le mois dernier les ventes de cartes de collection, n’autorisant que l’achat d’un paquet par personne.

La folie des cartes ne date pas d’aujourd’hui

Ainsi les cartes sportives remontent à la fin du 19e siècle, lorsque celles-ci se retrouvaient dans les paquets de cigarettes des grandes compagnies de tabac. Alors avec la pandémie, on peut penser que de nouvelles habitudes se créent. Il y a bien sûr toujours les cahiers pour coller les images et les cours de récréations pour échanger les images. Quoique avec la pandémie, elles ont été interdites pour respecter les gestes barrières. Vivement le retour de la liberté !

L’intelligence artificielle, remplacera-t-elle des emplois ?

L’intelligence artificielle, comme toute innovation, porte son lot d’inquiétudes car chacun pense aux conséquences imprévues qu’elle entraîne dont le sort qu’elle réserve à certains métiers. Ces robots qui apprennent seuls, une fois programmés pourront bientôt effectuer une multitude de tâches encore destinées aux humains. Alors faut-il avoir peur de l’évolution de ces algorithmes ?

L’intelligence artificielle conçue pour remplacer des métiers ?

Depuis plusieurs années, les IA sont développées partout et dans presque tous les secteurs. Elles visent à faciliter le quotidien des Hommes, au détriment de certaines classes sociales, la plupart du temps, instaurées dans des secteurs aux tâches répétitives, leur apparition fait peur aux classes concernées. Elles sont inquiètes de l’arrivée de ces robots intelligents qui s’occupent des tâches fastidieuses et administratives. L’IA dans les secteurs tertiaires vise à remplacer l’homme, pour une plus grande performance et un moindre coût pour les entreprises. Cette évolution inquiète les acteurs de l’économie qui ont peur que le chômage prospère en flot continu.

Face à cette avancée de nouvelles intelligences, des secteurs comme l’assurance se tournent vers cet eldorado pour convaincre d’autant plus les consommateurs. Elles aident à maintenir une assistance 24h/24h pour les adhérents en cas de litige. L’intelligence artificielle prend le relais des salariés, une fois qu’ils quittent l’entreprise en fin de journée. Pour le moment, elle permet seulement d’accompagner les consommateurs dans leur déclaration de litiges ou encore dans la recherche de fraudes à l’assurance. Les entreprises font ce choix pour une meilleure performance, mais remplacer les salariés n’est pas encore à l’ordre du jour. Cependant, une fois les IA devenues très performantes, les entreprises feront de toute évidence le choix de supprimer certains postes alors dépourvus d’intérêt.

Un incontournable que doivent envisager les entreprises

Non seulement, la performance est un argument majeur pour les entreprises, mais elles ne peuvent l’ignorer. Les IA sont devenues incontournables dans tous les secteurs, elles s’inscrivent comme une obligation à laquelle il est difficile d’échapper. D’ici peu de temps, l’IA sera l’affaire de tous, si elles manquent le virage, les entreprises pourraient bien disparaître du paysage des entreprises. Les consommateurs vont s’y habituer et préféreront une approche rapide et adaptée, ce qu’il est impossible à un humain de fournir puisqu’il ne peut consacrer qu’environ un tiers de sa journée au travail et que de plus il a des jours de repos et des vacances. La tendance va forcer les entreprises à avoir recours aux algorithmes intelligents et automatiquement, les salariés risquent d’être lésés.

Il est bien connu que les services administratifs sont souvent très sollicités et débordés et les humains n’ont pas la même capacité que les ordinateurs pour traiter les informations. Analyser une base de données et créer des tableaux Excel, s’avère long et fastidieux. Pour une intelligence artificielle, la réalisation prend parfois quelques minutes seulement, elle analyse rapidement la base de données et apprend d’elle-même, elle devient donc de plus en plus performante. Les entreprises qui voudront émerger sur le marché devront se munir de cette nouvelle technologie.

Les salariés restent relativement menacés, c’est le cas par exemple, des community manager, un métier qui à première vue est destiné aux humains. Ils ont pour but d’interagir avec une communauté à travers les réseaux sociaux. Et pourtant, des entreprises ont conçu des intelligences artificielles personnalisées qui sur le long terme risqueraient de remplacer le rôle des community manager. Elles s’occupent alors de communiquer sur les réseaux sociaux sans aucune difficulté. Il suffit juste de lui apprendre les pratiques dans un premier temps et elle reproduira automatiquement les demandes.

Une perte d’emplois très minime

Même si l’avancée technologique produit l’émergence des IA, elle n’est pas synonyme d’une prochaine croissance du chômage. Les deux phénomènes doivent être dissociés. L’IA va forcément supprimer des métiers aux tâches répétitives qui s’avèrent souvent aliénantes pour les salariés. Dans un premier temps, s’il est juste question de remplacer une tâche de leur quotidien, les salariés n’y verront que des avantages. Si à l’inverse, l’IA remplace carrément le travail de l’employé, il devra se diriger vers un autre secteur, un autre service et donc apprendre un nouveau métier. C’est donc aux organisations d’anticiper et de mettre en place la reconversion des salariés.

Cependant, cette mise en place n’est pas évidente car l’utilisation de l’intelligence artificielle demande des personnes qualifiées. Or, la programmation n’est pas donnée à tout le monde et demande souvent des compétences et donc une formation adéquate qui ne peuvent pas toujours s’acquérir par seulement quelques mois de formation. L’émergence de cette nouvelle technologie génère donc des recrutements et une hausse des propositions d’emplois, mais dans des secteurs spécifiques et destinés essentiellement à certains profils qui ne sont pas forcément ceux des employés que les entreprises avaient dans leurs effectifs.

Un réel développement pour les entreprises

A contrario, même si les entreprises devront parfois se séparer de collaborateurs pour les remplacer par des intelligences artificielles, elles seront davantage convoitées sur le marché et donc en conséquence se développeront. Elles généreront automatiquement un chiffre d’affaires plus conséquent. Les entreprises auront la possibilité de garder leurs salariés, tout en installant une IA mais il faudra anticiper et organiser des reconversions au sein même des sociétés. Que ce soit sous forme de maintenance ou de gestion, reconvertir des salariés se pratique dans différents secteurs depuis toujours car les progrès suppriment toujours des tâches mais en revanche en proposent d’autres. L’industrialisation ou encore le développement des énergies renouvelables a forcé des entreprises entières à revoir leur logistique. Ce n’est pas une étape simple, mais l’IA ne devrait pas générer une réelle perte d’emploi d’ici les prochaines années si son implantation est anticipée. Là est tout le secret de la réussite !!!

L’évolution des IA génère de toute évidence de nouvelles organisations dans tous les secteurs que ce soit dans les assurances, la communication ou encore l’administration. Les entreprises doivent anticiper pour appréhender l’impact sur leur secteur pour ensuite générer de nouvelles idées qui seront au service de l’être humain et non le contraire. L’émergence de cette nouvelle technologie ne doit pas inquiéter les entreprises et leurs emplois pour autant mais il vaut mieux ne jamais écarter la question de l’éthique à adopter. Cela doit être une des préoccupations majeures. Les IA ont pour capacité d’apprendre seules, ce qui une fois connectées à internet peut les amener à se détourner de leur fonction première. Des associations et des organismes de protection du monde entier se questionnent sur l’éthique et l’utilisation de cette technologie. Alors la prudence s’impose car les enjeux de l’IA ne sont pas les mêmes que ceux des progrès technologiques des siècles précédents.

Quelques idées pour conquérir votre clientèle

Si votre produit ou service n’attire pas suffisamment de clients, une des solutions reste d’en proposer un autre. Une idée simple, voire simpliste, mais qui peut faire son effet ! Analysez la tendance de votre marché et réfléchissez bien à ce que votre cible attend… Il ne vous reste plus qu’à surfer sur la vague du succès. Voici quelques idées pour conquérir votre clientèle.

Améliorer votre démarche commerciale

Dans le confinement actuel et qui perdure, il est rare qu’un client par le seul fait de l’existence de votre site internet soit prêt à signer un contrat sans avoir pu échanger avec le commercial. Il vous faut donc améliorer votre commercial ! Coaching, formation ou lecture assidue d’ouvrages spécialisés… tous les moyens sont bons pour devenir un meilleur vendeur.

Devenir un as de la prospection téléphonique

La nuit vous rêvez qu’un téléphone psychopathe vous séquestre dans votre bureau ? Pas de doute, vous êtes victime d’une forme aigüe de prospection-phobie ! Alors détendez-vous et relativisez : même les meilleurs vendeurs se font régulièrement raccrocher au nez ! Vous pouvez aussi songer à vous former dans ce domaine pour prendre confiance en vous et améliorer votre efficacité.

Explorer les multiples techniques de promotion

Ne dites pas que vous ne vous êtes jamais laissé convaincre par les techniques marketing mises en place par les industriels pour vous faire acheter leurs produits ? Le fameux « 2 pour le prix d’1 » : un tour de magie ? Non, juste une parfaite compréhension des mécanismes de l’impulsion d’achat… que vous pouvez reprendre à votre compte en la remixant un peu.

Conclure des partenariats

Parce qu’à 2 on est plus fort que tout seul. Non, ceci n’est pas une pub pour Meetic mais bien un conseil commercial ! En vous alliant avec une entreprise qui propose une offre complémentaire à la vôtre, vous vous offrez une plus grande visibilité et étoffez votre réseau.

Améliorer votre offre à partir des retours de vos clients

Ils n’ont peut-être pas un diplôme de marketing en poche mais ce sont tout de même eux qui vous conseilleront le mieux pour optimiser votre offre.

PEAUFINER votre référencement

Car peu de gens auront le réflexe d’appeler le plombier dont le site est référencé sur la page 12 des résultats dans Google… Alors investissez et offrez-vous les conseils de spécialistes du référencement : effets garantis sur le chiffre d’affaires annuel !

Optimiser vos rendez-vous clients

À moins que vous maîtrisiez l’art de l’hypnose, ce qui pourrait vous faciliter grandement la tâche pour convaincre le client qui est en face de vous, il va vous falloir apprendre à conclure efficacement vos rendez-vous commerciaux même si ceux-ci se déroulent en visio-conférences.. Un art subtil dont vous pourrez percer les secrets en consultant les livres d’experts qui ont fait leurs preuves mais aussi en observant les différents podcasts des entreprises qui présentent leurs produits.

Trouver de nouveaux réseaux de distribution

Prenez-vous pour Les Experts et partez à la chasse aux indices qui vous permettront de définir les lieux que fréquentent vos clients potentiels. Une fois ces lieux définis, creusez-vous la tête : il doit bien y avoir un moyen d’en faire un point de vente de votre offre…

Développer votre créativité

Toutes les idées qui vous permettront de soigner votre image et de vous rapprocher de votre cible sont bonnes à prendre. Organisation d’ateliers pratiques, opérations marketing décalées… Réalisez un brainstorming avec vos salariés et laissez venir toutes les propositions, même les plus improbables. N’hésitez pas à consulter les buzz qui vous permettront de développer votre créativité

@dynamique-entrepreneuriale

Le saviez vous : 2021 l’année des levées de fonds

Dans cette période d’incertitude, ils ont été nombreux à penser que les levées de fonds seraient en berne. Eh bien non, certaines levées de fonds ont atteint des montants qui dépassent l’imagination. Focus sur quelques-unes d’entre elles.

1 PayFit (Série D)

Payfit : Gestion de la paie | CELGE


PayFit est une entreprise française qui développe un outil SaaS de gestion de paie et de gestion des ressources humaines. En série D, la startup a levé 90 millions d’euros auprès de quatre investisseurs : Xavier Niel, Eurazeo, Bpifrance et Accel.

2 Alma (Série B)

SOURCES ALMA - La French Fab


La startup Alma propose une solution de paiement en plusieurs fois garantie pour le e-commerce et les magasins. Alma a réalisé la plus importante levée de fonds pour une startup en France, en janvier 2021. Elle a récolté 49 millions d’euros auprès de Seaya Ventures, Cathay Innovation, Idinvest Partners ou encore Bpifrance.

3 Sorare (Série A)

Sorare, est-ce une arnaque ? Est-ce fiable ?


Sorare est une startup spécialisée dans le gaming. Au mois de février 2021, Sorare est la startup qui a récolté la plus importante levée de fonds. En effet, elle a récolté 40 millions d’euros. Parmi les investisseurs se trouvent : e.ventures, Benchmark, Accel, mais aussi Gary Vaynerchuk, Rio Gavin Ferdinand ou encore le très célèbre joueur de football Antoine Griezmann.

4 CorWave (Série C)

Startup CORWAVE Des pompes d'assistance cardiaque implantables utilisant  une technologie de membrane


CorWave est une startup spécialisée dans la conception de pompes cardiaques destinée aux patients souffrant d’insuffisance cardiaque sévère. Début janvier 2021, CorWave a réalisé une belle levée de fonds de 35 millions d’euros, après avoir réalisé un tour de table auprès de plusieurs investisseurs comme Bpifrance, Ysios Capital, Sofinnova Partners, M&L Healthcare Investments ou encore EIC Fund.

5 Cubyn (Série C)

Cubyn Vector Logo | Free Download - (.SVG + .PNG) format -  SeekVectorLogo.Com


Cubyn est une entreprise privée de logistique interentreprises. La société propose un service de traitement des commandes basé sur la technologie pour les affaires électroniques. Cubyn a levé 35 millions d’euros au mois de mars 2021. Parmi les investisseurs, on note la présence de Bpifrance, Eurazeo, DN Capital ou encore BNP Paribas Développement.

6 Step Pharma (Série B)

Levée de fonds : la startup Step Pharma collecte 14 millions d'euros


Step Pharma Step Pharma, société de biotechnologie qui développe des médicaments pour l’oncologie et les maladies auto-immunes. Fin mars, Step Pharma a annoncé avoir levé 35 millions d’euros auprès notamment de Bpifrance, de Sunstone Life Science Ventures ou encore Pontifax.

7 Indy (Série B)


La solution d’Indy (ex-Georges.tech), développe un outil de comptabilité pour les indépendants afin de simplifier les tâches liées à la comptabilité. Indy a réalisé une levée de fonds de 35 millions d’euros en janvier 2021 après réalisé auprès d’Alven, Singular et Kerala Ventures.

8 Iziwork (Série B)


Iziwork propose une mise en relation accélérée entre les travailleurs intérimaires et les entreprises clientes. En janvier 2021, la levée de fonds de la startup s’élève à 35 millions d’euros. Les deux investisseurs principaux sont Cathay Innovation et Bpifrance.

Le classement des plus grosses levées de fonds de startups en France en 2021

RangStartupSérieFonds levés
1AlanSérie D185M€
2OrnikarSérie C100M€
3PayFitSérie D90M€
4OpenclassroomsSérie C80M€
5Ultra Premium Direct68M€
6EasyMileSérie B55M€
7AlmaSérie B49M€
8SorareSérie A40M€
9CorWaveSérie C35M€
9CubynSérie C35M€
9Step PharmaSérie B35M€
9IndySérie B35M€
9IziworkSérie B35M€
14ShippeoSérie C32M€
15Not So DarkSérie A20M€
15LibeoSérie A20M€
17PledgVenture Round15M€
18HomaGamesSeed Round12,59M€
18MazeSérie A12,59M€
20EG 427Série A12M€

Ces entreprises françaises aux concepts étranges

Les idées les plus saugrenues permettent parfois de lancer des business très fructueux. Ces dernières années, plusieurs entreprises parient sur des business lucratifs comme les technologies, l’innovation ou encore l’écologie. D’autres préfèrent tenter l’aventure avec des idées étranges créant parfois l’incompréhension des consommateurs. Malgré leur imaginaire très spécial, ces entreprises françaises aux concepts étranges connaissent un véritable succès.

Des insectes dans l’assiette

Jimini’s du nom du criquet dans Pinnocchio est une entreprise française ayant fait le pari de commercialiser des insectes comestibles pour l’apéritif. Un défi pour les entrepreneurs. Créée en 2012 grâce à Clément Sellier et Benjamin Rabastens, cette entreprise propose des produits de substitution aux protéines végétales et animales. Sous différentes formes, ils sont partout. Jimini’s propose des insectes entiers aromatisés, des barres protéinées et des pâtes enrichies à la poudre d’insecte. Baser son business autour de petites bêtes reste un pari risqué et pourtant l’entreprise fonctionne très bien depuis ses débuts. Cette alternative saugrenue et originale surprend les consommateurs. Composée de 15 collaborateurs, l’entreprise possède déjà plus de 350 points de vente en Europe particulièrement chez Nature et Découvertes. Cette start-up fascine et a remporté le Grand Prix de MoovJee. Elle a également intégré la première promotion du Comptoir de l’Innovation.

Nouvelle tendance : adopter une poule

Avoir une poule dans son jardin devient une tendance de plus en plus sollicitée par les provinciaux et les habitants de la banlieue de Paris. Permettant d’avoir régulièrement des œufs, les poules représentent un atout dans le jardin. Une poule consomme environ 150 kg de déchets alimentaires par an, un aspect rentable et écologique pour un foyer. Pour répondre aux attentes de potentiels clients, de nombreuses entreprises ont misé sur la vente ou la location de poule pour son jardin. C’est le cas de Adopte une poule inspiré du célèbre site adopteunmec.com, le concept est simple, mais séduit les particuliers. Créé en 2015, il consiste à valoriser les biodéchets et avoir une politique de développement durable grâce aux poules qui ingèrent presque tout. Cette entreprise s’étend et convainc des grands groupes d’adopter des poules. C’est le cas de la SNCF avec ses gares. Les collectivités ont aussi pris part à l’aventure d’Adopte une Poule pour les distribuer aux particuliers afin de développer une activité éco-responsable.

Se défouler pour déstresser

Pour éviter le stress, certains préfèrent crier et tout casser pour se détendre.

Les anger rooms ou fury rooms, concept inspiré du Japon se sont installées en France. Cette activité permettant de se défouler en cassant ce que l’on veut dans une salle cloîtrée séduit les clients. Pour tout détruire, tout est permis avec l’arme de son choix, une batte de baseball, un club de golf ou autre. En octobre 2017 une salle spécialisée a ouvert à Paris et le concept commence à être très populaire. Dans une époque où le stress et les déconvenues sont récurrents, ces fury rooms se multiplient un peu partout en Europe et à travers le monde. Les formules vont de 10€ à 125€ permettant d’être seul ou accompagné, la Fury Room située dans le deuxième arrondissement de Paris connaît beaucoup de succès depuis son ouverture récente. Chinant des meubles aux encombrants ou dans la rue, l’entreprise recycle des vieux objets pour le plus grand plaisir de ses clients qui cassent tout. Un autre recyclage est mis en œuvre par la suite. Ce concept très étrange s’étend dans plusieurs villes de France, et séduit un large panel de personnes.

Communiquer par la patate

En 2018, la tendance est à la patate en guise d’objet de communication. Vous avez bien lu, la patate. Le pari délirant d’un jeune étudiant de Lille ayant lancé sa micro-entreprise autour de messages écrits sur des patates a été remporté. Le site propose différentes tailles allant d’une pomme de terre de 70g à une de 750g. Tous les messages sont possibles et le choix est libre. Ce concept étrange séduit les clients. Antoine, son créateur, a déjà reçu de nombreuses commandes sur son site. Née d’un pari, l’entreprise connaît déjà un petit succès auprès des internautes. En 2016, le concept avait déjà conquis de nombreux fans grâce à un autre site intitulé la patateanonyme.fr. Sur le même concept Clement Brun, son fondateur avait fait parler de lui et de son entreprise dans de nombreux médias. Venant des Etats-Unis, le concept autour de la pomme de terre devient très populaire. Bien entendu, les messages sont rédigés à l’aide d’un feutre alimentaire permettant tout de même de cuisiner sa patate.

Le bar à sieste, idée innovante

La France devient désormais un eldorado des idées originales et les entrepreneurs n’ont plus peur de se lancer. Les clients largement séduits par l’originalité souhaitent tester ces nouvelles idées farfelues créant le buzz. C’est le concept du bar à sieste qui plaît ces dernières années. Devenus très nombreux dans l’Hexagone, les clients se pressent pour aller faire un petit dodo lors d’une pause ou entre deux rendez-vous. Ces idées très attractives font le plus grand plaisir des entrepreneurs ou des travailleurs stressés ayant besoin de se relaxer. ZZZen un bar à sieste parisien a été le premier à installer le concept en France. Les médias ont communiqué sur cette innovation paraissant étrange au premier abord. La culture de la sieste commence à émerger au sein des entreprises et des lieux dédiés. Considérée comme une idée étrange, les bars à sieste ont su convaincre les plus fatigués d’entre nous, pour se laisser bercer le temps d’une pause.

Les Français et leur rapport aux nouvelles technologies

Un récent sondage réalisé par GetApp, moteur de recommandation de logiciels métiers, nous donne des enseignements utiles et significatifs sur le rapport des Français aux nouvelles technologies et fait le constat suivant : malgré quelques inquiétudes, les Français continuent de se passionner pour les nouvelles technologies. L’enquête a été réalisée auprès de 836 dirigeants de PME (<250 employés) sur le territoire français, entre le 17 février et le 1er mars 2021.

Des dirigeants qui suivent l’évolution des technologies

Les nouvelles technologies pullulent : assistants vocaux, applications de réalité virtuelle et augmentée, intelligence artificielle, 5G,  reconnaissance biométrique… S’il s’avère souvent difficile de suivre toutes ces évolutions, une majorité des répondants de l’enquête va essayer les nouveautés technologiques une fois celles-ci disponibles sur le marché.

Ainsi, les dirigeants suivent de près les nouvelles technologies puisque selon les résultats de l’enquête ils sont 74 % à avoir déclaré y être particulièrement attentifs. Ces 74 % de répondants sont divisés en deux catégories : 49 % de “précurseurs” qui aiment essayer les nouvelles technologies et se sentir en avance sur leur temps et 25 %  d’“acquéreurs précoces” qui adoptent les dernières nouveautés dans les technologies qu’ils possèdent déjà. Ces derniers affirment que les nouvelles technologies leur permettent de développer leur performance et leur productivité. À noter que seulement 2 % des répondants sont réticents et limitent au maximum leur utilisation des technologies. Enfin, 24 % se contentent des mêmes outils jusqu’à qu’ils ne fonctionnent plus.

Une cadence pas si difficile à suivre

Il semblerait que l’information circule relativement bien puisqu’ils sont 84 % de répondants à se dire “bien informés” (18 %) et “très bien informés” (66 %) sur les questions liées à la technologie comme les tendances, actualités ou encore les éventuelles controverses en cours. A contrario, ils ne sont que 16 % à s’estimer mal informé sur ces questions. Une information qui concorde donc avec leur volonté de suivre les nouvelles technologies.

Si, avec l’accélération de l’apparition de nouvelles technologies et applications sur le marché, on pouvait s’attendre à ce que les dirigeants français soient un peu perdus ; or, il n’en est rien puisqu’à peine 30 % d’entre eux considèrent la vitesse de changement en technologie comme difficile à suivre. En revanche, seuls 32 % des répondants pensent que la France est à la pointe dans le domaine des nouvelles technologies.

Une perception mitigée de l’impact des nouvelles technologies

Alors que 41 % perçoivent la technologie comme un moteur économique et compétitif, on constate que 59 % d’entre eux sont dubitatifs et craignent notamment la suppression d’emplois qui seraient alors remplacés par des avancées technologiques. Ainsi, ils sont seulement 22 % d’entre eux à penser que les avancées technologiques créent plus d’emplois qu’elles n’en suppriment et 37 % estiment que tout ou partie de leur travail pourrait être remplacé par une technologie. Globalement ils restent tout de même 35 % à penser que les avantages de la technologie sont plus nombreux que ses potentiels effets négatifs.

Force est de constater que les dirigeants ont compris l’aubaine que représentent les nouvelles technologies pour aussi bien manager leurs équipes que pour utiliser au mieux leur temps et supprimer des tâches chronophages.

Conquérir et fidéliser les clients

Si une entreprise souhaite conquérir et fidéliser les clients, elle doit déjà commencer par apprendre à les connaître. Pour cela, il existe des outils et techniques d’analyse de la clientèle. Pour établir une analyse efficace de ses clients, il faut déjà commencer par les segmenter selon différents critères.

Connaître les différents profils de clients

Le nombre de clients, le chiffre d’affaires et la marge dégagée : pour cela, créez 3 groupes :

Les clients 20/80, soit les plus gros clients/VIP de la société qui réalisent 80 % de la facturation. Ces clients sont en général des grands comptes. Ces clients méritent un traitement particulier (visites, appels, points réguliers, attentions,…) afin d’en développer le potentiel et de les fidéliser.

Les clients dits « middle market » qui peuvent être de gros clients en termes de chiffre d’affaires mais dont le potentiel de développement ne nécessite pas de gros efforts ou une démarche grands comptes au sens le plus pur du terme. Ils requièrent un traitement particulier (visites, appels,…) mais à un degré moindre que les VIP.

Les clients TPE/PME. Ce sont les petits clients qui commandent sans intervention d’un commercial à la suite de campagnes marketing. Ce sont en général des clients plus volages et l’effort marketing et commercial pour les fidéliser sera plus important.

Le secteur d’activité : il est important de dégager la part du chiffre d’affaires par grands secteurs d’activité (grande consommation, informatique, télécom,…) afin de pouvoir mieux orienter, tant la prospection commerciale, que les actions marketing futures.

Le type d’utilisation que ce client fait de nos produits/services : là encore, il est primordial de bien connaître l’utilisation que font nos clients en B2B de nos produits et services. Que ce soit une utilisation marketing/destinée aux clients, commerciale/ciblant la force de vente ou ressources humaines/ciblant les employés, bien appréhender cette donnée est important afin de mieux adapter nos offres et discours commerciaux.

Utiliser les outils CRM pour déterminer la typologie de ses clients

Sur Internet, l’entreprise peut mettre en ligne des formulaires de demande d’information avec des champs obligatoires détaillés afin de mieux segmenter sa typologie de clients. L’outil CRM permet aux forces de vente et équipes marketing de renseigner au maximum les informations sur les clients/prospects afin de mieux cibler les futures actions commerciales et marketing. Des sociétés sont spécialisées dans la segmentation de bases de données clients par rapport au code SIRET, au nombre d’employés, au code NAF,…

Préparer un argumentaire

Il ne sert à rien de lancer toutes les explications sur votre produit/service si certaines caractéristiques ne sont pas pertinentes. Vous devez grâce à votre argumentaire susciter le désir par une écoute attentive ou des questions pertinentes qui vont amener le client à se dévoiler et vous dire ce qu’il attend. N’hésitez pas à reformuler ses attentes afin de bien percevoir en quoi votre produit ou service y répond et qu’il les valide. Ensuite, présentez votre produit ou service avec précision et expliquez-en les multiples aspects (techniques, qualités, fonctionnement…) ainsi que les avantages par rapport à ses besoins.

Finissez par le prix sans oublier de mentionner les éventuelles offres exceptionnelles (tarifs dégressifs par exemple) ou les services gratuits inclus (livraison par exemple). De ce fait, les objections ne porteront pas sur votre prix qui se justifiera au regard de ce que vous apportez par rapport à la concurrence. Vous n’aurez qu’à mettre en exergue vos avantages sur elle.

Savoir reformuler les demandes des clients

Après avoir écouté votre client, reformulez l’ensemble des attentes de votre interlocuteur afin de lui faire valider ses besoins. N’hésitez pas à lui dire : « si je vous apporte un produit / service qui touche votre cible, est plus rapide que 200 copies par minute et qui a un besoin inférieur à ce que vous utilisez en termes de cartouches d’encre, est-ce que cela vous conviendrait ? ». Si vous voyez un grand sourire naître sur son visage, c’est bien que votre produit / service pourrait l’intéresser. N’hésitez pas alors à argumenter sur les points précis qui l’intéressent. Ne cherchez pas à tout prix à signer lors de ce rendez-vous. Rien ne vous empêche de préparer votre réponse et de convenir d’un rendez-vous ultérieur pour réaliser votre vente. 

Les traits de personnalité du bon commercial

Pour un commercial, sa personnalité constitue son principal outil. Car les clients perçoivent l’entreprise et les produits ou services qu’elle vend à travers ses agents, et notamment ses commerciaux. Voici dix qualités à développer qui lui permettront de devenir un bon commercial hors pair.

Le tonus et l’énergie

Car ce métier peut être éprouvant. Le plaisir de la relation. Ce métier s’adresse à des gens qui aiment rencontrer d’autres personnes.

L’écoute et la capacité de se mettre à la place de son interlocuteur

Pour bien vendre, le commercial doit bien comprendre l’esprit et le raisonnement de son client. Il peut ainsi le guider dans son choix du produit.

Le courage et la persévérance

Certains jours le commercial est porté par l’euphorie, où tout fonctionne bien, mais il y en a d’autres où il ne connaît que des échecs. Il doit être solide psychiquement pour ne pas baisser les bras. La persévérance constitue un élément incontournable pour un commercial. Il doit renouveler son courage chaque jour. La persévérance demeure indispensable non seulement pour surmonter les difficultés, mais pour trouver des solutions adaptées en cas de problèmes.

La fiabilité.

Le commercial ne doit jamais faire de promesses inconsidérées. Un bon commercial manifeste une grande loyauté. Il ne peut établir une relation commerciale solide que si le client sent qu’il peut compter sur le commercial. Il peut enjoliver la présentation d’un produit ou d’un service, mais il n’a pas le droit de mentir.

La solidarité et la cohésion avec tout le personnel de l’entreprise.

Si le commercial fait face à un reproche d’un client, il n’est pas bon qu’il accuse les autres membres de l’équipe. Il doit avoir le courage d’assumer la totalité des qualités et aussi des erreurs de l’entreprise.

L’optimisme.

L’état d’esprit du commercial doit lui permettre d’avancer tout en considérant le bon côté des choses, et en négligeant ses aspects négatifs. Cette négligence ne doit pas l’induire en erreur, mais au contraire, l’aider à voir le côté positif des choses. Cet état d’esprit favorise la confiance en soi qui constitue un élément essentiel pour un commercial.

Un enthousiasme communicatif.

L’enthousiasme manifeste la passion communicative du commercial. L’agent capable de mettre en action cet enthousiasme peut facilement transformer des clients potentiels en clients fidèles. De cette manière, il assure une transmission rapide et efficace des messages. Toutefois, pour assurer le succès de sa stratégie, il doit savoir choisir ses cibles.

Une organisation sans faille.

Le commercial idéal est un agent très méthodique, doté d’un sens de l’organisation irréprochable. Cela lui permet de concilier la quantité et la qualité de la vente. Le commercial doit à la fois assurer la prospection de nouveaux clients, l’assurance d’une bonne satisfaction et de la fidélisation des clients actuels. Sans organisation, il ne peut en aucun cas assurer toutes ces responsabilités.

La compétence technique.

Le commercial idéal doit disposer d’une compétence technique qui se manifeste par la connaissance de la branche d’activité, celle de la vente et surtout de la gestion et de l’économie d’entreprise. Le commercial ne peut en aucun cas convaincre ses clients potentiels à consommer les produits et services qu’il propose s’il ne maitrise pas le domaine dans lequel il exerce.

Un expert des réseaux sociaux.

Le commercial doit avant tout rendez-vous connaître tout ce qui se dit sur l’entreprise mais aussi sur le client qu’il va rencontrer. Il a à sa portée de clics des informations qui lui permettront de cerner la personnalité de son client, ses goûts mais aussi aura une connaissance des concurrents et sera à même de mieux argumenter. 

Ces entreprises au concept futuriste

Les entreprises deviennent de plus en plus innovantes en matière de technologie nous projetant dans le futur. Ces idées issues des blockbuster américains peuvent faire peur, mais s’installent réellement comme un possible futur à la portée de tous. Ces 5 entreprises au concept futuriste ont fait de la technologie leur marché pour le plus grand plaisir des fans de Matrix ou encore de Star Wars.

Bell, le taxi volant

CES 2019 : Bell dévoile le Nexus, le futur taxi volant d'Uber
futura-sciences.com

Bell une entreprise américaine s’est associée à Uber pour présenter son concept de taxi volant. Une idée très futuriste permettant de se déplacer dans un environnement luxueux. Cette cabine volante au look très futuriste pourrait bien satisfaire les usagers. Elle accueille jusqu’à 4 passagers et possède tout le design et le confort d’une voiture de luxe. La technologie ne s’arrête pas là, les usagers pourront profiter d’une connexion internet pour surfer sur les réseaux sociaux, lancer une visioconférence, écouter de la musique et bien d’autres choses. Défini comme un hélicoptère électrique, l’engin a tout de même l’allure d’une voiture des plus grands films de science-fiction. L’objectif de cette entreprise est de concevoir un transport aérien accessible à tous pour éviter les bouchons habituels de la circulation. Ce concept de taxi de la marque Bell a pour intention de se différencier de ses concurrents en développant une offre adaptée à tous les budgets.

Gemalto, la carte de paiement biométrique

Gemalto a dernièrement été sélectionné par la « Bank of Cyprus » pour lancer la première carte de paiement avec capteur biométrique. Cette carte permet de payer à l’aide des empreintes digitales au lieu d’un code PIN. La technologie réalise des paiements avec ou sans contacts seulement compatibles sur les terminaux installés à Chypre. La carte composée d’un capteur biométrique se présente comme une nouvelle technologie faisant suite à Apple Pay. Pour une totale sécurité, les données biométriques sont stockées uniquement sur la carte, ne permettant aucune falsification du moyen de paiement. En cas de problème, le code PIN est toujours disponible. Les technologies biométriques deviennent émergentes sur le marché et s’installent comme des prouesses futuristes. L’imaginaire des films où les espions pouvaient tout faire à l’aide de leur iris ou de leur empreinte devient désormais réalité.

Casque Thync, modifier ses humeurs

Les innovations technologiques fascinent le plus grand nombre pouvant parfois inspirer des séries comme Black Mirror où l’exploitation de celle-ci sur l’humain est décriée. Le concept futuriste du casque Thync peut faire penser à un fameux épisode de la série britannique. Ce casque, qui se trouve déjà être une réalité, permet de changer d’humeur grâce à des électrodes stimulant le cerveau. Le système produit alors un effet calmant ou énergisant sur la personne, jusque-là rien d’extraordinaire et futuriste. Le concept va plus loin grâce à une application permettant de contrôler les émotions. Cette technologie s’inscrit dans un concept futuriste par cette notion de contrôle et de commande de l’être humain. Les innovations développées sur le cerveau humain engendrent souvent de nombreuses questions éthiques et de bien-être mental. A réfléchir avant d’avoir peur !

Matrix PowerWatch, la thermoélectricité

Les smartwatch deviennent un marché très lucratif depuis le lancement de l’Apple Watch. Toujours connectée sur toutes les caractéristiques de notre corps et de notre smartphone, celle de Matrix PowerWatch se différencie des concurrents. Grâce à la thermoélectricité, recharger sa montre avec la chaleur de son corps devient possible. Cette montre fonctionne avec la thermoélectricité, c’est-à-dire la chaleur de notre corps reconvertie en électricité rechargeant ensuite la montre. Son nom clairement inspiré du film Matrix fait allusion à son caractère futuriste nous présentant comme des surHommes. Ce concept innovant, remarqué eu CES 2018, a produit un véritable effet sur les investisseurs. Les technologies du futur sont un marché en pleine expansion et la recherche souhaite dépasser ses limites.

Hyperloop One, le train hyper-rapide

Devenant très célèbre, ce concept lancé par Elon Musk présente un train à sustentation magnétique (produisant un champ magnétique entre les rails et le train, entrainant une lévitation). Il s’agit de capsules transportant des passagers propulsés à plus de 1200 km/heure, atteignant presque la vitesse du mur du son. Cette prouesse technique est en passe de devenir réelle et des essais devraient être réalisés en France durant les prochaines années. Hyperloop one, l’entreprise développant le concept assure pouvoir faire un Los Angeles/San Francisco, c’est-à-dire 600Km en l’espace de 30 min. Une telle innovation relève d’une révolution dans le domaine des transports. L’entreprise américaine Hyperloop One a désormais pu rassembler plus de 160 millions de dollars auprès de nombreux investisseurs comme la SNCF. Un cadre de cette entreprise a expliqué le concept futuriste simplement : « A terme, l’Hyperloop aura la vitesse d’un avion, le confort d’une voiture, la simplicité d’un ascenseur et le débit d’un système de métro ».
La révolution de l’Hyperloop reste encore difficile à mettre en place car elle nécessite de nombreuses technologies pour la réalisation du projet notamment pour la sustentation magnétique au sein du tube.

Les entreprises se lancent dans des innovations toujours plus performantes et évolutives qui donnent pourtant une impression de déjà vu dans les films de science-fiction. L’innovation futuriste est de plus en plus au centre des intérêts car elle est aux prises avec la réalité et produit des inventions qui suscitent parfois l’effroi. Pour le moment faire voler des voitures, contrôler des objets par la pensée sont pour le moment des idées futuristes qui verront peut-être le jour dans un avenir plus ou moins lointain. L’univers de Star Wars est sans doute déjà à la portée de toutes les entreprises innovantes.